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Tartarin n'est pas mort ! - Page 4

  • Rachadi et Mafieu se bouffent le tarbouif pour le plus grand bénéfice de la diversité cultuelle et culturelle multiculturelle. La schtroumpfette à poil !

    Extrême instant d’ataraxie extatique samedi soir dans l’émission somnifère de Laurent Rouxpieds quand Rachadi Dita donne la réplique au représentant du peuple autoproclamé : Mafieu Kassetoivitch !

    Dès que Rachadi a pris place dans le fauteuil qui en a vu d’autres (des culs callipyges), Mafieu a commencé à se tortiller les doigts dans sa moustache rasée et à se foutre le pouce dans le tarin en signe de contestation outragée.

    Pendant que Rachadi débite (et non « des bites ») ses bobards gros comme des rochers de Monaco (ou de Gibraltar … c’est selon votre religion) … le Mafieu n’en peut mais et ne résiste pas à interpeller l’ancienne ministre de l’injustice avec dans la voix une haine dicible :

    « Vous savez quoi, vous m’écoeurez, vous ne connaissez rien à la rue, au peuple, à ses souffrances pendant que vous vous crêpez le chignon avec Fion, Jouïet et Tzarko pour savoir à qui qui mentira plus que …. Euh … plus, nous, le peuple des rues et des boulevards, nous pouvons crever, ça ne vous fait ni chaux ni froid de veau ! » *

    Et vlan, v’la la Rachadi qui lui flanque son poing dans la gueule en retour d’uppercut avec une répulsion si agressive que l’autre a failli choir de son tabouret de bar à putes :

    « Et vous, vous vous êtes regardé ? Vous critiquez tout et tout le monde alors que vous ne valez pas un pet de tortue et que votre talent ne pèse pas plus qu’une plume de gazelle ! Vous feriez mieux de la fermer espèce de bachibouzouk, vous vous prenez pour une star vous n’êtes même pas digne de jouer dans Pokémon  ! » *

    * ( chère lectrice, cher lecteur, pardonnez si je n’ai pas le verbatim de la discussion … vous savez bien que cette émission a pour but de nous endormir, ce qu’elle réussit à merveille et en conséquence, je n’ai pas eu la force de prendre des notes circonstanciées.)

     

    C’est à ce genre d’instant magique qu’on apprécie tout ce que le multiculturalisme apporte à la France et à ses occupants : les français.

    Quand je pense que sans la bénéfique immigration nous en serions encore à nous rendre des politesses plates et sans saveur !

    Là, au moins, on discerne nettement à quel point la haine interraciale est source de vitalité, de  régénérescence, de partage … de gnons (ce qui nous change du fisc qui prend notre pognon).

    L’Afrique de l’ouest qui tape sur l’Afrique de l’est tout en conservant une nationalité française de façade, c’est ça qu’il nous faut pour bien nous cultiver, entretenir nos synapses et nous faire oublier les tracas quotidiens ordinaires qui ne nous élèvent pas comme le fait le multiculturalisme du XVIème … euh … non, du VIIème ! (ou les deux).

    Après ça, on dort comme un ange !

     


  • Ébola par ci, ébola par là …. Chasse aux chômeurs … prix nobel du grand foutage de gueule … Marine Le Pen à poil sans permis de conduire …

     

     

    L’actualité est toujours aussi truculente et ce n’est pas mon absence qui en est cause !

    Oui, j’ai des trucs persos à m’occuper prioritairement à l’écriture, à la sustentation de mon tamagoshi blog !

    Mais qu’importe ce que j’ai à dire, la vie continue son cours indolent parfois et brutal d’autres fois …

    Tiens, un exemple entre mille de la cruauté de la télé … Mireille Mathieu vient juste de chanter au journal télévisé et je pense que nombreuses et nombreux sont les téléspectatrices et teurs qui on perdu un, voire deux tympans !

    La haine est partout … Ségolène abandonne l’écotaxe sur le bord de la route en rase campagne, cet octroi des temps modernes que Serge Moati  confond avec la gabel … ce con !

    Duflot n’en peut mais mèèèèèhhhh. La pauvre n’a aucune idée de l’ampleur du désastre écologique qui frappe le reste du monde, elle base toutes ses activités sur la loi de l’emmerdement maximum qu’elle est capable de causer chez nous sans se soucier d’autre chose que de ses fantasmes verdâtres comme son vomis.

     Chasse aux chômeurs qui ne cherchent pas le travail qui n’existe pas … vous pourriez faire un effort pour faire semblant …

    Mais comme les chômeurs se montrent peu coopératifs, Valls et sa meute de hauts fonctionnaire va leur couper les vivres pour leur apprendre à vivre !

    Ah ! Vous refusez de chercher le Graal sous prétexte qu’il n’existe pas … eh bien nous, gouvernement tout ce qu’il y a de plus officiel de la France méconnaissable, nous allons vous siffler vos indemnités pour en faire de la CMU de l’AME et de l’ersatz d’écotaxe ! Gnia !

     

    Mais revenons à notre à propos … je veux parler de l’ébola qui a le mérite de tomber au bon moment pour transférer le stress du chômage vers un stress encore plus grand …. Celui de la mort !

    L’ébola tue ! L’ébola se cache … on l’a vu ici, il est passé par là, il repassera … ici et là … ne croyez pas, braves con-citoyens que vous êtes à l’abri … OH QUE NENNI … il n’y a que 12 lits pour toute la France … les premiers arrivés seront les premiers soignés … dépêchez-vous de l’attraper si vous ne voulez pas finir comme les 65 millions restants qui n’auront aucun lieu pour les accueillir, eux et leur putain d’ébola !

    Nous en sommes là, mes bien chères sœurs mes bien chers frères, cousines, cousins, tonton tontines et tata … pour calmer la colère et la fronde, rien de telle que la menace brandie à bout de bras d’un châtiment létal pour toutes celles et ceux qui n’acquiescent les conneries Hollandaises !

    Allez, les 2 ou 3% des bons français qui applaudissent encore les fariboles et autres calembredaines du président poil aux ch’veux seront épargnés … parce qu’ils le valent bien !

     

    Non mais … quand j’y repense …. Mireille Mathieu … quelle casserole !!!

     

    Et  que je me déhanche et que je hoche du bonnet (ou que j’opine), que je gronde, que je menace, que je cède du terrain pour mieux revenir, que j’emploie des locutions latines à tort et à travers (savez-vous que pour la ministre très échologique – égologique- Ségolène Impériale « sine die » ne veut pas dire « sans date » mais « abandonné » ? fou, non ? !), que j’ergote, que je trépigne … Valls nous sort le grand JE … et Hollande n’est pas trop fâché que les projecteurs lui fassent enfin un peu d’ombre …

    Alain Minc (qui n’est jamais très loin d’Attali … du moins dans la filouterie …) nous donne sa recette du bonheur (vous êtes priés de ne pas rire) … 1 point de TVA, augmentation des charges sociales salariales, baisses des retraites et augmentation significative de l’âge du départ en retraite … on se tient les côtes (de veau) !!!

    Moi, je peux faire mieux ! Baisse de 10 points de la TVA, licenciement de tous les cumulards et de tous les fonctionnaires bouffons, suppression des retraites aux sénateurs et parlementaires, arrêt immédiat du nucléaire et retour à l’électricité au pédalo, suppression des patrons et de leurs actionnaires, retour au 24h de travail par mois, élimination définitive de la pauvreté et obligation de joie et de bonheur pour tous !

    Merde, y’a pas que Minc et Attali qui ont le droit de dire n’importe quelle connerie.

     

     

    Allez, sur ce, je vous quitte, j’ai un ébola qui frappe à la porte pour me vendre des tapis perçants comme la voix nasillarde de Mimi Mathieu !!!

     

     

    France 60 millions d'habitants ... Chine + Inde 4 milliards ! L'écotaxe ...une larme dans les océans !

  • Le monde change, évolue, se diversifie, réinvente, réorganise, redistribue cartes et claques … BB à poil !

     

     Reçu ce jour dans ma boîte mail :

     

    Pour l'UFAL, la famille n’est pas un fait naturel, mais une construction sociale et symbolique. L’association Les Enfants d’Arc en Ciel défend et promeut la famille LGBTparentale.

     

    Pour l’UFAL et tous les crétins qui y contribuent, la famille naturelle n’a aucune raison d’être, c’est un artifice creux et vain, une lubie, une lanterne pour attirer les imbéciles qui s’imaginent que la chair de leur chair vaut mieux que celle de l’étranger qui rôde autour de la maison car il fait plus partie, lui, de la famille que le bébé qui vient de sortir tout chaud et visqueux du ventre de sa maman.

    Maman !

    Buerk quel vilain mot !

    Papa !

    Buuuueeerrrrkkkkk !

    Quel horrible cauchemar !

    «  Ni père ni mère » comme disent les libres penseurs qui s’apitoient sur le sort sordide des pauvres arabes qui pratiquent le ramadan et s’en trouvent affaibli au point de réclamer de nouveaux congés payés exclusifs pour les lécheurs de tapis.

     

    Ça ressemble à quoi une société qui se liquéfie dans des concepts vaseux comme la lise qui avale tout sans discrimination ni jugeote.

     

    Ma mère n’a guère plus d’importance que n’importe quelle bonne femme apte à la procréation, je suis issu du néant tout comme mes parents et en conséquence je ne leur dois rien ils ne me sont redevables de rien. Le rien retourne ainsi au néant de nos consciences amorphes qui acceptent tout sans jamais rechigner du moment que ça vient de ceux qui détiennent le pouvoir de décider de ce qui nous convient et de ce qui ne nous sied pas.

     

    L’UFAL est une association et à ce titre, elle perçoit d’importantes subventions publiques qui lui permettent de se payer des pubs propagandistes afin de développer ses thèses morbides.

    La famille n’est qu’une « construction sociale et symbolique », un peu comme une association.  Un assemblage hétéroclite de personnes sans relation biologique, juste des étrangers qui vivent sous un même toit, partagent les mêmes repas, les mêmes loisirs mais sans qu’il y ait de raisons particulières à cela en dehors de la symbolique.

    L’inceste n’est qu’une pure création morale qui tend à empêcher des individus sans relations d’avoir des rapports sexuels sans conséquences. Bien entendu, si ces copulations devaient déboucher sur une procréation non assistée médicalement (la nature est conne), il conviendrait, en raison des risques débiles congénitaux d’avorter le rejeton issu du néant sans qu’il y ait à y voir une quelconque allusion à la consanguinité hypothétiquement symbolique et sociale.

    La Grèce antique n’avait rien compris à l’humanité. Ces gens là vivaient repliés sur eux-mêmes, en famille tout comme les hommes du néant-derthale ou de croc-magnon … Heureusement les penseurs de l’UFAL (Union des Fadas Abracadabrantesques Libidineux) et de la LGBT (Ligue Glauque des Barjos Tripatouilleurs) ont réunis leurs génies afin que disparaissent à jamais les stupides constructions sociales et symboliques qui tendent à empêcher l’égalité de tous dans le droit d’acheter des mômes qui n’appartiennent à personne, ni avant ni après et qui doivent pouvoir se marchander librement aussi bien sur leboncoin que vivastreet et d’autres et faire l’objet de saines enchères et de trocs car voyez-vous, nous ne sommes que de la marchandise commune et vulgaire.

    Après tout, nous ne sommes qu’un assemblage de cellules, une construction biologique symbolique, ce sont les savants qui ont raison, nos sentiments, nos passions, nos attachements …. C’est rien, du vent, de la crotte de bique … la seule chose qui compte, ce sont les SYMBOLES chimiques qui décrivent mieux que tout ce que nous sommes : du h2o avec du carbone, un peu de sang et de sueur et une grosse dose de social symbolique !

    Ne sommes-nous pas, d’ailleurs, interchangeables ?

    C’est vrai, quoi, un poumon, c’est un poumon, un foie un foie et un cœur un organe qu’on peut donner et recevoir. Il faut y voir le signe intangible, indiscutable de notre universalité permutable. Certes, on n’a pas encore permuté les cerveaux … mais ce n’est qu’une question de temps … dans quelques années, un riche moche s’achètera le corps d’un pauvre beau et y transplantera son cerveau pour ne pas risquer d’adopter les symboliques des pauvres qui ne comprennent rien à la famille.

    La mort, c’est quoi ? juste une construction sociale et symbolique, en fait, nous ne mourons pas puisqu’il reste une trace de notre passage dans les registres civils de la mairie, un livre qui tient le compte des allers retours de nos vies imbéciles de crétins symboliques.

    Tout est symbole et ceux qui en doutent sont de dangereux impies qu’il convient d’excommunier au plus vite.

    C’est vrai que sorti de France, les registres civils …. C’est pas vraiment universel. Mais ce sont ces idiots d’étrangers qui se fourrent le doigt dans l’œilleton ! Ces imbéciles vivent en familles pour résister tant bien que plus mal aux infortunes de leurs vies symboliques. Voilà ce qui les empêche d’évoluer !!!

    Faire un gosse, ce n’est pas se créer des obligations ! Pas du tout, c’est juste un accident de parcours, un accroc au quotidien … il n’y a aucune raison de s’accrocher à ce bambin criard et affamé, d’autant qu’il y a tant de bons français qui n’attendent que ça de le récupérer pour le cocooner !

     

    Et puis, si un jour il y en a trop … on pourra toujours en faire du pâté pour nourrir les chien-chiens des bons français qui savent si bien se libérer des viles contraintes sociales et symboliques.

  • Dans la série la vie des bêtes, les fourmis … à poils, à fourrures ou tout nu !

     

    Avez-vous jamais observé les fourmis ?

    Ces petits insectes sont merveilleux.

    Ils communiquent par des antennes qu’ils ont sur leur tête et par des phéromones qu’ils lâchent par le cul.

    Ils circulent en bandes mais parfois on peut voir un éclaireur cherchant une source de nourriture susceptible de plaire au plus grand nombre.

    Si un de ces prospecteurs découvre un filon, il revient vers la fourmilière en laissant des traces derrières lui pour retrouver son chemin (ils ont dû lire Perrault) … et indique aux copains et aux copines les caractéristiques exactes du trésor en poids, dimensions, qualités nutritionnelles, volume … etc …

    Le chef d’équipe détermine, à partir de ces données le nombre d’ouvrières (les femelles sont plus courageuses que les mâles) qu’il faut dépêcher sur place et la colonne se met en branle.

    Parfois, les butins sont convoités par plusieurs tribus ce qui engendrent nécessairement des guerres tribales faisant intervenir des guerriers redoutables avec leurs grosses pinces devant leur bouche. Il y a des morts mais, chose surprenante, aucun cadavre ne sera abandonné sur place, tous les corps seront ramenés à la fourmilière pour être recyclés. La fourmi, c’est bien connu depuis qu’un entomologiste du nom de La Fontaine l’a découvert est économe. Elle est même plus que ça, elle ne laisse rien se perdre.

    La fourmi passe une grande partie de son temps dans des galeries qu’elle creuse à même le sol, sans étais, sans piliers. C’est là qu’elle se repose mais sans jamais dormir au cas où l’ennemi viendrait à attaquer et c’est là qu’elle engrange les provisions issues de ses rapines et qui sont convoitées par les tribus ennemis. On parle volontiers de guerres tribales.

    C’est assez incompréhensible pour nous les humains que des espèces identiques en tous points puissent se livrer des guerres fratricides pour quelques lambeaux de galeries !

     

     

    Mais que voulez-vous, nous vivons une humanité de merde !

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  • La vie de nos amies les bêtes enrichi notre conscience et notre intelligence. À poil à plumes et en écailles.

    J’aime bien les documentaires animaliers, ils sont toujours pleins d’enseignements.

    Tenez, les poissons chats, par exemple, ces hideux animaux qui vivent aux fonds des eaux opaques et se nourrissent de vermines, de cadavres en décomposition laissés par les crocodiles délicats qui ne consomment pas la chair trop putride.

    Ces poissons là vivent et se développent sans trop de désagréments tant que les eaux sont hautes à la saison des pluies.

    Ils parcourent les fonds, leur bouche suceuse fouissant la vase, les moustaches en bataille, tactiles et graciles, détectant à tâtons les mets qu’ils affectionnent.

    Ils grossissent, font de la graisse et fraient  puis pondent dans la vase qui bientôt redeviendra terre sèche et craquelée.  

    Les œufs résisteront jusqu’aux prochaines pluies.

    Mais en attendant, voilà nos poissons chats, poussés par la sécheresse et le tarissement, entassés pêle-mêle dans un trou d’eau qui s’évapore un peu plus chaque jour.

    Si on voulait faire un bon mot, on dirait qu’ils s’entassent comme des sardines.

    Mais pour eux ce n’est pas drôle.

    Frétillants comme des brèles pour se faire de la place ils deviennent des proies faciles pour tous les prédateurs qui s’en repaissent.

    Les crocodiles et les horribles  marabouts (d’ficelle) les dévorent sans cérémonies et quand ils sont repus et qu’il n’y a plus d’eau, les poissons desséchés forment une masse noire qui nourrira la terre en azote et minéraux.

    C’est pas marrant la vie du poisson chat.

    Être entassés, les uns par-dessus les autres, sans échappatoires, sans autre lieu où aller et se retrouver à la merci des prédateurs sans pitié, voilà la vie affreuse des poissons chats hideux.

     

    OOOOOOHHHH ne voyez là aucune métaphore illustrant un comportement quelconque humain … non, les hommes ne mangent pas de ce pain là ! Les hommes sont, certes cruels, mais jamais ils ne massacreraient leurs prochains entassés dans la nasse comme des sardines.

     

  • Avis de faire part : je viens de perdre 2 très chers ami(e)s

     Voici une bien triste fin d'amitié qui me tenait à cœur et que des circonstances étrangères à ma volonté ont rendue impossible.

     

    Associez-vous à moi pour cette virtuelle cérémonie d'enterrement.

     

    Voyez plutôt :

     

    Frigide Barjot

    Hier, à 05:01 · Modifié ·

    J'explicite : si je ne m'étais pas levée pour défendre la filiation humaine avec un message ouvert aux homosexuels, ce qui a soulevé des millions de Français, j'aurais encore des amis aux pouvoirs d'Etat et d'Eglise, un emploi à la télévision et notre logement, dépendant des pouvoirs. Bref, rassembler les humains en disant humainement une vérité sur l'Humain vous fait virer du Pouvoir (en l'occurrence des média et du soutien des partis et des lobbies) et de chez vous. Et entrer avec fierté dans la résistance pour la suite, en nous préparant à aider le leader juste à se lever en retour. Nous éviterons ainsi la révolution d'octobre ou de février, tout en rétablissant la filiation humaine. Vous venez ?

     

     

    Yfig ExNihilo D'autres ne font aucun bruit, mais refusent d'entrer dans le jeu pervers des copinages qui sont les piliers de la corruption car il est inutile de se cacher derrière des mots édulcorés, bénéficier d'un traitement privilégié, c'est ni plus ni moins que de la corruption qui se paie par la perte des privilèges quand on mord la main qui nourrit ! Bienvenue dans le monde des petites gens qui ne mangent pas au grand râtelier de la prévarication qui alimente l’anti démocratisme. Les hommes naissent plus ou moins libres et égaux selon ses protecteurs.

     

    ·  Basile De Koch Yflg etc.

     

     

    · 

    Eric Taz Vous emménagez rue Lafayette ou rue de Lourmel au fait ? ^^

     

    · 

    Basile De Koch " Copinage, traitements privilégiés, corruption, râtelier de la prévarication, antidémocratisme " ; si j'ai bien lu, c'est notre portrait-robot par Yflg etc.
    On se connaît, ou il dit ça d'après Métronews comme tout le monde ?

     

    · 

    Yfig ExNihilo Pas besoin de lire les merdias, lire madame Frigide suffit à comprendre comment ça marche dans certains milieux ... je cite : "j'aurais encore des amis aux pouvoirs d'Etat et d'Eglise, un emploi à la télévision et notre logement, dépendant des pouvoirs." Si ce n'est pas un aveu, c'est quoi ? Un regret ? un remord ? Perso, je ne dois rien à personne ... je n'ai rien, certes, mais ce rien est mien, je l'ai gagné par moi-même, sans amis d’État ni d'église (ni dieu ni maître). Mais je sais bien que c'est généralisé en France comme ailleurs y compris en Afrique. Dès qu'ils seront au pouvoir, les LePen redistribueront les cartes ... ils remettront tout ça en place mais ce ne seront pas les mêmes ! Comme dit l'autre : à chacun son tour de se faire servir. C'est pour cela que certains s'empressent de tourner casaque ... bon week end.

     

    Basile De Koch Vade retro, Ex Nihilo, and you the fucking Taser ! Considérez qu'on n'est plus amis, comme disait Burt Lancaster à John Wayne dans La Classe américaine

  • À quoi rêve l’europe ? Dans 3 jours, vous allez peut-être les réaliser en allant voter !

    D'après vous, qui rédige les textes qui vont régir l'europe de demain ?

     

    Ne restez pas aveugles, prenez le temps et la peine de lire ces documents (piqué sur le site www.notre-europe.eu

    devenu depuis le think tank de l'Europe (sic)

    https://institutdelors.eu/ ) :

     

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  • Les vidéos de la troupe de Bassan joue : Un psy peut en cacher un autre

    Début de la pièce

    http://youtu.be/rI4yrEqaf-g

     

     

    http://youtu.be/b5htlaFUjNk

     


     

    Eva Patreau et son perroquet 1

    http://youtu.be/BR1bDiVrlpE


     

    Eva Patreau et son perroquet 2

    http://youtu.be/Zscfi-RL53o

     

     

    Joséphine Troudeballe 1

    http://youtu.be/8rIkTE3SM7A


     

    Joséphine Troudeballe 2

    http://youtu.be/8_YPc0C3uRU

     

     

     

    le curé 1

    http://youtu.be/nO9OzxRpR7g


     

    le curé 2

    http://youtu.be/6LGuQveng_4

     

  • 3. Dialogues à la noix dans la salle d’attente !

     

    3. Dialogues à la noix dans la salle d’attente !

    Bon ! il faut savoir faire contre mauvaise fortune bonne figure !
    J’ai donc fait mon plus beau sourire au téléphone en appelant le psy qu’un ami m’a indiqué comme étant spécialiste des causes perdues de mon espèce. Il est par ailleurs « expert auprès des tribunaux » ce qui est une preuve irréfutable d’équilibre psychique et intellectuel.
    Moi : « Allô ! ?»
    Le Psy : « Allô ! ? »
    M : « Vous êtes bien le docteur Chabraque ? »
    LP : « Vous êtes bien au cabinet du docteur Chabraque, je suis sa secrétaire. Que puis-je pour vous ? »
    M : « Je souhaiterais parler au docteur Chabraque. »
    LP : « Mais certainement, je vous propose lundi à 14h, c’est à prendre ou à laisser ! »
    M : « Je prends »
    Et en mon for intérieur, je me dis en aparté : « Si je peux pas y aller on pourra pas dire que je n’ai pas essayé ! ».

    J’ai donc pris un RTT et le lundi, je me pointe au cabinet du docteur Chabraque.
    C’est une belle villa de trois étages en pierres de tailles meulières (comme la truite éponyme). Elle est ornée de colombages (pans de bois) en chêne peints en vert SNCF et Les volets en frêne sont peints de rouge.
    Elle est plantée là, si haute avec sa toiture pentue de tuiles rouges en plein milieu d’un parc arboré et on y accède par longue une allée blanche de gravillons de Saint Omer.
    Puis on gravit sept marches pour accéder au perron couvert d’une verrière du XVIIIème siècle donnant sur une grande porte ferronnière à double vantaux vitrés.
    Sur le côté droit de la porte, une grande plaque en cuivre jaune sur laquelle est gravé :

    Docteur Chabraque
    Psychiatre
    Ex interne des hôpitaux de Monaco
    Diplômé en acupuncture
    Diplômé en médecine générale
    Diplômé de la police scientifique de Los Angeles
    Diplômé des prisons de Memphis (Tennessee)
    Diplômé en scrabble et mots croisés
    Marc de café, tarot, osselets et viscères de vigognes


    Franchement, ça vous fiche un de ces frissons toutes ces compétences réunies en un seul et même homme !
    On se dit qu’on va sonner à la bonne porte … si on la trouve … la sonnette …
    Mais, comme par magie et sans qu’on ait rien à entreprendre, la porte s’ouvre.
    Une grande femme nue sous sa blouse blanche, les tétons en batterie, les lèvres rubicondes et les dents blanches comme de l’ivoire, blonde comme les épis de blé avant la moisson, les yeux bleus, les paupières bleues, les cils noirs et longs comme des poils de chameau, battant comme un métronome tous les dix centièmes de seconde …
    Forcément, vous restez là, les bras ballants, la tempe claquante, la respiration haletante, le regard perdu dans le bleu de ses yeux, les mains moites et les jambes flageolantes (sauf si vous êtes hermétique à l'esthétique !).
    Elle, professionnelle et habituée à faire cet effet là sur les hommes, s’efface et vous invite à entrer puis à la suivre jusqu’à la salle d’attente.
    Elle est pleine (la salle d’attente).
    C’est une pièce rectangulaire assez grande avec une table basse au milieu sur laquelle diverses revues s’étalent languissantes. Les murs sont ornés de sérigraphies usées représentant des squelettes et des cadavres.
    D’un rapide regard circulaire on peut comprendre que les gens qui sont là ne sont pas comme tout le monde.
    Une femme a tourné sa chaise pour s’asseoir le dos tourné à la salle. Certains ont la tête baissée, d’autres se cachent derrière un journal ou un éventail … il y a une dame âgée qui tient une cage sur ses genoux. La cage contient un perroquet gris et vert du Gabon, de ceux qui sont des plus loquaces.
    Un vieux monsieur chenu a sous sa chaise un lévrier couché en chien de fusil.
    Soudain, la porte de la salle d’attente s’entrouvre et l’infirmière secrétaire accoucheuse passe sa tête blonde bleue pour annoncer :
    « Le docteur est arrivé ».
    La porte se referme sur une espèce de murmure qui court comme une rumeur en faisant tout le tour de la salle d’attente.
    Puis le silence revient. On entendrait une mouche se faire violer !
    La dame qui tourne le dos à la compagnie s’exprime comme dans un souffle :
    « C’est qui qui commence ? »
    La dame au perroquet annonce :
    « Il y a un nouveau. »
    Le perroquet répète :
    « Un nouveau » sur un ton nasillard.
    Il s’ébroue et un nuage de poussière envahit la cage avant de se répandre.
    Le lévrier lève sort la tête d’entre ses pattes puis la remet.
    J’éternue, sous l’effet de la poussière.
    « AAAAAATTTCCCHHHOOUUMMM !!! »
    Tous :
    « À vos souhaits ! »
    La porte s’entrouvre et l’infirmière multi cartes passe sa tête polychrome pour demander :
    « Madame Lamaison ».
    Une dame cachée derrière son éventail se lève sans montrer son visage et sort de la pièce.
    La dame qui tourne le dos :
    « Celle-là, elle est irrécupérable, elle croit qu’elle est espagnole alors qu’elle est née à Dunkerque d’un père allemand et d’une niçoise. »
    Le monsieur qui a le lévrier sous sa chaise :
    « C’est pas à vous de donner des leçons aux autres, quand on se prend pour une diva on se tait ! »
    La dame qui a un chapeau avec des oiseaux vivants attachés par les pattes :
    « Les divas c’est juste bon à se coucher sur un divan ! »
    Un monsieur qui se cache le visage derrière le Canard Enchaîné du 11 août 1975 (le journal est à l’envers mais on arrive quand même à en lire des bribes) :
    « Le divan du docteur est vieux et déchiré, il sent le tabac froid et le dégobillé, moi, je prends toujours une couverture avec moi pour m’y étendre ! »
    La dame qui a le dos tourné se lève puis se rassied :
    « Vous ne m’aurez pas avec vos stupides provocations, je ne chanterai pas, pas aujourd’hui ! »
    Le chien se lève, va à la chaise de la dame qui a le dos tourné et lève la patte sur un des pieds … La dame qui a le dos tourné lui crie :
    « Dégage de là sale cabot, va pisser sur ton maître ! »
    Un long silence s’installe pendant que le sale cabot retourne se coucher sous son maître.
    J’en profite pour jeter un coup d’œil circulaire plus circonspect.
    Nous sommes sept. Une chaise est vide, celle de madame Lamaison.
    En sus de moi-même, les six autres sont tous plus bizarres les uns que les autres.
    La dame qui nous tourne le dos voûté les cheveux gris sale, les épaules couvertes d’un vieux pull marron côtelé à mailles larges fait comme une tâche sur sa chaise. Elle se situe juste en face de moi ce qui fait que je ne peux même pas voir son profil.
    Elle me fait tant penser à tata Baluchon que je lui garde ce surnom.

    En tournant dans le sens des aiguilles d’une montre, à ma droite un vieux monsieur à la barbe courte, aux gros sourcils broussailleux blancs sur des yeux caves aux minuscules orbites, des lèvres charnues et brunâtres, un front rabougri le tout sur un cou quasi inexistant.
    Je le surnomme illico « le vieux singe ».
    Sous sa chaise, un lévrier afghan qui pue comme une vieille négligée.

    La dame qui est à sa droite est plus ou moins cachée à mes yeux, mais je peux la voir un peu en me penchant en avant en arrière. Elle n’a pas de visage, il est caché sous un foulard bleu pâle. Elle porte un gilet gris en laine et une robe ou une jupe, je ne sais trop, en tissus moiré qui lui descend le long de ses jambes croisées jusqu’aux chaussures plates noires.
    Elle, je lui attribue le pseudo de « Mamma ».
    Sur ses genoux le perroquet du Gabon dans sa cage.

    À ma droite 90°, non loin de la porte, un petit monsieur sans âge qui lit son journal à l’envers : le Canard Enchaîné du 11 août 1975. Il ne bouge pas, seul le journal tremblote faisant un bruit incongru comme le vent dans les feuilles mortes d’un orme. Sous son pantalon crème on devine des jambes anémiées. Il les tient bien serrées et ses pieds chaussés de pantoufles ne touchent pas terre.
    « C’est peut-être un enfant ? » me dis-je en douce.
    Seuls ses petits doigts noirs boudinés serrant maladroitement le journal trahissent sa couleur.
    Je lui donne donc le surnom de « pygmée ».

    À ma droite à 45° et à la droite de la dame qui nous tourne le dos, une dame qui a un chapeau avec des oiseaux vivants attachés par les pattes. De temps à autre, un oiseau cherche à s’envoler, mais il retombe inexorablement sur le chapeau en jurant comme un charretier mal embouché. L’un des trois oiseaux pend lamentablement sur le bord du bibi, tenu par une patte attachée. De temps à autre il est pris de soubresauts alors la dame lève la main pour le remettre sur le chapeau mais il ne tient jamais bien longtemps.
    Je lui accorde le doux nom de « pervenche »
    Le lévrier susurre sans même se donner la peine de lever le museau :
    « Si c’est pas malheureux ! ».
    Je sursaute un peu, histoire de marquer le coup, mais sans plus.

    Personne ne semble avoir prêté attention à la remarque du lévrier.
    Je demande au singe :
    « Il s’appelle comment votre chien ? »
    C’est le chien qui me répond :
    « Ata-Truc ». Personne ne moufte !
    Je continue et termine mon tour de salle en lorgnant vers la dame élégante qui est à ma gauche à 315° et à gauche de la dame qui a le dos tourné.
    Elle est roide sur sa chaise, engoncée dans un grand manteau sombre, le cou entouré d’une fourrure naturelle de bichon. Son visage anguleux est plâtré de fard, ses petits yeux chafouins disparaissent sous de lourdes paupières lestées de pâte épaisse qui coule jusqu’à ses cils courts noircis au khôl de Monoprix. Son nez évoque Pinocchio et son chapeau Don Quichotte.
    Je l’appelle « la fée Carabistouille » parce que ça rime avec citrouille.
    « Et toi, tu t’appelles comment ? » Me demande le chien.
    « Yfig »
    Le singe tance son chien : « Tais-toi Ata-Truc, ne dérange pas le monsieur ! ».
    Moi : « Mais il ne me dérange pas. »
    « Laisse tomber ! il ne parle pas aux étrangers ! » Me répond le klébar.
    Tata Baluchon, qui nous tourne le dos, m’interpelle :
    « Vous êtes là pourquoi, monsieur Yfig » … et elle dit ça avec une espèce de dégout perceptible dans sa voix, surtout sur le ‘monsieur’.
    A ce moment un oiseau tente de s’échapper et retombe sur le chapeau avec un grand :
    « MERDE ! ».
    Moi : « Je suis venu consulter le psy parce que j’entends les objets, les légumes, les animaux … parler. »
    Le pygmée me lance d’une voix de basson :
    « Et en quoi ça gêne ? »
    Moi : « Oh pour tout plein de choses ! »
    La fée Carabistouille parle d’une voix suraigüe sans bouger les lèvres, un peu comme une ventriloque :
    « Comme ? »
    « Eh bien, par rapport aux autres, je passe pour un dingue. »
    La pervenche s’en mêle :
    « Passer pour un dingue aux yeux des fous, ça n’a pas d’importance. »
    Le lévrier se grattant le cou :
    « Faut pas prêter attention aux humains ordinaires, ils n’ont rien dans le crâne, tout ce qui n’est pas comme eux, banal, les horripile et les rend racistes ! »
    Le perroquet ajoute, pendu tête en bas à un barreau :
    « L’homme est un animal qui s’ignore, il ne parle pas avec les autres animaux parce qu’il est imbu de sa soi-disant supériorité mais dans le fond c’est le plus con de nous tous ! »
    Après un silence éloquent, je tente un timide :
    « Il y a un autre inconvénient majeur … »
    Tout le monde se tait. Le journal tremblote plus fort. Le chien fait un pet malodorant mais en harmonie avec sa puanteur naturelle. Le perroquet s’épouille, tata Baluchon renifle bruyamment et Pervenche remet l’oiseau qui pend sur son chapeau. La fée Carabistouille se lève et prend une revue de mode sur la table basse et se rassied en silence.
    Moi : « Ça ne vous intéresse pas de savoir ? »
    La voix de la Mamma se fait entendre pour la première fois. C’est une voix d’outre tombe, une voix glacée comme un iceberg qui vous donne des frissons jusque dans les tibias :
    « On le sait déjà. »
    Vlan !
    Je me renfrogne et garde pour moi mes extrapolations.
    Au bout d’un moment, tata Baluchon demande :
    « Lafleur, vous avez fait des progrès depuis la dernière fois ? »
    J’attends de voir qui est ’Lafleur’ !
    Le vieux monsieur que j’ai surnommé ‘le singe’ ouvre enfin la bouche. Sa voix est solennel, sourde, lente, avec des pointes d’accents aigües qui me font penser à des baïonnettes :
    « Affirmatif ! Le docteur fait du bon boulot, bonne tactique, fine mouche et Scaramouche. »
    Le chien : « Ouah ouah … gaaaarde à vous ! »
    « Merci monsieur le ministre de la défense. » Les congratule tata Baluchon.
    Tata Baluchon : « Et vous monsieur Mamadou Pape Ben Jamal Al Arabia, mon cher ministre de l’économie, qu’en pensez-vous ? »
    La Pygmé lui répond de derrière son journal :
    « Un peu cher, monsieur le président, mais ça vaut le coup si on tient compte du retour sur investissements ! »
    Monsieur le président ! ? voilà la tata devenue un monsieur !
    Le président : « Et vous madame la ministre de l’écologie ? »
    La Pervenche avec son chapeau aux oiseaux lui répond :
    « Certes, ça manque un peu de vert mais le respect de la nature est présent, nul ne peut le nier ! … surtout dans le jardin ! »
    Le président : « Madame Pouzzi, ma très chère ministre de la jeunesse et des sports, vous avez bien un avis ? »
    La Mamma se fend d’un généreux : « Euh …. »
    Et le perroquet du Gabon la soutient d’un : « On a connu mieux …. Mais c’était plus cher ! »
    Ça n’a pas l’air de faire plaisir au président qui se mouche très bruyamment !
    Le président : « Il ne reste plus que vous, madame la ministre de la culture qui n’ayez pas donné votre point de vue ! »
    La fée Carabistouille se lève, solennelle et constipée : « Comme disait Jean-Patrick Valesoleil, ‘les prix du carburant suivent souvent la courbe des produits minéraliers qui dépendent de l’extraction en mer du Nord avec la dimension subséquente de l’anthropomorphisme périculaire circonvulatoire des instituts de conservation des arts séculaires.’
    Et je suis du même avis ! »
    Le président : « Ouais ! Pas la peine de se demander pourquoi je vous ai mise à la culture ! Au prochain remaniement, je vous mets à l’agriculture ! »
    Le chien se lève, s’ébroue et dit : « Jean-Patrick Valesoleil est un con ! »
    La fée Carabistouille lui rétorque : « C’est celui qu’il l’dit qu’y est ! »
    Le président : « Je suis bien déçu, je ne vous entends pas parler de l’emploi ! ».
    Le pygmée : « C’est Lamaison la ministre du travail. »
    Le président : « L’emploi est l’affaire de tous, c’est la priorité des priorités je veux créer une commission chargée de trouver de nouvelles voix contre l’emploi pour le travail et le chômage. »
    Le pygmée : « Vous voulez dire contre le chômage et pour l’emploi ! »
    Le président : « Au lieu de faire le malin, débloquez-moi des crédits pour ma commission anti-chomedu ! »
    Le pygmée : « Où voulez-vous que je trouve l’argent, les caisses sont vides et l’écologie nous empêche d’exploiter nos mines de protoxyde d’azote ! »
    La Pervenche ministre de l’écologie avec son chapeau aux oiseaux lui répond : « Vous vous croyez drôle avec votre gaz hilarant (*) ? »
    Le président : « Vous n’avez qu’à prendre l’argent des militaires qui ne servent à rien en temps de paix ! »
    Le singe : « Prenez garde que la Russie ne nous fasse le coup de la Crimée, vous savez bien que les slaves ont le sang chaud et le vin mauvais. Dépouiller la défense c’est livrer la France aux convoitises des tyrannies. »
    Le pygmée revient à la charge : « De toute façon, vous savez bien, monsieur le président, que le patronat préfère que l’État paie le RSA aux inactifs plutôt que de leur donner du travail qui coûte plus cher à cause des cotisations sociales, des RTT et des congés payés. »
    Le président : « ce n’est pas faux, mais il faudrait que les patrons paient le RSA plutôt que le gouvernement. »

    Vous vous imaginez bien que je suis dans mes petits souliers, je me demande de quoi il retourne, si c’est du lard ou des cochonnailles ?
    La porte s’ouvre le la blonde bleue appelle : « Monsieur Yfig »
    OUF ! Sauvé par le gong, par la blonde peroxydée aux yeux bleus cérulés.



    (*) le protoxyde d’azote est aussi appelé gaz hilarant.

  • La politique pour les nuls et le gouvernement sirène du poisson d’avril !

     

    Au moment où Hollande est au plus bas dans les sondages et  que la gauche prend une déculottée historique, Manuel Valls caracole en tête de tous les politiques suivis par les instituts de sondage.

    Cela ne pouvait pas durer !

    Notre président (poils au sextant) qui ne manque pas d’humour a donc décidé de faire d’une pierre plate des ricochets. Les joueurs de boules appellent ça des « bandes » !

    Ah ! Tu es en tête des sondages eh bien je vais te casser.

    Et c’est comme ça que Valls se retrouve premier ministre chargé de former le gouvernement du 1er avril. Ça pue le poiscaille, vous ne trouvez pas ?

    Et puis Valls va se retrouver sur le devant de la scène, sous les projecteurs et les critiques  … et ça, ça vous tue son homme.

    Hollande pense à 2017 tous les soirs en se jetant dans les bras de Morphée et les grands soirs en besognant sa Julie.

    Pas question de laisser Valls cavalcader hors pistes et de retrouver en position de leader le jeunot ambitieux.

    L’heure espagnole est venue.

    Tapas, mejillones, sardina, mantilla, paëlla, corrida, venta Peyo, Pay Pay, chipirones … le Cid !

    À l’usage et à l’usure, on va le voir s’écailler comme un pescado podrido, se rabougrir et s’aigrir sous les feux croisés de la droite godillot, des écolos revanchards, des bobos cocos, des frontistes lampistes, des gauchos gauchistes et de tous les critiques qui l’éreinteront et ne lui laisseront pas une seconde de répit !

    Quand les lionnes affamées s’attaquent à un buffle, le buffle finit toujours comme dîner des fauves.

    Les fauves sont lâchés.

    Pour l’instant, ils sirotent la belle farce du 1er avril et du gouvernement sirène … tout cela finira, bien entendu, en queue de poisson !

     

    Allez, je vous quitte, j’ai un requin qui me lêche les couilles avec délectation … je crains qu’il ne mijote quelque mauvais coup à mon encontre !!!

     

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