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la parole est donnée aux bavards et aux autres

  • Quand j'écoute Macron, je me souviens du DG Canadien venu en France pour diriger notre entreprise … il sortait tout droit de la City Bank !

    Ah ça, sur les frais de banque il en connaissait un rayon … mais quand il s'agissait de prendre des décisions pour l'entreprise …. Ça devenait soudain de l'intuition au doigt mouillé … en 3 ans il a fait tomber la boîte.

    Je me souviens de la devise de sa famille (capitalistes canadiens de Toronto) :

    "give us the job we'll finish the tools"

    Qui pourrait se traduire par :

    "donnez-nous le boulot on va bousiller vos outils !"

     

    http://www.dailymotion.com/video/x3lhuot_macron-se-lache-a-l-etranger_news

    Lire la suite

  • De l’écriture en général et des pâtés d’Yfig en particulier (à l’intention des cornichons indispensables pour accompagner les pâtés)

    Non …. Je ne vais pas vous apprendre à faire des pâtés de foie gras de Zanzibar ou des rillettes de Montélimar … je veux seulement vous entretenir de mes divagations scribouillardes.

     

    Oh ! Je n’ai guère de notoriété à poser en guise de ridelles autour de ma personne pour vous convaincre de mon habilitation à vous entretenir de littérature.

    Je n’ai aucun « best seller » à opposer à vos réticences à faire preuve de bonne volonté à mon égard.

    Et je n’ai même pas de kalachnikov à vous mettre sous le nez pour vous forcer à m’écouter !

    Rien, je n’ai rien que quelques mots d’intro qui, espérons, vous donnerons envie de faire un petit bout de chemin en ma singulière compagnie.

     

    De quoi t’est-ce exactement que je veux vous causer ?

    D’écriture.

    Pas de styles …. Encore que … Pas de genre … même si … Pas de règles … ou à l’insu de mon plein gré …

    Non, je veux vous entretenir de la façon dont l’usage de l’écriture peut amener à penser l’écriture différemment.

    Au début était le verbe … Ouais …. Bon …. C’est pas original mais ce n’est pas moi qui ai inventé cette faribole !

    Au début que j’écrivais … car il a bien fallu un début … je ne savais pas trop quoi écrire ni comment.

    Pourquoi ?

    Mais diantre, fichtre ! Parce qu’on peut écrire de tant de différentes façons !

    Un article de style journalistique.

    Un cours théorique sur la conchyliculture du bigorneau aux yeux bleux.

    Un conte de fée humoristique ou lubrique.

    Un sketch pour amuser le bourgeois qui s’emmerde devant sa téloche.

    Une chronique des temps moderne dont la modernité n’a rien à envier au Moyen-âge qui était en avance sur son temps dans bien des domaines.

    Un roman … d’aventures, d’amour, d’espionnage, policier …

    Une pièce de théâtre, une comédie de boulevard, une tragédie, un burlesque …

    Un scénario de cinéma ou une série télé ou de Bande Dessinées …

    Vous rendez-vous compte de l’éventail infini de possibilités qui s’étalaient provocantes à mes yeux innocents ?

    En fait, si je me souviens bien, j’ai écrit une nouvelle.

    La nouvelle, c’est pas mal pour débuter. C’est court et on peut n’y mettre qu’un nombre limité de personnages. Ma nouvelle, je l’ai intitulée : « le choix du père ». C’est bien comme titre parce que ça n’a pas de sens unique. Le choix … quel choix ?

    Faut pas croire, écrire une nouvelle de 25 pages, ça peut paraître facile mais ça ne l’est pas !

    On se lance dans une grande aventure en se demandant si on y arrivera … on tombe sur des tas de pièges inattendus.

    Par exemple, pour faciliter l’écriture, j’avais choisi de baser ma nouvelle sur une aventure qui m’était réellement arrivée … genre biographie épisodique. Mais on se pose rapidement la question de savoir ce qu’on peut dire et ce qu’il faut garder pour soi parce qu’on sera peut-être lu par des inconnus, des amis, voire la famille …

    En fait … personne … ou presque ne vous lit … mais ça, on ne le sait pas au début !

    Ensuite, j’ai écrit quelques mirliton … souvent, c’était des réponses rimées à des vacheries reçues sur internet …

    Puis j’ai décidé de me lancer dans un roman.  Ne le cherchez pas en librairie il n’a pas été édité. Son titre : « Ludmilla » … encore un titre suffisamment évasif pour que personne n’ai envie de le lire.

    Un premier roman, ce n’est pas une aventure, c’est une gageure, un travail herculéen à réaliser par un nain. On ne devrait jamais se lancer dans pareille mésaventure sans prendre une bonne assurance anti-risquetout !

    Je vous passe les affres de la technique liée à l’orthographe et la grammaire … les phrases qu’on pense mais qu’on ne sait pas écrire … les mots qu’on ne trouve plus … les mots qu’on met par défaut ….

    Le pire est à venir …

    Le pire, c’est qu’à la quatrième ou cinquième page on a l’impression d’avoir tout dit !

    Alors …. On s’arrête et on se dit : « demain ça ira mieux ! »

    Mais le lendemain rien ne se passe … ni le surlendemain …. Ni les jours suivants … et on finit par oublier qu’on avait fait un grand projet.

    AH ! il en faut de l’ambition et de la niaque pour se remettre à l’ouvrage, surtout si on est tout bloqué !

    Moi, mon truc, ça a été d’écrire des petits trucs pour me débloquer, des chroniques, une saynète, une fausse interview , de petits sketches … et tout doucement, ça s’est débloqué …

    Mais ça ne veut pas dire que c’est gagné … loin de là … car l’imagination, voyez-vous, ça marche bien dans la tête, mais quand il s’agit de le transcrire sur le papier …. C’est une autre histoire !

    Bon, bref …

    Après, je me suis mis à l’écriture de ma première pièce de théâtre : « un raout chez les ploutocrates ».

    Comme j’avais un peu d’argent mis de côté (c’est si rare) … je l’ai faite imprimer. On appelle ça « l’autoédition ».

    Puis un polar dont j’avais jeté les bases quelques vingt ans auparavant et dont j’ai retrouvé les premières pages manuscrites car il n’y avait pas d’ordinateur à l’époque.

    Je me suis essayé à écrire des chansons, puis de nouveau des chroniques et des petites choses tout en travaillant à une autre pièce puis à la transcription d’une pièce en scénario de cinéma.

     

    Cessez de bailler, j’en suis arrivé à mon sujet.

     

    À écrire ainsi, j’en suis arrivé à la conclusion qu’il y a 3 genres qui se chevauchent.

    Le plus évident, c’est le scénario de cinéma et la pièce de théâtre. En fait, on peut dire que c’est très semblable et que ça consiste en des dialogues.

    Les cinéphages (femmes et hommes de cinéma)  et les théâtreux tiennent absolument à ce que leurs disciplines restent bien dissociées et c’est dans la forme qu’ils imposent qu’ils tentent de forcer les uns et les autres à rester derrière d’infranchissables barrières virtuelles.

     

     

     

    Voici un exemple d’écriture théâtrale :

    ACTE I

    Scène I

     

    Nous sommes au mois de juillet dans la galerie ‘Maurice Maurice’ où se déroule une exposition - vernissage.  La salle (le magasin) est vide de monde. Musique douce d’ambiance. Lumière feutrée avec des spots sur les tableaux.

    Une simple table sur tréteaux avec une nappe en papier blanche supporte des petits fours fatigués, une bouteille de soda et une bouteille de mousseux de mauvaise qualité avec des gobelets en plastique.

    Des tableaux abstraits et figuratifs sont cimaisés sur des châssis amovibles, quelques statues sur des présentoirs …

     

    Un couple de visiteurs vient à passer ..

     

    Lui : Dis donc, y’a pas grand monde !

     

    Elle : Y’a une ambiance à tirer au couteau !

     

    Lui : Remarque …. C’est franchement pas terrible !

     

    Elle : J’aime assez celui-là ! (elle lit l’étiquette au bas du tableau) bateau échoué sur la vase dans le port de Honfleur avant 1990. C’est où Honfleur ? et … Que s’est-il passé en 90 ?

     

    Lui : C’est juste un bateau, il n’y a pas âme qui vive dans ce tableau …. Comme dans cette galerie, d’ailleurs  !

     

    Elle : Oui, mais les couleurs sont apaisantes et je préfère un bateau échoué qu’en pleine tempête, je n’ai pas le pied marin.

     

    Lui : C’est tellement apaisant que ça donne envie de dormir !

     

    Elle : Tu ne serais pas un peu de mauvaise foi ?

     

    Lui : Viens ! Partons d’ici c’est trop morose.

     

    (Ils partent)

     

     

     

     

    Examinons les contraintes textuelles liées à l’écriture d’une pièce de théâtre.

    La première est la division en actes et en scènes. Bon ! Ça, ce n’est pas bien difficile à faire.

    Pour le théâtre, l’outil américain Celtx nous donne les clefs suivantes :

    ·       Acte

    ·       Entête (scène)

    ·       Mise en scène (didascalies)

    ·       Personnage

    ·       Dialogue

    ·       (Indication)

    ·       Transition

    ·       Texte

     

    Il est à noter que l’outil Celtx fournit un certain nombre de fonctionnalités très utiles pour le metteur en scène ou le réalisateur.

    Il permet de décrire avec une grande précision les personnages, leurs caractéristiques physiques et psychologiques, leur rôle en tant qu’antagoniste, protagoniste, faire-valoir, figurant … etc …

    Il permet de gérer les accessoires et les plans de tournages avec l’emplacement de la ou des caméras et de tous les décors ainsi que les autorisations de tournage à demander aux mairies ou préfectures ….

    Il permet de gérer les plannings de tournage …

    Il construit, à partir du scénario, des rapports précieux sur les scènes successives incluant les personnages et leur charge de dialogues … et plein d’autres choses encore qui sont presque totalement inutiles à l’auteur.

    Et un exemple de script (scénario de cinéma) :

    1 INT/EXT LE PATIO ARBORÉ DE LA GALERIE DES MAURICE

    Nous sommes au mois de juillet dans le patio planté de la

    galerie "Maurice Maurice" où se déroule une exposition- vernissage.

    Le patio est vide de monde. Musique douce d’ambiance Lumière feutrée avec des spots sur les tableaux.

    Une simple table sur tréteaux avec une nappe en papier blanche supporte des petits fours fatigués, une bouteille de soda et une bouteille de mousseux de mauvaise qualité avec des gobelets en plastique Des tableaux abstraits et figuratifs sont cimaisés sur des châssis amovibles, quelques statues sur des présentoirs

     

    Un couple de visiteurs vient à passer ..

     

    LUI

    Dis donc, y’a pas grand monde !

     

    ELLE

    Y’a une ambiance à tirer au couteau

    !

     

    LUI

    Remarque .... C’est franchement pas

    terrible !

     

    ELLE

    J’aime assez celui-là ! (elle lit

    l’étiquette au bas du tableau)

    bateau échoué sur la vase dans le

    port de Honfleur avant 1990. C’est

    où Honfleur ? et ... Que s’est-il

    passé en 90 ?

     

    LUI

    C’est juste un bateau, il n’y a pas

    âme qui vive dans ce tableau ....

    Comme dans cette galerie,

    d’ailleurs !

     

    ELLE

    Oui, mais les couleurs sont

    apaisantes et je préfère un bateau

    échoué qu’en pleine tempête, je

    n’ai pas le pied marin.

     

    LUI

    C’est tellement apaisant que ça

    donne envie de dormir !

     

    ELLE

    Tu ne serais pas un peu de mauvaise

    foi ?

     

     

    LUI

    Viens ! Partons d’ici c’est trop

    morose.

     

    Ils partent

     

     

    Pour le cinéma, l’outil américain Celtx nous donne les clefs suivantes :

    ·       Entête (scène)

    ·       Action (didascalies)

    ·       Personnage

    ·       Dialogue

    ·       (Indication)

    ·       Transition

    ·       Valeur de plan

    ·       Texte

    Dans l’écriture des scripts, il n’y a ni actes ni scènes mais des entêtes qui définissent le plan de tournage et commence principalement par la définition « intérieur ou extérieur jour ou nuit ».

     

     

     

     

    Comme tout un chacun peut le constater, seule la forme diffère … l’histoire (à travers les didascalies) et les personnages sont identiques.

    Du coup, vous le sentez bien, si je propose un texte sous forme théâtre pour un film, le CNC qui finance des centaines de millions par an (véridique) et qui EXIGE le format « script » me priera poliment mais fermement d’aller voir ailleurs si j’essuie.

    À l’inverse, si je propose une pièce de théâtre au format « script » à un metteur en scène (subventionné par le ministère de la culture qui a une liste d’amis réservés), celui-ci me proposera d’aller me faire pendre ailleurs.

    Que faire ?

    Ben … en fait, je dirais que je m’en fous !

    Pourquoi ?

    Mais parce que de même que personne ne lit mes textes, personne ne s’intéresse à mes pièces ni à mes scripts … cela me rend plus indépendants et c’est pour ça que j’ai décidé d’économiser mes forces et de cesser de perdre mon temps à mettre mes textes sous des formes imposées par d’autres qui n’ont pas vraiment le souci du fonds mais plutôt celui de la forme, ce qui explique en partie la déconfiture généralisée et du théâtre et du cinéma (les films français sont tous déficitaires en recette !).

    Et puisque j’ai décidé de ne plus répondre aux dictats absurdes, autant aller jusqu’au bout du raisonnement et faire d’une pierre non pas 2 mais 3 coups. C’est pour ça que désormais, j’écris des romans-ciné-théâtre … comme ça :

    1      La galerie d’art

     

    Par ce beau mois de juillet, dehors, la chaleur est étouffante et le soleil brûle tout ce que ses rayons percutent.

    La température est plus supportable sous la charmille du patio arboré de la galerie ‘Maurice Maurice’ où se déroule une exposition - vernissage.

    L’espace ombré est vide de monde. Une douce musique d’ambiance flotte langoureusement dans l’air comme un effluve vaporeux et nuageux. La lumière feutrée donne une note suave orangée et intime. Les spots vifs projetant leurs rais clairs sur les tableaux forment des îlots de clarté rayonnante parsemée.

    Au centre du patio, une simple table sur tréteaux avec une nappe en papier blanche supporte des petits fours fatigués, une bouteille de soda et une bouteille de mousseux de mauvaise qualité avec des gobelets en plastique.

    Des tableaux abstraits et figuratifs sont cimaisés sur des châssis amovibles, quelques statues de stuc reposent nonchalants sur des présentoirs …

    Malgré l’impression apaisante des lieux, il y plane comme une menace éthérée et dramatique.

    Un couple de visiteurs vient à passer … Ils sont jeunes et branchés, ils sont entrés là par le plus grand des hasards après avoir lu la pancarte à l’entrée de la galerie exhortant les passants à venir se rafraîchir à l’abri du soleil et à se rincer l’œil avec les tableaux et sculptures. Ils sont en short et tong, très décontractés et très bronzés. Elle, blonde et lui brun ils ont des visages communs, sans particularité exceptionnelle.

    Lui : Dis donc, y’a pas grand monde !

     

    Elle : Y’a une ambiance à tirer au couteau !

     

    Lui : Remarque …. C’est franchement pas terrible !

     

    Elle : J’aime assez celui-là ! elle lit l’étiquette au bas du tableau bateau échoué sur la vase dans le port de Honfleur avant 1990.  Ça l’interpelle et la questionne, elle se tourne vers son compagnon dans l’espoir qu’il lui procure quelques renseignements … C’est où Honfleur ? et … Que s’est-il passé en 90 ?

     

    Il n’en sait rien le pauvre, comment pourrait-il savoir ? Il ne prend même pas la peine de s’excuser et s’esquive.

     

    Lui : C’est juste un bateau, il n’y a pas âme qui vive dans ce tableau …. Comme dans cette galerie, d’ailleurs !

     

    Elle : Oui, mais les couleurs sont apaisantes et je préfère un bateau échoué qu’en pleine tempête, je n’ai pas le pied marin.

     

    Lui : C’est tellement apaisant que ça donne envie de dormir !

     

    Elle : Tu ne serais pas un peu de mauvaise foi ?

     

    Lui : Viens ! Partons d’ici c’est trop morose.

     

     

    Ensuite et pour satisfaire à la notion de numérotation des dialogues des scripts pour le cinéma, je reprends les dialogue et je leur donne un ordre chronologique :

    Comme ça :

    1.     Lui : Dis donc, y’a pas grand monde !

     

    2.     Elle : Y’a une ambiance à tirer au couteau !

     

    3.     Lui : Remarque …. C’est franchement pas terrible !

     

    4.     Elle : J’aime assez celui-là ! elle lit l’étiquette au bas du tableau bateau échoué sur la vase dans le port de Honfleur avant 1990.  Ça l’interpelle et la questionne, elle se tourne vers son compagnon dans l’espoir qu’il lui procure quelques renseignements … C’est où Honfleur ? et … Que s’est-il passé en 90 ?

     

    Il n’en sait rien le pauvre, comment pourrait-il savoir ? Il ne prend même pas la peine de s’excuser et s’esquive.

     

    5.     Lui : C’est juste un bateau, il n’y a pas âme qui vive dans ce tableau …. Comme dans cette galerie, d’ailleurs !

     

    6.     Elle : Oui, mais les couleurs sont apaisantes et je préfère un bateau échoué qu’en pleine tempête, je n’ai pas le pied marin.

     

    7.     Lui : C’est tellement apaisant que ça donne envie de dormir !

     

    8.     Elle : Tu ne serais pas un peu de mauvaise foi ?

     

    9.     Lui : Viens ! Partons d’ici c’est trop morose.

     

    D’autre part, avec le jeu des couleurs de texte, je réponds à la condition qui stipule que l’on doit séparer clairement les dialogues des didascalies.

     

     

    Elle est pas belle, la vie ?

     

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    Vous attendiez tous cet évènement depuis fort longtemps ..... et moi .... alors !

     

    Mais ça y'est !!!  Tout vient à point qui sait attendre !

     

    Un raout chez les ploutocrates

     

    Métempsychose du bigorneau (receuil de nouvelles)

     

    Ludmilla (roman d aventures)

     

    Aux ailes bleues du vent (poésies chansons mirlitons)

     

    Yfig fait son cinéma (scenarii de courts et longs métrages)

     

    DVDP la Joconde (polar)

     

    et bientôt .....

     

    Apocalypse nucléaire

    et

    Psychédélies

     

     

    Bonne lecture, bon amusement !

     

     

    Lien permanent Catégories : à bas la calotte, à fond la nature, Blog, Cuisine littéraire, english is beautifull my concierge itou, Faut rigoler avant qu'le ciel nous tombe sur le ci, Feuilletons, Film, Il faut éliminer les pauvres !!!!!!!!, J'suis noble mais j'me soigne, Je vais vous raconter ma pôvre vie !!!, l'art est mort ......... vive l'art !, L'éducation n'est plus ce qu'elle était !, L'intelligence ne sert que si on en abuse, La mort n'est pas toujours drôle, la parole est donnée aux bavards et aux autres, la pêche à la grenouille, La philosophie est sous l'évier, la poésie n'est plus ce qu'elle était, la politique pour les paraplégiques sourds muets e, la télé dans tous ses états !, le canard a cinq pattes, les aventures d'Yfig Grand Reporter International 38 commentaires
  • Il y a des fois où on ferait peut être mieux d'aller se coucher .... mais ça serait dommage quand même !

     

    Hier au soir, dans l’émission de Ruquier ONPC, nous avons eu droit à un festival d’animosité dédaigneuse et méprisante de la part de Ruquier et de sa chroniqueuse socialiste Audrey Pulvar à l’encontre du sieur Poutou candidat du NPA.

     

     

     

    Le contraste entre l’entretien avec de Villepin et celui avec Poutou rendait encore plus virulente l’attitude des deux protagonistes qui s’érigent de plus en plus en moralisatrice moralisateur du PAF  (mais sans la classe de Naulleau et Eric).

    C'est normal vu leur légitimité audiovisuelle !

     

     

     

    Ruquier qui tient sa ‘légitimité’ de son audience (plus ridicule que ça …) finit par confondre les styles et les thèmes des émissions qu’il anime sur Europe1 et FR2.

     

    Hier soir, il avait endossé le costume de super chef des zumoristes à 2 balles (pour l’humour parce que pour le fric, c’est plutôt jackpot !) et s’adressait à Poutou, au début, comme à l’un de ses dadais serviles …..  « allez, fais nous rire » disait-il en filigrane.

     

    J’ai été bien amusé de voir qu’au fil des réponses de Poutou, son attitude s’est d’abord rigidifiée pour atteindre l’acmé de sa raideur jusqu’à la fin où il a tenté de se racheter en lançant une invitation à Poutou.

     

    Monsieur Laurent Ruquier, l’ami de Bénichou Bidochon, de de Kersozon le marin des marinades, de Bigard le rustre échanson des salles de gardes, des chiennes de garde (l’autre moitié de la pièce) vous savez celles qui se sont battues comme des bichons pour que les ‘mademoiselles’ disparaissent des listes de cadeaux de mariage ….

     

    Ruquier, grand ami des grands du show bizzzzzz, le hâbleur des média Mac Do nous a rejoué son grand air du petit père des peuples.

     

    « Mon père était ouvrier dans les chantiers navals du Havre, je viens du peuple, je suis le peuple et même si aujourd’hui je vis riche parmi les riches, rien ne peut effacer mon passé nébuleux de pauvre du petit peuple …..  et bla bla bla …. »  ça lui fait une autre légitimité, pas besoin de bouffer à la cantine comme Sarko !

     

    Un réquisitoire d’une tel comique qu’il se le disputait au risible.

     

    Ne narrait-il pas quelque temps avant, ses pérégrinations américaines dans une pizzéria de Chicago … Aller manger des pizzas à Chicago, ça, c’est peuple !  On va lui en trouver, nous, des légitimités !

     

     

     

    Audrey Pulvar, quant à elle, a immédiatement endossé la carapace de son compagnon et s’est jetée avec le plus grand ridicule dans une diatribe violente à l’encontre du Poutou qui s’était visiblement préparé à cette charge d’un autre temps !

     

    Elle a fait montre d’une telle arrogance mâtinée d’une incroyable superbe qu’elle s’est rapidement ridiculisée et que ses phrases sont devenues confuses et incompréhensibles.

    Natacha Polony s'est montrée plus réservée et a posé une vraie question à Poutou sur le registre des sans papiers qui a fait mouche !

     

    J’ai beaucoup, mais alors beaucoup rigolé quand la chanteuse raï dont j’ai oublié le nom s’est lancée à la suite de Pulvar dans un sketch zumoriste qui aurait dû faire mourir de rire Ruquier !!!!  (faut absolument qu'il l'embauche dans sa maison de prod.)

     

    Elle s’est jetée (oralement) sur le Poutou médusé en lui racontant que le capitalisme c’est travailler plus pour gagner plus et que si elle a de l’argent elle ne l’a pas volé !!!

     

    Poutou, lui, je ne sais pas comment il a réussi à conserver son calme !!!!!!

     

    Poutou, donc, lui a calmement répondu que les capitalistes ce ne sont pas les petites gens de son espèce qui sont venues en France gagner leur vie à la sueur de …   mais les multinationales du CAC40 qui épuisent le peuple en le pressurant sans ménagement, les Bolloré, Vivendi, Total, Areva et caetera ….

     

     

     

    Voilà !

     

    Vous je sais pas, mais moi, si j’étais à la place de Ruquier, je demanderais à ce que ce genre de prestation contreproductive ne soit pas diffusée …..  à force de mièvrerie et de ridicule il finira pas y perdre sa chemise (déjà qu’il y a perdu son âme !)

     

    S'il savait ce qu'il lui dit le peuple .......


     

     

     

  • Mes lecteurs sont ils assez grands pour juger par eux mêmes ?

    Moi, je pense que oui, c'est pour cela que je vous propose de prendre connaissance du message que jai reçu sur ma boîte postale.

    A chacun de se faire son opinion.

     

     

     

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    reçu le 5 juillet 2011

     

    J'ai parcouru tous les liens proposé afin de vérifier qu'il ne s'agissait pas de pièges à cons.

     

       Le gouvernement Sarkozy veut censurer internet par un décret qui pourrait bloquer des sites et pages de recherche que nous utilisons tous les jours. Mais un tollé national peut stopper cet assaut contre la liberté d'expression.

           Ce nouveau décret permettrait aux ministres de retirer tout contenu internet menaçant selon eux "l'ordre public", sans passer par un juge. C'est pourquoi le Conseil National du Numérique a condamné cette mesure comme étant inconstitutionnelle, et les experts internationaux sont en état d'alerte.

           Le décret pourrait être adopté dans les prochains jours.

    Cliquez dès maintenant pour signer la pétition urgente et faites suivre ce message à tous

            PETITION FRANCE SAUVONS INTERNET 

           Dans le droit français, les contenus dit "manifestement illicites" comme la pédopornographie peuvent être retirés sans contrôle judiciaire. Le nouveau décret donnerait à quelques ministres des pouvoirs excessifs de censure arbitraire sur n'importe quel contenu en ligne. Il obligerait les hébergeurs et les fournisseurs d'accès internet à retirer ou filtrer tout contenu qualifié notamment d'"atteinte à l'ordre public et à la protection des personnes", une définition très large menaçant la liberté d'expression.

           L'ONU estime que les mesures de filtrage sont excessives et inefficaces et vient de condamner les lois françaises sur l'internet. Et Reporters Sans Frontières a placé la France dans la liste des "pays sous surveillance" qui recense les violations de la liberté d'expression autour du monde. Enfin le Conseil National du Numérique a indiqué que le blocage de sites violait la liberté d'expression protégée par la Constitution française et ignorait l'intérêt du public.

           Dans le monde entier, des gouvernements tentent de censurer l’internet, outil vital pour les soulèvements arabes pro-démocratie et permettant d’exposer au grand jour les abus de pouvoir et la corruption dans tous les pays de la planète. Cependant, de Italie à la Syrie et de l'Inde à la Turquie, les membres d’Avaaz se mobilisent pour défendre cet espace crucial de liberté et de communication mondiale. Rejoignons-les et protégeons l'internet en France.

         Avec espoir et détermination, 

         l'équipe d'Avaaz

        POUR PLUS D'INFORMATIONS cliquez sur les liens suivants : 

    Levée de boucliers contre un projet gouvernemental pour filtrer internet, AFP

    Décret LCEN fustigé : le gouvernement suivra-t-il l'avis du CNN, Numérama

    La France, “pays sous surveillance” selon Reporters sans Frontières 

    L'ONU fustige la France et son Hadopi, Maxisciences

    Nouveau rapport parlementaire dénonçant les mesures de blocage d’internet, OWNI


    Le filtrage d'Internet, une mesure contestée en Europe, Le Figaro 

    eG8, le coup de com' numérique de Nicolas Sarkozy, NouvelObs


    Communiqué du Conseil National du Numérique présentant son avis négatif


     

    Nous ne sommes pas à l’origine de ce message que nous soutenons entièrement. Nous vous demandons de le relayer à votre tour. Merci.

     

    Paul de Maisonneuve.

     

    Internet libre = www.internet-libre.fr

     

  • Toutes les chaînes de télé sont d'accord ... ainsi que les ami(e)s politiques de DSK ....

    Beaucoup, beaucoup, beaucoup de compassion pour cet homme mal rasé, affamé, abattu, démis, terrassé, présumé innocent, victime d'une horrible machination, encadré et menotté par la police new-yorkaise ......  j'en ai des larmes ininterrompues sur les joues qui dégoulinent jusqu'à mes pieds ..... faisant des mares dans lesquelles s'ébattent, très tristes, les tétards ....

     

    Par contre, pas un mot, pas le moindre petit mot, pas la moindre compassion, pas le début d'un regret ni de la plus petite pensée pour ma femme de ménage !

     

    Bien fait pour elle, elle n'avait qu'à rester auprès de moi au lieu d'aller faire des heures sup à NY pour gagner plus .....  à suivre les conseils de Sarko ....  on finit seule dans un minable hôtel de passes (même s'il y a le gaz à tous les étages !!!!!) 

     

    PS : pour le moment, nous avons échappé (mais restons prudents) aux remarques sur la différence de qualité entre le directeur du FMI et cette piètre petite femme de ménage qui ne sert à rien pour sauver la Grèce !!!!!!

    Je fais confiance aux politiques ..... ils ne manquent pas d'idées  pour défendre l'indéfendable ..... ils nous en donnent des preuves à chaque instant !

     

    N'ont accès à la parole que les bonnes âmes favorables à DSK .... si ça c'est pas 'LE' complot, je veux bien qu'on les coupe à iPidi !!!!!

  • Et maintenant que les USA abandonnent les rebelles Libyens ..... Sarkozy, il a bonne mine .... et nous, les français, on passe pour quoi ?????

    Eh oui ....  maintenant que les USA abandonnent les rebelles Libyens ..... Sarkozy, il a bonne mine ....  et nous, les français, on passe pour quoi ?????
    Allons-nous devoir passer des années à essuyer et réparer toutes les erreurs inimaginables du gouvernement Sarko ?
    Les dégâts en Tunisie, en Egypte, en Libye et maintenant avec le nucléaire .... il a déclaré : "il est hors de question de revenir sur le nucléaire ! "
    et aujourd'hui, Fillon annonce au parlement un super contrôle de toutes les centrales ....
    un journaliste a posé la question : "mais ....  elles n'étaient pas contrôlées?"
    Réponse d'un responsable d'Areva : si si, bien sûr, mais on veut rassurer les français .....

    Fatche !!! moi ça me rassure pas du tout, j'ai commencé à stocker des fèves, des moutons, du couscous et de la harissa !!!!
    Et je creuse dans la cave de mon immeuble pendant que la concierge se fait le facteur .....

     


     

     

  • Votre Yfig serait-il un médium .... mieux ..... un prophète ????

    Voici mon article du 21 février 2010 ....

     

    Lisez-le, je vous assure, il vaut son pesant de moutarde .....  surtout qu'il n'a pas reçu le moindre petit mini commentaire !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

     

    Je suis un visionnaire ?

    Non !

    J'ai juste .... un peu d'expérience ..... que voulez-vous ! ?

     

    C'est là :   la guerre est pour 2012

  • On a beau être la Saint Valentin .... il y a amour et amour !

    Dimanche 13 février 2011.

    Nous rentrons d’une manifestation qui s’est déroulée au théâtre du casino de Deauville dont le sujet était : « l’amour » .

    Retenez bien le thème, vous comprendrez mieux notre désarroi !

    Oui, je sais, je ferais mieux d’éviter les lieux cuculs ….  Mais nous avons été accueillis par ma collègue Aurélie qui nous a placés dans une baignoire (je venais de prendre ma douche, mais elle n’a rien voulu savoir …).

     

    Oh ! la vache, ce spectacle !!!

    En vedette américaine, nous avons eu droit à C. Lelouche qui nous a fait son numéro « dernier amour » … mais lui, au moins, il a condensé son verbiage inutile.

    Ensuite, on nous a imposé Pierre Bergé qui nous a lu pendant trois longs quart d’heure l’oraison qu’il a  écrite pour son amant mort d’un cancer. C’était long ……  mal écrit … mal lu …. CHIANT ! …  mais chiant …. Avec ses histoires de Maroc, de Normandie, de maison ici, de Datcha là-bas …. Et le génie d’Yves Saint Laurent ….. bien méconnu ce génie, bien obscure, bien chiffonnier …  Cette fausse blonde dont était enamouré  P. Bergé, se réfugiait du monde cruel et brutal dans des chiffons de couleurs qu’il assemblait avec une aiguille et du fil …. Vraiment pas de quoi en faire un conte des milles et une ridicules .

    Et puis ce déballage, cet étalage indigne et vulgaire …. Ça rime à quoi ?

    Ne peut-il garder pour soi ses émois ?

    A-t-il besoin, absolument de partager avec nous, pauvres innocents, ses frasques sexuelles, ses déviances ineptes (si j'ai bien compris son propos, il faisait venir des gonzesses pour participer à leurs panpans !) et ses dépenses somptuaires pour sa cocotte imbécile pour laquelle il lâchait des millions pour se constituer des collections aussi vaines que futiles  ?????

     D’autant que ce petit pédé est mort d’une maladie platement ordinaire, un cancer, comme tout l’monde !

    J’espère que ma mort, au moins, sera plus spectaculaire !

    Après ce torrent de sentiments guimauves et vinasses, deux zigotos (une dame et un monsieur qui n’ont pas dit leurs noms) sont venus lire les derniers échanges entre Piaf et Cerdan …. C’était nul à chier, plus nul encore que Bergé … d’autant que ces  fallacieux lecteurs avaient pris soin de corriger les fautes de Marcel, ce qui fait qu’on ne reconnaissait plus son style boxeur écrivant avec ses gants …

    Là, mon épouse m’a dit : « et si on s’en allait ?»

    Je lui ai répondu spontanément : « Je pense qu’on a essuyé le pire … voyons la suite … »

    Une dame très moche et très mal habillée est alors arrivée avec un petit missel dans une main, un document broché dans l’autre et quelques feuilles disposées sur un lutrin.

    Là, je me suis dit : « putain ! si cette conne ne me fait pas rire dans les 30 secondes, on se tirent ! »

    Elle nous a lu une lettre de 1671 de Beaumarchais (un marchand de boudin qui faisait les marchés de son temps …) …. Je commençais à remuer sur mon siège …. Mais quand elle a annoncé une lettre de Verlaine à Rimbaud …….  Trop, c’est trop …..

    J’ai hurlé :  «Rendez-nous  Roumanoff, Roumanoff …  l’amour c’est pas la nécrophagie, l’amour c’est la joie et le bonheur, c’est le partage, les  extrasystoles, l’adrénaline, les tissus conjonctifs mouillés, les bouches sèches, puis trop humides, les yeux hors bite … orbites …. Dehors, quoi !!! et tout ça tout ça …. Mais pas ces trucs ampoulés et ratatinés !»

    Et nous nous sommes pris la main pour rentrer dans nos chers pénates !

     

     

  • Joyeux noël monsieur le président, madame Carla, les SDF vous aiment !

     

    un SDF ça va ...................  c'est quand y'en a trop que ça va plus !!!!!