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Cuisine littéraire - Page 10

  • Corsaire ou pirate, il faut choisir son bord !

     

     

     

    Hier, je suis allé à la bibliothèque, j'ai été très bien accueilli, j'ai pris ma carte et j'ai consulté le journal de Doublet, mais c'était celui écrit par Bréard ..

     

    J'avais pris rendez-vous pour consulter sur place un incunable : l'authentique journal du corsaire Jean Doublet ...

    Le bibliothécaire  semble ne s'être fié qu'à la page de garde et l'avait enregistré comme étant l'original et, en conséquence, ils le tiennent sauvagement en réserve ....  en fait, l'original doit, je crois, se trouver à Rouen et c'est un grand parchemin manuscrit, très lisible,  que Bréard a patiemment recopié ......  mais les recopies, n'est-ce pas ...... 

     

    C'est drôle, les gens font passer leurs fantasmes avant la réalité. Et puis, ils ne prennent pas le temps de consulter, ils décident en fonction de leurs désirs sans se soucier de la réalité ni des autres !!! 

    Moi, je suis allé à la bibli sans a priori, j'ai ouvert le bouquin et j'ai lu, tout simplement.  Et c'est loin d'être un incunable, le livre est en vente sur internet à des tas d'exemplaires et dans deux éditions. 

     

    Bon, dire que le récit est palpitant serait malhonnête de ma part. C'est absolument pas littéraire, il ne s'embarrasse pas de transition ni même de descriptions - ni mobilier, ni étoffes, ni personnages ... rien  .....  et c'est fort dommage car il est invité chez des nobles, à des fêtes et il visite Londres, et Amsterdam ......  etc ...... 

     

    Mais c'est vrai qu'on trouve quand même  beaucoup d'informations pour qui fait l'effort de lire ce truc un peu revêche. 

     

    J'ai, trouvé sur internet, les travaux d'une historienne qui démontre que le journal de Doublet est faux dans les dates. Ben, sans cela, juste en lisant, on voit bien qu'il y a des allers retours dans le temps .....  le pauvre a dû écrire ça à la fin de sa vie et se mélange un peu les pinceaux. Même sa date de naissance paraît incohérente .... 

    Il ne s'était pas caché dans un panier, ni dans une barque, mais dans la "baraque" d'un membre de l'équipage qui s'est allongé sur lui au moment de sa relève ......  Ils faisaient des baraques sur les bateaux, espèce de lits cages si on veut !  On ne voit pas ça dans les reconstitutions .....  plus tard, Doublet a eu le privilège d'avoir une baraque dans la chambre du capitaine d'un navire .....  Je crois que ce sont ces petits détails qui sont intéressants, qui en disent long sur la vie à bord. Et puis jusqu'à cette lecture, je n'avais jamais entendu parler de ces baraques de bord !

     

    Avec son père, il pêche la morue aux îles Madeleine (du prénom de sa mère) et les bébés phoques qu'ils tuent à l'aide d'un bâton armé d'un couteau (1630 environ)

     

     

    Plus loin, il raconte qu'il se tient à l'écart de tous car, récupéré après un naufrage,  il a été mis avec les matelots alors qu'il était "géographe" (en fait, grâce à son éducation et vraisemblablement à son intelligence, il fut un excellent navigateur, c’est attesté par des lettres d’autres capitaines qui parlent de lui en termes élogieux.) .... alors il boude parce qu'il ne fait pas partie de cette fange !!!!

     

    C'est vrai que sa mère lui a fait étudier le latin ! Mais il semble avoir du mal, au début de sa vie, en tout cas, avec l'anglais ..... il parle français avec eux .....  vous en connaissez, vous, des anglais qui baragouinent le frenchy ?

     

    Bon, j'ai emprunté un autre livre qui serait, d'après l'intro, les récits de Doublet mais dans une langue plus proche de la notre. Moi, je n'ai pas ressenti d'efforts à lire la langue de Doublet, à côté du Villon de 1549, c'est du petit lait ! 

     

     

    "Le  Honfleurais aux sept naufrages"  Noêl Lecouture chez l'Harmattan

     

  • NON Tartarin n'est pas mort, je l'ai rencontré sur internet sous le pseudonyme de Brighelli !!!!!

     

    21 septembre 2010

    Note de lecture Jean Guerreschi

    Par Jean-Paul Brighelli

    Son blog : les ânes sans culotte mais avec bonnet : http://bonnetdane.midiblogs.com/  

     

     

     

     

    Quand notre héros, JP Brighelli se lance à corps perdu dans le genre littéraire, voilà ce que cela donne :

     

    « Le genre de situation présumée scabreuse dont on sait pertinemment qu’elles arrivent tous les jours, mais dont il est paraît-il décent de ne rien dire, sinon en faisant les gros yeux —« 

     

    « En pleine épidémie de jeunisme, quand la télévision confronte à fil d’antenne des imbéciles immatures, immaculés et bronzés, dans de quelconques îles de la tentation, le corps à corps heureux d’un épiderme qui a beaucoup vécu et d’une peau de pêche »

     

    « … une émission de Jean-Luc Delarue, quand il sera revenu du purgatoire auquel la même hypocrisie le condamne aujourd’hui. Parce qu’enfin, si l’on suspendait d’antenne — ou de politique, ou… — tous les camés plus ou moins notoires, on en reviendrait à l’âge de pierre —« 

     

    Comme on peut le voir, c’est dans un style chatoyant et imagé que notre bon professeur écrit de sa plus belle rémige des phrases ampoulées, lourdes et se voulant caustiques quand elles s’enlisent dans la vulgarité télévisuelle. A trop se regarder dans le poste, notre bon vieux professeur fini par confondre le style Delarue avec la rue du style !

     

    On nage en pleine littérature de télévision, avec le verbiage insensé des péroreurs de tout bords qui passent dans des interviews mollassons  sur nos chaînes dites publiques et qui n’ont de service que le nom.

     

    Alors, nous avons droit à :

     

             -   Aux situations ‘scabreuses’ ! mais quotidiennes et rémanentes !

    Ben oui, vous ne le saviez pas, mais c’est une vérité que les vieux se tapent des jeunettes au petit déjeuner, au dîner et même au souper !

    Les vieux, voyez-vous, ont un appétit de chair fraîche que vous ne pouvez imaginer. Que vous soyez à la campagne, au bord de l’eau, en haut de votre montagne et même dans la ville lumière, tous les jours, à chaque instant, dans tous les milieux sociaux culturels, des vieux tripatouillent de jeunes écervelées qui se laissent pénétrer sans la moindre réticence ….  AH ! ça vous en bouche un coin, non ?

     

    -         Puis à l’épidémie de jeunisme …. Entendez par là que les vieux ne font que subir car ce sont les petites mousmés excitées qui aguichent les vieux croûtons pour mieux (c’est en filigrane ….  langue que je parle couramment) les vider de leur substantifique moelle (celle qui gonfle leurs larfeuilles !)

     

    -         Nous passerons rapidement sur ces jeunes gens hâlés et musclés qui désespèrent le  bedonnant pépère qui ne supporte pas qu’on le mette face à sa propre image graisseuse !

     

    -         Jean-Luc Delarue, le camé de service pointe alors le bout de son nez rouge pour appuyer les dires du professeur en goguette !  Car, voyez-vous, et c’est un grand professeur qui vous le dit, tous les intervenants de la télé et plus si affinités sont de redoutables camés qu’il ne faut pas virer si on veut conserver ses petites et grandes entrées dans la maison. Imaginez que l’on change les adresses de JPB, que deviendrait-il sans plus aucun passage télévisuel ….  D’ailleurs, par déduction purement logique, s’il passe à la télé des camés, c’est qu’il doit en faire partie, non ?

     

     

    Puis, notre héros s’essaie au genre ‘critique littéraire’ ……

    « Mauvais titre. Bien sûr, Héloïse et Abélard. Mais le bandeau rouge apposé par Gallimard dit bien mieux les choses : « Eloge de la foudre » ! C’est cela, le vrai titre. »

     

    Voilà, préparez-vous à lire un livre avec un bandeau rouge pour vous expliquer de quoi il retourne, mais dont le titre est raté …..  la prochaine fois, l’auteur serait avisé de prendre le conseil du professeur La Bavure !!

     

    A suivre …..

    Ecrit par : Yfig défend la liberté de déconner ! | 22 septembre

     

     

     

     

     

     

     

     

    Suite ….

     

    Yfig, vous êtes quand même très con, à essayer d'exister ici alors que vous n'êtes pas grand chose ailleurs.
    Les commentaires sur ma pomme m'en touchent une sans faire bouger l'autre (c'est du style "prof de français", vous nous pouvez pas comprendre), mais dorénavant, à la première incartade racisto-fascisto-merdeuse, je vous vire - vous et ceux qui vous encensent en entrechoquant leurs testicules.
    JPB

    Ecrit par : brighelli | 22 septembre 2010



    OOOOOHHHHHH !!!!! chocking !!!!!!

    Savez-vous bien, cher professor qu'on accuse toujours son chien de la rage lorsqu'on lui souhaite la mort ! ?

    Que vous arrive-t-il ?

    Qu'est-ce qui vous a touché dans mes propos, serait-ce l'intelligence de voir que vous écrivez n'importe quoi et que vous n'avez pas l'habitude de la contradiction .... vous ne connaissez que louanges et flagorneries, alors lorsqu'un inexistant de mon espèce vous chatouille l'une, voilà l'autre qui bringuebale de façon désordonnée et aléatoire vous donnant des boutons sur les fesses (voyez comme je suis politiquement correct, je n'ai pas parlé de votre cul !)

    Oui, mon bon maître, ridiculisez-vous bien aux yeux de vos bienveillants thuriféraires, sabrez-moi, depuis le temps que vous en désespérez .... allons, un peu de courage, pour une fois, faites enfin preuve d'autorité, vengez-vous de tous les tourments que vos têtes blondes vous font endurer .....

    Je sais, j'ai eu le malheur de toucher ma cible en rappelant que sans votre piston qui vous fît passer à la téloche, vous seriez ENCORE moins que moi !

    Eh puis, quelle audace de me rabaisser .... laissez-moi le privilège de le faire moi-même, en continuant de vous écrire vos vérités, ça vous élève, alors que la censure n'a jamais rendu personne vraiment sympathique .... sauf à démontrer les propos que vous m'imputez !!!

    Bon, je crois inutile de continuer à décortiquer votre article sur les vieux et les jeunes ..... le bouquin de la rentrée qui vous a touché les deux en même temps, ce qui, évidemment vous apporte une joyeuse sérénité !!!!

    Bien l'bonjour, monsieur le prédicateur .... je ne viens pas souvent, en fait, j'ai trop de mal à suivre vos débats intellectuels, moi, le néant !
    Et vous ...... le pédant.

    Ecrit par : Yfig défend la liberté de déconner ! | 22 septembre 2010

     

    PS : j’en ai profité pour corriger mes fautes ……..  je ne suis pas prof de français, moi !

  • Les cadavres de la littérature ne sont pas tous morts de mort naturelle ….. Johnny Halliday joue à touche pipi avec Laetitia Castra dans les faubourgs de Fatouville Grestaing !

     

    Le Stalker regarde trop la téloche, le voilà qui nous fait un pâle remake de ‘bones’, mais sans retrouver l’assassin !

     

    triptyque d’Alexandre Mathis, par Francis Moury

     

    http://stalker.hautetfort.com/archive/2009/12/12/surrealisme-et-realisme-chez-alexandre-mathis.html#more

     

    on retrouve ‘sa papatte’ :

     

    « On retombera, de toute manière, toujours sur son noyau central qui est aussi bien l’analyse par Freud des criminels par sentiment de culpabilité, dont un extrait est cité en exergue, parmi d’autres textes très brillants (écrits par des penseurs et des écrivains aussi divers que le psychologue Pierre Janet, le surréaliste André Breton, le philosophe Nietzsche) qui éclairent chacun d’une étrange lueur les enquêtes et les histoires »

     

    Une phrase qui ne signifie rien, argumentée par des noms prestigieux ….. donc …. Indiscutables !!!

     

    La recette n’est qu’une ficelle de gros drap …..  élimé à la corde !

     

    « La lettre reçue par Céline après la parution de L’École des cadavres et l’article admirable intitulé Louis-Ferdinand Céline ou le Démon de la Pureté écrit par Marcel Sauvage, paru dans L’Intransigeant du 23 décembre 1938 aussi  …»

     

    A la fin, on ne sait plus où on en est ......  et c'est exactement le but recherché ..... donner l'impression de culture sans la culture !

    Etc ……

    C’est d’un chiant !!!

  • Coup de projecteur sur l’invisible homme sans réseau !


    http://lhommesansreseaux.hautetfort.com/



    Il est de nulle part, il en vient et y retourne, rien ne l’attache, il est vêtu de téfal !

    N’essayez pas de lui écrire, il ne mange pas de ce vin là !

    N’essayez pas de le corrompre ……. Il a changé d’adresse ….. et de visage … avant même que le téléphone sonne !!!!



    http://lhommesansreseaux.hautetfort.com/



    Lisez-le, sans a priori, sans retenue, sans comprendre …. On comprend, mais on n’en dira rien !
    Et quand on ne comprend pas, on ne dit rien non plus, de peur de le froisser …… car le froisser, c’est en faire un croissant ………………….. de lune !!!



    http://lhommesansreseaux.hautetfort.com/



    A

    consommer

    sans

    modération !!!!!!



    http://lhommesansreseaux.hautetfort.com/

  • Apologie de la connerie – STALKER dans le texte ! Fadela Amara montre son petit doigt sur France Inter.

     

    Il l’est là le stalker à sa mémère :

    http://stalker.hautetfort.com/

    Lire le Stalker est un exercice particulièrement ardu tans sa prose est empreinte de phrases sans intérêt, à moins que ce ne soient les sujets par lui choisis ….. même « la chute de la maison Usher », entre ses plumes, ça devient chiant ! Edgard Alan Poe doit se branler dans sa tombe !

    Je n’exagère rien, lisez vous-même :

    « Mais cette manifestation du divin, cette hiérophanie, est refusée au personnage principal : incroyance de Poe sans doute, ou son excessif pessimisme, pensera-t-on faussement. Plus profondément, inscription dans le texte de la mort de Dieu clamée par Nietzsche et d'autres. Plus encore, car, si le texte est étranger à une quelconque perspective théologique top évidemment analysable – et donc, plus que suspecte –, s'il ne se soucie d'inscrire dans sa trame narrative, comme une faille dans la chair du texte, cette mort du divin qu'il a peut-être acceptée comme une évidence non récusable, remarquons toutefois que se produit ici un très remarquable retournement : la place laissée vide par l'absence de Dieu va être immédiatement occupée par l'instance diabolique de l'inversion. Ainsi, de la mort, obsédante présence dans notre texte, magnifiée par l'œuvre picturale d'Usher, qui représente un caveau lumineux et immense, vision sereine d'un au-delà de complaisance, bien vite infirmée par la réalité hideuse du lieu où l'on enterre lady Madeline, bien vite récusée par l'intrusion, dans le réel, et malgré les verrous imposants du caveau, de cette jeune fille pourtant déclarée morte, vaincue peut-être par l'horreur absolument neuve du royaume entrevu. »

    Hein ! ? faut l’faire !!!!!

    C’est donc avec des pincettes que je suis allé essayer de trouver un truc acceptable, pas trop … ni trop …..

    Bon, j’ai fini par trouver un truc d’actualité pour lequel tout le monde peut se sentir concerné et avoir son propre avis ce qui permet de mesurer son opinion personnelle à celle du désaxé (stalker en Anglais)

    Sous le titre :

    Le bal des dégueulasses

    http://stalker.hautetfort.com/archive/2009/10/03/le-bal-des-degueulasses.html#more

    pépère pervers nous entretient des perversités de nos grands hommes qui ont bien le droit de s’amuser un peu, non ?

    D’ailleurs, Bernanos s’en mêle (comme d’hab. – je ne me souviens pas avoir lu un article de pépé sans que Bernanos ne soit impliqué dans le schmilblick !)

    « Georges Bernanos s'en fichait, [….] Il avait parfaitement compris que la pire des scélératesses est celle qui, pour s'accomplir, revêt non point les habits de lumière du bien mais déambule discrètement sur la voie médiane de la banalité quotidienne, […] »

    Et de trouver à Polanski toutes les excuses les plus insipides !

    Et de s’introspecter avec conviction :

    « Qu'aurais-je fait, à la place de Roman Polanski, dans les mêmes conditions ? »

    Et, comme Bernanos reste sourd-muet à ses transes,, de parler avec le bondieu lui-même :
    « Dieu, je n'en sais rien ! »

    Le suspens est à son acmé !

    Puis il se reprend …. Faudrait pas qu’on l’accuse de complaisance pédophile !

    « Je sais seulement une chose : pour un homme, profiter d'une femme, surtout lorsqu'il s'agit d'une gamine, non seulement volontairement alcoolisée mais droguée, c'est de fait abandonner tout plaisir d'être un homme, de conquérir une femme.
    C'est tomber de son rang. C'est ne plus savoir se contenir, ni même désirer le faire. »

    Courageux mais pas téméraire le petit à sa môman !

    Moi, je me demande encore pourquoi il a jugé bon de faire cette circonvolution ?

    Dire qu’il n’en sait rien pour dire qu’il sait très bien ?

    Est-ce une figure de rhétorique, quelque ‘alambication’ littéraire, un oxymore, une foutaise ???

    Non, non, rien de tout ça, c’est juste du ‘stalkérisme’, comme avant un axel on recule pour mieux le sauter !

    Il conclue son billet en apothéose :

    « Alors, que tous ces cochons grassement nourris finissent la tête plantée sur une pique, ils ne méritent qu'un silence méprisant plutôt que ces dizaines de milliers de lignes écrites à leur sujet, brouhaha qui nous détourne de tant d'êtres et de choses. »

    Il pense à lui, ça se sent, quand il parle des êtres dont le brouhaha médiatique nous détourne !

    Ne manquez pas non plus sa citation du jour :

    «Dénoncée chez l'autre ou énoncée pour soi-même, l'homosexualité prend toujours le public à témoin de l'intime et du sexuel par une sorte d'exhibition de la honte.»
    Michel Schneider, Big Mother (Odile Jacob, 2005), p. 205.

    Je crois qu’on va avoir droit à une bonne émission de Patrick Sébastien, bientôt …. Ça fera passer le Stalker comme le calva fait passer les plats !

  • Amis de la poésie, prenez votre pied ! Mickael Jackson vous voit depuis son cercueil et Rachida à poile sous la lune et les étoiles

     

    Piqué chez le pire Tudors de tous les tant !!!

     

     

    Original

    Version Yfig

    Triste songe de gondolier ivre de soi-même ...

    Joyeux drille en pleine joyeusetés

     

    Mystiques barcarolles,

    Romances sans paroles,

    Chère, puisque tes yeux,

    Couleur des cieux,

     

     

    Puisque ta voix, étrange

    Vision qui dérange

    Et trouble l'horizon

    De ma raison,

     

     

    Puisque l'arôme insigne

    De la pâleur de cygne,

    Et puisque la candeur

    De ton odeur,

     

     

    Ah ! puisque tout ton être,

    Musique qui pénètre,

    Nimbes d'anges défunts,

    Tons et parfums,

     

     

    A, sur d'almes cadences

    En ces correspondances

    Induit mon coeur subtil,

    Ainsi soit-il !

     

    Clinique des scaroles
    Bombances agricoles
    Et fière dans mon pieu
    suce mon pieu

     

     

     

    Voici quelques oranges
    Ton haleine dérange
    Mon éjaculation

    Complication

     

     

    Tes pieds puent c’est un signe
    Tu n’es pas digne d’un cygne
    Et puisque ton odeur
    Est grand malheur

     

     

    Ô mon foutre te mettre
    les flagelles pénètrent
    Toi tu cambres les reins
    Et puis tu geins

     

     

     


    Sur les algues fragrances
    Ton petit cul balance
    Lâche un parfum méthyle
    Amen soit-il

     

     

     

     

     

    Je ne cherche pas à vous influencer, mais avouez que le mien c’est autre chose que le stupide mirliton sans queue ni tête  d’iPidi poète à roulettes !

     

    Sous vos applaudissements

    Merci !

  • L'humilité n'est-elle pas la plus grande des vertu ? et Bernadette Chirac à poil sous la douche (moi aussi j'en veux ... du nougat !)

     

    Quand notre ami iPidi sort ses grandes antennes ….. il comprend de grandes vérités ….. la preuve :

    « La BNF capitule et fait appel à Google pour numériser son fonds ; on connaît mon profond mépris pour ces fonctionnaires qui m'ont refusé il y a de cela une dizaine d'années une carte de lecteur. Non seulement ils se révèlent incapables de faire fonctionner correctement leurs installations propres mais encore l'informatique les dépasse et le moteur de recherche qu'ils ont installé pour Gallica est si médiocre qu'il est presque impossible d'y rechercher une information précise. Il vaut mieux dans ces conditions qu'ils recourent à Google pour accélérer la mise en ligne de leurs collections. En comparaison des institutions comme la BNF ou encore pire les Archives nationales (les ANF) qui se révèlent malgré leurs budgets considérables insuffisantes pour rendre le service qu'on attend d'elles, les archives départementales font des merveilles, du moins certaines d'entre elles quand elles sont stimulées par des hommes politiques intelligents.
    L'administration centrale française est une vaste sinécure où des gens qui se croient au-dessus de leurs fonctions cultivent leurs aigreurs en refusant systématiquement de rendre le moindre compte au public. »

  • Je donne ma langue à ma main ! Et la comtesse montre ses fesses !

     

     

    « La langue est le dernier domaine où la main de l'homme peut s'attarder à loisir pour lui donner tout le relief que l'on veut, pourquoi s'en priver et laisser ce dernier soin à quelques confectionneurs du prêt-à-penser, prêt-à-parler ? »

    On m’accuse parfois de faire des phrases alambiquées et incongrues, mais je suis battu, iPidi est mon maître et je n’envisage pas de lui intenter un quelconque procès en reconnaissance de paternité vu que mon ADN est et doit rester secrète !

    Cornegidouille et têtes de pain d’sucre, j’veux bien qu’on m’les coupe (les cheveux que j’ai déjà trop longs) si quelqu’un arrive à m’expliquer la métaphore de la main qui s’attarde sur la langue pour lui donner du relief !!!!!

    Beurk !

    Quiconque oserait toucher un seul poil de ma langue se verrait illico presto jeté au cachot !

    On ne me paluche pas la langue sans en payer les conséquences.

    Imaginez-vous qu’on puisse me pétrir la langue sans que je me rebiffe ?

    Je fais ce que je veux de ma langue, je l’introduis où bon me plaît et je ne laisserai personne y contrevenir.

    Ma langue est à moi et elle ne se bat en duel qu’avec celle de mon épouse qui l’a bien pendue quand il s’agit de profiter des loisirs !

    J’avoue, j’aime à cuisiner la langue de bœuf, mais je ne la pétris pas ….. je la pèle, tout au plus !

    Je me suis laissé dire que Sarko aurait une langue de bois …. Je me demande si Carla la passe au cirage comme on le fait à la biroute du carabin ?

    Bref !

    A chacun sa langue et les lèvres seront bien scellées.

    Et pour conclure, je cède la parole à notre ami François Villon

    Ballade (des langues ennuyeuses)

    En rïagar, en alcenic rochier,
    En orpiment, en salpestre et chaulx vive,
    En plomb boullant pour mieulx les esmorcher,
    En suye et poix destrempee de lessive
    Faicte d'estrons et de pissat de Juisve,
    En lavailles de jambes a meseaux,
    En raclure de piez et vieulx houzeaux,
    En sang d'aspic et drocques venimeuses,
    En fïel de loups, de regnars et blereaux,
    Soient frictes ces langues ennuyeuses !

    En servelle de chat qui hait peschier,
    Noir et si viel qu'il n'ait dent en gencyve,
    D'un viel matin, qui vault bien aussi chier,
    Tout enragié, en sa bave et sallive,
    En l'escume d'une mulle poussive,
    Detrenchée menue a bons cyseaulx,
    En eaue ou ratz plungent groins et museaux,
    Regnes, crappaulx et bestes dangereuses,
    Serpens, laissars et telz nobles oiseaux,
    Soient frictes ces langues ennuyeuses !

    En sublimé, dangereux a toucher
    Et ou nombril d'une couleuvre vive,
    En sang c'on voit es poillectes sechier
    Sur ces babriers, quant plaine lune arrive,
    Dont l'un est noir, l'autre plus vert que cyve,
    En chancre et fix et en ces ors cuveaulx
    Ou nourrisses essangent leurs drappeaux,
    En petits baings de fïlles amoureuses
    - Qui ne m'entant n'ay suivy les bordeaux -
    Soient frictes ces langues ennuyeuses !

    Prince, passez tous ces frians morceaux,
    S'estamine, sacz n'avez ne bluteaux,
    Parmy le fons d'unes brayes breneuses,
    Mais paravant en estronc de pourceaux
    Soient frictes ces langues ennuyeuses !

  • L’art et la manière – Loana à poil dans la piscine – et iPidi sur le bord de la route qui mène de Charybde en Scylla !

     

    Lorsque vous accostez le site de Pierre Driout intitulé :

    «Belles du Livre : arts, littérature, histoire et sciences » (rien que ça !)

    ( http://driout.club.fr/livres.html )

     

    Vous pouvez y lire :

     

    « Ce site est sous les auspices de Mallarmé qui pensait que le Monde est fait pour aboutir à un Livre et voulait lui vouer sa vie et invoquant Racine aurait pu dire:
    "Dans ce désert de pages,quel devint mon ennui!"




    Paiement par chèque (compensable sur une banque à Paris),virement bancaire,mandat-poste international ou en espèces (cash).Nota bene:les frais de port sont en sus.
    »

     

     

    Vous notez à quel point on passe du divin au factuel bassement matériel ! ?

     

    C’est tout iPidi, ce style oscillatoire …. Un coup à gauche, un coup devant et « si t’avances quand je recule … comment veux-tu ….» !

    Bref, je me demande si j’ai vraiment bien fait de confier à ce littéraire vénale le soin de rédiger mon hagiographie …. ?

     

    Je m’attends au meilleur comme au pire !

     

    Il est foutu de m’encenser pour mieux me calomnier !

     

    Bon ! on verra ….. et puis je n’ai pas trop le choix, il n’y a plus que lui qui sait encore un peu écrire ….. tous les autres sont dans le coma à l’académie des décérébrés !

     

     

  • Vendredi, le jour de poisson .... d'Allah .... et des nues

     

    Vendredi 12 décembre 2008

    Le déterminisme ! l'individualisme ! le dualisme ! le behaviourisme ! le nihilisme ! le créationnisme ....

    vieilles questions philosophiques ...

    Tout dépend de tout !

    Tu te sens libre ou pas ... plus ou moins ....

    Mais le conditionnement, ça existe, je l'ai rencontré !
    On appelle ça l'éducation !
    C'est là qu'on t'apprend les bonnes manières,le beau le laid, la morale .... ou pas !!!!!

    Et puis vient la loi ... du plus fort .... jusqu'au jour de la révolution (comme en Grèce !)

    As-tu choisi de venir au monde pour y mourir ?

    Sartre disait : « l'enfer, c'est les autres ! »

    Mais le paradis aussi !

    Disons qu'on a des choix possibles, limités ... et que ta vie sera directement conditionnée par les choix que tu feras .... moins tu te trompes, plus tu es en paix avec toi-même .... plus tu te laisses mener par les autres et plus tu as le sentiment de vivre l'enfer !

    Autant vous dire que je prends mes deux demi reconversions très au sérieux !

    Première demi reconversion : la peinture ….. j’arrive à un tournant ! je veux m’attaquer à la découverte de mon propre monde pictural.

    Seconde demi reconversion : l’écriture …… ça va un peu de paire avec la première, mais en plus laborieux !

    Pour les deux, mon choix est fait sur le XIIIéme siècle.

    Mais je veux finir mon DVDP et les autres pièces de théâtre en cours (depuis 2001 …)

    « Longue est la route qui serpente devant nous

    Longue est la route …

    Mais nous irons jusuqu’au bout …. »

    Ben oui, forcément …. !

    Ma nouvelle live box ronronne …. Pouvou qué ça doure !!!!

     

     

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