Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Cuisine littéraire - Page 12

  • La république du roi des lettres !

     

    http://passouline.blog.lemonde.fr/

     

    Bon ! j'ai mis 2 ou 3 posts sur ce blog des penseurs qui laissent pensif !

     

    Mais je suis malin comme un singe et j’ai fait parler mon petit fils à ma place !

     

    J'espère qu'ils vont me bouffer tout cru ..... mais je crains qu'ils m'ignorent ..... comme le requin ignore le menu fretin !!!!!

     

    C'est amusant cette brochette de squales qui se regardent mutuellement les ailerons en se demandant lequel bouffera l'autre le premier !

    Il y a même, parallèlement à cette concupiscence de la compassion lorsque l'un d'eux faiblit un peu !

     

    Ca doit être ça une élite ?

     

    Un ensemble cohérent de courtisans obséquieux qui attendent une caresse du seigneur tout puissant des lieux, un certain Pierrot qui ne badine pas avec la culture et les livres et ne s’adresse qu’à l’excellence de l’intelligentsia francophile qui n’a pas dû montrer le bout de son nez puisqu’on ne l’entend pas  (ça va ? c’est compréhensible ?)  !!!!

     

    Evidemment, ce serait particulièrement hilare si les intervenants des forums d’ FR2 ou d’autres débarquaient en masse sur le blog du prince des lettres républicaines pour y déverser leurs charrettes de lisier intellectuel ! Ca ferait un de ces foins !!!

     

    Allez, cessons de rêver ! La triste réalité veut que les matières incompatibles ne se mélangent pas …. C’est drôle comme le manque de culot peut empêcher les petites têtes de se manifester ! Leurs pensées seraient-elles moins intéressantes parce que moins épicées de mots savants ou rares ?

    Le langage serait-il une barrière à la communication entre les couches sociales ?

    Si oui, qui doit faire l’effort de comprendre l’autre ?

    Mais non, par expérience, lorsqu’un connard se sent supérieur, il se croit obligé d’écraser l’étron au lieu de se pencher pour le ramasser dans un plastique idoine (faites ce que je dis !).

     

    Je vais plutôt reprendre un peu mes pinceaux !

  • Le mystère est levé

    275b28479464d9d6476bb11ca9670d41.jpg

    voici la couverture dudit bouquin !

     

    Je ne l'ai pas lu en entier ..... trop chiant !

    Mais d'après une philosophe très cosmétique et endurante à la chiantise .... ce serait révélateur ou pour le moins instructif sur la structure mentale de Dali après qu'il eut vécu les affres de la guerre comme moi je vis les affres des impôts !

     

    Faites-moi une offre alléchante et j'essaierai de le relire plus attentivement.

     

     

    à bon entendeur, pas besoin de la pub pour les appareils auditifs !!!!!!!!!!!!!!!

     

    Vive la France, la choucroute de Cormeilles en Parisy et les nougats de ma tante alphonsine ! 

  • Les comités de lecture des grandes maisons d'édition

    Que de bêtises ne lit-on au sujet des comités de lecture des grandes maisons d'édition  de France !!!

    Comme quoi que .... et aussi .... et taratata ....

     

    NON ça ne se passe pas du tout comme ça, en fait, c'est comme pour les élections, très organisé :

    - les manuscrits reçus sont déposés sur la table de lecture.
    - les membres du comité prennent chacun un livre au hasard.
    - Ils ont 1 minutes, c'est à dire 60 secondes pour lire le manuscrit. Le nombre de pages n'est pas pris en compte afin de ne pas défavoriser le fils de la concierge du directeur général.
    - au gong, les membres redéposent les manuscrits sur la table de lecture et on (le factotum) les mélange.
    - les membres repiochent.
    - et ainsi de suite jusqu'à l'heure de l'apéro qui arrive quelques 5 minutes plus tard.
    - les membres notent sur une feuille blanche le nom de l'auteur qu'ils ont apprécié et mettent leur bulletin dans la poubelle.

     


    Le directeur général arrive et annonce le résultat :
    "J'ai décidé de publier le fils de ma concierge portugaise car elle a un sacré beau cul" !

    ite missa est !

    :)

  • cailles en tourte

    [b]Recette de cailles en tourte.[/b] Prenez quelques cailles pas trop grasses, pas trop anémiées, de belles cailles bien en chair et pas trop vieilles (la vieille caille a tendance à durcir à la cuisson). Tordez vivement le cou des cailles sans vous préoccuper de leurs vociférations ni récriminations, plus vous vous laissez attendrir plus vous les faites souffrir ! Préparez la pâte en malaxant et pétrissant bien, sans hésiter à revenir sur les éventuels grumeaux. Laissez reposer la pâte pendant que vous plumez les cailles. Retirez bien toutes les plumes, même les petites sous les aisselles et entre les papattes. Une belle petite caille bien plumée vous donnera bien plus de joie qu'une vieille caille emplumée. Videz les cailles de leurs inutiles viscères et autres abats. Commencez par enfoncer votre médium bien au fond de son orifice anal pour vérifier la fraîcheur des entrailles qui doivent être encore fumantes. Puis, à l'aide d'une lame bien fine et acérée, découpez comme pour une épisiotomie inversée. Faites une ouverture suffisante pour y glisser vos doigts indécents que vous mettez en forme de crocs de boucher. Jetez tout ce que vous sortez à la poubelle à côté. Vous pouvez éventuellement garder le coeur s'il n'est pas trop usé, vous n'en ferez qu'une bouchée. La tourte ayant bien reposé, elle est dispos pour recevoir les cailles épluchées. Ajouter des oignons finement émincés, un caïeu d'ail non pelé, des rondelles fines de carottes et navets, un carpaccio d'olive, un filet de vinaigre de Xérès millésimé, deux gouttes de sirop d'érable récemment décocté, un oeil de biche aux abois, un peu de bave de crapaud buffle en rut et du jus de pimbêche revèche. Passer au four à 298 degrés et demi pendant une minute trente cinq secondes et six centièmes. Servez avec un vin de Malaga en alpaga sans oublier le noeud à papilles. Bon régal !!!