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poésie

  • Pot pourri de pensées inspirées par des pourris !

     

     

     

     

     

    La burqa,

     

    le papa polygame et

     

    les allocations familiales

    des petits enfants


     

    Mieux que la contention des allocs, la déchéance d’identité française (à défaut des deux).

     

    Amis arabes français, faites vos bagages, la France n’a plus besoin de vous !

     

    NON !!! C’est une blague du petit Nicolas ……

     

    Il veut tester votre patriotisme, alors il s’est dit comme ça :

    « si je menace les français de l’étranger de perdre leur nationalité, vont-ils rester ou s’en aller ? »

    Amis, ne vous laissez pas intimider, faites semblant de partir et vous le verrez vous courir après comme un forcené en vous criant :

    « Ali, reviens, j’ai du couscous hallal à l’Elysées ! »

     

    En plus, si vous partez vraiment, il vous donnera une grosse prime pour que vous reveniez !

     

    Alors !

    Prenez le au mot et c’est lui qui sera pris à son propre jeu.

     

    A bientôt, amis …………………

     

     

     

     

     

     

     

     

    La Grèce en état de choc

     

    après l’OPA du FMI

     

    sur le Parthénon

     

    et l’Oracle de Delphes

     

     

    Le feu nourrit le feu.

     

    Les actifs pourris, que sont-ils réellement ?

     

    Des placements financiers à haut rendement basé sur des dettes non consolidées.

    L'exemple le plus connus : un citoyen lambda emprunte 1 million pour acheter une maison quand son emploi est précaire et aléatoire.

    Plouf ! il ne peut plus payer !

    Celui qui détient la dette se retrouve avec un billet à ordre non recouvrable, il devient lui-même insolvable et entraîne avec lui ses créanciers qui, par effet de quilles entraînent à leur tour leurs fournisseurs ....

    c'est l'effet château de carte sans l'Espagne (quoique l'Espagne soit dans le jeu !)

     

    Bon, la Grèce a voulu jouer avec le feu et dans la cour des grands.

    Le gouvernement Grec est entré dans l'Europe, a pris l'Euro comme monnaie en truquant ses comptes d'apothicaire qui furent acceptés par les autres qui fermèrent les yeux en se disant que ça s'arrangerait .....

     

     

    Mais à quoi serviront les 45 milliards ?

    à rembourser les intérêts des emprunts pourris, bien entendu !

    Donc, ceux qui ont créés les emprunts pourris les ont refilés à des crétins (de Crète et d'ailleurs) qui se retrouvent à rembourser intérêts et capital aux margoulins qui les ont entubés.

     

    Attendez !!!!

    ne partez pas ..... l'histoire n'est pas tout à fait finie ......

     

    Que va-t-il donc advenir ?

     

    Simple !

    Tant que les abrutis de citoyens européens se laisseront taxer et imposer, ils paieront pour les Grecs et les autres les intérêts qui vont dans la poche des pourritures financières ....

     

    Alors ?

    Ben, faut pas trop compter sur Zorro (zyzy) !

     

    Soit les citoyens se révoltent en envoient tout balader et reconstruisent une Europe saine et solidaire ... pendant que les salauds de financiers en seront pour leurs frais mais se prépareront à la manche suivante en inventant de nouvelles techniques financières pour se gaver sur le travail des laborieux silencieux et débiles .....

     

    Soit on continue à se laisser enc.... sans moufter et nous ferons tous faillites et les saloperies de financiers aussi !

     

    Bref !

    Elle est pas belle, la vie !

     

    Vivement la retraite !!!!!!

    Ah merde !!! ça non plus ça ne vaut plus rien !!!!

     

    C'est quand la prochaine navette pour Mars ?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Nicolas vit-il

    ses derniers jours

    de pouvoir ?

     

     

     

    LE PLAN 'B' et le 'C'

     

    Mais oui, Nicolas a DES alternatives.

     

    Plan 'B' qu'il vient de mettre en route :

    Foutre la guerre civile en France en lançant les bons français à l'assaut des mauvais musulmans polygames et bouffeurs d'hallal ......

    Une guerre civile permettrait de remettre aux calendes Grecques (ils sont partout, décidemment!) toutes les échéances électorales et permettrait au petit Nicola de gouverner par édits et de faire exécuter ses lois par l'armée ......

     

    Bon, si ces imbéciles de français ne tombent pas dans le piège, il reste le plan 'C' :

     

     

    Nicolas déclare la guerre à ..... il n'a que l'embarras du choix .....

     

    La grèce - oui, profitons pendant qu'ils sont à terre .... moi je me verrais bien dans une villa blanche dans le Péloponèse avec des petites grecques à mes genoux ....

     

    La Turquie - qui n'a jamais pu encaisser les Grecs !

     

    L'Islande - qui nous fait chier avec ses cendres (paix à leurs âmes !)

     

    Le Boukistan - pays belliqueux et éloigné où les journalistes ne seront pas en mesure de fourrer leurs museaux

     

    L'Inde - à grand homme grande guerre ... bon, là, au moins ça ne durerait pas longtemps et nous mangerions rapidement à la sauce curry ...

     

    La Chine - on leur pique leurs brevets, on leur chourave leurs nanas, on les fait bosser nuit et jour pour que NOUS gagnions plus ..... mais, faut pas ignorer le risque .... 3 milliards contre 60 millions .....

     

    Etc ...

    sans oublier les USA pour faire chier ce con d'Obama !!!!!

     

    Notre bon président n'est pas encore foutu !

    La France, oui !

    Mais lui .... il a encore de la ressource tant que les français continuent de regarder 'quo Lenta' et 'Rouxquier chez Brucker'

     

     

  • Amis de la poésie, prenez votre pied ! Mickael Jackson vous voit depuis son cercueil et Rachida à poile sous la lune et les étoiles

     

    Piqué chez le pire Tudors de tous les tant !!!

     

     

    Original

    Version Yfig

    Triste songe de gondolier ivre de soi-même ...

    Joyeux drille en pleine joyeusetés

     

    Mystiques barcarolles,

    Romances sans paroles,

    Chère, puisque tes yeux,

    Couleur des cieux,

     

     

    Puisque ta voix, étrange

    Vision qui dérange

    Et trouble l'horizon

    De ma raison,

     

     

    Puisque l'arôme insigne

    De la pâleur de cygne,

    Et puisque la candeur

    De ton odeur,

     

     

    Ah ! puisque tout ton être,

    Musique qui pénètre,

    Nimbes d'anges défunts,

    Tons et parfums,

     

     

    A, sur d'almes cadences

    En ces correspondances

    Induit mon coeur subtil,

    Ainsi soit-il !

     

    Clinique des scaroles
    Bombances agricoles
    Et fière dans mon pieu
    suce mon pieu

     

     

     

    Voici quelques oranges
    Ton haleine dérange
    Mon éjaculation

    Complication

     

     

    Tes pieds puent c’est un signe
    Tu n’es pas digne d’un cygne
    Et puisque ton odeur
    Est grand malheur

     

     

    Ô mon foutre te mettre
    les flagelles pénètrent
    Toi tu cambres les reins
    Et puis tu geins

     

     

     


    Sur les algues fragrances
    Ton petit cul balance
    Lâche un parfum méthyle
    Amen soit-il

     

     

     

     

     

    Je ne cherche pas à vous influencer, mais avouez que le mien c’est autre chose que le stupide mirliton sans queue ni tête  d’iPidi poète à roulettes !

     

    Sous vos applaudissements

    Merci !

  • Où sont passés les poètes ? Carla à poil hurle à la lune !

     

     

     

     

    Il y a des revues et des maisons d'éditions spécialisées en poésie.

     

    On trouve leurs coordonnées sur :

    Poésie e-vous

     


     

    Ils sont plus de cinq cents …. Ça donne bien de l’ouvrage de les parcourir tous …

     

    Il ne faut pas donner ses textes à des revues, ça ne sert qu'à 'griller' le texte s'il est publié (ce qui n'est pas gagné malgré que ce soit un mauvais service à lui rendre).

     

    Tiens, pour apprécier le niveau de la poésie en France, je conseille (piqué dans la liste) le CIPM (Centre International de poésie marseillais) ..  Quelques énergumènes "disent" leurs textes ...........  c'est si beau qu'on a envie d'applaudir et de pleurer tout à la fois !!!!!

    centre international de la poésie de Marseille poils aux oreilles

     

    ne mettez pas le son trop fort, surtout au début .... il faut que l'oreille s'habitue ....

     

    Je trouve que c'est tout à fait représentatif de tout ce que je peux lire ici et là.

     

    Des ânes qui braient des textes sans âme.

     

    Comme on peut le constater, participer à une revue, c'est se condamner à côtoyer le vaste 'tout et n'importe quoi' !

     

     

    Il y a aussi les concours qui sont tous truqués .... sans exception !

    C'est au vu des résultats que tu le sais. Fils de, cousin, copain ......  voire charcutier ou proctologue du président du jury !

     

    C'est un grand, grand drame Français ..... tout marche ainsi et les mérites ne sont reconnus que lorsqu'il n'y a plus personne à placer ou bien que l'urgence ne permet plus de faire n'importe quoi !

     

    Mais j'arrête là ...... j'ai du travail.

     

  • Je vas pas laisser iPidibleuette s’amuser seul !


     

    Dans une étude intitulée "Les possibles de la poésie, Michel Deguy, Denis Roche, Jacques Roubaud" (2006),

     

    Stéphane Baquey écrit à propos de Quelque chose noir :


    Jacques Roubaud renonce à définir la poésie autrement que comme un

    "monde possible",

    comme un "jeu de langage" paradoxal,

    public-privé,

    qu’aucune grammaire ne saurait constituer,

     mais qui repose sur l’invention d’une stratégie dont l’adversaire peut être la nature sans cesse changeante

    ou bien

    la mort elle-même,

    le néant du deuil.

     

    Dès lors, si la poésie se donne des règles explicites,

    des contraintes,

    c’est sans fondement théorique,

    sans assises linguistiques,

    en vertu d’une pure fiction.

     

    Cette fiction n’est cependant pas sans vérité : elle est précisément une manière pour la poésie de résister à tout ce qui conspire à la rendre impossible.

     

    En quoi ce jugement éclaire-t-il votre lecture de Quelque chose noir ?

     

    Pierre Assouline rajoute :
    Le texte était extrait de "Roubaud", un livre d’entretiens avec Jean-François Puff, et d’anthologies paru dans la collection "Les singuliers" chez Argol.

     

    Moi, pour analyser un texte, je commence par le saucissonner.

    Ca donne de l’air au texte, ça lui permet, et à nous, de  respirer.

     

    Comme toujours en littérature, cette épreuve consiste à étudier le texte d’un mec qu’a lu un mec qui parle d’un truc qu’il aurait lu quelque part et qui en fait une exégèse qu’on nous demande d’éclaircir et qu’il a intitulé : « Quelque chose noir  »  ? bien malin celui qui comprendra cet intitulé ! ? –  on verra par la suite que je l’ai compris … je suis donc très malin !

     

     

    Si l’on prend le parti d’internet, on tombe, effectivement sur un trou noir, espèce d’abîme dans lequel on se perd en conjectures …. Il semblerait ( en survolant ) que le titre soit lié à la mort de son épouse ….. c’est important car cela va conditionner la non-définition que  S. Baquey va donner à la poésie …. On va sûrement bien s’amuser !!!!!!!

     

    Baquey parle d’un bouquin intitulé « possibles de la poésie » écrit par trois gus dont on n’a jamais entendu parler avant aujourd’hui !

     

    Ca, c’est typique des universitaires. On commence par noyer le poisson en l’accusant d’avoir attrapé une mauvaise rage lors d’un raout chez quelque ploutocrate de bonne famille et ensuite, on se propose de le sauver des eaux – boudiou d’boudiou !

     

    C’est un artifice qui doit bien avoir un nom (mais que je renonce – ben quoi ? – à chercher) et qui donne du volume à la question comme on en donne à un ballon d’enfant en soufflant dedans !

     

    Ah ! « autrement que  comme  »

    Voilà, que disais-je ? nous avons bien à faire à une vilaine litote qui ne laisse rien présager de bon car, lorsqu’on prétend renforcer sa pensée en commençant par l’affaiblir, c’est qu’elle ne doit pas être en bonne santé  - la preuve, on en fait des vaccins !

     

    Cette litote nous instruit de facto que l’auteur se renie et que, s’il renonce à nous donner une définition de la poésie, il s’apprête à nous asséner des vérités bien obscures sur ce qu’il est incapable de définir et qu’il va substituer à une vraie définition.

     

    Voyons un peu ce qu’il nous propose.


    "monde possible",                 

    Mais qu’est-ce qu’un ‘monde’ ? et à quoi ça sert ? oui, tout est possible, même un nouveau monde …. Mais celui-là fait appel au virtuel …. C’est donc un monde inutile !

     

    comme un "jeu de langage" paradoxal,             

    un exemple nous aiderait sûrement ….

    Tiré de « si quelque chose de noir » :

    « C’est le soir, dit-il, si quelque chose noir, si du moins il n’est pas possible que rien s’éclaire de rien. »

    Ah oui, on voit bien !  ça n’a pas un autre nom ce non-sens ? une palinodie ? en tout cas, c’est brillant …… de nuit !

     

    public-privé,                 

    et pourquoi pas privé-public ?

    Que veut-il dire ce Baquey ? fait-il allusion à la fameuse ‘private joke’ anglaise ? ce mot que seul les initiés peuvent comprendre ?

     

    qu’aucune grammaire ne saurait constituer,                

    C’est l’anéantissement du tout ! le chaos littéraire, le renoncement au sens !

    Un exemple ?

    « Nécessairement en effet, c’est bien soit de lumière soit de non lumière que s’éclaire ce qui s’éclaire, et par la fenêtre de l’atelier. Mais ni l’un ni l’autre n’est possible : la lumière ne reçoit pas la lumière plutôt que la non lumière ne la pousse : le toit ne fait pas du soleil un rectangle, le puits n’en fait pas une graminée, ni au contraire l’herbe une branche blanche d’amandier. Il serait noir comme dans le jour, ce qui est impossible. Immobile donc, pour ces raisons, immobile. »

    Ne serait-ce pas plutôt du ‘charabia’ ?

     

     mais qui repose sur l’invention d’une stratégie dont l’adversaire peut être la nature sans cesse changeante          

    Elle a bon dos, la nature !

    Etonnez-vous après ça que les écolos s’entredéchirent !

     

    ou bien

    la mort elle-même,                 

    pourquoi pas !

     

    le néant du deuil.          

    J’ignorais ce néant là ! je savais qu’on faisait son deuil sur la néantisation de l’autre, mais le néant du deuil …. Vraiment, je ne vois pas !

     

    Dès lors, si la poésie se donne des règles explicites,

    des contraintes,            

    oui …..

     

    c’est sans fondement théorique,                

    Ah ! bon !

     

    sans assises linguistiques,                

    Tiens donc !

     

    en vertu d’une pure fiction.             

    Tout s’éclaire comme disait le lampiste.

     

    En conclusion, on peut effectivement affirmer, avec le sieur Baquey, que pour dire n’importe quoi on n’a besoin de rien et que le néant est notre meilleur allié dans ce genre de rien !

     

    « Si quelque chose noir », écrit en 1980, me semble plutôt être une espèce de galimatias abscons destiné à épater les gogos qui ne savent rien des règles en poésie et ne demandent qu’à être convaincus que ces règles ne servent à rien et que tout un chacun peut écrire de grandes poésies en faisant l’abstraction du sens et des contraintes poétiques. Il suffit de faire copuler les mots et une génération spontanée de poésie se forme de cette fornication effrénée.

     

    Cette négation accompagne les divers mouvements d’art contemporain qui nous proposent du caca sur un tabouret en guise d’œuvre d’art révolutionnaire.

    Et effectivement, on peut lire, de ci de là, des poèmes assis sur ce strapontin et qui en ont l’odeur en même temps que la consistance.

     

    Ca doit être ça le néant du deuil ….. de la poésie !!!!!

     

     


     

     

     

    Comment j’ai retrouvé le texte ?

     

    http://edel.univ-poitiers.fr/licorne/entree.php?id=3397

     

    M’a conduit jusques’aux douze poèmes qui en fait parlent de « si quelque chose noir » …… à croire que tout le monde en parle sans jamais les avoir lus ….. – on dirait du Aimé Césaire !!!!! Roubaud était-il Martiniquais ?

     

    http://edel.univ-poitiers.fr/licorne/document.php?id=3363


     

     

    Jacques Roubaud et les troubadours

    Publié en ligne le 22 mars 2006

    Par Pierre BEC

    (un verbiage noir caca !)

     

    http://edel.univ-poitiers.fr/licorne/document.php?id=3330

     

     

     

     

     

    et Roubaud fait des émules :

     

    http://users.skynet.be/rockrennais/qquenoir.htm

     

    Quelque

     

    chose, noir

    Le général Hiver plonge sa dépression

    Du bout des nerfs, sous une chape de plomb.
    Je me souviens d'un morceau de bleu,
    Dans le feu de l'absinthe, une couleur s'est éteinte.
    QUELQUE CHOSE NOIR se traîne
    Dans le silence s'enfonce
    & se ronge les ongles
    & me ronge les sangs.
    QUELQUE CHOSE NOIR, je l'aime
    Comme un trou dans la nuit,
    Comme un trou dans l'oubli
    & roule au fond d'un puits.

    Mais dehors c'est l'hiver.
    Crève l'arrière-saison!
    Un pou : ta mort dans une caisse à savon.
    Je me souviens d'un morceau de vert
    De la douceur de vivre, de l'ivresse du vide.
    QUELQUE CHOSE NOIR se traîne
    Dans le silence s'enfonce
    & se ronge les ongles
    & me ronge les sangs.
    QUELQUE CHOSE NOIR, je l'aime
    Comme un trou dans la nuit,
    Comme un trou dans l'oubli
    Je l'aime c'est bien ma veine!

    Je reste là,
    Face contre terre.
    Ils ont vendu leur âme
    Ils ont rendu les armes.
    Je regarde.
    QUELQUE CHOSE NOIR...

    QUELQUE CHOSE NOIR se traîne
    Dans le silence s'enfonce
    & se ronge les ongles
    & me ronge les sangs.
    QUELQUE CHOSE NOIR, je l'aime
    Comme un trou dans la nuit,
    Comme un trou dans l'oubli
    Roule au fond d'un puits.

    Je reste là
    Face contre terre.
    Ils ont vendu leur âme
    Ils ont rendu les armes,
    Je regarde.

    Je reste là
    Face contre ciel.
    Dans les salles où se perdent
    Jusqu'au bruit de mes pas,
    Je me perds.
    Je laisse faire.
    QUELQUE CHOSE NOIR,
    Là, quelque part...

    <>    Philippe Pascal

     

    <>

     

  • les cahiers de la poésie 10 de Joseph Ouaknine en photos

    Alors voilà :

     

     

     Cliquez sur les photos pour les agrandir (un peu)

    41a7bac37aa7dbfab6d540e9638437b5.jpg Ca, c'est la couverture cuir.

    Vous remarquerez qu'il n'y a pas de titre !

     

     

     

     

     

     

     9f0ccf76e3d278db8e018148fdcb18d1.jpg

     

     Ca, c'est le livre ouvert .....  toujours pas de titre !

     

     

     

     

     

     

    0137a1d7714c5d21de3bff39f57fe8a0.jpg Et pour finir, le livre ouvert sur une page au hasard !!!

     

     

     

     

     

     

    Alors ! ?  convaincus ? 

  • Un grand merci à Joseph Ouaknine

    J’ai reçu, il y a déjà quelques jours de ça, mais je suis distrait et j’allais oublier de vous en parler …..  le bouquin préparé, édité et relié par Joseph Ouaknine :

    « Les cahiers de la poésie 10 ».

     

    Très très beau livre entièrement relié main avec une couverture en cuir … faut que je photographie ça !

     

    Faits à la main, tous ses bouquins sont uniques !

     

    Je suis enchanté !!!!!

     

    Bon, depuis, j’ai lu ce qu’il y a à l’intérieur …. Disons que mon avis est ‘partagé’ ….  Entendez par là que je suis quelque peu circonspect sur la qualité des poésies. Il y en a d’excellentes, mais il y en a aussi de moins bonnes !

     

    Josph est un garçon très généreux et c’est pour ça qu’il accepte tout le monde …. Et après tout, n’a-t-il pas raison ?  Ce qui me paraît bon à moi peut très bien sembler abscons et rébarbatif à d’autres ….. comme il y a un très grand choix (le nombre de poésies par auteur étant limité) on a un recueil avec de très nombreux textes  …. Ça permet de lire des choses qu’on ne lit jamais !

     

    Un grand merci à Joseph !