Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • le dit-on du jour !

    A toutes les petites nouvelles venues sur mon blog

     

    Et à tous les petits nouveaux

     

    En vérité

    Je vous le dis :

     

    Mon blog est à consommer

    Sans modération !

  • J'ai envie de foutre le feu au cul des ministres de la culture

    416f08a9cc430d11bc2702fbd114ac61.jpg

     

    http://www.geocities.com/yyfig/fonds_publics.html

     

     

     

     

     

     

     

     
    Mais où donc
     
     
     
    passe l'argent des
     
     
     
    contribuables ????
     
     
     
    C'est vrai, quoi !
     
     
     
    on dit :
     
     
     
    l'art, l'art ....
     
     
     
    oui, et alors, il est où ?
     
     
     
    parce que à la télé ......
     
     
     
    de minuscules
     
     
     
    miettes !
     
     
     
     
    dans les journaux ....
     
     
     
    toujours les mêmes
     
     
     
    vieux restes !
     
     
     
    et pourtant,
     
     
     
    les subventions de l'état
     
     
    n'ont
     
     
     
    jamais été aussi élevées ....
     
     
     
    ça doit bien attérir
     
     
     
     
    dans la poche de
     
     
     
     
    quelqu'un !
     
     
     
     
     
     

     Un édifiant programme

    Discours de

    Renaud Donnedieu de Vabres
    Extraits :

    Conférence de presse Arts plastiques
    lundi, 23 octobre 2006

      La participation de l’Etat s’élève

    à 3,25 millions d’euros,

    sur un budget total

    de 9,8 millions d’euros.

     L’Etat s’implique fortement dans ce projet, puisqu’il

    participe dès 2007

    au budget d’études à hauteur de

    600 000 euros,

     

    et participera au budget de réalisation à hauteur

    de 50 millions d’euros, sur les

    100 millions estimés

     

     Une association de préfiguration vient d’être constituée, sous la présidence de Daniel Janicot, Conseiller d'État
     Fabrice Hyber   Bernard Piffaretti  Daniel Janicot
    Pour sa 33e édition, la Fiac réunira les œuvres de quelque 160 galeries, représentant une vingtaine de pays, et invitera le public à une formidable plongée au cœur de l’art moderne et contemporain.
    J’ai souhaité qu’à nouveau l’État soit présent à ce grand rendez-vous, en profitant de la qualité des créations présentées par les galeries, pour enrichir notre patrimoine en acquérant, pour 400.000 euros, un certain nombre d’œuvres exposées.
     Anselm Kiefer   Richard Serra  Christian Boltanski
     Ernest Neto  Miguel Barcelo  Josef Nadj
     
     
     
     
     
     
    si vous avez parcouru
     
     
    ces liens ....
     
     
    avez-vous remarqué
     
     
     
     
    la diversité des styles ?
     
     
     
     
    pourquoi cette
     
     
     
    impression
     
     
     
    de déjà vu, de
     
     
     
    répétition incessante
     
     
     
    de la même image
     
     
     
    destructurée,
     
     
     
    infantile,
     
     
     
    inintelligible ?
     
     
     
    Est-ce donc
     
     
     
     
    définitivement ça
     
     
     
    l'art ?
     
     
     
    L'art qui mérite
     
     
    d'être promu et
     
     
    subventionné ! ?
     
     
    Est-ce que les
     
     
    ministres successifs à la
     
     
    culture
     
     
    ne se foutent pas
     
     
     
    du public ?
     
     
     
    Ce qui est certain,
     
     
    c'est que toutes les
     
     
    autres formes
     
     
     
    d'expression
     
     
     
    et en particulier
     
     
     
    le figuratif
     
     
     
    sont étouffées
     
     
    par les forces
     
     
    de l'argent et
     
     
    de la
     
     
     
    politique magouille !
     
     
     
    Quand donc
     
     
     
    se réveillera le
     
     
     
    contribuable
     
    pour exiger de
     
     
    la diversité
     
     
     

    et la possibilité

     

    de choisir par

     

    lui-même

     

    ce qui lui

     

     

    plaît ou

     

     

     pas ! ? ! ? ! ? ! ? !

     

     
    1

     

  • L'obscurantisme a encore de beaux jours devant lui

     

     Quote :

    "c'est bien cette peur non insérée dans un système nerveux qui provoque chez les plantes le refus de pousser à l'ombre : elle traverse de frémissements imperceptibles la nature des êtres vivants, parce qu'elle est aussi un degré de haine de ce qui nuit à la vie."

     

    savez-vous de qui est cette aimable connerie ?

    Edmond Rostand ?   que nenni !

    Dord mes sons ?      niet  !

    Coluche ?                 perdu !

    non, c'est tout simplement de Pierre Driout, le jardinier de l'ombre qui cache son jeu derrière ses plantes peureuses !!!! 

    et si jamais c'était pas de lui mais de ramiel, c'est pas bien de rapporter les grosses conneries sur son blog !!! 

  • Technique picturale

    Ma technique consiste à superposer les sujets.


    1    préparation du fond pour nourrir le bois : deux couches d'acrylique blanc (fabriqué maison)


    2    puis préparation à l'huile sèche des éléments les plus profonds : le ciel et la mer
              
      

     

              

    b55aed56a7958ea04bf48ba94cc315b3.jpg

     

             

    3    Les nuages et les vagues légère teinte du sable
             

     

             

    c9e902763a4704e007dcfb1525a57dd3.jpg

     


    4    La jetée  et la vague
             

     

             

    8147de34467cb3171756a4f5aa83bdbe.jpg

     

     


    5    Le phare
            

     

    18edca43d0d1b4deed919c1cc6e8d46f.jpg

     


    6    Les bateaux, les glacis et la signature (facultative)
           

     

    1b2da5b67e218acae69ecf8f891dbfad.jpg

     

     


    Voilà !

    je procède ainsi pour tous mes tableaux depuis 3 ans.

    - Inconvénients ou plutôt difficultés   la composition doit être travaillée au dessin auparavent

        le dessin aux pinceaux est particulièrement difficile et demande beaucoup d'adresse
        et les corrections en cours de réalisation sont très délicates, parfois impossibles.
        attention aux mélanges des couches (principe du gras sur maigre) !

    - Avantages : rendu nettement supérieur, pas d'auréole autour des sujets qui, au contraire,
      viennent en surexposition sur le fond qui reste homogène d'un bout à l'autre de la construction.



  • Dis Yfig, c'est quoi l'art ?

    Ou

    Mais que fait la police ? 

     

    MIRCEA CANTOR / CIEL VARIABLE

    Du 4 mai au 15 juillet 2007
    Vernissage le jeudi 3 mai 2007 à partir de 18h00

    AU COLLÈGE / FRAC / FONDS RÉGIONAL D’ART CONTEMPORAIN CHAMPAGNE-ARDENNE /

    Exposition ouverte du mardi au dimanche de 14h00 à 18h00

    Le Frac Champagne-Ardenne présente du 4 mai au 15 juillet la première exposition monographique en France de l’artiste roumain Mircea Cantor. Afin d’appréhender de manière poétique une fin du monde possible, l’artiste a intitulé cette exposition Ciel variable. Cette imprévisibilité du futur propose autant l’apocalypse qu’un renouveau potentiel, à l’image de la sculpture Monument for the End of the World, dont le carillon surplombant la maquette d’une grande ville serait activé par une éventuelle catastrophe.

    Untitled, 2006 (© Mircea Cantor)

    Œuvres textuelles, films/vidéos, photographies, installations, éditions, le travail de Mircea Cantor se déploie dans une étonnante diversité de médiums, sans répétition. Chaque pièce revêt un caractère de manifeste, chaque image est motivée. En proposant une réponse personnelle à une réalité saturée de signes parfois oppressants, Mircea Cantor bouscule et renverse les conventions, à l’instar de cette toile sur laquelle l’artiste a peint un nid constitué de brindilles a priori mortes mais qui bourgeonnent pourtant. Ce cycle de la disparition et du renouveau est constamment mis en jeu dans l’œuvre de Mircea Cantor qui nous rappelle ainsi la course effrénée au temps dans nos sociétés contemporaines.

    Ni rétrospective traditionnelle, ni présentation de pièces inédites, cette exposition est une manière pour l'artiste d'offrir une nouvelle lecture de son travail. Déployées dans tout l’espace du Frac, les œuvres produites à l’occasion révèlent et matérialisent la pensée non-linéaire de Mircea Cantor qui propose par-là même une cosmogonie : un univers de tous les futurs, de tous les passés, de tous les possibles. Untitled, 2006, présente ainsi un morceau de titre déchiré du journal Le Monde, auquel l'artiste a simplement ajouté deux S au feutre rouge - allégorie sensible de la fragilité de nos convictions face à la superposition infinie des mondes qui densifie notre conscience incertaine et inquiète. Mircea Cantor se place très souvent à la croisée de mondes et permet des rapprochements de mentalités, comme un témoin attentif de la société et des cultures, préoccupé par l'alchimie des idéologies dans la circulation infinie de la pensée.

    All the Directions, 2000 (© Mircea Cantor et Galerie Yvon Lambert, Paris, New York / Collection Yvon Lambert, Avignon )

    Remarqué à la Biennale de Venise 2003, à la Biennale de Berlin 2006, à l'exposition Forwart 02 à Bruxelles, au Philadelphia Museum of Art en 2006, à la galerie Yvon Lambert New York et Paris, lauréat du prix Ricard 2004, Mircea Cantor est l'une des figures marquantes de ces dernières années et appartient à une génération d’artistes d’Europe de l’Est révélés récemment. Ayant grandi en Roumanie pendant le communisme, Mircea Cantor fait part d’une incroyable lucidité et d'une distance sur les réalités des pouvoirs en place et sur les illusions de l’occident néo-libéral. Il est en outre très impliqué et engagé dans la scène artistique roumaine, entre autres à travers la revue Version dont il est l’un des co-éditeurs.

    Mircea Cantor est invité par le Collège / Frac Champagne-Ardenne pour une résidence de production à la Chaudronnerie au Lycée Val-de-Murigny à Reims. À cette occasion, l’artiste va produire un film 16mm dans lequel on discerne l’incandescence puis la dissolution d’une ombre - celle d’un drapeau en ombre portée dont on ne peut déterminer ni la forme, ni l’origine. Parce qu’il n’est pas identifiable, ce drapeau est à la fois emblématique de la fin d’un régime et d’un renouveau de la société, à échelle universelle.

    En conjonction de l’exposition, la première monographie de Mircea Cantor sera co-éditée par le Collège éditions et la galerie Yvon Lambert, Paris / New York. Parution prévue à l'automne 2007

     

  • Ce n'est qu'un lien vers un blog .... mais l'info vaut son pesant d'or !

    http://citoyennedumonde.hautetfort.com/archive/2007/06/08/vous-en-voulez-encore.html

  • LE GRAND MARCHE DE L’ART et SES MECENES

    je le réedite. 

     

     

    Ca commence par l’intervention d’Harry Bellet critique d’art à la Chelsey-Gallery et l’achat pour le compte de François Pinault d’un tableau pour un montant de 60 000 euros. Oui, on voit bien quelques secondes le tableau , c’est une espèce de n’importe quoi, des coups de pinceaux en rond et des inscriptions écrites au pinceau et peinture noire, des mots du type : mémoire  métro  travail  mine … !!! tout à fait n’importe quoi.
    Puis, c’est au tour de Philippe Ségalo d’expliciter le choix de F. Pinault pour une sculpture monumentale horizontal intitulée : ‘grande mer de métal’ (assemblage hétéroclite de plaques de métal striées et légèrement colorées de couleurs grisailles ) pour un montant de 7 millions de dollars.
    On apprend, ensuite, que F. Pinault est, depuis un certain temps déjà, le propriétaire de la société Christies (célèbre société de ventes d’art aux enchères) et qui vient de vendre un Modigliani pour 24 millions de dollars.
    Puis, la sculpture monumentale de Robert Rosenberg acheté par F. Pinault 7 millions de dollars a été revendu au musée John Elderfield pour 35 millions de dollars.
    Bien sûr, ça laisse quelque peu pantois, mais en fait, ce n’est qu’une goutte d’eau d’océan car en 2004, le marché de l’art a représenté un marché de 2,4 milliards d’euros dont 46% aux USA, 27% en UK et seulement 7% en France.

    Au tour d’Antoine de Gamay de nous entretenir du marché de l’art et de ses diverses maladies :
    Pas ou peu de vente d’artistes vivants
    Perte de la réalité des techniques artistiques et de leur complexité
    Concurrence restreinte à quelques collectionneurs très fortunés
    Pas de réel mécénat malgré les avantages fiscaux accordés
    Il faudrait inventer des lieux d’expos temporaires, créer un système à la française comme celui à l’américaine …

    Il est ensuite question d’un reportage très embourbé et longuet sur les avatars de l’île Segain à boulogne-billancourt.
    J’ai noté quelques noms, des personnes à contacter d’urgence car elles semblent vraiment bien placées pour encourager F. Pinault à venir acheter mes croûtes (il semble qu’il préfère la croûte à la mie). Paticia Barbizot est DG de Artémis et j’ai aussi noté Dorothée Pineau qui ne serait pas parente avec François.
    Jean-Jacques Aillagon Ancien président du centre G. Pompidou, ancien ministre de la culture, conseiller personnel de F. Pinault et de Paolo Costa ancien maire de Venise vient se justifier sur ses magouilles lamentables mais enrichissantes.

    On ne le verra pas, mais on apprendra que Monsieur Arnaud est le deuxième grand mécène Français. Le concurrent de Pinault.
    Si le mécénat consiste à acheter une merde 7 million de dollars pour la revendre 35 millions de dollars, je dis que je veux devenir mécène le plus tôt possible.

    Je sais, mon article vous paraît décousu, mais il n’est que le reflet du reportage.

    On parle avec Alfred Pacquemont ( DG de centre Pompidou) d’inflation des prix et on prend en exemple Niky de Saint Phalle inaccessible avec un budget de l’état de seulement 4,3 millions d’euros (même pas de quoi s’acheter la sculpture de l’utre nase !)

    A Dijon, la FRAC ne dispose de de 186 000 euros, une misère.
    Un dessin abstrait coûte 18 000 euros (sûrement le fils de Doria Garcia ou Eva Gonçales Sancho qui l’a fait !)
    Frank Elbaz exerce le merveilleux métier de marchand d’art.
    Jean Paul Guy de la FRAC de Bourgogne hurle à qui veut l’entendre que le pire drame est qu’il n’a pas le droit de vendre les œuvres acquises ! moi, je me demande pourquoi il ne lui a pas été demandé de fermer sa gueule.
    Catherine Heinich … mais qui est cette dame ?
    Jacques Rigault, président FRAC Aquitaine et aussi de ADMICAL nous cause du mécénat, lui aussi et fait le vœu d’être le dépositaire des fonds.

    On finit en beauté avec Christophe Monin responsable du mécénat du musée du Louvres qui nous fait la visite des plaques commémoratives des généreux donateurs, je vous fait grâce des marques commerciales, vous les connaissez déjà.

    Voilà !
    Vraiment pas de quoi casser trois pattes à un conard !
    Juste la confirmation de ce que nous savions, à savoir que l’art n’est qu’un alibi pour certaines grandes fortunes d’amasser de super gigantesques plus values et pendant ce temps, les vrais artistes occupent des emplois ordinaires pour ne pas crever de faim.

  • La vie d'artiste

    Mon principe : un homme averti en vaut deux !!!!!!!

     

    Pour être lisible, je vais m’évertuer à un énoncé clair et simplifié, mais si vous souhaitez aller plus avant, on peut toujours en discuter……

     

    D’autre part, je tiens à préciser en préambule que mes élucubrations ci-dessous sont le fruit de mon expérience et que cela ne signifie pas qu’il n’y ait pas de gens honnêtes et sincères perdus dans la multitude d’escrocs, ni que je détienne la vérité infuse, diffuse ou confuse !

     

    Je ne parle pas dans ce billet ni des artistes, ni des faussaires ….. ils feront l’objet d’une étude poussée ultérieure.

     

    La question qui tue :

     

    comment et qui décide de la valeur d’une œuvre ?

     

     

    1 – les commissaires priseurs (CP) :

    jusqu’en 2002 ils avaient le monopole des ventes aux enchères.

    Depuis 2003, ils n’ont plus que le monopole des ventes aux enchères des artistes décédés. Mais, ce qui n’est pas clair, c’est QUI a le droit de vendre aux enchères les artistes vivants ? Si on lit les textes, on en conclut que seuls les experts assermentés sont autorisés à ces ventes. Donc, en conclusion, il faut faire appel à un commissaire priseur ou un agent dûment assermenté !!!!  on tourne en rond comme diraient les Dupont.

    Les ventes faites par les CP sont déclarées à la recette des impôts du coin (le fisc). C’est pour cela que ces ventes sont, en théorie, les seules qui représentent la côte officielle d’un artiste (qui devra déclarer ses ventes aux impôts et à la maison des artistes éventuellement –voir plus loin…..)

     

    Comment se passe une vente aux enchères ?

    Le commissaire priseur (CP) est tout puissant. Oui, vous pouvez mettre un prix de réserve (prix de vente minimum), mais certains CP refusent.

    A par ça, voilà ce qui se passe :

    Le CP regarde la toile très rapidement et l’évalue selon des critères qui lui sont tout à fait personnels :

    1-     Il peut avoir reçu en coulisse une offre pour la toile

    2-     Il peut avoir au bout du fil (avec les portables c’est encore plus fréquent) un ou des acquéreurs

    Remarque : dans ces 2 premiers cas, il ne peut s’agir que d’un artiste déjà côté ou, sinon,  d’un proche ou ami qui a fait une offre au CP sans préciser qu’il est proche ou ami de l’artiste inconnu.

    3-     Subjectivité de ses propres goûts : ça c’est pour tous les inconnus qui proposent leur travail à la vente. Autant vous dire que par mesure de protection collusoire (il est indispensable de protéger les artistes côtés et de dégoûter les nouveaux venus) la mise à prix sera proche de zéro !!!!! Il arrive parfois ….  Mais très très rarement …. Que le CP ait un coup de cœur pour la toile, il essaiera d’influencer les acheteurs tout au long de la vente. Mais il ne faut surtout pas se faire d’illusion ….. ça n’ira jamais bien loin !!! Il s’agit le plus souvent de ventes très intimes où se retrouvent des personnes qui se connaissent et s’achètent les unes les autres pour se rendre un petit service mutuel.

    4-     On pourrait se demander pourquoi les CP agissent ainsi alors qu’ils sont rémunérés au pourcentage de la vente ? Mais ils ont une autre mission plus impérieuse : défendre les intérêts de leurs bons amis et clients fidèles et friqués (ceux qui achètent régulièrement pour faire monter ou maintenir la côte de leurs petits protégés).

     

    Autre organisme confondu avec les CP : les salles de ventes privées,

    Celle privée et prestigieuse par exemple de Pinault à Londres : ‘Christies’. C’est l’arnaque au plus haut niveau puisque Pinault achète et vend à lui-même avant de revendre dans son officine à des prix incommensurables !

    Arnault, lui, se contente du musée de Venise puisque l’état lui a refusé les subventions qu’il réclamait pour s’acheter l’île de Boulogne.  (voir mon article ‘le grand marché de l’art’)

     

    Pour l’instant, les musées n’ont pas droit de revendre leurs œuvres ….. mais je fais confiance au monde intelligent de la finance pour faire sauter ce verrou verrue qui empêche de très bonnes affaires …. Une œuvre ayant été acquise par un musée sera forcément plus recherchée qu’une œuvre privée …. Sans que la valeur artistique n’entre en compte, or, les musées achètent bien souvent sur commande des notables qui sont au conseil d’administration …. et qui ont des bouches à nourrir …. D’où  les merdes lamentables qui croupissent dans les caves des musées et que d’aucun voudrait bien refiler au prix forts aux gogos néophytes-nouveaux-riches !!!!!

     

    2 – les agents artistiques et les critiques :

    Les agents artistiques sont vraisemblablement encore plus vicieux que les CP !!! A noter que ce sont les principaux clients des CP et que c’est l’une des principales collusions du marché de l’art.

    Ils jouent sur tous les tableaux à la fois …..  ils font payer les artistes et prennent des commissions sur les ventes et favorisent par le jeu des ventes aux enchères les artistes les plus dociles et qui rapportent le mieux.

    Les critiquent suivent le mouvement. Un bon critique est un critique qui fait une bonne critique sur les artistes côtés et une mauvaise critique sur les artistes refusés par les CP. Le reste ….. ils ignorent !

    Les critiques d’art se contentent de critiquer les artistes très proches des maîtres du business (Pinault et Arnault) et d’une ou deux écoles très officielles.

    Mais leur véritable portefeuille, ce sont les artistes morts, ceux qui font l’objet des petits soins des commissaires priseurs.

    Les critiques d’art se contente de seriner les éternels commentaires rabâchés par les marchands de tableau et les CP qui orientent le marché en fonction de leurs intérêts.

    Les critiques d’art, contrairement à ce que laisse supposer leur titre, ne critiquent pas, ils flattent et lèchent.

    Vous n’entendrez jamais un critique d’art dénoncer les manœuvres de tel ou tel pour se faire une fortune à bon prix. Jamais vous ne les entendrez défendre un peintre inconnu mais de talent …. Ils ne savent pas à quoi ressemble le talent !!!!!

    Les critiques d’art ne s’intéressent pas aux artistes vivants (ou rarement) ….. trop de concurrence et trop difficile de s’y retrouver dans cette jungle d’amateurs plus ou moins inspirés qui s’opposent aux professionnels qui se débrouillent très bien sans les critiques !

    Mais quand, par hasard ils s’en mêlent …… seul leur femme et leur chien sont attentifs !!!!

    Il n’existe en fait aucun critère de classification (principe basique de l’art !).

    Il faudrait que quelques artistes fassent des propositions de classification des œuvres volontairement soumises par leurs créateurs à des critères (si possible objectifs) et ordonnées par genre (figuratif, abstrait, impressionniste, surréaliste …..) et par technique (pastel, gouache, acrylique, huile …..) mais cela semble impossible.

    Si impossible que personne n’ose s’y atteler !!!

    Normalement, ce devait être le rôle des associations et en particulier de la MDA, mais l’art est avant tout un marché juteux et un espace absolu de non droit qui permet aux nantis d’échapper aux règles fiscales et de se constituer des niches et des réserves bien cachées.

    Il y a là, aussi, matière à une émission télévisuelle de toute première classe.

     

    3 – Les revues spécialisées :

    Elles proposent des articles (interviews d’artistes) contre une publicité payante (payée soit par l’artiste, soit par la galerie qui le vend). Autant vous dire que les articles dithyrambiques en question sont écrits par les artistes eux-mêmes (ou d’après leurs déclarations) qui ne vont pas s’amuser à se saborder. Avez-vous remarqué qu’il n’y a jamais de critique négative sur les artistes présentés dans ces revues ?  Et pour cause !!!!!

    Elles ne présentent donc aucun intérêt.

     

    4 – La presse locale :

    Bon ! là, on touche un peu le fond du panier !!!

    Il y a de tout et de rien, mais surtout du rien !!!!

    Le journaliste n’est absolument pas spécialisé, il couvre aussi bien les chiens écrasés que les potins de la chambre de commerce du coin ou les discours de nos chers politiques ……

    C’est CONSIDERABLE !!!!  Il y a parfois de quoi se tordre de rire … ou de pleurs …. C’est selon votre humeur du moment !

    Extrait :

    « Cette jeune artiste de 60 ans a commencé à peindre il y a 6 mois. Elle utilise des pinceaux de peintre en bâtiment pour donner plus de force à ses portraits. Ses portraits sont exécutés en quelques minutes et lui sont directement inspirés par la force divine. Elle peint aussi bien la Vierge que le Christ lui-même.  Elle sera exposée pendant deux mois dans l’église Saint Trusquin ».  (véridique)

    Bon, passons ……

     

    5 – Le mécénat :

    Là, on touche au GROS MORCEAU.

    Là, il y a du fric et pas qu’un peu !!!!!!

    Alors, imaginons un peu le chef d’entreprise qui se laisse convaincre d’investir une somme rondelette. Il y a des commerçants spécialisés dans ces transactions, tout repose sur leurs relations personnelles et leur capacité à convaincre : ce sont des commerciaux, c’est tout.

    Donc, on a un chef d’entreprise TRES sensible aux discours commerciaux, face à un commercial TRES sensible du porte-monnaie. Nous assistons à une transaction purement commerciale dans laquelle ne rentre que pour une part infime les qualités de l’artiste et de son oeuvre. Le principal c’est de vendre au plus cher en s’appuyant sur des arguments fiscaux et financiers : exonération d’impôts et investissement à moyen ou long terme …..

    Les textes concernant le mécénat sont de plus en plus laxistes ….. le grand public n’est pas concerné par ces jeux financiers ni les syndicats ou associations de consommateurs …. Tout se passe entre quelques gros marchands, les chefs d’entreprises désireux d’échapper à l’impôt et les ministères de la culture et de l’économie.

     

    6 – Les galeristes :

    Ce sont des commerçants. Ils ont des contraintes financières et fiscales : payer la location du magasin, les taxes, les impôts, les charges sociales ….. Tout cela coûte cher et explique qu’ils prélèvent une part importante en cas de vente. Souvent, il s’agit d’un gérant salarié recruté par un petit group d’artistes (peintres et sculpteurs) qui investissent dans un local commercial.

    J’ai déjà expliqué les critères qui font qu’un peintre est ou non retenu (pour un essai) par une galerie (nombre de couleurs limité – rémanence du thème et des motifs – respect des formats -  cadres sophistiqués ….).

     

    6 – bis :  les ateliers d’artistes :

    Artistes qui sont avant tout des commerçants mais qui n’ont pas les moyens financiers d’entretenir une galerie. Ce sont des teigneux ! Des artistes qui ne pensent qu’au fric et qui sont convaincus que puisqu’ils tiennent un atelier ils sont les seuls à posséder la ‘légitimité’. Il n’y a pas pire qu’eux pour dénoncer par tous les moyens, même les plus délateurs, les artistes amateurs (ça veut pas nécessairement dire qui ne sait pas peindre, mais plutôt qui n’est pas professionnel, qui n’a pas de commerce avec pignon sur rue) qui cherchent à se faire connaître.

    Pour eux, tout ce qui peut encourager les artistes démunis financièrement est à proscrire, à tuer dans l’œuf !!!!!!!

    Y a pas plus teigneux que ces commerçants qui, faute de talent, se rattrapent par la ségrégation et la discrimination.

     

    7 - Les organismes étatiques (FRAC DRAC …) :

    Il y a aussi du fric (frac), mais pas touche ! Sinécures réservées aux copines et copains.

    Que dire ?????

    Ben ….. je peux pas trop me trahir, j’ai déjà eu tant de mailles à partir avec eux ….

    En tout cas, on ne peut pas dire qu’ils aident les plus doués (sauf si par hasard ils font partie du sérail !).

     

    7- bis – Les maisons des artistes (MDA) et les autres assos :

    Il y a deux MDA qui sont deux associations, l’une officiellement reconnue et qui gèrent les déclarations de cotisations de sécurité sociale auprès de l’URSSAF.

    Elle a réussi à se faire reconnaître par l’URSSAF comme partenaire pour la récolte des cotisations sociales. En contrepartie, les artistes affiliés ont quelques avantages (réduction de taux). Cependant, la MDA n’a strictement aucune action artistique au sens propre du terme. Ses membres du bureau sont là pour vivre des subsides que rapportent les cotisations et autres prélèvements. Si, un artiste rapporte gros, la MDA peut intercéder auprès des organismes officiels pour les valoriser, mais je n’ai pas d’exemple et je ne suis pas tout à fait certain que cela serve l’artiste.

    Les artistes peuvent choisir de payer directement leurs cotisations sociales à l’URSSAF. Dans ce cas, ils n’ont pas le bénéfice du dégrèvement, mais ils ne sont pas automatiquement affiliés à l’ORGANIC (caisse de retraite à laquelle ils devront cotiser volontairement) qui coûte très cher pour une reversion de pension très faible.

     

    L’autre MDA, asso normale sans prérogative spéciale (malgré ses revendications et ses coups tordus). 

    Elle poursuit les artistes de ses assiduités pour prélever la cotisation à leur asso qui n'est ABSOLUMNENT pas obligatoire contrairement à leurs allégations.

    Elle est réputée pour sa gestion financière particulièrement obscure et sa monomanie de pistonner les membres proches de son conseil d’administration ; mais aussi pour ses actions virulentes contre les artistes non adhérents auprès des institutions (Ministère de la culture, FRAC, DRAC, Conseils régionaux, mairies ….) afin d’empêcher toute exposition d’amateurs qui déséquilibre, selon elle, la concurrence entre les professionnels et les autres.

    A ce sujet, on comprend que la frontière entre un professionnel et un amateur se borne à son affiliation à la MDA officielle, la qualité artistique de l’artiste en question n’impacte pas. Or, il y a des pros qui sont de véritables brèles et qui sont, évidemment, les plus farouches adversaires des autres peintres (parfois même des autres pros !)

     

    Anecdote :

    Il y a de braves gens qui, croyant bien faire s'inscrive à la MDA (l'officielle et ou l'autre ---> qui adressera le dossier à l'officielle)  ..... ils sont alors taxés forfaitairement et l'un d'eux, l'autre jour, se plaignait d'avoir 250 euros de cotisations URSSAF à règler quand il n'avait vendu qu'un seul tableau à 150 euros !!!!! et le pauvre ne sait pas encore que, en sa qualité d'indépendant, lle fisc va lui tomber dessus avec, là aussi, une imposotion forfaitaire !!!!

    La qualité d'artiste se paie au prix cher !!!!  c'est aussi pour cette raison (entres mille autres) que les artistes sont des miséreux traînent savattes dépenaillés et exsangue (si vous me voyiez, vous auriez forcément pitié !!!!!)

     

     

    8 – Les conservatrices – conservateurs de musée :

    Une fois encore, je me dois de rester discret, mais je peux vous dire qu’au plus haut de la hiérarchie se trouvent des personnes totalement incompétentes (tableaux exposés par la conservatrice des musées de France, très grossièrement imités, assurés pour plusieurs milliers d’euros).

    Voir, d’autre part, à ce sujet, mon article sur « le grand marché de l’art » (si vous ne le trouvez pas, demandez-moi, je le ferai remonter).

     

    9 – Les manifestations organisées par des associations les communes, les initiatives privées:

    On trouve de tout : des escrocs comme des altruistes.

    Certains sont là pour s’enrichir, d’autres par amour de l’art. Il n’y a pas de cadre juridique ou technique spécifique pour la création d’assos d’artistes (sauf les quelques textes qui régissent la présentation des résultats comptables et l’organisation du bureau) …. Alors ….. tous les coups sont permis.

    Mon conseil : ne jamais accepter de payer (sauf très modique somme justifiée) pour participer à l’une de ces manifestations : plus c’est cher plus c’est une arnaque.

     

    10 – Les écoles des beaux arts et les cours publics ou privés :

    Ils méritent à eux seuls plusieurs pages de commentaires !

    Comme pour les associations, il y a de tout !

    Mes cours aux beaux arts de Caen ont été particulièrement décevants.

    En gros, faites pour le mieux ! et on vous lâche devant votre travail abandonné à votre triste sort !

    Moi qui espérait la découverte de quelques recettes incontournables pour le rendu de telle ou telle matière …. Rien, le néant …. Et pire ….. le prof redirigeait les questions des élèves vers votre serviteur !!!  fou fou fou !

     

    Pour l’école des hautes études graphiques, ce que j’en sais, c’est qu’il y est interdit de représenter des paysages ou des portraits figuratifs ou impressionnistes …. C’est l’école du nihilisme artistique, tout ce qu’ont fait les anciens – sans exception – est banni de l’école d’où devraient ressurgir les tout prochains génies !!!!

    Les élèves sérieux restent aux cours parce que l’école est un tremplin appréciable, mais sont révoltés (silencieux) de l’enseignement débile qu’on leur adresse. Dans l’ombre, ils font des portraits et des paysages figuratifs classiques … seul travail capable d’affiner l’œil et la main !!!

     

     

     

    Bon ! je crois avoir fait à peu près le tour….  Pour aujourd’hui !

     

    MAIS, me direz-vous, où est l’art dans tout ça ??????????

     

    Vous me trouvez pessimiste ??????????

     

    Chercher l’aiguille dans la meule de foin est plus aisé que chercher l’art dans le petit monde qui gravite autour de l’art.

     

    De deux choses l’une,

    Vous êtes convaincus de votre art et vous n’avez quasiment aucune chance de faire partie de ce monde entièrement dévoué au dieu FRIC

    Ou bien vous êtes vous aussi un dévot du dieu FRIC et dans ce cas vous trouverez certainement votre chemin.

     

    Il faut savoir choisir son camp.

     

    En tout cas, si vous êtes bien informé des arcanes de l’art, cela vous donne une chance supplémentaire de trouver le fil d’Ariane qui vous mènera peut-être jusqu’à la sortie du labyrinthe !!!!

     

     

    Prochaine question :

     

    faut-il réglementer le marché de l’art et si oui, comment ?

     

    Kenavo

  • Toute la vérité sur la TVA sociale

     

    Citoyens, on nous bourre le mou !!!!!

     

    Soyez révoltés car le gouvernement est en train de vous blouser comme des bleus.

     

    La TVA sociale est ni plus ni moins qu’un nouvel impôt indirect (les plus injustes puisque touchant l’ensemble des citoyens à travers la consommation de biens)

    Les objectifs de la TVA sociale sont particulièrement vicieux.

     

    Explication économique :

     

    1er temps  - baisse des cotisations sociales ; payées par les salariés ET les employeurs sur la masse salariale de 6 points (vraisemblablement 5 points pour les patrons et 1 pour les salariés) ?

     

    Du coup, on prétend que les prix baissent car les entreprises sont censées reporter les gains de production sur les prix de vente.

    Vous y croyez-vous ?

    Vous pensez que les actionnaires vont accepter de leur voir passer sous le nez 6% de bénéfices à rien foutre ! ?

     

    2eme temps  - hausse de la TVA de 6 points (pour compenser la baisse des cotisations sociales).  Ainsi, prétend-on, la TVA finance le social !

     

    Il faudrait être particulièrement niais pour ne pas voir l’énormité de la manœuvre !!!!

    Les 6 points sur la masse salariale sont reportés sur l’ensemble de la consommation des ménages.

    En gros :

    quand j’ai 1 000 000 milliards d’euros de masse salariale économisant donc 60 000 milliards de cotisations sociales

    j’aurai en contrepartie sur la consommation totale des ménages de 3 000 000 milliards d’euros une augmentation d’impôt indirect de 180 000 milliards !!!

     

    Où, d’après vous, iront les 120 000 milliards d’augmentation de recette fiscale ?

     

     

    Au total, ce sont non pas 180 000 milliards d’augmentation du coût de la vie, mais 180 000 plus 60 000 (dans la poche des actionnaires) soit 240 000 milliards !!!!

     

    Ben oui, les fêtes somptuaires au palais de l’Elysée, les déplacements en véhicules de luxe, en avions privés, les emplois des petits copains …. Faut bien trouver de l’argent quelque part, non ?

     

    Les plus défavorisés seront les chômeurs (qui ne paient pas de cotisations sociales) et les retraités pour les mêmes raisons et parce qu’ils paieront plus chers les biens de consommation courante..

    Or, la masse des retraités va considérablement augmenter dans les mois et les années qui viennent (effet du baby boom d’après guerre) on peut donc envisager une baisse considérable du niveau de vie de cette population qui va payer pour le reste de la nation, mais l’effet le plus pervers et que les actuaires refusent de prendre en compte (faut pas casser les beaux rêves à court terme par les cauchemars à venir ! ) c’est que cette baisse du pouvoir d’achat des vieux va entraîner une baisse gigantesque de la consommation et un déplacement de cette consommation vers le marché noir ; du coup, le désastre sera plus profond et plus rapide que ce qui est prévu !

     

     

    Nota bene :

    Je tiens mes chiffres de mon usine à penser qui est située juste sous ma boîte crânienne !

     

  • Les chiennes feraient mieux de se garder elles-mêmes !!!

    Les isabelle se suivent mais ne se ressemblent pas vraiment !

     

    Sur « on a tout essayé », émission intellectuelle de FR2, ce soir, 21 juin 2007, où sévissent les nec plus exgras de la french intelligentsia ……  une iranienne qui vient présenter son bouquin au titre répulsif :

    « pintades à Téhéran »

     (Delphine Ménoui - je crois)

    Cris d’orfraie de l’isabelle allonso (zoo) !

    La chienne de garde, campée sur ses papattes se dresse en redresseuse de tords pour exprimer sa désapprobation outragée !!!!!!!!

    Conne de chienne … avant je me disais : je la prendrais bien en levrette …. la pipe, avec les dents qu’elle a c’est beaucoup trop risqué !

    Maintenant, je me dis que comme coupe cigare, elle peut encore servir !!!!

     

    Elle n’a, dans son homérique combat pour les femmes, que des ombres comme adversaires … tant qu’elle ne s’attaque pas aux musulmans (ce qu’elle se garde (chienne) bien de faire …. Pas folle, la guêpe !!!!!!)

    Elle lutte contre quoi … contre qui ….

    Réponse : contre Yfig et sa nouvelle : « et JE créa la femme »

    Contre moi, au moins, elle ne prend aucun risque si ce n’est celui du ridicule … mais comme ça ne tue pas …. Elle ne s’en prive pas !

     

    L’iranienne, elle, se bat contre les dangereux théocrates de son pays, la tête haute, fière, elle n’a pas beaucoup d’alternatives ni de marge de manœuvre, la moindre erreur peut lui coûter la vie, rien que ça ….

     

    Alors qu’Allonso, elle, risque une bonne claque dans la gueule !!!!  je me porte volontaire pour la lui filer …. Et si, comme je l’espère, je lui casse les dents, elle pourra prétendre me faire une pipe !!!!!!!!

     

    Désolé d’être quelque peu violent, mais elle m’a vraiment gonflé et je ne comprends pas que personne ne vienne lui clouer le bec !