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caca boudin

  • Quand un message d’iPidiblue (Pierre Driout) relayé par votre serviteur finit par atteindre les oreilles qu’on écoute et Christine Lagarde à poil sur son poney refuse de se faire remonter les bretelles !

    Ca y'est, le fichier de flicage du MRAP qu'iPidiblue me signalait il y a quelques semaines et les divers sites où je l'ai planté (y compris la Halde) .... a fait son chemin ......

    C’était dans les commentaires de mon article 30-01-2010:

    http://yfigexnihilo.hautetfort.com/archive/2010/01/29/pauvre-langue-francaise-en-ton-nom-que-de-vilenies-et-de-fel.html#comments

    Et je le commentais de la façon suivante :

    Ce rapport est terrifiant, c'est l'Hydre de Lerne puissance dix, tout y est amalgamé de façon absolument fascisante et liberticides !
    C'est ABOMINABLE !
    Aucun discernement, aucun humour, du raciste à l'état pur, du vrai, celui-là, le pire, celui qui ne laisse aucune chance ni à l'intelligence ni à l'esprit !!!!!

    Putain, mais qu'attend le gouvernement pour dissoudre ce nid d'antidémocratie facho ?

    De plus, tu l'as remarqué, le lien que tu m'as donné me signale automatiquement au MRAP qui va, je n'en doute pas épluché (si ce n'est déjà fait car j'avais déjà eu plus de 1600 pages consultée - en fait copiées ...) et surveillé !

    Tiens, je me demandais d'où me venaient toutes cs consultations de mon blog .... plus besoin de chercher !

    Ils ont tissée une toile qui va nécessairement les renvoyer vers l'ensemble de la population puisqu'en me surveillant, ils surveillent tous les internautes qui passent par là sans avoir jamais rien demandé à personne !

    Qu'ils aillent se faire foutre avec leurs métodes nazies !

    Ecrit par : Yfig en léger différent de Pékin | 30.01.2010

    Un article :

    Quand le MRAP fait des listes noires

    Publié le 22 février 2010 à 06h45

    Par :

    L'auteur

    Elisabeth Lévy et Jérôme Leroy sont journaliste et écrivain.

    ici :

    http://www.causeur.fr/causeur-a-lindex,3840

    et repris par Rue89 ici :

    http://www.rue89.com/la-tribune-du-vaticinateur/2010/02/26/en-ajoutant-causeurfr-a-sa-liste-noire-de-sites-le-mrap-derape

    Fichier que j’avais commenté sur le post :

    http://www.lepost.fr/article/2010/01/30/1915588_un-excellent-rapport-sur-tous-les-sites-interrnet-racistes-antisemites-clericaux-d-extreme-droit-d-extreme-tout_1_0_1.html

    Article qui avait foutu le bordel chez le Stalker à sa mémère :

    http://stalker.hautetfort.com/archive/2010/01/30/stalker-revu-et-corrige-par-le-mrap.html

    et j’ai droit au dédain d’un certain Mathieu (ancien observateur) un macaque qui gueule comme un babouin :

    http://lancienobservateur.blogs.nouvelobs.com/archive/2009/01/13/je-suis-antisemite.html

  • Dis Yfig, c'est quoi l'art ?

    Ou

    Mais que fait la police ? 

     

    MIRCEA CANTOR / CIEL VARIABLE

    Du 4 mai au 15 juillet 2007
    Vernissage le jeudi 3 mai 2007 à partir de 18h00

    AU COLLÈGE / FRAC / FONDS RÉGIONAL D’ART CONTEMPORAIN CHAMPAGNE-ARDENNE /

    Exposition ouverte du mardi au dimanche de 14h00 à 18h00

    Le Frac Champagne-Ardenne présente du 4 mai au 15 juillet la première exposition monographique en France de l’artiste roumain Mircea Cantor. Afin d’appréhender de manière poétique une fin du monde possible, l’artiste a intitulé cette exposition Ciel variable. Cette imprévisibilité du futur propose autant l’apocalypse qu’un renouveau potentiel, à l’image de la sculpture Monument for the End of the World, dont le carillon surplombant la maquette d’une grande ville serait activé par une éventuelle catastrophe.

    Untitled, 2006 (© Mircea Cantor)

    Œuvres textuelles, films/vidéos, photographies, installations, éditions, le travail de Mircea Cantor se déploie dans une étonnante diversité de médiums, sans répétition. Chaque pièce revêt un caractère de manifeste, chaque image est motivée. En proposant une réponse personnelle à une réalité saturée de signes parfois oppressants, Mircea Cantor bouscule et renverse les conventions, à l’instar de cette toile sur laquelle l’artiste a peint un nid constitué de brindilles a priori mortes mais qui bourgeonnent pourtant. Ce cycle de la disparition et du renouveau est constamment mis en jeu dans l’œuvre de Mircea Cantor qui nous rappelle ainsi la course effrénée au temps dans nos sociétés contemporaines.

    Ni rétrospective traditionnelle, ni présentation de pièces inédites, cette exposition est une manière pour l'artiste d'offrir une nouvelle lecture de son travail. Déployées dans tout l’espace du Frac, les œuvres produites à l’occasion révèlent et matérialisent la pensée non-linéaire de Mircea Cantor qui propose par-là même une cosmogonie : un univers de tous les futurs, de tous les passés, de tous les possibles. Untitled, 2006, présente ainsi un morceau de titre déchiré du journal Le Monde, auquel l'artiste a simplement ajouté deux S au feutre rouge - allégorie sensible de la fragilité de nos convictions face à la superposition infinie des mondes qui densifie notre conscience incertaine et inquiète. Mircea Cantor se place très souvent à la croisée de mondes et permet des rapprochements de mentalités, comme un témoin attentif de la société et des cultures, préoccupé par l'alchimie des idéologies dans la circulation infinie de la pensée.

    All the Directions, 2000 (© Mircea Cantor et Galerie Yvon Lambert, Paris, New York / Collection Yvon Lambert, Avignon )

    Remarqué à la Biennale de Venise 2003, à la Biennale de Berlin 2006, à l'exposition Forwart 02 à Bruxelles, au Philadelphia Museum of Art en 2006, à la galerie Yvon Lambert New York et Paris, lauréat du prix Ricard 2004, Mircea Cantor est l'une des figures marquantes de ces dernières années et appartient à une génération d’artistes d’Europe de l’Est révélés récemment. Ayant grandi en Roumanie pendant le communisme, Mircea Cantor fait part d’une incroyable lucidité et d'une distance sur les réalités des pouvoirs en place et sur les illusions de l’occident néo-libéral. Il est en outre très impliqué et engagé dans la scène artistique roumaine, entre autres à travers la revue Version dont il est l’un des co-éditeurs.

    Mircea Cantor est invité par le Collège / Frac Champagne-Ardenne pour une résidence de production à la Chaudronnerie au Lycée Val-de-Murigny à Reims. À cette occasion, l’artiste va produire un film 16mm dans lequel on discerne l’incandescence puis la dissolution d’une ombre - celle d’un drapeau en ombre portée dont on ne peut déterminer ni la forme, ni l’origine. Parce qu’il n’est pas identifiable, ce drapeau est à la fois emblématique de la fin d’un régime et d’un renouveau de la société, à échelle universelle.

    En conjonction de l’exposition, la première monographie de Mircea Cantor sera co-éditée par le Collège éditions et la galerie Yvon Lambert, Paris / New York. Parution prévue à l'automne 2007