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art

  • L’art se meurt, l’art est mort …………………….. vive l’art ! --- O sole mio ---- Carla chante sous la douche à RTL.

     

     

    Il arrive que les internautes fassent preuve de génie.

    Surtout lorsqu’on assemble leurs idées.

    On pique un morceau là,

    un autre ici et de sites en sites,

    de commentaires en commentaires,

    une idée géniale s’impose à vous :

    Quand l’art sera mort, il faudra bien le recréer.

    Alors … souhaitons à l’art une mort rapide.

  • 11/11/08 Mon rapport quotidien à Edvige - vivons heureux sans impôts !

     

     

    mardi 11 novembre 2008

     

    Il semble que certaines dispositions prises pour les amis soient bien cachées ….

    Soyons un peu technique, pour une fois !

     

     

    Piqué dans Net-Iris :

     

    Les critères de lucrativité des associations de création artistique

     

    Article de veille publié le vendredi 7 novembre 2008.
    Rédigé par Net-iris et classé dans le thème Commercial & Sociétés.

    Une association est par nature, un organisme à but non lucratif. Toutefois, il existe des exceptions, comme par exemple, les associations de création artistique qui produisent et créent des oeuvres qui peuvent réunir plusieurs artistes dans des disciplines telles que les arts plastiques, les arts de la rue, du cirque, de la danse, de la musique, du théâtre. Ces associations peuvent toutefois être, sous conditions, exonérées des impôts commerciaux.
    Un rescrit daté du 4 novembre 2008 (n°2008/25) détaille les cas dans lesquels les activités des associations de création artistique sont exonérées des impôts commerciaux.

    Date: 05/11/2008

    http://www.grouperf.com/depeches/plus_de_depeches.php?id_domaine=1&start=0

     

     

    Fiscal

    Fiscalité des organismes non lucratif

    IS-TP-TVA : exonération des associations de création artistique

    Les associations de création artistique produisent et créent des œuvres qui peuvent réunir plusieurs artistes dans le cadre des arts plastiques, des arts de la rue, du cirque, de la danse, de la musique ou du théâtre. Elles animent la vie sociale et culturelle en produisant des œuvres ou des spectacles, en organisant des manifestations artistiques, en diffusant des œuvres produites, en encadrant des actions de formations ou des pratiques amateurs...
    Ces associations sont exonérées des impôts commerciaux (IS au taux de 33 1/3 %, TVA et taxe professionnelle) dans les conditions de droit commun (définies par le BO 4 H-5-06), sous réserve de certaines particularités. Par exemple, ces associations sont en principe non concurrentielles si elles ont pour spécificité la production d'œuvres originales, expérimentales ou innovantes dans le cadre d'un projet culturel et artistique global clairement affiché.
    De même, ces associations peuvent se différencier des entreprises commerciales en proposant des œuvres (originales, expérimentales ou innovantes) créées par des artistes amateurs ou professionnels sans moyens financiers. Elles se distinguent également du secteur lucratif lorsqu'elles développent et organisent autour de la production artistique un projet éducatif et d'action culturelle clairement identifié en direction de populations spécifiques issues des quartiers défavorisés ou de zones rurales sous-équipées et mal pourvues en offre culturelle et artistique.

    Rescrit 2008-25-ASSOC du 4 novembre 2008

    Brèves2008-11-05

    Le critère de la gestion :
    Tout d'abord, l'association doit être gérée de façon désintéressée. Les dirigeants, de droit ou de fait, doivent exercer leurs fonctions à titre bénévole.
    Cependant, le recours à un directeur salarié, qui peut participer à titre consultatif au conseil d'administration, n'est pas de nature à remettre en cause le caractère désintéressé de la gestion de l'organisme dès lors que le conseil d'administration détient un pouvoir de nomination et de révocation du directeur et en fixe la rémunération.
    Néanmoins, en raison de la spécificité de l'activité artistique, il est admis que le directeur dispose d'une grande liberté pour la gestion de l'organisme, notamment en matière d'orientation artistique, sans que la gestion désintéressée soit remise en cause.
    Inversement, lorsque le directeur, membre ou non du conseil d'administration, se substitue à lui pour la définition des orientations majeures de l'activité de l'organisme, sans contrôle effectif de ce conseil, ou fixe lui même sa propre rémunération, il sera considéré comme dirigeant de fait entraînant par là même la gestion intéressée de l'organisme.

    Le critère de la concurrence :
    La spécificité des associations de création artistique est la production d'oeuvres originales, expérimentales ou innovantes dans le cadre d'un projet culturel et artistique global clairement affiché. Ces associations qui sont des compagnies, des troupes, des collectifs ou des groupements réunis autour d'artistes ont pour objet le développement de performances artistiques qui n'ont en général pas vocation à être exploitées commercialement. Elles sont donc en principe non concurrentielles.
    Néanmoins, si ces associations exerçaient leurs activités en concurrence avec des entreprises du secteur concurrentiel, l'administration fiscale serait amenée à étudier les critères dits des "4 P", rapportés ci-dessous.
    En effet, pour vérifier qu'une association réalise une activité non-lucrative bien qu'elle soit en concurrence avec des entreprises du secteur lucratif, il convient d'analyser : le produit offert ; le public visé ; le prix pratiqué ; et les méthodes commerciales mises en oeuvre, étant précisé que le fait que des participants soient rémunérés pour leurs prestations ne doit pas conduire à éluder l'étude des différents critères de non-lucrativité (gestion désintéressée). Ces critères qui constituent un faisceau d'indices sont classés en fonction de l'importance décroissante qu'il convient de leur accorder.

    Le critère du produit :
    Une association pourra notamment se distinguer d'une entreprise commerciale dès lors qu'elle :
    - propose des créations artistiques, c'est-à-dire des oeuvres dont la caractéristique artistique est d'être innovante ou expérimentale et de connaître une faible notoriété. Dans tous les cas, les oeuvres proposées ne s'inscrivent pas dans une exploitation de type commercial (réseaux de grande diffusion organisée et exploitation médiatique) ;
    - propose des créations d'artistes amateurs ou professionnels sans moyens financiers et dont la notoriété ou le projet artistique est à établir. Ces artistes trouvent souvent au sein de ces associations l'occasion unique de produire et de diffuser leurs oeuvres ;
    - développe et organise autour de la production artistique un projet éducatif et d'action culturelle clairement identifié en direction de populations spécifiques issues des quartiers défavorisés ou de zones rurales sous-équipées et mal pourvues en offre culturelle et artistique ;
    - fonctionne grâce à la participation active de bénévoles dans la production et la valorisation des créations artistiques.

    Le critère du public :
    Les créations artistiques proposées peuvent s'adresser à tout type de public de manière indifférenciée. Néanmoins, les actions que les associations peuvent mener auprès de publics défavorisés issus de quartiers ou de zones rurales sous-équipés et mal pourvus en offre culturelle et artistique, en leur permettant d'assister aux spectacles et aux animations proposées et/ou de participer à l'organisation même des activités permettent de considérer que ce critère est rempli.

    Le critère du prix :
    Lorsque la prestation artistique ou l'oeuvre est acquise par une collectivité (collectivités locales, entreprises) le critère relatif au prix ne peut être considéré comme un critère de différenciation.
    Lorsque le public participe au financement de la prestation artistique (notamment lors de spectacles), les prix proposés doivent être dans tous les cas inférieurs d'au moins un tiers au prix proposé par les organismes du secteur concurrentiel et peuvent être modulés en fonction de la situation des spectateurs.

    Le critère de la publicité :
    Les associations peuvent proposer des opérations d'informations (plaquettes de présentations, publipostages, affiches, site internet, etc...), notamment pour informer les personnes auxquelles s'adressent les créations qu'elles réalisent, sans que soit remise en cause leur non-lucrativité, à condition que les moyens mis en oeuvre ne puissent s'assimiler à de la publicité par l'importance et le coût de la campagne de communication.
    Compte tenu des contraintes fixées aux collectivités par l'application du code des marchés publics, ces activités font parfois l'objet d'un appel d'offres public donnant lieu à la conclusion d'un marché. Il est précisé que cet état de fait ne permet de conclure à l'existence d'une concurrence réelle que si des entreprises commerciales participent à ces appels d'offres de manière habituelle.

     

    Avouez que ça demande réflexion …..

     

    Vais-je ou ne vais-je pas créer une association artistique exonérée d’impots ?

     

     

    629685EmilieO.jpg
  • à quelqu'un d'autre

    Bonjour quelqu'un d'autre.

     

    C'est sympa d'utiliser mes sources, ça l'est moins de ne pas me citer !

    Allez, un petit geste, quoi ....

    Quand on utilise les liens, on peut (pour ne pas dire 'on doit') donner la source, non ?

     

    "Piqué chez cet attardé de Yfig"  ... ça me suffirait largement !

     

    merci

  • Un petit pas à pas

     

    Un pas à pas, c'est, comme son nom l'indique, quelque chose qui ne va pas vite, qui traîne, qui prend son temps ....

    Là, pour les besoins de la cause, ça va aller très vite, mais la durée entre la première photo et la dernière, c'est plus de trois mois de travail !

    C'est le temps moyen qu'il faut pour fabriquer un tableau.

    Evidemment, d'autres tableaux mettent bien plus longtemps.

    Un peintre "trompe l'oeil" , comme Poirier, pouvait mettre jusuq'à trois ans pour un tableau.

     

    Première photo :

    384660etape20.jpg

     

    Seconde photo :

    950585etape40.jpg



    Troisième photo :

    737255etape50.jpg


    Quatrième photo :

    390083etape90.jpg


    Et enfin, dernière photo :

    512683Honfleur_F.jpg


    Voilà, c'est tout !

  • 27/09/08 Mon rapport quotidien à Edvige

     

     

     

     

    Le 27 septembre 2008

    Au revoir petite taxe pick-nick (ta mère) !


    picknick.jpg

     

     

    Sur le blog à Mélanchon :

    @ Di géo post 57

    Je cite :

    · DiGeo dit:
    27 septembre 2008 à 9:59

    Nous sommes tombés de Caribde “JM” en Sylla “Rock&Troll”

    On pardonnera l’exubérance du second au seul motif que son jugement par rapport au premier est tout à fait réaliste. Je le cite post 40: “Je le trouve grave JM ! Je connaissais pas, j’ai lu hier des querelles ….
    mais là, je dois dire qu’il est obséquieux et hautain !”

    Pour ce qui est du deuxième larron il est en effet très rock. et troll.
    Petite définition wikipédienne: On parle de troll pour un message dont le caractère est susceptible de générer des polémiques ou est excessivement provocateur, sans chercher à être constructif, ou auquel on ne veut pas répondre et que l’on tente de discréditer en le nommant ainsi.
    Autre citation du deuxième larron tout à fait dans la veine de l’ineffable J.M,je cite post 42………………. “Je ne suis là que depuis un jour (ou 24 heures) et je mesure l’inculture des thuriféraires du blog !”
    Conclusion: les deux font la paire ou les deux ne font qu’un ou si vous préférez: un malheur n’arrive jamais seul.
    Ridiculis ridicules hommes.

    Petite correction : Charybde

    Ridiculis ?

    Vouliez vous faire un bon mot en latin ?

    En voici un, sérieux, celui-là et qui me vient à vous lire !

    Væ misero nihi

    Vous n'avez pas prêté attention au fait que je mets l'adresse de mon blog.

    Seriez vous trouillard au point d’avoir peur de lire autre chose que du Mélanchon ?

    Oui, je suis volontairement provocateur, mais vous ne m'avez pas bien lu pour affirmer que je suis négatif et que je ne fais pas de propositions !

    1 que les politiques retournent à l'école de la vie et passent un bout de leur temps dans les entreprises près des ouvriers et des cadres, près des femmes et des homme qui, par leur travail créent les richesses de notre pays que quelques voyous en col blanc s'approprient indûment. Ils profiteraient également de passer quelques années à travailler à l’étranger … ils s’apercevraient que la France n’est pas le centre de l’univers et qu’eux-mêmes ne sont pas les maîtres du monde.

    Quand vous en bavez pour gagner chaque jour votre vie, vous n'avez pas la même optique que celui qui se goberge dans des palais en se demandant comment il va bien pouvoir occuper sa journée ou comment il va pouvoir entuber les autres.

    2 Que les politiques fassent rigoureusement leur boulot et cessent de dire n'importe quoi sur tous les sujets et en particuliers sur ceux dont ils ignorent tout.

    Prendre des décisions au doigt mouillé n'a jamais mené à un cap.

    Critiquer ridiculement les autres sur ce qu’eux-mêmes ne maîtrisent pas relève du plus vil arbitraire et ne fait pas avancé notre société.

    3 Que les politiques s'efforcent d'apporter au peuple les réponses qu'il ne peut trouver par lui-même, mais cessent d'imposer par la force et la ruse leurs intérêts personnels, ceux de leur famille et de leurs copains !

    Le capitaine prétend que tout va bien ! mais pourtant, la corruption et le piston sont une gangrène dont il faut se débarrasser.

    Comment est-il encore possible qu’un homme politique condamné pour prise de participations illégales puisse revenir aux affaires ?

    4 Que les politiques s’engagent à réaliser leurs promesses ou disparaissent.

    Ils doivent s’engager sur un planning précis et signer de leur sang et s’en retourner dans leur pénates quand ils sont incapables de réaliser le pacte avec les citoyens.

    5 que le nombre et la durée des mandats soient limités.

    6 Il faut que les ministres soient compétents dans le domaine qu’ils couvrent. L’adjudant ne me contredira pas, on ne file pas un fusil à un objecteur de conscience ni un LRAC à un aveugle ! C’est la même chose pour la gouvernance. Confier un ministère à une coquette ne peut rien générer de bon.

    7 Il faut que la constitution soit respectée par les politiques. Si la classe politique veut faire revenir le goupillon aux affaires, elle n’a qu’à organiser un referendum et nous verrons bien si les imams, les évêques et les rabbin doivent occuper des postes au gouvernement.

    8 Il faut, enfin, que les politiques reconnaissent les droits des citoyens (électeurs).

    Voyez sur ce blog et sur tant d'autres politiques ou non, comme les individus qui exposent calmement mais fermement leur opinion et leurs désillusions sont systématiquement traités de 'troll', ignorés, conspués ....

    Automatiquement, tout opposant est vilipendé et ses idées sont mises à la corbeille (la poubelle, pas la bourse).

    Tout ce qui ne va pas dans le sens du blog doit être éliminé !

    Et tous les moyens sont bons, ça va du dédain à l'insulte.

    Or, cette attitude (de droite comme de gauche du centre et de tous les côtés) est symptomatique de la façon dont se comporte la société organisée vis à vis du citoyen isolé !

    Aujourd'hui, pour avoir droit à la parole, il faut appartenir à un parti ou à une association.

    Parti ou association qui répond à un ou quelques chefs inamovibles, indiscutables, tout puissants et invincibles.

    Participer à ce genre d'organisation nécessite d'abonder dans le sens du chef ... suffit de lire les interventions ici pour en avoir un panel représentatif.

    Mais vous savez, sur le blog de Lambert, c'est idem ..... le chef parle, dit ce qu'il faut penser ... et le citoyen ferme sa gueule et obéit.

    Je ne suis d'aucune organisation.

    Je suis un individu, seul face à la multitude de résistances à la liberté et à l'intelligence .... partis politiques, organisations religieuses, sectes, médias, blogs, sites web .....

    Mais je me sens aussi fort que vous qui vous appuyez sur votre collectivisme de pensées qui n'est, en fait, qu'une forme dépendance aux idées des autres : les chefs.

    Or, la démocratie participative est possible grâce, justement à l’internet.

    Seulement voilà …. Les chefs ont peur !

    Alors qu’ils devraient prendre la mesure de la chance que ça représente pour eux et la démocratie que d’avoir des opinions participatives et dialectiques.

    Remettons ça aux calendes Grecques .....

    Voilà !

    Il y a certainement encore beaucoup à dire, ne serait-ce que pour discuter de la façon de limiter la casse de la crise économique et empêcher, tant que faire se peut, que ça se reproduise …..

    Mais je vous laisse régler ça entre vous ….. vous êtes si malins.

    Je finirai, moi aussi et en signe d’adieux sur une citation latine (puisque vous semblez aimer ça) :

    atque utinam ex vobis, vestrique fuisssem
    Aut custos gregis,aut maturae vinitor uvae
    hic gelidi fontes, hic mollia prata, Lycori

    hic nemus, hic ipso tecum consumerer aevo

    Virgile Buccoliques X

    Fermez l’ban !

    Vous remarquerez, si vous avez la curiosité d’aller vous baguenauder sur ce genre de blogs que le Maître écrit un article ….. en général assez minable et plein de grossières erreurs …. Puis, en grand seigneur, ils laissent aux autres le soin de débattre de philozoozoopher sur les paroles intangibles du guru !

    Bribri et d’autres ne font pas autrement !

    Je préfère un blog comme celui à Driout qui ne laisse aucune place aux imbéciles pour saccager son travail.

    Quant à moi, je n’ai pas de mal à répondre …. Surtout depuis que Vanilles est tombée amoureuse d’un réverbère berbère  et que Sergio a obtenu le permis de voler de ses propres ailes !

    Mais si j’avais comme ces « bloggeurs artistocrates » des centaines d’interventions, je me permettrais de répondre au plus grand nombre …. C’est la moindre des politesse, non ?

    Mais eux sont tellement au dessus du vulgum pecus, hors de question de s’abaisser à dialoguer avec des ploucs du tiers état, de la caillera de quincaillerie !

  • L’art et la manière de vivre la vie de château. De qui se moque-t-on ?

     

     

    Sous le titre racoleur :

    Art contemporain

    Menaces sur Kerguéhennec

    L’installation du Centre Tal-Coat et un prérapport désobligeant mettent en péril le centre d’art breton.

    Le Journal des Arts - n° 286 - 5 septembre 2008

    Lire l'article


    et, pour admirer l’œuvre du peintre Tal-Coat :

    images Tal-Coat

    Ah ! ces bouffeurs de subventions !!!!

    Jamais contents !

    carac_vignette1_1.jpg

    Ils ont la vie de château, mais ils en demandent toujours plus ……

    Ces mauvaises manières de la DRAC, du conseil régional et du ministère de la culture à leur encontre seraient-elles prémonitoires et annonciatrices de catastrophes bien plus grandes à venir ?

    Tou(te)s ces planqué(e)s incultes, direct(eurs)rices de musée, ces directeurs d’associations de malfait(eurs)rices vivant du denier de l’Etat et se gobergeant dans des demeures seigneuriales vont-ils, à leur tour, connaître le bonheur de vivre en HLM et d’aller pointer à l’ANPEASSEDIC ?

    A force d’exposer de la merde, ils se verront bientôt dans la dèche obligé(e)s de la manger, cette merde qu’ils se complaisaient à louer avec la plus grande mauvaise foi !

    Réjouissons-nous mes sœurs, mes frères …… les ignominieux indigents de la culture vont disparaître faute de fric et laisser place aux vraies valeurs !

    Merci qui ?

    Sha She Qi, bien sûr !

     

  • l'art n'est qu'un marché, une caisse, un porte-monnaie .... du gras, du lard !

     

    70214.jpeg70217.jpeg     L'escargot en trompe l'oeil méthode des glacis - hule sur toile.   (Yfig 2008)

     

     

    Qui a tué Davy More

    Qui est responsable et pourquoi est-il mort ?  (G. Allwright traduit de Bob Dylan)

     

     

     

    La « Peau de l’Ours » nous communique :

    Bonjour,

    Vous trouverez au travers des liens ci-dessous (Documents pdf) :
    « le rapport de Martin Bethenod » pour la relance du marché de l'art
    les mesures annoncées par la Ministre de la Culture » suite à la remise de ce rapport.


    Ces deux documents seront l'objet de la table ronde que La Peau de l'Ours organise ce mardi 1er juillet à 20h30 à la Mairie du 13ème arrondissement de Paris.

    Nous souhaitons tout particulièrement y réaffirmer le consensus qui semble se dessiner entre galeristes, amateurs d'art et artistes sur les mesures de défiscalisation pour l'achat par des particuliers "d'oeuvres d'artistes vivant en France".
    Le principe de cette mesure retenu dans le rapport de Martin Bethenod ne figure pas dans celles annoncées par la Ministre. C'est pour cela que nous voulons insister sur leur utilité lors de la "table ronde", avant que discussion et vote ne s'ouvrent au Parlement.

    25 juin 2008 14:40

     

     

     

    Réponse à : La « Peau de l’Ours »

    Sur

    Relance du « marché » de l’art !

     

     

    J’ai lu en entier les deux documents que j’avais déjà eu l’occasion de parcourir rapidement car ils me donnent la nausée ….. mais je me suis astreint à leur lecture instructive (si on veut !)

     

    Il s’agit, à l’origine, d’une « commande d’état » organisée par madame C. Albanel sur l’opportunité de relancer le marché de l’art Français qui s’effondre face aux autres places (New-York, Londres, Pékin ….).

     

    Cette commande est passée auprès de monsieur M. Bethenod.

     

    Monsieur Bethenod rédige donc un rapport qui reprend point par point les points de la commande de madame la ministre qui reprend point par point le rapport de Bethenod pour en faire :

     « Plan de renouveau pour le marché de l’art français »

     

    Tout le monde remarquera (remarquable) la technique qui consiste à commander un rapport sur ce que l’on veut décider ….. on n’est jamais mieux servi que par soi-même ….. et demandez-vous plutôt qui tire les ficelles de tous ces acteurs politiques ?????

     

    Si je voulais vendre ma maison un bon prix, j’en ferais une description idyllique et je commanderai une publicité à une agence immobilière basée sur ma description et je présenterais ma maison aux clients en leur montrant le rapport de l’expert immobilier (qui est en fait le mien !).

     

    Bon ! passons  …. Comme des anges !!!!

     

    Faisons comme si ….. comme si nous ne comprenions pas que des gens très puissants ont dicté à madame la ministre le contenu de sa commande …. Et observons le contenu du rapport et du plan.

     

    Le plan, c’est la répétition du rapport, et le premier hic, c’est que tout cela est fabriqué de toutes pièces par et pour des marchands.

    Il n’est nullement question d’art dans ce rapport, mais uniquement de questions bassement matérielles sur la façon dont les boutiquiers vont bien pouvoir continuer à vendre et à vendre plus si possible ce qui est déjà vendu et revendu.

     

    Voici la technique qu’ils proposent :

    1 -  exonéré les antiquaires et les commissaires priseurs des droits de suite.

    Cette mesure leur permettant de conserver pour eux cette partie de droits qui consiste à reverser à l’artiste créateur un droit sur chaque revente de sa création. On voit bien , dans cette première mesure, que l’art et son créateur sont exclus des enjeux, voire spoliés !

     

    2 – Baisser pour les antiquaires, les commissaires priseurs, les bijoutiers les galeristes le taux de TVA de 19,6% à 5% (à négocier ….). L’artiste n’est pas concerné car non assujetti à la TVA.

     

    3 – Etendre les dispositions d’exonérations fiscales du mécénat aux professions libérales et aux particuliers afin de redynamiser le marché de l’art …… Mais ça concerne que de très loin les artistes qui n’ont pas de moyen de contrôle sur ces avantages fiscaux qui sont censés ragaillardir le marché …. Mais lequel ?

    Même s’il est stipulé qu’il s’agit des artistes vivants, on peu se demander ce que ça change pour eux dans la mesure ou l’exonération intervient sur la déclaration de revenu du contribuable qui achète une œuvre …. Est-ce que cela l’incitera réellement à en acheter plus ?

    Et si oui, lesquelles ?

    Cette disposition me semble plutôt être un argument de vente qu’autre chose … mais bon, soyons indulgent et faisons comme si ….

     

    4 – et pour finir, allègement de la réglementation des ventes publiques.

    Mesure qui consiste à libéraliser la profession de commissaire priseur (charge).

    On sait tous combien les ventes aux enchères sont génératrices de chiffre d’affaires car l’émulation des acheteurs par un commissaire priseur (vendeur de foire, baratineur de marché …) fait perdre à l’enchérisseur ses moyens et son contact avec la réalité !

    D’autre part, cette mesure est une pierre dans le jardin des galeristes qui n’ont pas cette facilité (sauf les baratineurs de foire ….)

    Donc, pour contrebalancer (il en faut pour tout le monde), petit cadeau aux galeristes sous la forme de prêts sans intérêt pour les clients qui le désirent ….. ça fait tout à fait vente d’électroménager chez mammouth ou carrefour !!!!

    Acheter votre tableau, payez en quatre fois sans frais !!!!!!!!

    L’artiste …. lui, n’a qu’à serrer les fesses !

     

    Car ….. qu’elle est la place de l’artiste dans cette affaire ? et l’art ? personne n’en parle ! c’est pas le ministère de la culture,  c’est le ministère du commerce et des subventions réunies !!!

     

    C’est bien, continuons sur cette lamentable voie et nous pouvons être certain que l’art Français va basculer en profondeur et moi, ça me réjouit !!!!!

     

    Ce qu’il conviendrait de faire est tout autre ….

    Il conviendrait de redonner un sens à l’art, une philosophie et de la qualité.

    Vendre à l’infini les tableaux de Monet, Manet, Poussin et Tartempion …. En faisant, à chaque passage une culbute financière et en évitant les droits de suite pour les vivants  …… ça va un moment ….. mais où sont les œuvres futures ?

     

    On s’en fout !

     

    Ce rapport est à l’image de notre société telle qu’elle se comporte aujourd’hui ….. vendre et gagner de l’argent sans se soucier de l’avenir ……  des sous, des sous !!!!  tout de suite …..

     

    Or, les autres nations ont un retard qu’ils ont comblé et ils continuent de préparer l’avenir en assurant les futures générations d’artistes de qualité en allant chercher les connaissances et les compétences là où elles sont y compris en France où personne ne s’en préoccupe ……

     

    Honfleur est à cette image ….. subissant la pression des commerçants, tout est fait pour brider les velléités des artistes non commerciaux.

    Fini les expos amateurs …… la MDA a eu raison de ces manifestations avec l’aide de l’adjointe à la culture … elle-même galeriste !

    Honfleur vit de la renommée de ses peintres ….. mais que vend-on dans les galeries Honfleuraises ?

    Des peintures abstraites et des paysages méditerranéens faits par des peintres des quatre coins de l’hexagone …..  mais pas ou très peu de honfleurais ….. pire, les peintres des quais du vieux bassin sont l’objet de brimades ….. la fameuse fumeuse concurrence déloyale ……. !!!

     

    Qui, en France, se préoccupe des connaissances techniques des anciens et de leur préservation et de leur développement et de leur transmission ????

    La réponse : les Américains qui viennent se former à ces techniques anciennes dans nos ateliers pour en faire ensuite des méthodes qu’ils revendent à l’international sous forme de cours, de conférence et surtout d’écoles.

    Et ça marche, ils font le plein !

    Mais notre ministre de la culture et la MDA et tous les rapaces qui vivent sur le budget de la culture ….. ils font quoi de cette perte nette de notre culture ??????

    Non, tout ce qui les intéresse, c’est des sous, tout de suite …. Et après eux …. Le déluge !!!!!

     

    Voilà,  madame, monsieur « la peau de l’ours » ce que je pense de votre stratégie étriquée pour continuer à vivre sur l’art que vous participez à tuer.

     

    Yfig

     

     

     

     

     

  • Tête de l'art

    D’aucuns se plaignent et vilipendent le gouvernement pour sa gestion publique.

    L’art se meurt chaque jour un peu plus faute de subvention pour les associations nationales, les musées, les artistes officiels et les mécènes qui s’en foutent plein les fouilles …… mais n’en ont jamais assez !

    Moi ……………….

    Je me réjouis.

    Oui, je me réjouis de la mort annoncée d'un 'système' qui n'a que trop perduré !

    L'art n'existe plus et c'est tant mieux ....

    l'art est mort ..... VIVE l'Art !

    Quand un membre a la gangrène, on le coupe ..... c'est ce qu'il faut faire avec l'art d'aujourd'hui, cet art qui n'est rien, qui ne représente rien, qui ne veut rien dire, qui n'a aucun sens et qui n'apporte rien si ce n'est des montagnes de fric à quelques individus toujours les mêmes.

    Notre très affable président des Français et des autres pays de l'UE et bientôt du Liban, d'Israel et de la Turquie ...... si dieu et Mao Tsé Toungue le veulent bien ....

    Notre donc très adorable président a lancé le grand nettoyage et les grandes manoeuvres népotiques avec OPA et tout l'tintouin pour récupérer un max de blé ....

    Dans sa précipitation à rafler un max, il piétine tout sur son passage et écrase la nomenclatura de l'establishment sans se préoccuper ni du pourquoi, ni du comment et encore moins de ce qu'il en sortira.

    Il n'en a sûrement pas l'intention, mais il est en train de nous rendre service !

    Quand la France ne sera plus qu'un champ de ruines semblable à l'Irak, il faudra bien que les Français se prennent par la main pour tout reconstruire !

    On verra bien, à ce moment là, ceux qui sont en France par amour et ceux qui n’y sont que par raison !

    En tout cas, faudra bosser ….. faudra y mettre du sien et du soi, pas lésiner sur l’huile des coudes et des couil… !

    Espérons seulement que ce jour là, on prendra le temps de commencer par vider tous les profiteurs de ‘systèmes’, remercier virilement les présidents de toutes ces assos qui ne servent que les intérêts des marchands sans se soucier des autres …..

    C’est pour ça que je me réjouis ….. plus on détruit l’art et plus on lui donne de chance de redevenir grand !

    vous allez voir ….. quand il n’y a plus d’oseille à mettre dans la soupe, les goinfres vont se faire nourrir ailleurs …….. et c’est un bienfait pour les véritables artistes qui ne vivent que d’amour de pain et d’un peu de vin de France … Hic !

    Bon ! J’avoue …. C’est pas terrible et j’ai fait mieux !

    Mais en fait, il faut apprendre à parler le langage de la rue si on veut avoir une chance d’être compris !

    Quand on est trop pointu sur un sujet et qu’on aborde les problèmes techniques et mécaniques des rouages de l’économie et de la politique, on se déconnecte du grand public, on le décourage en lui donnant l’impression de son ignorance et de sa crétinité …. Parler crétin aux crétins, c’est leur donner une véritable chance de comprendre un peu de la pensée que l’on souhaite lui communiquer …..

    Alors, merci ….. oui, merci de ne pas commenter sur le même ton idiot que cet article …. Vous valez mieux que ça !!!!!

  • Paul et Mike au sujet de l’art contemporain sur un autre site :

    <>L'histoire de l'Art s'est brusquement figée depuis l'émergence de l'Art moderne et auto-détruite aux premiers vagissements   de l'Art contemporain ?

    Qui ne respecterait plus aucunes règles ?

    Il a les siennes propres qui valent, pourquoi pas, celles qu'on lui reproche de ne pas suivre.

     

    Il ne faut pas confondre l'art et le business.

     

    Le business consiste à utiliser l'image de marque de l'art pour en tirer profit pour les modernes et à utiliser la renommée (la construire si nécessaire) des artistes décédés pour faire monter leurs côtes et prendre à chaque passage une commission substantielle pendant que les spéculateurs sont ravis de leur coup.

    Le business est le domaine du vendeur.

     

    L’art consiste à exprimer la perception qu'on a de ce qui nous entoure et de ce qui nous habite.

    En cela l'art a ses limites .... qu'on peut toujours chercher à repousser .... mais qui se heurte aux ressources de l'existant.

     

    Lorsqu’un artiste confie son travail à un vendeur, il éprouve de nombreux sentiments contradictoires.

    S'il est vendu, d'autres et s'il fait chou blanc, d'autres encore.

     

    Les règles ?

    Quelles règles ?

     

    Il y en a, à ma connaissance, de deux types :

     

    Les règles qui s'imposent : gras sur maigre. L'enfreindre, c'est s'exposer à l'échec inéluctable dans le temps.

     

    Les règles que l'on s'impose : mettre du vert dans le rouge pour faire les ombres .... on peut tout aussi bien utiliser du violet, du noir, du terre brûlée .... tout dépend du respect qu'on éprouve pour les règles et de l'intérêt qu'on trouve à les respecter.

     

    Mais les règles ne sont rien sans la technique.

    Comment faire du gras sur du maigre si on ne comprend pas comment faire.

    Comment réussir un glacis si on ne connaît pas les propriétés chimiques et mécaniques des liants et des différents pigments (les familles de pigment ne réagissent pas toutes de la même façon !)

     

    Confronté à cet obstacle intellectuel et culturel de la compétence technique, l'artiste bidon va prétendre qu'il peut très bien se passer de cette base de connaissances et faire mieux avec moins de moyens.

     

    Il se cantonnera dans l'utilisation de matériaux prêts à l'emploi et remplacera le savoir faire par du savoir baratiner ...... on tend vers le néant ! et on appelle ça "l'art contemporain", c'est à dire qui ressemble à monsieur tout le monde .... inculte et insipide.

    Cette connivence d'ignorance fait que l'artiste ignare trouve son public imbécile qui n'a pas, non plus, à faire l'effort de comprendre comment se fait une oeuvre d'art et a, ainsi, l'impression de participer à l'élaboration de l'art contemporain ....

    D’ailleurs, il y est souvent directement convié : dans ce tableau c'est ce que VOUS voyez qui compte !!!!

     

    Et comme la masse prétend toujours diriger l'ensemble, il n'y a aucun moyen de lui faire entendre raison ....

     

    Du coup, l'art, le vrai (comme la littérature, la musique, la sculpture ....) se retrouve confiné dans des lieux boudés par le grand public. Mais même souterrain, l'art n'est pas mort ... il n'a pas disparu .... il est invisible car non reconnu !

     

    Quelques îlots, parfois, trouvent un certain public, une clientèle, comme le trompe l'oeil, par exemple, qui est assez bien côté .... le public peut se l'approprier puisqu'il peut juger sur ce qu'il voit sans avoir à se soucier des techniques mises en oeuvre pour sa réalisation.

     

    On touche là à une autre tricherie de l'art contemporain qui cherche à détourner les critères de définition de l'art intrinsèque.

    L'art contemporain prétend se passer du jugement du public en le culpabilisant sur son incapacité à comprendre.

     

    Qu'est-ce que l'art si le public n'en veut pas ! ?

     

    Heureusement, il y a les petits copains bien placés dans les ministères qui détournent les fonds publics pour alimenter les artistes contemporains qui n'ont plus qu'a se laisser gaver, le cul sur leur chaise et les doigts dans le nez.

     

    Le plus drôle, c'est que c'est d'une absolue notoriété .... et que personne n'ose se dresser contre cette supercherie. La dénoncer, oui, mais la combattre ....  !

     

    L’art contemporain n’est pas en concurrence avec l’art, ce n’est qu’une parenthèse créée par les puissances de l’argent et de la bêtise ….

     

    Si le marché de l'art financé par les emplettes du grand public reste exsangue, il suffit, malgré tout à sa survie ... 

     

    Tel le chryséléphantin, il ne disparaîtra pas car il procède de l’éternel esthétisme.

  • des nouvelles du petit monde de la peinture

    Hier, un reportage télé sur un peintre indien : sayed raza.

     

    Il souhaite faire don de ses œuvres à une commune près de menton à condition qu’il y soit exposé tous les étés pendant quarante années.

     

    Voir les images sur google !

     

    Un format F12 : 40 000 euros

     

    Un format F50  300 000 euros ……

     

    Qui a dit que la peinture ne paie pas ?

     

     

     

     

     

    Plus fort encore : Thomas Kinkad  (recherchez sur google).  Ce peintre m'a été signalé par un ami : Marc Peltzer (recherchez sur google)

    Ce peintre américain ne vend jamais ses tableaux, il les fait copier par sa société qui compte 200 copistes et ne vend que les dites copies.

    Il est le peintre le plus riche de notre temps.

     

     

     

     

    Le petit monde de la peinture réserve bien des surprises !!!!!!!

     

    Vive la peinture, le président et le dentifrice de montélimar !!!!!

     

     

     

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