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Dis grand père ? - Page 5

  • Vous avez demandé EDF … ne quittez pas, je vous passe l’Afrique … Rachida à poil !

    à l'EDF, ils ont des conseillères qui sont de véritables flèches ...

    on reçoit un coup de fil d'une dame dont on ne comprend pas 1 mot sur 3 ...  à force de lui demander de répéter elle finit par me dire "va te faire foutre".

    Souhaitant reporter l'incident à EDF, je me connecte à leur site de dialogue (cliquez)

     

    et voici l'historique de ma conversation avec la conseillère d'EDF du joli nom de Laura :

     


    Vendredi 19 décembre 2014


    Vous : Nous venons d'être démarchés par téléphone par une personne avec un très fort accent arabe se présentant comme EDF et qui nous a raccroché au nez en nous précisant : va te faire foutre.


    Laura : Veuillez m'excuser, je n'ai pas compris ce que vous venez de dire.
    Je vous invite à reformuler afin que je puisse vous fournir une réponse.

    Vous : Comment fonctionnes tu ? (ça c'est bizarre parce que je n'ai jamais tapé ça !)


    Laura : Bonjour, je m'appelle Laura.
    Je suis là pour vous aider et répondre à vos questions sur EDF.
    Posez-moi votre question : je vais tout faire pour y répondre avec précision. C'est à vous !

    Vous : nous venons d'être démarché par une conseillère EDF avec un très fort accent arabe qui nous a raccroché au nez en précisant : allez vous faire foutre


    Laura : Veuillez m'excuser, je n'ai pas compris ce que vous venez de dire.
    Je vous invite à reformuler afin que je puisse vous fournir une réponse.

    Vous : qui nous a raccroché au nez en précisant :


    Laura : Veuillez m'excuser, je n'ai pas compris ce que vous venez de dire.
    Je vous invite à reformuler afin que je puisse vous fournir une réponse.

    Vous : allez vous faire foutre !


    Laura : Ce n'est pas très poli de votre part !
    Je suis ici pour répondre à vos questions concernant EDF.


    Vous : nous avons été démarché par une conseillère EDF


    Laura 
    Vous êtes à la recherche d'un emploi et vous souhaitez rejoindre EDF ?
    Rendez-vous dans notre espace Espace Recrutement sur www.edfrecrute.com.


    Vous : qui avait un très fort accent arabe


    Laura : Veuillez m'excuser, je n'ai pas compris ce que vous venez de dire.
    Je vous invite à reformuler afin que je puisse vous fournir une réponse.

    Vous : et qui nous a raccroché au nez en nous disant


    Laura : Veuillez m'excuser, je n'ai pas compris ce que vous venez de dire.
    Je vous invite à reformuler afin que je puisse vous fournir une réponse.

    Vous : qui nous a dit : allez vous faire foutre !


    Laura : Veuillez m'excuser, je n'ai pas compris ce que vous venez de dire.
    Je vous invite à reformuler afin que je puisse vous fournir une réponse.

    Vous : Est-ce normal ???


    Laura : Veuillez m'excuser, je n'ai pas compris ce que vous venez de dire.
    Je vous invite à reformuler afin que je puisse vous fournir une réponse.

    Vous : Est-ce normal de se faire insulter au téléphone par EDF ?


    Laura : Veuillez m'excuser, je n'ai pas compris ce que vous venez de dire.
    Je vous invite à reformuler afin que je puisse vous fournir une réponse.

    Vous : ? toi y'en a parler françaoui ????


    Laura : Veuillez m'excuser, je n'ai pas compris ce que vous venez de dire.
    Je vous invite à reformuler afin que je puisse vous fournir une réponse.

     

    Dites, vous croyez qu'EDF est au courant (ben quoi?) de la qualité de service de ses employées arabes ?

    C'est peut-être à cause des fuites des centrales nucléaires ?

     

  • visiting Honfleur Normandy (in english) à poil ou non

    c'est parti mon kiki

     


  • De la télé en général et de ses JT en particulier …. Caroline de Monaco à poil dans son hammam

     

    42000, c’est le nombre de morts annoncés dont la cause serait le vieillissement des conducteurs.

     

    Mais les accidents de la route ne sont qu’au nombre de 4800 … c’est zarbi, vous trouvez pas ?

     

     

     

    150000 morts de tabagisme …

     

    45000 morts de l’alcoolisme …

     

    35000 morts d’overdose …

     

    Les chiffres les plus abracadabrantesques sont tirés par les journalistes de leur chapeau magique …

     

    Chaque fois qu’on …  « lance un cri d’alarme » on voit les morts tomber par milliers !

     

     

     

    Dans le tableau ci-dessous, vous apprécierez tout particulièrement les « radiations » …

    Chacun peut ainsi choisir sa mort .... ou en inventer une nouvelle ... ce qui serait sans conteste une forme d'art con-temporain !

    Personnellement, j'opte pour l'évitation  ... sorte de renoncement ou de refus !

     

    Quant aux morts de mort naturelle … que pouic !

     

     

     

     

     

    Causes de mortalité en France par ordre d'importance (certaines causes peuvent se recouvrir - facteurs multiples de mort ou implication)

    Classement

    Cause

    Classement

    sous-catégorie

    Nombre (par année)

    Pourcentage

    Année des chiffres

     

    Total

       

    540 000

    100 %

    2010[26]

    1

    Cancer

       

    147 500

    27,3 %

    2011[27]

       

    10

    Cancer des poumons

    26 600

    4,9 %

    2011[27]

       

    12

    Cancer du colon/Cancer du rectum

    16 900

    3,1 %

    2011[27]

       

    16

    Cancer du sein

    11 500

    2,1 %

    2011[27]

       

    18

    Cancer de la prostate

    9 200

    1,7 %

    2011[27]

       

    20

    Cancer du pancréas

    7 800

    1,4 %

    2011[27]

       

    21

    Cancer du foie

    7 400

    1,4 %

    2011[27]

       

    23

    Cancer de l'estomac

    4 800

    0,89 %

    2011[27]

       

    25

    Cancer de la vessie

    4 500

    0,83 %

    2011[27]

       

    26

    Lymphome non hodgkinien

    4 200

    0,78 %

    2011[27]

       

    27

    Cancer de la cavité buccale/Cancer du pharynx

    4 000

    0,74 %

    2011[27]

       

    28

    Cancer de l'œsophage

    3 900

    0,72 %

    2011[27]

       

    29

    Leucémie

    3 800

    0,70 %

    2011[27]

       

    30

    Cancer du rein

    3 700

    0,68 %

    2011[27]

       

    33

    Cancer de l'ovaire

    3 200

    0,59 %

    2011[27]

       

    34

    Tumeur du cerveau

    3 000

    0,56 %

    2011[27]

       

    36

    maladie de Kahler

    2 800

    0,52 %

    2011[27]

       

    38

    Cancer de l'utérus

    1 800

    0,33 %

    2011[27]

       

    40

    Mélanome

    1 400

    0,26 %

    2011[27]

       

    41

    Cancer du larynx

    1 400

    0,26 %

    2011[27]

       

    44

    Mésothéliome

    1 100

    0,20 %

    2011[27]

       

    45

    Cancer du col de l’utérus

    1 100

    0,20 %

    2011[27]

       

    53

    Cancer de la thyroïde

    400

    0,074 %

    2011[27]

       

    56

    Maladie de Hodgkin

    200

    0,037 %

    2011[27]

       

    60

    Cancer des testicules

    80

    0,015 %

    2011[27]

    2

    Maladie cardio-vasculaire

       

    140 000

    26 %

    2006[28]

       

    6

    Cardiopathie coronarienne

    38 800

    7,2 %

    2006[28]

       

    7

    Accident vasculaire cérébral

    33 047

    6,1 %

    2008[29]

    3

    Drogues

       

    94 000

    17,4 %

    2000[30],[31]

       

    4

    Tabagisme

    60 000

    11,1 %

    2000[30]

       

    9

    Alcool

    30 000

    5,6 %

    2001[30]

       

    31

    Produit stupéfiant

    3 650

    0,68 %

    2003[30],[31]

       

    48

    Cannabis

    800

    0,15 %

    2003[30],[31]

       

    55

    Overdose

    217

    0,040 %

    2008[32]

       

    57

    Overdose de produits stupéfiants

    113

    0,021 %

    2008[32]

       

    58

    Overdose Médicamenteuse

    103

    0,019 %

    2008[32]

       

    59

    Contamination au Sida due à l'injection de drogues

    93

    0,017 %

    2008[30]

       

    61

    Overdose d'Héroïne

    79

    0,015 %

    2008[32]

       

    64

    Overdose de Cocaïne

    30

    0,0056 %

    2008[32]

     

    Sucre

             
         

    Problème cardio-vasculaire

         
       

    8

    Diabète

    32 156

    6,0 %

    2006[33]

    5

    Obésité

       

    55 000

    10,2 %

    1992[34]

    11

    maladies infectieuses

       

    25 600

    4,7 %

    2001[35]

       

    35

    Tuberculose

    2 890

    0,54 %

    2009[36]

       

    39

    Rougeole

    1 541

    0,29 %

    2009[36]

       

    43

    Maladies diarrhéiques

    1 317

    0,25 %

    2008[37]

       

    54

    Sida

    327

    0,061 %

    2010[38]

       

    66

    Tétanos

    8

    0,0015 %

    2009[36]

    13

    Accident domestique

       

    16 500

    3,1 %

    2004

       

    17

    Chutes

    10 520

    1,9 %

    2004

       

    32

    Asphyxie

    3 543

    0,66 %

    2004

       

    46

    Brulés

    1 000

    0,19 %

    2004

       

    47

    Intoxication

    900

    0,17 %

    2004

       

    52

    Noyade

    401

    0,074 %

    2006

    14

    Broncho-pneumopathie chronique obstructive

       

    16 000

    3,0 %

    2008[39]

    15

    Suicides

       

    12 900

    2,4 %

    2005[40]

    19

    Radiation

       

    8 000

    1,5 %

    2007[20]

       

    22

    Radiations naturelles

    5 000

    0,93 %

    2007[20],[21]

       

    37

    Radiations médicales

    2 000

    0,37 %

    2007[20],[21]

       

    62

    Radiations industrielles

    70

    0,013 %

    2007[20],[21]

       

    63

    Radiations militaires et civiles

    35

    0,0065 %

    2007[20],[21]

       

    65

    Tchernobyl

    15

    0,0028 %

    2007[20],[21]

    24

    Accident de la route

       

    4 800

    0,89 %

    2007[41]

    42

    Travail

       

    1 330

    0,25 %

    2004[42]

    49

    Homicide

       

    743

    0,14 %

    2011[43]

       

    51

    Violences conjugales

    460

    0,085 %

    2008

    50

    Eau

       

    700

    0,13 %

     

    67

    Accidents d'avions

       

    8

    0,0015 %

    2012

     

     

     

  • Mailloches à fourrer et minahouêts sont sur un bateau …. Épissoirs encore ! ?

     

    Nous’aut’ les gars d’la marine, on est couillus, bourrus et ventrus !

     

    Mais surtout, on fourre.

     

    La mailloche, ça sert à ça, à fourrer les câbles en acier qui tiennent les haubans et tout l’restant !

     

    On commence par arranger le fil de ligne à thon sur la mailloche et avant de commencer le fourrage, on épisse (à l’aide du gros épissoir) la ligne à thon dans le câble en acier et on le graisse avec une bonne dose de suif qu’on limande avant de l’opérer.

     

    Si vous comprenez pas tout, dites-le moi.

     

    Donc, on a not’ câble en acier, on le tartine de suif puis on limande le tout avec des bout de draps usés  limandés (c'est-à-dire  découpés en longues lamelles qu’on dispose par-dessus le suif avant de fourrer à l’aide de la mailloche.

     

    Pour terminer le boulot, on courbe la partie fourrée du câble en acier et on retient les deux parties par un fil de fer en acier qu’on enroule autour des deux parties et qu’on serre grâce au minahouêt  (manche à fourrer).

     

    Faut toujours débuter par un amarre portugais parce que si vous faites un amarre classique les deux bouts vont tourner avec le minahouêt.

     

    Pour cacher le lien en acier, on le recouvre d’un bonnet turc (espèce de nœud de matelotage décoratif) fait dans une chute de ligne à thon.

     

    Si vous voulez une démo, faudra venir sur le chantier de restauration de la chaloupe Sainte-Bernadette à Honfleur (classée monument historique).

     

    Le maître d’œuvre, c’est Yves Capard, un gars bourru mais très sympa, pédagogue et expérimenté  qui fait un véritable travail de restauration en traitant le gréement comme dans le bon vieux temps, le temps où la chaloupe était utilisée dans l’estuaire de la Seine pour la pêche (1926).

     

    L’association « La chaloupe » de Honfleur s’occupe de l’entretien et de la restauration de la Sainte-Bernadette (cliquez).

     

     

     

    Voir aussi des tableaux de la chaloupe peinte par Olivier Fisher (cliquez).

     

  • Rachadi et Mafieu se bouffent le tarbouif pour le plus grand bénéfice de la diversité cultuelle et culturelle multiculturelle. La schtroumpfette à poil !

    Extrême instant d’ataraxie extatique samedi soir dans l’émission somnifère de Laurent Rouxpieds quand Rachadi Dita donne la réplique au représentant du peuple autoproclamé : Mafieu Kassetoivitch !

    Dès que Rachadi a pris place dans le fauteuil qui en a vu d’autres (des culs callipyges), Mafieu a commencé à se tortiller les doigts dans sa moustache rasée et à se foutre le pouce dans le tarin en signe de contestation outragée.

    Pendant que Rachadi débite (et non « des bites ») ses bobards gros comme des rochers de Monaco (ou de Gibraltar … c’est selon votre religion) … le Mafieu n’en peut mais et ne résiste pas à interpeller l’ancienne ministre de l’injustice avec dans la voix une haine dicible :

    « Vous savez quoi, vous m’écoeurez, vous ne connaissez rien à la rue, au peuple, à ses souffrances pendant que vous vous crêpez le chignon avec Fion, Jouïet et Tzarko pour savoir à qui qui mentira plus que …. Euh … plus, nous, le peuple des rues et des boulevards, nous pouvons crever, ça ne vous fait ni chaux ni froid de veau ! » *

    Et vlan, v’la la Rachadi qui lui flanque son poing dans la gueule en retour d’uppercut avec une répulsion si agressive que l’autre a failli choir de son tabouret de bar à putes :

    « Et vous, vous vous êtes regardé ? Vous critiquez tout et tout le monde alors que vous ne valez pas un pet de tortue et que votre talent ne pèse pas plus qu’une plume de gazelle ! Vous feriez mieux de la fermer espèce de bachibouzouk, vous vous prenez pour une star vous n’êtes même pas digne de jouer dans Pokémon  ! » *

    * ( chère lectrice, cher lecteur, pardonnez si je n’ai pas le verbatim de la discussion … vous savez bien que cette émission a pour but de nous endormir, ce qu’elle réussit à merveille et en conséquence, je n’ai pas eu la force de prendre des notes circonstanciées.)

     

    C’est à ce genre d’instant magique qu’on apprécie tout ce que le multiculturalisme apporte à la France et à ses occupants : les français.

    Quand je pense que sans la bénéfique immigration nous en serions encore à nous rendre des politesses plates et sans saveur !

    Là, au moins, on discerne nettement à quel point la haine interraciale est source de vitalité, de  régénérescence, de partage … de gnons (ce qui nous change du fisc qui prend notre pognon).

    L’Afrique de l’ouest qui tape sur l’Afrique de l’est tout en conservant une nationalité française de façade, c’est ça qu’il nous faut pour bien nous cultiver, entretenir nos synapses et nous faire oublier les tracas quotidiens ordinaires qui ne nous élèvent pas comme le fait le multiculturalisme du XVIème … euh … non, du VIIème ! (ou les deux).

    Après ça, on dort comme un ange !

     


  • Rachadi dita à poil, Lavérie Wiertrieller à poil, lanhodle à poil, tata Baluchon …. On sait pas encore … elle fait sa soupe aux choux, vertuchou !!!

    Il faut apprendre à prendre son temps avant de débiter des conneries, c’est une vertu que je me suis auto enseignée et qui finira par porter ses fruits …. Un jour !

    Savez-vous ce qui manque le plus à notre humanité ?

    LA VERTU !

    vertu[vDYty]n. f.

    ÉTYM. 1080, «  courage, vaillance  », et aussi «  force physique; jugement, sagesse  »; les autres sens dès les xiie-xiiie; du lat. virtus, -tutis (accusatif virtutem) «  mérite de l'homme (vir); courage, énergie, vertu, perfection  ».

    Pensez-vous que notre microcosme politique connaisse ce mot, sa sémantique, ses concepts ?

    Que nenni !

    L’hommo politicucul contemporain est un être dénué de sens moral donc de vertu.

    Son dieu, l’argent, l’influence et le paraître aux yeux des proches et de la télé guide ses actes minute après minute et il se transforme en un millième de seconde en super héros comique ou en hyper casse-couilles sadique impudique !

    La semaine, il se repose dans sa maison luxueuse entièrement financée par l’argent public. Il vaque à ses occupations lucratives et tordues, préparant en catimini quelque coup tordu qui fera parler de lui dans le journal …

    C’est le dimanche, juste après la messe qu’il se réveille et se répand sur les ondes en paroles débiles et actions sordides.

    Cette plaie de notre société moderne tient sa science des anciens qui ont mis des générations de cons à établir leur supériorité ringarde et tient ses pouvoirs de l’oligarchie ploutocrate de la finance poisseuse.

    Certaines, plus douées que les autres, ont démontré qu’elles pouvaient s’abaisser vélocement au niveau des plus vieux et même les surpasser en ignominies crapoteuses.

    De  jeunes loups d’opérette n’hésitent pas à en faire autant.

    Bref ! Vous l’aurez compris, je ne porte pas les gens politiques près de mon cœur (mon portefeuille est toujours dans ma poche révolver car il faut pouvoir dégainer sa carte bleue aussi vite que Zeus le grand foudroie l’épine vinette de ses éclairs zigzagants).

     

    Une autre constante de la gente politique, c’est sa nature « tuyau de poêle ».

    Ils s’entre pénètrent à l’infini et peuvent former des kilomètres de creux zingués protéiformes donneurs de leçons aux citoyens atterrés de cette aberration  surnaturelle qui prétend résoudre les problèmes qu’elle n’a pas à subir.

    La promotion, la cooptation, le piston, la lèche-moule et le suce-bite sont leurs armes les plus perfides et les plus efficaces à la perpétuation de leur race mortifère.

    Quelques spécimens non hétéros on réussit à imposer leur culte du cul en  abaissant le principe du mariage au niveau du tout à l’égout.

    Soyons tolérants et acceptons que les tuyaux de poêles s’accouplent sans norme européenne ni trompette ni jugulaire au casque de scooter.

    Tel individu ordinaire qui donne de son temps à l’entretien du patrimoine commun passe aux yeux des canailles politicardes pour un benêt qui ne sait pas monnayer ses charmes.

    Les putes nous gouvernent et nous demandent de faire preuve de vertu cependant qu’elles bradent aux étrangers les ouvrages entretenus par les bredins bénévoles.

    Les meutes de klébars affamés nous tombent sur le râble (dur) pour s’emparer de nos biens publics afin d’en faire des bordels de luxe où ni vous ni moi ne seront invités. Enfin …. Vous, je sais pas ?

    Qui du chinois, du qatari, du saoudien, du ruskov ou du bougre de boukistanais obtiendra la faveur de se voir offrir tel château, tel hôtel particulier, tel immeuble ou terrain ou antiquité précieuse … au motif fallacieux que l’entretien d’icelui ne peut plus être assuré par l’Etat providence pour les touristes du social européen ?

    C’est qu’il en faut des sous pour entretenir nos onéreux touristes … encore que ce ne soit rien à côté de ce que nous coûte la pléthore de fonctionnaires surnuméraires qui se pavanent dans les assemblées nationales, régionales, communales et extraterritoriales … !

    Tout ces pique-assiettes aspirent sans vergogne les ressources essentielles que nous produisons dans le but de se reproduire exponentiellement.

    Le peuple des nigauds semble finir par comprendre péniblement qu’on se fout de lui …

    Il frétille dans son jus plébéien en attendant sa revanche … qui lui passera sous le nez car les députés institueront au dernier moment quelque artifice monstrueux capable de frustrer les millions d’imbéciles qui mettent dans les urnes des bulletins qui, censés les défendre par subrogation se transforment illico en blancs-seings qui les confinent au bastringue de la fausse république dont le but ultime échappe même à son orchestre disharmonique.

    Dansez braves gens, qu’importe que la musique ne soit que cacophonie et fausses notes, le spectacle doit continuer, show must go on, et quand vous serez morts, vos enfants prendront la relève et le monde deviendra ce qu’il deviendra sans que vous n’ayez  jamais eu votre mot à donner.

     

    C’est pour ça que moi, je donne mon mot :

    « pourritures ».

     

  • De l’écriture en général et des pâtés d’Yfig en particulier (à l’intention des cornichons indispensables pour accompagner les pâtés)

    Non …. Je ne vais pas vous apprendre à faire des pâtés de foie gras de Zanzibar ou des rillettes de Montélimar … je veux seulement vous entretenir de mes divagations scribouillardes.

     

    Oh ! Je n’ai guère de notoriété à poser en guise de ridelles autour de ma personne pour vous convaincre de mon habilitation à vous entretenir de littérature.

    Je n’ai aucun « best seller » à opposer à vos réticences à faire preuve de bonne volonté à mon égard.

    Et je n’ai même pas de kalachnikov à vous mettre sous le nez pour vous forcer à m’écouter !

    Rien, je n’ai rien que quelques mots d’intro qui, espérons, vous donnerons envie de faire un petit bout de chemin en ma singulière compagnie.

     

    De quoi t’est-ce exactement que je veux vous causer ?

    D’écriture.

    Pas de styles …. Encore que … Pas de genre … même si … Pas de règles … ou à l’insu de mon plein gré …

    Non, je veux vous entretenir de la façon dont l’usage de l’écriture peut amener à penser l’écriture différemment.

    Au début était le verbe … Ouais …. Bon …. C’est pas original mais ce n’est pas moi qui ai inventé cette faribole !

    Au début que j’écrivais … car il a bien fallu un début … je ne savais pas trop quoi écrire ni comment.

    Pourquoi ?

    Mais diantre, fichtre ! Parce qu’on peut écrire de tant de différentes façons !

    Un article de style journalistique.

    Un cours théorique sur la conchyliculture du bigorneau aux yeux bleux.

    Un conte de fée humoristique ou lubrique.

    Un sketch pour amuser le bourgeois qui s’emmerde devant sa téloche.

    Une chronique des temps moderne dont la modernité n’a rien à envier au Moyen-âge qui était en avance sur son temps dans bien des domaines.

    Un roman … d’aventures, d’amour, d’espionnage, policier …

    Une pièce de théâtre, une comédie de boulevard, une tragédie, un burlesque …

    Un scénario de cinéma ou une série télé ou de Bande Dessinées …

    Vous rendez-vous compte de l’éventail infini de possibilités qui s’étalaient provocantes à mes yeux innocents ?

    En fait, si je me souviens bien, j’ai écrit une nouvelle.

    La nouvelle, c’est pas mal pour débuter. C’est court et on peut n’y mettre qu’un nombre limité de personnages. Ma nouvelle, je l’ai intitulée : « le choix du père ». C’est bien comme titre parce que ça n’a pas de sens unique. Le choix … quel choix ?

    Faut pas croire, écrire une nouvelle de 25 pages, ça peut paraître facile mais ça ne l’est pas !

    On se lance dans une grande aventure en se demandant si on y arrivera … on tombe sur des tas de pièges inattendus.

    Par exemple, pour faciliter l’écriture, j’avais choisi de baser ma nouvelle sur une aventure qui m’était réellement arrivée … genre biographie épisodique. Mais on se pose rapidement la question de savoir ce qu’on peut dire et ce qu’il faut garder pour soi parce qu’on sera peut-être lu par des inconnus, des amis, voire la famille …

    En fait … personne … ou presque ne vous lit … mais ça, on ne le sait pas au début !

    Ensuite, j’ai écrit quelques mirliton … souvent, c’était des réponses rimées à des vacheries reçues sur internet …

    Puis j’ai décidé de me lancer dans un roman.  Ne le cherchez pas en librairie il n’a pas été édité. Son titre : « Ludmilla » … encore un titre suffisamment évasif pour que personne n’ai envie de le lire.

    Un premier roman, ce n’est pas une aventure, c’est une gageure, un travail herculéen à réaliser par un nain. On ne devrait jamais se lancer dans pareille mésaventure sans prendre une bonne assurance anti-risquetout !

    Je vous passe les affres de la technique liée à l’orthographe et la grammaire … les phrases qu’on pense mais qu’on ne sait pas écrire … les mots qu’on ne trouve plus … les mots qu’on met par défaut ….

    Le pire est à venir …

    Le pire, c’est qu’à la quatrième ou cinquième page on a l’impression d’avoir tout dit !

    Alors …. On s’arrête et on se dit : « demain ça ira mieux ! »

    Mais le lendemain rien ne se passe … ni le surlendemain …. Ni les jours suivants … et on finit par oublier qu’on avait fait un grand projet.

    AH ! il en faut de l’ambition et de la niaque pour se remettre à l’ouvrage, surtout si on est tout bloqué !

    Moi, mon truc, ça a été d’écrire des petits trucs pour me débloquer, des chroniques, une saynète, une fausse interview , de petits sketches … et tout doucement, ça s’est débloqué …

    Mais ça ne veut pas dire que c’est gagné … loin de là … car l’imagination, voyez-vous, ça marche bien dans la tête, mais quand il s’agit de le transcrire sur le papier …. C’est une autre histoire !

    Bon, bref …

    Après, je me suis mis à l’écriture de ma première pièce de théâtre : « un raout chez les ploutocrates ».

    Comme j’avais un peu d’argent mis de côté (c’est si rare) … je l’ai faite imprimer. On appelle ça « l’autoédition ».

    Puis un polar dont j’avais jeté les bases quelques vingt ans auparavant et dont j’ai retrouvé les premières pages manuscrites car il n’y avait pas d’ordinateur à l’époque.

    Je me suis essayé à écrire des chansons, puis de nouveau des chroniques et des petites choses tout en travaillant à une autre pièce puis à la transcription d’une pièce en scénario de cinéma.

     

    Cessez de bailler, j’en suis arrivé à mon sujet.

     

    À écrire ainsi, j’en suis arrivé à la conclusion qu’il y a 3 genres qui se chevauchent.

    Le plus évident, c’est le scénario de cinéma et la pièce de théâtre. En fait, on peut dire que c’est très semblable et que ça consiste en des dialogues.

    Les cinéphages (femmes et hommes de cinéma)  et les théâtreux tiennent absolument à ce que leurs disciplines restent bien dissociées et c’est dans la forme qu’ils imposent qu’ils tentent de forcer les uns et les autres à rester derrière d’infranchissables barrières virtuelles.

     

     

     

    Voici un exemple d’écriture théâtrale :

    ACTE I

    Scène I

     

    Nous sommes au mois de juillet dans la galerie ‘Maurice Maurice’ où se déroule une exposition - vernissage.  La salle (le magasin) est vide de monde. Musique douce d’ambiance. Lumière feutrée avec des spots sur les tableaux.

    Une simple table sur tréteaux avec une nappe en papier blanche supporte des petits fours fatigués, une bouteille de soda et une bouteille de mousseux de mauvaise qualité avec des gobelets en plastique.

    Des tableaux abstraits et figuratifs sont cimaisés sur des châssis amovibles, quelques statues sur des présentoirs …

     

    Un couple de visiteurs vient à passer ..

     

    Lui : Dis donc, y’a pas grand monde !

     

    Elle : Y’a une ambiance à tirer au couteau !

     

    Lui : Remarque …. C’est franchement pas terrible !

     

    Elle : J’aime assez celui-là ! (elle lit l’étiquette au bas du tableau) bateau échoué sur la vase dans le port de Honfleur avant 1990. C’est où Honfleur ? et … Que s’est-il passé en 90 ?

     

    Lui : C’est juste un bateau, il n’y a pas âme qui vive dans ce tableau …. Comme dans cette galerie, d’ailleurs  !

     

    Elle : Oui, mais les couleurs sont apaisantes et je préfère un bateau échoué qu’en pleine tempête, je n’ai pas le pied marin.

     

    Lui : C’est tellement apaisant que ça donne envie de dormir !

     

    Elle : Tu ne serais pas un peu de mauvaise foi ?

     

    Lui : Viens ! Partons d’ici c’est trop morose.

     

    (Ils partent)

     

     

     

     

    Examinons les contraintes textuelles liées à l’écriture d’une pièce de théâtre.

    La première est la division en actes et en scènes. Bon ! Ça, ce n’est pas bien difficile à faire.

    Pour le théâtre, l’outil américain Celtx nous donne les clefs suivantes :

    ·       Acte

    ·       Entête (scène)

    ·       Mise en scène (didascalies)

    ·       Personnage

    ·       Dialogue

    ·       (Indication)

    ·       Transition

    ·       Texte

     

    Il est à noter que l’outil Celtx fournit un certain nombre de fonctionnalités très utiles pour le metteur en scène ou le réalisateur.

    Il permet de décrire avec une grande précision les personnages, leurs caractéristiques physiques et psychologiques, leur rôle en tant qu’antagoniste, protagoniste, faire-valoir, figurant … etc …

    Il permet de gérer les accessoires et les plans de tournages avec l’emplacement de la ou des caméras et de tous les décors ainsi que les autorisations de tournage à demander aux mairies ou préfectures ….

    Il permet de gérer les plannings de tournage …

    Il construit, à partir du scénario, des rapports précieux sur les scènes successives incluant les personnages et leur charge de dialogues … et plein d’autres choses encore qui sont presque totalement inutiles à l’auteur.

    Et un exemple de script (scénario de cinéma) :

    1 INT/EXT LE PATIO ARBORÉ DE LA GALERIE DES MAURICE

    Nous sommes au mois de juillet dans le patio planté de la

    galerie "Maurice Maurice" où se déroule une exposition- vernissage.

    Le patio est vide de monde. Musique douce d’ambiance Lumière feutrée avec des spots sur les tableaux.

    Une simple table sur tréteaux avec une nappe en papier blanche supporte des petits fours fatigués, une bouteille de soda et une bouteille de mousseux de mauvaise qualité avec des gobelets en plastique Des tableaux abstraits et figuratifs sont cimaisés sur des châssis amovibles, quelques statues sur des présentoirs

     

    Un couple de visiteurs vient à passer ..

     

    LUI

    Dis donc, y’a pas grand monde !

     

    ELLE

    Y’a une ambiance à tirer au couteau

    !

     

    LUI

    Remarque .... C’est franchement pas

    terrible !

     

    ELLE

    J’aime assez celui-là ! (elle lit

    l’étiquette au bas du tableau)

    bateau échoué sur la vase dans le

    port de Honfleur avant 1990. C’est

    où Honfleur ? et ... Que s’est-il

    passé en 90 ?

     

    LUI

    C’est juste un bateau, il n’y a pas

    âme qui vive dans ce tableau ....

    Comme dans cette galerie,

    d’ailleurs !

     

    ELLE

    Oui, mais les couleurs sont

    apaisantes et je préfère un bateau

    échoué qu’en pleine tempête, je

    n’ai pas le pied marin.

     

    LUI

    C’est tellement apaisant que ça

    donne envie de dormir !

     

    ELLE

    Tu ne serais pas un peu de mauvaise

    foi ?

     

     

    LUI

    Viens ! Partons d’ici c’est trop

    morose.

     

    Ils partent

     

     

    Pour le cinéma, l’outil américain Celtx nous donne les clefs suivantes :

    ·       Entête (scène)

    ·       Action (didascalies)

    ·       Personnage

    ·       Dialogue

    ·       (Indication)

    ·       Transition

    ·       Valeur de plan

    ·       Texte

    Dans l’écriture des scripts, il n’y a ni actes ni scènes mais des entêtes qui définissent le plan de tournage et commence principalement par la définition « intérieur ou extérieur jour ou nuit ».

     

     

     

     

    Comme tout un chacun peut le constater, seule la forme diffère … l’histoire (à travers les didascalies) et les personnages sont identiques.

    Du coup, vous le sentez bien, si je propose un texte sous forme théâtre pour un film, le CNC qui finance des centaines de millions par an (véridique) et qui EXIGE le format « script » me priera poliment mais fermement d’aller voir ailleurs si j’essuie.

    À l’inverse, si je propose une pièce de théâtre au format « script » à un metteur en scène (subventionné par le ministère de la culture qui a une liste d’amis réservés), celui-ci me proposera d’aller me faire pendre ailleurs.

    Que faire ?

    Ben … en fait, je dirais que je m’en fous !

    Pourquoi ?

    Mais parce que de même que personne ne lit mes textes, personne ne s’intéresse à mes pièces ni à mes scripts … cela me rend plus indépendants et c’est pour ça que j’ai décidé d’économiser mes forces et de cesser de perdre mon temps à mettre mes textes sous des formes imposées par d’autres qui n’ont pas vraiment le souci du fonds mais plutôt celui de la forme, ce qui explique en partie la déconfiture généralisée et du théâtre et du cinéma (les films français sont tous déficitaires en recette !).

    Et puisque j’ai décidé de ne plus répondre aux dictats absurdes, autant aller jusqu’au bout du raisonnement et faire d’une pierre non pas 2 mais 3 coups. C’est pour ça que désormais, j’écris des romans-ciné-théâtre … comme ça :

    1      La galerie d’art

     

    Par ce beau mois de juillet, dehors, la chaleur est étouffante et le soleil brûle tout ce que ses rayons percutent.

    La température est plus supportable sous la charmille du patio arboré de la galerie ‘Maurice Maurice’ où se déroule une exposition - vernissage.

    L’espace ombré est vide de monde. Une douce musique d’ambiance flotte langoureusement dans l’air comme un effluve vaporeux et nuageux. La lumière feutrée donne une note suave orangée et intime. Les spots vifs projetant leurs rais clairs sur les tableaux forment des îlots de clarté rayonnante parsemée.

    Au centre du patio, une simple table sur tréteaux avec une nappe en papier blanche supporte des petits fours fatigués, une bouteille de soda et une bouteille de mousseux de mauvaise qualité avec des gobelets en plastique.

    Des tableaux abstraits et figuratifs sont cimaisés sur des châssis amovibles, quelques statues de stuc reposent nonchalants sur des présentoirs …

    Malgré l’impression apaisante des lieux, il y plane comme une menace éthérée et dramatique.

    Un couple de visiteurs vient à passer … Ils sont jeunes et branchés, ils sont entrés là par le plus grand des hasards après avoir lu la pancarte à l’entrée de la galerie exhortant les passants à venir se rafraîchir à l’abri du soleil et à se rincer l’œil avec les tableaux et sculptures. Ils sont en short et tong, très décontractés et très bronzés. Elle, blonde et lui brun ils ont des visages communs, sans particularité exceptionnelle.

    Lui : Dis donc, y’a pas grand monde !

     

    Elle : Y’a une ambiance à tirer au couteau !

     

    Lui : Remarque …. C’est franchement pas terrible !

     

    Elle : J’aime assez celui-là ! elle lit l’étiquette au bas du tableau bateau échoué sur la vase dans le port de Honfleur avant 1990.  Ça l’interpelle et la questionne, elle se tourne vers son compagnon dans l’espoir qu’il lui procure quelques renseignements … C’est où Honfleur ? et … Que s’est-il passé en 90 ?

     

    Il n’en sait rien le pauvre, comment pourrait-il savoir ? Il ne prend même pas la peine de s’excuser et s’esquive.

     

    Lui : C’est juste un bateau, il n’y a pas âme qui vive dans ce tableau …. Comme dans cette galerie, d’ailleurs !

     

    Elle : Oui, mais les couleurs sont apaisantes et je préfère un bateau échoué qu’en pleine tempête, je n’ai pas le pied marin.

     

    Lui : C’est tellement apaisant que ça donne envie de dormir !

     

    Elle : Tu ne serais pas un peu de mauvaise foi ?

     

    Lui : Viens ! Partons d’ici c’est trop morose.

     

     

    Ensuite et pour satisfaire à la notion de numérotation des dialogues des scripts pour le cinéma, je reprends les dialogue et je leur donne un ordre chronologique :

    Comme ça :

    1.     Lui : Dis donc, y’a pas grand monde !

     

    2.     Elle : Y’a une ambiance à tirer au couteau !

     

    3.     Lui : Remarque …. C’est franchement pas terrible !

     

    4.     Elle : J’aime assez celui-là ! elle lit l’étiquette au bas du tableau bateau échoué sur la vase dans le port de Honfleur avant 1990.  Ça l’interpelle et la questionne, elle se tourne vers son compagnon dans l’espoir qu’il lui procure quelques renseignements … C’est où Honfleur ? et … Que s’est-il passé en 90 ?

     

    Il n’en sait rien le pauvre, comment pourrait-il savoir ? Il ne prend même pas la peine de s’excuser et s’esquive.

     

    5.     Lui : C’est juste un bateau, il n’y a pas âme qui vive dans ce tableau …. Comme dans cette galerie, d’ailleurs !

     

    6.     Elle : Oui, mais les couleurs sont apaisantes et je préfère un bateau échoué qu’en pleine tempête, je n’ai pas le pied marin.

     

    7.     Lui : C’est tellement apaisant que ça donne envie de dormir !

     

    8.     Elle : Tu ne serais pas un peu de mauvaise foi ?

     

    9.     Lui : Viens ! Partons d’ici c’est trop morose.

     

    D’autre part, avec le jeu des couleurs de texte, je réponds à la condition qui stipule que l’on doit séparer clairement les dialogues des didascalies.

     

     

    Elle est pas belle, la vie ?

     

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  • Mais qui veut la mort du « Programme du Conseil national de la Résistance » ? (souvent abrégé en Programme du CNR)

     

     

    Dans un article du Canard Enchaîné du 16 juillet 2014, sous la plume de Jean-Luc Porquet, un article intitulé : «  San Antonio se serre la ceinture  » se termine par la conclusion suivant :

    « Une fois liquidé le régime qui permet aux intermittents de bénéficier de la solidarité, il sera facile de passer aux autres ( ?). Comme le revendiquait franchement en 2007, un des idéologues du MEDEF, Denis Kessler, ‘Il s’agit de défaire méthodiquement le programme du Cnseil National de la Résistance », qui après guerre a instauré, entre autres, la retraite par répartition et la Sécu …’

    A remplacer, évidemment par les fonds de pensions et les mutuelles privées.

    Patience, ça viendra … »    

     

    Mais …. Que contient ce programme du CNR ?

    Sources :

    wikipedia

    Wikisource

    Comité Valmy

    Rien ne vous empêche d’en chercher d’autres …

     

    Voici les points qui me semblent essentiels à la cohésion et à la force de la Nation Républicaine et Laïque  et le statut actuel de ces points :

     

    ·        26 août et 30 septembre 1944 organisation de la presse, interdiction des concentrations39 ;

    À noter qu’en 44 il n’y avait pas la télé. Dassault, Hersant, Arnault, Bouygues … la presse et la télé sont entre les mains de groupes financiers qui manipulent l’opinion publique.

     

    ·        13 décembre 1944, institution des Houillères du Nord-Pas-de-Calais ;

    Arcilor, Snecma, Sagem, Altom, Alcatel, Rhone Poulenc… etc … Les grands groupes industriels se délitent les uns après les autres s’expatriant vers des pays à la main d’œuvre bon marché et aux conditions fiscales plus avantageuses. Rien n’é été fait par les gouvernements successifs pour les retenir. La nationalisation n’a pas été appliquée sous le motif de la crainte de voir les capitaux s’enfuir … il fallait les laisser fuir et garder les industries. C’est trop tard.

    Certains conseillés lobbyistes ont conseillé aux gouvernants de miser sur des technologies nouvelles et le tourisme et d’abandonner les laborieuses industries et leurs brevets à des pays moins évolués. Malheur ! il fallait les fondations pour construire de nouveaux édifices … la technologie nous échappe … nous sommes démunis et de plus en plus à la merci de Nations guerrières hégémoniques.

    Cet abandon de nos outils de production a entraîné le chômage de masse et la chute vertigineuse de nos exportations, nous rendant encore plus fragile et vulnérable.

    Le tourisme fait travailler de la main d’œuvre étrangère de bas niveau et ne remplacera jamais les emplois industriels.

    Les directives européennes du type Bolkestein ont permis à des entreprises de pays européens sous évolués sur le plan social de venir voler les chantiers au nez et à la barbe des entreprises françaises du bâtiment astreintes à des charges sociales bien plus lourdes.

    L’europe refusant systématiquement l’unification des règles sociales et fiscales mais imposant la libre circulation des biens, des personnes et des entreprises crée un déséquilibre qui entraîne tout le monde vers le bas.

    Pis encore, les traités en cours de signature vont détruire la juridiction française pour la remplacer par des sociétés privées de conciliation / négociation qui passeront au dessus des Nations pour le règlement des litiges de droit commercial et social. C’est l’établissement de la charia et de la torah avant l’heure. Tous les conflits feront l’objet, entre les sociétés, de règlement financiers qui débouteront systématiquement les salariés en les spoliant de leurs droits. L’avenir de l’être humain est engagé dans une ère d’esclavagisme, d’un retour au XVIIIème siècle.

     

    ·        18 décembre 1944, contrôle de l'État sur la ,marine marchande ;

    Il ne reste rien de ce contrôle excepté les coûts considérables engendrés par la surveillance des eaux territoriales et des navires marchands qui dégazent près de nos côtes ou naviguent sous pavillon de complaisance en se foutant des normes de sécurité et anti-pollution. Mais de moins en moins de contrôles sont effectués en amont.

    À noter que le CNR ne parle pas de la pêche que le parlement européen et la commission des lobbyistes ont rendue exsangue en multipliant les interdictions et les quotas qui pour certains sont positifs et pour d’autres anticoncurrentiels dans la mesure où il n’y a pas réciprocité.

     

    ·        30 décembre 1944, relèvement des cotisations de la sécurité sociale30 ;

    Ça … pour augmenter, ça augmente … mais les prestations, elles, ne cessent d’être rognées afin de financer les rémunérations exorbitantes des pontes de la médecine et l’industrie pharmaceutique particulièrement gourmande. À noter que l’indsutrie pharmaceutique a entamé sa conversion et sa délocalisation, elle aussi, vers des lieux plus propices à des marges supérieures pour des prestations inférieures et des contrôles moins tatillons sur la composition des médocs !

     

    ·        16 janvier 1945, nationalisation des Usines Renault avec confiscation des biens de Louis Renault ;

    Que reste-t-il de nos usines Renault Citroën et PSA ? Nous sommes en phase d’anglicisation. L’Angleterre a laissé mourir son industrie automobile alors que les États-Unis ont relancé avec succès les marques comme Ford et Chrysler … Nous, nous laissons nos industriels se délocaliser en Chine où le potentiel commercial est dix fois supérieur à celui de la France, les chinois exigeant que pour s’implanter chez eux, les industriels leur abandonnent leurs brevets. Nous perdons et nos industries (emplois et chiffres d’affaires) et nos savoirs faire.

    Mais ces industries n’auraient jamais existées sans le programme du Conseil de la Résistance, c’est-à-dire sans la France. Cette trahison illustre parfaitement la réalité désastreuse de la politique aveugle qui nous conduit vers la ruine : L’ensemble des citoyens paient et nos gouvernants revendent aux potentats le bien commun pour une bouchée de pain. Ainsi s’enrichissent les riches et sont appauvris les pauvres.  

     

    ·        22 février 1945, institution des comités d'entreprise ;

    Le parlement et la commission européenne sont à l’œuvre pour revenir sur cet autre acquis.

    Il faut dire que le MEDEF à commencer par noyauter et corrompre les syndicats par l’argent. Les permanents et les représentants syndicaux ne demandaient que ça : se faire arroser pour, en échange, temporiser et étouffer les mouvements sociaux.

    La CGT toute puissante a réussi à imposer le silence sur ses financements occultes et les détournements financiers de son appareil. Pour combien de temps ?

    En attendant, les syndicats sont à la merci du patronat et du gouvernement, ils ne fonctionnent que grâce aux subventions, les adhérents ayant fui le navire.

    À l’EDF, par exemple, qui n’a pas sa carte n’a pas droit aux avantages liés au CE. À la main mise des patrons s’est substitué le dictat du syndicat ! C’est la foire d’empoigne, le chantage et le racket !

    Et le MEDEF se marre !

     

    ·        29 mai 1945, transfert à l'État des actions de la société Gnome et Rhône ;

    ·        Ce qui allait devenir la SNECMA et qui allait être bradé aux américains pour devenir AIRCEL puis SAFRAN … Times are changing, nos sauveurs pensent d’abord à se sauver eux-mêmes !

     

    ·        26 juin 1945, transfert à l'État des actions des compagnies Air France et Air Bleu ;

    On sait tous qu’Air France est régulièrement renfloué par l’Etat et que toute privatisation entraînerait la faillite de la compagnie et sa renaissance sous forme de low cost.

     

     

    ·        4 octobre 1945, ordonnance de base de la Sécurité sociale ;

    Bon ! Ce serait trop long de tout dire mais il est certain que la Sécu sert surtout à enrichir les laboratoires pharmaceutiques. Les récents scandales (qui n’ont jamais cessés) en particulier concernant les laboratoires Servier dont le PDG fut un ami personnel de François Mitterrand démontre comment les laboratoires interviennent auprès des autorités médicales ou les noyautent pour obtenir tout un tas de dérogations et d’avantages leur permettant de vivre très grassement sur la bête !

    La Sécu nous coûte de plus en plus cher et rembourse de moins en moins. Par contre, elle est gratuite pour les étrangers qui ne manquent pas de venir se faire soigner gratos dans nos hôpitaux privés qui ferment les uns après les autres.

    Là encore, l’idée est plus que jamais la privatisation et l’isolement des malades face aux cliniques privées.

    Il faut pourtant rappeler qu’avant la Sécu, les médecins étaient en nombre très insuffisants, mal formés et pour certains très mal payés … c’est la Sécu et la solidarité qui a permis à la médecine de se développer. Si, demain, les médecins et les chirurgiens n’ont plus que les riches à soigner, ils déchanteront vite face à la pénurie de clientèle. On reviendra au début du XXème siècle !

     

    ·        17 octobre 1945, statut du fermage et du métayage.

    Tout cela a été depuis longtemps balayé par la commission européenne et la PAC (Politique Agricole Commune).

    Les statuts de fermage et de métayage existent toujours, mais ils ne représentent plus qu’une portion congrue de notre monde agricole et tendent à disparaître.

    J’ai eu l’occasion de développer un logiciel de gestion de métayage et de fermage pour le compte d’Olivetti en 1990, c’était très laborieux pour l’imposer aux gestionnaires habitués à leurs méthodes ancestrales !

     

    ·        21 février 1946, rétablissement de la loi des quarante heures ;

    Mêmes levées de boucliers et combat du MEDEF contre cette loi issue de l’occupation et qui grevait les bénéfices des actionnaires que le combat mené aujourd’hui par les mêmes contre les 35h.

    Conséquence directe de la crise savamment organisée par les lobbyistes, le MEDEF assène sa liturgie capitaliste et affirme avec péremption que  la France a besoin d’une réindustrialisassions passant par l’abandon des 35h et l’assouplissement des règles sociales et fiscales afin de s’aligner sur la concurrence internationale. Ces arguties ne visent qu’à une chose, enfoncer le pal encore plus profond, jusqu’à ce que la faillite soit irréversible. Le président du gouvernement social libéral donne donc quitus au MEDEF et lui accorde cinquante milliards qui feront le plus grand plaisir aux actionnaires.

     

     

    ·        28 mars 1946, vote de la loi sur la nationalisation de l'électricité et du gaz ;

    Ça, c’est un très gros gâteau qui a été en grande partie abandonné au privé comme plus tard les autoroutes don la construction fut payée par nos impôts et les bénéfices livrés aux sociétés privées.

     

    ·        24 avril 1946, nationalisation des grandes compagnies d'assurances ;

    Maintenant, on a des sociétés privées qui font la loi et se consultent pour pratiquer une farouche anti concurrence leur permettant d’imposer des tarifs exorbitants et injustifiés ! Rémunération du capital oblige, alors qu’à l’origine, tout a été payé par nos impôts !

     

    ·        25 avril, extension du nombre et des attributions des comités d'entreprises ;

    Voir ci-dessus.

     

    ·        26 avril 1946, généralisation de la Sécurité sociale incluant la Retraite des vieux.

    AH !!!!!! La retraite … je vous renvoie vers ma chronique du 1er février 2010 : « Histoire de retraite »

    Il est certain que les centaines de milliards que gèrent les caisses de retraite par répartition intéressent au plus haut point les fonds de pension américain qui travaillent inlassablement dans l’ombre aux moyens petits ou grands de mettre main basse sur ce pactole !

    Comme dit Jean-Luc Porquet :

     

     « Patience, ça viendra … »   

  • aleikoum salam ... Shalom ... ave Maria ... Are Krishna ... t'as pas vu mon slip ?

    aleikoum salam Ô Allah M'atoula !

    Que la paix, le bonheur, la joie et les rires couvrent les bruits intolérables de la guerre et les cris des blessés et que tous les hommes de bonne volonté s'enculent dans la bonne humeur et le sang chaud coagulant sur la terre sainte de mes couilles !

     

    Les dieux exigent des morts ... si  les hommes ne croyaient pas en cette hypocrisie fallacieuse, vicieuse et fabriquée par d'autres hommes, ils se réveilleraient et comprendraient qu'ils s’entre-tuent pour du vent, des chimères et des utopies sans consistance ni raison d'être.

     

    Ou bien qu'ils s'entre-tuent pour se voler mutuellement les hardes qu'ils s'envient réciproquement.

     

    Mais assumer sa propre connerie, la misère crasse de la condition humaine est au dessus des forces du plus grand nombre qui réclame de la foi pour supporter sa vie de merde.

     

    Pauvre humanité. 

     

    Sans roi, sans dieu, regarde ce que tu es vraiment ... un peu de chair et d'os avec dans ton crâne minuscule quelques grammes de conscience qui te rendent ta condition miséreuse insupportable ou tes richesses terrestres ingérables.

     

    Le pauvre s'apitoie sur lui-même et le riche ne supporte pas d'entendre geindre le pauvre.

     

    Humanité de merde.

     


  • Monsieur iPidi dit que les psys sont des diables qui entrent par les fenêtres ….

     

    Mais par où diantre ressortent-ils ?

     

    En l’occurrence, ma dernière pièce de théâtre (dernière scène du dernier acte à écrire) ... a pour héros un fantôme.

    Bien entendu, on ne le voit pas .... ne soyez pas stupides !

    Mais .... chose plus que surprenante .... on l'entend ....

    Ah! la magie du théâtre ... on ne dira jamais assez tout le bien que procurent les artistes se démenant comme des diables pour retenir le public sur son siège ....

    Paraît qu'à Avignon les gens sont debout et peuvent voir 36 spectacles en même temps ... ça doit être pour ça qu'ils n'en retiennent aucun !

    De toute façon les intermittents jamais contents font une grève perlée comme mes pets (vous avez remarqué que je parle beaucoup de pets en ce moment ?) ... du coup ... les spectacles sont en dents de scie (si vous trouvez le rapport entre les pets et la scie, je vous offre le voyage de votre vie ... 1 nuit à Gaza).

     

    Je crois qu’iPidi a un petit coup de fatigue …. Il confond les psys et les rayons du soleil … si rares !

    Hier, prenant mon courage à deux mains et de l’autre le volant, nous sommes allés nous faire piquer.

    Oui, c’est une pratique courante dans nos sociétés évoluées … nous allons régulièrement chez des gens mal famés qui pratiquent la ponction sanguine à des fins peu avouables de détection de maladies graves dont on meurt mais qui leur permet de s’en mettre plein les fouilles (du fric, pas du sang) ! *

    *cet intermède est destiné aux générations futures qui liront mes chroniques comme on boit un bon vin ou un excellent whisky (Ah ! les mots !) et qui n’en croiront pas leurs antennes lectrices quand ils apprendront les méthodes barbares avec lesquelles nous sommes traités aujourd’hui.   Faudra que je vous parle de mes visions du futur … mais on a le temps …

     

    Donc, nous voilà à faire la queue comme à la supérette pour nous faire sucer la vie.

    Après une interminable attente … incroyable le nombre de personnes qui se font traire le sang … c’est enfin mon tour.

    Je demande à l’infirmière si je dois me mettre à poil ?

    Elle me répond que je peux me contenter de retrousser ma manche.

    Je lui fais la gueule !

    Elle me fait une clé au bras gauche, me met un truc qui me serre les biscoteaux et commence à me frapper le creux du bras sauvagement en m’excitant ainsi :

    « Ne rentrez pas vos veines … serrez le poing … plus fort … »

    Moi, je ne vois rien car je suis déjà à demi-inconscient la tête tournée vers le mur du fond …

    « Aïe ! »  et je fais un bond olympique !

    La salope !

     Elle vient de m’enfoncer une pointe de 120 dans le creux du bras et elle m’engueule :

    « AH ! C’est malin ! vous avez bougé, je vous ai raté, faut que je recommence … »

    En mon for intérieur, je me dis qu’elle est gonflée de m’attribuer tous les torts … mais comme nous ne sommes pas mariés ….

    « Bon ! tournez-vous donnez-moi l’autre bras ! »

    Je m’exécute docilement avec ce sentiment de culpabilité qu’ont les êtres charitables.

    Je peux admirer l’autre mur du fond.

    Je me motive en me disant que plus vite ce sera fait, plus vite ….. ce sera fini ! Je serre le poing, les dents, les fesses et tout l’restant !

    Elle recommence son manège, me frappe vigoureusement le creux du bras, me frotte énergiquement avec un coton dégoulinant de formol (ou de je ne sais quoi) … et …

    « Aïe » hurle-je dans ma tête ! Mais je n’ai pas bougé ! elle ne pourra pas m’inculper !

    (je fais un court aparté … vous êtes au courant pour la clique de l’UMP ?  Vraiment abjectes ces gens là !)

     Elle ne dit rien, preuve que je suis innocent.

    Mais par contre … elle pousse sur l’aiguille pour la faire rentrer …. Ouille ouille ouille …

    Et puis paf …. La seringue ressort …. Elle la re-rentre aussitôt …. Mais elle rechigne tant et si bien qu'elle finit par se retirer définitivement (l'aiguille).

    Vampirella va !

    Elle enlève l’élastique de mon bras, pas de sa culotte et entame des recherches approfondies de veines sur mon bras endolori.

    Elle semble avoir trouvé quelque chose … élastique …. Coton dégoulinant … claques sur mon bras … et

    « Aïe »

    La guêpe (mais pas la taille … je veux pas être méchant, mais elle n’a pas que les os sur la peau … euh … c’est bien comme ça qu’on dit, non ?)

    « Bon ! ça ne va pas du tout, on va essayer avec l’autre bras. »

    Ma parole, elle me prend pour une poupée vaudou !

    Si ça continue elle va finir par me demander de me foutre à poil …. Comme si on n’avait pas pu commencer par ça !

    « Vous comprenez, vous êtes trop tendu, il faut vous détendre, respirez et tout ira bien ! »

    Elle me prend pour un jobard, en plus … comment se détendre quand on est transpercé de partout ?

    Je me motive en me disant … ouais … je l’ai déjà dit …

    Elle refait son cinéma …

    « Aïe » …. Tient ! Elle ne bouge plus !  Est-ce moi ou elle qui est tombé dans les pommes ?

    Pas du tout !

    Elle me dit

    «Ça  y’est ! »

    Ensuite, elle me scotche des bouts de coton partout sur les bras pour cacher les trous qu’elle m’a fait !

    Et je sors du gourbi … la tête haute, le regard au loin sur la chaîne des Pyrénées, la démarche assurée du poivrot  zigzaguant …

    Vivement la prochaine prise !