Je lis, ici et là, des extrapolations plus ou moins savantes sur l’origine de la quenelle.
Une chose est certaine : Dieudonné n’a rien inventé … l’homme africain, comme le dit Sarkozy, n’est donc toujours pas entré dans l’Histoire.
La quenelle de gauche, de Valls et de tant d’autres intermittents du spectacle désolant de l’État cherchant par tous moyens à retenir l’attention sur autre chose que l’islamisation, le chômage et l’insécurité ... entre autres … :
Il s’agirait d’une inspiration issue du film « docteur Follamour », celui-ci ne pouvant réprimer un salut nazi, il essayait d’empêcher son bras de se lever pour faire le salut en question.
La quenelle de ma maman :
Je me souviens qu’étant jeune, ma mère me disait, mettant sa main droite au niveau de son coude intérieur gauche « on te donne ça … » puis, montant sa main droite jusqu’à son épaule gauche … « et toi, tu veux ça ! ».
La quenelle du lycée :
Plus tard, la puberté pointant le bout de son nez tarabustait nos glandes endogènes et entre ados boutonneux et vierges nous poussaient à des exubérances glandulaires proches des combats sauvages d’animaux en rut … Nous défiant du regard, de la voix et même des deux à la fois, nous nous défiions en brandissant notre bras que nous recouvrions de notre main opposée à l’épaule en précisant :
« Tiens, je te la mets jusque là ! »
La quenelle dans le doute :
Celle-là est la plus con, c’est quand le haut de ton bras te gratte !
Voilà !
À chacun sa préférence …. Sans oublier les innombrables recettes culinaires de quenelles !