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à bas la culotte - Page 4

  • Rachadi et Mafieu se bouffent le tarbouif pour le plus grand bénéfice de la diversité cultuelle et culturelle multiculturelle. La schtroumpfette à poil !

    Extrême instant d’ataraxie extatique samedi soir dans l’émission somnifère de Laurent Rouxpieds quand Rachadi Dita donne la réplique au représentant du peuple autoproclamé : Mafieu Kassetoivitch !

    Dès que Rachadi a pris place dans le fauteuil qui en a vu d’autres (des culs callipyges), Mafieu a commencé à se tortiller les doigts dans sa moustache rasée et à se foutre le pouce dans le tarin en signe de contestation outragée.

    Pendant que Rachadi débite (et non « des bites ») ses bobards gros comme des rochers de Monaco (ou de Gibraltar … c’est selon votre religion) … le Mafieu n’en peut mais et ne résiste pas à interpeller l’ancienne ministre de l’injustice avec dans la voix une haine dicible :

    « Vous savez quoi, vous m’écoeurez, vous ne connaissez rien à la rue, au peuple, à ses souffrances pendant que vous vous crêpez le chignon avec Fion, Jouïet et Tzarko pour savoir à qui qui mentira plus que …. Euh … plus, nous, le peuple des rues et des boulevards, nous pouvons crever, ça ne vous fait ni chaux ni froid de veau ! » *

    Et vlan, v’la la Rachadi qui lui flanque son poing dans la gueule en retour d’uppercut avec une répulsion si agressive que l’autre a failli choir de son tabouret de bar à putes :

    « Et vous, vous vous êtes regardé ? Vous critiquez tout et tout le monde alors que vous ne valez pas un pet de tortue et que votre talent ne pèse pas plus qu’une plume de gazelle ! Vous feriez mieux de la fermer espèce de bachibouzouk, vous vous prenez pour une star vous n’êtes même pas digne de jouer dans Pokémon  ! » *

    * ( chère lectrice, cher lecteur, pardonnez si je n’ai pas le verbatim de la discussion … vous savez bien que cette émission a pour but de nous endormir, ce qu’elle réussit à merveille et en conséquence, je n’ai pas eu la force de prendre des notes circonstanciées.)

     

    C’est à ce genre d’instant magique qu’on apprécie tout ce que le multiculturalisme apporte à la France et à ses occupants : les français.

    Quand je pense que sans la bénéfique immigration nous en serions encore à nous rendre des politesses plates et sans saveur !

    Là, au moins, on discerne nettement à quel point la haine interraciale est source de vitalité, de  régénérescence, de partage … de gnons (ce qui nous change du fisc qui prend notre pognon).

    L’Afrique de l’ouest qui tape sur l’Afrique de l’est tout en conservant une nationalité française de façade, c’est ça qu’il nous faut pour bien nous cultiver, entretenir nos synapses et nous faire oublier les tracas quotidiens ordinaires qui ne nous élèvent pas comme le fait le multiculturalisme du XVIème … euh … non, du VIIème ! (ou les deux).

    Après ça, on dort comme un ange !

     


  • Rachadi dita à poil, Lavérie Wiertrieller à poil, lanhodle à poil, tata Baluchon …. On sait pas encore … elle fait sa soupe aux choux, vertuchou !!!

    Il faut apprendre à prendre son temps avant de débiter des conneries, c’est une vertu que je me suis auto enseignée et qui finira par porter ses fruits …. Un jour !

    Savez-vous ce qui manque le plus à notre humanité ?

    LA VERTU !

    vertu[vDYty]n. f.

    ÉTYM. 1080, «  courage, vaillance  », et aussi «  force physique; jugement, sagesse  »; les autres sens dès les xiie-xiiie; du lat. virtus, -tutis (accusatif virtutem) «  mérite de l'homme (vir); courage, énergie, vertu, perfection  ».

    Pensez-vous que notre microcosme politique connaisse ce mot, sa sémantique, ses concepts ?

    Que nenni !

    L’hommo politicucul contemporain est un être dénué de sens moral donc de vertu.

    Son dieu, l’argent, l’influence et le paraître aux yeux des proches et de la télé guide ses actes minute après minute et il se transforme en un millième de seconde en super héros comique ou en hyper casse-couilles sadique impudique !

    La semaine, il se repose dans sa maison luxueuse entièrement financée par l’argent public. Il vaque à ses occupations lucratives et tordues, préparant en catimini quelque coup tordu qui fera parler de lui dans le journal …

    C’est le dimanche, juste après la messe qu’il se réveille et se répand sur les ondes en paroles débiles et actions sordides.

    Cette plaie de notre société moderne tient sa science des anciens qui ont mis des générations de cons à établir leur supériorité ringarde et tient ses pouvoirs de l’oligarchie ploutocrate de la finance poisseuse.

    Certaines, plus douées que les autres, ont démontré qu’elles pouvaient s’abaisser vélocement au niveau des plus vieux et même les surpasser en ignominies crapoteuses.

    De  jeunes loups d’opérette n’hésitent pas à en faire autant.

    Bref ! Vous l’aurez compris, je ne porte pas les gens politiques près de mon cœur (mon portefeuille est toujours dans ma poche révolver car il faut pouvoir dégainer sa carte bleue aussi vite que Zeus le grand foudroie l’épine vinette de ses éclairs zigzagants).

     

    Une autre constante de la gente politique, c’est sa nature « tuyau de poêle ».

    Ils s’entre pénètrent à l’infini et peuvent former des kilomètres de creux zingués protéiformes donneurs de leçons aux citoyens atterrés de cette aberration  surnaturelle qui prétend résoudre les problèmes qu’elle n’a pas à subir.

    La promotion, la cooptation, le piston, la lèche-moule et le suce-bite sont leurs armes les plus perfides et les plus efficaces à la perpétuation de leur race mortifère.

    Quelques spécimens non hétéros on réussit à imposer leur culte du cul en  abaissant le principe du mariage au niveau du tout à l’égout.

    Soyons tolérants et acceptons que les tuyaux de poêles s’accouplent sans norme européenne ni trompette ni jugulaire au casque de scooter.

    Tel individu ordinaire qui donne de son temps à l’entretien du patrimoine commun passe aux yeux des canailles politicardes pour un benêt qui ne sait pas monnayer ses charmes.

    Les putes nous gouvernent et nous demandent de faire preuve de vertu cependant qu’elles bradent aux étrangers les ouvrages entretenus par les bredins bénévoles.

    Les meutes de klébars affamés nous tombent sur le râble (dur) pour s’emparer de nos biens publics afin d’en faire des bordels de luxe où ni vous ni moi ne seront invités. Enfin …. Vous, je sais pas ?

    Qui du chinois, du qatari, du saoudien, du ruskov ou du bougre de boukistanais obtiendra la faveur de se voir offrir tel château, tel hôtel particulier, tel immeuble ou terrain ou antiquité précieuse … au motif fallacieux que l’entretien d’icelui ne peut plus être assuré par l’Etat providence pour les touristes du social européen ?

    C’est qu’il en faut des sous pour entretenir nos onéreux touristes … encore que ce ne soit rien à côté de ce que nous coûte la pléthore de fonctionnaires surnuméraires qui se pavanent dans les assemblées nationales, régionales, communales et extraterritoriales … !

    Tout ces pique-assiettes aspirent sans vergogne les ressources essentielles que nous produisons dans le but de se reproduire exponentiellement.

    Le peuple des nigauds semble finir par comprendre péniblement qu’on se fout de lui …

    Il frétille dans son jus plébéien en attendant sa revanche … qui lui passera sous le nez car les députés institueront au dernier moment quelque artifice monstrueux capable de frustrer les millions d’imbéciles qui mettent dans les urnes des bulletins qui, censés les défendre par subrogation se transforment illico en blancs-seings qui les confinent au bastringue de la fausse république dont le but ultime échappe même à son orchestre disharmonique.

    Dansez braves gens, qu’importe que la musique ne soit que cacophonie et fausses notes, le spectacle doit continuer, show must go on, et quand vous serez morts, vos enfants prendront la relève et le monde deviendra ce qu’il deviendra sans que vous n’ayez  jamais eu votre mot à donner.

     

    C’est pour ça que moi, je donne mon mot :

    « pourritures ».

     

  • De l’écriture en général et des pâtés d’Yfig en particulier (à l’intention des cornichons indispensables pour accompagner les pâtés)

    Non …. Je ne vais pas vous apprendre à faire des pâtés de foie gras de Zanzibar ou des rillettes de Montélimar … je veux seulement vous entretenir de mes divagations scribouillardes.

     

    Oh ! Je n’ai guère de notoriété à poser en guise de ridelles autour de ma personne pour vous convaincre de mon habilitation à vous entretenir de littérature.

    Je n’ai aucun « best seller » à opposer à vos réticences à faire preuve de bonne volonté à mon égard.

    Et je n’ai même pas de kalachnikov à vous mettre sous le nez pour vous forcer à m’écouter !

    Rien, je n’ai rien que quelques mots d’intro qui, espérons, vous donnerons envie de faire un petit bout de chemin en ma singulière compagnie.

     

    De quoi t’est-ce exactement que je veux vous causer ?

    D’écriture.

    Pas de styles …. Encore que … Pas de genre … même si … Pas de règles … ou à l’insu de mon plein gré …

    Non, je veux vous entretenir de la façon dont l’usage de l’écriture peut amener à penser l’écriture différemment.

    Au début était le verbe … Ouais …. Bon …. C’est pas original mais ce n’est pas moi qui ai inventé cette faribole !

    Au début que j’écrivais … car il a bien fallu un début … je ne savais pas trop quoi écrire ni comment.

    Pourquoi ?

    Mais diantre, fichtre ! Parce qu’on peut écrire de tant de différentes façons !

    Un article de style journalistique.

    Un cours théorique sur la conchyliculture du bigorneau aux yeux bleux.

    Un conte de fée humoristique ou lubrique.

    Un sketch pour amuser le bourgeois qui s’emmerde devant sa téloche.

    Une chronique des temps moderne dont la modernité n’a rien à envier au Moyen-âge qui était en avance sur son temps dans bien des domaines.

    Un roman … d’aventures, d’amour, d’espionnage, policier …

    Une pièce de théâtre, une comédie de boulevard, une tragédie, un burlesque …

    Un scénario de cinéma ou une série télé ou de Bande Dessinées …

    Vous rendez-vous compte de l’éventail infini de possibilités qui s’étalaient provocantes à mes yeux innocents ?

    En fait, si je me souviens bien, j’ai écrit une nouvelle.

    La nouvelle, c’est pas mal pour débuter. C’est court et on peut n’y mettre qu’un nombre limité de personnages. Ma nouvelle, je l’ai intitulée : « le choix du père ». C’est bien comme titre parce que ça n’a pas de sens unique. Le choix … quel choix ?

    Faut pas croire, écrire une nouvelle de 25 pages, ça peut paraître facile mais ça ne l’est pas !

    On se lance dans une grande aventure en se demandant si on y arrivera … on tombe sur des tas de pièges inattendus.

    Par exemple, pour faciliter l’écriture, j’avais choisi de baser ma nouvelle sur une aventure qui m’était réellement arrivée … genre biographie épisodique. Mais on se pose rapidement la question de savoir ce qu’on peut dire et ce qu’il faut garder pour soi parce qu’on sera peut-être lu par des inconnus, des amis, voire la famille …

    En fait … personne … ou presque ne vous lit … mais ça, on ne le sait pas au début !

    Ensuite, j’ai écrit quelques mirliton … souvent, c’était des réponses rimées à des vacheries reçues sur internet …

    Puis j’ai décidé de me lancer dans un roman.  Ne le cherchez pas en librairie il n’a pas été édité. Son titre : « Ludmilla » … encore un titre suffisamment évasif pour que personne n’ai envie de le lire.

    Un premier roman, ce n’est pas une aventure, c’est une gageure, un travail herculéen à réaliser par un nain. On ne devrait jamais se lancer dans pareille mésaventure sans prendre une bonne assurance anti-risquetout !

    Je vous passe les affres de la technique liée à l’orthographe et la grammaire … les phrases qu’on pense mais qu’on ne sait pas écrire … les mots qu’on ne trouve plus … les mots qu’on met par défaut ….

    Le pire est à venir …

    Le pire, c’est qu’à la quatrième ou cinquième page on a l’impression d’avoir tout dit !

    Alors …. On s’arrête et on se dit : « demain ça ira mieux ! »

    Mais le lendemain rien ne se passe … ni le surlendemain …. Ni les jours suivants … et on finit par oublier qu’on avait fait un grand projet.

    AH ! il en faut de l’ambition et de la niaque pour se remettre à l’ouvrage, surtout si on est tout bloqué !

    Moi, mon truc, ça a été d’écrire des petits trucs pour me débloquer, des chroniques, une saynète, une fausse interview , de petits sketches … et tout doucement, ça s’est débloqué …

    Mais ça ne veut pas dire que c’est gagné … loin de là … car l’imagination, voyez-vous, ça marche bien dans la tête, mais quand il s’agit de le transcrire sur le papier …. C’est une autre histoire !

    Bon, bref …

    Après, je me suis mis à l’écriture de ma première pièce de théâtre : « un raout chez les ploutocrates ».

    Comme j’avais un peu d’argent mis de côté (c’est si rare) … je l’ai faite imprimer. On appelle ça « l’autoédition ».

    Puis un polar dont j’avais jeté les bases quelques vingt ans auparavant et dont j’ai retrouvé les premières pages manuscrites car il n’y avait pas d’ordinateur à l’époque.

    Je me suis essayé à écrire des chansons, puis de nouveau des chroniques et des petites choses tout en travaillant à une autre pièce puis à la transcription d’une pièce en scénario de cinéma.

     

    Cessez de bailler, j’en suis arrivé à mon sujet.

     

    À écrire ainsi, j’en suis arrivé à la conclusion qu’il y a 3 genres qui se chevauchent.

    Le plus évident, c’est le scénario de cinéma et la pièce de théâtre. En fait, on peut dire que c’est très semblable et que ça consiste en des dialogues.

    Les cinéphages (femmes et hommes de cinéma)  et les théâtreux tiennent absolument à ce que leurs disciplines restent bien dissociées et c’est dans la forme qu’ils imposent qu’ils tentent de forcer les uns et les autres à rester derrière d’infranchissables barrières virtuelles.

     

     

     

    Voici un exemple d’écriture théâtrale :

    ACTE I

    Scène I

     

    Nous sommes au mois de juillet dans la galerie ‘Maurice Maurice’ où se déroule une exposition - vernissage.  La salle (le magasin) est vide de monde. Musique douce d’ambiance. Lumière feutrée avec des spots sur les tableaux.

    Une simple table sur tréteaux avec une nappe en papier blanche supporte des petits fours fatigués, une bouteille de soda et une bouteille de mousseux de mauvaise qualité avec des gobelets en plastique.

    Des tableaux abstraits et figuratifs sont cimaisés sur des châssis amovibles, quelques statues sur des présentoirs …

     

    Un couple de visiteurs vient à passer ..

     

    Lui : Dis donc, y’a pas grand monde !

     

    Elle : Y’a une ambiance à tirer au couteau !

     

    Lui : Remarque …. C’est franchement pas terrible !

     

    Elle : J’aime assez celui-là ! (elle lit l’étiquette au bas du tableau) bateau échoué sur la vase dans le port de Honfleur avant 1990. C’est où Honfleur ? et … Que s’est-il passé en 90 ?

     

    Lui : C’est juste un bateau, il n’y a pas âme qui vive dans ce tableau …. Comme dans cette galerie, d’ailleurs  !

     

    Elle : Oui, mais les couleurs sont apaisantes et je préfère un bateau échoué qu’en pleine tempête, je n’ai pas le pied marin.

     

    Lui : C’est tellement apaisant que ça donne envie de dormir !

     

    Elle : Tu ne serais pas un peu de mauvaise foi ?

     

    Lui : Viens ! Partons d’ici c’est trop morose.

     

    (Ils partent)

     

     

     

     

    Examinons les contraintes textuelles liées à l’écriture d’une pièce de théâtre.

    La première est la division en actes et en scènes. Bon ! Ça, ce n’est pas bien difficile à faire.

    Pour le théâtre, l’outil américain Celtx nous donne les clefs suivantes :

    ·       Acte

    ·       Entête (scène)

    ·       Mise en scène (didascalies)

    ·       Personnage

    ·       Dialogue

    ·       (Indication)

    ·       Transition

    ·       Texte

     

    Il est à noter que l’outil Celtx fournit un certain nombre de fonctionnalités très utiles pour le metteur en scène ou le réalisateur.

    Il permet de décrire avec une grande précision les personnages, leurs caractéristiques physiques et psychologiques, leur rôle en tant qu’antagoniste, protagoniste, faire-valoir, figurant … etc …

    Il permet de gérer les accessoires et les plans de tournages avec l’emplacement de la ou des caméras et de tous les décors ainsi que les autorisations de tournage à demander aux mairies ou préfectures ….

    Il permet de gérer les plannings de tournage …

    Il construit, à partir du scénario, des rapports précieux sur les scènes successives incluant les personnages et leur charge de dialogues … et plein d’autres choses encore qui sont presque totalement inutiles à l’auteur.

    Et un exemple de script (scénario de cinéma) :

    1 INT/EXT LE PATIO ARBORÉ DE LA GALERIE DES MAURICE

    Nous sommes au mois de juillet dans le patio planté de la

    galerie "Maurice Maurice" où se déroule une exposition- vernissage.

    Le patio est vide de monde. Musique douce d’ambiance Lumière feutrée avec des spots sur les tableaux.

    Une simple table sur tréteaux avec une nappe en papier blanche supporte des petits fours fatigués, une bouteille de soda et une bouteille de mousseux de mauvaise qualité avec des gobelets en plastique Des tableaux abstraits et figuratifs sont cimaisés sur des châssis amovibles, quelques statues sur des présentoirs

     

    Un couple de visiteurs vient à passer ..

     

    LUI

    Dis donc, y’a pas grand monde !

     

    ELLE

    Y’a une ambiance à tirer au couteau

    !

     

    LUI

    Remarque .... C’est franchement pas

    terrible !

     

    ELLE

    J’aime assez celui-là ! (elle lit

    l’étiquette au bas du tableau)

    bateau échoué sur la vase dans le

    port de Honfleur avant 1990. C’est

    où Honfleur ? et ... Que s’est-il

    passé en 90 ?

     

    LUI

    C’est juste un bateau, il n’y a pas

    âme qui vive dans ce tableau ....

    Comme dans cette galerie,

    d’ailleurs !

     

    ELLE

    Oui, mais les couleurs sont

    apaisantes et je préfère un bateau

    échoué qu’en pleine tempête, je

    n’ai pas le pied marin.

     

    LUI

    C’est tellement apaisant que ça

    donne envie de dormir !

     

    ELLE

    Tu ne serais pas un peu de mauvaise

    foi ?

     

     

    LUI

    Viens ! Partons d’ici c’est trop

    morose.

     

    Ils partent

     

     

    Pour le cinéma, l’outil américain Celtx nous donne les clefs suivantes :

    ·       Entête (scène)

    ·       Action (didascalies)

    ·       Personnage

    ·       Dialogue

    ·       (Indication)

    ·       Transition

    ·       Valeur de plan

    ·       Texte

    Dans l’écriture des scripts, il n’y a ni actes ni scènes mais des entêtes qui définissent le plan de tournage et commence principalement par la définition « intérieur ou extérieur jour ou nuit ».

     

     

     

     

    Comme tout un chacun peut le constater, seule la forme diffère … l’histoire (à travers les didascalies) et les personnages sont identiques.

    Du coup, vous le sentez bien, si je propose un texte sous forme théâtre pour un film, le CNC qui finance des centaines de millions par an (véridique) et qui EXIGE le format « script » me priera poliment mais fermement d’aller voir ailleurs si j’essuie.

    À l’inverse, si je propose une pièce de théâtre au format « script » à un metteur en scène (subventionné par le ministère de la culture qui a une liste d’amis réservés), celui-ci me proposera d’aller me faire pendre ailleurs.

    Que faire ?

    Ben … en fait, je dirais que je m’en fous !

    Pourquoi ?

    Mais parce que de même que personne ne lit mes textes, personne ne s’intéresse à mes pièces ni à mes scripts … cela me rend plus indépendants et c’est pour ça que j’ai décidé d’économiser mes forces et de cesser de perdre mon temps à mettre mes textes sous des formes imposées par d’autres qui n’ont pas vraiment le souci du fonds mais plutôt celui de la forme, ce qui explique en partie la déconfiture généralisée et du théâtre et du cinéma (les films français sont tous déficitaires en recette !).

    Et puisque j’ai décidé de ne plus répondre aux dictats absurdes, autant aller jusqu’au bout du raisonnement et faire d’une pierre non pas 2 mais 3 coups. C’est pour ça que désormais, j’écris des romans-ciné-théâtre … comme ça :

    1      La galerie d’art

     

    Par ce beau mois de juillet, dehors, la chaleur est étouffante et le soleil brûle tout ce que ses rayons percutent.

    La température est plus supportable sous la charmille du patio arboré de la galerie ‘Maurice Maurice’ où se déroule une exposition - vernissage.

    L’espace ombré est vide de monde. Une douce musique d’ambiance flotte langoureusement dans l’air comme un effluve vaporeux et nuageux. La lumière feutrée donne une note suave orangée et intime. Les spots vifs projetant leurs rais clairs sur les tableaux forment des îlots de clarté rayonnante parsemée.

    Au centre du patio, une simple table sur tréteaux avec une nappe en papier blanche supporte des petits fours fatigués, une bouteille de soda et une bouteille de mousseux de mauvaise qualité avec des gobelets en plastique.

    Des tableaux abstraits et figuratifs sont cimaisés sur des châssis amovibles, quelques statues de stuc reposent nonchalants sur des présentoirs …

    Malgré l’impression apaisante des lieux, il y plane comme une menace éthérée et dramatique.

    Un couple de visiteurs vient à passer … Ils sont jeunes et branchés, ils sont entrés là par le plus grand des hasards après avoir lu la pancarte à l’entrée de la galerie exhortant les passants à venir se rafraîchir à l’abri du soleil et à se rincer l’œil avec les tableaux et sculptures. Ils sont en short et tong, très décontractés et très bronzés. Elle, blonde et lui brun ils ont des visages communs, sans particularité exceptionnelle.

    Lui : Dis donc, y’a pas grand monde !

     

    Elle : Y’a une ambiance à tirer au couteau !

     

    Lui : Remarque …. C’est franchement pas terrible !

     

    Elle : J’aime assez celui-là ! elle lit l’étiquette au bas du tableau bateau échoué sur la vase dans le port de Honfleur avant 1990.  Ça l’interpelle et la questionne, elle se tourne vers son compagnon dans l’espoir qu’il lui procure quelques renseignements … C’est où Honfleur ? et … Que s’est-il passé en 90 ?

     

    Il n’en sait rien le pauvre, comment pourrait-il savoir ? Il ne prend même pas la peine de s’excuser et s’esquive.

     

    Lui : C’est juste un bateau, il n’y a pas âme qui vive dans ce tableau …. Comme dans cette galerie, d’ailleurs !

     

    Elle : Oui, mais les couleurs sont apaisantes et je préfère un bateau échoué qu’en pleine tempête, je n’ai pas le pied marin.

     

    Lui : C’est tellement apaisant que ça donne envie de dormir !

     

    Elle : Tu ne serais pas un peu de mauvaise foi ?

     

    Lui : Viens ! Partons d’ici c’est trop morose.

     

     

    Ensuite et pour satisfaire à la notion de numérotation des dialogues des scripts pour le cinéma, je reprends les dialogue et je leur donne un ordre chronologique :

    Comme ça :

    1.     Lui : Dis donc, y’a pas grand monde !

     

    2.     Elle : Y’a une ambiance à tirer au couteau !

     

    3.     Lui : Remarque …. C’est franchement pas terrible !

     

    4.     Elle : J’aime assez celui-là ! elle lit l’étiquette au bas du tableau bateau échoué sur la vase dans le port de Honfleur avant 1990.  Ça l’interpelle et la questionne, elle se tourne vers son compagnon dans l’espoir qu’il lui procure quelques renseignements … C’est où Honfleur ? et … Que s’est-il passé en 90 ?

     

    Il n’en sait rien le pauvre, comment pourrait-il savoir ? Il ne prend même pas la peine de s’excuser et s’esquive.

     

    5.     Lui : C’est juste un bateau, il n’y a pas âme qui vive dans ce tableau …. Comme dans cette galerie, d’ailleurs !

     

    6.     Elle : Oui, mais les couleurs sont apaisantes et je préfère un bateau échoué qu’en pleine tempête, je n’ai pas le pied marin.

     

    7.     Lui : C’est tellement apaisant que ça donne envie de dormir !

     

    8.     Elle : Tu ne serais pas un peu de mauvaise foi ?

     

    9.     Lui : Viens ! Partons d’ici c’est trop morose.

     

    D’autre part, avec le jeu des couleurs de texte, je réponds à la condition qui stipule que l’on doit séparer clairement les dialogues des didascalies.

     

     

    Elle est pas belle, la vie ?

     

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  • Ébola par ci, ébola par là …. Chasse aux chômeurs … prix nobel du grand foutage de gueule … Marine Le Pen à poil sans permis de conduire …

     

     

    L’actualité est toujours aussi truculente et ce n’est pas mon absence qui en est cause !

    Oui, j’ai des trucs persos à m’occuper prioritairement à l’écriture, à la sustentation de mon tamagoshi blog !

    Mais qu’importe ce que j’ai à dire, la vie continue son cours indolent parfois et brutal d’autres fois …

    Tiens, un exemple entre mille de la cruauté de la télé … Mireille Mathieu vient juste de chanter au journal télévisé et je pense que nombreuses et nombreux sont les téléspectatrices et teurs qui on perdu un, voire deux tympans !

    La haine est partout … Ségolène abandonne l’écotaxe sur le bord de la route en rase campagne, cet octroi des temps modernes que Serge Moati  confond avec la gabel … ce con !

    Duflot n’en peut mais mèèèèèhhhh. La pauvre n’a aucune idée de l’ampleur du désastre écologique qui frappe le reste du monde, elle base toutes ses activités sur la loi de l’emmerdement maximum qu’elle est capable de causer chez nous sans se soucier d’autre chose que de ses fantasmes verdâtres comme son vomis.

     Chasse aux chômeurs qui ne cherchent pas le travail qui n’existe pas … vous pourriez faire un effort pour faire semblant …

    Mais comme les chômeurs se montrent peu coopératifs, Valls et sa meute de hauts fonctionnaire va leur couper les vivres pour leur apprendre à vivre !

    Ah ! Vous refusez de chercher le Graal sous prétexte qu’il n’existe pas … eh bien nous, gouvernement tout ce qu’il y a de plus officiel de la France méconnaissable, nous allons vous siffler vos indemnités pour en faire de la CMU de l’AME et de l’ersatz d’écotaxe ! Gnia !

     

    Mais revenons à notre à propos … je veux parler de l’ébola qui a le mérite de tomber au bon moment pour transférer le stress du chômage vers un stress encore plus grand …. Celui de la mort !

    L’ébola tue ! L’ébola se cache … on l’a vu ici, il est passé par là, il repassera … ici et là … ne croyez pas, braves con-citoyens que vous êtes à l’abri … OH QUE NENNI … il n’y a que 12 lits pour toute la France … les premiers arrivés seront les premiers soignés … dépêchez-vous de l’attraper si vous ne voulez pas finir comme les 65 millions restants qui n’auront aucun lieu pour les accueillir, eux et leur putain d’ébola !

    Nous en sommes là, mes bien chères sœurs mes bien chers frères, cousines, cousins, tonton tontines et tata … pour calmer la colère et la fronde, rien de telle que la menace brandie à bout de bras d’un châtiment létal pour toutes celles et ceux qui n’acquiescent les conneries Hollandaises !

    Allez, les 2 ou 3% des bons français qui applaudissent encore les fariboles et autres calembredaines du président poil aux ch’veux seront épargnés … parce qu’ils le valent bien !

     

    Non mais … quand j’y repense …. Mireille Mathieu … quelle casserole !!!

     

    Et  que je me déhanche et que je hoche du bonnet (ou que j’opine), que je gronde, que je menace, que je cède du terrain pour mieux revenir, que j’emploie des locutions latines à tort et à travers (savez-vous que pour la ministre très échologique – égologique- Ségolène Impériale « sine die » ne veut pas dire « sans date » mais « abandonné » ? fou, non ? !), que j’ergote, que je trépigne … Valls nous sort le grand JE … et Hollande n’est pas trop fâché que les projecteurs lui fassent enfin un peu d’ombre …

    Alain Minc (qui n’est jamais très loin d’Attali … du moins dans la filouterie …) nous donne sa recette du bonheur (vous êtes priés de ne pas rire) … 1 point de TVA, augmentation des charges sociales salariales, baisses des retraites et augmentation significative de l’âge du départ en retraite … on se tient les côtes (de veau) !!!

    Moi, je peux faire mieux ! Baisse de 10 points de la TVA, licenciement de tous les cumulards et de tous les fonctionnaires bouffons, suppression des retraites aux sénateurs et parlementaires, arrêt immédiat du nucléaire et retour à l’électricité au pédalo, suppression des patrons et de leurs actionnaires, retour au 24h de travail par mois, élimination définitive de la pauvreté et obligation de joie et de bonheur pour tous !

    Merde, y’a pas que Minc et Attali qui ont le droit de dire n’importe quelle connerie.

     

     

    Allez, sur ce, je vous quitte, j’ai un ébola qui frappe à la porte pour me vendre des tapis perçants comme la voix nasillarde de Mimi Mathieu !!!

     

     

    France 60 millions d'habitants ... Chine + Inde 4 milliards ! L'écotaxe ...une larme dans les océans !

  • Le monde change, évolue, se diversifie, réinvente, réorganise, redistribue cartes et claques … BB à poil !

     

     Reçu ce jour dans ma boîte mail :

     

    Pour l'UFAL, la famille n’est pas un fait naturel, mais une construction sociale et symbolique. L’association Les Enfants d’Arc en Ciel défend et promeut la famille LGBTparentale.

     

    Pour l’UFAL et tous les crétins qui y contribuent, la famille naturelle n’a aucune raison d’être, c’est un artifice creux et vain, une lubie, une lanterne pour attirer les imbéciles qui s’imaginent que la chair de leur chair vaut mieux que celle de l’étranger qui rôde autour de la maison car il fait plus partie, lui, de la famille que le bébé qui vient de sortir tout chaud et visqueux du ventre de sa maman.

    Maman !

    Buerk quel vilain mot !

    Papa !

    Buuuueeerrrrkkkkk !

    Quel horrible cauchemar !

    «  Ni père ni mère » comme disent les libres penseurs qui s’apitoient sur le sort sordide des pauvres arabes qui pratiquent le ramadan et s’en trouvent affaibli au point de réclamer de nouveaux congés payés exclusifs pour les lécheurs de tapis.

     

    Ça ressemble à quoi une société qui se liquéfie dans des concepts vaseux comme la lise qui avale tout sans discrimination ni jugeote.

     

    Ma mère n’a guère plus d’importance que n’importe quelle bonne femme apte à la procréation, je suis issu du néant tout comme mes parents et en conséquence je ne leur dois rien ils ne me sont redevables de rien. Le rien retourne ainsi au néant de nos consciences amorphes qui acceptent tout sans jamais rechigner du moment que ça vient de ceux qui détiennent le pouvoir de décider de ce qui nous convient et de ce qui ne nous sied pas.

     

    L’UFAL est une association et à ce titre, elle perçoit d’importantes subventions publiques qui lui permettent de se payer des pubs propagandistes afin de développer ses thèses morbides.

    La famille n’est qu’une « construction sociale et symbolique », un peu comme une association.  Un assemblage hétéroclite de personnes sans relation biologique, juste des étrangers qui vivent sous un même toit, partagent les mêmes repas, les mêmes loisirs mais sans qu’il y ait de raisons particulières à cela en dehors de la symbolique.

    L’inceste n’est qu’une pure création morale qui tend à empêcher des individus sans relations d’avoir des rapports sexuels sans conséquences. Bien entendu, si ces copulations devaient déboucher sur une procréation non assistée médicalement (la nature est conne), il conviendrait, en raison des risques débiles congénitaux d’avorter le rejeton issu du néant sans qu’il y ait à y voir une quelconque allusion à la consanguinité hypothétiquement symbolique et sociale.

    La Grèce antique n’avait rien compris à l’humanité. Ces gens là vivaient repliés sur eux-mêmes, en famille tout comme les hommes du néant-derthale ou de croc-magnon … Heureusement les penseurs de l’UFAL (Union des Fadas Abracadabrantesques Libidineux) et de la LGBT (Ligue Glauque des Barjos Tripatouilleurs) ont réunis leurs génies afin que disparaissent à jamais les stupides constructions sociales et symboliques qui tendent à empêcher l’égalité de tous dans le droit d’acheter des mômes qui n’appartiennent à personne, ni avant ni après et qui doivent pouvoir se marchander librement aussi bien sur leboncoin que vivastreet et d’autres et faire l’objet de saines enchères et de trocs car voyez-vous, nous ne sommes que de la marchandise commune et vulgaire.

    Après tout, nous ne sommes qu’un assemblage de cellules, une construction biologique symbolique, ce sont les savants qui ont raison, nos sentiments, nos passions, nos attachements …. C’est rien, du vent, de la crotte de bique … la seule chose qui compte, ce sont les SYMBOLES chimiques qui décrivent mieux que tout ce que nous sommes : du h2o avec du carbone, un peu de sang et de sueur et une grosse dose de social symbolique !

    Ne sommes-nous pas, d’ailleurs, interchangeables ?

    C’est vrai, quoi, un poumon, c’est un poumon, un foie un foie et un cœur un organe qu’on peut donner et recevoir. Il faut y voir le signe intangible, indiscutable de notre universalité permutable. Certes, on n’a pas encore permuté les cerveaux … mais ce n’est qu’une question de temps … dans quelques années, un riche moche s’achètera le corps d’un pauvre beau et y transplantera son cerveau pour ne pas risquer d’adopter les symboliques des pauvres qui ne comprennent rien à la famille.

    La mort, c’est quoi ? juste une construction sociale et symbolique, en fait, nous ne mourons pas puisqu’il reste une trace de notre passage dans les registres civils de la mairie, un livre qui tient le compte des allers retours de nos vies imbéciles de crétins symboliques.

    Tout est symbole et ceux qui en doutent sont de dangereux impies qu’il convient d’excommunier au plus vite.

    C’est vrai que sorti de France, les registres civils …. C’est pas vraiment universel. Mais ce sont ces idiots d’étrangers qui se fourrent le doigt dans l’œilleton ! Ces imbéciles vivent en familles pour résister tant bien que plus mal aux infortunes de leurs vies symboliques. Voilà ce qui les empêche d’évoluer !!!

    Faire un gosse, ce n’est pas se créer des obligations ! Pas du tout, c’est juste un accident de parcours, un accroc au quotidien … il n’y a aucune raison de s’accrocher à ce bambin criard et affamé, d’autant qu’il y a tant de bons français qui n’attendent que ça de le récupérer pour le cocooner !

     

    Et puis, si un jour il y en a trop … on pourra toujours en faire du pâté pour nourrir les chien-chiens des bons français qui savent si bien se libérer des viles contraintes sociales et symboliques.

  • Hallucinantes hallucinations et visions hallucinatoires …. Valérie à poils de martre !

    Deux incroyables reportages entraperçus hier soir au JT.

    Une milliardaire Italienne s’est mis en tête de sauver les naufragés migrants de méditerrannée.

    C’est bien pour sa pub, mais ensuite, qui nourrira, hébergera, paiera, soignera ces rescapés ?

    Certainement pas cette milliardaire !

     

    Le second nous montrait Hollande et Valls dans les salles dorées du palais de l’Élysée se gobergeant comme roi et prince dégustant du bout des doigts un expresso sur le perron face au parc arboré du palais.

    Des images d’un autre temps, des images confortant l’immense dédain que ces minable farauds portent au peuple #illettré et #sansdents.

     

     


  • La rentrée inculturelle télévisuelle aura-t-elle raison de notre inculture ? Mergault à poils de chameau !

    En cette rentrée 2014, après les reprises (de chaussettes) des émissions incultes de Patric c’est bastia et les JT dépliants touristiques, on sent un sang neuf dans l'émission inculte du démiurge noctambule quoique non nyctalope Roux Pieds, des invités surprenants et inhabituels à ses côtés,  des croqueniqueurs plein d'allants, de mordants (car ils ont les dents longues, eux, pas comme ces piètres "#sansdents" pitoyables et fauchés!).

    Bref, un renouveau qui fait chaud aux doigts d'pieds et qui permet d'aller se coucher beaucoup plus tôt que d'habitude ... Rien que du "good" !

    La nouvelle croqueniqueuse, elle est charmante, vous ne trouvez pas ? Elle est si intelligente et cultivée, comment peut-elle savoir autant de jolies choses tout en restant si jeune ? le maquillage ? les produits de beauté ? un masque au concombre tous les matins ?

    On n'en saura pas plus .... il faut bien conserver une part de mystère à cette émission "grunchy" !

    Mergault égale à elle même ! Comment pourrait-il en être et le néant ?

    Roux Pieds lui a écrit une nouvelle pièce en collaboration avec la vieille bigote ... euh .... Sarraute et le vieux bouc ... euh ... Ah ... je l'ai sur le bout de la bite d'amarrage ... Ben ... Ben ... Ah merde ! Ah oui ! Bénchouchou. En plus, le psy Mille airs a mis son grain de poivre dans l'bitounio à gripper l'bouzin et ça va nous donner un texte et pissé à souhaits !

    Roux Pieds sait s’entourer ! Mille airs, Sarraute, Bénchouchou, Mégault, Bédosse … avec tous ces enfants d’Abraham, on aurait mauvaise presse de rechigner, on se sentirait en pâle estime de nous mêmes, occupés à critiquer l’incritiquable !

    Ah non ! j'vous jure, cette bande là (enfin ... quand ça peut) … toute la culture de la France réunie dans quelques têtes (de bi… oups … pardon ! … de noeuds) ! Nous devons nous réjouir de pouvoir profiter de ces immenses ingénies qui nous incultent tout leur insavoir avec tant de généropilosité !

     

     

    Allez ! c’est pas que j’m’ennuie, mais j’ai tout Au Frais à relire pour entretenir ma paranoïa qui a tendance à s’avachir après cinq minutes de Roux Pieds !

     

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  • Yfig - Le fantôme du château de hurle aux loups. Comédie burlesque.

    Pièces en 3 actes de 3 scènes chacun.

    Durée 1h30

    4 h

    4 f

    Voix off et fantôme

    5 personnages simultanément sur scène.

     

    Le héros de cette comédie burlesque est un fantôme qu’on ne voit presque pas mais que, singulièrement, on entend.

    Ce fantôme erre dans les arcanes du château de hurle aux loups, semant une terreur effrayante parmi les visiteurs non avertis.

    Refusant obstinément de porter son suaire (drap) il finit par s’enrhumer … ATCHOUM !

    Le médecin appelé au chevet du fantôme renonce et prévient le curé qui vient pour l’extrême onction et l’exorcisme …

    Ayant lamentablement échoué, ils préviendront, en désespoir de cause, la police qui délègue son plus fin limier sur les lieux : l’inspecteur chef  DVDP (David Van den Prout).

    Toutes ces âmes bien intentionnées contrecarrent en fait les projets d’un  gîte hanté de la duchesse veuve et propriétaire du château.

     

    Rassurez-vous … tout finit bien ! Et les rires sont garantis du début jusqu’à la fin !

  • Monsieur iPidi dit que les psys sont des diables qui entrent par les fenêtres ….

     

    Mais par où diantre ressortent-ils ?

     

    En l’occurrence, ma dernière pièce de théâtre (dernière scène du dernier acte à écrire) ... a pour héros un fantôme.

    Bien entendu, on ne le voit pas .... ne soyez pas stupides !

    Mais .... chose plus que surprenante .... on l'entend ....

    Ah! la magie du théâtre ... on ne dira jamais assez tout le bien que procurent les artistes se démenant comme des diables pour retenir le public sur son siège ....

    Paraît qu'à Avignon les gens sont debout et peuvent voir 36 spectacles en même temps ... ça doit être pour ça qu'ils n'en retiennent aucun !

    De toute façon les intermittents jamais contents font une grève perlée comme mes pets (vous avez remarqué que je parle beaucoup de pets en ce moment ?) ... du coup ... les spectacles sont en dents de scie (si vous trouvez le rapport entre les pets et la scie, je vous offre le voyage de votre vie ... 1 nuit à Gaza).

     

    Je crois qu’iPidi a un petit coup de fatigue …. Il confond les psys et les rayons du soleil … si rares !

    Hier, prenant mon courage à deux mains et de l’autre le volant, nous sommes allés nous faire piquer.

    Oui, c’est une pratique courante dans nos sociétés évoluées … nous allons régulièrement chez des gens mal famés qui pratiquent la ponction sanguine à des fins peu avouables de détection de maladies graves dont on meurt mais qui leur permet de s’en mettre plein les fouilles (du fric, pas du sang) ! *

    *cet intermède est destiné aux générations futures qui liront mes chroniques comme on boit un bon vin ou un excellent whisky (Ah ! les mots !) et qui n’en croiront pas leurs antennes lectrices quand ils apprendront les méthodes barbares avec lesquelles nous sommes traités aujourd’hui.   Faudra que je vous parle de mes visions du futur … mais on a le temps …

     

    Donc, nous voilà à faire la queue comme à la supérette pour nous faire sucer la vie.

    Après une interminable attente … incroyable le nombre de personnes qui se font traire le sang … c’est enfin mon tour.

    Je demande à l’infirmière si je dois me mettre à poil ?

    Elle me répond que je peux me contenter de retrousser ma manche.

    Je lui fais la gueule !

    Elle me fait une clé au bras gauche, me met un truc qui me serre les biscoteaux et commence à me frapper le creux du bras sauvagement en m’excitant ainsi :

    « Ne rentrez pas vos veines … serrez le poing … plus fort … »

    Moi, je ne vois rien car je suis déjà à demi-inconscient la tête tournée vers le mur du fond …

    « Aïe ! »  et je fais un bond olympique !

    La salope !

     Elle vient de m’enfoncer une pointe de 120 dans le creux du bras et elle m’engueule :

    « AH ! C’est malin ! vous avez bougé, je vous ai raté, faut que je recommence … »

    En mon for intérieur, je me dis qu’elle est gonflée de m’attribuer tous les torts … mais comme nous ne sommes pas mariés ….

    « Bon ! tournez-vous donnez-moi l’autre bras ! »

    Je m’exécute docilement avec ce sentiment de culpabilité qu’ont les êtres charitables.

    Je peux admirer l’autre mur du fond.

    Je me motive en me disant que plus vite ce sera fait, plus vite ….. ce sera fini ! Je serre le poing, les dents, les fesses et tout l’restant !

    Elle recommence son manège, me frappe vigoureusement le creux du bras, me frotte énergiquement avec un coton dégoulinant de formol (ou de je ne sais quoi) … et …

    « Aïe » hurle-je dans ma tête ! Mais je n’ai pas bougé ! elle ne pourra pas m’inculper !

    (je fais un court aparté … vous êtes au courant pour la clique de l’UMP ?  Vraiment abjectes ces gens là !)

     Elle ne dit rien, preuve que je suis innocent.

    Mais par contre … elle pousse sur l’aiguille pour la faire rentrer …. Ouille ouille ouille …

    Et puis paf …. La seringue ressort …. Elle la re-rentre aussitôt …. Mais elle rechigne tant et si bien qu'elle finit par se retirer définitivement (l'aiguille).

    Vampirella va !

    Elle enlève l’élastique de mon bras, pas de sa culotte et entame des recherches approfondies de veines sur mon bras endolori.

    Elle semble avoir trouvé quelque chose … élastique …. Coton dégoulinant … claques sur mon bras … et

    « Aïe »

    La guêpe (mais pas la taille … je veux pas être méchant, mais elle n’a pas que les os sur la peau … euh … c’est bien comme ça qu’on dit, non ?)

    « Bon ! ça ne va pas du tout, on va essayer avec l’autre bras. »

    Ma parole, elle me prend pour une poupée vaudou !

    Si ça continue elle va finir par me demander de me foutre à poil …. Comme si on n’avait pas pu commencer par ça !

    « Vous comprenez, vous êtes trop tendu, il faut vous détendre, respirez et tout ira bien ! »

    Elle me prend pour un jobard, en plus … comment se détendre quand on est transpercé de partout ?

    Je me motive en me disant … ouais … je l’ai déjà dit …

    Elle refait son cinéma …

    « Aïe » …. Tient ! Elle ne bouge plus !  Est-ce moi ou elle qui est tombé dans les pommes ?

    Pas du tout !

    Elle me dit

    «Ça  y’est ! »

    Ensuite, elle me scotche des bouts de coton partout sur les bras pour cacher les trous qu’elle m’a fait !

    Et je sors du gourbi … la tête haute, le regard au loin sur la chaîne des Pyrénées, la démarche assurée du poivrot  zigzaguant …

    Vivement la prochaine prise !

     

     


  • Avis de faire part : je viens de perdre 2 très chers ami(e)s

     Voici une bien triste fin d'amitié qui me tenait à cœur et que des circonstances étrangères à ma volonté ont rendue impossible.

     

    Associez-vous à moi pour cette virtuelle cérémonie d'enterrement.

     

    Voyez plutôt :

     

    Frigide Barjot

    Hier, à 05:01 · Modifié ·

    J'explicite : si je ne m'étais pas levée pour défendre la filiation humaine avec un message ouvert aux homosexuels, ce qui a soulevé des millions de Français, j'aurais encore des amis aux pouvoirs d'Etat et d'Eglise, un emploi à la télévision et notre logement, dépendant des pouvoirs. Bref, rassembler les humains en disant humainement une vérité sur l'Humain vous fait virer du Pouvoir (en l'occurrence des média et du soutien des partis et des lobbies) et de chez vous. Et entrer avec fierté dans la résistance pour la suite, en nous préparant à aider le leader juste à se lever en retour. Nous éviterons ainsi la révolution d'octobre ou de février, tout en rétablissant la filiation humaine. Vous venez ?

     

     

    Yfig ExNihilo D'autres ne font aucun bruit, mais refusent d'entrer dans le jeu pervers des copinages qui sont les piliers de la corruption car il est inutile de se cacher derrière des mots édulcorés, bénéficier d'un traitement privilégié, c'est ni plus ni moins que de la corruption qui se paie par la perte des privilèges quand on mord la main qui nourrit ! Bienvenue dans le monde des petites gens qui ne mangent pas au grand râtelier de la prévarication qui alimente l’anti démocratisme. Les hommes naissent plus ou moins libres et égaux selon ses protecteurs.

     

    ·  Basile De Koch Yflg etc.

     

     

    · 

    Eric Taz Vous emménagez rue Lafayette ou rue de Lourmel au fait ? ^^

     

    · 

    Basile De Koch " Copinage, traitements privilégiés, corruption, râtelier de la prévarication, antidémocratisme " ; si j'ai bien lu, c'est notre portrait-robot par Yflg etc.
    On se connaît, ou il dit ça d'après Métronews comme tout le monde ?

     

    · 

    Yfig ExNihilo Pas besoin de lire les merdias, lire madame Frigide suffit à comprendre comment ça marche dans certains milieux ... je cite : "j'aurais encore des amis aux pouvoirs d'Etat et d'Eglise, un emploi à la télévision et notre logement, dépendant des pouvoirs." Si ce n'est pas un aveu, c'est quoi ? Un regret ? un remord ? Perso, je ne dois rien à personne ... je n'ai rien, certes, mais ce rien est mien, je l'ai gagné par moi-même, sans amis d’État ni d'église (ni dieu ni maître). Mais je sais bien que c'est généralisé en France comme ailleurs y compris en Afrique. Dès qu'ils seront au pouvoir, les LePen redistribueront les cartes ... ils remettront tout ça en place mais ce ne seront pas les mêmes ! Comme dit l'autre : à chacun son tour de se faire servir. C'est pour cela que certains s'empressent de tourner casaque ... bon week end.

     

    Basile De Koch Vade retro, Ex Nihilo, and you the fucking Taser ! Considérez qu'on n'est plus amis, comme disait Burt Lancaster à John Wayne dans La Classe américaine