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M. Lugan nous explique dans sa moustache que l'ANC de Madiba est une organisation de terroristes .... on sent bien qu'il lui reproche de ne pas avoir obéi à ses maîtres blancs !
De sa prison, Madiba organise la guerre civile tout en cassant des cailloux pour acheter son tabac à chiquer.
Mais tout compte fait, c'est bien.
Sauf que De Gaulle arrive par derrière comme un cheveux dans la tarte aux poils et donne l'Algérie au FLN !
Traître !
Pas un mot sur la discrimination positive à l'initiative des blancs qui achètent les noirs en les plaçant à des postes de direction avec de grands bureaux et des véhicules de fonction ... de luxe.
Créant ainsi un clivage entre noirs nantis et le reste des townships. Vous voyez, braves noirs, vous aussi vous pouvez y arriver si vous êtes bien coopératifs !
Et un clivage entre les bons blancs (les riches) et les pauvres blancs qui n'ont que ce qu'ils méritent ....
Pour de la discrimination, ça, on peut dire que c'est de la discrimination (certains en rêvent pour la France ...)
Rien, pas un mot sur les blancs qui exploitent les mines de diamant, d'or, d'uranium ... à leur seul profit et qui n’hésitent pas à tirer sur les noirs en grève pour les remettre au boulot …. Et plus vite que ça, bande de salopards !
Pendant ce temps, les méchants noirs assassinent les gentils fermiers blancs qui rentraient de la messe ... quand ils ne sont pas torturés .... torturés à l'image des tortures que les blancs ont exercé depuis des décennies sur leurs esclaves. Mais il faut avoir vécu en ZA pour le savoir.
Dans le bush, les fermiers blancs considèrent qu'ils ont le droit de vie et de mort sur tous les autochtones de couleur qui travaillent pour eux pour une bouchée de mil mil !
La pensée dominante, le matraquage la vérité écornée, malaxée, piétinée, bazardée ... la spécialité de M. Lugan.
Moralité : quand on veut donner des leçons d'histoire, il faut dire toute l'histoire et non pas en extraire les anecdotes qui apportent du grain à votre moulin personnel !
Je n'entends que critiques envers l'islam ... son étroitesse d'esprit, sa violence à l'égard des femmes, des homosexuels, des faibles d'esprit, des handicapés, des blancs, des intellectuels, des marchands de pinard ... la liste est longue des plaignants qui craignent de devoir plier boutique si l'islam s'impose à l'occident.
Mais enfin, nos maîtres de léduc.nat. ne nous ont-ils pas enseigné la philosophie de Pindare (circes et panem), de Cicéron (c Pointcarré), de Pline (les deux) et surtout d’Épicure qui prônait de chercher en toute chose le bien qu'elle apporte.
Soyons donc épicurien et considérons un instant tout le bien que l'islam peut nous apporter via le multiculturalisme.
J'y vois un attrait majeur : on pourra avoir 7 femmes.
Bon, j'avoue qu'il faudra faire preuve de beaucoup de discernement et d'encore plus de chance dans le choix d'icelles car tomber sur une mégère ou une frigide comme un frigidaire ... c'est pas drôle tous les jours .... mais bon, on apprend de ses erreurs, non ?
Donc, avec 7 femmes, imaginez les avantages !
Fini les "pas ce soir j'ai mal à l'épiploon", la vaisselle à 14 mains ... plus besoin de perdre son fric dans une machine à laver ; idem pour le linge ... je ne vais pas vous faire ici la liste exhaustive de tous les avantages que nous retirerons, nous les hommes, de l'islam, il faut bien vous laisser y réfléchir par vous mêmes ....
Mais, afin d'anticiper sur les grincheux impénitents qui pourraient être tentés de chercher la petite bête et les quelques rares inconvénients que présente l'islamisation de nos contrées, je rappelle qu'ils peuvent à tout moment répudier telle ou telle femme qui ne répondrait plus aux critères d'obéissance et de charme qu'on attend d'elle ... ce qui fait qu'une de perdue une de retrouvée ... et qu'en toute dernière échéance, si l'une de nos épouses venait à nous déplaire, nous pourrions, avec la complicité de quelques témoins véreux la faire lapider pour n'importe quelle raison blasphématoire.
Voilà ! Je vous demande de bien réfléchir à tout ça, messieurs.
Nb : ceux qui seraient tentés de prendre ce billet au premier degré sont mûrs pour l'islam.
à l'instar des bonnets rouges, les contestataires se sont attribué un signe de ralliement : une fourche !
Aucun média n'en parle .... étonnant, non ? Ouais, bon, faut pas donner des idées aux français avec des mauvais exemples !
Partout dans le monde les peuples se rebiffent .... c'est surprenant cette prise de conscience de l'impéritie des gouvernements .... à moins qu'il n'existe une corrélation entre tous ces politiques qui pratiquent la même politique où qu'ils soient, comme s'ils faisaient partie d'une internationale des dictateurs ! ? Bon ! je sais, celui qui évoque un complot international est un débile !
Moi je veux bien qu'on me traite de débile .... mais l'actualité, elle, les faits, eux, sont là et débiles ou pas, ils s'imposent à nos consciences.
Allez ... je vais aller planter des salades. Oui, je sais, il gèle ... mais puisque je suis débile .... :-)
Vous semblez ignorer ce qui se passe en France (et dans de nombreux autres pays). Je vais faire hyper simple pour ne pas vous lasser. Il existe une caste de mécréants qui tient tous les postes clés de notre pays.
Ils se cooptent et se réservent toutes les places juteuses avec le respect d'une certaine hiérarchie. Vous , ni moi et encore moins nos descendants ne pourrons jamais accéder à cette caste qui est la nouvelle noblesse (basée sur l'ancienne). 1789 n'a pas suffi. La mauvaise herbe a repoussé, plus virulente encore qu'avant ... Savez-vous, par exemple que depuis la crise, les riches sont devenus deux fois plus riches qu'avant ? Alors, certes, si vous en êtes, vous en profitez et ne souhaitez aucun changement, mais le reste de la France s'enfonce un peu plus chaque jour dans la misère pendant qu'en haut, ils en veulent tous les jours un peu plus et augmentent les impôts et les taxes qui sont une de leur principale ressource.
Vous, ça vous plaît, c'est votre droit ..... mais nous, on ne va pas rester les bras croisés, nous ne serons pas des petits jésus crucifiés !
Cette noblesse d’ignobles encore appelée « l’ignoblesse » a un grandissant besoin d’immigrants pour leur permettre de renforcer leur position au détriment de la fange ‘popularde’ qui renâcle. Or, l’immigrant est une matière idéale pour l’ignoble qui le traite en vassal et en tire toute la substantifique moelle sous forme de pognon sonore et trébuchant.
Seulement voilà, la populace ne s’entend pas très bien avec les nouveaux venus dont les us et coutumes diffèrent des leurs ; aussi bien sur le plan religieux que culinaire, sociétal, vestimentaire, philosophique, économique … etc …
Du coup, les immigrants ne se sentent pas « intégrés ». C’est-à-dire qu’ils ne se sentent pas chez eux.
Heureusement, le gouvernement que l'ignoblesse dirige d’une main de fer et qui est à leurs bottes, dispose de génies méconnus mais fort utiles.
Le président africain de la France a donc donné ordre à son premier sinistre de trouver un génie capable de répondre au cahier des charges de l’ignoblesse.
Ce zélé serviteur des ignobles, spécialiste avéré de la rédaction de rapports débiles et amateur impénitent de jeunes femmes exotiques (ceci expliquant cela).
Doté de son ordre de mission, il s’est attelé à la rédaction d’un nouveau rapport destiné à favoriser par tous les moyens l’intégration des français aux normes musulmanes.
Si on ne peut pas intégrer les étrangers qui sont trop rigides, intégrons les français qui sont des moutons (ça tombe bien pour l’aïd el kébir (le grand jour des brebis bêlantes )) !
Ce rapport, donc, expose en dix points les conditions de l’intégration rapide des français. Cette intégration pouvant être résumée ainsi :
Discrimination positive.
Cette discrimination positive se décline en quelques actes simples comme :
Accorder systématiquement et sans délai la nationalité française à tous les immigrés qui en feront la demande tout en leur accordant un statut spécial leur permettant de bénéficier des avantages liés à la positive discrimination qui ne doit en aucun cas bénéficier aux français.
Réserver toutes les constructions neuves aux immigrés.
Attribuer des subventions grassouillettes à tous les immigrés afin qu’ils vivent heureux.
Créez des mosquées partout. Créer des carrés musulmans dans les cimetières. (Absolument véridique)
Établir la charia comme loi supérieure aux lois de la République.
Créer des associations pour occuper les immigrés qui pourraient s’ennuyer.
Créer une police spéciale chargée de repousser les infidèles français qui auraient dans l’idée d’embêter nos immigrés.
Créer une formation spécialisée dans la chasse aux anti-islamistes qui osent polluer le net de leurs insanes commentaires.
Voilà !
Si avec ça l’ignoblesse ne parvient pas à ses fins, c’est-à-dire à l’éradication du citoyen français qui fait chier les riches …. Je veux bien me faire ciseler … euh … exciser … non … merde, c’est quoi déjà le nom de cette opération barbare ????
Madame la ministre de la culture: Sauvons les auteur(e)s français 1 signatures au total // 0 via mail / 0 via Facebook / 0 via Twitter Cette semaine: 0 signatures // 0 vues de la pétition Vous devez encore récolter 99 signatures afin d'atteindre votre objectif de 100. Pourrez-vous y arriver cette semaine?
Vous ne vous trompez pas, 1 signature, la mienne !
Bon ! la ministre de la culture peut dormir sur son oreiller …. Elle ne risque pas d’avoir les oreilles qui sifflent !!!
Tous ces plans sur la comète, ces extrapolations binaires, ces analyses à l'emporte pièce, ça aussi ça commence à lasser !
Oui, on sait bien que la France hésite entre le béni oui oui et le je te tiens tu me tiens par la barbichette .... oui, on sait bien que l'individualisme collectif fait chier le peuple à force de concession aux minorités qui imposent leurs doxa à toutes celles et tous ceux qui s'en foutent des dieux pernicieux et incompétents. Incompétents comme nos femmes et nos hommes politique qui ne déclinent qu'un seul crédo : leurs petites personnes !
Y'en a plus que marre !!
Lâchez-nous les baskets, laissez-nous respirer, laissez-nous profiter de l'air tant qu'il reste encore gratuit .... ça ne durera plus longtemps !
C'est quoi, aujourd'hui la terre ?
Une poubelle.
Moi, laborieusement je passe le balai et la serpillière dans mon petit home sweet home et tout autour de moi tout le monde jette qui ses papiers gras, qui ses serviettes hygiénique et mon seul droit c'est de fermer ma gueule !
Je veux bien fermer ma grande gueule, mais par pitié, fermez la votre !
C’est quoi la France d’aujourd’hui ?
Juste une Nation que les politiques considèrent comme une bonne fille qu’il faut trousser et prostituer pour en tirer les derniers bénéfices réalisables.
Mais qui, en France, en Belgique, en Inde, en Chine ou même au Boukistan se soucie de donner un sens à la vie ?
Je n’entends parler que pognon, fric, blé, pèze, flouze …. Merde ! je ne suis pas Crésus et encore moins érotomane (je voulais dire grammairien ou rhétoricien voire sémanticien mais je ne trouvais pas le mot !)!
Parlez-moi de bons vins, de bonne chère, de santé mentale, de relations sentimentales, de bonheur … oui, de bonheur !
Oh ! je sais bien que ce mot galvaudé est interdit, qu’il faut le reléguer aux oubliettes des mots inutiles, désuets … mais moi, je n’ai pas peur des mots qui pètent, qui chromatisent, qui fleurent bon les fleurs !
Alors … continuez de vous étriper gaillardement pour accéder aux charges de l’État dont vous ne saurez que faire une fois le cul sur le trône (sauf peut-être la guerre aux zoulous) … continuez de viser la mairie de Paris pour y accumuler vos impérities et vos combines juteuses, continuez de pérorer sur le yin et le yang des dieux interstellaires restez-y , continuez de pester et d’empester … moi, dans ma case pimpante, je ferme les huis côté cours et j’écoute les oiseaux côté jardin.
Madiba, il a laissé sa femme s'occuper de mettre l'AFS en coupe taillée par les mafieux noirs qui avaient déjà la main mise sur tous les townships du pays.
Certes, les blancs avaient bien investi les strates financières avec la tribu de Stael à la tête de la BCZA (Banque Centrale), et ses autres potes aux manettes des grands groupes et filiales américaines et européennes, mais la grande masse des petits blancs était totalement écartée des mangeoires bien garnies. Ils vivaient un cran au dessus des noirs, mais à peine. Pendant les deux ans que nous avons passés en ZA 'Zuid Africa', nous avons vu des milliers de sudaf quitter le pays pour émigrer vers l'Australie.
Avec le positive discrimation act, une grande partie de la classe montante noire a investit les meilleures places, en doublons payés à rien foutre parce que chaque fois qu'ils prenaient une initiative ça tournait à la catastrophe !
Madiba, il inaugurait les chrysanthèmes et il a demandé à ses copains d’organiser des procès bidons pour juger les méchants blancs qui avaient massacré les gentils noirs.
Bien entendu il s’agissait non de punir, mais de vider l’abcès en demandant aux simples flics et autres gardes barrières de faire leur mea culpa (contrition). On aurait dit des mauvaises pièces de théâtre comme on en voyait dans les années cinquante en noir et blanc sur la seule chaîne de télé de l’époque en France.
Y’avait des pleureuses, des énervés, des têtus, des boudeurs, des tartuffes …. Etc … impossible, je me souviens de suivre ces pantomimes plus d’une minute.
Cette confrontation des familles face aux tortionnaires qui n’étaient en fait que de simples exécutants avait ce goût âcre des procès d’intention interminables qui ne règlent rien.
Bien entendu, les grands responsables sont restés bien à l’abri dans leurs villas gardées comme des châteaux forts. Parce qu’en Afrique du Sud, on est très riche ou rien du tout !
D’ailleurs, il y avait un immense contraste entre Johannesbourg et Prétoria.
Le centre historique de Jobourg n’était qu’un immense champ de ruines calcinées envahi par des petites carrioles de vendeuses à la sauvette qui proposaient leurs légumes et autres bijoux en toc à des chalands indifférents et désargentés. Mais il régnait une ambiance latente de violence menaçante et brutale. Un grand frisson vous prenait et vous n’aviez plus qu’une idée … sortir de là à tout prix avant qu’un tueur ne vous remarque à la blancheur de vote complexion et vous pique votre véhicule le canon d’une arme sur votre tempe (hi jacking) !
Pretoria, était un patchwork de nombreux petits quartiers délimités par des axes routiers qui les séparaient entre eux. On distinguait très nettement le nord du sud et l’est de l’ouest car chacun avait son caractère propre lié à la période de construction (essentiellement) et au niveau de vie de ses habitants.
Nous louions une villa de 10 pièces avec piscine dans le nord ouest de Prétoria. Dans ce petit quartier riche (notre villa était une des nombreuses villa propriétés du président de la Banque Centrale), les villas étaient entourées de pelouses et protégées par de simples murets.
Les voleurs ne montraient pas le bout de leur nez car dans ce quartier régnait le « neighbour watch » (surveillance par les voisins). Toute personne qui pénétrait sur le territoire faisait l’objet d’une surveillance étroite si elle n’était déjà connue.
C’est très important cette remarque parce que ailleurs, la plupart des maisons étaient protégées par de hauts murs avec barbelés électrifiés quant elles n’étaient pas carrément dans un ‘dominium’ avec ‘ons lapa’ (guérites) de gardes armés jusqu’aux dents qui n’empêchaient même pas les voleurs de s’introduire.
Il ne se passait pas une nuit sans qu’un cambriolage à main armé ne défraie la presse locale. Et assez souvent il y avait mort d’homme.
J’ai refusé de vivre armé, mais j’ai quand même suivi les cours donnés aux citoyens qui le souhaitaient. On enseignait de ne tuer dans la rue que si vote véhicule personnel était menacé de vol. Chez soi, il était interdit de tuer dehors, alors on vous mettait en garde : si vous descendez un cambrioleur dans votre jardin, ramenez-le dans la maison avant d’appeler la police.
J’ai toujours eu l’esprit quelque peu retors, j’ai donc posé la question :
« Mais les flics verront les traces de sang ! ? »
« Aucune importance, du moment que le cadavre est dans la maison, les flics ne chercheront pas la petite bête ! »
Malgré cette insécurité réelle, nous avons parcouru le pays en long, en large et en travers avec la grosse voiture que j’avais achetée à un membre de l’Ambassade de France. Une japonaise qui montait sans forcer à 220km/h.
Il y avait de belles routes, de moins belles et mêmes des pistes interminables comme celle que l’on prenait pour aller à Sodwana Bay où se rassemblaient des centaines de gros 4X4.
Pour accéder à Sodwana, il fallait traverser les terres Zoulou (les Zoulous sont autonomes et gouvernés par le roi des Zoulous), par une piste d’environ 6 mètres de large, pleine de trous immenses et ce sur cent kilomètres. De temps à autres, des zoulous sortaient du bush avec des objets sculptés en bois (nous en avons encore), on roulait à cinquante kilomètres heures au grand maximum et le plus souvent bien moins vite.
Les Boers sont rugueux, pour ne pas dire abrupts et toujours armés jusqu’aux dents (et c’est un euphémisme). Ils adorent se rassembler en plein bush pour vivre comme des sauvages mais avec le confort dernier cri. Tant que votre peau est blanche, ils ne vous tirent pas dessus sans sommation.
Dans le zoo de Prétoria, j’ai croisé un jour un blanc immense (plus de 2m de haut) avec une carrure d’armoire bretonne qui se baladait avec son épouse (toute petite) qui poussait une poussette et … il avait à sa ceinture un gigantesque flingue (j’en n’ai jamais revu d’aussi gros). C’était anachronique, personne ne pouvait avoir l’idée de s’attaquer à ce géant !
Nous, à Sodwana, en bons européens, nous louions des ‘lodges’. C’étaient des maisons entièrement en bois (sauf le frigo, l’évier et la plaque de gaz, les couverts et les draps) sur pilotis. Les singes rodaient et venaient piquer tout ce qu’on laissait sans surveillance.
L’autre balade inévitable, c’était le Kruger Park. C’est de là que j’ai tiré mes émotions compilées dans mon mirliton : « Le soir tombe sur la savane sauvage ».
Toujours des lodges et des steaks de 2 kilos cuits au « braï » (BBQ).
Nous avons dû sacrifier une fois ou deux à Sun City. Mais c’était vraiment pour ne pas avoir à avouer qu’on ne connaissait pas !
Voilà un peu de ce que la mort de Mandela évoque en moi.
Note aventure en Afrique du Sud s'est mal terminée, comme presque toutes mes aventures africaines.
J'ai été victime d'un noir hyper raciste qui ne voulait pas d'un étranger blanc dans l'entreprise qui m'a partout ailleurs accueilli à bras grands ouverts (oui, surtout mes compétences) : Tunisie, Sénégal, USA, UK, Autriche, Singapour, Australie, France ... la société ORACLE
