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Politique - Page 8

  • #APOIL tout l'monde et on verra bien qui bandera le premier !

     

    1. Allez hop ! Tout le monde , On verra bien si ceux qui prônent le naturisme seront toujours aussi à l'aise une fois , j'en ris !

    2. Toi , toi , toi , toi , toi , toi , toi , toi , toi toi

    3. Non, n'insistez pas, inutile de vous fâcher, vous ne me verrez pas .... je me suis rasé ce matin après la douche !


      et moi et moi et moi

    4. Ils sont cons ceux qui ont écrit le torchecul ... ils sont cons ceux qui l'achètent ... maintenant ... faut qu'ils se mettent A POIL!

    5. Toi , toi , toi , toi , toi , toi , toi , toi , toi toi à poil

    6. Toi ... le cucul la praline ... toi le chômeur ... toi, le PDG ... toi, l'agriculteur dans le pré ... la Star Hollywoodienne tous à poil !!

    7. C'est vrai, quoi, Merde ! Moi, je veux bien me mettre à poil, je n'ai rien à cacher ... mais il faut que la France ENTIÈRE se mette à poil !

    8. C'est vrai, ça ... pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt ?? à poil à poil à poil à poil à poil TOUS

       

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      yeti-1

  • Attali et les taxis … 2008… Allumez le feu pour 2014 !!! ou l'effet papillon extra temporel !

    Vous vous souvenez ?

     

     

    Rapport de la Commission

    pour la libération de la croissance

    française

    Sous la présidence de

    Jacques Attali

    .

     

    RÉFORMER LES PROFESSIONS AUJOURDHUI RÉGLEMENTÉES

     

     

    http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/084000041/0000.pdf

    Les services spécialisés : coiffeurs, taxis, etc.

    Les coiffeurs (147 000 actifs dans 59 000 entreprises ; chiffre d’affaires

    du secteur : 4,6 milliards d’euros). Pour ouvrir un salon, un coiffeur doit

    avoir un brevet professionnel1, ce qui ne se justifie manifestement pas

    par un objectif de protection du consommateur, tout particulièrement

    dans un contexte où se développent les activités de coiffeur à domicile

    pour lesquelles un CAP est suffisant. Le système de Validation des

    acquis de l’expérience (VAE), mis en place depuis 2002, n’a pas permis

    de déverrouiller significativement l’accès à la profession car il reste

    excessivement contrôlé par les professionnels en activité.

    DÉCISION 209

    _ Supprimer l’exigence du brevet professionnel pour ouvrir un

    salon et lui substituer l’obtention d’un CAP ou cinq années de

    pratique sous la responsabilité d’un titulaire du CAP.

    Les taxis (46 000 actifs dont 15 300 à Paris ; chiffre d’affaires :

    2 milliards d’euros). Pour pouvoir aujourd’hui exercer l’activité de

    chauffeur de taxi, il convient de satisfaire aux conditions suivantes :

    • attester la réussite à l’examen professionnel de chauffeur de taxi ;

    • acquérir une autorisation de stationnement sur la voie publique,

    soit gratuitement auprès du maire ou du préfet de police à Paris,

    soit à titre onéreux auprès d’un chauffeur de taxi qui cesse son

    activité ;

    • respecter les tarifs maximum fixés par arrêté du ministre de l’Économie

    et par arrêté préfectoral pris dans chaque département.

    Un nombre extrêmement limité de licences gratuites étant accordé

    chaque année, le prix de revente des licences est très élevé dans les

    villes où l’offre est manifestement insuffisante (140 000 euros à

    Toulouse, environ 190 000 euros à Paris, 400 000 euros à Orly).

    Plusieurs facteurs illustrent l’urgence de mettre fin au numerus

    clausus des taxis.

    L’augmentation de la population en Île-de-France, l’évolution du

    trafic aérien et du trafic ferroviaire, la croissance du PIB depuis

    1981 permettent d’évaluer à environ 8 000 le nombre de licences

    qui auraient pu être créées pour satisfaire la demande en région

    parisienne, alors même que plus de 6 500 chauffeurs taxis locataires

    ou salariés attendent de pouvoir acquérir une licence.

    161

    Des acteurs mobiles et sécurisés. La mobilité économique

    1. Pour obtenir ce BP, il faut justifier de 5 ans d’expérience professionnelle ou d’un CAP et de 2 ans d’expérience.

    À Londres et à New York, les systèmes de plaques de taxis n’ont pas

    été libéralisés et ces villes comptent environ autant de taxis que Paris,

    mais des voitures dites « de petite remise » (VPR) permettent de

    répondre à la demande : elles sont 50 000 à Londres, 42 000 à New

    York, contre à peine 100 à Paris. La réforme ne doit donc pas seulement

    se concentrer sur les taxis mais développer de nouvelles offres

    de transport dédiées à des segments spécifiques de la demande.

    La loi du 20 janvier 1995 a rendu les licences cessibles après leur

    exploitation effective et continue pendant une durée de 15 ans,

    durée réduite à 5 ans après la première mutation. De plus, cette loi

    a précisé que la délivrance de nouvelles autorisations ne donne pas

    droit à indemnité au profit des titulaires d’autorisations précédemment

    délivrées.

    Une ouverture complète du marché des taxis et des véhicules de

    petite remise parisiens permettrait d’avoir au total de 50 000 à

    60 000 taxis et VPR à Paris et en proche banlieue (contre 16 000

    aujourd’hui), soit un gain d’emploi de 35 000 à 45 000. En Irlande,

    après la libéralisation des taxis en 2000, le nombre de taxis a

    augmenté de 150 % en 3 ans et la densité de taxis a considérablement

    augmenté, passant de 1 pour 186 habitants à 1 pour 72 habitants

    (contre 1 pour 360 à Paris et proche banlieue). Si cette même

    densité prévalait, il y aurait 80 000 taxis à Paris, soit une création de

    64 000 emplois. Dans les grandes villes de province, où la densité de

    taxis est encore plus faible (on compte un taxi pour 1 000 à 3 000

    habitants dans les 15 plus grandes villes de province), les créations

    d’emplois pourront être beaucoup plus importantes qu’à Paris.

    DÉCISION 210

    _ Développer l’entrée sur le marché des VPR et de différentes

    offres spécialisées sur certains segments du transport urbain.

    • Maintenir pour les VPR les critères actuels de compétence professionnelle

    applicables aux taxis (casier judiciaire vierge, respect des

    règles d’hygiène et de sécurité, connaissance de la ville, etc.).

    • Instaurer la liberté tarifaire, pour autant que les tarifs soient

    annoncés à l’avance lors de la prise de rendez-vous, afin de favoriser

    l’émergence de gammes de véhicules adaptées aux

    budgets de différentes clientèles.

    • Transférer la supervision des VPR au ministère en charge des

    transports pour éviter que le même bureau soit en charge des

    taxis et des VPR.

    300 décisions pour changer la France

    162

    • Inciter à la création de flottes de « VPR / taxis verts » bénéficiant

    d’emplacements de stationnement dédiés, similaires à ceux des

    « Vélib » à Paris, permettant d’offrir aux usagers des déplacements

    dans des véhicules à propulsion hybride ou utilisant des

    carburants peu polluants.

    DÉCISION 211

    _ Augmenter le nombre de taxis.

    • Octroyer gratuitement, par une procédure d’attribution étalée

    sur deux ans, une licence incessible à tous les demandeurs

    inscrits fin 2007.

    • Après l’ouverture de l’offre de taxis et de VPR, autoriser les taxis à

    répercuter sur le prix des courses les augmentations du

    gazole/essence avec une prime tout en conservant un tarif maximal.

    • Autoriser plusieurs chauffeurs à utiliser la même plaque de taxi,

    à condition de surveiller que les chauffeurs ne dépassent pas le

    nombre d’heures de travail autorisées par jour (par exemple en

    instaurant une carte de déblocage pour chaque voiture).

    • Supprimer l’horodateur parisien. Fixer une amplitude de service

    unique de 11 heures équivaudrait à augmenter le nombre de

    taxis à Paris d’environ 600 voitures sans pour autant augmenter

    la surface d’occupation de la voirie.

    • Supprimer les restrictions territoriales qui limitent le chargement

    des clients dans certaines zones et autoriser la maraude.

    • Fusionner sous la même appellation « Taxis franciliens » les taxis

    parisiens, ceux d’Orly et de Roissy et de l’Île-de-France et fixer un

    tarif forfaitaire des aéroports à Paris.

    • Créer une voie dédiée aux taxis, aux bus et au covoiturage entre

    Paris et les aéroports.

    • Associer pleinement le ministère en charge des transports, aux

    côtés du ministère de l’intérieur, à la gestion de l’offre de taxis

    pour mieux tenir compte des intérêts des usagers.

    • Autoriser les préfets à se substituer au maire dans l’attribution

    de nouvelles licences de taxis, dans les villes où l’évolution du

    nombre de taxis n’a pas suivi l’évolution démographique.

    • Fluidifier le marché secondaire en autorisant sans délai la vente

    des licences actuellement détenues.

     

     

     

    Gouverner c'est prévoir, anticiper, préparer l'avenir ......  Attali chiromancien divin et devin ....  Sait comment foutre le bordel à la France car il connaît bien les hauts fonctionnaires et leur connerie légendaire !

     


  • La théorie des genres permettra, enfin, de différencier le sexe biologique du sexe social (qui est le seul vrai sexe futur !)

    De mon temps (comme disait Yves), il y avait l'école des filles et l'école des garçons et un haut mur (pour nos petits corps) séparait les petits mâles des petites femelles.

    Puis, au collège, idem ....

    Je peux vous dire qu'en ce temps là, draguer une nana relevait de l'exploit extraordinaire !

    On avait tous tendance à être pédés vu que la plupart des fils à papa n'avaient jamais vu une vulve !

    Moi, chanceux, j'avais des sœurs et surtout leurs copines (de ch'val).

    Comme j'étais beau comme un dieu, j'étais invité aux surboums ... même que ça m'est arrivé d'être le seul mec avec 3 ou 4 gonzesses en chaleur qui passaient des slows en boucle sur le pickup. C'est aussi comme ça que j'ai amélioré mes connaissances musicales vu qu'à la maison on n'avait droit qu'a du classique et du Brassens.

    Il m'a fallu arriver au lycée pour que 3 ou 4 nanas se retrouvent dans notre classe de 30 gars ... Je ne sais pas quels étaient les critères de recrutement, mais on a eu droit aux plus moches du pays ! Les autres filles devaient sûrement commencer leur nouvelle vie de « ménagères » !

    J'vous raconte tout ça ... mais bon ... ce n'est que mon exemple personnel ... je n'ai pas suivi les autres potes après la fac .... je ne sais pas ce qu’ils sont devenus et je m’en bats les couilles (car je suis un mâle, un vrai !)

    On sent bien que tout ça évolue … times are changin’ …. On mélange tout, filles, garçons, hermaphrodites …. Même les métiers ne sont pas épargnés par cette maladie étrange qui semble venue du fin fond de l’univers … on a des nanas maçons, chauffeuses de poids lourds, plâtrières, informaticiennes, proctologues, cantonnières, garde barrières …. Etc ….

    Bientôt, il sera interdit de parler de son sexe !

    Comme l’écrit Chalandon, on évitera le genre, on ne dira plus il ou elle est coquette mais ça est coquet … merde, pourquoi mes exemples à moi ça ne marche jamais ?

    Deuxième essai : on ne dira plus ‘il ou elle a des couilles’, mais ‘ça a des couilles’ ! … ouaip, bon … bref !

    J’ose pas imaginer une vie où les filles vivraient d’un côté et les garçons de l’autre …. Comme au temps de l’école ou, comme aujourd’hui à la messe (enfin, j’en sais rien je n’y vais jamais) !

    Hop ! on arriverait au boulot de l’usine des mecs. Le midi, on mangerait dans le réfectoire des mecs goys (à côté des mecs musulmans et des mecs japonais mais pas mélangé avec les gonzettes goys ou grillagées ….) … après le turbin, on irait à la piscine aux heures des garçons et on rentrerait dans son HLM pour hommes, juste en face du HLM des nanas avec un grand HLM pour les homos … faudrait aussi voir à avoir des super marchés sexués par genre … Ah Oui ! parce que j’allais omettre de préciser que femmes hommes ou autres, tout cela serait classé par genre, c’est-à-dire par « sexe social » par opposition au « sexe biologique ».

    Et pis, faudrait aussi des super marchés hallal, des casher, des pas chers …. Des normals !!!!

    Oh la la !!!

    Du coup, un mec un peu malin pourra s’insérer parmi les gonzesses mâles et s’en taper des tonnes en faisant semblant d’être une nana sociable ….

    Bon ! Je vous le concède, je m’y perds moi aussi, tous ces sexes en folie, se promenant de ci, se promenant de là, cahin … caha … et encore …. je ne compte pas les nibards !!!

    Bref ! La théorie du genre, adossée à la disparition des clichés et autres stéréotypes qui permettaient, avant, de savoir si on avait à faire à un gonze ou à une gonzette … va finir par tous nous rendre chèvres !

    C’est les légionnaires qui vont être heureux !

     

    Il sentait bon le sable chaud …. Mon légionnaiiiiiiiiiiiiiire !

  • Dans le Canard Enchaîné du 5 février sous le titre : »pourquoi tant de ‘hen’ sous la plume de Sorj Chalandon … le drapeau arc-en-ciel …

     

    « Ces maternelles appliquent la ‘pédagogie du neutre’, encouragées par le gouvernement suédois pour ‘lutter contre les stéréotypes du genre’ »

    « Nous veillons à ce que les filles aient les mêmes possibilités, droits et obligations  …

    « Nous ne travaillons pas sur le sexe biologique mais sur le sexe social. Nous ne cherchons pas à changer les filles en garçons ou les garçons en filles. Nous souhaitons que cette ligne saute. Que filles et garçons investissent tout l’espace à égalité.»

     « Nous sommes à Stockolm avec les enfants des écoles Nicolaigarden et Egalia. Ils sont assis en rond, sous un drapeau arc-en-ciel. »

     

    Je voudrais tout simplement dire à monsieur (?) Chalandon qu’il ferait bien de se renseigner et d’aller rendre visite à quelques crèches et autres maternelles françaises car l’indifférenciation du sexe dans l’appropriation des jeux et jouets y est appliquée depuis plus de dix ans. Les jouets sont dans des bacs ou sur des étagères et les enfants se les disputent qu’ils soient garçons ou filles sans que les pédagogues interviennent (tant qu’il n’y a pas de sang partout).

     

    La nouveauté n’est pas dans l’indifférenciation du sexe ni dans l’investissement de l’espace à égalité … ça c’est acquis depuis longtemps en France, dans les établissements publics et laïcs … non, la différence, c’est le drapeau qui pendouille mollement au plafond.

     


  • Bedos déguisé en curé Breton ne parvient pas à convaincre le public héberlué de Ruquier malgré un prêchi prêcha emberlificoté

    Mais pourquoi on va pas s’coucher plus tôt , bordel ! Ruquier Bedos Hamont Caron Polony … ils étaient tous là !

     

    Je prends l’émission au moment où Benoit Hamont ministre de la consommation récessive et dépressionnaire pose son cucul sur le fauteuil.

    A peine a-t-il déposé son séant sur le velours côtelé bleu blanc rouge qu’un invité au doux nom de Bourdin lui saute sur le poil pour lui demander où il va trouver cinquante milliards d’euros ?

    Le pauvre ministre qui n’avait pas prévu la question qui est sur toutes les lèvres depuis plus de 48 heures se trémousse et tourne presque de l’œil avant de se reprendre et d’expliquer comment il a réussi à instaurer un climat de confiance dans son ministère entre les uns et les autres.

    Le sang d’Aymeric Caron ne fait qu’un tour dans son stylo et il se jette tel un rottweiler répudié à la gorge de Hamont pour lui faire craché les cinquante milliards et lui hurle en stéréo : « Répond à ma question nom de dieu ! ». Son agressivité n’a d’égale que sa crispation communicative qui stresse le public, les invités et les téléspectateurs qui se retrouvent otages involontaires de ce pitbull enragé.

     

    Je me lève et je prends mon temps pour aller pisser … et me rincer les dents dans une tasse de tisane bien chaude.

     

    Quand je reviens, j’ai à peine le temps de remettre le son qu’un drôle d’individu accompagné de non moins drôles d’oiseaux (dont un ayatollah)  s’assied aux côtés de Ruquier qui ne dit rien qu’on sent.

    L’individu très louche (au vu de son look) prétend être là au nom des Bretons submergés par des crues incessantes et surprenantes puisque c’est la première année qu’elles sont aussi graves et durables (mais pas dans le bon sens économique du terme !).

    Le faux Breton se  présente en qualité de curé.

    Il porte un déguisement grossier qui ne trompe personne ; une petite calotte et des rouflaquettes.

    Pour tout Breton qui se respecte, on sait bien que les curés ne portent pas de rouflaquettes …. Bref … ça doit être encore un de ces humoristes pas drôles de la bande à Ruquier qui ont tous disparus de nos écrans depuis que l’émission pathétique* a pris fin.

    *OALMDVFR (On A Les Moyens De Vous Faire Rire) titre usurpé vu que personne ne rigolait !

    Le faux cureton se lance dans une diatribe volubile totalement incompréhensible dans laquelle il pratique un amalgame invraisemblable de clichés inédits et de lieux communs intimistes.

    Il a dû fumer des fleurs séchées de rutabaga, me dis-je à moi-même.

    Voyant qu’il ne convainc personne dans le rôle du curé Breton surréaliste, il arrache brutalement ses rouflaquettes, ce qui le fait enfin ressembler à un prêtre Celte, mais arrache aussi sa calotte ce qui ne le fait plus ressembler à rien du tout !

     

    Il prétend alors être un magicien prestidigitateur car ses acolytes qui se tenaient bien sagement derrière lui ont brusquement disparus (y compris l’ayatollah) !

    Le public applaudit sans conviction et silencieusement le tour de magie.

     

    La plupart des invités de l’émission noctambule ont décroché et on les voit dans un plan rapide en train de discuter le bout de gras entre eux.

     

    Évidemment cela n’échappe pas au prestidigitateur amateur qui fait la gueule tout en continuant de débiter sa diarrhéique logorrhée dans laquelle on peut capter des noms qui ont récemment fait le buzzzz sur internet : Gayet, Hollande, Trierweiler …. Le faux magicien essaie par tous les moyens même les plus lamentables de récupérer à son propre compte le buzzzz qu’il tente de se réapproprier maladroitement.

    Il n’est pas facile de se faire remarquer, me dis-je en coin.

     

    Le public et les invités commencent à donner des signes de lassitudes et d’impatiences.

     

    Ruquier, toujours aussi bon professionnel quand il s’agit de recadrer les importuns, file un grand coup de coude dans les côtes du faux mage qui fait réapparaître les intermittents du spectacle qui étaient partis boire un coup à la cantine.

     

    Ite missa est (la messe est dite) …. Le faux curé faux magicien et sa troupe d’apprentis comédiens s’en va comme il était venu dans la plus totale indifférence.

    Sic tansit gloria mundi !

     

     

    Laurent Ruquier invite alors une personne âgée à venir s’installer dans le fauteuil moelleux.

    Il s’agit d’un homme qui a beaucoup vécu et pratiqué de nombreux métiers avec plus ou moins d’assiduité.

    Aujourd’hui, il pratique (à ce que j’ai compris) des interviews de personnalités (i. e. des gens qui passent à la téloche).

    Je lui trouve l’air un peu plus sympathique lorsque j’apprends que c’est lui qui a causé les yeux dans les yeux de l’exilé fiscal Cahuzac.

    Malheureusement, l’étonnement laisse rapidement place à la lassitude des phrases consensuelles habituelles des gens qui vivent dans la même nasse de crabes qui se déchirent entre eux mais s’entendent comme larrons en foire face au reste du monde.

    Et je te cire les pompes, et je te lèche l’anus, et je te caresse les poils dans le sens de la barbichette (et la chevillette cherra).

     

    Moi, je m’étais déjà levé pour attraper mon pyjama que j’avais mis à réchauffer près de l’âtre éteint.

     

    Ruquier traverse une mauvaise passe, me dis-je en aparté !

    Soyons patient, il va se ressaisir, 4 ans de mauvaise passe, ça va forcément finir un jour ou l’autre.

     

    Mon lit douillet m’accueille gentiment pour une douce nuit réparatrice.

     


  • Tous les plus grands hommes ont été des visionnaires qui ont anticipé et accompagné l’évolution ou lutté contre les changements quand ils représentaient un danger pour leur pays.

     

    J’ai fait un rêve que je ne commenterai pas (pour changer de mes bonnes vieilles habitudes).

     

    La théorie des genres avait fini par gagner sur terre et il n’y avait plus ni hommes ni femmes mais des êtres objets appartenant à de riches propriétaires qui en faisaient l’élevage en fonction de critères purement économiques et spéculatifs.

    Ils troquaient entre eux les êtres humains indifférenciés au gré de leurs besoins en main d’œuvre pour les tâches que les machines ne pouvaient accomplir comme certaines cueillettes dans des environnements trop inextricables pour qu’un robot puisse s’y glisser ou bien pour trier finement les déchets, les programmes robotiques étant trop complexes à écrire ; ou bien pour remplir des fonctions strictement corporelles ou érotiques.

    Toutes les femmes et tous les hommes naissaient stériles à l’exception des quelques grands propriétaires qui seuls avaient le privilège de se reproduire grâce à leur semence implantées dans des mères porteuses dont c’était le seul rôle social et surtout économique.

    Les mères porteuses faisaient l’objet de beaucoup d’attention tant qu’elles portaient. Mais ensuite, elles subissaient le régime commun : l’équarrissage et la transformation en composte.

    Si les hindous ont raison et que nous avons des chances de renaître après notre mort, je préfèrerais renaître en riche.

     


  • Moscovicci vs Le Pen … hier soir, à la télé, 3 février 2014, débat blabla. Aujourd’hui, j’interviewe les antagonistes qui reviennent sur leur prestation …

     

     

    Je reçois les deux protagonistes dans mon bureau-cabane-de-plage installé provisoirement dans la cour du café des chasseurs-pêcheurs-raniculteurs-quichieliculteurs.

    Pour toi, chère lectrice, cher lecteur, je vais cuisiner les déblablateurs.

     Il faut dire que le débat ne nous a pas déçu, la langue de bois a été particulièrement à l’honneur, les mensonges éhontés et les contre vérités évidentes firent florès … comme d’hab.

     

     

    Yfig : Monsieur Moscovicci, je vous remercie d’avoir accepté cet interview au débotté.

    Mosco : Mais je vous en prie, tout l’honneur m’en revient.

    Y : Alors, monsieur Moscovicci, vous en pensez quoi de votre débat avec Marine Le Pen ?

    M (très enthousiaste) : Vous avez vu comment je l’ai explosée La Pen ! ?

    Y : Vous voulez dire « la Le Pen » ?

    M (soudain renfrogné) : Je dis ce que je veux, quand je veux et c’est pas vous qui allez m’en empêcher !

    Y : …

    M (se reprend) : Et puis je vous demande de m’appeler, désormais, ‘Moscou veni vidi vici’. Après l’incontestable victoire que j’ai remportée sur La Pen, je suis en droit de réclamer cette reconnaissance.

    Y : Oui, comme vous voulez.

    M (très fier) : Je le veux !

    Y : Mais, monsieur ‘Moscou veni vidi vici’, n’avez-vous pas un peu forcé le trait lorsque vous avez affirmé que le chômage est résorbé, que l’économie est repartie et que les banques sont en pleine forme ?

    M (boudeur et fanfaron à la fois) : Et elle a répondu quoi La Pen ? Hein … rien … que dalle, je l’ai écrabouillée comme une punaise !

    Y : Elle a quand même mis en garde les clients du Crédit Agricole qui pourrait se déclarer en faillite prochainement …

    M (m’interrompt  rageur) : … C’est une inconsciente, une folle, on n’a pas le droit d’affoler les clients d’une grande banque, ils pourraient vider brutalement leurs comptes, ce qui ne ferait qu’accélérer le mouvement de panique !

    Y : Vous êtes en train de confirmer la rumeur !

    M (se lève et me toise) : Vous êtes un malandrin, vous votez pour La Pen, c’est ça ? Vous êtes antisémite, raciste et communiste !

    Y : Je vous en prie, rasseyez-vous monsieur le ministre des économies de bouts de chandelles et d’expédients, j’ai encore de nombreuses questions pour vous.

    M (se rassied, croise les jambes et prend son menton dans la main droite en reproduisant le geste auguste du penseur) : Je vous écoute ?

    Y : Vous défendez mordicus l’Europe contre les déclarations alarmantes de madame Le Pen ..

    M (dans sa main) : … Oui, et alors ?

    Y :  J’y viens … elle propose de revenir au franc en l’indexant sur l’Euro tout en le dévaluant de 30 % pour booster nos exportations et réduire les coûts de production  …

    M (se redresse soudain et … très docte) : … Elle dit n’importe quoi, je lui ai dit et elle n’a su que répondre … c’est normal, quand on affabule, on s’englue dans les mensonges !

    Y : Mais elle s’appuie sur des conseils sérieux, elle parle …

    M (finit ma phrase) : … de prix Nobel …. Ah ! Ah ! Ah ! Laissez-moi m’esclaffer, ce ne sont pas des prix Nobel, ce sont des charlatans antisémites racistes et communistes !

    Y : Vous avez quand même reconnu que les anglais n’étaient toujours pas passé à l’Euro !

    M (me regarde par en dessous ironique) : Vous êtes décidément de parti pris, monsieur je sais tout, les anglais, vous les avez vu les anglais ? ils sont en pleine merde, les anglais, ils sont en train de crever les anglais, c’est bien fait pour eux, ils n’avaient qu’à se mettre à l’euro !

    Y : Mais madame Le Pen donne les exemples de la Grèce, de l’Italie, de l’Espagne ….

    M (lève le bras pour m’intimer de me taire) : Oh là foutriquet,  vous êtes dans quel camp, vous aussi vous voulez que la France disparaisse de la planète en revenant au franc Mérovingien ? On ne peut pas arrêter le progrès quand il est en route, on ne reviendra pas sur les acquis de l’Europe et de tous les biens faits dont nous bénéficions chaque jour dans notre vie de tous les jours.

    Y : Excusez-moi de vous dire ça, monsieur ‘Moscou veni vidi vici’, mais je n’entends pas beaucoup d’arguments convaincants, vous vous contentez de nier, mais en quoi notre vie de tous les jours est-elle embellie par l’Europe ?

    M (condescendant) : Si vous n’êtes pas capable de vous en apercevoir …. Je ne vois pas pourquoi je continuerais à discuter avec un ignare !

    Il se lève …

    Y : Attendez, ne partez pas, j’ai apporté quelque chose pour vous !

    Je lui tends un paquet craft.

    Il l’ouvre et s’exclame :

    M : Oh ! Comme c’est gentil, des bouts de chandelles …. Quelle délicate attention !

    Du coup, il se rassied …

    Y : Madame Le Pen vous a aussi interpelé sur la LGBT et les nouvelles lois sur la famille et l’enseignement de la théorie des genres … vous avez esquivé … mais qu’en pensez-vous réellement ?

    M : Ah ! Tiens, vous avez mis un bout de bougie …. C’est pas bien, ça, je ne suis pas ministre des bouts de bougie !

    Y : Et pour la théorie des genres ?

    Il se lève et s’en va boire un canon au bar du café avec les pêcheurs, les raniculteurs et les chasseurs de mammouths.

     Marine Le Pen qui nous observait depuis une table de l’arrière salle où elle mangeait un pigeonneau flambé au calva de Macao se dépêche de terminer son encas et d’avaler sa Kanter … Je lui fais signe de venir …. Elle essuie ses lèvres pulpeuses à une serviette en papier qui absorbe  son rouge à lèvres … se lève et vient … je l’attends, debout et respectueux, elle me tend sa main droite que je baise goulument … enfin, elle s’assied en face de moi avec un immense sourire radieux.

    Y : Merci, madame Le Pen, d’avoir accepté cette interviewe post débats.

    M : Appelez-moi Marine, mon petit.

    Y : Euh … je suis plus âgé que vous, vous savez ?

    M : Et alors …. Vous êtes petit, non ? 

    Y : Bon ! Passons …

    M : Oui, c’est ça, venons en au sujet.

    Y : Qu’avez-vous pensé de votre adversaire monsieur ‘Moscou veni vidi vici’ ?

    M : Comment vous l’appelez ?

    Y : ‘Moscou veni vidi vici’, c’est lui qui m’a demandé de l’appeler comme ça !

    M : Si ça peut lui faire plaisir de se ridiculiser !

    Y : Mais vous, Marine, qu’en avez-vous pensé ?

    M : Bon ! Tout compte fait, appelez-moi ‘madame Le Pen’, j’aime pas trop cette familiarité.

    Y : Comme vous voudrez, madame Le Pen.

    M : …

    Y : Voulez-vous que je répète ma question ?

    M : Oui.

    Y : Qu’avez-vous pensé de la prestation de Mosco ?

    M : Ben vous avez vu … c’est un hâbleur, un menteur, un baratineur et j’en passe et des pires !

    Y : Pouvez-vous nous donner quelques exemples de ce vous dites pour nos lectrices et lecteurs ?

    M  (sûre d’elle) : Oui, bien sûr.

    Y : …

    M (avec un grand sourire) : Vous pouvez répéter la question ?

    Y : Passons …. Vous proposez de quitter l’Euro pour revenir au Franc, Mosco n’est pas d’accord … qui a raison ?

    M (sûre d’elle) : Mais moi, bien sûr !

    Y : Pourriez-vous développer votre argumentation pour nos lectrices et lecteurs ?

    M (sûre d’elle) : Oui, bien sûr.

    Y : …….. OK ! Bon, euh … si vous ne vous justifiez pas plus que ça, nos lectrices et lecteurs vont rester sur leur faim !

    M (ravie) : Oh ! Oui, merci, c’est très gentil, je veux bien un autre pigeonneau, ils sont délicieux !

    Je fais un signe au serveur qui nous apporte un pigeonneau sur son nid de petits pois.

    Je la regarde manger le pigeonneau … quand elle a fini, le serveur débarrasse la table.

    Y : Pouvons-nous reprendre l’entretien, madame Le Pen ?

    M (s’essuyant la bouche) : Mumm miak slurp … appelez-moi Marine, cher monsieur, ce pigeonneau était divin, c’est du sauvage, ça se sent !

    Le serveur passe près de notre table avec deux pigeonneaux … Marine est hypnotisée …

    Y : Marine …. Marine …

    M : Oui … pardon, j’ai vu passer des pigeonneaux …. Où en étions-nous ?

    Y : Je ne sais plus très bien moi-même, mais si vous nous parliez de votre programme pour l’Europe ?

    M (se penche en avant, les mains bien à plat sur la table) : Oh c’est simple, ou bien l’Europe accepte nos conditions, ou bien nous quittons l’Europe.

    Y : …

    M (me regarde les yeux dans les yeux) : …

    Y : Mais … quelles sont ces conditions ?

    M : Il y en a deux !

    Y : … ?

    M : Premièrement, nous dévaluons l’Euro de 30% ou bien nous revenons au Franc que nous dévaluons de 30%.

    Y : …

    M : La deuxième, nous dissolvons le Conseil Européen qui n’a pas de légitimité démocratique et troisièmement, nous signons une nouvelle charte européenne qui nous redonne notre indépendance nationale quant aux lois, aux finances, au droit du travail et au code de la route.

    Y : Ça fait trois si ….

    M : Et quatrièmement nous cessons immédiatement de payer la dette des autres pays, ils n’ont qu’à faire comme nous … se démerder !

    Y : Vous pensez donc que l’Europe n’apporte rien à la France ?

    M (très ironique) : Mais pas du tout …. Bien au contraire … l’Europe nous apporte des tas d’emmerdes !

    Y : Et vous, avez-vous une opinion sur la théorie des genres ?

    M (visiblement très énervée par la question) : La LGBT est une toute petite minorité qui veut imposer ses codes au reste des français au détriment de la famille que ce gouvernement de pé … euh … de … détraqués veut détruire pour mieux imposer ses dépravations, ses déviations sexuelles et ses pratiques douteuses … tiens ! Regardez Hollande, il vivrait avec un harem si on le laissait faire, vous ne croyez tout de même pas qu’il se serait arrêté à deux si on ne l’avait pas démasqué … ce n’est pas pour rien qu’il a été l’élève de DSK à HEC ! (Hautes Études de Cul)

    Y : Vous avez évoqué la situation difficile d’une grande banque française et on a senti un moment de flottement, Mosco vous accusant de paniquer les clients sans raison …

    M : Si vous êtes client du CA, c’est le moment de reprendre vos sous si vous ne voulez pas les perdre !

     

    A ce moment, le serveur passe avec un pigeonneau …. Elle lui fait un croche pied et rattrape le pigeonneau au vol …

     

    Je m’en vais ….. épuisé !

  • La République fornique rue du Cirque !

     

    La République fornique rue du Cirque !

     

    Chers citoyennes chers citoyens

    Amis des reines ou plébéiens

    Syndicalistes entrepreneurs

    Unijambistes enlumineurs

     

    À toutes les femmes ainsi qu’aux hommes

    Je dis mesdames et gentilshommes

    Fermez les yeux et restez cois

    Cela ne nous regarde pas

     

    La vie privée de notre roi

    Ça doit rester de bon aloi

    Ne pas tomber dans le gaulois

    Récupéré par les médias

     

    La République est bonne fille

    Quand elle fornique à la Bastille

    Rue du cirque ou sous la charmille

    Où qu’elle astique les jeunes filles

     

    Faut montrer aux bons citoyens

    Que notre roi n’est pas un saint

    Qu’il est comme eux qu’il a une queue

    N’en déplaise aux acrimonieux

     

     

    La vie privée de notre roi

    Ça doit rester de bon aloi

    Ne pas tomber dans le gaulois

    Récupéré par les médias

     

     

    Sur mon scooter je roule à fond

    Je passe au vert comme un frelon

    Et je fends l’air comme un ballon

    N’en déplaise aux caméléons

     

    C’est des histoires pas politiques

    Des excursions pornographiques

    Libertinages libidineux

    Dévergondages un peu scabreux

     

     

    La vie privée de notre roi

    Ça doit rester de bon aloi

    Ne pas tomber dans le gaulois

    Récupéré par les médias

     

    Le populo c’est bien connu

    Ç’sont des ballots qui pensent qu’au cul

    Alors bien sûr pour le zizi

    Il compte sur’les paparazzis

     

    Hop !  Circulez y’a rien à voir

    Hop ! Éteignez faites nuit noire

    Hop ! Hop ! Couchez fini la foire

    Allez ronfler dans le dortoir

     

     

    La vie privée de notre roi

    Ça doit rester de bon aloi

    Ne pas tomber dans le gaulois

    Récupéré par les médias

     

     

  • La guerre des sexes passe par la loi du genre … euh ! … et les vices versa … non, les vices versèrent … Magalie, Valérie, Julie, Anasthasie, Déplorasie, Coralizizi, toutes à poil !

    C’est la grande mode du moment, la lubie des parlementaires (qui s’en foutent du chômedu), le crédo de l’éduc-nat, le prêchi prêcha du gouvernement, la rengaine des synagogues, le blabla des gogues, la scie des mosquées, le train-train des cathédrales …. On naît sans sexe, c’est la suite qui détermine notre genre, ce qui explique qu’il y a des gouines (filles mâles) et des pédés (gars filles).

    Ainsi, nous ne serions pas soumis au déterminisme floral.

    Non, les garçons ne naissent pas dans des choux et les filles dans des roses !

    En fait, nous sortons du néant pour nous retrouver dans l’anonymat du genre.

    Si on nous fait jouer avec des poupées, on « devient » fille.

    Mais … si on nous donne pour jouer des voitures …. Eh bien oui ! on « devient » garçon.

    C’est t’y pas merveilleux ?

    Avoir attendu 2014 pour apprendre que ce qui nous détermine c’est la loi du genre …. Boudiou !!! que de temps perdu !!!

    Bon ! Comme toute doctrine, il y a quelques exceptions qui confirment la règle générale.

    Ainsi, si on donne à une enfant indéterminé des poupées ET des voitures, on obtient un être hermaphrodite, à la fois garçon et à la fois fifille.

    D’ailleurs, cette exception est aussi valable si on donne à l’impubère des voitures ET des poupées !

    Alors, voilà qui explique bien des choses !

    Éon, par exemple, a d’abord reçu des poupées … puis, on lui a donné des voitures ; ce qui l’a considérablement déstabilisé et a déterminé qu’il est resté indéterminé. On appelle vulgairement ce genre sans genre des « travelos ».  Le dictionnaire, qui a été écrit avant qu’on découvre la loi du genre, en est resté à cette vieille définition du travelo : « homosexuel qui se déguise en femme. » Mais il faudra que ‘la caca des mies’ revienne sur cette description pour qu’elle devienne : « être de sexe indéterminé ayant joué dans sa jeunesse avec des poupées et des petites voitures et qui se déguise tantôt en homme, tantôt en femme. »

    OH ! Ne croyez surtout pas que tout ce cirque (ça me rappelle la rue éponyme) soit anodin ! Que nenni !!! Tout cela est à dessein. C’est un enjeu essentiel, primordial destiné à modifier durablement notre société. Quand la loi des genres sera devenue universelle, que cette doctrine se sera définitivement imposée aux humains, il importera peu d’avoir un enfant avec un pénis ou un méat … les parents (conditionnés par la loi des genres eux-mêmes) auront tout loisir de faire de leur rejeton ce qu’ils voudront en leur mettant dans les mains des voitures ou des poupées ou les deux !

    Bon ! Évidemment, il y a des grincheux qui grincent des dents contre cette doctrine, il y en a même qui vont (les terroristes !) jusqu’à retirer leurs enfants de l’école (qui est le principal vecteur de la doxa du genre). Franchement !!! Priver son enfant de cours de géo, de maths, d’histoire, de gym, de philo, de bio, de dessin … c’est pas humain et c’est pas comme ça qu’ils en feront des hommes, des vrais !

     


  • Le chômage n'est pas une fatalité, tout le monde peut profiter de cette période pour se préparer à un avenir radieux ... Roselyne à poil !

    Les officines de recrutement font florès ! Faut dire que leurs services sont payants !

    Avec 5 millions de chômeurs, il y a des affaires à faire pour tous les escrocs patelins de Fance.

    À 10 € l’inscription,  et 5 € par mois, 1000 chômeurs font un CA de 10.000 € immédiat puis  5.000 € par mois … etc …

    1000 couillons désespérés ça doit pouvoir se trouver, quand même !

    Le 1er  truc, c’est de faire une belle présentation bien convaincante sur le résultat positif de la formation … une embauche assurée.

    Le second, c’est de donner du rêve !

    ·       Prenez votre destin en main, devenez chirurgien en 3 mois …

    ·       Ne restez plus sur le bord de la route, devenez chauffeur poids lourds …

    ·       Vous avez la tête dans les nuages … devenez pilote en 6 mois …

    ·       Vous aimez marcher … devenez cantonnier en  4 mois …

    ·       Vous êtes frileux … devenez chauffagiste en hiver …

    ·       Vous aimez les mots croisés … devenez best seller en 3 mois …

    ·       Vous aimez les bonbons … devenez dentiste en 5 mois …

    ·       Vous aimez la choucroute … devenez patineur en 6 mois …

    ·       Vous un chrétin crédule … devenez pape en 2  semaines …

    etc …

    Le troisième, c’est de ne pas être trop gourmand, il faut que le chômeur ai l’impression de faire une bonne affaire … mieux vaut avoir des milliers de pigeons pas cher que quelques dizaines trop cher.

    Le quatrième c’est la récompense : à la fin du cursus, on lui délivre un joli diplôme sur papier recyclé et hop … à lui de se démerder pour trouver du boulot …

     

    Ne riez pas … c’est, hélas, ce qui se développe en ce moment !

    Bon ! Si vous voulez devenir optimiste, envoyez-moi vos sous.

     

     


    Roselyne