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les contes scientifiques du prof. Yfig

  • Ce qu'il reste de la psychanalyse.

    Inspiré d'un fait réel.

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  • Dans un proche avenir, tous les problèmes de la France seront réglés par sa privatisation que prépare Macron dans l'ombre.

    Après la privatisation du service public des PTT, celle de l'EDF, celle de la santé, celle de la SNCF, bientôt celle de l'Éducation Nationale, Macron prépare dans le plus grand secret la privatisation du gouvernement.

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  • Dis grand père .... c'est quand qu'on fait LA RÉVOLUTION ?

    Ma conclusion :

    il n'y a pas d'alternative à la révolution.

    Mais il faut la préparer et l'organiser, ne pas la faire dans le désordre et la mort.

    LA REVOLUTION, c'est en fait simple comme une nouvelle constitution qu'on impose par la force mais pas par le crime (ou juste ce qu'il faut ...) :-)

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  • Dialogues à la noix !

     

     

    J’avais décidé de mitonner une salade d’endives aux noix du jardin et petits dés de Comté.

    Cette idée saugrenue m’est venue en retrouvant au fond d’un placard planqué une bannette pleine de noix ramassées l’an dernier sous le noyer.

    Dans ces cas là, j’aime à m’installer sur la petite table du salon, le cul dans le fauteuil télé, une écuelle pour collecter les écales posée sur un papier journal pour récolter les éclats éclatés pendant l’éclatement de la noix.

    Vous voyez le tableau … bien entendu, dans ces instants relaxes, je mets la télé en sourdine, en fond sonore si vous préférez.

    J’attrape la première noix et à l’aide un couteau à lame courte mais solide, j’entreprends de l’éventrer afin d’en retirer les cerneaux crémeux délicieux.

    Au moment où je positionne la pointe de mon couteau dans la fente de la noix, j’entends une voix aiguë inconnue m’interpeller :

    La noix (LN) : Hééééééé ! Hoooooo ! ça va pas, nooooonnnnn ! ?

    Moi (M) : ???????????

    Mettez-vous à ma place ! Y’a de quoi tomber de haut, même le cul dans le fauteuil !

    Une noix qui parle !

    M (poussant la pointe du couteau dans l’interstice) : C’est toi qui parle ?

    LN : Aïe ! ça va pas, noooonnnn ! ? ça fait mal, retire ça tout de suite !

    M (à moi-même en aparté mais suffisamment fort pour que la télé entende) : Je dois dormir, faire une sorte de cauchemar ….

    LN (fort) : Aïe te dis-je, retire la lame de mon cul, tu me fais mal non de dieu !

    M (en aparté mais …. ) : Une noix athée ! Elle ne met pas de majuscule à ‘dieu’ !

    LN (crie) : Retire cette lame ou je te …

    M : Tu me quoi ?

    LN : Je te fais un procès pour torture physique !

    M : Mais arrête un peu de déconner, une noix n’est pas un être, c’est une juglandacée oléagineuse, une noix ne parle pas, une noix ça ferme sa gueule …

    Et hop, d’un coup sec, je décollecte les deux partie de coque pour atteindre le cœur tendre et savoureux de la noix.

    LN (elle pousse un cri perçant et douloureux puis se tait).

    M : C’est qui le chef ! ?

    Après avoir soigneusement séparé les cerneaux des coques, je chope une deuxième noix …

    LN (tremblotante comme une feuille morte …) : Noooonnnnn pitié, ne m’éventre pas, je suis jeune, j’ai encore quelques beaux jours à vivre …. Pitié !

    M : Mais c’est quoi ce sketch ?

    LN : J’ai vu ce que tu as fait à Caroline, s’il te plaît ne me fais pas subir le même martyr …

    M : Toi aussi tu vas me faire un procès ?

    LN : Non, non, je ne ferai rien, je ne t’embêterai pas, mais épargne moi, prends plutôt une autre noix, plus vieille qui a le droit de mourir dans la dignité …

    M : Une vieille noix toute rabougrie au goût de carton, c’est ça que tu veux que je mette dans ma salade ?

    LN : Ah ! Parce que tu fais une salade ?

    M : Ben oui, pourquoi crois-tu que j’écale des noix ?

    LN : Mais c’est quoi comme salade ?

    M : Une salade aux noix.

    LN : Y’a que des noix dans ta salade ?

    M : Ah non, les noix ne sont que des ingrédients goûteux qui exaucent le goût suave et légèrement amer de l’endive.

    LN : Mais …. Tu as vérifié que tu avais des endives ?

    M : Tu me prends pour un chicon ?

    LN : Non, pas du tout, mais … je me disais, comme ça, que ce serait bête d’éplucher des noix si tu n’as pas d’endives pour faire la salade, parce que les noix, une fois ouvertes, leurs petits cœurs flétrissent, se racornissent, vieillissent et finissent pas prendre un vilain goût de carton.

    M : Ouaip ! Bouge pas, je jette un coup d’œil au frigo …

    Bien entendu, je retrouve le paquet d’endives que j’y avais mis la veille. Je l’attrape et je l’ouvre. Je saisis une endive et je la passe à l’eau froide pour la laver … lorsque …

    L’endive (L) : Ahhhhh ! C’est froid !

    Non mais ! Vous vous rendez compte ? Une endive qui parle ! Je deviens fou ou quoi ??????

    L : S’il te plaît, arrête, c’est trop froid !

    M (à moi-même, en aparté mais à voix haute et ferme) : Si c’est une blague, elle est de très mauvais goût !!!

    J’attrape un saladier dans le placard, un couteau effilé dans le tiroir et je commence à découper l’endive en lamelles …

    L : pousse un grand cri strident et désespéré puis se tait !

    J’attrape une seconde endive et la place sous le robinet pour la nettoyer …

    L’endive (L) (implorante) : S’il te plaît, ne me fait pas ce que tu as fait à mon amie Julie, ne me découpe pas comme un saucisson, je ne veux pas mourir, je suis trop jeune …

    Je l’interromps …

    M : Tu ne comptes tout de même pas me faire le coup de la noix ?

    L : C’est quoi le « coup de la noix » ?

    M : Laisse tomber !

    L : Pourquoi veux-tu me saucissonner ?

    M : Pour faire ma salade.

    L : C’est quoi comme salade ?

    M : Une salade d’endives aux noix et Comté.

    L : C’est quoi du ‘Comté’ ?

    M : Ben … du fromage.

    L : Et tu as vérifié que tu en as ?

    M : Ah ! Je te prends en flagrant délit de plagiat, tu me fais le coup de la noix !

    L : Et si tu n’avais pas de Comté ?

    Putain ! ça commence à me gonfler !

    J’ouvre le frigo, saisis le comté, éventre le conditionnement et sors le fromage qui s’écrie

    Le fromage (F) : NOOOONNN Pitié, ne me décapite pas, je ne veux pas mourir …

    De surprise, je lâche le fromage.

    M : Nom de dieu de non de dieu !!! C’est quoi ce bordel !

    Je me pince …

    M : Aïe ! Mais c’est dingue, je ne dors pas, c’est fou … oui, c’est ça, je deviens fou …

    Je lance un coup d’œil circulaire tout autour de moi sur 360° sans que mon corps bouge …

    Je suis dans la cuisine, sur le plan de travail le saladier avec le premier chicon, le deuxième repose à côté du saladier, de l’autre côté, le fromage que j’ai laissé tombé … et dans la salle, sur la table basse, le panier de noix et un récipient avec deux cerneaux et une noix sur la table.

    M : (à moi-même …. Etc ….) : Y’a quelque chose qui cloche ! Mais quoi ?

    C’est à ce moment exact que j’aperçois le photophore sur le manteau de la cheminée …

    Je vais à l’âtre, place une bougie neuve et attrape la boîte d’allumette. Je prends une allumette, mais au moment de la gratter, l’allumette s’écrie …

    Allumette (A) : NOOONNN, s’il te plaît, ne me gratte pas, je ne veux pas brûler, pas déjà, laisse-moi vivre encore un peu …

    Bon, là, trop c’est trop !

    Je me pose dans le fauteuil, je ferme les yeux et m’endors.

    Combien de temps ai-je dormi … ?

    Toujours est-il qu’à mon réveil, je me rends compte illico presto que tout est resté en état !

    Les noix sont devant moi et de loin, j’aperçois le paquet d’endives, le saladier et le Comté sur le plan de travail de la cuisine.

    J’attrape la noix …

    LN : NOOONNN pitié, ne m’étripaille pas, je ne veux pas mourir ….

    M (fermement décidé à ne pas me laisser mourir de faim…) : Désolé, ma belle, mais c’est toi ou moi !

    Crac, je la craque, en extirpe les magnifiques cerneaux et attrape la prochaine noix qui hurle …

    LN : NNNNNNNNNNNNNNOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNN …

    Craque, craque, craque … et que j’étripe, que je décollecte, que je décortique, que j’étête, que je décapite, que je saucissonne …  dans les cris, les hurlements, les sanglots …

     

    Bon ! Où Ai-je mis les échalotes …..

    Au fond du placard, j’entends les échalotes qui sanglotent …

    Les échalotes (E) : non, non, pitié, pitié on ne veut pas mourir, pitié, ne nous épluchez pas …

     

    J’ai pris ma bagnole et je suis allé bouffer au resto … là, au moins, tout est déjà mort dans l’assiette !

     

    Yfig-grenouille-aux-fruits.Jpg

  • La guerre des sexes passe par la loi du genre … euh ! … et les vices versa … non, les vices versèrent … Magalie, Valérie, Julie, Anasthasie, Déplorasie, Coralizizi, toutes à poil !

    C’est la grande mode du moment, la lubie des parlementaires (qui s’en foutent du chômedu), le crédo de l’éduc-nat, le prêchi prêcha du gouvernement, la rengaine des synagogues, le blabla des gogues, la scie des mosquées, le train-train des cathédrales …. On naît sans sexe, c’est la suite qui détermine notre genre, ce qui explique qu’il y a des gouines (filles mâles) et des pédés (gars filles).

    Ainsi, nous ne serions pas soumis au déterminisme floral.

    Non, les garçons ne naissent pas dans des choux et les filles dans des roses !

    En fait, nous sortons du néant pour nous retrouver dans l’anonymat du genre.

    Si on nous fait jouer avec des poupées, on « devient » fille.

    Mais … si on nous donne pour jouer des voitures …. Eh bien oui ! on « devient » garçon.

    C’est t’y pas merveilleux ?

    Avoir attendu 2014 pour apprendre que ce qui nous détermine c’est la loi du genre …. Boudiou !!! que de temps perdu !!!

    Bon ! Comme toute doctrine, il y a quelques exceptions qui confirment la règle générale.

    Ainsi, si on donne à une enfant indéterminé des poupées ET des voitures, on obtient un être hermaphrodite, à la fois garçon et à la fois fifille.

    D’ailleurs, cette exception est aussi valable si on donne à l’impubère des voitures ET des poupées !

    Alors, voilà qui explique bien des choses !

    Éon, par exemple, a d’abord reçu des poupées … puis, on lui a donné des voitures ; ce qui l’a considérablement déstabilisé et a déterminé qu’il est resté indéterminé. On appelle vulgairement ce genre sans genre des « travelos ».  Le dictionnaire, qui a été écrit avant qu’on découvre la loi du genre, en est resté à cette vieille définition du travelo : « homosexuel qui se déguise en femme. » Mais il faudra que ‘la caca des mies’ revienne sur cette description pour qu’elle devienne : « être de sexe indéterminé ayant joué dans sa jeunesse avec des poupées et des petites voitures et qui se déguise tantôt en homme, tantôt en femme. »

    OH ! Ne croyez surtout pas que tout ce cirque (ça me rappelle la rue éponyme) soit anodin ! Que nenni !!! Tout cela est à dessein. C’est un enjeu essentiel, primordial destiné à modifier durablement notre société. Quand la loi des genres sera devenue universelle, que cette doctrine se sera définitivement imposée aux humains, il importera peu d’avoir un enfant avec un pénis ou un méat … les parents (conditionnés par la loi des genres eux-mêmes) auront tout loisir de faire de leur rejeton ce qu’ils voudront en leur mettant dans les mains des voitures ou des poupées ou les deux !

    Bon ! Évidemment, il y a des grincheux qui grincent des dents contre cette doctrine, il y en a même qui vont (les terroristes !) jusqu’à retirer leurs enfants de l’école (qui est le principal vecteur de la doxa du genre). Franchement !!! Priver son enfant de cours de géo, de maths, d’histoire, de gym, de philo, de bio, de dessin … c’est pas humain et c’est pas comme ça qu’ils en feront des hommes, des vrais !

     


  • Bonjour madame la bouchère ! Bonjour monsieur le client ! Je voudrais un bout d’barbaque ! Voilà, ça fait 250.000 euros !

     

    C’est le genre de dialogue qu’on peut désormais écrire pour un scénario de film ou de série ou pour une pièce de théâtre …

    C’est fait !

    Ils ont réussi à créer de la bidoche avec du pétrole.

    AH ! Mais c’est qu’il faut nourrir la planète ma brave dame !

    Et qu’importe si on manque de pétrole, du moment qu’on garde ses idées intactes.

    Savez-vous pourquoi il était urgentissime de pouvoir faire de la viande artificielle (en attendant la virtuelle) ?

    Je vais essayer de reconstituer le verbiage crétin du journaliste télévisuel …


    1 - D’abord (mais je ne me souviens plus de l’ordre exact des arguments stupides) il y a cette urgence incontournable des pays émergents qui, avec leur toute nouvelle richesse, leur pouvoir d’achat issu du travail de leurs gosses dans les usines qui s’écroulent sur eux de temps en temps sans ralentir leur marche à pas forcé vers l’avenir radieux du mode de vie à l’occidental …. Ces braves nouveaux riches, vont consommer de plus en plus de protéines et il serait bon, pour leur santé, que ces protéines soient de la viande de vache reconstituée.

    On verra plus tard pour ce qui est du halouf, du dada, du ouah-ouah, du dindon, de la poupoule et du cochon …

    D’ailleurs, à bien y réfléchir, une fois qu’on a la base, le socle, ce que les mineurs appellent le ‘minerai’, il ne reste plus qu’à y incorporer l’arôme souhaité exactement comme aujourd’hui pour les nuggets, ces morceaux de poulet reconstitués à partir de peau indigeste autour d’un os synthétique.


    2 – Le second argument est particulièrement vicieux !

    Savez-vous, espèces de sous-développés du bulbe, combien il faut de litre d’eau pour faire 1 kilo de bonne viande bien rouge ?

    15.000 litres.

    Oui, vous avez bien lu, il faut 15.000 litres d’eau pour arriver à produire, dans notre système archaïque et sauvage, un tout petit kilogramme de matière protéique merdique.

    Non mais allô quoi !

    Savez-vous combien, rien qu’au restaurant-bar-tabac-pharmacie-épicerie grosse et fine- laboratoire d’analyses médicales-boulangerie-poissonnerie … du Moulin Romy (14) on consomme de viande de vache ?

    5.000 tonnes par an, soit 5.000.000 de kilos de meuh-meuh, le tout multiplié par 15.000 litre d’eau, cela nous fait un total de …..  euh … où est passée ma calculette ?

    Le journaliste ne rigole pas, il vous dit ça les yeux dans les yeux, sans sourciller, avec un air de sincérité non feint …

    Ouaip !

    Au fait, les 15.000 litres c’est par mois, par an ? Est-ce définitif ?

    Et pour le bifteck de 250 grammes à 250.000 € combien de litres d’eau ?

    On s’en fout, la science fait chier, ce qu’il faut c’est marquer les esprits chiasseux des consommateurs imbéciles et niaiseux, leur asséner des arguments qui leurs fassent comprendre à quel point la viande future sera tellement plus mieux que celle d’aujourd’hui !

    D’ailleurs, même si la planète est constituée à 70% d’eau, les marchands d’eau ne cessent de nous alerter sur son manque à venir. Nous n’avons plus d’eau, braves gens, apprêtez-vous à la payer au prix de la viande …. Avec vos économies !

     

    3 – Le troisième argument est poétique à souhait !

    La vache et son mari, le taureau, participent activement à la destruction massive de la couche d’ozone.

    Ceci est ABSOLUMENT INDÉNIABLE et quiconque oserait mettre en doute cette affirmation sera exécuté sur le champ !

    Tout comme quiconque remettrait en doute le réchauffement climatique lié à la disparition de la couche d’ozone due aux pets de nos vaches.

    Nous, on pète pas, on s’excuse.

     

    Qu’y a-t-il de si volatile dans la tête de nos journalistes pour qu’ils se permettent à ce point de nous prendre pour des cons ?

    Allez savoir !

    Mais ce que je sais, c’est que les actualités à la télé sont tellement grandguignolesques que ça en devient franchement abracadabrantesque !

     

    Vive la France, le cheval de Troie et les andouillettes de  la Barbade !

    Allons z’enfants de la paaaaaaattrriiiiiiiiieeeeeeeeee ….



  • De Spartacus le Thrace à Monsanto le lobbyiste amerlock, l’avenir de l’humanité est en marche et personne ne semble plus se souvenir où on a caché la marche arrière ….

     

     

    Tiens ! Merkel qui se décide soudainement et à contre péterie …. Euh ….  Non, à contre … non, non plus, je voulais dire : contre toute attente …  bon ! je recommence …

     

    Tiens ! Merkel qui se décide soudainement et contre toute attente à relancer la consommation par l’injonction de quelques milliards dans le social allemand.

    Paf ! aussitôt, les ‘journalistes’ et les ‘spécialistes’ ‘économistes’ y voient, y devinent, y décèlent, en déduisent … que Merkel veut relancer l’économie en Europe !

    Mais quelle bande de brèles !!!!!

    Elle veut seulement s’attirer les bonnes grâces de l’électorat, c’est tout ….  Et ils devraient pourtant le savoir que les promesses sont faites de vent !

    Spartacus l’anti-esclavagiste (anti, quel beau mot !) fit trembler les romains mais sans les renverser définitivement et se fit massacrer par Crassius (portait bien son nom, celui-là !).

    C’était l’bon temps !

    En ce temps, voyez-vous, on avait son ennemi en face, on pouvait le regarder les yeux dans les yeux, mais pas comme un vulgaire Cahuzac effrontément menteur, non, là, les yeux ne mentaient pas, ils disaient la rage qu’on avait de s’entretuer, d’en finir avec l’autre, de le voir se vider de ses tripes et de ricaner quand son œil virait vers la mort dans son orbite. On achevait l’ennemi blessé sans la moindre commisération.

    T’as voulu jouer les hommes libres ! ? Eh bien crève, charogne, ça t’apprendras à te prendre pour un homme au lieu de rester bien sagement à ta place d’esclave !

    Ah ! que je regrette ce temps de la vérité !

    D’un côté les romains, droits dans leurs bottes comme un vulgaire Juppé et de l’autre les esclaves, sous le joug baissant la tête et le regard, marchant nus pieds dans le fossé quand les légions foulaient la pierre des voies romaines.

    Tu savais qui tu étais.

    Riche et libre, tu te payais des bonga-bongas à tout péter, tu te faisais dégueuler le foie gras pour mieux avaler ton faisan farcis à la truite de mer et à la confiture de lait de chamelle.

    Esclave, tu bouffais la merde qu’on te jetait à travers les barreaux de ta cage en espérant que c’était pas des cannellonis à la viande de cheval !

     

    Seulement voilà !

    Le temps à coulé sous le pont de Tancarville, pendant que la Seine en faisait tout autant et les us et coutumes se sont notablement modifiées, insensiblement, inextinguiblement, sur la pointe des pieds comme un voleur la nuit dans la villa de Médicis … et les riches on revêtu la peau du lion de Némée et se sont retranché derrières l’égide qui les rend invisibles malgré les efforts d’Hollande pour apporter quelque transparence à notre monde fait de boue et d’opprobre.

    Monsanto, qui a très bien senti les vents malodorants de la triche et des embrouilles parvenir jusqu’à ses olfactifs naseaux s’est dépêché de créer un conglomérat de fripouilles multinationales chargées de spolier les cultivateurs et autres agriculteurs naïfs qui se sont laissé dépouiller de leurs savoirs et sont devenus les esclaves du maître des OGM.

    Aujourd’hui, nul n’a le droit de créer ses propres graines. Tout doit passer par Monsanto, c’est l’Europe qui l’a dit et tout contrevenant se fera emprisonné et devra acquitter une somme qui le ruinera afin qu’il ne recommence pas ses conneries.

    Où es-tu Spartacus ?

    Quel Spartacus osera se mettre au travers de l’hégémonie monsantienne ?

    Eh puis ….  Ce n’est pas fini …..

    Il en a fallu du temps avant que Monsanto gagne la partie …. Mais d’autres parties se jouent !

    En ce moment, la mode est à la ruine des pays industrialisés par les potentats financiers de ces mêmes pays qui refusent que le gâteau soit équitablement partagé par tous. Alors, ils décentralisent, ils emmènent leurs usines et leurs brevets vers des cieux plus accueillants, des pays où l’ouvrière et l’ouvrier est si faible socialement qu’il travaille volontiers pour un bol de riz agrémenté d’un filet de nuoc-mam.

    Du coup, l’ouvrier européen organisé en syndicats financés par l’Etat et le patronat, se voit mettre à la porte de son usine et se retrouve désemparé dans la rue avec femme et enfants.

    Bientôt, il sera mûr pour travailler pour une choucroute, une bouillabaisse ou un kouign aman !

    Mais ça ne suffit pas, l’homo contemporino a pris trop de mauvaises habitudes en réclamant des avantages auxquels sa fortune personnelle ne lui donne aucun droit.

    Quoi ! ? ces loquedus prétendent obtenir des allocations pour élever leurs enfants, des sous pour se tenir en bonne santé, des logements pas chers …  mais ils rêvent ces galeux ! Il n’est que temps de les remettre à leur place en les confrontant à tous les autres pouilleux de la terre qui se nourrissent dans les décharges et s’abritent sous des tôles rongées de rouilles.

    Monsanto, sentant venir les mauvais vents qui se préparent à l’occasion de la révolte des super riches et du réchauffement climatique qu’ils ont manigancé pour mieux enrober leurs plans diaboliques d’une nuée protectrice et dissimulatrice, Monsanto se prépare à breveter le génome humain.

    La première étape a été franchie allègrement, d’une foulée légère et aérienne : le mariage sans limite.

    Désormais, l’enfant n’est plus le fruit d’un couple, d’une copulation entre un homme et une femme. Désormais, l’enfant n’est déjà plus qu’un être biologique indéterminé, non identifié, indéfinissable, insaisissable, inqualifiable … il est le fruit de rien et de tout, de l’alpha et de l’oméga, du yin et du yang, de la pluie et du vent, de la cravate de notaire et de la branlouze chinoise, du caca et du boudin, de la bergère et de ron et ron petit patapon !  !

    Chez Monsanto, les bacs et les cuves sont prêtes, d’un côté les spermatozoïdes issus de la branlette de mâles volontaires ou pas et dans les bacs, les ovules de bonne femmes dont on retrouvera trace dans quelques cannellonis ou autre couscous en boîte.

    L’homme n’est plus qu’une marchandise comme les autres pour les riches qui se paieront bientôt des esclaves peu chers (peuchère !) et qui travailleront pour eux dès l’âge de six mois et jusqu’à leur mort vers dix ans.

    Fini les Spartacus, plus aucun risque que le tiers état se rebelle, se révolte !

    Voilà, braves gens ce qui attend nos descendants qui ne descendront plus mais seront brevetés Monsanto en bonne et due forme.

    Pain de coucou !

     

     

  • A la tienne Alzeihmer !

     

    C'est étrange cette maladie qui touche de plus en plus de vieillissants !

    Surtout si on tient compte du fait que les marionnettistes nous inoculent tranquillement mais sûrement l'idée qu'il faut accepter d'abréger la vie.

    De toute façon, quand on ne se souvient plus de rien, à quoi sert la vie ... n'est-ce pas ! ?

    Alors .... à quoi bon tenter de soigner .... sauf que .... c'est une dégénérescence programmée .... un petit mal sournois qui contrebalance l'augmentation de la durée de vie .... ce qui nous soigne nous tue et nous prenons notre petite dose chaque jour, ordonnée par le médecin qui lui, se garde bien de prendre quoi que ce soit ....



    Doc : Vous n'avez pas oublié votre petite pillule madame Baluchon ?

    Tata : non, non, doc, je la prends bien, tous les matins et tous les soirs !

    Doc : et le midi ?

    Tata : le midi ?

    Doc : ben oui, vous n'oubliez pas de la prendre le midi, j'espère !

    Tata : prendre quoi, doc ?

    Doc : c'est bon, madame Baluchon, c'est même excellent. Vous connaissez la maison de retraite "Euthanasia" ?

    Tata : non, c'est quoi ?

    Doc : je vais vous y envoyer, vous serez bien traitée, rapidité et efficacité !


    Celles et ceux qui n'ont pas un membre de leur famille condamné à ce désastre de  la dignité peuvent bien en rire, lorsqu'ils connaîtront à leur tour les ravages que causent ce poison inventé par la faculté pour nous réduire au silence, ils feront une autre tête et n'auront plus du tout envie d'en rire avant de sombrer à leur tour dans ce comas nous conditionnant à une fin indigne.

  • Les fichiers de l'UMP égarés quelque part dans les nuages d'ORACLE !

     

     

    Ô Racle Ô des espoirs et des vapeurs célestes !

     

    La société ORACLE


    a perdu


    les fichiers de l'UMP


    quelque part


    dans les nuages !!!

     

    Cloud = nuage

    Le cloud, c'est la toute dernière technologie en informatique, c'est l'hébergement des données sans adresse de stockage précise, le cloud est sensé apporter une grande souplesse et un volume de stockage de données inifini.

    Le problème c'est que cette technologie est basée sur un algorythme nébuleux ....  comme les nuages où se baguenaudent les données hébergées.

    Supposons que les données soient très provisoirement stockées en Chine et que les chinois décident de couper les réseaux .......  zoup, vos données deviennent inaccessibles sans avis de préavis d'indisponibilité !

    Supposons qu'un agriculteur un peu fou décide de crever l'abcès ...  euh .... non, le nuage .... il tire à boulets rouges sur ledit cloud qui fond en neige ou pluie et le pecnot reçoit sur la tronche le fichier des adhérents UMP !

     

    Non, vraiment c'est pas drôle !!!!!

    Vivre dans les nuages, ça a son charme mais franchement, il faudrait peut-être redescendre un peu sur terre si on ne veut pas finir avec les anges .....  le cul dans les nuages

     


     

     

    PS : j'ai été ingénieur conseil ORACLE pendant près de 18 années ... je connais la maison et ses chansons !

  • Lettre ouverte à tous les mauvais coucheurs qui sont terrorisés par l'islam : il n'y a pas de fatalité, renversons la situation !

     

    Il faut faire un pont ou mieux, un tunnel sous la méditerranée entre Marseille et Tizi-Ouzou pour pouvoir transporter plus facilement et plus rapidement les euros de la France vers l'Afrique du nord.

     

    Cela constituera un grand axe nord-sud propice aux échanges commerciaux et culturels nous permettant de vendre des machines agricoles, des téléfériques et des dameuses au Sahara et des films X aux bédouins qui s'ennuient sous leurs tentes.

    Quand nous aurons colonisé intellectuellement l'Afrique du nord, nous pourrons nous attaquer aux esquimaux qui ont plein de glaces qu'on pourrait vendre en Afrique du nord pour refroidir ces pauvres chameaux qui ont trop chaud ..... 


    Pain de coucou ! Le progrès est en marche et personne ne l'arrêtera !

     

    mektoub !