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la politique pour les paraplégiques sourds muets e - Page 4

  • Comme disait l'amant de ma grand mère en lui chatouillant le clitoris :

     

    "Prions ! si ça ne sert à rien, ça ne nuit pas non plus !"

     

    Or, le bougre se fourvoyait grave !

     

    Faire seulement semblant suffit à ruiner le monde.

    Tous les cons qui prient participent au bordel ambiant en laissant faire et en se déresponsabilisant !

     

    Votons Hollande si on ne veut pas voter Sarko .... et la merde est la même !

    Car ce n'est pas en évitant le danger qu'on l'éradique.

    Un jour ou l'autre on finit par se faire avoir si on ne lutte pas contre la connerie des religions, les religions finissent pas imposer leur dictature et ce connard de dieu sait combien elle est grande !!!!!

    Ses armes sont celles de tous les extrêmes manipulées par des extrémistes.

    Et son but unique et ultime est de nous priver de toute liberté pour mieux nous exploiter .... exactement comme le font le socialisme, le capitalisme et tous les autres partis politiques qui se conduisent comme des religions .... ne vivant que d'expédients et de promesses creuses et vaines.

     

    L'homme est con ... il a inventé la vie à son image.

     

  • C'est nous les africains qui revenons de loin ... vous connaissez la suite ? Pas moi !

    c'est simple !

    Les blancs qui piquent les richesses des blacks, les blacks n'ont qu'à les tuer et les bouffer !

    On a vu ça au Botswana ... suivi de famines meurtrières quand les noirs eurent fini de bouffer les réserves des blancs dont les cadavres nourrissaient les vautours !

     

    L'Afrique c'est "je t'aime moi non plus", c'est "au secours tirez-vous de là on veut plus vous voir", c'est "sans vous on est morts mais mieux vaut être mort qu'esclaves" ... etc ...

    Les africains te demandent un truc ... ils te testent ...  si tu le donnes ... t'es un bon bwana, faut que tu donnes encore et toujours plus ....

    Pour se faire respecter, il ne faut jamais donner, mais faire payer ... même pas cher, mais ne jamais donner ... celui qui donne est faible !

     

    Et entre eux ... là, c'est la préhistoire (ce qui n'est pas nécessairement négatif sauf ...)  ... ils se tuent comme on s'insulte ! 

    Il faut bien comprendre que nous ne sommes pas éduquer pour les comprendre.

     

    Il faut vivre dans le bush ou même en ville avant que nos valeurs ne commencent à se transformer et qu'on apprenne de l'Afrique et des africains.

     

    Petite anecdote sympa : si vous vous ‘baladez’ dans Khartoum (prononcez Rârtoum) la capitale du Soudan, vous verrez de nombreux éclopés, jeunes et vieux … vous savez, des gosses avec le bras dans le dos et la jambe amputée …  et le vieux cul de jatte dans une caisse en bois avec des fers à repasser … Nous autres, occidentaux, ça nous révulsent et on donne un peu … mais il y en a tant !

    Et puis un beau jour vous demandez pourquoi il y en a tant ?

    Bah ! c’est de naissance, les parents estropient les enfants pour qu’ils fassent la manche.

     

    D'ailleurs, lisez les commentaires sur l'article ....

    Les selekas  Soudanais, musulmans ont conquis des territoires centre africains en tuant et violant afin de s'approprier les quelques biens des chrétiens qui vivaient là. Les forces françaises ont tout bonnement rétabli la précédence des autochtones sur les allogènes. Mais les chrétiens savent bien que dès que les français auront quitté les lieux, ils seront de nouveaux les objets de massacres !

     

    Yolande MUKAGASANA ne nous fait pas part de ses intentions ... pour quoi, pour qui plaide-t-elle ? Pour elle-même de toute façon !

    Croyez-vous que les rites cannibales soient chrétiens ou musulmans ?

     Croyez-moi ... ou pas ... je m'en fiche ... mais les conflits Africains ne sont jamais manichéens.

     Et en Afrique, il n'y a pas que des noirs !

     Tout ce que j'ai écrit est purement factuel, je ne porte aucun jugement, je connais trop les africains pour savoir que ce serait peine perdue, il y a parmi eux de merveilleuses personnes. Mais que sont quelques personnes sur des centaines de millions ?

     

    Té ! une autre fois, si je suis encore là, je vous entretiendrai des chinois .... ça vaut le coup aussi, les chinois ... vous n'avez pas fini d'être surpris !!!!

     

  • José Bové avachi dans le luxe et le lucre. Avec l’âge, même le lion le plus barbare finit par se laisser caresser dans le sens de l’argent facile.

     

     

    L’émission somnifère de Laurent Ruquier fait toujours autant d’effet !

    C’était hier soir 22 février 2014.

    J’arrive au moment précis où Zé Jo Bo Vin pose son fondement sur le petit fauteuil qui en a tant vu (des culs !)

    Celui-là est mou, mou, mou … à l’infini !

     

    Le grand pourfendeur des guerriers maïs, le défenseur de la graine saine et du bon sens paysan qui va toujours dans le sens qui l’arrange … l’homme qui a goûté le sel âcre des prisons surpeuplées, lui qui a osé défier l’autorité musclée … le voilà avachi dans le velours côtelé de Ruquier.

    L’Europe ?

    L’Europe, c’est super, c’est merveilleux, c’est extraordinaire, c’est comme un rêve enchanteur dont on ne souhaite pas se réveiller.

    L’Europe, c’est superbe, on discute avec des gens très intelligents, on les convainc, on se laisse convaincre, on échange des idées et à la fin on touche le gros lot.

    Parce que ce qu’il nous dit pas, le Bové, c’est le train de vie que l’Europe lui apporte avec son cortège de voyages à l’œil, d’hôtels 4 étoiles, de gentilles hôtesses dévouées (corps et) âmes, de restaurants gastronomiques,  de cadeaux luxueux …. Et de très généreuses prébendes sonores et trébuchantes exonérées, de surcroît, d’impôts sur le revenu. Et puis … plus tard … la retaite … je vous raconte pas !!!!!

    Alors, forcément, ce paysan au bon gros bon sens près de chez lui ne va pas cracher dans la soupe, ni dans le pain au maïs … qui le ferait ?

    Il est content le bovin avec tout ces privilèges liés à la fonction délicieuse de député européen. D’ailleurs il l’aime tant cette fonction qu’il se représente pour un nouveau mandat et n’exclut pas d’y finir ses jours dans la ouate douce et feutrée des palais dorés de Bruxelles.

     

    Caron et Polony ne mouftent pas, non, juste un petit commentaire pour dire combien ils sont heureux que Bové le soit !

    Pas de quoi crier « au loup !».

     

     

    Conclusion : il a dû casser sa pipe, on ne l’a pas vue de tout le temps qu’il est resté assis.

     

    Moi, bercé par tant de blabla soporifique, je m’empresse de rejoindre Morphée qui s’est installé confortablement sous la couette.

     


  • Attali et les taxis … 2008… Allumez le feu pour 2014 !!! ou l'effet papillon extra temporel !

    Vous vous souvenez ?

     

     

    Rapport de la Commission

    pour la libération de la croissance

    française

    Sous la présidence de

    Jacques Attali

    .

     

    RÉFORMER LES PROFESSIONS AUJOURDHUI RÉGLEMENTÉES

     

     

    http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/084000041/0000.pdf

    Les services spécialisés : coiffeurs, taxis, etc.

    Les coiffeurs (147 000 actifs dans 59 000 entreprises ; chiffre d’affaires

    du secteur : 4,6 milliards d’euros). Pour ouvrir un salon, un coiffeur doit

    avoir un brevet professionnel1, ce qui ne se justifie manifestement pas

    par un objectif de protection du consommateur, tout particulièrement

    dans un contexte où se développent les activités de coiffeur à domicile

    pour lesquelles un CAP est suffisant. Le système de Validation des

    acquis de l’expérience (VAE), mis en place depuis 2002, n’a pas permis

    de déverrouiller significativement l’accès à la profession car il reste

    excessivement contrôlé par les professionnels en activité.

    DÉCISION 209

    _ Supprimer l’exigence du brevet professionnel pour ouvrir un

    salon et lui substituer l’obtention d’un CAP ou cinq années de

    pratique sous la responsabilité d’un titulaire du CAP.

    Les taxis (46 000 actifs dont 15 300 à Paris ; chiffre d’affaires :

    2 milliards d’euros). Pour pouvoir aujourd’hui exercer l’activité de

    chauffeur de taxi, il convient de satisfaire aux conditions suivantes :

    • attester la réussite à l’examen professionnel de chauffeur de taxi ;

    • acquérir une autorisation de stationnement sur la voie publique,

    soit gratuitement auprès du maire ou du préfet de police à Paris,

    soit à titre onéreux auprès d’un chauffeur de taxi qui cesse son

    activité ;

    • respecter les tarifs maximum fixés par arrêté du ministre de l’Économie

    et par arrêté préfectoral pris dans chaque département.

    Un nombre extrêmement limité de licences gratuites étant accordé

    chaque année, le prix de revente des licences est très élevé dans les

    villes où l’offre est manifestement insuffisante (140 000 euros à

    Toulouse, environ 190 000 euros à Paris, 400 000 euros à Orly).

    Plusieurs facteurs illustrent l’urgence de mettre fin au numerus

    clausus des taxis.

    L’augmentation de la population en Île-de-France, l’évolution du

    trafic aérien et du trafic ferroviaire, la croissance du PIB depuis

    1981 permettent d’évaluer à environ 8 000 le nombre de licences

    qui auraient pu être créées pour satisfaire la demande en région

    parisienne, alors même que plus de 6 500 chauffeurs taxis locataires

    ou salariés attendent de pouvoir acquérir une licence.

    161

    Des acteurs mobiles et sécurisés. La mobilité économique

    1. Pour obtenir ce BP, il faut justifier de 5 ans d’expérience professionnelle ou d’un CAP et de 2 ans d’expérience.

    À Londres et à New York, les systèmes de plaques de taxis n’ont pas

    été libéralisés et ces villes comptent environ autant de taxis que Paris,

    mais des voitures dites « de petite remise » (VPR) permettent de

    répondre à la demande : elles sont 50 000 à Londres, 42 000 à New

    York, contre à peine 100 à Paris. La réforme ne doit donc pas seulement

    se concentrer sur les taxis mais développer de nouvelles offres

    de transport dédiées à des segments spécifiques de la demande.

    La loi du 20 janvier 1995 a rendu les licences cessibles après leur

    exploitation effective et continue pendant une durée de 15 ans,

    durée réduite à 5 ans après la première mutation. De plus, cette loi

    a précisé que la délivrance de nouvelles autorisations ne donne pas

    droit à indemnité au profit des titulaires d’autorisations précédemment

    délivrées.

    Une ouverture complète du marché des taxis et des véhicules de

    petite remise parisiens permettrait d’avoir au total de 50 000 à

    60 000 taxis et VPR à Paris et en proche banlieue (contre 16 000

    aujourd’hui), soit un gain d’emploi de 35 000 à 45 000. En Irlande,

    après la libéralisation des taxis en 2000, le nombre de taxis a

    augmenté de 150 % en 3 ans et la densité de taxis a considérablement

    augmenté, passant de 1 pour 186 habitants à 1 pour 72 habitants

    (contre 1 pour 360 à Paris et proche banlieue). Si cette même

    densité prévalait, il y aurait 80 000 taxis à Paris, soit une création de

    64 000 emplois. Dans les grandes villes de province, où la densité de

    taxis est encore plus faible (on compte un taxi pour 1 000 à 3 000

    habitants dans les 15 plus grandes villes de province), les créations

    d’emplois pourront être beaucoup plus importantes qu’à Paris.

    DÉCISION 210

    _ Développer l’entrée sur le marché des VPR et de différentes

    offres spécialisées sur certains segments du transport urbain.

    • Maintenir pour les VPR les critères actuels de compétence professionnelle

    applicables aux taxis (casier judiciaire vierge, respect des

    règles d’hygiène et de sécurité, connaissance de la ville, etc.).

    • Instaurer la liberté tarifaire, pour autant que les tarifs soient

    annoncés à l’avance lors de la prise de rendez-vous, afin de favoriser

    l’émergence de gammes de véhicules adaptées aux

    budgets de différentes clientèles.

    • Transférer la supervision des VPR au ministère en charge des

    transports pour éviter que le même bureau soit en charge des

    taxis et des VPR.

    300 décisions pour changer la France

    162

    • Inciter à la création de flottes de « VPR / taxis verts » bénéficiant

    d’emplacements de stationnement dédiés, similaires à ceux des

    « Vélib » à Paris, permettant d’offrir aux usagers des déplacements

    dans des véhicules à propulsion hybride ou utilisant des

    carburants peu polluants.

    DÉCISION 211

    _ Augmenter le nombre de taxis.

    • Octroyer gratuitement, par une procédure d’attribution étalée

    sur deux ans, une licence incessible à tous les demandeurs

    inscrits fin 2007.

    • Après l’ouverture de l’offre de taxis et de VPR, autoriser les taxis à

    répercuter sur le prix des courses les augmentations du

    gazole/essence avec une prime tout en conservant un tarif maximal.

    • Autoriser plusieurs chauffeurs à utiliser la même plaque de taxi,

    à condition de surveiller que les chauffeurs ne dépassent pas le

    nombre d’heures de travail autorisées par jour (par exemple en

    instaurant une carte de déblocage pour chaque voiture).

    • Supprimer l’horodateur parisien. Fixer une amplitude de service

    unique de 11 heures équivaudrait à augmenter le nombre de

    taxis à Paris d’environ 600 voitures sans pour autant augmenter

    la surface d’occupation de la voirie.

    • Supprimer les restrictions territoriales qui limitent le chargement

    des clients dans certaines zones et autoriser la maraude.

    • Fusionner sous la même appellation « Taxis franciliens » les taxis

    parisiens, ceux d’Orly et de Roissy et de l’Île-de-France et fixer un

    tarif forfaitaire des aéroports à Paris.

    • Créer une voie dédiée aux taxis, aux bus et au covoiturage entre

    Paris et les aéroports.

    • Associer pleinement le ministère en charge des transports, aux

    côtés du ministère de l’intérieur, à la gestion de l’offre de taxis

    pour mieux tenir compte des intérêts des usagers.

    • Autoriser les préfets à se substituer au maire dans l’attribution

    de nouvelles licences de taxis, dans les villes où l’évolution du

    nombre de taxis n’a pas suivi l’évolution démographique.

    • Fluidifier le marché secondaire en autorisant sans délai la vente

    des licences actuellement détenues.

     

     

     

    Gouverner c'est prévoir, anticiper, préparer l'avenir ......  Attali chiromancien divin et devin ....  Sait comment foutre le bordel à la France car il connaît bien les hauts fonctionnaires et leur connerie légendaire !

     


  • Moscovicci vs Le Pen … hier soir, à la télé, 3 février 2014, débat blabla. Aujourd’hui, j’interviewe les antagonistes qui reviennent sur leur prestation …

     

     

    Je reçois les deux protagonistes dans mon bureau-cabane-de-plage installé provisoirement dans la cour du café des chasseurs-pêcheurs-raniculteurs-quichieliculteurs.

    Pour toi, chère lectrice, cher lecteur, je vais cuisiner les déblablateurs.

     Il faut dire que le débat ne nous a pas déçu, la langue de bois a été particulièrement à l’honneur, les mensonges éhontés et les contre vérités évidentes firent florès … comme d’hab.

     

     

    Yfig : Monsieur Moscovicci, je vous remercie d’avoir accepté cet interview au débotté.

    Mosco : Mais je vous en prie, tout l’honneur m’en revient.

    Y : Alors, monsieur Moscovicci, vous en pensez quoi de votre débat avec Marine Le Pen ?

    M (très enthousiaste) : Vous avez vu comment je l’ai explosée La Pen ! ?

    Y : Vous voulez dire « la Le Pen » ?

    M (soudain renfrogné) : Je dis ce que je veux, quand je veux et c’est pas vous qui allez m’en empêcher !

    Y : …

    M (se reprend) : Et puis je vous demande de m’appeler, désormais, ‘Moscou veni vidi vici’. Après l’incontestable victoire que j’ai remportée sur La Pen, je suis en droit de réclamer cette reconnaissance.

    Y : Oui, comme vous voulez.

    M (très fier) : Je le veux !

    Y : Mais, monsieur ‘Moscou veni vidi vici’, n’avez-vous pas un peu forcé le trait lorsque vous avez affirmé que le chômage est résorbé, que l’économie est repartie et que les banques sont en pleine forme ?

    M (boudeur et fanfaron à la fois) : Et elle a répondu quoi La Pen ? Hein … rien … que dalle, je l’ai écrabouillée comme une punaise !

    Y : Elle a quand même mis en garde les clients du Crédit Agricole qui pourrait se déclarer en faillite prochainement …

    M (m’interrompt  rageur) : … C’est une inconsciente, une folle, on n’a pas le droit d’affoler les clients d’une grande banque, ils pourraient vider brutalement leurs comptes, ce qui ne ferait qu’accélérer le mouvement de panique !

    Y : Vous êtes en train de confirmer la rumeur !

    M (se lève et me toise) : Vous êtes un malandrin, vous votez pour La Pen, c’est ça ? Vous êtes antisémite, raciste et communiste !

    Y : Je vous en prie, rasseyez-vous monsieur le ministre des économies de bouts de chandelles et d’expédients, j’ai encore de nombreuses questions pour vous.

    M (se rassied, croise les jambes et prend son menton dans la main droite en reproduisant le geste auguste du penseur) : Je vous écoute ?

    Y : Vous défendez mordicus l’Europe contre les déclarations alarmantes de madame Le Pen ..

    M (dans sa main) : … Oui, et alors ?

    Y :  J’y viens … elle propose de revenir au franc en l’indexant sur l’Euro tout en le dévaluant de 30 % pour booster nos exportations et réduire les coûts de production  …

    M (se redresse soudain et … très docte) : … Elle dit n’importe quoi, je lui ai dit et elle n’a su que répondre … c’est normal, quand on affabule, on s’englue dans les mensonges !

    Y : Mais elle s’appuie sur des conseils sérieux, elle parle …

    M (finit ma phrase) : … de prix Nobel …. Ah ! Ah ! Ah ! Laissez-moi m’esclaffer, ce ne sont pas des prix Nobel, ce sont des charlatans antisémites racistes et communistes !

    Y : Vous avez quand même reconnu que les anglais n’étaient toujours pas passé à l’Euro !

    M (me regarde par en dessous ironique) : Vous êtes décidément de parti pris, monsieur je sais tout, les anglais, vous les avez vu les anglais ? ils sont en pleine merde, les anglais, ils sont en train de crever les anglais, c’est bien fait pour eux, ils n’avaient qu’à se mettre à l’euro !

    Y : Mais madame Le Pen donne les exemples de la Grèce, de l’Italie, de l’Espagne ….

    M (lève le bras pour m’intimer de me taire) : Oh là foutriquet,  vous êtes dans quel camp, vous aussi vous voulez que la France disparaisse de la planète en revenant au franc Mérovingien ? On ne peut pas arrêter le progrès quand il est en route, on ne reviendra pas sur les acquis de l’Europe et de tous les biens faits dont nous bénéficions chaque jour dans notre vie de tous les jours.

    Y : Excusez-moi de vous dire ça, monsieur ‘Moscou veni vidi vici’, mais je n’entends pas beaucoup d’arguments convaincants, vous vous contentez de nier, mais en quoi notre vie de tous les jours est-elle embellie par l’Europe ?

    M (condescendant) : Si vous n’êtes pas capable de vous en apercevoir …. Je ne vois pas pourquoi je continuerais à discuter avec un ignare !

    Il se lève …

    Y : Attendez, ne partez pas, j’ai apporté quelque chose pour vous !

    Je lui tends un paquet craft.

    Il l’ouvre et s’exclame :

    M : Oh ! Comme c’est gentil, des bouts de chandelles …. Quelle délicate attention !

    Du coup, il se rassied …

    Y : Madame Le Pen vous a aussi interpelé sur la LGBT et les nouvelles lois sur la famille et l’enseignement de la théorie des genres … vous avez esquivé … mais qu’en pensez-vous réellement ?

    M : Ah ! Tiens, vous avez mis un bout de bougie …. C’est pas bien, ça, je ne suis pas ministre des bouts de bougie !

    Y : Et pour la théorie des genres ?

    Il se lève et s’en va boire un canon au bar du café avec les pêcheurs, les raniculteurs et les chasseurs de mammouths.

     Marine Le Pen qui nous observait depuis une table de l’arrière salle où elle mangeait un pigeonneau flambé au calva de Macao se dépêche de terminer son encas et d’avaler sa Kanter … Je lui fais signe de venir …. Elle essuie ses lèvres pulpeuses à une serviette en papier qui absorbe  son rouge à lèvres … se lève et vient … je l’attends, debout et respectueux, elle me tend sa main droite que je baise goulument … enfin, elle s’assied en face de moi avec un immense sourire radieux.

    Y : Merci, madame Le Pen, d’avoir accepté cette interviewe post débats.

    M : Appelez-moi Marine, mon petit.

    Y : Euh … je suis plus âgé que vous, vous savez ?

    M : Et alors …. Vous êtes petit, non ? 

    Y : Bon ! Passons …

    M : Oui, c’est ça, venons en au sujet.

    Y : Qu’avez-vous pensé de votre adversaire monsieur ‘Moscou veni vidi vici’ ?

    M : Comment vous l’appelez ?

    Y : ‘Moscou veni vidi vici’, c’est lui qui m’a demandé de l’appeler comme ça !

    M : Si ça peut lui faire plaisir de se ridiculiser !

    Y : Mais vous, Marine, qu’en avez-vous pensé ?

    M : Bon ! Tout compte fait, appelez-moi ‘madame Le Pen’, j’aime pas trop cette familiarité.

    Y : Comme vous voudrez, madame Le Pen.

    M : …

    Y : Voulez-vous que je répète ma question ?

    M : Oui.

    Y : Qu’avez-vous pensé de la prestation de Mosco ?

    M : Ben vous avez vu … c’est un hâbleur, un menteur, un baratineur et j’en passe et des pires !

    Y : Pouvez-vous nous donner quelques exemples de ce vous dites pour nos lectrices et lecteurs ?

    M  (sûre d’elle) : Oui, bien sûr.

    Y : …

    M (avec un grand sourire) : Vous pouvez répéter la question ?

    Y : Passons …. Vous proposez de quitter l’Euro pour revenir au Franc, Mosco n’est pas d’accord … qui a raison ?

    M (sûre d’elle) : Mais moi, bien sûr !

    Y : Pourriez-vous développer votre argumentation pour nos lectrices et lecteurs ?

    M (sûre d’elle) : Oui, bien sûr.

    Y : …….. OK ! Bon, euh … si vous ne vous justifiez pas plus que ça, nos lectrices et lecteurs vont rester sur leur faim !

    M (ravie) : Oh ! Oui, merci, c’est très gentil, je veux bien un autre pigeonneau, ils sont délicieux !

    Je fais un signe au serveur qui nous apporte un pigeonneau sur son nid de petits pois.

    Je la regarde manger le pigeonneau … quand elle a fini, le serveur débarrasse la table.

    Y : Pouvons-nous reprendre l’entretien, madame Le Pen ?

    M (s’essuyant la bouche) : Mumm miak slurp … appelez-moi Marine, cher monsieur, ce pigeonneau était divin, c’est du sauvage, ça se sent !

    Le serveur passe près de notre table avec deux pigeonneaux … Marine est hypnotisée …

    Y : Marine …. Marine …

    M : Oui … pardon, j’ai vu passer des pigeonneaux …. Où en étions-nous ?

    Y : Je ne sais plus très bien moi-même, mais si vous nous parliez de votre programme pour l’Europe ?

    M (se penche en avant, les mains bien à plat sur la table) : Oh c’est simple, ou bien l’Europe accepte nos conditions, ou bien nous quittons l’Europe.

    Y : …

    M (me regarde les yeux dans les yeux) : …

    Y : Mais … quelles sont ces conditions ?

    M : Il y en a deux !

    Y : … ?

    M : Premièrement, nous dévaluons l’Euro de 30% ou bien nous revenons au Franc que nous dévaluons de 30%.

    Y : …

    M : La deuxième, nous dissolvons le Conseil Européen qui n’a pas de légitimité démocratique et troisièmement, nous signons une nouvelle charte européenne qui nous redonne notre indépendance nationale quant aux lois, aux finances, au droit du travail et au code de la route.

    Y : Ça fait trois si ….

    M : Et quatrièmement nous cessons immédiatement de payer la dette des autres pays, ils n’ont qu’à faire comme nous … se démerder !

    Y : Vous pensez donc que l’Europe n’apporte rien à la France ?

    M (très ironique) : Mais pas du tout …. Bien au contraire … l’Europe nous apporte des tas d’emmerdes !

    Y : Et vous, avez-vous une opinion sur la théorie des genres ?

    M (visiblement très énervée par la question) : La LGBT est une toute petite minorité qui veut imposer ses codes au reste des français au détriment de la famille que ce gouvernement de pé … euh … de … détraqués veut détruire pour mieux imposer ses dépravations, ses déviations sexuelles et ses pratiques douteuses … tiens ! Regardez Hollande, il vivrait avec un harem si on le laissait faire, vous ne croyez tout de même pas qu’il se serait arrêté à deux si on ne l’avait pas démasqué … ce n’est pas pour rien qu’il a été l’élève de DSK à HEC ! (Hautes Études de Cul)

    Y : Vous avez évoqué la situation difficile d’une grande banque française et on a senti un moment de flottement, Mosco vous accusant de paniquer les clients sans raison …

    M : Si vous êtes client du CA, c’est le moment de reprendre vos sous si vous ne voulez pas les perdre !

     

    A ce moment, le serveur passe avec un pigeonneau …. Elle lui fait un croche pied et rattrape le pigeonneau au vol …

     

    Je m’en vais ….. épuisé !

  • La guerre des sexes passe par la loi du genre … euh ! … et les vices versa … non, les vices versèrent … Magalie, Valérie, Julie, Anasthasie, Déplorasie, Coralizizi, toutes à poil !

    C’est la grande mode du moment, la lubie des parlementaires (qui s’en foutent du chômedu), le crédo de l’éduc-nat, le prêchi prêcha du gouvernement, la rengaine des synagogues, le blabla des gogues, la scie des mosquées, le train-train des cathédrales …. On naît sans sexe, c’est la suite qui détermine notre genre, ce qui explique qu’il y a des gouines (filles mâles) et des pédés (gars filles).

    Ainsi, nous ne serions pas soumis au déterminisme floral.

    Non, les garçons ne naissent pas dans des choux et les filles dans des roses !

    En fait, nous sortons du néant pour nous retrouver dans l’anonymat du genre.

    Si on nous fait jouer avec des poupées, on « devient » fille.

    Mais … si on nous donne pour jouer des voitures …. Eh bien oui ! on « devient » garçon.

    C’est t’y pas merveilleux ?

    Avoir attendu 2014 pour apprendre que ce qui nous détermine c’est la loi du genre …. Boudiou !!! que de temps perdu !!!

    Bon ! Comme toute doctrine, il y a quelques exceptions qui confirment la règle générale.

    Ainsi, si on donne à une enfant indéterminé des poupées ET des voitures, on obtient un être hermaphrodite, à la fois garçon et à la fois fifille.

    D’ailleurs, cette exception est aussi valable si on donne à l’impubère des voitures ET des poupées !

    Alors, voilà qui explique bien des choses !

    Éon, par exemple, a d’abord reçu des poupées … puis, on lui a donné des voitures ; ce qui l’a considérablement déstabilisé et a déterminé qu’il est resté indéterminé. On appelle vulgairement ce genre sans genre des « travelos ».  Le dictionnaire, qui a été écrit avant qu’on découvre la loi du genre, en est resté à cette vieille définition du travelo : « homosexuel qui se déguise en femme. » Mais il faudra que ‘la caca des mies’ revienne sur cette description pour qu’elle devienne : « être de sexe indéterminé ayant joué dans sa jeunesse avec des poupées et des petites voitures et qui se déguise tantôt en homme, tantôt en femme. »

    OH ! Ne croyez surtout pas que tout ce cirque (ça me rappelle la rue éponyme) soit anodin ! Que nenni !!! Tout cela est à dessein. C’est un enjeu essentiel, primordial destiné à modifier durablement notre société. Quand la loi des genres sera devenue universelle, que cette doctrine se sera définitivement imposée aux humains, il importera peu d’avoir un enfant avec un pénis ou un méat … les parents (conditionnés par la loi des genres eux-mêmes) auront tout loisir de faire de leur rejeton ce qu’ils voudront en leur mettant dans les mains des voitures ou des poupées ou les deux !

    Bon ! Évidemment, il y a des grincheux qui grincent des dents contre cette doctrine, il y en a même qui vont (les terroristes !) jusqu’à retirer leurs enfants de l’école (qui est le principal vecteur de la doxa du genre). Franchement !!! Priver son enfant de cours de géo, de maths, d’histoire, de gym, de philo, de bio, de dessin … c’est pas humain et c’est pas comme ça qu’ils en feront des hommes, des vrais !

     


  • Lettre ouverte aux socialistes ... et à tous les autres !

    Camarades ... camarades ... et ... euh ... camarades,

    ça va les gars ?

    Vous comprenez, maintenant, pourquoi je vous ai quitté en 1984 ?

    Certes, ça fait 30 ans, il vous fallait bien ça pour comprendre ce que moi j'ai compris en 3 ans de militantisme.

    Il m'a suffi de 3 'dîners républicains' (1 à Paris, 1 à Mondeville et 1 à Houllegate) pour voir l'inéluctable.

    Quand on utilise un appareil pour ses intérêts personnels, il est évident que le couillon-cocu militant de base ne sert qu'à justifier les ambitions des meneurs qui en font un business rémunérateur. L'intérêt commun est un concept ignoré entre 2 campagnes. Parce que pendant la campagne, bien entendu, l'hypocrisie tient lieu de programme.

    Mais désormais, vous l'avez compris, vous le savez.

     

    EH ! OH vous autres, à l'UMP, au FN, à EELV, à B&B (Borloo Bayrou) et autres officines ... ne vous marrez pas trop, vous êtes dans le même bateau ; quoique vous en disiez, quoique vous en pensiez, nous sommes tous cocus et pis c'est tout !

  • Où es-tu liberté chérie …. ? Encore fourrée dans les bras de communautés arbitraires, liberticides et communautaires ! Taubira à poils !

     

     

    Selon Christian Vanneste, la société (vaste rassemblement formant une supra communauté) se verrait imposer des règles issues de petits groupes communautaristes. Une minorité organisée dictant sa loi à la majorité désorganisée ….  Enfin … c’est ce que j’ai cru comprendre à le lire !

     

     

    Oh là ! C'est pas si simple !

    En fait, la société rejette tout ce qui est identitaire au sens ‘individuel’ du terme.

    Un individu seul, face à la société, n'est rien.

    Les gouvernements successifs de droite et de gauche ont, en trente années, imposé la règle communautariste.

    Le but c'est de donner de l'eau (surtout du fric) à ceux qui représentent un intérêt commun face aux intérêts particuliers.

    Pourquoi ?

    Parce qu'un individu est beaucoup plus dangereux qu'une meute.

    Dans un groupe bien identifié, on a un ou des leaders qui manipulent plus ou moins le groupe. Si on contraint le leader, on contraint le groupe.

    Un individu seul a plus de liberté qu'un ensemble de personnes liées par une espèce de contrat moral (statut d'asso, par exemple) alors qu'un individu déterminé peut passer outre l'autocensure ... s'engageant à titre personnel il n'entraîne que sa responsabilité et n'a de comptes à rendre à personne (dans l'instantanéité).

    Cette théorie a été élaborée à partir des exemples de l'histoire.

    Notre société a été largement influencée par des penseurs qui parlaient à titre personnel tout en représentant des courants et en en générant d'autres.

    Descartes, Kant, Hegel, Nietzsche, Rousseau, Montesquieu, Diderot, Voltaire, Condorcet ... et plus tard ...  Yfig … ont marqué la société de leurs emprunte.

    Mais quelle est l’emprunte  des LICRA, SOS RACISTES, CRIF, MRAP … etc … toutes ces organisations largement financées par l’État.

    Rien, nada, mafich … il n’y a pas de pensée structurante, juste des actes de contention à l’égard de celles et ceux qui ont l’outrecuidance de penser par eux-mêmes et le sacrilège de refuser les fariboles et autres calembredaines avancées par ces jean-foutres partisans.

    C’est ça, le mal de notre siècle, l’attitude collective liberticide à l’encontre du « cogito ergo sum ».

    Non, il n’est pas sain de penser par soi-même parce que dans ce cas, il est impossible de vous bloquer dans une case !

    Vanneste nous parle de la France, pas des français, ‘du’ français.

    Moi, je veux bien qu’on me traite de tous les noms, mais que cela se fasse d’homme à homme, pas d’homme à meutes. Je veux pouvoir défendre mes points de vue et les développer largement quitte à en abandonner certains au vu des arguments de l’autre. Je ne veux pas qu’on me dicte ma vie et j’emmerde les règlements, je les contourne volontiers quand ils sont une entrave à ma liberté de penser et de vivre comme je l’entends.

    Aujourd’hui, on a besoin de savoir si celle ou celui qui parle adhère au PS, à l’UMP, au FN, au MODEM ou à tout autre formation parce qu’ainsi, on a quelqu’un de formaté, de prédisposé, de préjugé … on sait comment lui parler quels arguments lui administrer pour le faire rougir de honte de participer à tel ou tel parti ou groupe d’intérêts dont il endosse ipso facto tous les avatars, les casseroles  au cul, les détournements de fonds, les forfaitures ….

    Mais un mec tout seul qui dit un jour blanc et le lendemain noir puis qui dans un autre contexte défendra l’idée du gris, des nuances, des différences …. Ce type là notre société n’en veut pas, il est incontrôlable, ingérable, il ne représente que lui-même et lui-même ça n’intéresse personne !

    J’en veux, s’il était nécessaire, pour preuve les œuvres éditées, les films tournés, les séries télé boudées. Les libraires et les éditeurs se plaignent, les réalisateurs se plaignent, les producteurs et les scénaristes se plaignent … pas tous, ceux qui, intégrés dans de puissants cartels, touchent les grosses subventions vivent heureux et cachés …. Mais tous ceux qui se plaignent ne distribuent, n’éditent que des trucs rabâchés, vus, revus, rerevus … des idéologies éculées d’un autre temps autres mœurs, des machins pathogènes, des trucs aseptisés et conventionnels !

    Où sont les livres outranciers, les idéologies guerrières, les œuvres qui secouent le Landerneau ?

    Que dalle !

    Ah ! ça ! Des biographies des vedettes reliftées, des histoires de stars illettrées, de guerres lasses, de rebelles avachis, de renégats retraités, des bouquins de copains, des CV de nanas réalités de mes deux … on en a en veux-tu en voilà !

    Alors qu’ils cessent de geindre et prennent des risques, des vrais.



  • Jack Lang président de l'Institut du Monde Arabe (en faillite) mensonge d'Etat !

    Dans un interview J. Lang avance dans le désert sans son keffieh (plutôt kippa pour lui) et nous balance sans sommation :

    "L'arabe est indispensable à ceux qui veulent travailler dans les pays arabes ..."  et d'autres conneries totalement niaiseuses ...

    NON, monsieur Lang, pour travailler dans les pays arabes, il faut avoir une compétence.

    L'arabe ne peut servir qu'aux touristes qui n'ont pas peur de se faire prendre en otage.

    Encourager l'enseignement de l'arabe en France, c'est encourager les arabes à ne pas faire l'effort d'apprendre le français.

     

    Plus grave encore ....

    La langue arabe commune, c'est le Coran.

    Les arabes ne partagent pas une seule langue.

    Au Liban, "kahoua bel laben" signifie "un café avec du fromage blanc"

    Au Soudan, ça veut dire "un café au lait".

    Le mot lait est "halib" ... sauf au Soudan.

     

    Pour se saluer, il y a des formules communes comme "salam Ô alikoum O Allah m'a tulla", extraite du Coran et qui veut dire (en gros) "bonjour que Allah soit avec toi".

     

    Les salutations

    Soudan : kéf allac

    Egypte : ézayac

    Libye : chnou allac


    En langue arabe, le mot train est traduit par "tchou tchou" parce qu'il n'existe pas dans le Coran.

    Tous les mots que le Coran n'avait pas prévus sont ainsi des onomatopées ou le mot en langue étrangère qui vient s'incruster dans la conversation.

    Apprendre l'arabe, c'est apprendre une langue incomplète, obsolète, inutile pour la vie pratique et professionnelle ... sauf pour ce qui est de la culture personnelle et de l'amour de la sémantique et de la poésie car les poètes arabes sont de TRES grands poètes.

    J'adore l'arabe, mais je ne le conseillerai jamais comme seconde ni même troisième langue. On ferait mieux d'enseigner le latin et le grec ...

    le dictionnaire complet de la langue française contient trois cent mille mots ... le grec en contient près d'un million ! Le dico arabe .... quelques milliers ! 

    Faut arrêter de débiliter les citoyens afin de les rendre assez cons pour s'écraser !



    Quant à l'enseignement universitaire, c'est l'enseignement du Coran .... on va donc faire un enseignement RELIGIEUX !

    Allez vous faire foutre monsieur Lang, vous êtes vraiment un pauvre type !

    Et d'ailleurs, vous avez mené l'IMA à la faillite ... comme notre pays ... c'est tout ce que vous et vos amis savent faire !

  • Faut arrêter de tout intellectualiser ! Chantal à poil dans le Cantal !

     

     

    Tous ces plans sur la comète, ces extrapolations binaires, ces analyses à l'emporte pièce, ça aussi ça commence à lasser !

    Oui, on sait bien que la France hésite entre le béni oui oui et le je te tiens tu me tiens par la barbichette .... oui, on sait bien que l'individualisme collectif fait chier le peuple à force de concession aux minorités qui imposent leurs doxa à toutes celles et tous ceux qui s'en foutent des dieux pernicieux et incompétents. Incompétents comme nos femmes et nos hommes politique qui ne déclinent qu'un seul crédo : leurs petites personnes !

    Y'en a plus que marre !!

    Lâchez-nous les baskets, laissez-nous respirer, laissez-nous profiter de l'air tant qu'il reste encore gratuit .... ça ne durera plus longtemps !

    C'est quoi, aujourd'hui la terre ?

    Une poubelle.


    Moi, laborieusement je passe le balai et la serpillière dans mon petit home sweet home et tout autour de moi tout le monde jette qui ses papiers gras, qui ses serviettes hygiénique et mon seul droit c'est de fermer ma gueule !

    Je veux bien fermer ma grande gueule, mais par pitié, fermez la votre !


    C’est quoi la France d’aujourd’hui ?

    Juste une Nation que les politiques considèrent comme une bonne fille qu’il faut trousser et prostituer pour en tirer les derniers bénéfices réalisables.

    Mais qui, en France, en Belgique, en Inde, en Chine ou même au Boukistan se soucie de donner un sens à la vie ?


    Je n’entends parler que pognon, fric, blé, pèze, flouze …. Merde ! je ne suis pas Crésus et encore moins érotomane (je voulais dire grammairien ou rhétoricien voire sémanticien mais je ne trouvais pas le mot !)!

    Parlez-moi de bons vins, de bonne chère, de santé mentale, de relations sentimentales, de bonheur … oui, de bonheur !

    Oh ! je sais bien que ce mot galvaudé est interdit, qu’il faut le reléguer aux oubliettes des mots inutiles, désuets … mais moi, je n’ai pas peur des mots qui pètent, qui chromatisent, qui fleurent bon les fleurs !

    Alors … continuez de vous étriper gaillardement pour accéder aux charges de l’État dont vous ne saurez que faire une fois le cul sur le trône (sauf peut-être la guerre aux zoulous) … continuez de viser la mairie de Paris pour y accumuler vos impérities et vos combines juteuses, continuez de pérorer sur le yin et le yang des dieux interstellaires restez-y , continuez de pester et d’empester … moi, dans ma case pimpante, je ferme les huis côté cours et j’écoute les oiseaux côté jardin.