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rigolade

  • Carla refuse de se montrer dans le poste de radio, alors le président de l'univers donne un interview à la con sur les chaînes américaines des Etats-Unis de l'Amérique et du chihuahua réunis !

     

     

    24/09/2009

     

    Je décerne à monsieur Sarkozy le titre de :

     

    « meilleur comique de l’année 2009 »

     

    Son interview par Flavie Favent et Léonard Pujadas, hier soir, à la télé a été, pour moi, la révélation des dons exceptionnels de comique de notre très bien aimé président des rigolos.

     

    A la question : « Où en sommes nous de la crise ? »

    Il répond : « La crise est terminée et la France ne l’a même pas senti passer. »

    J’ai rigolé, évidemment, comme tout le monde … je ne savais pas encore que la suite serait bien plus croquignolesque encore !!!

     

    A la question : « Où placez-vous votre argent ? »

    Il a répondu : « Il n'y a plus de paradis fiscaux. Les paradis fiscaux, le secret bancaire, c'est fini. » (sic !) …. Là, je me suis payé une crise carabinée de fou rire sonore et trébuchant !!!

     

    A la question : « Clearstream ? »

    Le président des charlots fait les gros yeux à Flavie Flamand qui baisse les yeux et laisse la patate chaude à Jacques Pujadas qui demande au président de la planète :

     

    « Bonus – traders ? » (Pyjadas était si stressé qu’il ne parvenait plus à construire ses phrases !)

    Le président s’empresse de répondre : « je leur ai foutu un malus et désormais le système bancaire est sain, transparent et équitable. »

    Oh la la ! quel magnifique sens humoristique ! les rires clairs fusent et les dames en pissent dans leurs petites culottes !

     

    Devant le mutisme des deux journalistes entre les fesses desquelles on n’aurait pas fait passer un pixel, le président s’auto questionne :

    « Vous ne me demandez pas des nouvelles de mon ami Mahmoud Ahmadinejad ? »

    Il enchaîne sa réponse dans un élan généreux et élégant et plein d’humour :

    « Il a dit que les Français méritaient mieux comme président, je trouve ça ‘petit’ »

    Eclats tonitruants de rires sonores et vibrants autour des postes de télé français …. Dont le mien !

     

    Madame Flagrant qui a réussi à émettre un pet foireux lance la question du siècle au chef de l’Etat :

    « Qu’allez-vous faire, monsieur notre bon président, de la taxe carbone ? »

    Le président, après un léger haussement de sourcil et du menton se racle le fond de la gorge avant d’éructer dans un rictus des plus comiques :

    « Le monde entier, madame Flairant, le monde ENTIER, vous entendez bien ? ! le monde ENTIER nous envie notre belle taxe au carbone et tous les chefs d’Etats que j’ai eu sur mon portable me l’ont confirmé, ils vont faire la même taxe dans leurs pays … »

    Elle le coupe sèchement et avec une impertinence sans le moindre humour :

    « Même le Boukistan ? »

    Sarko la regarde dans les yeux, elle fond littéralement en larmes de crocodiles …..

    « Madame Flambant, je ne vous ai pas invitée à me poser des colles, mais des questions, les questions que vous avez reçues avant l’émission, alors, hein ! vous vous en tenez au scénario sinon je vous fait virer par mon ami et frère Bouygues ! »

    Alphonse Pujadas en profite pour dénigrer sa con-sœur :

    « Elle est pas jolie jolie la vilaine journaliste qui ne s’en tient pas à son texte ! »

    Tout le monde se marre !!!! ah ah ah ah !!!!!!!

     

    Aussitôt Laurence Flagornant reprend du poil de la bête (c’est écrit dans le scénario) et tance le président :

    « Vot’ pote, là, le Brice Pète Feu, y s’rait t’y pas un brin raciste ? » Sur le plateau, le signal rouge fluo s’allume : « laughs ! » (rires … en anglais)

    Le président crache par terre et répond du tac tac au tic tic :

    « J'avais 19 ans, il en avait 16 … C'est mon ami … Brice Boutefeux, a été l’innocente victime d'une  maladresse  et de  beaucoup d'outrance  dans les réactions à celle-ci :  L'idée même du racisme ou de la blague raciste lui est étrangère. Ne comptez pas sur moi pour le mettre dans un charter ! » Tout le monde, sur le plateau s’effondre de rires convulsifs ….. il est trop marrant not’ bon président !

     

    Bon, après ça, je suis allé voir si les poissons de la mare se marraient …. Mais ils étaient comme moi, ils en avaient marre de cette interview à la con !

     

     

  • 25/10/08 Mon rapport quotidien à Edvige - escarpolette et piments d'Espelette

     

     

    samedidi 25 octobre 2008

     

    Ouf ! Madame Lagarde nous rassure …. Elle reprend la bonhomie optimiste de Bush en nous annonçant : La crise est maintenant derrière nous ………………..

     

    Est-ce de l’angélisme ?

    Que nenni madame, monsieur, c’est de l’incompétence !

    En quoi est-ce grave ?

    Mais braves gens, elle est ministre de nos économies (que les précédents ministres ont transformés, les joyeux alchimistes, en dettes).

    Voyez vous, lorsqu’un peuple accepte que des incompétents les gouvernent, il accepte que sa nation se décompose et se transforme en fruit pourri.

     

    Madame Dati ne vaut guère mieux qui se coltine comme diablesse avec la magistrature en entier !

    Certes, la justice aurait eu bien besoin d’un bon coup de neuf …. Mais elle s’est laissé prendre par les vieux juges (je vous en parlais il y a de ça bientôt neuf mois !).

     

    Après tout, elles ne font que suivre l’exemple de leur maître, le bout en train Sarko, l’homme qui veux changer la justice mais plombe à lui seul les tribunaux en portant plainte sur plainte contre le vulgus pecum qui ose se payer sa tronche ……

     

    Tiens … j’attends toujours une explication à la réplique absurde qu’il a lancé à un parlementaire européen : « vous, vous ne vous comportez pas en socialiste Français » ???

    Mais qu’a-t-il bien pu vouloir dire ?

     

    Oui, en fait, je n’attends plus rien …. Cet homme relève de l’hosto pour décérébrés !

     

    Vouloir refonder le capitalisme, est une ineptie sans nom.

    Ces petits barons qui cumulent à quelques uns les richesses de tous prennent des risques considérables !

    Ils ne voient donc pas venir la tornade, la révolte des pauvres qui les emportera malgré leurs armées et leurs fric.

    Que sont cinquante années à l’échelle de l’univers ?

     

    Bon ! on va pas se laisser démoraliser, n’est-ce pas !

    Après tout, dans cinquante ans …

     

     

    Qui vivra verra !

     

    Les taupes, que j’avais persécutées au centre du jardin se sont déplacées, les finaudes, sur les côtés. Ah ! si j’avais Sarko dans mon jardin, il s’en occuperait, lui, de mes taupes ! Il leur ferait des discours, des remontrances sur ce qu’il convient ou pas de faire en temps de crise comme il le fait aux ouvriers en grève en relevant l’inconséquence de leur acte !

    C’est vrai, quoi, c’est pas la grève qui va aider à la refondation du capitalisme !!!!!

    Quand je vous dis que ce type est malade !

    Dommage que nos vieux ne soient plus là pour entendre ça …. Eux qui se battaient contre les appariteurs, briseurs de grèves et de syndicats …. Faut dire qu’ils ont fini par réussir !

    Les nouveaux syndiqués se battent dans le sens de l’histoire …. Le nouveau capitalisme …. Avec une larme de morale et quelques gouttes de dirigisme !

     

    C’est vrai que j’ai l’air de ne rien faire …. Mais j’ai essayé …..

     

    Quand on constate à quel point les adhérents, les militants sont encadrés, conditionnés par leurs hiérarchies directement inspirées par les gouvernements …. On se dit qu’on sera plus utile ailleurs …. Quitte à être seul … plutôt que de lutter contre le courant qui finira par vous emporter avec le reste !

     

    Comment peut-il encore y avoir des militants au PS ?

    Ca me dépasse !

    Le spectacle lamentable des caciques se tapant sur la gueule pour un siège …. On croirait assister à un mauvais jeu des chaises musicales à un mariage bâtard !

    Pousse-toi, c’est pour moi !

    Non, toi, pousse-toi, je l’ai vu la première !

     

    Bon ! c’est vrai que moi, je suis parti au bout de quelques semaines quand j’ai constaté qu’aux réunions on nous endormait en nous parlant de la pluie, du mauvais temps et du prix de la moquette ….. je dois être un mauvais militant !

    Mon paternel qui est resté toute sa vie au PC en a constaté, lui aussi, la lente mais infernale érosion.

    Décidemment, le culte de la personnalité n’engendre jamais rien de pérenne !

     

    Je ne sais pas si ça vous le fait aussi, mais moi, j’ai de plus en plus de mal à me projeter dans l’avenir ……

    Et pourtant, malgré mon grand âge, j’ai des tas de projets et de perspectives …. Mais je ne puis m’empêcher que si ce n’est moi, les autres, au moins, vont se faire rattraper par la crise et que bien de projets devront être remis aux calendes Grecques ….

    Je sais bien qu’il y a toujours des petits malins pour tirer profit des crises, mais je suis trop timoré …. Oui, enfin …. Surtout trop casanier pour me remettre en route à travers le monde à monter des affaires, à établir des contacts, à remuer la crasse ordinaire pour en sortir quelques pépites.

     

    J’ai juste envie de profiter de la vie, de ma femme, de mes enfants et petits enfants …. Car ce sont eux q’il faut tenter d’aider …. Putain ! quelle vie on leur prépare !

     

    Je pense qu’iPidi se plairait chez nous.

    Notre GR est en double sens interdit mais il y a toujours des tordus qui l’empruntent malgré l’interdiction formelle … je le mettrais devant le panneau avec un sifflet, un képi et un bâton blanc ….. il va se prendre un de ces pieds !!!!!

     

    Allez ! poussons poussons l’escarpolette ……. D’Espelette !

     

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  • Il y a toujours danger à participer aux vulgaires émissions de variétés

     

    Hier, samedi ( 11/10/08 ) soir chez Ruquier, Laurence Parisot présidente du MEDEF tout à fait incapable d’argumenter sur les problèmes financiers bancaires et sa propagation dans le tissus économique entrepreneurial serine sa propre liturgie : « il faut faire confiance …. faites nous confiance …. regardez moi, vous pouvez me faire confiance ….. il faut nous donner de la liberté, toujours plus de liberté»

    Zemour et Nauleau, pas plus compétents qu’elle, loupe de magnifiques occasions de lui mettre le nez dans son pétrin ….

    Un échange très amusant entre la présidente et E. Zemour :
    Elle : « Mais comment pouvez vous prétendre en savoir plus que moi ! ? »
    Zemour : « En tout cas, moi, je ne fais pas semblant de savoir ! »

    Ca résume exactement l’intervention de madame la présidente !

  • Khadafi, un guide potentiel pour la France


     

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    Devant le trône de notre bon roi Soleil  (Louis XIV – pour les ignorants) Mouhamar, le guide de la nation Cyrénéenne, le père de la négation Hellène et latine, le dieu vivant de la démocratie Libyenne s’insurge des déclarations du petit caporal (Nicolas -  pour les ignorants).

     

     

    Je cite :

    « Mais que ce trou du cul aille donc nettoyer devant sa porte avant de donner des leçons de droit de l’homme à la Libye !

    Ce nabot est le président d’un pays qui refuse le voile à l’école, contre les principes de Mahommet Allah Ô akbar.

    Cet avorton prétend interdire l’excision et la circonsion, les deux mamelles de la foi islamojudaïque.

    Ce rabbin raté défend les homosexuels ….. c’est ça qu’il appelle les droits de l’homme ?

    Et enfin, ce chien d’infidèle dénie la base même de toute civilisation, à savoir la polygamie. »

     

    Moi, je dis que Le Pen est dépassé sur son côté borgne !!!!!

  • Anarchie

     

     

     

     

     

    Les mouvements, les associations, les partis anarchistes m’ont toujours fait rigoler !

     

    Sous ces formes là, ce n’est jamais qu’un endoctrinement comme un autre.

     

    L’anarchie n’a guère besoin ni de drapeau (là, vraiment, quelle hérésie de couillons sans esprit) ni de chansons de ralliement, ni, surtout, d’aucun guide, guru ou autre piednickelé !!

     

    L’anarchie se crée au jour  le jour à travers chacun de nos actes, de nos paroles et de nos écrits.

    L’anarchie, ça existe de l’intérieur, surtout pas de l’extérieur.

     

    Et je ne vois rien de plus à ajouter.

     

    Ah ! si !!!

    J’emmerde les anarchistes d’opérette.

     

  • à propos de tout et de rien !

    Déjà 2 jours de peinture.

    Qui sait le plaisir de la tâche de couleur informe et qui prend vie lorsqu’on la regarde dans l’ensemble.

    Je repense à ces deux tableaux de Van Gogh,’les chaumes de Corneville’ et les caravanes exposés au musée d’Orsay.

    On peut, si on en a envie, coller son nez dessus !

    Je pense qu’un jour, les con-servateurs penseront à protéger ces objets car ils ne sont pas à l’abri d’un crétin dégénéré qui gratterait un tableau pour en tirer quelques miettes de peinture …..  et si cet abruti se reproduit …. Bientôt il ne restera sur les toiles que des poils de moustache !!!

    Bref, ce que je voulais dire, c’est que même le nez dessus, on reste fasciné par le geste absolu qui fait qu’un détail comme une embrasure de fenêtre ou une planche de barrière est faite d’un seul coup de pinceau sur une toile de lin brute (écrue) qu’on discerne sous la couleur.

    A l’exception de la charrette de foin qui est chargée de peinture ! serait-ce pour donner l’illusion d’un chargement de foin ? non, c’est un travail récupéré, un départ merdique qu’il faut arranger et plus on y touche sans prendre de recul plus on merde l’objet.

    On appelle ça un «repentit ».

    Ainsi moi, aux premiers coups de pinceaux , les vagues venant mourir sur le sable étaient parfaites ….. j’ai cru, pauvre sot, pouvoir faire mieux !!!

    Elles sont là, en jachère depuis 3 jours, attendant que mon courage reprenne le dessus et que je me jette sur elles pour les faire revenir.

    C’est con la peinture !!!!!  mais c’est bon !!!!!

     

     

    L’autre sujet de fâcherie (loi des séries oblige) c’est le fisc, la justice et les organismes sociaux.

     

    Les conséquences de mon procès continuent de se faire sentir.

     

    Chacun veut se sucrer sur mon fric !

     

    Ah comme ils s’y entendent les charognards !!!!

    Ainsi, le juge a émis un jugement me donnant raison au titre de l’article L122.3.8 du code du travail. Article qui établit que le salarié a été victime d’une rupture anticipée du contrat de travail.

    Mais moi, j’avais pas été victime d’une rupture anticipée, j’ai été viré comme un malpropre parce que je refusais de lécher le cul de la DRH !!!!!

    Ces enfoirés m’ont bel et bien viré sans un rond du jour au lendemain.

    Et il a fallu 3 ans pour qu’un juge confirme une rupture anticipée !!!!

    Je dis, moi, que j’ai été victime d’un licenciement abusif et qu’à ce titre, c’est l’article L122.4 qui aurait dû m’accorder des dommages et intérêts non imposables et non sujet à cotisations sociales.

    Mais la justice est de mèche avec le fisc et les organismes sociaux qui ont bien besoin de sucer le contribuable.

    Alors, pour un dédommagement d’une rupture anticipée, on perçoit des salaires (avec 4 années de retard) qui sont imposables (dans l’année où on les touche et non dans l’année où on n’était pas imposable parce que viré sans un rond) et sujets à cotisations sociales.

    Faudra que j’écrive tout ça un jour, c’est trop monstrueux pour rester sous silence !!!!!!

    Eux, juges, dont c’est le métier, eux, avocats qui font ça du matin au soir …… croyez-moi, ils les connaissent les articles et leurs terribles conséquences et ils se foutent pas mal du justiciable et de leur client, ils s’arrangent pour aider leurs petits copains des impôts urssaf assedic etc… à se servir copieusement sur la bête !!!!

    Ah ! au passage, la société condamnée, pour bien me resservir le coup du con-tribuable … me fait un bulletin de salaires avec des taux erronés, des plafonds annuels pour un salaire semestriel …… bref ! tout ce petit monde nous balade, nous brinqueballe et nous devrions dire merci parce que, quand même, ils ont pris le temps de s’occuper de notre cas !!!!!!!!!!

     

    Et puis il y a les assedic, les plus forts de tous !!!!  eux , il faut payer les cotisations sur la totalité des sommes versées mais sans réactualisation en contrepartie ; i.e. vous payez pour aucun service.

    Donc, l’un décide de se faire payer sans rien donner en échange ….. l’autre décide d’imposer sans tenir compte des conditions financières ni des dates ni des motifs ni de quoi que ce soit … et tous, dans une joyeuse ribambelle se servent du mieux qu’ils peuvent !!!!!!!!!!!!!!!!!!

     

    J’ai écrit aux assedic, ils m’ont répondu d’aller voir à tombouctou si j’y trouverais pas du boulot.

    J’ai écrit à l’urssaf, ils m’ont répondu par un avis de payer immédiatement.

    C’est beau l’administration, il faut lui rendre hommage !

     

    J’ai écrit au juge, il me renvoie à mon avocat !

    J’ai écrit au bâtonnier parce que mon avocat n’est pas foutu de me faire obtenir un bulletin de salaires correct …. Le bâtonnier me répond qu’il va demander son point de vue à mon avocat !

     

     

    C’est beau la justice, faut lui rendre hommage ! 

     

     

    Maintenant, je vais écrire au conciliateur du fisc qui me répondra que c’est le cgi le maître tout puissant !

     

    Alors, j’écrirai aux ministres de l’économie, de la justice, et des loisirs et du temps perdu !

    Ils me répondront que je les emmerde ….. et pour une fois, ils auront raison !!!!!

     

     

    tiens !!!!!  dans mes tags, j'avais mis le nom d'une organistion terroriste fort connue et dont on ne sait si le chef est encore vivant .....  eh bien ce tag a disparu à la publication !!!!!

    on ne peut même plus rigoler !!!  c'est triste !!!!! 

  • Qu'attendons-nous pour être nous-même .

     

    Citation :

    "C'est ce qu'un Assouline ne comprendra jamais - ou fera semblant de ne jamais comprendre - en me refusant absolument la qualité d'écrivain, mais si comme lui je me livrais à un agent littéraire je n'aurais plus rien à redire, je deviendrais un jouet du marketing et de l'auto-censure. Moi qui me vante d'être l'homme le plus censuré du Web, d'Ecrits vains à Renaud Camus, en passant par Cormary ou qui vous voudrez ! Je hérisse le poil des semi-idiots car j'ai quelques décennies d'avance sur mon époque, je possède l'avenir à la grande haine des simples mortels qui me cotoient.

    P. Driout

    "

    Et vous ?

    Il vous fait quoi ?

     

    Personnellement, n’ayant jamais accepté les demi-mesures, je préfère me sentir ‘idiot’.

     

    Et, fier de ma qualité officielle, je dis qu’il y en a qui se mordent la queue !

     

    Si, comme Montaigne, je devais attendre les autorisations de l'Eglise ou la Royauté pour écrire et publier, je serais encore sous le boisseau.

    Le boisseau de quoi ?

    Le boisseau de mouise, bien entendu !

     

    En tout cas, nous apprenons, grâce à Pierrot, qu’Assouline a le pouvoir de faire et, nous supposons, défaire les écrivains.

    Mais oui, bien sûr, suis-je idiot !

    il faut bien que quelqu’un ait cette mission, sinon, comment reconnaîtrions-nous un écrivain d’un écrinutile ?

     

    P.D. ajoute :

    « Le refus du système est congénital chez moi comme chez tout penseur original qui se respecte. »

     « Etre né cela seul compte ... être reconnu n'est qu'anecdotique. »

    Cherchant par là à racheter sa futilité en essayant de nous faire croire qu’il n’est pas ce qu’il dit !

    Faites ce que je dis, pas ce que je pense !

     

     

    Bon, on va pas y passer la semaine … d’autant que l’emploi du temps est lesté ….

     

    Conclusion :

    Soyons mondains,

    n’ayons pas peur d’être parisien,

    attendons des autres notre reconnaissance

    comme les toutous attendent la caresse de leur maître.

     

  • Lolotte (3)

    Voilà, les mois ont passés, nous vivons dans une espèce d’harmonie contractuelle morale, nous n’avons jamais rédigé quelque ‘règle du jeu’ que ce soit, tout se passe au jour le jour, à l’improviste et à l’improvisation.

    Oh ! Il m’est bien arrivé d’avoir certains doutes, en particulier au début, lorsque Lolotte cassait assiette sur assiette, verre sur verre, je me demandais si elle ne faisait pas cela pour éviter d’avoir à faire la vaisselle, mais , les jours passant, et les incidents surprenants se succédant, j’ai fini par comprendre que sa maladresse n’était pas feinte. Quand elle ne se cognait pas dans un meuble, c’était pour glisser dans les marches, quand elle ne renversait pas son verre à vin, c’était pour renverser la poivrière dans un plat, ou se laisser tomber la casserole de lait bouillant aux pieds …

    Sans compter ses ‘bons mots’ qu’elle doit récolter dans l’Almanach Vermot et qu’elle transforme au gré de ses humeurs.

     

    Lolotte a des amies dont jamais elle ne me parlait,  jusqu’au jour où je suis resté à l’appartement, terrassé par une vilaine grippe. Lolotte était partie sans s’apercevoir que j’étais resté au lit. Je dormais, essayant de soigner cette foutue grippe qui me faisait délirer et rêver d’illuminations psychédéliques aux murs de la chambre.

    J’étais dans un semi coma, et c’est le bruit grinçant de la porte d’entrée quand on l’ouvre qui m’a alerté, puis les éclats de voix qui m’ont définitivement éveillé. Lolotte avait dû se cogner encore et pestiférer contre un meuble innocent.

    Je me suis levé péniblement, ai enfilé tant bien que mal mon kimono de soie noir avec le dragon polychrome dans le dos, et, après avoir chaussé mes pantoufles avec un petit ours sur le dessus, je me suis traîné jusqu’à la porte fermée du salon. J’allais ouvrir, mais je compris que Lolotte n’était pas seule, les commères s’en donnaient à cœur joie. Des voix que je ne connaissais pas papotaient à tout va dans une touchante allégresse.

     

    -         Ben on peut dire qu’t’es bien installée, Lolotte, te voilà dans tes meubles !

    -         Ouais, tout l’confort, eau chaude et gaz à tous les étages.

    -         Dis ! Ton Yfig, il l’aurait pas une petite place pour moi ? Je lui fais tout gratis si y m’invite.

    L’une d’elle, regardant certainement l’un de mes tableaux au mur :

    -         C’est lui qui peint ça ?

    Je reconnus la voix de Lolotte :

    -         Bon, les filles ! calmos ! d’abord le Yfig c’est un teigneux, vous vous entendriez pas avec lui, même moi qu’est plus grande que lui, m’est arrivé de prendre des gnons quand y renâcle !

    Les filles :

    -         Non !?

    Lolotte :

    -         Ben c’est comme j’ai l’honneur de vous l’dire ! l’est pas toujours dans ses bons jours.

    Derrière ma porte, je me dis qu’elle était folle, je ne l’ai jamais touchée, ou alors, je ne m’en souviens plus, ou alors, elle m’avait vraiment poussé à bout !

    -         T’es pas partageuse, Lolotte !

    -         On va pas l’bouffer ton Yfig !

    -         On veut juste le goûter un peu !

    Lolotte :

    -         Oui, ben avec toi, on sait ce que ça veut dire !

    Elles se marrèrent.

    -         Qu’est-ce que je vous sers, les filles ? C’est Yfig qui régale !

    -         Qu’est-ce qui propose ton Yfig ?

    -         La boisson maison, pastis, ou un calva, y a aussi du Martini, de la suze et du vin de première qualité.

    -         C’est quoi, première qualité ?

    -         Du bon, bien sûr !

    -         Il l’a pas du punch planteur ?

    -         Oui, j’y pensais plus.

    Et voilà la Lolotte qui régale ces dames sur mon compte. Je me permets alors un truc pas trop honnête, mais ma curiosité l’emportant sur ma prudence, je risque un œil par l’entrebâillement de la porte. Je vois que les filles se mettent à l’aise. Elles se débarrassent de leurs souliers télescopiques en les envoyant balader à travers le salon, l’une se sépare de sa moumoute, l’autre n’hésite pas à jeter son sous-tif, grand comme des paniers à champignons, sur la télé, une autre encore épluche ses bas qu’elle jette par dessus le sous-tif.

    Je les observe en vitesse, elles sont trois en sus de Lolotte, une grande noire très maquillée, et deux blondes patine, une petite assez ronde et la dernière, celle qui s’est débarrassée de son sous-tif, possède une paire de seins d’une énormité, d’une profusion, d’une démesure, d’une disproportion outrageusement  surabondante. Ses mamelles n’étant plus retenues par le soutien-nénés, débordent du corsage ouvert laissant apparaître deux gigantesque mamelons noirâtres.

    Vite, je me cache, n’en pouvant mais d’un tel spectacle, la sueur perlant abondamment de mon front et de mes joues, je m’essuie au revers de mon kimono.

    -          Lolotte, ma choute, j’t’assure, j’aimerais vraiment être à ta place.

    -         Peau d’zob, c’est moi qui me l’es trouvé, c’est moi qui me l’garde !

    -         Dis donc, un oiseau rare comme ça, ça dourt pas les rues !

    -         Ouais, des michetons on en voit tous les jours, mais c’est pas du délicat !

    -         Ah ! Les filles, j’vous ai pas raconté c’qui m’est arrivé c’t’aprem ?

    Les filles :

    -         Non !

    -         J’étais Boul’Mich’, mais pas en chasse, j’me rendais à mon cours de dessin …

    -         Tu fais du dessin, maintenant ?

    -         Mais non, je pose pour des artisses

    -         Ah bon !

    -         J’me dis comme ça que le p’tit à moitié chauve avec des yeux chafouins qui m’suis d’puis un moment, y doit avoir des idées de derrière sa fermeture éclair. Voir c’qui l’a dans l’imaginaire, j’me mets à onduler des fesses, méthode cul-ci, cul-çà. J’sens qui l’est à l’accroche, y quitte plus mon poster des zorbites…

    -         Comment tu fais pour t’apercevoir ?

    -         Ca, c’t’un secret !

    -         Allez ! sois pas bêcheuse, raconte.

    -         Ben, c’est tout bête, j’m’arrête devant une vitrine et j’le zyeute dans la glace. Bon ! savait pas comment m’aborder. J’lui donne sa chance, j’lui d’mande du feu. Y m’regarde tout bébête, y m’donne du feu, pis rien n’se passe.J’insiste, j’lui d’mande l’heure, y m’donne l’heure et pis c’est tout ! Alors comme j’vois qui s’décidera pas, j’l’entâme au cutter et j’lui dis : ‘Si jvous d’mande l’heure, c’est pour voir si j’serais pas en r’tard à mon rendez-vous’. ‘Ah !’ qu’y m’répond.

    Celle qui narrait sa petite histoire fait une pause. Elle boit un coup et s’allume une cigarette.

    Les autres :

    -         Alors ?!

    -         Il restait planté là d’vant moi qui savait pas quoi dire.

    -         Merde ! Qu’est-ce t’as fait ?

    -         J’lui dis à trac : ‘Vous avez d’la chance, j’sus en avance, alors si vous voulez qu’on boive un pot chez vous ?!’ - ‘Mais c’est que j’habite pas par ici’ -  ‘C’est pas grave, on peut aller à l’hôtel’ – ‘Mais j’en connais pas’ – ‘Moi, j’en connais plein’ . Il hésite, commence à reluquer ses pieds tout en se balançant de l’un à l’autre. ‘L’temps passe’, j’lui dis, ‘Si tu t’décides pas, va falloir que j’aille à mon rendez-vous !’ - ‘C’est qu’j’ai pas l’habitude, Mademoiselle’ - ‘Appelle-moi Irma, ça ira’ -  ‘Comme vous voulez, Mademoiselle Irma’. Allez hop ! Je fais ni une ni deux, j’le chope au bras et j’l’entraîne vers le plus proche, l’hôtel du ‘Cancre Las’.

    -         Tu lui parles pas du prix ?

    -         Attends !

    -         Ben non, justement, faut jamais attendre, c’est pas professionnel de pas annoncer la couleur !

    -         Ouais, mais j’avais oublié de vous dire qu’il était super bien sapé, le bougre, avec des grolles à au moins deux cents Euros.

    -         Ouais, ben c’est pas une preuve, ça !

    -         Bon ! Vous pouvez pas comprendre. J’continue. Donc, on marche en concert sur l’Boul’Mich’ et je commence à lui annoncer l’règlement ‘T’as les sous pour l’hôtel, au moins ?’ -  ‘Oh ! oui, Mademoiselle Irma, faut pas vous tracasser pour ça.’ -  ‘Pis y a pas qu’l’hôte, faut qu’tu réalises que moi, j’perds un rendez-vous qui m’rapporte de quoi m’nourrir’ -  ‘Oh ! Pour ça non plus, faut pas vous tracasser, Mademoiselle Irma.’ Du coup, comme y me d’mande rien sur mon tarif, j’me dis comme ça qu’y va morfler un max !

    -         Ouais, j’savais bien qu’t’es pas une godiche !

    -         Sauf que ces deux là, elles savent jamais attendre la suite avant d’critiquer.

    -         Bon !, dis, Alors ! T’en as fait quoi d’ton Roméo ?

    -         OK, j’vous passe les détails, l’assemblée s’impatiente. Donc, j’me désape, j’lui fais un p’tit coup de ‘strippetize’, t’aurais vu ses zorbites ! complètement ès-zorbitées ! Je me jette dans le lit en m’déroulant comme une chatte qu’a ses chaleurs …. Et l’v’là qui s’met à chialer comme un môme. ‘Je suis puceau’ qu’y confie entre deux sanglots. Merde, à c’t’âge là !!! ‘Bon ! Ecoute, c’est pas un drame, l’problème, c’est qu’pour un service comme ça, ça va t’coûter l’juste prix !’ Il redouble sa chialerie, et là, j’me dis qu’y va m’demander ça comme un service, comme une B.A., une faveur ou un bienfait, alors, avant qu’il ouvre la bouche, j’lui balance : ‘Ca s’ra cinq cents Euros’. Hop ! ça lui arrête les sanglots comme s’il aurait avalé une arête de poiscaille ! J’en rajoute une couche ‘Cinq cents, c’est pour le travail, le service n’est pas compris !’. Y m’regarde avec ses grands yeux rouges d’un air ‘inter-OK’. Je précise : ‘Le service, c’est au cas ou tu t’déciderais pas, ça servira à rembourser mon déplacement’. En même temps, j’lui mets mes nichons bien en évidence sous l’nez, histoire qu’il ait un avant-goût. Il tend la main, j’lui tape dessus ! ‘Eh là ! Pas touche ! faut d’abord qu’tu passes ta commande et qu’tu paies les arrhes.’

    C’est à ce moment que j’ai bougé mes pieds tout ankylosés par ma position statique, et mes chaussons ont émis un chuintement, en traînant par terre, que ces dames ont aussitôt perçu.

    -         T’as entendu ?

    Lolotte :

    -         Ouais, ça doit être les voisins du d’sus, on les entend comme si y z’étaient dans l’appart.

    -         On aurait bien cru qu’ça v’nait de derrière la porte !

    Un silence opaque s’en suivit pendant lequel je cessais de respirer.

    -         Non, y a rien. Allez, continue ton histoire, Irma, tu l’as débridé, finalement ?

    -         Ca a pas été aussi facile, parce qu’il n’avait pas suffisamment de fraîche sur lui, alors il a fallu descendre, donner des gages au gardien d’l’hôtel, aller à la pompe à fric, revenir, et le remettre en condition, et, surtout, lui faire casquer son fric avant d’passer aux choses sérieuses.

    Irma fit une nouvelle pause pour vider son verre et allumer un autre clop.

    Moi, je n’en pouvais plus, j’avais vraiment envie de retrouver mon plumard et me recoucher, mais je craignais que le moindre mouvement n’éveille la vindicte de ces dames, et du coup, je restais coi dans ma position qui devenait de plus en plus inconfortable, insupportable.

    Ouais, je sais que vous vous en foutez, que ce qui vous intéresse, c’est la fin de l’histoire, seulement voilà, j’en fais partie, moi, de l’histoire, et je ne vois pas de raison pour que je ne vous fasse pas part de mes petites misères, que je ne vous raconte pas dans quelles horribles conditions il m’a fallu tenir pour être en mesure, aujourd’hui, de vous narrer tout ça.

    -         Alors, Irma, on t’attend, on t’écoute, raconte !

    -         Vous y tenez vraiment ?

    -         Ouiiiiii ! Qu’est-ce tu lui as fait ? Comment tu l’as fini ?

    -         Vous z’allez être déçues !

    -         Merde ! Irma, te fais pas prier, raconte et pis c’est tout !

    -         OK, OK ! Bon, j’ai mis le fric en sûreté, et pis j’l’ai attaqué. J’y ai fais la vierge effarouchée qui brûle un cierge au p’tit Jésus, la chevrette qu’a pas peur du grand méchant loup, les trois p’tites cochonnes qui cherchent le p’tit Poucet partout, la sorcière qui croque les pommes, la baguette magique de la fée Carabosse qui transforme le radis en concombre, le grand-huit qui fait des nœuds, la machine à essorer les carottes, les chutes du Niagara en son et lumière, la p’tite marchande d’allumettes qui prend feu, et il a fini par rendre les armes, et ça n’a pas duré plus d’cinq minutes et en fin de compte, je m’es resapé vite-fait, j’l’ai laissé là tout putois et j’ai pas arrivé en retard à mon cours d’art plastique.

    Comme elles s’étaient mises à parler toutes ensembles, à commenter en long en large et en détail le super coup d’Irma et a en rire, j’en ai profité pour opérer une retraite stratégique vers ma chambre.

  • Est-il vraiment raisonnable de se foutre des poètes ?

    Date : 24/11/2006 à 08h32

    On s'en foutait…

    On s'en foutait du temps de la mer et du vent
    On regardait son corps mouillé sous le maillot
    Qu'une vague pliait vers le centre du monde
    On regardait ses seins et souvent vers le blanc

    On regardait son ventre essoufflé par la nage
    Sa bouche nettoyée d'un rouge de pétale
    Ses jambes écartées en espérant toujours
    La boucle libérée au soleil d'abandon

    Ses cheveux torsadées coulaient des gouttes bleues
    Le maquillage aux yeux faisait tache de nuit
    On s'en foutait du port et de la tramontane
    Ses reins faisaient la chute au ras des fesses rondes

    On s'en foutait du temps de la mer et du vent
    Quand une algue arrachée se collait sur ses hanches
    J'allais la décoller de la langue ou des yeux
    Mais le soir arrivait comme un rideau tombé

    J'avais, voleur d'amour, recueilli dans mes doigts
    Une bague oubliée couleur de coquillage
    Ou d'étoile ou de larme, une couleur de ciel
    Un rêve à emporter si loin au fond des draps

    Au bar du bout du quai ses lèvres dans le vert
    Jouaient sur un glaçon , sur un rire de menthe
    On s'en foutait du port et de la tramontane
    J'allais pleurer de lire au bord du lit coulé

    On s'en foutait du temps de la mer et du vent
    On s'en foutait du port et de la tramontane

    Robert Cuffi

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    Date : 24/11/2006 à 13h03

     

    Le privilège d'écrire n'importe quoi se démocratise .... même moi, le bougre mirliton tonton et tontaine peut le faire !!!!!!


    On en bouffrait…

    On en bouffrait des dents de la mer et du sang
    On regarderait les cormorans tomber dans l'eau
    Qu'un rade remplirait de bibines immondes
    On regarderait le zinc et souvent verre de blanc

    On regarderait son bec boursoufflé de rage
    Ses ailes déployées d'un rouge carnaval
    Ses pattes éclatées en espérant l'amour
    La bouche en cul d'poule d'amidon

    Ses rémiges torsadées refouleraient des prurits bleus
    Les coquillages pliés en deux fairaient tâches de pipi
    On en bouffrait du porc et de la tortue
    Ses seins feraient parachute au ras de sa faconde

    On en bouffrait des dents de la mer et du sang
    Quand une araignée se baladerait sur les branches
    On irait la décoller de la langue ou du pieu
    Mais le noir arriverait comme un cadeau plombé

    Je serais violeur à mon tour, écrasant dans mes doigts
    Une blague de très mauvais goût de maquillage
    Ou d'étable ou de ferme, une couleuvre de bielle
    Un hamburger à déguster sur place au fond des bois

    Au bout du quai des orfèvres dans le verre
    Joueraient des glaçons , sur une bite à la menthe
    On en bouffrait du porc et de la tortue
    On irait chialer de rire au bord du lait de cocotier

    On en bouffrait des dents de la mer et du sang
    On en bouffrait du porc et de la tortue

    Yfig

     

     

    Nota bene :

    Ce plagiat rigolard ne m'a pas attiré que des amis ! 

    Mais comment fait-on pour débusquer l'ennemi qui se cache ?