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people

  • La littérature, comme les autres arts, se meurt en France quand elle ne cesse de se développer ailleurs.

     

     

     

     

    Je pourrais écrire des milliers de pages inutiles sur ce sujet (à l’instar des baragouineurs illettrés qui se pavanent sur nos radios et nos télé en se gargarisant de leur propre vacuité – je ne cite personne, la liste de mes ennemis suffit à ma condition de paria !)

     

     

    Le problème de l'édition est simple.

     

    Voltaire, en 1725 écrivait à Monsieur le Processeur du Sarg :

    « On a tant habitué le lecteur à la glaise des mots insipides qu'il ne comprend plus le vocabulaire de sa langue. Il attend de la vulgarité épicée de grossièreté et rejette tout ce qui pourrait l'élever, l'éduquer. »

     

     

    Nous ne vivons pas une autre situation.

     

    Les maisons d'éditions ont tant accoutumé leurs lecteurs à la défécation littéraire des people et autres notables de l'étrange lucarne qu'ils ne comprennent pas que l'on puisse encore utiliser des mots ayant du sens et du goût !

     

    Ce qui compte, de nos jours, c'est l'innocuité du livre et son déballage de vies privées sans intérêt.

     

    Comment croyez vous que des millions d'électeurs aient pu élire un président analphabète ?

     

    La masse, qui est le fond de commerce de la démocratie mal digérée, veut pouvoir se reconnaître dans l'image de celles et ceux qui la représentent.

     

    Lisez les auteurs à succès du moment (quel que soit l'a priori que vous avez et les dégoûts qu'ils vous inspirent) et vous constaterez que j'ai raison.

    Ces livres à la mode sont de petits livres sans la moindre pensée qu’il vaille la peine de la discuter, la commenter, la philosopher.

    Juste de petites histoires qu'on oublie sitôt fini de lire, qui ne laissent pas la moindre trace dans votre cervelle de moinezingue .... rien, nada, nihil !

    Vous retrouvez le livre deux ans plus tard, vous le relisez sans vous rendre compte que vous l'avez déjà lu ..... vous savez, comme ces films et ces séries qu'on vous passe en boucle à la télé !

     

    Car un critère simple et universel de qualité d'une oeuvre, quelle qu'elle soit, c'est l'empreinte qu'elle imprime dans votre mémoire.

     

    Alors, regardez les empreintes qui vous hantent et voyez votre niveau de culture.

    Vous ne pensez qu'à Loana dans sa piscine ..... votre QI est négatif !

    Vous savez des vers d'Eschyle ou d'Homère par coeur .....  votre QI est géant !

    Vous savez reconnaître mes tableaux parmi mille autres ......  là, vous êtes un génie.

     

  • Ablon manque d'ambitions

     

     

     

    Mon programme pour

     

    Ablon demain.

     

     

     

    Je suis fort dépité du programme de l’unique liste de candidature à la mairie d’Ablon.

     

    Si je devais me lancer dans une telle aventure, je n’aurais pas pour objectifs principaux  la fête des vieux et le concours de maisons fleuries, que diantre !

     

    Je voudrais, moi, un Ablon qui soit digne de ses fiers ancêtres qui méritent bien mieux.

     

    Comment a-t-on pu laisser le site de la Nobel sans activité de remplacement ?

    Je voudrais voir s’ériger sur les lieux du drame une nouvelle et dynamique entreprise qui devienne aussitôt le fleuron de la région.

     

    Sur cette base solide et pour accompagner cet essor, je veux voir se dresser les murs de l’Université internationale Française d’Ablon (UIFA) qui accueillera tous les plus grands chercheurs que compte l’hexagone.

     

    Pour nourrir tous ces géniaux cerveaux, il nous faudra bâtir la plus grande bibliothèque internationale Française d’Ablon (PGBIFA) qui contiendra tout ce que l’humanité a créé de littérature et de documents.

     

    Le cerveau ne pouvant vivre sans nourriture terrestre, il nous faudra établir le plus grand complexe hôtelier international Français d’Ablon (PGCHIFA).

     

    Et pour que nos grands chercheurs puissent se détendre, nous créerons la plus grande plage Française d’Ablon (PGPFA).

     

    Et pour que la boucle soit bouclée et que la culture ne soit pas oubliée, nous créerons le plus grand festival international Français de cinéma d’Ablon (PGFIFA).

     

    Voici, mes biens chères concitoyennes et bien chers concitoyens le programme à la hauteur de vos justes ambitions que je veux pour Ablon demain.

     

    Allons z’enfants de la patriiiiiiieeeeeeee …..

  • les anges commencent à douter d'eux mêmes ... où est dieu ?

     

    Les vrais esprits libres ne devraient pas craindre le discours d’Ayaan Hirsi Ali

    jeudi 21 février 2008

    La venue en France d’Ayaan Hirsi Ali a suscité, dans les milieux militants, une onde de choc dont on n’a pas fini de mesurer les conséquences.

     

     

    Le cul entre deux chaises

    Le discours « palinodique »

    Je t’aime moi non plus …..

    Faut-il … ou ne faut-il pas ! ?

     

     

    Une femme ( pas très nette sur le plan honnêteté ) demande la protection de la France contre les islamistes, défendue par BHL dans son combat et rama yade !

    Bon, tout va bien

    Mais

    Défendre quelqu’un qui n’est pas net, c’est prendre le risque de se retrouver dans un vilain piège raciste et islamophobe !!!!

    Merdre et cournegidouille de bouc-bique !!!!

    Ça devient compliqué, la France …. Avec tous ces islamistes qu’il faut sauver d’eux-mêmes !!!!!

  • Qu'attendons-nous pour être nous-même .

     

    Citation :

    "C'est ce qu'un Assouline ne comprendra jamais - ou fera semblant de ne jamais comprendre - en me refusant absolument la qualité d'écrivain, mais si comme lui je me livrais à un agent littéraire je n'aurais plus rien à redire, je deviendrais un jouet du marketing et de l'auto-censure. Moi qui me vante d'être l'homme le plus censuré du Web, d'Ecrits vains à Renaud Camus, en passant par Cormary ou qui vous voudrez ! Je hérisse le poil des semi-idiots car j'ai quelques décennies d'avance sur mon époque, je possède l'avenir à la grande haine des simples mortels qui me cotoient.

    P. Driout

    "

    Et vous ?

    Il vous fait quoi ?

     

    Personnellement, n’ayant jamais accepté les demi-mesures, je préfère me sentir ‘idiot’.

     

    Et, fier de ma qualité officielle, je dis qu’il y en a qui se mordent la queue !

     

    Si, comme Montaigne, je devais attendre les autorisations de l'Eglise ou la Royauté pour écrire et publier, je serais encore sous le boisseau.

    Le boisseau de quoi ?

    Le boisseau de mouise, bien entendu !

     

    En tout cas, nous apprenons, grâce à Pierrot, qu’Assouline a le pouvoir de faire et, nous supposons, défaire les écrivains.

    Mais oui, bien sûr, suis-je idiot !

    il faut bien que quelqu’un ait cette mission, sinon, comment reconnaîtrions-nous un écrivain d’un écrinutile ?

     

    P.D. ajoute :

    « Le refus du système est congénital chez moi comme chez tout penseur original qui se respecte. »

     « Etre né cela seul compte ... être reconnu n'est qu'anecdotique. »

    Cherchant par là à racheter sa futilité en essayant de nous faire croire qu’il n’est pas ce qu’il dit !

    Faites ce que je dis, pas ce que je pense !

     

     

    Bon, on va pas y passer la semaine … d’autant que l’emploi du temps est lesté ….

     

    Conclusion :

    Soyons mondains,

    n’ayons pas peur d’être parisien,

    attendons des autres notre reconnaissance

    comme les toutous attendent la caresse de leur maître.