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pauvre France - Page 24

  • On n’est pas couché, on est allongé, effaré et pétrifié ! Quand Polony écrase le pif de Bedos père (qui ressemble à son fils), et qu’elle crêpe le chignon de Caron, on a peur pour elle !!!

     

    Pas pu voir le top ten, ma voisine dont la télé est en panne suite à une fuite urinaire dans sa salle de bain a squatté mon poste pour regarder the voice pendant que je faisais des frites au chocolat.

    J’arrive donc directement dans le débat (des bas) avec Valls, l’homme qui a appris la langue de bois en une semaine. Superbe polyglotte, ce ministre ! Vous lui posez une question …. Il a la réponse.

    Ça donne quelque chose comme ça :

    PoloCaron ( ?) : L’affaire Cahuzac, vous croyez vraiment qu’une déclaration de patrimoine rassurera les français ?

    Valls : Je sais que les français attendent de notre gouvernement l’exemplarité morale que les français ont bien mérité vu qu’ils ont élu François Hollande comme président et que ça peut toujours servir de savoir à qui on a à faire.

    PoloCaron ( ?) : L’insécurité n’a jamais été aussi grande dans nos banlieues, les français vivent dans la peur et l’incertitude, certains n’osent plus sortir de chez eux … ;  que comptez-vous faire ?

    Valls : Je sais que les français attendent, à juste titre, que le gouvernement leur apporte la sécurité qu’ils ont bien mérité puisqu’ils ont voté pour F. Hollande très massivement et en ma qualité de membre du gouvernement, je suis fier de l’action présidentielle.

    PoloCaron ( ?) : L’économie de la France est dans le dernier sous-sol, les français pointent massivement à pôle emploi et se demandent quand seront enfin réalisées les promesses de campagne de F. Hollande qui ne se préoccupe que d’une seule : le mariage joyeux … euh ! non, gai ?

    Valls : Je sais que les français attendent du gouvernement que leur vie soit plus rose et le temps meilleur c’est pour cela que j’ai convoqué le président de météo France pour qu’il change le temps et apporte aux français le soleil qu’ils ont bien mérité vu qu’ils ont voté pour pépère ….  Euh ! Oups ! pardon, je veux dire F. Hollande afin que le soleil brille ! hello ! Et je voudrais affirmer véhémentement ici, devant vous et les milliards de téléspectateurs endormis devant leur télé que les homosexuels sont des hommes comme les autres et qu’à ce titre, ils ont parfaitement le droit de passer devant monsieur le maire pour se jurer fidélité jusqu’au divorce.

    PoloCaron ( ?) : Les français ont le sentiment que les femmes et hommes politiques sont de connivence, qu’ils soient de droite ou de gauche ils se mélangent allégrement et la femme de l’un est l’avocate de l’autre quand le PDG de l’autre est le ministre des sous perdus qu’on n’a jamais retrouvé vu qu’ils sont dans la poche de sa belle-sœur qui est la belle-mère du beau-frère du ministre des étranges affaires qui, lui-même est le mari …. Ouais …. Vous m’avez compris, on a vraiment l’impression qu’ils vivent en bande !

    Valls : (se met dans une colère folle, il menace Polony de l’index et Caron de l’anus-laire) Je vais vous briser, vous devez rester respectueux envers notre famille qui gouverne alternativement la France avec une dévotion irréprochable …  sauf quelques affaires déplorables et d’ailleurs, nous avons exclu les coupables.

    Laurent : Oui, ce que vous reprochez surtout à Cahuzac c’est d’avoir avoué parce qu’en fait vous étiez tous au courant de son compte en Suisse !

    Valls : monsieur Ruquier, je vais vous casser et je vous le dis comme je le pense, les yeux dans les yeux, nose to nose, la main dans la culotte d’un zouave, le pied à l’étrier et les fesses au chaud dans ce fauteuil de mauvais goût ….  Nous ne savions rien !

    Bedos : c’est encore pire !

    Valls : Oh vous, le comique troupier, mêlez-vous de vos blagues racistes et laissez-nous gouverner en paix !

    Tout le monde rigole et Laurent passe aux dessins humoristiques avec son art consumé voir cramé de la transition à propos !

    Moi, je vais me coucher  ….  Je passe aux toilettes puis dans la salle de bain en mémoire de Ponce Pilate …. Merde ! j’ai oublié de fermer la télé ! Ah ! Mais j’ai drôlement bien fait, y’a Polony qui se paie Devos …. Euh, non, pardon, Bedos (celui qui ressemble à son fils) !

    J’en suis resté le cul entre deux chaises …. Elle te l’a morigéné en toute beauté, lui assénant ses vérités avec un aplomb que nous ne lui connaissions point, le traitant de ringard, d’has been, de vieux croûton réac et raciste, de débris du PAF, de rabat-joie (il l’a mal pris), de brise menu, de bachibouzouk ….  Bref ! tout y est passé et l’autre a fini par s’enfoncer dans son fauteuil jusqu’à disparaître ….  J’ai fermé mon poste devant ce spectacle d’une désolation insupportable, ce naufrage plus morbide que celui de l’amococatrix !

    La télé est une arme ai-je pensé en moi-même dans ma tête avant de rendre mon âme à Morphée (encore un gai !)

  • Il y a urgence, une grande urgence, une TRES GRANDE URGENCE ... à faire voter le mariage gai !

     

     

    Bah ! forcément, quand tout part en couilles, quand le parti s'effrite, quand les mesures de transparence ne dévoilent rien des petits et des grands arrangements, quand l’autorité de pépère est gravement altérée, quand le peuple s’énerve et que les sondages touchent le fond …..  il y a urgence parce que ce gouvernement roule et tangue comme un pédalo ivre ….  Alors, vite, vite, fissa, y’a t’la il faut faire plaisir à Berger et ses copines (de ch’val dans les lasagnes), il faut marier les gais.

    Quelles conneries, tout ça pour finir dans un divorce ! (entre les français et la politique).

  • Le Sénat vote le mariage pour tous ! ma concierge s'en bat les couilles ! et moi itou !

     

    LE     TRACTOSAURE

     

    J’le connais depuis qu’on habite ici, donc, ça doit bien faire vingt cinq ans.

    Le père Cauchois, dit le grincheux, est une figure dans notre microcosme.

    Y ‘en a même qui le connaissent au delà des frontières du village et on m’a rapporté qu’on en parle jusqu’à Cormeilles.

    Paysan de son état, il baguenaude sur son tracteur orange dont la marque a été lessivée par les intempéries et le temps, orange, qui a dû être rouge par le passé.

    L’hiver il porte une espèce de blouson d’aviateur de la RAF qu’il a récupéré on ne sait d’où, avec un col fourrure et des lambeaux de cuir de ci de là sur le poitrail et dans le dos qu’on ne peut entrapercevoir que lorsqu’il descend de son engin, ce qui est rarissime. Ouais, on dirait qu’il a le cul collé au siège de son tracteur, à moins qu’il ne soit le fruit d’un croisement improbable entre une paysanne et un tracteur, un peu comme un centaure qu’on appellerait alors un « tractosaure ».

    Il a toujours un bout de clop à son bec édenté, où quelques chicots noirâtres ne laissent aucun doute sur son indifférence à l’hygiène dentaire. D’ailleurs, quand on s’en approche trop, les fragrances de mouise, à moins qu’il ne s’agisse de bouse, vous font reculer illico de trois pas au moins et même en plein vent.

    Il a une grosse bouille rouge mal rasée. Il doit utiliser un rasoir à main centenaire pour être toujours aussi mal rasé sans pour autant être barbu.

    Il roule ses cigarettes et n’utilise que du tabac gris, m’a-t-il confié un jour où il avait réussi à me coincer au bout du chemin, et on eut dit qu’il me faisait là, la confidence du siècle !

    Dés les premiers beaux jours, le Grincheux revêt son éternel marcel. Je n’ai pas pu lui arracher les vers du nez (l’image est forte quand on voit dans les trous de son nez !), a-t-il un unique marcel, en a-t-il plusieurs ? Et sa femme lave-t-elle ses marcels ? Bah ! avec lui, ce n’est pas vraiment une question métaphysique, non, juste une toute petite curiosité logistique.

    Sa femme, c’est la fermière, une petite femme noueuse et claudicante.

    Elle était vieille quand nous sommes venus nous installer ici, et aujourd’hui, elle n’a pas vieilli. C’est à elle qu’on s’adresse pour acheter des œufs ou du lait. Elle entretient quelques vaches dont elle vend le lait et les veaux. Enfin, je n’ai pas tout compris, je n’aurais pas pu être fermier.

    Le Grincheux, lui, s’occupe des cultures et des pommiers. Son cidre entièrement fait à la main est recherché dans toute la Normandie. Il le vend cher, mais il y met tant de cœur et d’ouvrage. Le cidre, c’est à la fin de l’automne, juste avant l’hiver et c’est tout un rituel car on ne presse pas n’importe quel jour. Il faut la conjonction de la lune et du vent. Ne m’en demandez pas plus, c’est tout ce que j’en ai retenu.

    Il y a de ça une dizaine d’années, le Grincheux  m’a fait demander par l’entremise de sa fermière de femme si je voulais voir comment il fait le cidre. Bien entendu j’ai répondu par l’affirmative avec une certaine excitation.

    Le jour venu, calculé selon des critères quasi mystiques et impliquant la lune et le vent, je fus convié à la fabrication de la précieuse boisson.

    J’arrivai à la ferme et le Grincheux m’attendait. Il me conduisit jusqu’au grand pressoir de la cour, celui dont on aperçoit le toit de chaume depuis notre jardin.

    Une grande charrette pleine de brassées reposait devant la porte du pressoir.

     Le Grincheux y prit deux brassées et encouragé par l’exemple, j’en fis de même. Après tout, être ainsi convié à l’élaboration d’un produit magique du terroir valait bien que je m’investisse un peu.

    L’intérieur du pressoir était dans une obscure pénombre et il me fallut quelques secondes avant que mes yeux ne s’habituent à cette obscurité. Mais déjà le Grincheux me bousculait au passage en m’enjoignant de déposer les deux brassées au pied du pressoir en granit, à côté des siennes et de le suivre aller en chercher d’autres à la charrette.

    Un trop rapide coup d’oeil au pressoir ne me permit pas d’en concevoir tous les détails, mais je vis comme dans un conte de fées qu’un petit cheval était attelé au bras du gros rouleau de granit.

    Nous déchargeâmes la charrette et j’étais en nage en ramenant les dernières brassées. Le Grincheux m’avait laissé finir seul dès la moitié déchargée et avait commencé à vider les pommes dans la rigole du pressoir, tout autour.

    Je ne sentais plus mes mains ni mes reins et j’avais maintenant presque froid dans la nuit à peine éclairée du soleil passant par la porte.

    Je fis un rapide écart au passage du cheval dont le bât aurait pu m’heurter. Il était aveuglé par des oeillères et ne pouvait me voir. C’était un petit cheval brun, mais on sentait sa puissance et il tournait sans effort autour du pressoir.

    J’avais enfin le temps d’admirer l’ensemble.

    C’était vraiment magnifique, le mariage du chêne et du granit est somptueux, majestueux.

    Un long bras de chêne entraîne un engrenage en chêne qui fait tourner la grande roue de granit dans la rigole du socle, de granit aussi, emplie de pommes.

    Une goulotte taillée dans le granit de la rigole et munie d’un grillage laisse couler le jus de pomme dans une grande bassine de chêne que le Grincheux me demanda de l’aider à verser dans un fût de chêne le long du mur en montant sur une espèce d’estrade mobile qui permet d’arriver juste à hauteur du haut du fût..

    Au fur et à mesure du brassage, le Grincheux à l’aide d’une pelle de forme spéciale et aux dimensions exactes de la rigole, retira les résidus de pulpe de pommes et les mit dans une grande cuve de chêne.

    Il me regarda et me lança : « ça, c’est pour faire la piquette. » Et son explication me laissa encore plus interrogatif.

    L’odeur sure de pomme écrasée, celle de ma propre sueur et celle du bonhomme et de son cheval emplissait à présent le pressoir et en regardant vers la petite porte ensoleillée, j’aperçus un nuage de vapeurs embaumées en sortir. J’eus l’impression d’être remonté dans le temps et de revivre comme un paysan du moyen-âge.

    Je n’ai pas vu les heures passées, et si ce n’était mes mains cloquées, mes épaules écartelées et mes reins laminés, je ne me serais pas soudain rendu compte que la nuit était tombée.

    Le Grincheux me lança :

    « Bon laisse,, je vais finir tout seul, ça ira pour aujourd’hui. Si tu veux, tu reviens demain, j’ai encore une charrette. »

    J’ai serré la grosse main qu’il me tendait sans lui montrer qu’il me faisait un mal de chien.

    Je suis rentré à la maison, j’ai pris une douche et me suis précipité sous les draps.

    Je me suis levé pendant la nuit pour aller manger un morceau, puis me suis rendormi très fort.

    Non, je ne pouvais pas y retourner le lendemain, j’étais brisé et hors d’usage.

    J’ai mis une semaine à m’en remettre.

    Ma femme est allée acheter quelques œufs et elle est revenue avec un drôle d’air ironique. Elle n’avait pas que des œufs, elle avait aussi un panier que je ne lui connaissais pas.

    « Mon pauvre Yfig, il t’a bien roulé le Grincheux. »

    « Roulé, pourquoi ? »

    « C’est sa femme qui m’a tout raconté parce qu’elle a un peu honte. »

    « Mais honte de quoi ? »

    « Le Grincheux, tu lui as fait économiser deux journées de journaliers qu’il aurait été obligé de payer si tu ne  l’avais pas aidé. Tiens, sa femme m’a donné cinq bouteilles de cidre pour se faire pardonner.»

     

    C’est super, j’ai eu une merveilleuse journée et en plus on me récompense. Et je n’ai pu m’empêcher de penser à Maupassant et à toutes ces histoires de paysannerie et de roublardises.

     

    A quelques temps de là, je croisai au bout du chemin de Crémanville le Sieur Grincheux chevauchant son inséparable et vaillant tracteur.

    Sans prendre la peine de couper le moteur ce qui nous obligea à élever de la voix, le Grincheux entreprit de me convaincre de ses propres convictions politiques qu’il a fort à droite toute !

    J’évitai tant que faire se peut, mais sans pour autant me compromettre, d’entrer dans une inutile polémique qui nous eut conduit à un inévitable conflit de voisinage. Je le laissai donc me débiter ses tonnes de lisier sans vraiment tout entendre à cause du moteur. Mais pour ne pas trop le laisser se douter de mon ennui, je tentais régulièrement des :

    « Bon ! c’est pas tout ça, mais … »

    Mais … il reprenait de plus belle son monologue et on eut dit qu’il prenait un malin plaisir à me tenir là, debout près de lui à me faire chier. A la fin, il eut raison de moi et je ne protestais même plus, je restais coi, la tête basse à subir mon injuste châtiment.

     

    Sans que rien ne le laisse présager, il stoppa soudainement le flot de ses mots. Sans me regarder, il dit :

    « Faut que je fasse le plein.»

    Je me demandai bien ce que le bonhomme s’apprêtait à faire, et je le vis sortir d’une espèce de coffre qu’il avait sur le côté de son tracteur une bouteille en plastique transparent  d’eau minérale à l’étiquette illisible tant elle était usée.

    Et je vis le bonhomme verser le contenu de la dite bouteille dans le réservoir de son tracteur. Le roué fit semblant de ne pas se rendre compte de ma stupéfaction et remonta dare-dare sur son noble destrier. Il avait déjà enclenché la première et appuyé sur le champignon …. Non, je ne pouvais pas le laisser partir comme ça  …. Sans savoir …. Il m’aurait fallu des siècles de remords pour m’auto absoudre d’une pareille bévue !

    Je lui chopais le bas de son pantalon et le secouais avec véhémence.

    « Qu’est-ce qu’y’a ? »

    Et je hurlai :

    « Vous avez mis de l’eau dans votre réservoir ! ? » moitié interrogatif, moitié admiratif.

    « Non, c’est du calva »

    et il partit  en trombe.

     

    J’étais sur le bord du chemin comme une andouille sur le bord de l’apoplexie.

    Ma perplexité n’avait d’égale que mon immobilité ; je sentais les racines pousser à mes souliers et la ramure sur mon crâne.

     

     

  • La grande lessive ! (ça pourrait faire un bon titre de film !)

    Cahuzac est un traître.

    Si j'étais président, je rétablirais la peine de mort et je ferais asseoir Cahuzac sur un fourneau histoire de lui réchauffer le cul dans lequel je lui planterais des fourchettes tout en lui arrachant la langue et en lui crevant les yeux. Ensuite, je lui couperais les jambes et les bras avant de lui couper la tête !

    Gnia !

    Mais atttention, il faut aussi prendre des mesures pour attraper tous les Cahuzac qui se baladent sans être inquiétés.

    Pour cela, je préconise que tout un chacun soit obligé de déclarer tout ce qu'il cache.

    Déclarer ses mauvaises pensées, ses fantasmes illégitimes, ses caprices et autres idées infâmes.

    Reprenons la bible et les 7 péchés et appliquons la charia (oeil pour oeil).

    Que celui qui a tué soit exécuté, que celui qui a violé le soit à son tour, que celui qui a bouffé toute la confiture soit confituré et tutti quanti !

     

     

    A peine les mesures avancées par Hollande publiées qu'il va devoir les retirer ....  il en va de la survie de la République .... on ne peut tout de même pas virer les mafieux des prisons pour y faire entrer les politiques !!!!!

     


     

  • Et maintenant ……. Que vont-ils faire ….. de cet argent qui repose en Suisse au Liechtenstein ou au Boukistan ????? L’avenir s’assombrit ….. les sycophantes sortent du bois et les révélations vont aller bon train ….. jusqu’où ?

     

     

     

    Rendez-vous aux prochaines élections ….

    Si le referendum alsacien sert de référence, on devine ce qui attend les candidats ….

    La question est : iront-ils jusqu’à déclarer élus des candidats ayant reçu 5 voix ? (femme, enfants et amant)


    Parce que la chasse ( dans les intentions ) aux tricheurs, menteurs, prévaricateurs et autres corrompus ne mettra pas fin à la dictature des ploutocrates  qui tiennent les élus par l’écu.

    Il me vient des étourdissements proches de la syncope à essayer d’imaginer la tâche que représente le grand lessivage du monde politique. Parce que le mal est profond, abyssal ! Tous les niveaux de l’État sont atteints et les métastases ont fini par pourrir l’ensemble du corps social et même l’encéphale et ses productions idéologiques.  Le citoyen semblait hypnotisé par l’argent et les riches qui paradaient devant les caméras en déclarant leur dégout des impôts et du budget de l’État ! Du coup (de Cahuzac derrière les étiquettes), même Gégé deux par deux passe pour une ordure !

    Tout ce petit monde de magouilleurs est arrosé par les tripes explosées, éparpillées de Cahuzac.

    Et chaque fois qu’une ou un de ces oligarques ouvre la bouche pour défendre l’institution, les électeurs citoyen(ne)s se bouchent les narines pour se prémunir des relents fétides qui s’échappent des becs de ces mandarins pollués.

    Quant à mettre en œuvre les vieux pneus qu’Hollande annonce à grands coups de médias, il y a un canyon de la coupe à la lèvre car toute notre société est organisée sur les bases de la pourriture sous-terraine et il y a belles mirettes que ces margouillis ont pris leurs précautions pour échapper à toute action pouvant les contrarier. Tomberont quelques lampistes naïves et naïfs croyant que leur ingénuité les prémuni de la foudre.

     

    Franchement, Cahuzac vient de nous rendre un très grand service et avec Sarkozy il entre au Panthéon de ma reconnaissance envers les salauds qui font du bien à la France à l’insu de leur plein gré.

    Les français sont tellement angéliques qu’il leur faut recevoir des coups à la hauteur de leur aveuglement pour qu’ils se réveillent un peu. Merde, eux qui aiment tant « fare niente » !!!

     

    Allez, tout se termine toujours par des poèmes ou des déclarations symboliques …. Alors ….




  • Show must go on … et le spectacle continue …. Ou, quand Hollande fait du Sarkozy devant un parterre de jolies femmes à poil !

     

     

     

    Mercredi 10 avril 2013

    Entre les mots et les actes, la mesure officielle s’appelle : « le doigt mouillé ».

    Notre bon président (poils dedans), avec effets de manche (en attendant la cognée) et gros yeux qui roulent dans l’orbite, nous annonce ses mesures intraitables et implacables.

    1 – Création d’une Haute Autorité indépendante et appliquant des sanctions.

    Aïe ! C’est quoi ce machin ? encore une niche pour quelque copine ou copain de la promo Voltaire ? Un cagibi destiné à héberger Ségolère ? Euh ! … Ségolène, pardon pour le hoquet. Non, il ne va tout de même pas y planquer son fiston Thomas ! ?

    Une HA ‘indépendante’ !  Ben oui, puisque c’est une haute autorité. C’est un peu comme le ministre du budget, un truc qui contrôle les autres et s’autorise à bafouer les lois.

    Pourquoi créer encore des trucs, des machins, des bidules quand il suffirait d’appliquer les lois existantes ?

    Bon ! Attendons de voir …..  comme d’habitude …. Et d’être déçu …. Comme d’habitude !!!

     

    2 – Contre la grande délinquance financière, création d’un parquet financier ayant une compétence nationale chargé de traquer la corruption et les fraudes fiscales.

    Aïe ! C’est quoi ce machin ? encore une niche pour quelque copine ou copain de la promo Voltaire ? Un cagibi destiné à héberger Valérie ou Robert son amant ?

    Alors, si je comprends bien, jusqu’à présent, personne ne se préoccupait de la grande délinquance financière !!!!! ??????

    Merde, il était temps de s’en préoccuper !

    Et puis si ils décident de sanctions et que la Haute Autorité aussi, on va assister à des collisions !

    Et rien que cette fanfaronnade en dit long sur l’efficacité du bidule …..  à terme !

     

    3 – création d’un Office central de lutte contre la corruption chargé de veiller à la bonne coordination et l’efficacité des moyens et des résultats des 2 premières.

    Aïe ! C’est quoi ce machin ? encore une niche pour quelque copine ou copain de la promo Voltaire ? Un cagibi destiné à héberger Ségolène ou Thomas le fiston ? Il finira bien par les placer tous ses chouchous.

    J’avais raison,  va falloir contrôler les ceusses qui seront chargés de contrôler … on n’a pas fini de contrôler …..  de rigoler ….  et de s’indigner.

     

    4 – Les sanctions seront renforcées et les condamnés seront en outre condamnés à l’inéligibilité.

    Ben ….. ça existe déjà, c’est juste pas mis en application :  Chirac, Balkany, les Tiberi, Guérini …. Et tous les autres ….

     

    5 – Les paradis fiscaux vont être éradiqués.

    Ben ….. c’est déjà fait …..  c’est Sarkozy qui l’a dit !!!!!

    Les banques devront déclarer leurs filiales à l’étranger …..  vœu pieux ? ou vieux pieu ? !

    Tiens, je leur donne un truc (mais faudra pas y revenir). La Société Générale au Sénégal est une entité morale indépendante de la SG France ….. et les filiales de la SG Dakar ne sont pas les filiales de la française mais pourtant les actionnaires de la sénégalaise sont les mêmes que ceux de la française ….  Et ça c’est juste simple, je ne rentre pas dans les autres dédales …  sans compter les bidouilles qui verront rapidement le jour pour délocaliser le tout.

     

    6 – Devront être déclarés le patrimoine des français à l’étranger et celui des étrangers en France.

    Ben ….. ça existe déjà, c’est juste pas mis en application, comme d’hab.

     

    7 – L’indépendance de la justice et de la presse sera renforcée.

    Attention de ne pas aller trop loin, on se souvient des abus de justice quand on leur laisse la bride sur le cou et des abus de la presse (en Angleterre récemment).

     

    Voilà !

    Avec tout ça, on patine dans la semoule ou dans la choucroute, comme vous voulez. On noie les poiscailles et les journaleux de se précipiter comme un seul homme sur les propos de notre très cher président (qui coûte la peau des couilles) pour en faire des saucisses de Brest et des cancoillottes de Mayotte.

    Ne rêvons pas, les menteurs mentiront encore et toujours …. et les anges, le cul dans les nuages, continueront de baiser des vierges.





  • Puisqu’il semble que la mode soit au grand déballage, voici ma déclaration de patrimoine. On peut parler, je crois, de « coming out » !!!!

     

     

    Après tout, je ne suis pas le seul à déballer sans que rien ne m’y oblige. Mon-tebourge, Najat à Vau l’eau belle qu’à sème, Filons en loucedé, Rachi Dada Ti, Cocopé, David Crockett, les bronzés au ski lanka, Jérôme La Main dans l’Zac et les septs nains l’ont fait avant moi !

    D’un autre côté, je suis tout à fait conscient de l’inutilité totale de mon geste, mais j’aime me conformer aux us et costumes de mon beau pays …..  presque parfait !

    À ce propos, mon dîner est bientôt prêt.

    Revenons à nos croûtons et rogatons.

    Par où commencer ?

    C’est vrai, quoi, pour eux (les pourris)  c’est simple, on leur remet un questionnaire et ils n’ont plus qu’à remplir les cases …  mais moi, je n’ai jamais été parlementaire ou sénateur et encore moins sinistre ministre …. Et tout à fait entre nous, ça ne risque pas de m’arriver vu que je suis fils d’ouvrier et que dans ces cercles particulièrement fermés hermétiquement on n’accepte que le beau linge …. Qui ne pète pas dans la soie n’a pas sa place parmi eux.

    Merde ! (C'est le cas de le dire ...)  Où en étais-je ???

    Ah ! Oui !

    Par où commencer ?

    Dites, si je vous emmerde, dites-le moi, les commentaires c’est pas fait pour les klébars … saviez-vous que ‘klébar’ ça vient de l’arabe ‘kleb’ qui veut dire ‘chien’ ?

    À ne pas confondre avec ‘kelb’  qui signifie ‘cœur’ !

    Bon, rien ne sert de courir autour du pot, quand faut y’aller y’a pas toujours Eugène pour faire plaisir ….

    Donc … mon patrimoine est constitué de ….

    Oh et puis zut ! j’ai rien, je suis fauché et misérable … est-ce une raison suffisante pour que je ne participe pas à ce gouvernement de handicapés du bulbe ?

  • La télé rend-t-elle fou ? de Frédéric Taddéi à Laurent Ruquier quelle cohésion ? Ne soyons pa étonnés si la France pase aux mains des boukistanais !

     

    J’ai commis l’impardonnable erreur de regarder l’émission de Taddéi le vendredi soir.

    Quelle latrine dégoulinante de lieux communs et de partis-pris insanes.

    Aucun équilibre dans les propos tous plus exacerbés les uns que les autres. Ce n’est pas une émission, c’est un cloaque !

    Passons …..  en dire plus serait donner raison à ses invités déjantés.

     

    Ah ! Ruquier hier soir …. C’est fou comme un seul intervenant peut donner du corps à cette émission édulcorée !

    Arthur Martin, le chantre de l’équipement ménager a donné une belle leçon de charisme à tous ces gougnafiers qui se prennent pour des aigles (fins) de la télé de divertissements qui ne divertissent personne !

    Ah non, pardon, après vérification ce n’est pas Arthur son prénom, mais Edouard (comme Leclerc).

    Bah ! il pourrait bien se prénommer Yfig, ça ne changerait rien aux scintillements de sincérité et de forces (ouvrières) qu’il a insufflé à ce somnifère habituel.

    Nom dé diou ! Je ne me suis pas endormi sur mon canapé, au contraire, j’ai même écouté un peu Nicoletta ….. franchement, pour me faire un tel effet il en faut !!!

    Martin connaît bien son dossier. Normal me direz-vous, il baigne dedans.

    Quand même, quand il a évoqué Sarkozy on a retrouvé l’émotion primaire qui a conduit le peuple de France à le renvoyer dans ses pénates.

    Le pauvre, il veut encore croire en Hollande …..  malgré tout ce qui se passe en ce moment, les yeux dans les yeux (et la poutre dans l’œil des français)  !

    Ça  prouve seulement qu’il a un réel fond de naïveté puérile qui l’amène aussi à penser que Montebourg se soucie de quelqu’un d’autre que de son image médiatique personnelle.

    N’empêche, il garde un enthousiasme si communicatif que Laurent Ruquier s’est laissé emporter à stigmatiser les journalistes politiques pour leurs connivences extatiques avec les politiciens indignes qu’ils couvent comme la poule ses œufs. Il est même allé, Ô surprise incroyable, jusqu’à citer nommément DSK et Cahuzac comme si ces deux là avaient quelque chose à voir l’un dans l’autre.

    Mais si les journalistes politiques se mettent à leur tour à douter et enquêter sur leur fonds de commerce, la France ne s’en remettra pas.

    Dernière minute : le parquet envisage de lancer une enquête sur les circonstances dramatiques de la mort du chameau d'Hollande.Le Sénat ne se prononce pas.

     


  • Toc toc toc …… c’est #Ruquier et ses invités plus ou moins désirés. #onpc ... On n’est donc pas couchés !

     

     

    Quand la politique se perd dans les limbes de la fatuité du show bizz de la variété drolatique, cela donne une émission aux impressions de déjà vu pour ne pas dire, Ô euphémisme douçâtre, de rabâché !

    C’est à qui sera le plus clown.

    Donc, nous voilà face à face à l’écran qui débite ses images et ses sons.

    Le to flop ….. un vrai flop.

    Et voici Henri Guaino qui s’assied dans le petit fauteuil qui en a vu d’autres (des culs).

    Et là ! Vlan, c’est l’hallali !  Taïaut sur le bourrin, tous contre un et une belle unicité de pensée contre le malvenu.

    Bon, à la décharge des assaillants, il faut reconnaître que la rhétorique du sieur Guaino laisse fort à désirer.

    En effet, celui-ci réclame le droit de juger le juge en tant qu’homme et non en tant que juge représentant la Justice (injuste par destination).  Ce à quoi les autres rétorquent à juste titre que si cette philosophie s’applique au juge il faut qu’elle puisse aussi s’appliquer au quidam nommé Sarko alors que Riton associe Nicolas à l’État et réclame à ce titre l’impunité de l’ancien président (poils aux flancs).

    On se retrouve en pleine casuistique, le dilemme tourne au sophisme jésuitique et hypocrite (pardon François, mais je ne suis qu’un humble observateur).

    Et le débat de tourner en rond, de se mordre la queue, de s’effilocher comme une vieille brebis après l’assaut du bouc.

    C’est à cet instant exactement que Riri Bohringer se lance dans une palabre verbeuse et parfaitement démagogo sur le manichéisme populo qui voudrait que tous les riches soient méchants et tous les pauvres gentils.

    Moi, je peux vous dire qu’il n’en n’est rien ! Je connais des pauvres très méchants.

    Sur les riches je ne me prononcerai pas ……  je n’en côtoie point.

    Riton Guaino se casse et l’ambiance change instantanément du tout au tout. Les couteaux sont rentrés dans leurs étuis et les sourires renaissent sur les visages précédemment crispés.

    Une bonne pub pour le film du siècle qui réunit une actrice merveilleuse et un merveilleux acteur dans une comédie prolixe et prosélyte dont le thème est la profondeur infinie du néant.

    Les éloges fumeuses  pleuvent plus dru que la pluie sur les toits d’Afrique à la saison éponyme.

    Ah ! Qu’ils sont divins, qu’ils sont beaux et infiniment admirables ……  et cot cot cot !!!

    AH ! Les filles et fils à papa ….. quels enfants gâteux intimement persuadés d’être les dépositaires d’un talent personnel alors qu’ils ne doivent d’être mis en avant que sur le nom de leurs parents qui eux-mêmes furent de gentils gosses de leurs papas mamans !

     

    C’est au tour de Riri et de sa fifille de poser leurs postérieurs dans les petits canapés étroits comme l’esprit des VIP qui les occupent.

    Derechef le chœur des belles louanges idylliques se fait caressant. Qu’ils sont beaux, divins et admirables et  …….  Cot cot cot …. !!!

    Le père et la fille ….  Dites, la fille, elle ne serait pas un brin anorexique ? Vous avez-vu ce faciès émincé, ses traits tirés et fatigués …. Elle fait la grève de la faim ou quoi ? Remarquez, le père n’est pas beaucoup mieux ! Ils doivent suivre un régime maigre.

    Voilà ! c’est tout, il est temps d’aller se coucher …. Avec cette impression de déjà vu ….. doux euphémisme pour ne pas dire rabâché !!!!

  • Après Oui-oui, après Tintin et Milou, capitaine Haddock, Proserpine, le sapeur Camembert , Bibi Fricotin ….. voici « MOI JE »

     

    Elle en a de la chance, madame Tierweller de vivre avec cet homme hors du commun, hors normes et même hors de ses baskets !!!

    Notre formidable chef des armées (de bras cassés), de la république, garant des lois et des libertés (de fermer sa grande gueule), nous a, hier soir, donné une exceptionnelle représentation de ses dons de comique troupier émétique.

    Celles et ceux qui espéraient encore …..  heureux les simples d’esprit …..  en sont pour leurs frais.

    Bah ! C’est sûrement la faute au réchauffement climatique !

    A ce sujet, les grands scientifiques ésotériques font des pirouettes pathétiques, satellites à l’appui, pour nous démontrer mordicus que le froid qui nous paralyse est dû à la disparition prématurée de la banquise qui réfléchissait les rayons magiques du soleil qui sont désormais absorbés sans modération par les eaux froides et noires du pôle sans emploi.

    Nous vivons une époque formidable !

    Je ne suis ni le premier ni l’ultime marabout d’ficelle à le dire mais oui, notre époque est unique !

    Théoriquement, l’enseignement généralisé aurait dû rendre le citoyen avisé et critique et voilà que des millions et des millions de français se laissent berner par quelques margoulins qui protègent jalousement leurs divers privilèges et amis complices dans le dépouillement du pays.

    Je n’ai vu qu’un seul homme se dresser sérieusement face à François pépère, et j’ai particulièrement apprécié l’intervention arrosée de ‘Jean-Louis abhorre l’eau’ qui, entre deux hoquets, nous a pris à témoins  ….. hic ! …. Sur l’impéritie de pépère !

    Ce type a de la cuisse !  hic !

     

    Bref, c’était une belle soirée comme sait nous en concocter la télé et ses animateurs hors pépère !