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Indignez-vous ... BORDEL !!! - Page 13

  • Ruquier et sa bande de grosniqueurs est viré de la 2 !

    C'était prévisible et évident dès la première .....

    Ruquier et sa bande de grosniqueurs, est viré !

    Quand c'est trop prévisible, quand c'est trop toujours la même chose, quand c'est pathétique et manichéen ... ça ne peut que faire plouf !
    Mais pourquoi ne m'ont-ils pas demandé de les aider ???
    Bof !


    bye

     

    Est-ce la fin des haricots pour Lolo ?

     

    A force de faire toujours la même émission avec les mêmes toquards voire de nouveaux super tocards !!!

     

    Avec Nico Bedos comme béquille rongée par les mites ... Avec des grosniqueurs agressifs et vindicatifs mais sans charisme ni culture ... avec des invités qui se suivent et se ressemblent quand ce ne sont pas toujours les mêmes ... Avec des trucs de fond de bassine éculés et sans surprise ...

     

    Ben !

    Le public se décourage et se débine ...

    ça fait déjà un moment que je ne regarde plus les autres apparitions de monsieur Laurent Ruquier qui tient sa légitimité (et surtout son autosuffisance) de ses audiences et maintenant, je boude celle du samedi soir ...

     

    Monsieur Laurent Ruquier aura-t-il la force et le courage de se ressaisir ?

     

    Ce que je crains c'est qu'il ne soit trop tard !

    Il doit trop à ses acolytes, il ne peut plus s'en décoller et la plus intelligente est Natacha Polony qui a eu le bon réflexe : se désolidariser de ce show croûte !

    Déjà avec l’émission pour rire (jaune) on avait bien senti que monsieur L. R. s’était pris au jeu hasardeux et mesquin de l’entourloupe à bons comptes … profitant de l’émission et de sa notoriété pour attirer les jolis billets fiduciaires vers ses entreprises louches …

     

    Survivra-t-il ?

    En tout cas sûrement pas en s’entêtant dans ses travers.

    J'espère qu'il pensera, ce soir, à se présenter dans le top du top ten ... même si je ne regarde pas ! 

     

  • Dialogues à la noix de Saint Jacques !

    J’arrive au restaurant : « le bigorneau », fameux resto de fruits de mer sur la corniche sud de Honfleur.

    Vous le connaissez peut-être ?

    C’est un bâtiment construit sur pilotis qui avance sur la mer (« les pieds dans l’eau » comme on dit dans le reg).

    On descend par un grand escalier en bois vers la partie du restaurant fermée et en traversant cette partie, on arrive sur un ponton en bois dont les pattes sont caressées par les vagues fougueuses qui font un clapotis perpétuel abasourdissant quand la tempête gronde aux équinoxes de novembre.

    Le soir, quand le foehn souffle son souffle chaud et mouillé iodé sur le golf de l’estuaire, la terrasse maritime est éclairée de grands flambeaux rustiques aux flammes dansantes et tremblotantes qui donnent une ambiance ésotérique au ponton sur lequel les tables recouvertes de nappes blanches attendent sagement les panses affamées.

    Chacune des ces tables immaculées est éclairée par des chandelles colorées et aromatisées, ornée de petits vases de fleurs des champs aux fragrances normandes et rurales.

    Au ras de l’eau, au loin, les lumières scintillantes et sautillantes du port du Havre  dansent en cadence avec les feux des navires enluminés sur leur erre et les éclairs du phare de la Hève.

    C’est paradisiaque … et plus si affinités.

    Je trouve une petite table pour deux le long de la rambarde fraîchement repeinte au vernis marine résistant aux UV.

    J’e m’assieds, j’attrape la serviette drap qui recouvre mes cuisses et descend jusqu’à mes godasses, je me sers un verre de château d’eau que j’avale cul sec (par la bouche hè !) et je tape dans la petite assiette en carton à amuse-gueules des pistaches (poils au patriarche) … hi hi hi ! je me fais rire tout seul …. Je suis de belle humeur !

    Dans ce décor de rêve de cinéaste, le client hypnotisé se laisse aller au spleen romantique et oublie la réalité de son compte en banque.

    Les consommateurs s’émulent les uns les autres et c’est à qui commandera le plat le plus extatique, le plus onéreux.

    Comme je suis interdit bancaire, je ne risque pas de tomber dans ces travers pécuniaires lapidaires.

    Après un rapide inventaire de mon portemonnaie qui contient un billet de 5 €, je prends en main le menu pour faire le rapport entre mes moyens financiers et les tarifs pratiqués par le commerçant cinq étoiles (au guide du roublard).

    Foutre dieu !

    Même la bouteille d’eau, article le moins cher de la carte, est à 6 € !

    Que faire ?

    J’ai fini les pistaches et vidé la carafe … je me suis mouché dans la serviette …

    Et si je faisais le coup des toilettes ?

    Je fais semblant d’aller pisser et je me tire en loucedé …

    « Et pour monsieur ? »

    Merde ! le serveur est là avant que j’aie eu le temps de mettre mon plan B en œuvre ….

    « Vous avez choisi monsieur ? »

    « Si vous ne mettez pas la virgule après ‘choisi’, ça change le sens de la phrase » lui rétorque-je docte.

    « Pardon ? »

    « Non, rien, apportez-moi une bouteille de château Libertas, une douzaine d’huîtres de Dunkerque et des bigorneaux de Porto. »

    « Et après ? »

    Le con ! s’il savait que je n’ai que 5 € il n’insisterait pas !

    « Je prendrai votre feuilleté de saint-Jacques de Compostel aux petits harengs de Camargue sur lit de feuilles d’érables du Japon.»

    Il s’en va, cahin, caha car il boîte depuis qu’enfant il s’est fait bouffer une moitié de cuisse par un requin jaune du Maroc.

    Merde de merde de merde me dis-je en aparté mais pas trop fort pour que les voisins ne m’entendent pas et ne s’inquiètent pas de ma schizo !

    Justement, le couple à ma droite, des américains du Montana (je les reconnais à l’accent) sont énervés. Un couple d’Anglais de Manchester vient de s’attabler à leur gauche et ça ne leur plaît pas du tout. Les anglais et les amerlocks, c’est chiens et chats, ils ne peuvent pas se piffer les uns les autres !

    « On était là les premiers » dit la dame « c’est à eux de changer de table … »

    « C’est les plus gênés qui s’en vont » lui répond ex abrupto le mari (un gros gardien de vaches (cowboy) mal embouché).

    Le serveur dépose devant moi un énorme plateau d’huîtres et de bigorneaux sur un trépied en inox luisant comme des pare-chocs de belle américaine.

    L’américaine voisine se lève et ses gros pare-chocs viennent heurter le serveur qui s’en trouve déstabilisé et dans un geste pour se rattraper à quelque chose me renverse le plateau plein de glace, d’huîtres et de bigorneaux sur le thorax !

    Je me lève en sursaut et en criant !

    Le serveur s’excuse vaguement, ramasse tant bien que mal les ingrédients du plateau pour remettre le tout sur le trépied pare-chocs !

    C’est le bazar, les bigorneaux trempent dans les huîtres qui clapotent dans la glace fondue ….

    Je suis si abasourdi que j’en oublie de faire valoir mes droits de client respectable et honnête (jusque là).

    « Tiens ! Tu peux toujours courir pour le pourboire » me dis-je, vengeur, en aparté.

    Faisant contre mauvaise fortune bonne figure, je me tartine de beurre avec largesse un toast qui a échappé au désastre et je chope une huître n’ayant pas trop mauvaise figure ni infortune.

    Je glisse le couteau à poisson sous l’huître pour lui décolleter le pied et …

    « NOONN pitié, ne me décollecte pas le pied, je suis encore vivante, je ne veux pas mourir, pitié, pitié, pitié … »

    De stupeur ébahie je laisse tomber couteau et huître, me lève en tornade et me précipite vers la sortie.

    Je suis intercepté par le serveur qui me colle au mur et me dit dans un souffle si alcoolisé que je tombe saoul sur le champ :

    « Où qu’y va comme ça le client pressé ?  Il a pas payé l’addition ! »

    Je me doute bien un peu que m’a réponse ne le calmera pas mais je n’en trouve pas d’autre !

    Je bégaie :

    « L’huître … elle veut pas … elle parle … elle dit qu’elle ne veut pas être mangée !!! »

    « Oh ! Mais il est très inventif ce petit monsieur ! il a rien trouvé de mieux pour partir sans payé ? »

    « Mais … mais …. Mais je je je vous jure …. Elle parle !!! »

    « Allez, sors ton fric avant que j’appelle la police pour qu’ils te repêchent à la baille ! »

     

    Et la police m’a repêché à la baille !

    Quant à ce salopard de serveur il m’a piqué mon portemonnaie et a empoché mes 5 € comme pourboire !!!!

     

     

    Yfig-honfleur-raw.Jpg

  • Dialogues à la noix !

     

     

    J’avais décidé de mitonner une salade d’endives aux noix du jardin et petits dés de Comté.

    Cette idée saugrenue m’est venue en retrouvant au fond d’un placard planqué une bannette pleine de noix ramassées l’an dernier sous le noyer.

    Dans ces cas là, j’aime à m’installer sur la petite table du salon, le cul dans le fauteuil télé, une écuelle pour collecter les écales posée sur un papier journal pour récolter les éclats éclatés pendant l’éclatement de la noix.

    Vous voyez le tableau … bien entendu, dans ces instants relaxes, je mets la télé en sourdine, en fond sonore si vous préférez.

    J’attrape la première noix et à l’aide un couteau à lame courte mais solide, j’entreprends de l’éventrer afin d’en retirer les cerneaux crémeux délicieux.

    Au moment où je positionne la pointe de mon couteau dans la fente de la noix, j’entends une voix aiguë inconnue m’interpeller :

    La noix (LN) : Hééééééé ! Hoooooo ! ça va pas, nooooonnnnn ! ?

    Moi (M) : ???????????

    Mettez-vous à ma place ! Y’a de quoi tomber de haut, même le cul dans le fauteuil !

    Une noix qui parle !

    M (poussant la pointe du couteau dans l’interstice) : C’est toi qui parle ?

    LN : Aïe ! ça va pas, noooonnnn ! ? ça fait mal, retire ça tout de suite !

    M (à moi-même en aparté mais suffisamment fort pour que la télé entende) : Je dois dormir, faire une sorte de cauchemar ….

    LN (fort) : Aïe te dis-je, retire la lame de mon cul, tu me fais mal non de dieu !

    M (en aparté mais …. ) : Une noix athée ! Elle ne met pas de majuscule à ‘dieu’ !

    LN (crie) : Retire cette lame ou je te …

    M : Tu me quoi ?

    LN : Je te fais un procès pour torture physique !

    M : Mais arrête un peu de déconner, une noix n’est pas un être, c’est une juglandacée oléagineuse, une noix ne parle pas, une noix ça ferme sa gueule …

    Et hop, d’un coup sec, je décollecte les deux partie de coque pour atteindre le cœur tendre et savoureux de la noix.

    LN (elle pousse un cri perçant et douloureux puis se tait).

    M : C’est qui le chef ! ?

    Après avoir soigneusement séparé les cerneaux des coques, je chope une deuxième noix …

    LN (tremblotante comme une feuille morte …) : Noooonnnnn pitié, ne m’éventre pas, je suis jeune, j’ai encore quelques beaux jours à vivre …. Pitié !

    M : Mais c’est quoi ce sketch ?

    LN : J’ai vu ce que tu as fait à Caroline, s’il te plaît ne me fais pas subir le même martyr …

    M : Toi aussi tu vas me faire un procès ?

    LN : Non, non, je ne ferai rien, je ne t’embêterai pas, mais épargne moi, prends plutôt une autre noix, plus vieille qui a le droit de mourir dans la dignité …

    M : Une vieille noix toute rabougrie au goût de carton, c’est ça que tu veux que je mette dans ma salade ?

    LN : Ah ! Parce que tu fais une salade ?

    M : Ben oui, pourquoi crois-tu que j’écale des noix ?

    LN : Mais c’est quoi comme salade ?

    M : Une salade aux noix.

    LN : Y’a que des noix dans ta salade ?

    M : Ah non, les noix ne sont que des ingrédients goûteux qui exaucent le goût suave et légèrement amer de l’endive.

    LN : Mais …. Tu as vérifié que tu avais des endives ?

    M : Tu me prends pour un chicon ?

    LN : Non, pas du tout, mais … je me disais, comme ça, que ce serait bête d’éplucher des noix si tu n’as pas d’endives pour faire la salade, parce que les noix, une fois ouvertes, leurs petits cœurs flétrissent, se racornissent, vieillissent et finissent pas prendre un vilain goût de carton.

    M : Ouaip ! Bouge pas, je jette un coup d’œil au frigo …

    Bien entendu, je retrouve le paquet d’endives que j’y avais mis la veille. Je l’attrape et je l’ouvre. Je saisis une endive et je la passe à l’eau froide pour la laver … lorsque …

    L’endive (L) : Ahhhhh ! C’est froid !

    Non mais ! Vous vous rendez compte ? Une endive qui parle ! Je deviens fou ou quoi ??????

    L : S’il te plaît, arrête, c’est trop froid !

    M (à moi-même, en aparté mais à voix haute et ferme) : Si c’est une blague, elle est de très mauvais goût !!!

    J’attrape un saladier dans le placard, un couteau effilé dans le tiroir et je commence à découper l’endive en lamelles …

    L : pousse un grand cri strident et désespéré puis se tait !

    J’attrape une seconde endive et la place sous le robinet pour la nettoyer …

    L’endive (L) (implorante) : S’il te plaît, ne me fait pas ce que tu as fait à mon amie Julie, ne me découpe pas comme un saucisson, je ne veux pas mourir, je suis trop jeune …

    Je l’interromps …

    M : Tu ne comptes tout de même pas me faire le coup de la noix ?

    L : C’est quoi le « coup de la noix » ?

    M : Laisse tomber !

    L : Pourquoi veux-tu me saucissonner ?

    M : Pour faire ma salade.

    L : C’est quoi comme salade ?

    M : Une salade d’endives aux noix et Comté.

    L : C’est quoi du ‘Comté’ ?

    M : Ben … du fromage.

    L : Et tu as vérifié que tu en as ?

    M : Ah ! Je te prends en flagrant délit de plagiat, tu me fais le coup de la noix !

    L : Et si tu n’avais pas de Comté ?

    Putain ! ça commence à me gonfler !

    J’ouvre le frigo, saisis le comté, éventre le conditionnement et sors le fromage qui s’écrie

    Le fromage (F) : NOOOONNN Pitié, ne me décapite pas, je ne veux pas mourir …

    De surprise, je lâche le fromage.

    M : Nom de dieu de non de dieu !!! C’est quoi ce bordel !

    Je me pince …

    M : Aïe ! Mais c’est dingue, je ne dors pas, c’est fou … oui, c’est ça, je deviens fou …

    Je lance un coup d’œil circulaire tout autour de moi sur 360° sans que mon corps bouge …

    Je suis dans la cuisine, sur le plan de travail le saladier avec le premier chicon, le deuxième repose à côté du saladier, de l’autre côté, le fromage que j’ai laissé tombé … et dans la salle, sur la table basse, le panier de noix et un récipient avec deux cerneaux et une noix sur la table.

    M : (à moi-même …. Etc ….) : Y’a quelque chose qui cloche ! Mais quoi ?

    C’est à ce moment exact que j’aperçois le photophore sur le manteau de la cheminée …

    Je vais à l’âtre, place une bougie neuve et attrape la boîte d’allumette. Je prends une allumette, mais au moment de la gratter, l’allumette s’écrie …

    Allumette (A) : NOOONNN, s’il te plaît, ne me gratte pas, je ne veux pas brûler, pas déjà, laisse-moi vivre encore un peu …

    Bon, là, trop c’est trop !

    Je me pose dans le fauteuil, je ferme les yeux et m’endors.

    Combien de temps ai-je dormi … ?

    Toujours est-il qu’à mon réveil, je me rends compte illico presto que tout est resté en état !

    Les noix sont devant moi et de loin, j’aperçois le paquet d’endives, le saladier et le Comté sur le plan de travail de la cuisine.

    J’attrape la noix …

    LN : NOOONNN pitié, ne m’étripaille pas, je ne veux pas mourir ….

    M (fermement décidé à ne pas me laisser mourir de faim…) : Désolé, ma belle, mais c’est toi ou moi !

    Crac, je la craque, en extirpe les magnifiques cerneaux et attrape la prochaine noix qui hurle …

    LN : NNNNNNNNNNNNNNOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNN …

    Craque, craque, craque … et que j’étripe, que je décollecte, que je décortique, que j’étête, que je décapite, que je saucissonne …  dans les cris, les hurlements, les sanglots …

     

    Bon ! Où Ai-je mis les échalotes …..

    Au fond du placard, j’entends les échalotes qui sanglotent …

    Les échalotes (E) : non, non, pitié, pitié on ne veut pas mourir, pitié, ne nous épluchez pas …

     

    J’ai pris ma bagnole et je suis allé bouffer au resto … là, au moins, tout est déjà mort dans l’assiette !

     

    Yfig-grenouille-aux-fruits.Jpg

  • Revu de presse vite fait sur le poupouce !

     

    Alors, au menu, on a :

     

    La BAISSE des RETRAITES

    Et

    L’élection des conseillers communautaires.

     

     

    Vous, je ne sais pas ! Mais moi, je trouve le temps long ….  quand est-ce que tout ces zouaves vont dégager de l’horizon politique ?

    La fumée dégagée par les écoutes d’untel, de Machin, de Bidule, de Truc et leur cortège de Paul et Mike nous brouille la profondeur optique et nous rend le véritable paysage politique et social opaque.

    Qu’ils aillent tous se faire "empapa où t’es" et ferment leurs gueules une bonne fois pour toutes !

    Quand je pense que nous avons l’immense privilège d’avoir une ministre sociale géniale, qu’avons-nous besoin d’autre chose ?

    Vous vous rendez compte ? Marisol Touraine a fait passer une loi qui a pris pour doux nom :

    LOI n° 2014-40 du 20 janvier 2014 garantissant l'avenir et la justice du système de #retraites

    Bonne lecture !

     

    Si vous allez à l’art. 6 vous vous surprendrez à apprendre que Mayotte bénéficie de la revalorisation des retraites minimum dans la limite du plafond qu’aucun mayottais (même en maillot de bain) n’atteindra jamais !

    Voilà comment on passe notre argent de nos poches aux poches des immigrés clandestins à cent pour sang musulmans !

    D’autant que, non contents de geler les maigres retraites des vieillards cacochymes et souffreteux, voilà-t-y pas que le MEDEF et LES SYNDICATS signent la main dans la main à la demande du gouvernement l’imposition des majorations familiales. Ce qui signifie que les retraites évanescentes vont baisser pour cause de hausse des impôts !

    Merde ! ça mérite mieux qu’un silence respectueux, ça mérite des applaudissements, des hourras, des bravi et tutti quanti …. Les socialistes nous préparent un avenir radieux en ouvrant la voie pour les prochains gouvernements qui n’auront plus qu’à suivre connement ces avancées létales dans le sens de l’éradication de la vieillesse. Surtout si on considère la pub généreuse qui est faite à l’euthanasie avec le slogan éloquent : « le droit de mourir dignement » … bah voyons … comme si la mort pouvait être ‘indigne’ !

     

    Allez vous étonner, après ça, que d’aucuns ne votent pas socialiste !

     

    Bon ! si je vous emmerde, allez lire autre chose … je sais pas, moi, les articles innombrables et infinis sur les écoutes de bouches à oreilles via les portables mobiles et indiscrets !

     

    ………………………..

     

    Vous êtes encore là ! ?

    Boudiou ! Vous êtes des coriaces, vous n’avez pas peur de vous faire du mal ???

    Parce que tenez-vous bien, mais il y a encore des sujets graves dont personne ne parle de peur d’effaroucher les perdreaux enrubannés par la téloche !

     

    Vous croyez tout savoir sur les prochaines élections municipales !

    Vous êtes sûrs ?

    Savez-vous que vous allez voter pour le maire, ses conseillers et les conseillers communautaires ?

    Oui, le communautarisme nous gagne !

    Mais n’allez pas croire qu’il s’agisse d’élire les commissaires européens (qui sont cooptés par les lobbyistes bruxellois) … que nenni, non, il s’agit d’élire les dames et messieurs qui siègeront aux communautés de commune.

    Vous savez, ces trucs dispendieux qui coûtent les yeux de nos têtes et ne servent qu’à inventer de nouvelles taxes leur permettant de ripailler à nos frais !

    Non mais, franchement, vous avez déjà pris le temps d’admirer ces conseillers ?

    Vous avez vu leurs tronches de benêts, leurs tenues de bouseux, leurs faciès couperosés de débiles alcooliques ?

    Et c’est sur ces gens là qu’on compte pour améliorer la démocratie ?

    Putain ! c’est à dégobiller !

     

    Et pour finir, la bonne nouvelle de la prise en compte démocratique des bulletins blancs.

    Mais ATTENTION ! Nous parlons de bulletins « blancs » !

    Pas noirs, ni bleus, ni caca d’oie …. Ni raturés, ni bidouillés … c’est fini ce temps là, le temps joyeux des panachages et des messages subliminaux …. Désormais, vous devrez vous munir d’un bulletin blanc … IMMACULÉ … sinon … ben il sera nul et non comptabilisé.

    Comptabilisé dans quoi ?

    Bof !

    Dans le calcul des bulletins, mais pas des suffrages exprimés, faut pas rêver !

    Alors … à quoi ça sert ?

    Ben dame … à nous prendre pour des cons en nous faisant croire que c’est de la démocratie !

    Moi, je vais leur mettre « mort aux cons » sur mon bulletin !

    Ils le foutront à la poubelle c’est quand même mieux que de cautionner leur cinoche !

     

     

  • Le Boukistan

     

     

    Le Boukistan est un tout petit pays difficile à trouver sur les cartes et encore plus  sur « Google earth » parce qu’il ne fait pas partie de la grande coalition mondiale pour la défense des valeurs antidémocratiques portées par tous les autres pays de la planète. C’est pour cette raison qu’il est totalement boycotté par toutes les instances internationales et qu’en conséquence il vit en autarcie.

    Le territoire boukistanais est un carré de 50km de côté.

    La Capitale est Lepénisville et il y a 3 autres villes à équidistance de la capitale, reliées entre elles par des chemins entretenus par deux cantonniers assermentés bénévoles.

    Il n’y a ni mer ni montagne ni aéroport ni aucune route nous reliant à un autre pays. Nos frontières sont à géométrie variable et dépendent des terres cultivées selon les saisons et le réchauffement climatique.

    Au Boukistan, on peut se permettre d’être réellement démocratique car il n’y a que 2038 habitants dont 356 immigrés officiels et 21 clandestins.

    En définitive, il y a 1752 femmes et 863 hommes. La moyenne d’âge est de 35 ans. C’est donc un pays jeune et dynamique dont le taux de fécondité est de 1.854 ce qui permet un renouvellement correcte mais sans excès de la population.

    La densité de population est donc d’environ 1 habitant au Km2 .

    C’est donc comme une grande famille où tout se sait.

    Notre pays est cogéré par l’ensemble de ses citoyens.

    Les décisions sont prises à la majorité absolue des bulletins exprimés. Les bulletins blancs ou nuls et les non votants sont tous comptabilisés. La majorité absolue est donc égale à 51% de 2038 soit 1040 (arrondi).

    Quand une décision mise au vote ne récolte pas au moins 1040 voix, elle est tout simplement rejetée.

    Notre Parlement est très réduit, il est composé de 15 femmes et 15 hommes. On ne tient pas compte des préférences sexuelles, on appelle un chat un chat et un turc un turc (si vous voyez ce que je veux dire !).

     

    [... à suivre ... peut-être]

  • C'est nous les africains qui revenons de loin ... vous connaissez la suite ? Pas moi !

    c'est simple !

    Les blancs qui piquent les richesses des blacks, les blacks n'ont qu'à les tuer et les bouffer !

    On a vu ça au Botswana ... suivi de famines meurtrières quand les noirs eurent fini de bouffer les réserves des blancs dont les cadavres nourrissaient les vautours !

     

    L'Afrique c'est "je t'aime moi non plus", c'est "au secours tirez-vous de là on veut plus vous voir", c'est "sans vous on est morts mais mieux vaut être mort qu'esclaves" ... etc ...

    Les africains te demandent un truc ... ils te testent ...  si tu le donnes ... t'es un bon bwana, faut que tu donnes encore et toujours plus ....

    Pour se faire respecter, il ne faut jamais donner, mais faire payer ... même pas cher, mais ne jamais donner ... celui qui donne est faible !

     

    Et entre eux ... là, c'est la préhistoire (ce qui n'est pas nécessairement négatif sauf ...)  ... ils se tuent comme on s'insulte ! 

    Il faut bien comprendre que nous ne sommes pas éduquer pour les comprendre.

     

    Il faut vivre dans le bush ou même en ville avant que nos valeurs ne commencent à se transformer et qu'on apprenne de l'Afrique et des africains.

     

    Petite anecdote sympa : si vous vous ‘baladez’ dans Khartoum (prononcez Rârtoum) la capitale du Soudan, vous verrez de nombreux éclopés, jeunes et vieux … vous savez, des gosses avec le bras dans le dos et la jambe amputée …  et le vieux cul de jatte dans une caisse en bois avec des fers à repasser … Nous autres, occidentaux, ça nous révulsent et on donne un peu … mais il y en a tant !

    Et puis un beau jour vous demandez pourquoi il y en a tant ?

    Bah ! c’est de naissance, les parents estropient les enfants pour qu’ils fassent la manche.

     

    D'ailleurs, lisez les commentaires sur l'article ....

    Les selekas  Soudanais, musulmans ont conquis des territoires centre africains en tuant et violant afin de s'approprier les quelques biens des chrétiens qui vivaient là. Les forces françaises ont tout bonnement rétabli la précédence des autochtones sur les allogènes. Mais les chrétiens savent bien que dès que les français auront quitté les lieux, ils seront de nouveaux les objets de massacres !

     

    Yolande MUKAGASANA ne nous fait pas part de ses intentions ... pour quoi, pour qui plaide-t-elle ? Pour elle-même de toute façon !

    Croyez-vous que les rites cannibales soient chrétiens ou musulmans ?

     Croyez-moi ... ou pas ... je m'en fiche ... mais les conflits Africains ne sont jamais manichéens.

     Et en Afrique, il n'y a pas que des noirs !

     Tout ce que j'ai écrit est purement factuel, je ne porte aucun jugement, je connais trop les africains pour savoir que ce serait peine perdue, il y a parmi eux de merveilleuses personnes. Mais que sont quelques personnes sur des centaines de millions ?

     

    Té ! une autre fois, si je suis encore là, je vous entretiendrai des chinois .... ça vaut le coup aussi, les chinois ... vous n'avez pas fini d'être surpris !!!!

     

  • Crimée, Kiev, Yalta, Moscou, Aldebaran, Betelgeuse ... l'homme

     

     


     

    ASSEZ de BLABLA

    Venons en aux mains

    Entretuons-nous

    Montrons que nous sommes les plus forts

    Passons les ruskov à la Kalachnikov

    Et les chinois au ratatatatata

    Tue

    Tue

    Tue

    ...

  • José Bové avachi dans le luxe et le lucre. Avec l’âge, même le lion le plus barbare finit par se laisser caresser dans le sens de l’argent facile.

     

     

    L’émission somnifère de Laurent Ruquier fait toujours autant d’effet !

    C’était hier soir 22 février 2014.

    J’arrive au moment précis où Zé Jo Bo Vin pose son fondement sur le petit fauteuil qui en a tant vu (des culs !)

    Celui-là est mou, mou, mou … à l’infini !

     

    Le grand pourfendeur des guerriers maïs, le défenseur de la graine saine et du bon sens paysan qui va toujours dans le sens qui l’arrange … l’homme qui a goûté le sel âcre des prisons surpeuplées, lui qui a osé défier l’autorité musclée … le voilà avachi dans le velours côtelé de Ruquier.

    L’Europe ?

    L’Europe, c’est super, c’est merveilleux, c’est extraordinaire, c’est comme un rêve enchanteur dont on ne souhaite pas se réveiller.

    L’Europe, c’est superbe, on discute avec des gens très intelligents, on les convainc, on se laisse convaincre, on échange des idées et à la fin on touche le gros lot.

    Parce que ce qu’il nous dit pas, le Bové, c’est le train de vie que l’Europe lui apporte avec son cortège de voyages à l’œil, d’hôtels 4 étoiles, de gentilles hôtesses dévouées (corps et) âmes, de restaurants gastronomiques,  de cadeaux luxueux …. Et de très généreuses prébendes sonores et trébuchantes exonérées, de surcroît, d’impôts sur le revenu. Et puis … plus tard … la retaite … je vous raconte pas !!!!!

    Alors, forcément, ce paysan au bon gros bon sens près de chez lui ne va pas cracher dans la soupe, ni dans le pain au maïs … qui le ferait ?

    Il est content le bovin avec tout ces privilèges liés à la fonction délicieuse de député européen. D’ailleurs il l’aime tant cette fonction qu’il se représente pour un nouveau mandat et n’exclut pas d’y finir ses jours dans la ouate douce et feutrée des palais dorés de Bruxelles.

     

    Caron et Polony ne mouftent pas, non, juste un petit commentaire pour dire combien ils sont heureux que Bové le soit !

    Pas de quoi crier « au loup !».

     

     

    Conclusion : il a dû casser sa pipe, on ne l’a pas vue de tout le temps qu’il est resté assis.

     

    Moi, bercé par tant de blabla soporifique, je m’empresse de rejoindre Morphée qui s’est installé confortablement sous la couette.

     


  • #APOIL tout l'monde et on verra bien qui bandera le premier !

     

    1. Allez hop ! Tout le monde , On verra bien si ceux qui prônent le naturisme seront toujours aussi à l'aise une fois , j'en ris !

    2. Toi , toi , toi , toi , toi , toi , toi , toi , toi toi

    3. Non, n'insistez pas, inutile de vous fâcher, vous ne me verrez pas .... je me suis rasé ce matin après la douche !


      et moi et moi et moi

    4. Ils sont cons ceux qui ont écrit le torchecul ... ils sont cons ceux qui l'achètent ... maintenant ... faut qu'ils se mettent A POIL!

    5. Toi , toi , toi , toi , toi , toi , toi , toi , toi toi à poil

    6. Toi ... le cucul la praline ... toi le chômeur ... toi, le PDG ... toi, l'agriculteur dans le pré ... la Star Hollywoodienne tous à poil !!

    7. C'est vrai, quoi, Merde ! Moi, je veux bien me mettre à poil, je n'ai rien à cacher ... mais il faut que la France ENTIÈRE se mette à poil !

    8. C'est vrai, ça ... pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt ?? à poil à poil à poil à poil à poil TOUS

       

      article_chiendiapo.jpg

       

      yeti-1

  • Attali et les taxis … 2008… Allumez le feu pour 2014 !!! ou l'effet papillon extra temporel !

    Vous vous souvenez ?

     

     

    Rapport de la Commission

    pour la libération de la croissance

    française

    Sous la présidence de

    Jacques Attali

    .

     

    RÉFORMER LES PROFESSIONS AUJOURDHUI RÉGLEMENTÉES

     

     

    http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/084000041/0000.pdf

    Les services spécialisés : coiffeurs, taxis, etc.

    Les coiffeurs (147 000 actifs dans 59 000 entreprises ; chiffre d’affaires

    du secteur : 4,6 milliards d’euros). Pour ouvrir un salon, un coiffeur doit

    avoir un brevet professionnel1, ce qui ne se justifie manifestement pas

    par un objectif de protection du consommateur, tout particulièrement

    dans un contexte où se développent les activités de coiffeur à domicile

    pour lesquelles un CAP est suffisant. Le système de Validation des

    acquis de l’expérience (VAE), mis en place depuis 2002, n’a pas permis

    de déverrouiller significativement l’accès à la profession car il reste

    excessivement contrôlé par les professionnels en activité.

    DÉCISION 209

    _ Supprimer l’exigence du brevet professionnel pour ouvrir un

    salon et lui substituer l’obtention d’un CAP ou cinq années de

    pratique sous la responsabilité d’un titulaire du CAP.

    Les taxis (46 000 actifs dont 15 300 à Paris ; chiffre d’affaires :

    2 milliards d’euros). Pour pouvoir aujourd’hui exercer l’activité de

    chauffeur de taxi, il convient de satisfaire aux conditions suivantes :

    • attester la réussite à l’examen professionnel de chauffeur de taxi ;

    • acquérir une autorisation de stationnement sur la voie publique,

    soit gratuitement auprès du maire ou du préfet de police à Paris,

    soit à titre onéreux auprès d’un chauffeur de taxi qui cesse son

    activité ;

    • respecter les tarifs maximum fixés par arrêté du ministre de l’Économie

    et par arrêté préfectoral pris dans chaque département.

    Un nombre extrêmement limité de licences gratuites étant accordé

    chaque année, le prix de revente des licences est très élevé dans les

    villes où l’offre est manifestement insuffisante (140 000 euros à

    Toulouse, environ 190 000 euros à Paris, 400 000 euros à Orly).

    Plusieurs facteurs illustrent l’urgence de mettre fin au numerus

    clausus des taxis.

    L’augmentation de la population en Île-de-France, l’évolution du

    trafic aérien et du trafic ferroviaire, la croissance du PIB depuis

    1981 permettent d’évaluer à environ 8 000 le nombre de licences

    qui auraient pu être créées pour satisfaire la demande en région

    parisienne, alors même que plus de 6 500 chauffeurs taxis locataires

    ou salariés attendent de pouvoir acquérir une licence.

    161

    Des acteurs mobiles et sécurisés. La mobilité économique

    1. Pour obtenir ce BP, il faut justifier de 5 ans d’expérience professionnelle ou d’un CAP et de 2 ans d’expérience.

    À Londres et à New York, les systèmes de plaques de taxis n’ont pas

    été libéralisés et ces villes comptent environ autant de taxis que Paris,

    mais des voitures dites « de petite remise » (VPR) permettent de

    répondre à la demande : elles sont 50 000 à Londres, 42 000 à New

    York, contre à peine 100 à Paris. La réforme ne doit donc pas seulement

    se concentrer sur les taxis mais développer de nouvelles offres

    de transport dédiées à des segments spécifiques de la demande.

    La loi du 20 janvier 1995 a rendu les licences cessibles après leur

    exploitation effective et continue pendant une durée de 15 ans,

    durée réduite à 5 ans après la première mutation. De plus, cette loi

    a précisé que la délivrance de nouvelles autorisations ne donne pas

    droit à indemnité au profit des titulaires d’autorisations précédemment

    délivrées.

    Une ouverture complète du marché des taxis et des véhicules de

    petite remise parisiens permettrait d’avoir au total de 50 000 à

    60 000 taxis et VPR à Paris et en proche banlieue (contre 16 000

    aujourd’hui), soit un gain d’emploi de 35 000 à 45 000. En Irlande,

    après la libéralisation des taxis en 2000, le nombre de taxis a

    augmenté de 150 % en 3 ans et la densité de taxis a considérablement

    augmenté, passant de 1 pour 186 habitants à 1 pour 72 habitants

    (contre 1 pour 360 à Paris et proche banlieue). Si cette même

    densité prévalait, il y aurait 80 000 taxis à Paris, soit une création de

    64 000 emplois. Dans les grandes villes de province, où la densité de

    taxis est encore plus faible (on compte un taxi pour 1 000 à 3 000

    habitants dans les 15 plus grandes villes de province), les créations

    d’emplois pourront être beaucoup plus importantes qu’à Paris.

    DÉCISION 210

    _ Développer l’entrée sur le marché des VPR et de différentes

    offres spécialisées sur certains segments du transport urbain.

    • Maintenir pour les VPR les critères actuels de compétence professionnelle

    applicables aux taxis (casier judiciaire vierge, respect des

    règles d’hygiène et de sécurité, connaissance de la ville, etc.).

    • Instaurer la liberté tarifaire, pour autant que les tarifs soient

    annoncés à l’avance lors de la prise de rendez-vous, afin de favoriser

    l’émergence de gammes de véhicules adaptées aux

    budgets de différentes clientèles.

    • Transférer la supervision des VPR au ministère en charge des

    transports pour éviter que le même bureau soit en charge des

    taxis et des VPR.

    300 décisions pour changer la France

    162

    • Inciter à la création de flottes de « VPR / taxis verts » bénéficiant

    d’emplacements de stationnement dédiés, similaires à ceux des

    « Vélib » à Paris, permettant d’offrir aux usagers des déplacements

    dans des véhicules à propulsion hybride ou utilisant des

    carburants peu polluants.

    DÉCISION 211

    _ Augmenter le nombre de taxis.

    • Octroyer gratuitement, par une procédure d’attribution étalée

    sur deux ans, une licence incessible à tous les demandeurs

    inscrits fin 2007.

    • Après l’ouverture de l’offre de taxis et de VPR, autoriser les taxis à

    répercuter sur le prix des courses les augmentations du

    gazole/essence avec une prime tout en conservant un tarif maximal.

    • Autoriser plusieurs chauffeurs à utiliser la même plaque de taxi,

    à condition de surveiller que les chauffeurs ne dépassent pas le

    nombre d’heures de travail autorisées par jour (par exemple en

    instaurant une carte de déblocage pour chaque voiture).

    • Supprimer l’horodateur parisien. Fixer une amplitude de service

    unique de 11 heures équivaudrait à augmenter le nombre de

    taxis à Paris d’environ 600 voitures sans pour autant augmenter

    la surface d’occupation de la voirie.

    • Supprimer les restrictions territoriales qui limitent le chargement

    des clients dans certaines zones et autoriser la maraude.

    • Fusionner sous la même appellation « Taxis franciliens » les taxis

    parisiens, ceux d’Orly et de Roissy et de l’Île-de-France et fixer un

    tarif forfaitaire des aéroports à Paris.

    • Créer une voie dédiée aux taxis, aux bus et au covoiturage entre

    Paris et les aéroports.

    • Associer pleinement le ministère en charge des transports, aux

    côtés du ministère de l’intérieur, à la gestion de l’offre de taxis

    pour mieux tenir compte des intérêts des usagers.

    • Autoriser les préfets à se substituer au maire dans l’attribution

    de nouvelles licences de taxis, dans les villes où l’évolution du

    nombre de taxis n’a pas suivi l’évolution démographique.

    • Fluidifier le marché secondaire en autorisant sans délai la vente

    des licences actuellement détenues.

     

     

     

    Gouverner c'est prévoir, anticiper, préparer l'avenir ......  Attali chiromancien divin et devin ....  Sait comment foutre le bordel à la France car il connaît bien les hauts fonctionnaires et leur connerie légendaire !