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Blog - Page 7

  • Mes oeuvres complètes sur Google Play ..... à prix très abordables

     

    Vous attendiez tous cet évènement depuis fort longtemps ..... et moi .... alors !

     

    Mais ça y'est !!!  Tout vient à point qui sait attendre !

     

    Un raout chez les ploutocrates

     

    Métempsychose du bigorneau (receuil de nouvelles)

     

    Ludmilla (roman d aventures)

     

    Aux ailes bleues du vent (poésies chansons mirlitons)

     

    Yfig fait son cinéma (scenarii de courts et longs métrages)

     

    DVDP la Joconde (polar)

     

    et bientôt .....

     

    Apocalypse nucléaire

    et

    Psychédélies

     

     

    Bonne lecture, bon amusement !

     

     

    Lien permanent Catégories : à bas la calotte, à fond la nature, Blog, Cuisine littéraire, english is beautifull my concierge itou, Faut rigoler avant qu'le ciel nous tombe sur le ci, Feuilletons, Film, Il faut éliminer les pauvres !!!!!!!!, J'suis noble mais j'me soigne, Je vais vous raconter ma pôvre vie !!!, l'art est mort ......... vive l'art !, L'éducation n'est plus ce qu'elle était !, L'intelligence ne sert que si on en abuse, La mort n'est pas toujours drôle, la parole est donnée aux bavards et aux autres, la pêche à la grenouille, La philosophie est sous l'évier, la poésie n'est plus ce qu'elle était, la politique pour les paraplégiques sourds muets e, la télé dans tous ses états !, le canard a cinq pattes, les aventures d'Yfig Grand Reporter International 38 commentaires
  • Savez-vous tweeter les tweets à la mode à la mode savez-vous tweeter les tweets à la mode de cheu nous ?

     

    Le gouvernement Boukistanais, préoccupé par la mode tweet m’a demandé de me pencher sur le phénomène tweet pour voir ce qu’il en retweet ?

     

    Voici un extrait de mes découvertes …….  Tweeteuses, n’est-il pas ?

     

     

     

    Un tweet vaut mieux que pas de tweet … tu  tweeteras !

     

    Je te tiens tu me tiens par la tweetechette le premier qui tweetera aura une tweetette !

     

    Tu ne tweeteras pas ton prochain tweet !

     

    C’éait un grand tweet plein de tweet on l’a tweeté dans son tweet !

     

    Les tontons tweeteurs : Hum ! il est bon ce tweet ! Y’aurait pas du tweet dedans ? …. Y’en a !

     

    Classique tweet : La main d’ma tweeteuse dans la culotte d’un tweeteur !

     

    Vénus Callytweet : touche pas mon tweet !  je ne suis ni tweet ni tweeteuse !

     

    Docteur tweetknock : n’auriez-vous pas tweeté ce tweet quand vous étiez petit ? Ne seriez-vous pas tombé sur ce tweet ?

     

    Victor Hugotweet : tweet quand même un tweet à ce tweeteur dit le père tweet !

     

    Si tous les tweeteurs du monde pouvaient s’passer de tweet ça tweeterait moins !

     

    En famille : Dis ! t’as pas vu passer mon tweet ?

     

    Professionnel du bâtitweet : C’est au pied du tweet qu’on reconnaît le tweeteur !

     

    Économique : quand le tweet va …..  tout va !

     

    CSG : l’augmentation des tweets tweetera de nouveaux tweets qui tweeteront le tweeteur :

     

    Médical : non premium nocere du tweet ça pourrait vous tweeter le tweet !

     

    Archéolotweet : on a retweeté un tweet vieux de plusieurs tweets qui n’avait pas tweeté tous ses tweets. Les tweeteurs en sont restés tout tweet !!!!!

     

    Alcholotweet : tweeter hic ? Vous voulez hic ! que je tweet hic ! dans ce tweeteur hic ? Mais je n’ai pas hic ! tweeté monsieur le tweeteur !

     

    Respect du tweet : Tweetallah est le plus grand tweeteur de tous les tweeteurs ! vous devez le tweeter au nom du tweet et pis c’est tweet !

     

  • La politique, le top de l’élégance, de l’honnêteté, de la décence, de l’esprit, de l’intelligence et même des tartisses !

     

    Ségolène prend la mouche mais pas pour la pêche en rivière …

     

     

     

    Elle a réfléchi tout ce temps là pour sortir cette brandade !

    Elle a l’esprit lent la Ségogo !

     

    Il paraît qu’elle envisage d’en faire un spectacle au Zénith !

     

    C'est quand même fort de café !!!!!

     

    Elle se fait parachuter dans une circonscription acquise au PS, elle s'assied sur la tête de Falorni, lui pète dessus et s'étrangle que celui-ci renâcle !

     

    Franchement pas gênée la dame !

     

    Pousse-toi d'là que j'm'y mette et si tu n'obtempères pas, je te traite de traitre !!!!!

     

    Tout mon soutien va à Falorni, sans retenue ni réserve !!!!!


    Mais la leçon que j'en tire c'est que la politique rapporte beaucoup de pèze en ces temps de crise et les politiciens sont prêts à tout pour conserver leur place ou piquer celle des autres ...

    Halte au professionnalisme politique !

    Tous ces élus qui s'installent dans un siège pour des décennies malgré leurs déléaturs !

    Il faut changer tout ça !

     

  • Ce texte n'a reçu aucun prix et n'a pas été apprécié ...... j'y peux rien, merde !

     

    Yfig

     

    Le 13 février 2012

     

    • USA : perdre son logement dans un pays où le président s’appelle Barack

     

    Les personnages :

     

    Sean Goldmann  :  Banquier – attaché de clientèle de la banque Sachs et Goldmann.

     

    Jack Sachs : C’est l’agent immobilier de la banque Sachs et Goldmann chargé de vendre la maison des Baraque ….

     

    Marcel Baraque : Client endetté qui vient demander des délais de paiement et se fait piquer sa baraque.

     

    Priscilla Baraque : Sa femme

     

     

     

     

     

    Sean Goldmann  (à la porte de son bureau, accueille ses clients) : Entrez, je vous en prie.

     

    (Marcel et Priscilla entrent et s’asseyent dans les chaises que leur montre Sean qui lui-même se rassoit  derrière son bureau.)

     

    Sean Goldmann  (Derrière son bureau) : Que me vaut le plaisir ?

     

    (Marcel et Priscilla ouvrent de grands yeux, ils se regardent, visiblement ils ne comprennent pas le langage des banquiers.)

     

    Sean Goldmann  (Derrière son bureau) : Pouvez-vous me dire ce qui vous amène ?

     

    Marcel Baraque : On voudrait faire un emprunt.

     

    Sean Goldmann : Un emprunt pour quoi faire ? Consommation courante ? Achat de véhicule ? De bien immobilier ? Investissement spéculatif ?

     

    (Marcel et Priscilla restent cois et interrogatifs, ils échangent des regards interrogatifs, puis Marcel se lance)

     

    Marcel Baraque : Ce serait pour un emprunt pour payer une dette.

     

    Sean Goldmann : Une dette ?  Quelle sorte cette dette ?

     

    Marcel Baraque : Ce serait pour payer la maison.

     

    Sean Goldmann : Pour acheter une maison ?

     

    Marcel Baraque : Non, non, c’est pour rembourser un crédit qu’on n’a pas pu payer.

     

    Sean Goldmann : Mais qui est votre banquier ?

     

    Marcel Baraque : Ben …. C’est vous monsieur Goldmann.

     

    Sean Goldmann : Vous avez un compte chez nous?

     

    Marcel Baraque : Ben …. Oui !

     

    Sean Goldmann (semble soudain beaucoup moins aimable) : Votre nom, je vous prie ?

     

    Marcel Baraque : Baraque.

     

    Sean Goldmann : Comme notre président ?

     

    Marcel Baraque : Non, pas tout à fait, je descends d’une vieille famille française et mon nom ne s’écrit pas comme le prénom de notre président !

     

    Sean Goldmann (tapote sur le clavier de son ordinateur)  : Je ne trouve pas, vous pouvez épeler ?

     

    Marcel Baraque : B A R A Q U E

     

    Sean Goldmann : Votre prénom est Marceule (il prononce à l’américaine)

     

    Marcel Baraque : Ca se prononce ‘Marcel’

     

    Sean Goldmann : Vous êtes né ?

     

    Marcel Baraque : Ici, à Obama dans l’Oklahoma.

     

    Sean Goldmann : Et vous madame, votre prénom et lieu de naissance ?

     

    Priscilla Baraque : Priscilla, née ici à Obama dans l’Oklahoma.

     

    Sean Goldmann : Eh bien vous avez bien fait de venir, vous allez m’éviter de vous envoyer un courrier de 4$, à vos frais, pour vous convoquer. Vous n’avez pas payé vos trois dernières traites pour le remboursement du prêt de votre maison. Nous avons entamé une procédure de poursuites.

     

    Priscilla Baraque : Ben …  nous sommes là pour cette raison, pour demander votre aide.

     

    Sean Goldmann : Selon votre dossier, vous avez acheté votre maison il y a six mois et ça fait trois mois que vous ne payez déjà plus ! Vous n’avez pas honte ?

     

    Marcel Baraque : J’ai perdu mon boulot le jour où nous avons emménagé. J’étais convoyeur de fonds pour votre banque mais vous m’avez viré le jour où nous avons signé le prêt.

     

    Sean Goldmann : Moi je ne suis que chargé de clientèle, je n’y suis pour rien.

     

    Priscilla Baraque : Ben ….  Si …  vous pouvez nous faire un prêt pour qu’on vous rembourse notre retard.

     

    Sean Goldmann : Mai si je vous faisais un prêt, avec quoi le rembourseriez-vous ?

     

    Marcel Baraque : Je vais retrouver du boulot, on est en Amérique, quand même, tous les rêves sont possibles !

     

    Sean Goldmann : Oui à condition d’avoir de l’argent !

     

    (Un silence)

     

    Sean Goldmann : Bon, vous en avez de l’argent, parce que sinon on va vous prendre votre maison pour nous rembourser nous-mêmes.

     

    Marcel Baraque : Vous ne pouvez pas faire ça !

     

    Sean Goldmann : Ah bon ! Et pourquoi on ne pourrait pas faire  ça ?

     

    Marcel Baraque : Parce que dans ce cas là vous allez perdre de l’argent, puisqu’on ne vous paiera pas !

     

    Sean Goldmann : On vendra votre maison et on gardera l’argent !

     

    Priscilla Baraque : Si vous faites ça, je vous tue !

     

    Marcel Baraque : Euh ! Ma femme veut dire qu’on vous fera un procès.

     

    Sean Goldmann : Faudrait que vous ayez de l’argent pour payer l’avocat, ces gens là ne travaillent par pour rien !

     

    Priscilla Baraque : On empruntera, vous n’êtes pas la seule banque des Etats Unis !

     

    Sean Goldmann : Avec votre taux d’endettement, personne ne voudra vous faire crédit.

     

    Priscilla Baraque : On vendra la maison.

     

    Sean Goldmann : Elle nous appartient, elle est hypothéquée.

     

    Priscilla Baraque : Dans ce cas vous n’avez qu’à payer vous-même les mensualités.

     

    Sean Goldmann : Non ! Je vais tout reprendre depuis le début parce que vous semblez ne pas bien comprendre dans quelle situation vous vous êtes fourrés !

     

    Marcel Baraque : Dites plutôt que c’est vous qui nous y avez fourrés !

     

    Sean Goldmann : Vous n’aviez qu’à pas signer.

     

    Marcel Baraque : Vous êtes venu nous chercher.

     

    Sean Goldmann : Mais c’est n’importe quoi !

     

    Priscilla Baraque : Depuis combien de temps travaillez-vous pour la banque, monsieur ….. monsieur comment, déjà ?

     

    Sean Goldmann : Monsieur Sean Goldman, attaché de clientèle à la banque Sachs and Goldman depuis une semaine.

     

    Priscilla Baraque : Eh bien vous n’étiez donc pas là quand nous avons signé, vous ne savez rien de ce qui s’est passé !

     

    Sean Goldmann : Je travaillais pour la succursale de  Ralleigh, North Caroline(prendre l’accent américain), nous pratiquons partout de la même manière.

     

    Marcel Baraque : Alors vous savez bien que vous nous avez embarqués dans vos sales combines.

     

    Sean Goldmann : Dites donc, restez polis !

     

    (Un silence)

     

    Sean Goldmann  (pianotant sur le clavier de son ordinateur) : Bon ! Je contacte notre agent immobilier nous verrons ce que nous pouvons faire.

     

    Priscilla Baraque : Il va sûrement tout faire pour nous rendre notre argent.

     

    Sean Goldmann : Tout dépend de la valeur résiduelle de votre bien …. Mais je ne veux pas anticiper sur les conclusions de notre expert.

     

    Marcel Baraque : Alors après nous avoir vendu un crédit, vous nous avez foutu à la porte et maintenant vous voulez nous piquer la maison que vous refusez de nous aider à payer et c’est votre expert que vous avez envoyé … parce que nous l’avons bien vu roder autour de notre maison, votre expert …

     

    Sean Goldmann : Ecoutez monsieur Baraque, si vous ne voulez pas qu’on vous aide, je vous envoie les huissiers et vous vous débrouillez avec eux !

     

    Priscilla Baraque : Envoyez les … on les tue !

     

    Marcel Baraque : Ma femme veut dire qu’on ne leur ouvrira pas la porte.

     

    Sean Goldmann : Ouaip ! Vaut mieux pas avancer des menaces !

     

    Priscilla Baraque : La menace, c’est vous et ça craint !

     

    Jack Sachs (fait son entrée – très jovial, il tend la main aux époux Baraque) : Bonjour, bonjour,  non, non ne vous levez pas …  je suis Jack Sachs, conseiller immobilier de la banque Sachs et Goldman, comment allez-vous ?

     

    Priscilla Baraque : Merci, très mal !

     

    Marcel Baraque : On ne peut plus mal !

     

    Jack Sachs : Allons, allons, tout peut s’arranger dans la vie, il faut la prendre du bon côté !

     

    Marcel Baraque : Plus facile à dire qu’à faire !

     

    Sean Goldmann : Jack, vous connaissez, je crois, les époux Baraque ? Vous êtes allé voir leur maison pour en faire une évaluation, c’est bien ça ?

     

    Jack Sachs : Mais oui, bien sûr, très jolie maison, très bien située, un bel investissement ….

     

    Sean Goldmann : Les époux Baraque ne paie plus les traites de leur emprunt et nous nous voyons dans l’obligation de saisir la maison pour la revendre et nous payer de notre prêt.

     

    Jack Sachs : Ah ! Oui, non, je confonds, c’est Baraque votre nom ? Oui, ah ! je pensais à la maison des Barbaque, vous voyez, c’est presque pareil …  mais la maison, non, c’est pas pareil du tout, la votre est très mal située, complètement invendable, surtout que le terrain est humide et le voisinage, Oh ! la la ! le voisinage, pas fréquentable le voisinage  ….  Personne ne voudra d’une maison comme ça !

     

    Priscilla Baraque : Mais vous vous moquez de nous,  c’est pas possible, notre maison est toute neuve, dans un ensemble résidentiel avec commerces, hôpital, salle de sport, piscine et   …..

     

    Jack Sachs : Je suis désolé chère petite madame, mais les propriétaires de votre ensemble résidentiel sont en train de vider les lieux, la plupart ne peuvent plus payer leurs mensualités leurs maisons sont vendues au plus offrant et les nouveaux propriétaires sont très     comment dire …. très …

     

     Marcel Baraque : Cherchez pas, on a compris, vous êtes en train de vous payer notre tête, mais nous demanderons une contre expertise …..

     

    Sean Goldmann : Et vous le paierez comment l’expert ?

     

    (Un silence)

     

    Jack Sachs : En tout cas, j’ai fait une évaluation de votre bien et je pense que nous pouvons le mettre en vente à 150.000 $

     

    Priscilla Baraque (très animée, au bord de la crise de nerfs) : Quoi ! Mais nous avons emprunté 250.000 $

     

    Jack Sachs : Je vous ai donné les raisons de mon évaluation, voulez-vous que je vous les rappelle …

     

     Marcel Baraque : Si nous vendons notre maison pour seulement 150.000$, qui paiera les autres 100.000 ?

     

    Sean Goldmann : Il est évident que puisque vous aviez emprunté 250.000$ si nous reprenons votre maison pour 150.000$ vous devrez continuer de nous rembourser les 100.000$ de différence, nous vous faisons cadeau des frais d’expertise, mais il y aura des frais de dossier et de levée d’hypothèque et …..

     

    Marcel Baraque (hurle très en colère) : C’est du vol, de l’escroquerie,  de la filouterie, nous allons porter plainte, vous ne vous en tirerez pas comme ça !!!

     

    Priscilla Baraque (très animée, au bord de la crise de nerfs elle se lève menaçante …) : Je vais vous  tuer !

     

     Marcel Baraque : Et moi je vais la laisser faire …  je vais même l’aider ….  (il se lève et se lance dans la bagarre avec sa femme …)

     

    (s’en suit une grande confusion … tout le monde se débat …se tape dessus et crie)

     

    Sean Goldmann (crie) : Sécurité … sécurité … sécurité ….

     

     

     

    (Tout le monde s’arrête et ils partent sauf Priscilla qui reste devant le public)

     

     

     

     

     

     

     

    Priscilla Baraque : Toute cette farce est une pure fiction et n’est absolument pas inspirée de faits réels ayant existés, nous savons bien, vous et moi, que ce genre de situation n’est jamais arrivée et n’arrivera jamais. C’est pourquoi il vaut mieux en rire !

     

     

     

    Tout le monde rit

     

     

     

     

     

    FIN

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • J’ai reçu un coup d’fil de mon amie la marquise du chaos …. Je l’ai, bien entendu, rassurée : tout va très bien !

     

    Certes, après la Grèce et la découverte du tonneau des Danaïdes par les archéologues de la banque Hellène, Sancho Pança nous informe que Dom Quichiotte n’est plus en mesure de chevaucher Rossinante en raison d’une crise hémorroïdaire particulièrement violente dans la zone du Santander et de la Bankia (entre autres) ; mais il ne faut pas s’alarmer de ces petites misères, car,  grâce aux tout nouveaux ministres (en particulier celui de l’économie de bouts d’chandelles assisté du ministre du redressement positif de la verge molle …) la France a les moyens d’obliger ces cons de Teutons à payer la note sans moufter !

     

    La botte secrète de F.H. …. Son œil de bibiche !

     

    C’est moi qui lui ai enseignée. Il faut se mettre de profil puis, comme un fou de Bassan en rut ou un hibou chat cachou, tourner la tête vers l’ennemi pour le regarder en face avec une vive animosité avant de le surprendre et le faire craquer en lui faisant un clin d’œil très doux  ….  Non, pas Doux …. doux avec une minuscule !

     

    Bois moi un ti bout doudou …..  4700 emplois directs et 6000 (et plus si affinités) sous-traitants ….. merde ! c’est qui qui va payer nos retraites si tous ces jeunes cons se foutent au chômedu !!! ??????????

     

     Bien entendu, le gouvernement tout neuf n’est pour rien dans cette débandade ….  Mais pourquoi ai-je comme l’impression qu’il soigne le malade avec une cure de KBr (formule chimique du bromure de potassium utilisé par l’armée pour émasculer chimiquement les jeunes recrues boutonneuses !)

     

    F.H. nous fait le coup du mec normal (cf Colucci) …. Blanc …. Un peu juif, juste ce qu’il faut … qui prend ses bains au milieu de la foule (buerk !) …  il nomme premier ministre un Belge de Nantes qui lui-même appelle à ses côtés des personnes anormales (pour équilibrer le bouzin).

     

    Tu la sens ?

     

    Non ?

     

    Ben …. Attends un peu, tu vas voir !!!!! 


     

     

     

  • Renaud Séchan pcc Yfig ....... et les gogoches !


     

    On les appelle pigeons phalènes

     

    Ou bien gogoches pour les intimes

     

    Dans les chansons de Ségolène

     

    On les retrouve en pleine trime

     

    Ils sont issus d’une vieille classe

     

    Après les courges et les scatos

     

    Pas loin des gauffres, quoique plus chiasses

     

    Je vais vous en faire l’ lever d’rideau

     

    Sont tous autistes c’est comme ça

     

    Mais leur passe-temps c'est l’populo

     

    Dans l’dramatique et les pieds plats

     

    Sont pas peu fiers d’êt’ des gogos

     

     

     

    Les gogoches, les gogoches

     

    Les gogoches, les gogoches

     

     

     

    Ils vivent près des lieux pavés

     

    ou dans une caravane tout’ moche

     

    Asiles d’autistes pour ch’tarbés,

     

    Ils admirent  tant l’général Foch

     

    ont des enfants dont faut s’méfier,

     

    qui sucent leur pouce jusqu’à 20 ans

     

    Qui chient d’travers sans se priver

     

    Priver d’ caillera, et de bon temps

     

    L’anus qui fume, je les comprends,

     

    font leurs mariolles leurs intellos

     

    Ont des 4x4, mais pas un franc,

     

    C’est pour ça qu’ils ont des vélos

     

     

     

    Les gogoches, les gogoches

     

    Les gogoches, les gogoches

     

     

     

    Ils achètent ‘où est l’bec’ philippe Delerme, Onfray et Télérama,

     

    Mais ne les lisent, c’est rassurant

     

    D’ailleurs y manquerait plus qu’ça.

     

    Ils z’yeutent les restos Congolais mais de loin

     

    Ils passent devant sans s’arrêter

     

    La côte de bœuf dans le lointain

     

    Ils la regardent mais sur ARTE

     

    Canal peluche, télé porno

     

    Sauf pour les matchs du PSG

     

    Là ils ont télé rigolos

     

     

     

    Les gogoches, les gogoches

     

    Les gogoches, les gogoches

     

     

     

    Ils écoutent sur leur chaîne hi fi

     

    Radio KTO toute la nuit

     

    Alain Bashung Jacques Dufilo

     

    Et forcement Albert Ducros

     

    Ils aiment le rouge sans même savoir

     

    que l’rouge ça tâche

     

    Bedos cet abruti d’bâtard,

     

    Ce ringard cette ganache

     

    Ils votent Jack Lang et Sarkozy

     

    Mais aiment surtout les z’écolos

     

    Ils enculent le Maire de Paris,

     

    Ardisson et son pote Marco

     

     

     

    Les gogoches, les gogoches

     

    Les gogoches, les gogoches

     

     

     

    La femme ressemble à Ségolène

     

    Et l'homme a des allures d’ barjo

     

    Pour leur cache-sexe alu-xylène

     

    Zadig  Voltaire Chrisine Bravo

     

    Ils montrent des mines fatiguées,

     

    les estaminets et les arts martiaux

     

    boivent du coca glacé en écoutant la pluie tomber

     

    une plume dans l’cul bien déchiré

     

    Pour ces gens que je n'aime pas trop

     

    par certains côtés, je redoute…

     

    Qu’on est pas là d’s’en débarrasser

     

     

     

     

     

    Les gogoches, les gogoches

     

    Les gogoches, les gogoches

     

     

                                                                                               @ Yfig 

     

    (tous droits réservés y compris pour les îles Kergélen et le Boukistan)

     

  • Der Fliegende Holländer

    Le Vaisseau fantôme

     

    est un opéra allemand de Richard Wagner, créé en 1843.

     

    Je vous conseille le début, le chant des marins .....  c'est beau comme un soir de 6 mai .....  mais après, malheureusement ça se gâte grave !!!!!!

  • J'aurais bien ajouté ma voix aux voix des électeurs mais pour dire quoi ? Que puis-je dire qui n'ait été déjà dit tant de fois ?

     

     

     

    Jusqu'où faudra-t-il que nous allions avant que le peuple ne se révolte contre ses maîtres incompétents ?

     

    Voici venu le tour des vautours socialistes de se jeter à bec rabattu sur la carcasse de notre pauvre France.

     

    Nous allons assister, cois, au désolant spectacle de la curée.

     

    Revoir Lang, volaille nécrophage et sa gai parade, sa fête de la musique et sa gueule de vérole se servir de l'État pour ses frasques marocaines et ses cadeaux à ses mignons puants …..  rien que d’y penser ça me donne envie de gerber !

     

    Revoir Drey, pie grièche écorcheur et ses toquantes tocardes et ses chèques d’adhérents qui échouent inexplicablement sur son compte en banque pendant qu’SOS racisme perçoit 500.000 euros de subventions ….  D’y penser mon cœur se serre et mes tripes ‘spasment’ !

     

    Revoir Fabius, corneille friande de proies tendres et clamsées par le sang contaminé responsable sans se rendre coupable mais capable de se faire coudre des poches surnuméraires pour y cacher du numéraire …. D’y penser mon âme révulse et mes tripes se vident !

     

    Valls, Moscovici, Aubry, Cambadélis, Bartolone, Sapin, Montebourg, Lienemann, Mélenchon ……  tout ces rapaces charognards qui se tapent des ailes et du jabot à qui aura les meilleures places pour lui-même sa famille et ses potes ….  Véhicules de fonction, défraiements généreux, indemnités et largesses, frais de bouche et de cul …. D’y penser mon corps se nécrose et mes jambes flageolent !

     

    Et pour finir, le vicelard de service et ses manières de faux cul faux savant faux dur faux honnête qui pique dans les poches des étudiants et brûle les cassettes compromettantes prétendant être couvert par son passeport diplomatique mes couilles de 5 à 7 ouk élabonne …….  D’y penser  …..  je meurs …. Pour 5 années ou moins ….. car les peuples ont parfois de soudain sursauts de clairvoyance …… on peut toujours rêver pendant que les socialos se gaveront comme des ursidés prévoyants un rude hiver !


    Pour les marmottes de l'UMP il est temps d'hiberner !

     

  • Prochainement .... une pièce en 3 actes de 3 scènes .... comédie dramatique ...

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    Apocalypse nucléaire

     

    comédie dramatique en 3 actes de 3 scènes chacun.

    6 personnages pour 3 comédiennes et 3 comédiens.
    Durée estimée : 1 heure 30.

    Malgré l'intensité dramatique que dégage cette pièce de théâtre aux effets spéciaux explosifs, l'humour est présent tout au long de l'intrigue dont la chute particulièrement originale laissera longtemps le spectateur sur l'expectative !   

     

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  • Les syndicats FO CGT CFDT et tutti quanti …. Un seul mot d’ordre : « plein les fouilles » !

     

    Les permanents des syndicats français sont payés par les valises de billets du MEDEF et par les subventions gouvernementales.

     

    Pourquoi voulez-vous qu'ils défendent les intérêts de la classe ouvrière ?

     

    Tous ceux qui travaillent le savent bien puisque lorsqu'on demande l'aide d'un syndicat, le PDG du syndicat vous explique pourquoi vous ne devez pas attaquer (ils ne parlent jamais de se défendre) votre employeur parce que dans ce cas, expliquent-ils, vous risquez de nuire à vos "camarades".

     

    Dans les autres pays en particulier en Allemagne, les syndicats sont financés par les cotisations ils ont donc intérêt à défendre les ouvriers etam et cadres s'ils ne veulent pas disparaître.

     

    Mais en France .... ils vivent comme des pachas à ne rien foutre !

     

    Mais le pire, peut-être, c’est que les permanents et les délégués syndicaux sont si sûrs de leur position de force tranquille de rentiers qu’ils adoptent volontiers des postures de kapos !

     

    Leur magnificence n’a d’égale que leur dédaigneuse arrogance de potentats affidés aux patrons et aux finances.

     

    Si, aujourd’hui, les syndicats français devaient se financer des cotisations de leurs adhérents, ils disparaîtraient en quelques mois.