Hier soir, un bouquet aux parfums de mendicité et petites culottes mouillées a parcouru notre chère télé.
D’un côté le « t’es laid thon », de l’autre « miss flanche » … non, pardon, France !
Cette mendicité accompagnée de chansons, de bouffons et de malheureux enfants atteints de maladie « orpheline » (pas tant que ça puisque les bambins les portent en eux !
Cette mendicité pour cumuler des fonds dont 20% iront alimenter les frais de bouche, de transport, de papier, de salaires et d’argent de poche du président et de ses petites secrétaires qui ne se présentent pas à l’élection de la plus belle chatte de France, de Navarre et du Boukistan – le Boukistan représenté bavement par Delon Alain le léchouilleur de petites jeunes filles de 19 ans qui n’ont pas adopté de maladies fussent-elles orphelines.
Les 80% serviront à payer des chercheurs et du matériel.
Mais …… les chercheurs, faut les payer ?????
Et le matériel, ils n’en font pas cadeau ?????
Moi, je n’arrive pas à comprendre pourquoi donner son argent pour que d’autres se paient avec ??? C’est au gouvernement de financer la recherche, pas à monsieur Dupond et madame Dupont ! Non ?
Comme c’est de l’argent donné, il n’y a pas de contrôle.
Ah ! oui, je sais ce que vous allez m’objecter …. Ils nous rendent compte de l’utilisation des fonds !
Ouais, mais ils disent ce qu’ils veulent bien …. Qui vérifie leurs dires ?
Contrôle interne ! Ouais, moi aussi je me contrôle ! (cliquez)
Que du blabla, aucun détail, aucun rapport complet !
Ah ! Oui, le rapport de la cour des comptes (de 1998 à 2004 – après, plus rien …) (cliquez)
ATTENTION ! Mon ordinateur a explosé pendant la consultation du rapport ?????
Et qui le lit ce rapport ?
Moi, bien sûr, et que dit-il ?
Oh la la ! Bien des choses en somme … lisez-le et faites-vous votre propre opinion.
Exemples :
74 COUR DES COMPTES
.
***
Au total, la Cour constate qu’une proportion prédominante des
dépenses de communication (et notamment du coût de fonctionnement du
service de la communication, des dépenses de relations avec la presse ou
des publications) est imputée en missions sociales. Son examen des
dépenses et des imputations la conduit à formuler des réserves sur cette
proportion.
32) Il
76 COUR DES COMPTES
Le compte d.emploi des ressources de l.AFM ne comporte que des
informations extrêmement succinctes sur le contenu des frais de
fonctionnement : de 1994 à 2001, les rapports annuels précisent
seulement, dans l.annexe au compte d.emploi, que les frais de
fonctionnement concernent « le fonctionnement des instances associatives
(assemblée générale, conseil d.administration, direction générale), des
services communs (administration, informatique, comptabilité, ressources
humaines) et de la communication. Le poste frais de communication
comprend la communication financière (.) ».
Les frais de fonctionnement se sont substantiellement alourdis
entre 1994 et 2001 : ils ont doublé en valeur absolue entre 1994 et 2001,
passant dans le compte d.emploi de l.AFM de 4,8 M€ en 1994 à 9,5 M€
en 2001.
B – La rémunération des cadres dirigeants
L.AFM communique peu sur le niveau des salaires de ses
dirigeants salariés. Pour les années 1994 à 2001, on ne trouve
d.indications (succinctes) sur ce point que dans les rapports annuels 1996
et 1997.
En 1997 est indiquée la « moyenne des dix premières
rémunérations annuelles brutes des salariés », qui s.élève à 78 358 €, soit
une « progression de 4,3 % » par rapport « à une situation équivalente en
1996 ». Entre les données figurant dans les rapports 1996 et 1997, la
progression de la rémunération annuelle moyenne est en réalité de
10,5 %, et non de 4,3 % ; mais cet écart est difficile à interpréter car
33) Source : AFM, service des ressources humaines.
78 COUR DES COMPTES
l.AFM ne précise pas en quoi consiste la « situation équivalente » entre
1996 et 1997.
Depuis le rapport 1997, aucune information n.a été communiquée
au public par l.AFM sur le niveau de rémunération de ses cadres. L.AFM
a exposé à la Cour en mars 2004 qu.elle est « prête à reconsidérer sa
communication sur les salaires de ses cadres, pour autant que cela relève
d.une démarche commune au monde associatif et de toute structure ayant
obligation de rendre compte à ses financeurs ». Il est à noter toutefois que
différents organismes faisant appel à la générosité du public ont été
récemment sollicités sur ce point par une revue 34 mais que l.AFM n.a
pas communiqué d.indications.
C – Les indemnités de licenciement
L.AFM a licencié entre huit et douze personnes par an entre 1998
et 2001 et leur a versé les indemnités de licenciement conventionnelles
résultant du statut du personnel en vigueur à l.AFM. A ces indemnités
conventionnelles, l.AFM a ajouté dans près de la moitié des cas des
indemnités dites « exceptionnelles » ou « transactionnelles ». Ainsi deux
cadres, qui n.étaient pourtant restés que onze mois chacun, et dont le
recrutement, confié à un cabinet spécialisé, avait été facturé à l.AFM
20 315 € et 16 410 €, ont perçu respectivement 36 283 € et 45 735 €.
D – Les avantages en nature
Un certain nombre d.avantages ont été consentis par l.AFM à
plusieurs salariés35.
1 – Logement de fonction
Après la nomination de sa directrice générale en 1991, l.AFM a
acquis une maison dans l.Essonne pour 0,256 M€36 ; bien que la
directrice générale ait quitté l.AFM en 1998, elle a occupé cette maison
jusqu.au milieu de l.année 199937. Si l.achat de la maison a été, comme
le prévoient les statuts de l.association, approuvé par l.assemblée
générale, le procès-verbal de celle-ci ne fait pas apparaître que la
destination de la maison avait été portée à la connaissance des adhérents.
L.AFM a invoqué pour justifier l.achat de ce bien immobilier la
nécessité de loger son directeur général dans l.Essonne. Cependant, aucun
autre directeur général de l.AFM n.a résidé ou ne réside dans l.Essonne
ni n.a bénéficié d.un logement de fonction. Or les associations reconnues
d.utilité publique « ne peuvent posséder ou acquérir d.autres immeubles
que ceux nécessaires au but qu.elles se proposent », selon l.article 11
modifié de la loi du 1er juillet 1901.
Bien que l.AFM ait exposé chaque année dans son rapport annuel
la composition de l.ensemble de son patrimoine immobilier, cette maison
n.y a jamais figuré. Les donateurs n.ont donc pas eu connaissance de son
achat, de son utilisation ou de son coût.
Bon ! j’arrête, tout est à l’avenant ……. Vous l’avez bien compris, le blabla de la transparence de l’AFM cache en réalité un marécage abominable dans lequel pataugent allègrement quelques profiteurs qui se gavent sur le dos des mioches malades …. Et qui les choisit les mioches et leurs maladies ? et qui d écide de qui est pris en charge ou pas ? etc ….
Je ne peux même pas rebondir sur les misses … La bourguignonne élue est une madeleine, et Delon est tout petit à côté d’elle, il lui lèche le cou en attendant de lui lécher le cul !
Spectacles désolants ….. mais, en zappant …. C’est beaucoup plus rigolo !