Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

à bas la culotte - Page 12

  • Nue au milieu de nulle part, elle me regardait prendre ma douche sous un grand baobab banzaï ... sacrée bibiche !

    Je ne sais pas si vous avez vous aussi votre propre technique pour vous endormir, mais moi, je trouve le sommeil en me racontant des histoires .......

    Le truc (vous voyez ce que je veux dire ....)  c'est qu'avec l'endormissement progressif, l'histoire prend des chemins sinueux et abscons.

    Ça commence toujours bien ... une belle histoire bien structurée avec des personnages simples et sensibles, d'aimables jeunes femmes et gentils garçons qui s'attroupent pour venir assister à mes bobards et qui commencent à fondre comme des bougies pour mieux se redresser au fin fond d'une case africaine où veille un vieux hibou à lunettes qui chique une grosse feuille de tabac en jouant du banjo ... et puis le salaud de banquier sonne à la porte de la masure délabrée inondée sous des trompes (ou des trombes) d'eaux vaporeuses comme des choux à la crème trempés dans le potage de potiron ....

    Je vous fais grâce de la suite qui est à l'encan.

     

    Bon ! D'habitude, c'est comme ça.

    Mais là, pas de bol, j'ai un rhume carabiné .... impossible de jouer la partition, les notes gigotent en tous sens et les instruments sont tous à vents .... la galère !

    Bon ... à une autre fois, là, je vais m'envoyer des cachets d'efferalgan et des gouttes pourries dans le tarbouif !

  • Pourquoi .... pourquoi .... encore et toujours pourquoi .....

    Pourquoi ...


    Ne suis-je pas gardien de musée ?

    Parce que j'ai horreur des vieilleries !

     

    Ne suis-je pas chef d'escadrille ?

    Parce que je ne vole pas !

     

    Ne suis-je pas imam dans un hammam ?

    Parce que ma maman voulais que je sois mendiant à fausse jambe de bois et vrai manteau troué !

     

    Ne suis-je pas simien au zoo de Khartoum ?

    Parce que j'ai vu de mes yeux vu comme ils sont maltraités avec les caniches et les tortues géantes !

     

    Ne suis-je pas riche ?

    Parce que je suis trop honnête et que je me fais toujours arnaqué et que je m'en fous !

     

    Ne suis-je pas le roi de France ?

    Parce que je tiens à conserver ma tête sur mes épaules afin de mieux discerner le faux du vrai et le vice de versa !

     

    Ne suis-je pas dieu ?

    Parce que moi ........ j'existe !

     


  • Pourquoi ne suis je pas sycophante ....... ?

    Bah ! pourquoi aurais-je dû ou pu ?

    J'espère que mes voisins ne s'amuseront pas à écrire au fisc pour me dénoncer !

    J'espère que le fisc ne cherchera pas à m'inventer des histoires histoire de m'en faire !

    Moi, j'aime la tranquillité et les soirées au coin du feu à regarder les flemmes danser comme des gitanes enflammées !!!

     

     


  • L'utopie est de notre siècle, l'angélisme encouragé par les fourbes qui attendent en embuscade qu'on les laisse s'emparer du vaisseau ... bientôt !

     

     

    Conclusion du rapport  connaissance - reconnaissance :

     

    Pour conclure (temporairement) on pourrait se donner comme défi,comme nous y encourage Amin Maalouf, de «… faire en sorte que personne ne se sente exclu de la civilisation commune qui est en train de naître, que chacun puisse y retrouver sa langue identitaire, et certains symboles de sa culture propre, que chacun, là encore, puisse s’identifier, ne serait-ce qu’un peu, à ce qu’il voit émerger dans le monde qui l’entoure, au lieu de chercher refuge dans un passé idéalisé.Parallèlement, chacun devrait pouvoir inclure dans ce qu’il estime être son identité, une composante nouvelle, appelée à prendre de plus en plus d’importance au cours du nouveau siècle, du nouveau millénaire: le sentiment d’appartenir aussi à l’aventure humaine.»93



    Belle pensée !

    Mais pourquoi ne pas aller ailleurs la promouvoir ?

    Retrouver sa langue identitaire, sa culture propre, ce qu'il estime être son identité ....  et mon cul ... c'est du 'djaj' ?


    djaj : poulet en arabe.

  • Pourquoi, oui, pourquoi ne suis-je pas haut fonctionnaire ....... ?

    C'est vrai, ça, pourquoi n'ai-je donc pas suivi la voie royale de l'ENA et de la fonction publique qui gouverne le pays et s'auto-censure, s'auto-rémunère, s'auto-récompense, s'auto-médaille .... pourquoi ? oui, pourquoi ?

    J'aurais pu participer à l'élaboration à la

    Refondation de la politique d’intégration : relevé de conclusions des groupes de travail

     

    Pas besoin de se farcir la lecture de tous les rapports, les seuls sommaires suffisent à comprendre le tout !

     

    Sommaire  Protection  sociale


    1. Enjeux ....................................................................................................................................................................... 5
    Un enjeu de dignité ................................................................................................................................................ 5
    Un enjeu de cohésion sociale .............................................................................................................................. 5
    Cohésion sociale et valeurs de la République ................................................................................................. 6
    Un enjeu de santé publique ................................................................................................................................. 6
    2. Un constat récurrent : le recours aux dispositifs de droit commun est rarement effectif et les
    situations de rupture de droits sont très nombreuses ...................................................................................... 9
    Des règles de droit complexes et méconnues ................................................................................................ 9
    Un droit inadapté aux parcours de vie spécifiques des immigrés ............................................................. 11
    La nécessité d’un droit adapté effectif et non discriminant ........................................................................ 11
    Recommandations ............................................................................................................................................... 13
    3. La nécessité de généraliser et renforcer des dispositifs d’accueil et d’accompagnement adaptés ... 15
    Un accueil adapté et professionnalisé ............................................................................................................. 15
    L’amélioration de l'information des publics par une plus grande adaptation des supports et une
    meilleure formation des personnels ................................................................................................................ 16
    Des actions d’informations variées pour être mieux adaptées ............................................................ 16
    L’indispensable formation des personnels ................................................................................................. 16
    La nécessité d’un accompagnement adapté et professionnalisé ................................................................ 16
    Le recours généralisé à l’interprétariat professionnel pour répondre aux enjeux liés à la barrière
    de la langue ....................................................................................................................................................... 17
    Le développement et l’indispensable reconnaissance des métiers de tiers social, créateurs de
    liens ..................................................................................................................................................................... 17
    Recommandations ............................................................................................................................................... 18
    4. Des conditions de travail et de vie difficiles, source de grande précarité et d’un état de santé plus
    dégradé que la moyenne ......................................................................................................................................... 19
    Des conditions d’arrivée qui aggravent l’état de santé des migrants ....................................................... 19
    Des conditions très difficiles de travail, source de grande précarité ....................................................... 19
    Des conditions de vie qui concourent à la dégradation de leur état de santé ...................................... 20
    L’état de santé des personnes immigrées est plus dégradé que la moyenne ......................................... 21
    Un non recours aux soins important .............................................................................................................. 21
    La protection maternelle et infantile doit être un axe essentiel non seulement en termes d’accès
    aux soins mais aussi de prévention .................................................................................................................. 22
    Recommandations ............................................................................................................................................... 23
    4
    5. Penser la formation des intervenants sociaux afin de prendre en compte la dimension
    multiculturelle de la société française qui est une réalité. .............................................................................. 25
    Rompre avec une culture professionnelle « endogamique » excluante et développer les
    compétences professionnelles des travailleurs sociaux par la formation continue .............................. 25
    Reconnaître la médiation sociale et l’interprétariat professionnel ........................................................... 27
    La formation en médiation sociale, une filière à créer, des métiers à soutenir et à pérenniser .. 27
    La formation des interprètes médicaux et sociaux ................................................................................. 28
    Recommandations ............................................................................................................................................... 29
    6. Repenser la gouvernance ................................................................................................................................... 31
    Développer la participation et la représentation des citoyens dans les instances décisionnelles pour
    élaborer, suivre et évaluer la mise en oeuvre, au niveau national et local, de la politique
    d’intégration .......................................................................................................................................................... 31
    Développer le partenariat et la co-construction entre les acteurs locaux ............................................ 32
    Recommandations ............................................................................................................................................... 33
    BIBLIOGRAPHIE ...................................................................................................................................................... 35
    LETTRE DE MISSION ............................................................................................................................................. 39
    MEMBRES DU GROUPE « PROTECTION SOCIALE » !................................................................................ 42

     

    Sommaire Mobilités sociales :

    Introduction............................................................................................................................................................. 3
    I.Eléments d'un nécessaire cadre politique............................................................................................................... 5
    « L'intégration », une mauvaise base pour (re)fonder une politique publique..............................................................5
    Quel est l'enjeu d'une telle politique publique ?............................................................................................................6
    Travailler le sentiment d'appartenance : un Nous inclusif et solidaire...........................................................................7
    Travailler sur les frontières de la société : pour une égalité concrète et vérifiable........................................................ 9
    II.Ce que nous enseigne l'histoire............................................................................................................................ 12
    Les années 1970 : l'invention du « problème de l'immigration ».................................................................................12
    Les années 1980 : émergence de nouveaux acteurs et requalification politique du problème...................................15
    Les années 1990 : de la normalisation vers la reconnaissance ?..................................................................................17
    Les années 2000 : un changement de cap politique avorté......................................................................................... 20
    De grandes constantes et répétitions, malgré les variations de l'histoire.................................................................... 25
    III.Ce que nous savons des processus...................................................................................................................... 27
    Le rapport de la société française à l'immigration : la fabrique de minorités.............................................................. 27
    Ce que nous savons des processus de discrimination.................................................................................................. 32
    Ce que nous savons des processus de ségrégation...................................................................................................... 42
    Expérience de la discrimination et rapport à la société française................................................................................ 45
    IV.Ce que nous avons appris de l'action antidiscriminatoire..................................................................................... 51
    Les limites d'une absence de politique publique .........................................................................................................51
    Intérêts et limites de quelques approches....................................................................................................................53
    Quelques conditions de pertinence des programmes d'action contextualisés............................................................62
    V.Ce que nous préconisons..................................................................................................................................... 65
    Une approche politique de la question. 20 principes pour fonder une politique publique.........................................65
    Une approche stratégique de l'action. 7 leviers transversaux pour organiser l'action publique.................................69
    Une stratégie spécifique dans le domaine scolaire et universitaire............................................................................. 72
    Une stratégie spécifique dans le domaine de l'emploi et du travail.............................................................................80
    VI.Bibliographie et indications de lecture................................................................................................................ 83
    Annexes................................................................................................................................................................. 90
    Lettre de mission du groupe de travail « Mobilités sociales »......................................................................................90
    Liste des participants au groupe de travail................................................................................................................... 93
    Auditions et contributions spécifiques......................................................................................................................... 94

    Très intéressantes lectures ne trouvez-vous pas ?

    Je vous laisse le soin de découvrir par vous-mêmes les autres rapports ... ils sont tous sensasssss !!!


    Et voilà pourquoi je ne suis pas 'haut fonctionnaire' !

  • Mais nom de dieu de bordel de merde, pourquoi ne suis je pas curé ....... ?

    C'est vrai, dans le fond, curé c'est une sinécure dans laquelle j'aurais pu m'épanouir, développer ma personnalité, mes dons et mes facultés extraordinaires de mensonges ....

    Va savoir ! ?

    ça tient à si peu de chose .... il aurait suffi que dieu existât et paf ! j'aurais fais cureton.

    La messe, les mariages, les enterrements, les communions, les baptêmes et les extras .... y'a du taf à faire !

    J'aurais considérablement augmenté les tarifs car j'aurais acquis du matos, des caméras, des projecteurs vidéos, des spots halogènes (pas allogène), j'aurais recruté des girls, des filles de putes de dieu pour montrer leurs nichons et leurs culs aux fidèles ébahis et conquis !

    J'aurais créé des chambres de passes dans la sacristie et une estrade de boîte de nuit dans la chapelle ... putain, j'aurais été un sacré bon dieu de curé !

  • Pourquoi je ne suis pas gendarme ....... ?

    Parce que je ne porte pas de chapeau, le chapeau ne va pas, il tasse ma silhouette et écrase mon visage qui n'en n'a pas besoin !

    J'ai failli être gendarme .... mais voilà, la vie en a décidé autrement .... Oh ! je sais que j'aurais pu être un bon gendarme, j'aurais arrêté des tas de voleurs et d'alcooliques sur les routes ... peut-être que ça aurait changé la France ....  on ne le saura jamais !

  • Pourquoi je ne suis pas banquier ....... ?

    Parce qu'ils n'ont pas le sens de l'humour et que j'ai démissionné de la SG en 1973 !

     

    Contrairement à ce que pensent les caves, le métier de banquier est plutôt cool. Pour faire le boulot d'une personne, on se retrouve à une dizaine, ça évite de trop se fatiguer et si l'un est malade ou mort, il y a toujours quelqu'un pour le remplacer.

    Bien sûr, cette sur sécurité a un prix .... mais ça rentre dans les frais généraux !

  • Pourquoi je ne suis pas pompier .......

    En regardant un reportage à la télé, j'ai compris pourquoi je ne suis pas pompier :

    ils dorment avec leur slip !