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  • Le 'NON' Irlandais pourrait-il servir d'autres causes ?

    Au hasard d’une lecture

     

    http://www.latribune.fr/info/La-France-prend-en-main-l-avenir-du-traite-de-Lisbonne-~-IDB7A0CDDA7A0F89B1C1257473004D3857

     

    Je tombe sur cet extrait :

    « Jean-Pierre Jouyet a dressé la liste des garanties que les Irlandais aimeraient potentiellement voir ajouter au traité : neutralité, impôts, valeurs religieuses, opposition à l'avortement...

    "Après avoir identifié ce qu'ils veulent, il sera possible de voir dans quelle mesure des négociations sur le traité devront être à nouveau engagées ou non" a ajouté Jean-Pierre Jouyet » 

    Qu’est-ce à dire ?

    Les Irlandais, à ce qu’on nous disait, votaient non parce qu’ils ne comprenaient pas, parce qu’on ne leur expliquait pas les termes du traité ….

    Et voici que se profile une négociation à la con sur une opposition à l’avortement et l’affirmation de valeurs religieuses pour l’Europe !!!!

    De qui se fout-on ?

    <> 

    S’agit-il d’une manipulation du ‘non’ ?

    Le ‘non’ cachait-il autre chose …..

    De toutes façons, on nous prend vraiment pour des cons …… ça ne fait qu’empirer !!!!!

    <> 

     

    Affaire à suivre ……

     

     

    lire le traité :

    http://www.traite-de-lisbonne.fr/

     

     

     

  • demain le grand jour ...........

     

     

     

     

    LA         GAI        PRIDE

     

     

    La gai pride

     

     

     

    gai               pride

     

  • Et si nous écoutions un peu ce que nos amis Africains ont à dire ?

    J'ai déplacé leurs posts de mon blog à chansons à celui-ci (à mon avis mieux adapté) 

    Je leur cède la parole .....

     

     

     

    Khomeiny

    Commentaires

    Figure controversée qui a dirigé la principale révolution du dernier quart du XXe siècle, né dans la petite ville de Khmein, située sur le plateau central d’Iran, Ruhollah Khomeiny descend d’une lignée de dignitaires chiites formés dans les séminaires de la ville sainte de Nadjaf, en Irak. Enfant, il perd son père, assassiné par un grand propriétaire foncier de la région.

    Il suit sa formation de clerc à Ispahan, ville traversée par les conflits de la révolution constitutionnelle et l’occupation anglo-russe (1906-1915). Dès 1927, il se fait une réputation de théologien hors normes dans la ville de Qom, qui observe sous une direction quiétiste un modus vivendi complice avec Reza Chah.

    Pendant le mouvement pour la nationalisation du pétrole, dans les années 1950, il soutient indirectement les Fedayins de l’islam, réseau marginal d’activistes qui a à son actif l’assassinat d’intellectuels laïques, d’un premier ministre du chah, et l’attentat contre le ministre des affaires étrangères de Mohammad Mossadegh.

    Mais c’est dans les années 1960 que, impliqué dans une bataille de succession à la tête de la hiérarchie religieuse, il profite de la crise pour politiser son discours contre le chah et sa « révolution blanche ». Son arrestation, au moment des deuils chiites de l’Achoura, en juin 1963, suivie d’un soulèvement populaire et de sa répression, le propulse à la tête de l’opposition au régime monarchique. Il est exilé à Nadjaf. Mais son opposition se radicalise et s’enracine dans les profondeurs de la société pour déclencher la révolution de 1978-1979.

    Chassé d’Irak, il s’installe à Paris, où, sous les feux des médias, il s’avère un fin stratège politique. Intransigeant face à la monarchie, il élabore un discours d’ouverture pour rassurer la « communauté internationale » et maintenir l’unité du mouvement révolutionnaire. Son retour triomphal à Téhéran, le 1er février 1979, aboutit dix jours plus tard au renversement de la monarchie.

    La République islamique est proclamée par référendum le 1er avril. Dans un pays traversé par des convulsions révolutionnaires, l’imam Khomeiny, auréolé de la légitimité religieuse, révolutionnaire et démocratique, s’avère de plus en plus autoritaire et implacable. Très vite, le discours d’ouverture est abandonné au profit de principes théocratiques.

    La longue crise des otages de l’ambassade américaine, déclenchée le 4 novembre 1979, lui offre l’occasion d’inscrire dans la nouvelle Constitution la tutelle cléricale sur l’Etat. Huit ans d’une guerre déclenchée par Saddam Hussein contre l’Iran lui permettent d’installer son régime, de réprimer toute opposition et d’éliminer ses rivaux de la scène politique. L’acceptation de la résolution 598 du Conseil de sécurité des Nations unies, le 18 juillet 1988, met fin à une guerre qu’il ne pouvait plus continuer face au soutien régional et occidental dont bénéficiait Saddam Hussein.

    Il meurt le 4 juin 1989 après avoir disgracié son successeur désigné, l’ayatollah Hossein Ali Montazeri, qui avait osé critiquer sa politique répressive.

    Ecrit par : Khomeiny | 26.06.2008

     

     

     

     

     

    reporter

    Commentaires

    SI quelqu’un comprend quelque chose à la vie politique marocaine d’aujourd’hui, que sa bonne action de l’année consiste à nous expliquer de quoi il en retourne ! Nous, comme disent les enfants qui jouent aux devinettes, nous donnons notre langue au chat. Nous capitulons. Nous avouons notre total échec à appliquer à l’échiquier politique marocain une des quelconques grilles de lecture que nous ont enseignées les professeurs de droit constitutionnel. Et des professeurs de « droit constit », nous en avons connus de ‘balaises’ : Maurice Duverger, Georges Vedel, Rémy Leveau et autre Michel Rousset. Nous avons « potassé » leurs manuels, suivi leurs séminaires quand ils sont venus dans nos facultés de droit. Et, sachant que certains d’entre eux n’étaient pas étrangers à la rédaction des premières constitutions du Maroc, nous n’avons eu de cesse de consulter leurs ouvrages qui décryptent la vie politique et constitutionnelle en général, marocaine parfois. Dépassé, tout ça ? Oui, incontestablement. Car ceux qui font la politique au Maroc actuellement - ceux qu’on appelle ‘les élites politiques’ ou ‘le leadership politique’ - mélangent toutes les règles du « jeu », y compris celles élémentaires d’une vie politique et constitutionnelle. Voire, les ignorent toutes et nous inventent un champ politique comme il n’en existe nulle part ailleurs...

    Bien sûr, partout dans le monde, la bonne vieille bipolarité qui facilitait la lecture des choses a pris du plomb dans l’aile. La gauche n’est plus radicalement à gauche et la droite n’est plus effrontément à droite. Tout le monde a glissé peu à peu vers le centre (centre-gauche, centre-droit). La gauche qui a survécu à la chute du mur de Berlin, a laissé tomber le communisme et même le socialisme pur et dur pour une social-démocratie à visage humain. Et la droite, confortée par l’effondrement du bloc de l’Est, s’est appropriée à son tour le social, moins pour concurrencer sa rivale de toujours, la gauche, que pour ne pas se laisser doubler, à son extrême droite, par les ultra-conservateurs, experts en populisme...

    Bien sûr aussi, au Maroc, la bipolarité gauche-droite n’a jamais été possible. La seule bipolarité qui ait dominé la vie politique depuis l’indépendance du pays (1956) et tout au long du règne de Feu Hassan II (1961-1999) a été la bipolarité Monarchie-Mouvement national. Un Mouvement national qui rassemblait tant les partis de droite (Istiqlal) et d’extrême droite (le Mouvement Populaire de l’époque) que de gauche (USFP) et d’extrême gauche (la défunte OADP), tous accessoirement unis dans leur bras de fer avec la monarchie.
    Bien sûr, enfin, avec le changement de règne (intronisation du Roi Mohammed VI en 1999) et la montée en force des Islamistes, la bipolarité Monarchie-Mouvement national n’a plus été d’actualité. Mais ce qu’il s’est passé sur l’échiquier politique marocain - et ce qu’il s’y passe encore aujourd’hui - est consternant. Il ne faut pas être grand politologue pour constater une floraison de partis sans véritable base (une quarantaine se disputaient les 1ères élections du nouveau règne en 2002). Des regroupements de circonstance ou de nouveaux saucissonnages au gré des humeurs et des ambitions personnelles.
    Des crises internes qui ont menacé -et parfois eu raison de- la cohésion de la plupart des partis et non des moindres (l’exemple de l’USFP en atteste et l’Istiqlal ne doit son salut qu’à son relatif succès électoral, aux législatives de 2007, qui l’a porté à la tête du gouvernement). La montée au créneau, mais aussi les manœuvres pas toujours « orthodoxes » du 1er parti islamiste légal marocain, le PJD (dans l’opposition, mais prêt à entrer au gouvernement qui compte déjà 5 partis de différents bords). Et, last but not least, l’arrivée sur l’échiquier politique du « Mouvement pour tous les démocrates » (MTD, initié par Fouad Ali Al Himma, l’ex-ministre de l’Intérieur et compagnon d’études du Roi, actuellement député de Rhamna) qui, sans être lui-même un parti, en a rassemblé plusieurs, finissant de brouiller les lignes de démarcation entre différentes familles politiques. L’on parle beaucoup de recomposition du champ politique et d’émergence de grands pôles, oui mais lesquels ? Et avec quel référentiel ? Surtout quand des partis comme Alliance des libertés, Forces citoyennes, ou le PND annoncent un regroupement sous l’impulsion du MTD de Fouad Ali El Himma et se disent... Socio-démocrates !?

    Ecrit par : reporter | 26.06.2008

     

  • AH LA VIEILESSE !!!!! on s'avachit, on se laisse aller .....

     

     Allez voir là-bas si j'y suis ..........

    http://yfig-en-chansons.hautetfort.com/archive/2008/06/25/la-vieillesse-n-est-pas-drole-celle-de-graeme-allwright-enco.html

     

  • Tête de l'art

    D’aucuns se plaignent et vilipendent le gouvernement pour sa gestion publique.

    L’art se meurt chaque jour un peu plus faute de subvention pour les associations nationales, les musées, les artistes officiels et les mécènes qui s’en foutent plein les fouilles …… mais n’en ont jamais assez !

    Moi ……………….

    Je me réjouis.

    Oui, je me réjouis de la mort annoncée d'un 'système' qui n'a que trop perduré !

    L'art n'existe plus et c'est tant mieux ....

    l'art est mort ..... VIVE l'Art !

    Quand un membre a la gangrène, on le coupe ..... c'est ce qu'il faut faire avec l'art d'aujourd'hui, cet art qui n'est rien, qui ne représente rien, qui ne veut rien dire, qui n'a aucun sens et qui n'apporte rien si ce n'est des montagnes de fric à quelques individus toujours les mêmes.

    Notre très affable président des Français et des autres pays de l'UE et bientôt du Liban, d'Israel et de la Turquie ...... si dieu et Mao Tsé Toungue le veulent bien ....

    Notre donc très adorable président a lancé le grand nettoyage et les grandes manoeuvres népotiques avec OPA et tout l'tintouin pour récupérer un max de blé ....

    Dans sa précipitation à rafler un max, il piétine tout sur son passage et écrase la nomenclatura de l'establishment sans se préoccuper ni du pourquoi, ni du comment et encore moins de ce qu'il en sortira.

    Il n'en a sûrement pas l'intention, mais il est en train de nous rendre service !

    Quand la France ne sera plus qu'un champ de ruines semblable à l'Irak, il faudra bien que les Français se prennent par la main pour tout reconstruire !

    On verra bien, à ce moment là, ceux qui sont en France par amour et ceux qui n’y sont que par raison !

    En tout cas, faudra bosser ….. faudra y mettre du sien et du soi, pas lésiner sur l’huile des coudes et des couil… !

    Espérons seulement que ce jour là, on prendra le temps de commencer par vider tous les profiteurs de ‘systèmes’, remercier virilement les présidents de toutes ces assos qui ne servent que les intérêts des marchands sans se soucier des autres …..

    C’est pour ça que je me réjouis ….. plus on détruit l’art et plus on lui donne de chance de redevenir grand !

    vous allez voir ….. quand il n’y a plus d’oseille à mettre dans la soupe, les goinfres vont se faire nourrir ailleurs …….. et c’est un bienfait pour les véritables artistes qui ne vivent que d’amour de pain et d’un peu de vin de France … Hic !

    Bon ! J’avoue …. C’est pas terrible et j’ai fait mieux !

    Mais en fait, il faut apprendre à parler le langage de la rue si on veut avoir une chance d’être compris !

    Quand on est trop pointu sur un sujet et qu’on aborde les problèmes techniques et mécaniques des rouages de l’économie et de la politique, on se déconnecte du grand public, on le décourage en lui donnant l’impression de son ignorance et de sa crétinité …. Parler crétin aux crétins, c’est leur donner une véritable chance de comprendre un peu de la pensée que l’on souhaite lui communiquer …..

    Alors, merci ….. oui, merci de ne pas commenter sur le même ton idiot que cet article …. Vous valez mieux que ça !!!!!

  • URGENCE

    Il y a urgence ....

    grande, très grande urgence .................................................... à profiter de cet instant ! 

  • What have we done of our life ?

    C'est vrai, quoi, bordel !!!

     

    Pourquoi n'avons-nous pas su exploiter nos vies mieux que ça ?

     

    Nous savions , oui , nous savions que nous étions hors du commun .....

     

    pourquoi avons-nous refusé d'y croire ????

     

    pourquoi ? 

  • Conh Ben Dite aime les enfants mais pas les Irlandais.

     

     

     

    Hier après-midi, sur Europe1, il déclare :

    « 

    Les Irlandais sont d’horribles ingrats, ils ont touché quarante milliards d’euros pour leur développement et ils votent ‘non’ au traité.

    Il faut continuer le processus de ratification.

    Quand les 26 parlements auront tous ratifiés, on retournera voir les Irlandais et on leur dira :

    Vous êtes les seuls à refuser le traité.

    On va vous faire revoter.

    Si vous dites encore ‘non’, vous ne ferez plus partie de l’Europe. 

    »

     

    Voilà, ite missa est !

     

    Ça ne vous rappelle pas de vieux souvenirs ?

    « Si tu finis pas ta soupe, tu iras au lit sans manger ! »

    « Si tu n’en veux pas, j’la r’mets dans ma musette ! »

    « Je t’aime, moi non plus ! »

    Hitler, la waffen SS, les kapos, la weirmart (je suis top en Allemand) …. CDB (contrepèterie juteuse!) ne peut pas renier ses origines, elles transpirent par tous ses porcs !

    C’est fou comme ce type m’horripile !!!!!

    Je ne connais personne de plus hypocrite que ce vert (de gris) passé à je ne sais quel parti nazillon …..

     

    Le non Irlandais le gêne personnellement car il avait prévu de se présenter dans plusieurs pays de la CEE … aux prochaines élections …. Mais il ne désespère pas de faire passer sa candidature malgré ce petit incident, et d’ailleurs, si l’Irlande est virée, le traité sera actif et il pourra réaliser ses ambitions de former un groupe inter-états sous sa coupe !!!!

     

    Ce ne sont décidemment pas les ambitions de dictateurs qui manquent au parlement Européen !!!  

     

    On ne remerciera jamais assez les Irlandais d’aider à les démasquer !!!!!

  • Notre bon président installe ses fils et bru aux manettes.

    Ca vaut bien un p’tit mirliton !

     

     

     

    Nicolas not’ bon président

    Elu au suffrage universel

    Pour une durée de cinq ans

    Ouvre et ce n’est pas virtuel

    Toutes les portes de la Nation

    Incontinent à ses rejetons

    Sans demander l’avis du peuple

    Mais à quoi bon le peuple

    Election piège à cons !