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  • Où va la France ? ............ et où va Carla nue ?

     

     

     

    Je me réveille sur un cauchemar et je me demande in petto :

     

    « Mais où va la France ? »

     

    Tant il est vrai que rien ni personne ne semble capable de répondre à cette question.

     

    Certes, nous avons de grandes et fortes associations excellentes pour critiquer les idées des autres et défendre les intérêts des étrangers, des SDF, des sans papiers, des exclus de tous poils, des Bretons, des noirs, des corses, des juifs, des basques, des cathos, des apatrides, des réfugiés politiques, des anticléricaux, des patrons, des ouvriers, des cosaques …. Et que sais-je …..

    Tout ce petit monde de réclamer sa part de béatitudes, son quota d’obligeances, son forfait de subventions, le respect de ses convictions toutes contradictoires les unes envers les autres ….

    Oui, de la merde, ça ne manque pas !

     

    Mais quid de la France ?

     

    Quel est notre projet de société, notre futur ?

     

    Ah ! me répondrez-vous, ce souci est entre les mains du parlement Européen !

     

    Oui da ! mon bon monsieur, mais alors …. La France n’existe plus ! la France n’est plus qu’un morceau de terre, une concession que n’importe quel Chinois peut s’acheter et occuper quand bon lui semblera ….. 

    bien, bien !

    et donc, si demain les Chinois, ou les Japonais, ou les iroquois se paient tout ou partie de la France, ils y planteront leurs tipis, leurs totems, leurs pagodes et autres minarets et le pays tout entier ne ressemblera plus à ce qu’il fut, à ce que nos ancêtres ont construit.

     

    Oui, c’est vrai que la notion d’ancêtres est devenue, elle aussi obsolète !

     

    Désormais, on nous enseigne que la France est un pays de collabos colonisateurs et c’est une raison nécessaire et suffisante pour que nous devenions à notre tour les forçats de demain.

     

    Serait-ce là notre grand projet pour la France ?

    Devenir les serviteurs zélés du reste du monde ?

     

    Si on me posait, à moi, la question, je répondrais ceci :

     

    Je veux que ma France sorte de cette spire morbide qui nous tire chaque jour un peu plus vers le bas. Vers les communautarismes qui la divisent et la lacèrent …

    Etre humain, humaniste oui

    Etre con, non !

     

    Je voudrais que les politiques prennent enfin conscience de ce qui nous guette et qu’ils redressent la tête et cesse de courber l’échine sous la pression des communautés infiltrées sur notre sol et que nous exigions des immigrants qu’ils respectent cent pour cent de nos usages et de notre culture et qu’on détruise les lieux de culte et qu’on retire ces foulards, ces kippas et ces voiles de nos rues et que nous soyons tolérants dans la juste mesure de la discrétion qui sied aux pratiques cultuelles qui doivent rester intimes et personnelles et non devenir un mode de vie, une coutume et un costume.

    Et que ceux qui veulent une France à leur image et non à la notre aillent se faire foutre ailleurs …. Les droits de l’homme commencent par la défense des nôtres avant ceux des autres et aider les réfugiés ne signifie pas leur concéder le pouvoir et gestion du pays.

     

    Quant à l’Europe, si c’est pour nous entraîner à devenir Turcs, je dis que son périmètre d’influence doit se cantonner dans celui de facilitateur de transactions commerciales et de défense territoriale mais sans renonciation à la défense nationale.

     

    D’ailleurs, comment défendrons-nous encore, demain, les droits de l’homme quand nous serons nous-mêmes sous le joug de l’oppresseur ?

    Le mondialisme est la porte grande ouverte à l'appropriation par les riches de toutes les richesses y compris les richesses intangibles du droit à l'identité nationale.

    L'argent ne doit pas devenir le maître du monde !

    Les valeurs de l'argent sont bien connues et se fondent sur la brutalité, la violence et l'asservissement de l'homme par l'homme.

    Où sont nos grands philosophes .... que font-ils, se sont-ils endormis sur leurs lauriers ?

    Qui, désormais, donne un sens à nos vies ?

    Srakozy ? et Carla et sa mère ?

    La réussite ne se limite pas à la réussite matérielle, à la possession, à l'esclavagisme, la dérive est trop forte, il faut donner un grand coup de timonerie et reprendre le cap du bonheur raisonnable et partagé.

    Je veux qu’on définisse ensemble un grand et véritable projet pour la France et les Français et qu’on décide ensemble de la société que nous construirons pour nos descendants avec des certitudes de protection de la propriété à long terme et l’empêchement d’appropriation par des fortunes étrangères ;

    Avec une définition stricte de la nationalité et de son acquisition ;

    avec des lois sociales qui permettent à chacun de vivre sainement et d’être dignement soigné dans des établissements entretenus et modernes ;

    avec l’assurance que chacun aura un travail correctement rémunéré lui permettant de vivre ses rêves et de donner aux moins chanceux une chance de se loger de se nourrir et de se vêtir quelque soit leur handicap ;

    avec la garantie que les religions tiendront la place qu’elles méritent et qui est du domaine stricte de la confidentialité et de l’intime

    avec l’engagement, la détermination et la volonté réelle que notre pays sera géré par une véritable démocratie dans laquelle le peuple sera représenté majoritairement et non les nantis et les énarques non seulement dans les chambres représentatives, mais aussi aux postes de hauts fonctionnaires qui tirent, dans l’ombre des fantoches, les ficelles de la politique en faisant passer systématiquement leurs intérêts personnels avant ceux de l’état ;

    Avec de réels contrôles et de réelles sanctions des actes et des engagements des politiques ;

    Avec, enfin, l’obligation de limitation des mandats et de leurs durées afin que le plus grand nombre participe à la gestion des affaires.

     

    Et pour chacun de ces points, j’exige un référendum.

     

     

  • A la télévision, ce soir, sur la 5 .... Soulages - toi

    Ce soir, sur la 5, un documentaire sur Soulages ....

     

    inculte, illetré. 

  • chanson d'amour

     
    Je ne garantis pas que ça marche !
    Si ça fout le binzzzzzz je le retirerai ! 
     
     

     
     

  • la boîte de Pandorre appelée Education Nationale est pleine de surprises ... et Carla n'est plus nue .... elle a enfilé un peignoir

    L’enseignement est une chose trop sérieuse pour qu’on en laisse la responsabilité aux enseignants (d’ailleurs, ils ne savent plus comment s’y prendre).

     

     

     

     

     

    Après tout, il n’est pas indispensable d’avoir à faire à des enseignants pour entretenir une discussion pertinente sur l’enseignement.

    Bien entendu, les préjugés, qui sont l’apanage des Français, ne manqueront pas de fuser …. Comme des pets foireux !

    Seuls les syndicats et le milieu sont autorisés à émettre une opinion un avis compétent et reconnu.

     

    Justement,

     

    profitons de notre insignifiance

     

    pour ne pas craindre

     

    de dire des conneries

     

    car souvent, de la pensée merdique sort quelques idées comme d’un tas de fumier de magnifiques potirons bien goûteux !

     

    Je vais y mettre mon expérience personnelle, mes souvenirs d’écolier et d’étudiant et mon expérience professionnelle puisque j’ai suivi plusieurs formations pros et également  longuement pratiqué la formation sous diverse formes : professionnelles, assistance et coaching.

     

    Voyons ce que ça donne ?

    Pour ce qui est de ma scolarité, je ne conserve un bon souvenir que des toutes petites classes, là où la différence est bien vue des maîtresses car elle alimente les conversations et apporte de la vie à la classe dans la mesure où il n’y a pas de notes pour mesurer les performances et donc, créer de la discrimination entre les enfants.

     

    Ma dernière année de maternelle, je savais (comme le savais ma fille et le sais mon petit fils aujourd’hui) donner l’heure, lire et compter (additions, soustractions, multiplications, divisions simples).

    A cet âge là, on admire le petit d’homme savant qui surprend les mémés par ses dons précoces et son verbe surprenant.

    Mon petit fils tient de moi par ma fille …. Il entretient des conversations intenses et répond du tac au tac à toute ironie avec un humour ardent. Il a un vocabulaire très étendu et sait écrire de nombreux mots.

    Pauvre gosse !

    Pour l’instant ça va ….. mais l’année prochaine (quand on lui dit ça, il nous reprend : « non, en septembre ! » sale gosse !)

     

    La première année d’école primaire s’est bien passée, sans plus car vers le milieu de l’année, la maîtresse a commencé à s’énerver de mon indolence en cours …. Je commençait à me faire chier de faire semblant d’apprendre ce que je savais déjà.

    Ce désintérêt soudain a été une grave erreur et l’effet cinétique ne s’est pas fait attendre …. Plus je m’ennuyais, plus j’ennuyais la maîtresse.

    J’ai été content d’avoir un maître l’année suivante.

    Avec lui, me disais-je, je ne risque pas de m’ennuyer ….

    Las ! le diable d’homme n’était intéressant que quelques heures par semaine ….. pour les calculs et le français.

    Sa passion, c’était l’histoire et surtout les dates et les noms propres.

    J’en ai fait une phobie qui ne m’a jamais plus quittée. L’histoire est devenue ma bête noire.

    Pourquoi ?

    Je suppose que cet apprentissage de nom et de dates totalement déconnectés d’une actualité fascinante et brûlante ne m’intéressait pas le moins du monde.

    Coty était président et mon beau-père cégétiste et militant communiste partait tous les soirs pour aller en faction devant le domicile du président pour le protéger.

    L’OAS avait dit qu’ils parachuteraient sur la France des soldats et pendant la récré, je passais tout mon temps à scruter le ciel pour voir les paras (totalement improbables sur le Havre …).

    La plupart des élèves rêvaient de Christophe Colomb, de Bonaparte, de Du Guesclin et autres  mortibus …. Moi, c’était le présent et l’avenir qui m’intéressaient, pas les morts !

    Oui, je sais, on dit que pour comprendre le présent il faut étudier le passé ….. quelle gigantesque connerie, quelle abominable menterie, quel hideux mensonge !!!!

    Absolument rien à foutre d’hier, ce qui compte c’est le présent et surtout l’avenir.

    Le passé, on vous le balance à la gueule comme si vous en étiez responsable et on vous demande d’en assumer les conséquences.

    Berniques et mes couilles sont sur un navire …….  Le Titanic !

    Moi, je n’assume que mes actes propres (au figuré comme au propre).

    Je n’ai jamais dérogé et j’attends celui qui me donnera mauvaise conscience de ce que j’ai fait depuis le jour caniculaire de ma naissance.

    Oh ! je ne suis pas Blanche Neige ! mais je n’ai rien à me reprocher et chaque fois que le passé des autres essaie de me rattraper, je lui fous mon poing dans  la tronche et lui dit d’aller voir dans le futur si j’y suis !

    Mon grand-père était collabo, mon père résistant et mon beau-père évadé d’un camp en Allemagne. Voilà ! pour moi, l’histoire se résume à ça et j’en sais assez pour vivre comme j’ai envie ….

     

    Tiens, si je parlais du passé, ce serai le simple, celui depuis que je suis envie et qui fait que la France est passée à un déficit de milliers de milliards d’euros.

    Ah ! putain ! ça ne manque pas les écrans pour empêcher d’en parler sérieusement, de chercher les coupables et de dire leurs noms.

     

    Par contre, je n’ai rien contre la passion des autres …. Du moment que leurs déclarations ne tentent pas d’établir une domination sur les autres ni de transformer l’histoire en une arme de guerre religieuse.

     

    Bon !

    Passons ….. en attendant la vérité.

     

    Ensuite, le lycée ou le collège (j’ai jamais compris la différence et je m’en fous !)

    Oui, ça, c’est un truc qu’il faut évoquer ….. il y a des choses pour lesquelles j’éprouve un intérêt passionné, limite obsessionnel …. Et d’autres dont je me tape comme de la date de naissance du p’tit jésus en culottes courtes !

    Eh ! bien figurez-vous qu’on m’emmerde toujours avec ce que je considère sans importance aucune et que personne n’accepte de discuter avec des choses essentielles.

    C’est bizarre, non ?

    Donc, au collège, la première année, celle des découvertes, du nouveau, et de la séparation des cours.

    Ca, c’était bien !

    Je trouvais toujours une géniale excuse pour échapper au cours d’histoire. Mais, comme le prof ne me voyais jamais, il n’avait pas de ressentiments contre moi. Il se contentait de me mettre des zéros pointés et moi, ça ne me faisait ni froid ni chaud.

     

    Ah ! le Latin !!!!!

    J’ai tout de suite adoré, et puis enfin une discipline où le prof encourageait ses élèves à travailler par eux-mêmes, à investiguer, à rechercher …. Je ne faisais plus que du latin, je ne voyais plus que par le latin, j’étais latin moi-même.

    C’est marrant, moi qui ai toujours exécré l’histoire, la mythologie latine a été une véritable révélation.

    Evidemment, ce qui devait arrivé arriva, j’avais le premier prix de latin et de très mauvaises  notes dans toutes les autres matière.

     

    Cinquième idem, sauf que le nouveau prof de latin et lettres ne voit pas les choses de la même façon. Il faut s’en tenir au cours et ne pas cavaler seul en tête …. Ça ne se fait pas ….. et puis il faut apprendre à partager son temps et ses efforts avec les autres matières ….

    A la fin de l’année scolaire, il lâche beaucoup de leste.

    Il a un projet ….. Créer un cours de Grec ancien  … et pour cela, il a besoin d’un maximum d’élèves volontaires pour le justifier.

    Personne, pas un rat sauf moi, mais comme il ne m’adressait plus la parole à cause de mes exploits latinistes ….. il change soudain d’attitude et me demande ce que j’en pense ?

    En quelques semaines, tous les latinistes ont signé pour le Grec.

     

    Quatrième ….. tout l’monde descend et je monte sur l’Olympe.

    Pour moi, le Grec, c’est la révélation !

    Le latin prend le chemin des latrines et je m’élève à l’égal des dieux !

     

    Oh ! pas pour longtemps …..

     

    Le cours est un marigot. A part moi, tous les autres pataugent et le prof triche pour leur donner des notes qui les incitent à ne pas abandonner ……il ne va tout de même pas renoncer à une rente pour quelques cancres ….. dans le même temps, il fait tout ce qu’il peut pour me faire virer …

     

     

    Enfin, je pense qu’un enfant ça se manœuvre, non ?

     

    Lui mettre systématiquement des mauvaises notes même quand il est prouvé que c’est immérité, ça doit sûrement porter un nom ? et quand personne d’autre n’a de contrôle sur les faits et gestes dudit prof ….. c’est quoi ?

     

    Un mois, il a été malade un mois et je suis passé de dernier à premier ……en un jour et pour un mois !

     

    Après, j’ai laissé tomber ….. j’ai tout laissé tomber …. Et c’est moi qui ai chuté.

     

    Mais oui, je peux dire que j’en ai un souvenir incroyablement douloureux.

     

    Viré avec circonstances aggravantes et conseil de m’envoyer dans un établissement de formation aux métiers du bâtiment.

     

    Changement d’établissement, de profs, d’orientation, de lieu, d’environnement, de matières ……

    Je me résous à cette dégringolade … d’autant plus volontiers que je retrouve des fils et filles d’ouvriers qui, comme moi ont subi la vindicte et la discrimination des profs qui pensent que les fils d’ouvriers doivent faire des métiers d’ouvrier et surtout pas des études supérieures.

     

    La suite n’a pas grande importance, la messe était dite, la voie royale des lettres m’était fermée à tout jamais.

     

    Nous avons eu un professeur absolument extraordinaire, un prof de compta.

    La première chose qu’il a exigé de nous, fut de créer (en dehors des cours) notre propre logo, basé sur les initiales de notre prénom et de notre nom, que nous aurions à appliquer sur chacun de nos exercices notés.

    Ca peut paraître superficiel, mais c’est formidablement valorisant. Chacun peut marquer de son sceau sa copie et chacun peut exprimer sa personnalité via un simple dessin. J’ai conservé le mien, même si depuis, je l’ai fait évoluer vers mon pseudo.

     

    Plus tard à l’âge de trente six ans, , j’ai repris mes études.

     

    C’étaient des formations professionnelles dans le cadre de l’éducation nationale.

    L’une délivrée par l’école supérieure de commerce du Havre de un an animée par des informaticiens de métier et l’autre par la faculté des sciences de Metz animée par des enseignants de l’éducation nationale.

     

    C’est assez extraordinaire la différence entre l’enseignement par des professionnels qui ont le sens de la difficulté à mettre en œuvre, en pratique et donnent en conséquences des cours très profitables et les enseignants totalement déconnectés du réel et qui animent des cours dans lesquels ils cherchent par tous les moyens à se mettre en valeur ! Ce sont tout juste des ‘matuvu’ !

    Avec eux, on n’apprend rien, ils vous font un numéro de soliloque égotiste et vous donnent des centaines de polycop à potasser chez vous ….. et ces polycop datent de mathusalem et si vous vous y fiez, en arrivant en entreprise, on vous prend pour Coluche et Fernand Raynaud sont sur un bateau …..

     

    Venons en aux conclusions de cette mauvaise aventure, qu’au moins elle serve aux générations futures.

     

    Le prof tout puissant s’est vu désacralisé après 68. Etonnant, non ?

    Mais il y en a encore …. Trop, beaucoup trop et ça revient ….

     

    Il convient d’établir un juste équilibre.

    Le maître ou le professeur ne doit pas être seul à juger l’enfant et l’enfant doit pouvoir faire appel (dans des limites raisonnables) de ses notes s’il estime qu’elles ne sont pas fondées.

     

    La discipline doit être non négociable et les enfants doivent pouvoir être punis s’ils se montrent injurieux envers le prof.

    Attention, les insolences ne sont pas forcément des injures. En fait, il faut distinguer l’insolence positive qui met en cause l’autorité intellectuelle du prof quand celui-ci raconte n’importe quoi ou ne justifie pas, ne démontre pas ses dires et l’insolence gratuites qui est, en définitive une injure.

     

    Comment faire la différence ?

     

    Lorsqu’il y a suspicion, il faut enregistrer le cours avec une caméra WEB.

     

    Sinon, que le prof se démerde.

     

    Comment fonctionne l’enseignement professionnel ?

     

    Prenons l’exemple de l’informatique :

    Informatique (système d’exploitation – logiciels – réseaux …),

     

    Les clefs de la formation sont très simples et se résument en des exemples concrets immédiatement applicables et suivis d’un exercice d’une réalisation (main à la pâte) dénuée de piège et de niveau simple puis de plus en plus compliqués jusqu’ à ce que l’élève dépasse le maître …. Ou pour le moins s’en passe.

     

    Des exemples de codes de programmation testés par l’enseignant sont donnés pour :

    Création ( divisée en phases optionnelles :

            analyse

    expression générale,

                expression détaillée

            validation

            tests

             Acceptation / concrétisation).

    Consultation (visuelle – écrite)

    Modification

    Elimination

     

    Voilà, c’est tout et c’est le tout.

    Avec à chaque étape des techniques  de sauvegarde intermédiaire et de retour en arrière.

     

    L’enseignant prépare les exemples types et les exercices mettant en œuvre ces exemples. Il ne doit pas y avoir de piège.

    Si quelque chose n’est pas présent dans l’exemple et doit être découvert par l’élève, la source où se trouve l’information doit être connue de l’élève qui s’y reportera s’il en a besoin.

     

    Cela peut paraître quelque peu puéril, mais ça ne l’est pas, rendre l’apprentissage facile est la clef de l’enseignement, le rendre difficile, abscons, inaccessible, c’est le découragement assuré.

     

    Une autre des clefs d’un enseignement réussi, c’est la réussite des meilleurs élèves, des plus doués selon le principe de qui peut le plus peut le moins et non l’inverse comme c’est le cas actuellement.

     

    La revalorisation de l’enseignement passe par la revalorisation des élèves et il est normal que certains réussissent mieux que d’autres tant que la raison n’est pas la discrimination par les enseignants pour des causes n’ayant rien à voir avec l’intelligence de l’élève.

    Aujourd’hui, un élève désireux de réussir doit aller dans une école privée si ses parents en ont les moyens.

     

    Les enfants de pauvres mais doués doivent se résoudre à subir l’école des échecs.

     

    Les riches seront bientôt les seuls à avoir des diplômes qui ne vaudront rien car les riches ne sont pas tous intelligents.

     

    L’école n’est pas une crêche.

     

    Les mauvais élèves doivent être soit abandonnés à leur triste sort à eux de faire l’effort de s’accrocher aux meilleurs qui doivent accepter de gré ou de force le principe du coaching, soit redirigés vers d’autres établissements de formation soit envoyés dans la vie active avec possibilité de revenir plus tard vers une formation.

     

    Il est anormal que la période de formation de notre vie soit délimitée à notre adolescence. On devrait pouvoir aller à l’école jusque tard, comme ceux qui suivent des études supérieures, mais avec des coupures pour apprendre autre chose ou pratiquer un métier.

    Le principe des formations en apprentissage n’est valable que si l’enfant est rémunéré comme un adulte si on lui demande un travail d’adulte.

     

    On dit que c’est à cause des facilités qu’on a pour apprendre quand on est encore jeune, mais c’est surtout une question d’intérêt. Essayer d’apprendre à quelqu’un quelque chose qui ne l’intéresse pas, qu’il soit jeune ou vieux, ça ne marche pas ! et  il n’y a pas que les matières enseignées à apprendre ….

    Toutes ces années d’études et aussi ensuite, mon beau-père m’a fait bosser, pendant les vacances scolaires, sur des chantiers du bâtiment et des travaux publics comme mousse puis comme manœuvre.

    Dès quinze ans, je me suis retrouvé à crapahuter avec des gaillards qui avaient une vie dure, très dure. J’ai balayé (beaucoup), j’ai travaillé au marteau piqueur, j’ai ragréé, j’ai servi des plâtriers à la tâche, j’ai appris à poser des huisseries, à élever des murs de parpaings, à enduire de colle, à talocher, à lisser, à carreler ….. loin de me décourager des études, cette expérience m’a encouragé à être plus attentif aux cours.

     

     

    Il est normal d’avoir du travail à la maison, d’avoir à se fatiguer pour réussir car en entreprise, il en sera de même et aujourd’hui nous voyons de plus en plus de personnel stressé et d’employés se considérant harcelés ….. les pauvres petits !!!

     

    L’abandon du service militaire obligatoire est une bourde et nous avons perdu avec lui une certaine confrontation des couches sociales.

    J’ai une horreur absolue de la discipline, mais à l’armée, c’était bien fait et très éducatif en définitive y compris pour la connaissance de soi.

     

    An de grâce 2008 par une après-midi studieuse du mois de mai.

     

     

  • En attendant ... non pas Gounot, mais ma note sur l'EdNat .... un billet d'humeur sur l'ANPE et son directeur Christian Charpy

     

     

    Je suis en train de corriger ma note sur l'EN .... j'avais fait un peu fort pour des esprits fragiles ....  dit des choses qu'on ne peut généraliser sans dire des conneries .....

    comme le sieur C. Charpy, directeur de l'ANPE qui soutient qu'il est normal de proposer une annonce de proposition d'emploir pour un jeune informaticien à Pondichéry avec un salaire mensuel de 20000 roupies équivalent de 160 euros.

     

    <>Ses arguments : un jeune peut profiter d'une expérience à l'étranger pour se faire un début de CV ....  et 20000 euros, c'est le salaire de informaticiens locaux, il n'y a rien là de choquant le temps des expatriés surpayés est terminé.

    La directrice de la société Française à Pondichéry qui recrute et dont la boîte propose la réalisation de sites informatiques pour des sociétés Française se justifie : ici, avec 20000 roupies, on peut vivre correctement.

     

    J’aurais des questions à poser à cette dame :

    ·        combien gagne-t-elle ?

    ·        N’y a-t-il réellement personne sur place  (1 129 866 154 hab  contre 60 000 000 pour la France) qui puisse occuper le poste ?

    ·        Ce poste nécessite-t-il de parle Français et n’est-ce pas pour cette raison qu’ils ne trouvent personne ?

    ·        De quoi vit un indien ? j’ai travaillé, moi avec des indiens qui se nourrissent d’un bol de riz. Le Français deva-t-i, lui aussi passer au régime sec ?

    ·        Est-ce qu’elle prend en charge le billet d’avion ? et si oui, pourquoi ?

    Les esclavagistes des temps modernes ne reculent devant rien et n’ont aucun scrupule et aucun amour propre …. Surtout pas celui de leur prochain.

     

    Quand au directeur del’ANPE qui cautionne une telle vilainie, il conviendrait de l’envoyer travailler dans cette entreprise afin qu’il mesure in situ la gigantesque connerie dont il fait preuve.

    Il y aurait beaucoup plus à dire …. Mais cette histoire est tellement puante que j’ai les narines surinfectées … faut que j’aille respirer dans le jardin !

  • L'argent ne fait pas le bonheur ..... mais le bonheur se monnaye

     

     

     

    Mes anciennes fonctions de directeur financier me valent de continuer à recevoir des indicateurs financiers confidentiels.

     

    Dans un court fascicule spécialisé et destiné aux experts dans les placements boursiers, on peut lire tout un tas d’imbécillités qui se veulent rassurantes sur la crise mondiale des marchés minés par les spéculations convulsives sur les ‘subprimes’,  je relève une phrase intéressante :

    « Bien des valeurs ont reculé de façon importante par mimétisme ou parce que les gestionnaires de fonds ont été contraint de vendre pour restituer des liquidités, c'est-à-dire pour des raisons qui ne sont en aucun cas liées à la performance intrinsèque de la valeur, ni à son potentiel individuel de croissance. »

     

    Voilà comment, en se voulant rassurant sur une crise qui ne fait que commencer et pour freiner les mouvements de panique qui viendront tôt ou tard, on affiche officiellement l’irrationalité des marchés boursiers.

    Eh oui, la valeur en bourse ne signifie rien en termes de confiance intrinsèque que l’on peut accorder à une entreprise et, les entreprises les mieux côtées sont, bien souvent, des entreprises qui maquillent leurs comptes pour ne pas perdre les flux de liquidités financière qui alimentent ses frasques et masquent l’incompétence de ses dirigeants.

     

    Et encore :

    « Crise des marchés : un phénomène spectaculaire mais pas anormal. »

    Si l’on considère que tout le monde a droit de se tromper surtout quand il s’agit de l’argent des autres ….. effectivement on ne peut rien reprocher aux traders ……

    D’ailleurs, pour mieux nous en convaincre, la stratégie recommandée par la même brochure nous propose :

    « Participez à la performance des meilleurs trackers en toute sérénité …. Résultats garantis. »

    Certes !    mais les résultats, seront-ils en rouge ou en bleu ?

    Moi aussi, je peux vous garantir des résultats ….. envoyez-moi votre fric ….. on fera les comptes plus tard, tout cela n’est qu’une question de confiance et le premier qui me dit qu’il n’a pas confiance en moi, je le donne à bouffer aux lions !

     

    L’argent est devenu un produit très banal, pour ceux qui en ont !

    Pour ceux qui en font le commerce aussi.

     

    Il n’y a vraiment plus que les démunis qui le considèrent encore comme un moyen d’échange et un moyen de survivre dans un monde dont la valeur de l’humain n’est plus une valeur de placement, ni même une valeur à court terme, mais un fond de liquidité immédiate qui subit les variations du marché en terme de pertes et gains.

    Madame, monsieur, mademoiselle, jeune homme, bébé …. Sachez-le, vous n’êtes qu’un potentiel « monétisable » ….. tout dépend du contenu de votre tire-lire tire-relalalère !