Est-ce que je vous en pose, moi, des questions ???????
Faut-il obligatoirement user de son imagination pour voyager parmi les limbes de son esprit ?
Le voyage ne peut-il être qu'imaginaire ?
Certes, c'est moins engageant et dangereux que le voyage terre à terre en sautant par dessus quelques océans, mais n'est-ce pas aussi encageant.
J'imagine ce gros poussah se levant non sans mal de son fauteuil pour enfiler son pardessus et se couvrir d'un béret éculé pour cacher sa calvitie pelliculeuse, ce con a gardé ses pantoufles.
Il sort et ferme son huis à triple tour, il se dirige nonchalamment vers la boulangerie du coin tenue par une Sénégalaise.
Quand il la voit, ça tourne sous son crâne d’œuf et il voit des drôles de margoulins tout noirs à poil dansant sous la lune autour d’un feu de camp en sautillant et psalmodiant des cris gutturaux et rauques. Quelque part, un homme va mourir par la pratique de cette sorcellerie.
- une baguette s’il vous plaît
Elle le regarde avec compassion, elle se dit que le pauvre homme n’a plus toute sa tête.
Il rentre et s’avachit sur son fauteuil ébréché.
Il tient son rêve comme on serre un enfant contre son cœur …. Pourvu qu’il ne parte pas, pas déjà ….
Y'a plein de pains racis autour de lui.
A quelle heure ferme la boulangerie ?
Dans la maison d'en face, il n'y a personne, toute la petite famille a suivi le chef de famille expatrié à Dakar pour trois ans.
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Yfig ex nihilo - Page 146
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Ici ou là
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Coucou
Aujourd'hui, 5 décembre 2006, il fait doux.
Je tenais à marquer cette date d'une pierre ou d'un galet !
A plus tard .....
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ça n'a rien à voir avec Saint Malo !!!!!
En fait, il s'agit de l'entrée du port de Trouville .......
Mais j'ai prévenu que j'aime à déconner !!!!!
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Histoire d'eau
Saint Malo
Dans une rue étranglée du port de Saint-Malo
Derrière une porte à deux énormes vantaux
Dans ce bar clandestin aux volets à huis-clos
Il n’y a pas de place pour les simples badauds
Ce soir, tout ce que le port compte de canailles
Se retrouve là pour de gigantesques ripailles
Dans d’épaisses volutes de grasse fumée
On ne distingue rien que le bout de son nez
Tonitruants tempêtant vociférant
Ventripotents claudicants ou même rampants
S’entremêlent marins corsaires racailles
Buvant rotant pissant dans une belle pagaille
Dans la nuit froide les rues sont noires sans éclairage
Embusqués sous un porche attendent les enrôleurs
Que sortent les pochards soûlards et coprophages
Pour les traîner sitôt à bord des voyageurs
A quai les grands vaisseaux se remplissent de vivres
De frets de boissons et de matelots ivres
Enrôlés volontaires pour une longue course
Guidés par la Polaire et aussi la Grande Ourse
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VOTEZ pour MOI
Je vous promets !
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Je vous promets une vie meilleure
un emploi, au moins quelques heures
des autoroutes sûres des agents à chaque carrefour
je vous promets que vous passerez à votre tour
à la télé et vous pourrez crâner.
Je vous promets d'être le plus pur
le plus droit, le plus adroit chaque jour
et je vais faire de ce pays un eldorado
un Colorado, un paradis pour gogos
une niche à toutous, avec du fric à volonté
et la privatisation des restos du coeur
qui vont soudain se mettre à rapporter
car tout le monde fera son beurre.
Je vous promets des jours meilleurs
je vous promets des nuits meilleures
je vous promets de tenir toutes mes promesses
et même beaucoup plus si affinités
mais c'est à vous , ceci dit belle abbesse
de m'élire par vos votes bien policés.
je vous promets de ne plus crier
de ne plus jurer ni vous frapper
je vous promets de vous écouter
et de faire vos quatre volontés
après que pour moi vous aurez voté
je vous promets de belles maisons
et aussi la santé et la prospérité
et je viendrai vous causer dans la télé
pour vous expliquer mes choix mes raisons
sur la politique extérieure et la chasse aux voleurs
je vous promets de les mettre en prison
et de bouter hors l'hexagone les malheurs
les étrangers qui n'ont pas de papiers de maison
et qui nous bouffent la toison sur le dos
nos femmes sur nos lits et nous piquent nos boulots.
je vous promets d'être sage et de parler bas
je vous promets de ne pas piquer dans les caisses de l'état
de ne pas favoriser mes copines mes potes
de mériter la confiance de vos votes
j'irais en pénitence au moins une fois par an
au bureau de vote de mon quartier
pour déposer une gerbe bien arrangée
de fleurs et d'ex voto quelque soit le temps.
je vous promets un grand bonheur
votez, votez pour moi et vous aurez tout ça
vous savez bien que c'est moi le meilleur
et que je vous promets de ne pas vous faire de vaines promesses
mais que des promesses que je tiendrais à bout de bras
et vous serez heureuses heureux comme à la messe
quand le curé vous vend son baratin loufoque
en faisant tintinnabuler ses breloques. -
Déjà deux ans !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Dimanche 20 juin 2004
Petit Couronne (76)
Arrivée a 9 h
Accueil sympathique, l’organisateur nous indique notre place dans un coin du parc du château.
Nous approchons notre véhicule dans le parc et nous déchargeons notre barda.
Le temps est couvert mais sec. A la radio, sur la route, ils annonçaient des ondées intermittentes (ça va valoir le spectacle!).
Nous avons droit a une tente.
Notre voisin est un sculpteur, ses travaux sont tres mineurs, de bric et de broc, de petite taille en bois en pierre et une ou deux en céramique. Des chats, une langue en acajou intitulée : langue de bois, il nous affirme que cet objet lui aurait valu l’acrimonie du président de l’assemblée régionale de haute Normandie (vanitas vanitatis !).
Nous accrochons nos oeuvres aux grilles pretées par la mairie.
L’attente commence.
Elle sera longue, de nombreux badauds se traînent dans les rues de la ville, mais personne n’entre dans le parc du château.
Vers 11h30 je me décide enfin a utiliser ce temps perdu pour travailler un peu. Le coeur n’y est pas vraiment, mais, comme a l’accoutumé, apres quelque temps, je commence a travailler avec sérieux. J’ai décidé de faire un portrait sur un carton entoilé 10F. Je dessine sans hâte, et, apres avoir pris un peu de recul, je dois me résoudre à tout gommer ! Je repars avec courage et détermination.
Quelques gouttes de pluie nous obligent à mettre nos travaux a l’abri.
Vers 13h nous nous décidons à nous sustenter. Nous sommes seuls attablés au milieu des tables posées nonchalamment sur la pelouse, la viande est trop grillée et la salade pas assez assaisonnée. Le soleil est de retour.
Je retourne à mon chevalet d’un pas traînant.
Mon dessin ne me plaît pas, je le recommence. La gomme chauffe et dégagerait presque comme une odeur de pneu cramé.
Cette fois, ça vient. Plus qu’une courbe pour délimiter grossierement la chevelure et l’esquisse sera prête à accueillir la peinture.
Je dépose une noix de blanc et une autre de terre d’ombre brulée sur la palette et j’attaque la toile.
Je ne fais les mélanges qu’avec le bout de mon pinceau fin, avec délicatesse et parcimonie. Je dépose le mélange avec encore plus d’avarice et d’un second pinceau trempé dans le blanc, j’étire la pâte pour que la couche ne soit qu’une fine pellicule. Puis à l’aide d’un troisieme pinceau, j’augmente sans exces les tons les plus foncés.
J’avance ainsi, sur la pointe de mes pinceaux, emplissant lentement les parties de toiles encore vierges.
Je suis, a présent, tout a fait concentré. Le monde n’existe plus, je ne perçois aucun signe de vie extérieure, seuls mes yeux et mes doigts me transmettent leurs émotions. Je ne suis plus de ce monde, je suis dans la toile, dans un processus qui n’a plus rien de terrestre et qui me porte, me transporte comme l’ouate humide et chaude d’un nuage floconneux.
Au moment de reprendre une once de blanc, je jette un coup d’oeil inconscient vers mon épouse et je perçois inaudiblement qu’elle se marre. Je repars dans mon travail et mon conscient fait un effort surhumain pour me contraindre a jeter un autre coup d’oeil vers le visage hilare de ma femme.
Il se passe quelque chose, mais quoi ?
Avec le meme fatras que l’on a a passer du sommeil a l’éveil, j’émerge chaotiquement de mon état comateux.
Mon épouse me fait un petit signe de tete et je comprends qu’elle m’encourage a m’intéresser a ce qui se passe dans mon dos.
Ils sont bien une dizaine assis la sur le rebord du muret de l’enceinte du parc et je comprends que depuis de longues minutes, ils observent mon travail.
Je leur adresse rapidement une grimace qui se voudrait sourire puis me tortille sur mon siege comme une andouille au feu d’un barbecue.
D’ailleurs, je sens soudain les fourmis qui assaillent mes fesses et les millions de picotements qu’elles m’infligent.
Je me leve … et romps ainsi le charme.
La petite troupe s’égaye et vaque a d’autres occupations ludiques.
Une troupe de trois ménestrels des temps modernes s’épuise a distraire le public.
Ils sont maintenant nombreux assis un peu partout sur la pelouse a louanger ce trio dilettante et bruyant comme une fanfare villageoise grâce a l’ampli qui hurle comme un âne qu’on sabote. Je ne les avais pas entendus jusque la !
Je me tends la main et m’emmene faire un tour pour me dégourdir les fesses.
En haut de l’allée, je pose un regard distrait sur les aquarelles. Pas de quoi se rincer l’oeil ! Les perspectives sont nases, les couleurs javellisées et les themes éculés. Les dames qui exposent ressemblent a leurs chefs d’oeuvres.
Revenu a mon ouvrage, j’évite a présent de me laisser magnétiser par icelui.
Au bout de quelques minutes, une bande de garnements, d’une moyenne d’âge inférieure a dix ans, entreprend une joyeuse farandole frétillante.
Une gamine effrontée autant que mignonne me lance ingénument :
« Monsieur, comme vous dessinez bien ! »
Je dissimule le rose de mes joues en simulant une couperose inopinée.
Un bambin, pas plus vieux que le nombre d´ans qu’il me reste avant la retraite, encouragé par la hardiesse des propos de sa consoeur, s’époumone avec allégresse:
« M’sieur, m’sieur, on peut dessiner avec vous ? »
Et je le vois qui tend sa petite menotte vers mes pinceaux huileux …
D’un bond j’évite la cata et tout en essayant de rester calme lui dis d’une voix doucette :
« Attention titi, c’est pas d’la peinture à l’eau, ça ! ça peut salir tes vetements et donner des boutons a ta peau diaphane !!! »
Je sens que j’ai marqué un point et j’ajoute avant qu’il ne puisse argumenter :
« Ta maman s’rait pas contente et tu risques la fessée ! »
Le chérubin haut comme une tour Eiffel en sucre me snobe :
« Ma maman elle me donne jamais de fessée ! »
Bon ! La jeunesse est en marche, j’ai plus qu’a avaler ma chique.
Heureusement, le bon sens ne manque pas à notre descendance et ils repartent tous comme ils étaient venus avec des rires et des exclamations pétaradantes.
Ca m’a déconcentré, tout ça et j’ai toutes les peines du monde à soulever mon pinceau de dix grammes.
Mes admiratrices et admirateurs sont revenus, mais cette fois je ne m’en laisse pas conter et je travaille tranquillement.
D’ailleurs il est bientôt temps de lever le camp.
La gamine de tout à l’heure est revenue, accompagnée de son bout d’chou de soeur et de son vénérable papa.
Celui me demande si j’accepterais de faire le portrait de ses filles.
Je suis un peu surpris de cette sollicitude, mais comme je n’en suis pas a ma premiere manifestation artistique, je ne suis pas totalement déboussolé.
Je lui explique qu’il est tard pour se lancer dans une telle aventure, mais que s’il le souhaite je peux travailler sur photos. Les mignonnes trépignent sur place et le papa est trop soucieux de leur bien etre pour ne pas accepter toute compromission. Je sors mon appareil numérique et, comme si j’avais fait ça toute ma vie, j’enjoins à la premiere poupée de s’asseoir sur mon siege.
Hop ! les deux petites sont enregistrées sur ma carte mémoire et ne sont pas prêtes de s’en échapper !
Le papa me demande ce qu’il lui en coutera et je prends mon ton le plus professionnel pour lui proposer de me régler selon sa satisfaction.
« Donnez-moi vos coordonnées, je vous enverrai les portraits et vous me gratifierez selon votre degré de satisfaction »
Il en reste comme deux ronds de frites, il n’ose croire a une telle naiveté et cherche désespérément le piège ……. Je suis obligé de lui répéter ma proposition tant elle lui semble abracadabrante.
Voila !
J’ai envoyé hier les deux portraits.
J’attends, comme vous, la chute de cette histoire.
Amicalement
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cailles en tourte
[b]Recette de cailles en tourte.[/b] Prenez quelques cailles pas trop grasses, pas trop anémiées, de belles cailles bien en chair et pas trop vieilles (la vieille caille a tendance à durcir à la cuisson). Tordez vivement le cou des cailles sans vous préoccuper de leurs vociférations ni récriminations, plus vous vous laissez attendrir plus vous les faites souffrir ! Préparez la pâte en malaxant et pétrissant bien, sans hésiter à revenir sur les éventuels grumeaux. Laissez reposer la pâte pendant que vous plumez les cailles. Retirez bien toutes les plumes, même les petites sous les aisselles et entre les papattes. Une belle petite caille bien plumée vous donnera bien plus de joie qu'une vieille caille emplumée. Videz les cailles de leurs inutiles viscères et autres abats. Commencez par enfoncer votre médium bien au fond de son orifice anal pour vérifier la fraîcheur des entrailles qui doivent être encore fumantes. Puis, à l'aide d'une lame bien fine et acérée, découpez comme pour une épisiotomie inversée. Faites une ouverture suffisante pour y glisser vos doigts indécents que vous mettez en forme de crocs de boucher. Jetez tout ce que vous sortez à la poubelle à côté. Vous pouvez éventuellement garder le coeur s'il n'est pas trop usé, vous n'en ferez qu'une bouchée. La tourte ayant bien reposé, elle est dispos pour recevoir les cailles épluchées. Ajouter des oignons finement émincés, un caïeu d'ail non pelé, des rondelles fines de carottes et navets, un carpaccio d'olive, un filet de vinaigre de Xérès millésimé, deux gouttes de sirop d'érable récemment décocté, un oeil de biche aux abois, un peu de bave de crapaud buffle en rut et du jus de pimbêche revèche. Passer au four à 298 degrés et demi pendant une minute trente cinq secondes et six centièmes. Servez avec un vin de Malaga en alpaga sans oublier le noeud à papilles. Bon régal !!!
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Meubles anciens
Cherche : ancêtre à tiroirs pouvant aussi servir de confiturier et autre compotier. Se doit d'être en bois ... d'arbre ... noble ! Doit avoir servi sur plusieurs générations ou à plusieurs (nous ne sommes pas sectaires pour ce qui relève des meubles à partouzes) Doit être accompagné de son pedigree (en fer blanc de zinc ou rutile mais pas d'oxyde de plomb - trop dangereux!) Doit se comporter bien aux intempéries comme au réchauffement de planète et ne pas craquer la nuit . Notre chat de noble race de gouttière cardiaque et cacochyme croit aux revenants et le moindre bruit le conduit à hululer comme un vieux chouan retors et anticonstitutionnel !!! Nous cherchons cet aïeul à un prix raisonnable, la meilleure solution, pour nous, serait un vieux riche cherchant une famille d'acceuil pour lui assurer de vieux jours rapides et heureux : nous prônons la qualité avant la quantité. Nous n'avons rien contre les blasons et autres écus, mais de grâce, pas en cuivre ni laiton ou étain : faire les cuivres, c'est vieux jeu !!! Nous l'occuperons, bien sûr ! en chargeant se vieux bras de pots de confiture, de boîte de conserve, de pâtés, de réserve de paquets de sucre, de nouilles et de riz en prévision de la prochaine guerre mondiale et de la disette inévitable qu'elle entraînera (mieux vaut prévenir que quérir !!!) Voilà ! si vous avez ça ou mieux (nous sommes ouverts), écrivez-nous, réponse assurée si proposition sérieuse !!! Y PS : vieux psys freudistes et autres lacanistes s'abstenir.
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"Tirer le diable par la queue"
"Tirer le diable par la queue" tiré d'une vieille locution latine : tirare el diablo per la couillo ! première remarque, en latin, on le tire par les couilles et non par la queue ! deuxième remarque, la queue du diable est insensible alors que ses couilles .... Donc, les romains, lorsqu'ils n'étaient pas contents de leur consul, se réunissaient en 'congrégation de récrimination' (en latin : rouspetam reunionum). Ils désignaient un de leurs membres comme 'de couillus tiram' (celui qui tire les couilles). Armé d'un sac à billes et d'une lambrinette à col briquet, le tireur de couilles allait rendre visite au consul en catimini et char à boeufs. Il faisait semblant de participer au dîner de Platon, mais lorsque venait son tour de prendre la parole, il se jetait sur le consul et d'un geste rapide, il lui tirait les couilles de la main gauche et de la droite serrant fort la lambriquette, il les lui coupait en hurlant au grand dam de l'assistance médusée : (te couilli mordicus diablocus : je vais donner tes couilles à manger au diable (mais en fait il les donnait aux cochons parce qu'il ne savait pas où trouver le diable à une heure si tardive !!!))), vite il se carapatait en jetant derrière lui les billes sur la mosaïque représentant un lion en train de bouffer une vierge en nuisette transparente. Voilà, je vous ai tout dit de l'histoire vrai de ce vieil adage qui a traversé glorieusement les ans pour perdurer jusqu'à nos sinistres jours où les royalistes ont remporté une bataille mais n'ont pas gagné la guerre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! la prochaine fois je vous narre la suite du 'de couillus tiram' (celui qui tire les couilles) avec la vraie vérité sur l'expression : vade rétro satanas !!! :)
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L’YFIGOSCOPE
L’YFIGOSCOPE Parce que nous sommes en pleine période de prix littéraires, parce qu’il y a de plus en plus d’écrivain et de moins en moins de lecteurs, parce qu’il n’existe, à ma connaissance, aucun outil intelligent permettant d’évaluer une œuvre sur des critères objectifs et selon une méthode scientifique, j’ai décidé de créer : l’YFIGOSCOPE. Qu’est-ce que l’YFIGOSCOPE ? Un outil informatique très simple d’utilisation et très puissant dans ses diagnostiques. Grâce à l’YFIGOSCOPE, vous pourrez comparer n’importe quel auteur de n’importe quel siècle de n’importe quel style à n’importe quel autre. Par exemple, vous souhaitez comparer un ouvrage de Boris Vian à un de ceux de Jean-Paul Sartre, ou de Marcel Aimé à de Gustave Lebon ou à Voltaire ou à Rétif de la Bretonne ou à Marguerite Yourcenar ou à Colette …. Tout est possible. Mieux, vous souhaitez vous comparer à tous ces célèbres écrivains …. No problemo ! Mieux encore, vous souhaitez comparer l’ensemble de l’œuvre d’un écrivain à celle d’un autre ou de vous même …. C’est OK !!! Toujours mieux, vous souhaitez une évaluation non comparative, un diagnostique basé sur la valeur intrinsèque d’un écrivain (qu’il soit jeune ou ancien) … c’est comme si c’était fait !!! Comment ça marche ? C’est simple comme bonjour (peut-être même plus encore) ! l’YFIGOSCOPE propose une heuristique basée sur des algorithmes qui font tout le travail à votre place. Quelques exemples significatifs : l’YFIGOSCOPE a calculé pour vous la valeur intrinsèque du roman d’Amélie Nothomb : l’hygiène de l’assassin valeur de l’œuvre calculée par l’YFIGOSCOPE : 23456 Si on voulait faire une comparaison avec l’ouvrage de Jonathan Littell : Les Bienveillantes : valeur de l’œuvre calculée par l’YFIGOSCOPE : 133555 On voit tout de suite l’immense écart qui sépare ces deux auteurs. Il faut de plus remarquer que Les Bienveillantes cumule un nombre de points négatifs de 13224 dû aux nombreuses erreurs de langages vraisemblablement imputable à l’utilisation d’un traducteur d’anglais/français plus qu’approximatif !!! Vous voyez à l’aide de ces exemples concrets la puissance de l’outil : l’YFIGOSCOPE. Cerise géante sur le gâteau, pensez que vous pouvez utiliser cet outil formidable pour BRILLER en société car vous n’avez plus besoin de lire les livres pour vous faire une opinion construite et scientifique de leur valeur. Imaginez la tête de vos copines et copains quand vous leur direz : Pierre Person – Crackq ne vaut pas plus de 24567 points alors que Ginette l’Abouriffe en vaut 27689 !!!!! A qui on dit ‘merci’ ? à l’YFIGOSCOPE ! Dépêchez-vous de passer vos commandes, il risque de disparaître comme un petit pain le dimanche matin à l’heure du petit déjeuner !!!!!