Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Un bon Français se doit de coopérer avec la police - Page 2

  • Une saine lecture, certes peu ludique au premier degré, mais tout à fait délirante au second et plus si subtilité !

     

    La meilleure histoire courte est intitulée :

    "- SUR L'ARTICLE 40 :"

    Mais rien ne vous limite à ce seul article ni à cette seule session .....  Tout ce qui peut nous faire marrer est bon à prendre !

     

     

    LES BLAGUES RIGOLOTES


    DU COMIQUE


    CONSEIL CONSTITUTIONNEL !

  • Ö THALASSA !

     

    Hier soir  ( 7/10/2011), nous avons eu droit à l’émission culte (pied au …) « Thalassa » en direct du vieux bassin de Honfleur.

     

    J’en ai été prévenu trop tard pour m’y déplacer en personne et c’est donc dans mon poste de télévision acheté à crédit que j’ai pu suivre les pérégrinations enchanteresses de nos vieux gréements, nos vieilles dentelles, nos vieux caboteurs,  nos décrépites maisons recouvertes, en leurs façades, de tuiles (sic), nos hommes célèbres, nos inconnus qui passent et repassent en direct dans la téloche, ma concierge en bras de nuisette, un raton laveur et un allogène se payant ouvertement la tête d’un autochtone qui l’avait bien mérité !

     

    Le tout admirablement éclairé de lampes multicolores créant une féérie digne d’une boîte de nuit interlope à Khartoum !

     

     

    Ho la la !  Je trépigne de transports émotifs sur mon canapé, ce magnifique spectacle a dû coûter la peau des chtouilles de l’édile écharpé qui l’a orchestré !

     

    Ah ! Zut, le gros monsieur joufflu qui ressemble à un marin comme ma concierge ressemble à une pinup nous annonce un reportage sur la raie de mon c…..  non, pardon, la raie manta !

     

    J’en profite pour m’éclipser aux tartisses faire une vidange judicieuse.

     

    Quand je reviens, le spectacle est plus féérique que jamais !

     

    Bravo les petits bateaux avec tous ces enfants des écoles d’Honfleur que je n’avais jamais vu avant cette première mondiale !!!!!

    En tout cas, les miens (d’enfants) n’y ont jamais eu droit !

    Ah ! on me révèle par télépathie internautique que ces bateaux ne sont pas d’Honfleur, ‘on’ les aurait amenés là par voie autoroutière pour faire plus mariole !

     

    Ah ! Ces admirables couleurs eaux de vaisselle ……  on ne s’en lasse pas !

    Honfleur est donc une ville arc en ciel  !   

    Couleurs du maire et d’iPiyouplabellebleue blanc rouge !

     

    Vient un reportage sur un admirable photographe havrais qui a photographié tout ce qui peut être photographié avant de s’installer dans une maison de rêve payée rubis cash grâce aux produits de la vente desdites photos. C’est aussi un philosophe, il dit à qui veut l’entendre que la vie est belle si on sait la prendre par le bon côté des choses (comprenne qui peut !)

     

     

    Nous revenons près du vieux bassin, comme l’assassin qui revient toujours sur les lieux de ses crimes !

     

    Mais !!!

    Je la reconnais, c’est une guide de l’Office de Tourisme.

    Ah Si Rosaleen, la guide interrompue avait pu mordre l’interviewer interrompeur …. Au moins ça nous aurait fait des histoires à raconter !!!!

    C’est qu’il compétitait sauvagement, ce journaliste à la petite semaine qui ne prenait pas le temps d’écouter les explications sur les fiches et les contrefiches des greniers à sel !

    Ah ! mon prompteur revient sur ses pas et me souffle qu’il ne s’agissait pas des greniers mais bel (vous voyez de qui je parle ….  mais oui, au perchoir …) et bien de la Lieutenance, magnifique bâtiment inutilisable en l’état.

     

    Pour nous remettre de nos émotions touristiques qui tournent en eau de Boudin (Eugène pour les intimes), le monsieur qui ressemble à un marin comme ma concierge ressemble à Gina Lolobrigida nous informe d’un reportage mozambiquesque !

     

    Ô thalassa !

    Ca me rappelle ce marin grec à Libreville qui ne comprenait pas mon grec à moi !!!

    Est-ce que les matelots honfleurais arrivent à converser avec les grecs ?

     

     

    Les raies mantas, les bouibouis, les cambuses mozambicaines …. Tout ce foutoir, ces scientifiques hollywoodiens, ces aventuriers pieds nickelés, ces photographes même pas photogéniques …. !!!

    Les reportages prennent l’eau …. Ça rejoint peu ou prou les histoires du capitaine némo …. Euh ….  Costaud, pardon !

     

    C’était une belle émission, je ne vois rien à critiquer …..  sauf mes critiques !!!!!

     

    A ma décharge, je dois dire que cette émission ressemble de plus en plus aux émissions des temps glorieux de l’ORTF avec gloubiboulga et tatie Dorothée et ses bandent boys qui écument encore les bars douteux du quai Sein de Catherine !!!!

     

    Oui-Oui m’informe à l’instant qu’il a bien aimé l’émission ….  Tout n’est peut-être pas perdu !

     

     

     

     

  • TOUS MES MEILLEURS VOEUX POUR LA NOUVELLE ANNéE

  • La loi des contraires et sa cohorte d’antinomies - la politique Tsarkoziste peut-elle encore durer ?

     

     

     

    Notre très affable bon président Nicolaï Tsarkovitch 1er justifiait, dans un récent colloque télévisuel, qu’il faut des riches. (nous appellerons cette affirmation ‘P1’ pour Postulat 1)

     

    Les riches, disait-il en substance, sont nécessaires à la Nation car ils garantissent nos investissements et notre développement en plaçant leur fric dans des affaires juteuses qui donnent du travail aux travailleurs et des dividendes aux actionnaires boursicoteurs.

     

    Bien ! Actons de ce postulat qui affirme que les riches représentent la force vive de la Nation, son sang bleu, la noblesse de l’Etat et notre meilleure garantie contre les aléas financiers imprévisibles et cabots.

     

    Cependant, par cette gracieuse justification, il postule obligatoirement son corollaire :

    « Les pauvres sont indispensables à la Nation. » (Nous donnerons à ce second postulat le doux nom de ‘P2’)

     

    Sans entrer dans le détail, le bon sens populaire élémentaire vous le dira :

    S’il n’y a que des riches il n’y a plus de pauvres et s’il n’y a que des pauvres il n’y a plus de riches. Monsieur de Lapalisse, en son temps, n’eut pas mieux dit !

     

    Les pauvres, donc, permettent aux riches d’exister quand les riches réclament toujours plus de pauvres afin de rester ou, mieux, développer leur statut de riches.

     

    Je l’écrirai, personnellement sous la forme algorythmique suivante :

    If P1 > P2

    Then P2 = P1

    Else P1 = P2

    End if;

     

     

    La question sur laquelle notre très aimable dictateur ne s’attarde  pas est : « faut il plus de pauvres pour plus de riches ou pour que les riches soient plus riches ? »

    Et pour cause !

    Cette question, en effet, est très épineuse !

     

    If P1<P1’

    Then P2’ >  P2

    Else P2 = P2’

    Else if P2 > P2’

    Then P1 > = P1’

    And P2 = P2’

    End if;

     

    Tentons, si vous le voulez bien, d’apporter quelques éclaircissements à ce dilemme.

    Pour ce faire, dressons le portrait d’un pauvre puis celui d’un riche.

     

    Le pauvre :

    Le pauvre n’a jamais d’argent sur lui ni sur son compte en banque.

    Il vit à crédit et ses revenus sont principalement constitués de subsides qu’il perçoit de l’Etat sous forme d’allocations familiales et/ou de chômage et/ou de fin de droits, de revenus minimum ou de retraite précaire.

     

    Certains pauvres travaillent.

    Ils occupent des emplois que les riches ne sauraient tenir.

    On peut les voir sur des chantiers ou sur des navires ou dans des commerces minables tels les bureaux de tabac loto tiercé bar brasserie du commerce, les boulangeries, les pharmacies, les boucheries … etc ….. (veuillez compléter la liste par vous-même).

    En tout état de cause, la rémunération du pauvre est diaphane.

    Il ne sait pas se vendre et accepte volontiers des salaires de misère sous le fallacieux prétexte qu’il est heureux d’avoir du travail.

    Bien entendu, le pauvre raisonne comme un pot de chambre et s’auto dévalorise  car il ne comprend rien aux délicats mécanismes de l’économie.

     

    Le pauvre vit dans des lieux infâmes, dignes, la plupart du temps, de porcheries. Il n’a aucun confort et se voile la face en regardant la télévision dans laquelle il peut voir les riches et les envier sans pouvoir les toucher.

     

    Le pauvre, s’il joue aux courses de chevaux, n’a pas les moyens de posséder son propre haras avec des chevaux racés et lustrés.

     

    Sa voiture, quand il en a une, est une automobile gourmande en énergie et entretiens, assurée à prix d’or, qu’il doit faire contrôler régulièrement parce qu’on ne peut avoir confiance dans les pauvres  et dangereuse à conduire.

    Les pauvres s’agglutinent sur les autoroutes une fois par an et s’y entretuent gaillardement car ils n’ont pas les moyens de voyager dans leur propre avion.

     

    Le pauvre est un être abjecte et repoussant.

    Il travaille avec ses mains qu’il a toujours sales et les efforts qu’il fait dans son métier le couvrent de sueur qui se colle à ses vêtements, les mouille d’exsudat et ces sécrétions imprègnent le pauvre d’une puanteur abominablement écoeurante.

    Le pauvre ne fait aucun effort pour s’arranger ni pour améliorer son quotidien.

    Le pauvre est alcoolique et joueur, il dépense son maigre pécule dans des jeux idiots qui le ruinent.

    Notez, au passage, que même si on donnait plus d’argent à un pauvre il n’en serait pas plus riche puisqu’il dépenserait tout en jeux imbéciles.

    Les pauvres font des mariages de pauvres mais qui les endettent pour dix ans.

    Ensuite, certains, plus kamikazes que les autres, s’endettent pour vingt cinq ou trente ans pour l’achat de leur porcherie qu’ils finiront par perdre soit aux jeux soit parce qu’ils ne seront plus bons ni pour le travail ni pour le chômage et qu’ils n’atteindront pas l’âge fatidique de la retraite qui se débine sous leurs yeux un peu plus chaque année, repoussée par le gouvernement aux calendes grecques.

     

    Le pauvre n’a qu’un seul mérite : celui de mettre en valeur les riches.

     

     

    Le Riche :

    Le mot s’écrit avec une majuscule car le Riche est le descendant direct du Noble.

    Il en a les vertus et l’argent qu’il n’a pas besoin d’aller chercher car l’argent vient à lui sans qu’il ait à se déplacer.

    Le Riche sent bon les parfums onéreux, il a une dentition parfaite et des cheveux soyeux et bien entretenus.

    Le Riche peut aller partout (sauf dans les porcheries des pauvres) sans avoir à demander une quelconque autorisation à qui que ce soit.

    Il se déplace dans des yachts ou dans des jets privés.

     

    Le Riche est d’un naturel élégant, il est très  bien vêtu de beaux habits riches en textile, en couleurs et en poches.

    Il parle avec beaucoup de componction en utilisant des mots choisis qui n’irritent pas les oreilles et n’ont ni l’arrogance ni la véhémence des mots des pauvres qui parlent sans vergogne de révolution, d’anarchie, de grève (OUHHHHH ! le vilain mot !), de congés (et puis quoi encore … ?), de télévision et de foot …. Etc ….

     

    Le Riche, lui, est instruit. En tout cas, il est bardé de diplômes très rares qu’il est obligé d’aller acheter dans des pays lointains qui ont des universités renommées et dispendieuses (mais le Riche s’en fout car il a les moyens !).

     

    Le Riche n’a pas besoin, comme le pauvre, d’apprendre quoi que ce soit car l’argent remplace avantageusement l’érudition.

     

    De toutes façons, le Riche possède des bibliothèques bien documentées de livres inutiles et d’incunables  de grande valeur financière.

     

     

    Le Riche est généreux, il donne aux petites sœurs des pauvres qui ont la lourde responsabilité de redistribuer aux pauvres méritants (qui sont rares – c’est pour ça qu’elles ne peuvent donner plus).

     

    Le Riche dort dans la soie. Il y pète aussi car le Riche a, malheureusement, une constitution physique proche du pauvre mais sans les désagréments liés aux travaux de force et autres inconvénients inhérents aux insuffisances  médicales.

    Lorsque le Riche se trouve acculé aux troubles des intestins, il a à sa disposition un lieu d’aisance particulier entrenu par une pauvre spécialement dédiée à cette tâche ingrate mais valorisante de nettoyage des toilettes.

     

    Le Riche n’a qu’un seul point faible : il a besoin du pauvre pour être riche.

     

     

    Nous pouvons, à présent, répondre à notre fameuse question : « Faut il plus de pauvres pour plus de riches ou pour que les riches soient plus riches ? »

     

    Grâce aux définitions que nous avons données, il est aisé de conclure que :

     

    Plus il y a de pauvres, plus les Riches sont Riches et si il y a encore plus de pauvres, on peut très bien imaginer qu’il y ait, alors, assez de pauvres pour qu’existe plus de Riches.

     

    Ainsi, ces explications donnent raison au gouvernement Tsarkoziste :

    « Il faut générer le plus de pauvres possible si nous voulons qu’il y ait plus de Riches plus riches. »

     

    If P1’ > P1

    Then P2’ > P2

    End if

     

    Ainsi, aussi, nous comprenons mieux la politique Tsarkoziste qui consiste à hypothéquer les vieux en les privant de retraites car ils feront d’excellents pauvres qui ne trouveront pas de travail à partir de 50 ou 55 ans et s’enfonceront dans la misère faute d’un revenu en attendant la retraite qu’il n’atteindront pas car ils se suicideront avant et de facto, leur argent viendra grossir le portefeuille des Riches qui se paieront des dettes des pauvres en leur confiscant leurs porcheries qu’ils revendront au prix fort au nouveaux pauvres cherchant du travail et de quoi se loger.

     

    Cette stratégie du perdant / gagnant est d’une grande perversité, certes, mais elle est aussi d’une redoutable efficacité car le dynamisme qu’elle engendre permet aux vieux de mourir jeunes et aux jeunes de remplacer les vieux qui nous quittent !

    Ce brassage présente en outre l’avantage de garantir aux Riches de rester Riches et aux pauvres de rester indispensables.

    Bien entendu, cette stratégie explique et justifie aussi le besoin d’immigrés qu’a la France car, comme nous venons de le démontrer, les vieux mourants de plus en plus jeunes, nous serons rapidement en déficit de pauvres !

    OR, l’immigration est une ressource inépuisable de pauvres tant que les Riches étrangers resteront solidaires des Riches Français et de ce point de vue, nous n’avons guère de doute.

     

    Vive la France et le Boukistan, vive les futurs pauvres étrangers français et les français Riches de souche !!!!!!!!!!!!!!!!

     

     

  • LES VRAIS RESULTATS du second tour des régionales de 2010

     

     

    http://elections.interieur.gouv.fr/FE.html

     

     

    RESULTATS 2nd TOUR

     

    Nombre

    % Inscrits

    % Votants

    Inscrits

    43 350 204

     

     

    Abstentions

    21 148 939

    48,79

     

    Votants

    22 201 265

    51,21

     

    Blancs ou nuls

    1 006 951

    2,32

    4,54

    Exprimés

    21 194 314

    48,89

    95,46

     

     

    On nous prend pour des billes !

     

    Personne ne semble intéressé à additionner les votes blancs et les abstentions ….. c’est pourtant crucial de constater qu’au deuxième tour, le nombre de blancs et abstentions représentent

    51.11 % des inscrits.

    Et bien entendu, on oublie une fois pour toute les non-inscrits.

     

    Nous voici donc, une nouvelle fois, face à une très grande victoire de la démocratie !

    Tout comme au soir de européennes !

     

    Vous ne trouvez pas bizarre que personne ne s’inquiète réellement de ce phénomène ?

    Si on relativise le poids démocratique de nos élus, il faut diviser par au moins deux les pourcentages qui nous sont donnés dans les médias et le PS ne fait qu'un difficile 20% quand l'UMP s'en tire avec 15% et le FN 4%

     

    Nous sommes donc dirigés par la fange de la société ...... OUPS, pardon, la "frange" !

     

    Ah ! les absents ont toujours tort !

    Ouais ! mais pour leur faire payer les impôts, les absents, on ne les oublie pas !

     

    Oubliez-moi, monsieur le percepteur, SVP !

    Mettez-moi de côté, ne vous préoccupez plus de moi, je suis un abstentionniste, je ne mérite pas votre attention !

     

     

     

     

     

     

    RAPPEL DES RESULTATS DU 1er TOUR

     

    Nombre

    % Inscrits

    % Votants

    Inscrits

    43 642 325

     

     

    Abstentions

    23 422 367

    53,67

     

    Votants

    20 219 958

    46,33

     

    Blancs ou nuls

    744 063

    1,70

    3,68

    Exprimés

    19 475 895

    44,63

    96,32

     

    55,37 % au premier tour !

  • 06/12/08 Mon rapport quotidien à Edvige - Rachida Dati, nue le rêve Américain !

     

     

     

    Samedi 6 décembre 2008

     

    L’autre soir, chez Roux-pieds, nous avons pu profiter de la science d’un certain Orcéna, académicien itinérant pour le compte de VINCI, préparant, au nom de l’écologisme beat et snob, les futurs marchés de la multinationale.

    Ce type a l’air totalement azimuté.

    Il vit dans un autre monde, plein de simplisme et de fausse componction.

    Il parle sérieusement et je n’entends qu’amphigouris.

    Las ! le polichinelle ne nous fait même pas sourire !

    Son pédantisme de salon de coiffure, lui qui n’a qu’un cheveu comme il n’a qu’un tout petit kiki et unique neurone, me rend mal à l’aise, comme si l’académie n’était qu’un repaire de paysans affectés et ignares.

    Ouf ! mon poteau Pierre l’a échappée belle !

     

    Attention ! je n’ai rien contre les Corses, mais il faut avouer qu’ils n’ont pas la cote auprès de l’ami de nout’président (moulé à la paluche) !

    Voilà des gens qui se permettent d’avoir un avis sur l’île où nous daignons les laisser résider !

    Par abus de complaisance (de nos bons dirigeants), les voilà qui se mettent en tête d’empêcher les grands de France de bâtir tout à leur gré de belles villas qui ornerons dignement les côtes insulaires pour le plus grand bien de la Nation.

    Il faudrait quand même que ces arriérés comprennent que la Corse nous appartient et que nous en faisons ce que bon nous semble !

    Vouloir empêcher des génies comme Séguéla de construire sa sympathique résidence secondaire de trois cents mètres carrés les pieds dans l’eau, la tête dans les étoiles et le cul dans le sable doux chaud et blanc des rives ensoleillées et paradisiaques de l’île de beauté, c’est comme vouloir intenter une action en justice contre notre savoureux président (au bon lait des alpines) protégé par les lois dont il est le garant et le plénipotentiaire !

    A ce propos, je ne sais toujours pas qui est le père de la future petite Dati ?

    Mais je pense que son accouchement ferait un excellent alibi pour la garer bien à l’écart des affaires.

    Prends du repos, ma biche, ça nous fera des vacances !

    Je n’ai, évidemment rien contre cette dame qui ne me connaît pas et qui, par ses origines, est plus proche de la Corse que le Breton que je suis de par les miennes (d’origines, eh, bande de nazes !), mais d’un point de vue irrationnel et subjectif, je la trouve tout particulièrement anti-sympathique et poufiasse.

    N’empêche qu’elle a eu bien raison de rabattre le caquet de tous ses petits juges et autres huissiers qui se la pètent !

    Ca leur apprendra à me prendre pour un pigeon au talon d’argile ! Euh ! ….. non …. D’Achille ! … dis donc, le talon d’un pigeon, c’est quelque chose !!!!!

     

    Sarko nous a présenté son plan de ….. de …… de quoi  exactement ?

    On ne sait pas trop.

    Apparemment, il s’agit de sauver l’industrie automobile en refilant mille euros au pôv type qui va mettre à la casse sa vieille bagnole qui roule pour pas cher en échange d’un véhicule neuf pour lequel il va s’endetter et qui sera usé dans cinquante mille kilomètres.

    Vous avez remarqué que tout ce que fabrique l'industrie de nos jours est fait pour ne durer que quelques années, un peu moins que la durée du crédit que l'on contracte pour payer ces biens  éphémères!

    Y a-t-il des gens assez fous pour s’endetter juste pour faire plaisir au président (moulé par la louche) ?

     

    Pendant ce temps là, les réformes continuent …. Et celle de l’audiovisuel devient obsessionnelle !

     

    J’ai noté, dans le speech de not’bon président (au joyeux lait des prés) qu’il n’avait pas mesuré les impacts de certaines mesures, mais qu’il en escomptait le meilleur !

     

    Voilà le fond de la politique Sarkoziste ….. essayons et on verra bien !

    Et puis, j’ai noté aussi qu’il anticipe sur la grosse claque qu’il va bientôt se ramasser et qu’il esquisse par anticipation les profils des coupables qui devront se substituer à sa propre responsabilité.

     

    Non, rien n’a changé depuis cinquante années …. C’est fou ce que les Français peuvent être patients et niais !

     

    Je ne sais pas si vous vous souvenez, mais je vous avais entretenu, il y a quelques mois de cela, des conséquences directes économiques prévisibles de la chute des marchés Américains …. Et voilà que suite à la récession et quasi faillite des firmes automobiles Américaines, celles-ci se séparent des filiales Européennes.

    Et ce n’est qu’un début !

     

    L’automobile, cela fait trente ans, au moins, que nous savons qu’il fallait passer à autre chose …. Mais ils auront vidé le jus jusqu’à la lie et espèrent encore une petite resucée …. Il faut laisser crever ce secteur industriel sans avenir et passer à l’étape suivante sans attendre.

     

    Bon !

    Voilà !

     

    Tout ce que j’avais à vous raconter, je l’ai oublié !

    Si ça me revient …. Je vous en cause ….. comme il se doit !

     

     

    727876grenouilles.jpg
  • 22/11/08 Mon rapport quotidien à Edvige - le PS et les cauchemars Américain !

    400397Numeriser0007.jpg

     

     

    samedidi 22 novembre 2008

     

    Ségogo a échoué !

    Las ! à quelques voix près, elle se ramasse la gamelle du siècle et rate le magot du PS.

    Pauvre femme !

    Nous pourrions peut-être organiser une collecte pour lui offrir son petit cadeau d’adieu ?

     

    Merde ! le PS de Charybde en Scylla !!!!!!!!

    On échappe à Ségogo pour tomber dans les bras de la petite boulotte qui chipote !!!!!

     

    Sûr, Martine (au parti) va tendre une main vers Ségogo …..

    400397Numeriser0007.jpg

    La série est relancée ….. Martine chef de parti, Martine fait la nique à Ségogo, Martine et les militants, Martine se rebiffe, Martine Présidente ……..

     

     

    Comment résister au plaisir de recopier ici les commentaires récemment édités sur mon blog.

    Je le fais à destination des étourdis qui ne lisent jamais les commentaires ….. par indolence ou par fainéantise ….

    Voyez ce que vous loupez !!!!!

     

    OLIVIER MATHIEU FELICITE MADAME SIMONE VEIL D’AVOIR ETE ELUE « IMMORTELLE » A l’ACADEMIE FRANCAISE (20 NOVEMBRE 2008).
    Madame Simone Veil, le 20 novembre 2008, a été élue à l’Académie française. Je surprendrai peut-être quelque lecteur, mais j’estime que, de nos jours, Madame Simone Veil a absolument tous les titres, oui : qu’elle a les titres principaux, essentiels et fondateurs pour être devenue « immortelle ». Bravo, donc.
    Je ferai noter modestement, en revanche, et en ce qui ME concerne, ce qui suit.
    La presse, à la suite de cet événement, a généralement déclaré que les candidats à cette élection (entendons : les candidats qui se présentaient face à Madame Simone Veil) étaient des « auteurs confidentiels », avant de citer tantôt trois noms (mais en oubliant le mien), tantôt quatre noms (dont le mien, cette fois, mais en compagnie d’un autre candidat qui avait, quant à lui, retiré sa candidature plusieurs semaines auparavant !)…
    De façon que je juge assez amusante, certains journaux (reprenant sans doute les dépêches des agences de presse) m’ont alors affublé de l’étiquette « d’auteur confidentiel », avec des « nuances » cocasses d’un titre à l’autre. Ici, j’ai été décrit comme « auteur confidentiel », là comme « auteur plutôt confidentiel », là encore comme « auteur relativement confidentiel ».
    Suis-je confidentiel, PLUTOT confidentiel, RELATIVEMENT confidentiel ? Diantre, quel casse-tête !
    Le site du journal « Le Monde » a fait encore plus « fort ». On y a lu que « L'ACADEMIE N'AVAIT PAS REVELE LE NOM DES AUTRES CANDIDATS » (sic ! sic! sic! c'est un secret???)…
    On conçoit, certes, que si les noms de certains candidats à l’Académie française n’étaient pas révélés par cette institution, lesdits candidats auraient des excuses de demeurer des auteurs « confidentiels »… !
    Tout ceci est quand même curieux. En effet, contrairement à ce qu’a écrit « Le Monde », ma candidature avait été annoncée – évidemment...!- sur le site de l’Académie française. Et celle, aussi, de nos concurrents. Quand je dis "nos", entendez: les candidats concurrents de Madame Simone Veil et du confidentiel, de l'innommé Olivier Mathieu.
    Mais venons-en à l’essentiel. Suis-je donc réellement un « auteur confidentiel » ? Comment et pourquoi suis-je, à en croire certains, un candidat innommable, un candidat innommé… ?!

    L’ACADEMIE VEILLE-T-ELLE ?
    Je trouve tout ceci, voyez-vous, choquant. Presque insultant. Pour Madame Veil. Et je me récrie contre une telle insulte. Comment ? Une certaine presse oserait-elle prétendre que Madame Veil s’est présentée face à des candidats « confidentiels » ? Un grand titre, que dis-je ? un très grand titre, voire le plus grand des titres de la presse française a même ajouté que « l’Académie a veillé à ne pas présenter de candidats sérieux » face à Madame Simone Veil. Comment donc ? Cette présentation des faits n’est-elle pas horrible ? Cette présentation ne tendrait-elle pas, même, à faire, de l’élection (dont, personnellement, je me réjouis) de Madame Simone Veil, une farce ?
    En effet, tout d’abord, ce n’est pas l’Académie – à ma connaissance – qui « présente des candidats ». A ma connaissance toujours (et que quelqu’un veuille éclairer ma lanterne d’ignorant, si je fais erreur !), ce sont les candidats (au moins pour la majorité d’entre eux) qui se présentent par un acte volontaire. Car, ne l’oublions pas, « toute personne peut se présenter à un fauteuil ». Du moins, tel est mon cas d’auteur. D’auteur confidentiel, si vous voulez. Confidentiel ? Vous avez dit confidentiel ?

    QUE L’ON ME PERMETTE DE PROTESTER CONFIDENTIELLEMENT: JE NE SAIS POINT SI JE SUIS DIGNE D’UNE SI HAUTE ET NOBLE DEFINITION : AUTEUR CONFIDENTIEL!...
    Je ne signalerai, ici, que quelques rares détails autobiographiques de ces cinq dernières années de mon existence. Depuis 2003, donc.
    En décembre 2003, alléché par les nombreux articles parus dans la presse et qui évoquent l’indiscutable nécessité de « rajeunir » l’Académie française, j’y ai obtenu une voix (décembre 2003), ce qui n’est pas rien pour un bon à rien tel que moi, contre M. Valéry Giscard d’Estaing. Je ne l’invente évidemment pas (n’en déplaise aux quelques cerveaux infantiles, aux quelques braves gens qui continuent, ici ou là, à me traiter de « menteur »…), il suffit pour le constater de consulter le site officiel de l’Académie française (année 2003), ou encore l’encyclopédie du « QUID ».
    Je demanderai donc, aux journalistes qui, dans les jours qui ont précédé comme dans ceux qui ont suivi l’élection de Madame Simone Veil à l’Académie française, m’ont défini comme un auteur « confidentiel », si cela – le fait d’avoir obtenu une voix à l’Académie française en 2003 - me rend tellement « confidentiel » que cela.
    Je pourrais demander aussi - mais je m’en abstiendrai - s’ils pensent que je sois si « confidentiel » que cela dans les rangs de l’Académie française, notamment en ce qui concerne les nombreux académiciens encore en vie qui signaient, en ma compagnie, vers 1985 et 1986, au sommaire de la « Nouvelle Revue de Paris » (éditions du Rocher), revue qui était en outre placée sous le haut patronage de M. Jean Mistler, académicien. Il suffira, à qui le veut, de consulter les sommaires de la « Nouvelle Revue de Paris », notamment les numéros 5, 6 et 8 (auxquels j’ai collaboré en donnant des articles sur Emmanuel Berl et sur Raymond Abellio), mais aussi le numéro 7 où Michel Bulteau, directeur de ladite « Nouvelle Revue de Paris », consacra un article à la réédition que je venais d’effectuer d’un livre de 1936, « Les Modérés » d’Abel Bonnard (ancien membre, lui aussi, de l’Académie française).
    En 2004, j’ai donné une interview (intitulée : « CONFESSION D’UN ENFANT DU SIECLE ») au cinéaste Michel Marmin. Cette interview, où je dis tout le mal que je pense de l’extrême droite, est en outre disponible sur Internet. Or une telle interview, donnée au journal « Eléments » (en d’autres termes, à une revue publiée à Paris) fait-elle de moi, elle aussi, quelqu’un de « confidentiel » ?
    Et le roman que j’ai publié, toujours en 2004, intitulé « Les drapeaux sont teints » (juin 2004), fait-il de moi quelqu’un de confidentiel ?
    Et en 2005 et 2006, le roman historique que j’ai publié, sous forme de feuilleton littéraire, dans un hebdomadaire régional français (roman qui a en outre été salué, depuis, dans diverses revues universitaires et/ou littéraires, par exemple en Espagne), fait-il de moi quelqu’un de « confidentiel » ?
    Et l’autre roman que j’ai publié en juillet 2005, « Une nuit d’été », fait-il de moi quelqu’un de « confidentiel » ?
    Et en 2006, mon livre « Un peu d’encre, de larmes, de poudre et puis de sang », fait-il de moi quelqu’un de « confidentiel » ?
    Ces livres (que j’ai en outre souvent envoyés aux membres de l’Académie française, en hommage...) font-ils de moi quelqu’un de si "confidentiel » ?
    Ou alors, toute personne de bonne foi, ou tout journaliste sérieux ne devrait-il pas chercher (avant de traiter quelqu’un « d’auteur confidentiel ») à s’informer ?
    Et encore, parmi de nombreuses choses que je n’ai pas la place d’évoquer ici, j’ai effectué pour le marché éditorial, en 2007, la traduction française de deux des plus importants catalogues d’art parus, cette année-là, dans un grand pays européen. Ces livres luxueux (des centaines de pages de grand format, intégralement en couleurs), préfacés par les plus « grands noms » de « l’art contemporain », ont été publiés sous l’égide d’un Ministère de la Culture, et parrainés par des personnalités politiques d’un grand parti de gauche.
    Est-ce que l’ensemble de tout cela fait VRAIMENT de moi cet « auteur confidentiel » que m’ont suspecté d’être presque tous les journalistes, presque tous les journaux, avec une étonnante unanimité, lors de ma candidature à l’élection du 20 novembre 2008 à l’Académie française ?
    Et encore, dans son numéro de juin 2008, si le journal parisien « Eléments » a publié une recension (sous la signature de M. Pierre Le Vigan) sur mon livre « Un peu d’encre, de larmes, de poudre et puis de sang », est-ce que cela fait de moi un auteur « confidentiel » ? Notons, par ailleurs, que la rédaction de ce journal a illustré l’article de M. Pierre le Vigan d’une photographie où l’on me voit parler – c’était en 2007 - avec Mme Ségolène Royal.

    OLIVIER MATHIEU A PUBLIE TROIS LIVRES, ET C’EST UNE MERVEILLE, DANS LA SEULE ANNEE 2008.
    Puis-je demander, par humble curiosité, combien de livres ont publié, dans TOUTE leur (parfois longue) existence, TOUS les autres candidats réunis, à cette même élection du 20 novembre 2008 ?…
    Et puis : le public devrait pouvoir lire, dans quelques semaines, dans différentes revues prestigieuses paraissant dans divers pays d’Europe, des articles de moi : il s’agit (je le précise à l’intention des journalistes que j’imagine trépigner de curiosité) d’articles de critique et d’histoire littéraire.
    Voilà donc quelques-uns (et seulement quelques-uns) des motifs qui me font hausser le sourcil avec amusement, quand je lis - dans la presse - que je serais « un auteur confidentiel ».
    Il n’est donc nullement galant pour elle de dire que Madame Simone Veil aurait été élue face à un « auteur confidentiel ».
    J’engage les journalistes à se renseigner, lors de ma PROCHAINE candidature à l’Académie française, et je leur conseille respectueusement de lire mes textes littéraires – mes textes d’écrivain « confidentiel » - sur Internet.
    Mais il n'est que trop vrai que les journalistes ne peuvent évidemment pas tout savoir et que, comme tous les autres hommes, ils ont parfois le droit de se tromper voire de dire des choses… pas complètement exactes ! Doux euphémisme...

    Confidentiellement vôtre,
    Olivier Mathieu (dit Robert Pioche), écrivain.

    Ecrit par : Olivier Mathieu | 22.11.2008

    Yfig tu as de la visite ! Mais est-ce le seul et vrai Olivier Mathieu ou un de ces mystérieux pseudopodes qui usurpent sa véritable identité d'auteur déclaré et reconnu par l'Urssaf ?

    Yfig je te somme d'éclaircir ce mystère ! Si le vrai Olivier Mathieu visite ton site en personne, alors je propose que nous agrandissions l'académie des deux que nous formons toi et moi et que nous la poussions jusqu'au chiffre extravagant de trois comme la sainte trinité, les trois côtés du triangle, j'en passe et des meilleures !

    Ecrit par : iPidiblue membre de la Sainte-Trinité | 22.11.2008

    Salut 'tête de pioche' !
    C'est gentil de venir t'épancher sur mon blog "confidentiel" !

    Oui, je veux bien, avec iPidi, que nous formions l'académie des trois !

    Mais attention, si je rejette avec la plus grande fermeté toutes les religions, les religiosités et les prêcheurs toutes catégories, je ne rejette, en revanche, aucun peuple, aucune personne qui sait faire montre de tolérance vis à vis de son prochain quelque soient ses idées politiques, ses religions et ses goûts pour le sexe !
    Je me considère comme 'humaniste réaliste'.
    C'est à dire que je suis tout à fait conscient des imperfections humaines et de la vigilance qu'il y a lieu de conserver en tout instant et toutes circonstances face aux volontés hégémoniques de certains extrémistes. J'en veux pour exemple édifiant les élections internes au PS qui démontrent à quel point j'ai raison.

    Sous cette condition de tempérance, je suis tout à fait disposer à officialiser notre académie.

    Pour ce qui concerne la nomination de Simone Veil, qui peut encore douter qu’il s’agisse d’une farce ?

    Une triste pantalonnade, la nomination de quelqu’un qui n’a nul besoin de cette reconnaissance superfétatoire.

    Elle en fera quoi de cette nomination ? une ‘pantouflade’ ?

    Mais d’un autre côté, qui peut vraiment aspirer à faire partie de ce cercle de cacochymes avachis ?

    C’est pourquoi je tiens la proposition d’iPidi comme la meilleure façon de ridiculiser cette institution désuète et obsolète en renouvelant la vie intellectuelle et culturelle de notre beau pays a contrario de l’institution soporifique des vieillards édentés et putrides qui est la grande honte de notre Nation.

    Vive la France et le chocolat de Ouagadougou !

    Ecrit par : Yfig, peintre de tous les jours sauf le lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi et samedi | 22.11.2008

    Tu crois que madame Veil est fière d'avoir battu les autres candidats ?
    Comme disait l'autre (Corneille - pas le chanteur)
    "à vaincre sans péril ...."
    Ah! si j'avais présenté ma propre candidature .... c'eut été une autre paire de manches !
    J'eus activé mes relais, fais intervenir mes relations, marabouté le velours du siège, backshishé les électeurs, dressé une liste de forfaits des immortels les plus vicieux à fin de les faire chanter ....
    Je me serais battu comme un diable de Tasmanie afin de faire chanceller la vieille pie et lui râper les dents qu'elle a fort longues !
    J'eus rué et alerté les médias pour qu'ils soient les témoins de la pétulance de mes activités intellectuelles face à l'apathie de la vieille dame, respectable, certes, mais inerte !

    Je ne vous adesse pas de reproches, bien chers collègues de l'Académie des 3, mais enfin ..... avouez que vous n'avez pas fait la publicité qu'il faut !

    La prochaine fois, si vous avez de nouvelles velléités de candidatures, confiez-moi le soin de votre promotion et vous vous retrouverez à deux sur le même fauteuil !

    Ecrit par : Yfig, peintre de tous les jours sauf le lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi et samedi | 22.11.2008

     

    Vive les châtaignes Corses, le vin rosé de Madagascar et le patchouli de Chinchilla !

  • 21/11/08 Mon rapport quotidien à Edvige - Sarkozy et le rêve Américain !

     

    jeudi 21 novembre 2008

    Tiens, pour une fois, je vous redirige vers un article en Américain !

    Nicolas Sarkozy dans le collimateur

    Son attitude, ses fanfaronnades, ses assertions, ses décisions, ses ambitions ……. Tout énerve …… et pas seulement les Américains …… et pas seulement depuis hier …… !!

    Sarko maître du monde ….. il n’y a que lui pour y croire !!!!!

    Lui et son pote, Clavier ….. le Corse en instance de …..

    Les gogoches vont faire un ultime tour, ce soir !

    Quelle pantalonnade !

    Avis de tempête sur le nord de la France ……

    Le Prince Igor s’est donné la mort !

    Vive la grande Russie libre !

  • 11/11/08 Mon rapport quotidien à Edvige - vivons heureux sans impôts !

     

     

    mardi 11 novembre 2008

     

    Il semble que certaines dispositions prises pour les amis soient bien cachées ….

    Soyons un peu technique, pour une fois !

     

     

    Piqué dans Net-Iris :

     

    Les critères de lucrativité des associations de création artistique

     

    Article de veille publié le vendredi 7 novembre 2008.
    Rédigé par Net-iris et classé dans le thème Commercial & Sociétés.

    Une association est par nature, un organisme à but non lucratif. Toutefois, il existe des exceptions, comme par exemple, les associations de création artistique qui produisent et créent des oeuvres qui peuvent réunir plusieurs artistes dans des disciplines telles que les arts plastiques, les arts de la rue, du cirque, de la danse, de la musique, du théâtre. Ces associations peuvent toutefois être, sous conditions, exonérées des impôts commerciaux.
    Un rescrit daté du 4 novembre 2008 (n°2008/25) détaille les cas dans lesquels les activités des associations de création artistique sont exonérées des impôts commerciaux.

    Date: 05/11/2008

    http://www.grouperf.com/depeches/plus_de_depeches.php?id_domaine=1&start=0

     

     

    Fiscal

    Fiscalité des organismes non lucratif

    IS-TP-TVA : exonération des associations de création artistique

    Les associations de création artistique produisent et créent des œuvres qui peuvent réunir plusieurs artistes dans le cadre des arts plastiques, des arts de la rue, du cirque, de la danse, de la musique ou du théâtre. Elles animent la vie sociale et culturelle en produisant des œuvres ou des spectacles, en organisant des manifestations artistiques, en diffusant des œuvres produites, en encadrant des actions de formations ou des pratiques amateurs...
    Ces associations sont exonérées des impôts commerciaux (IS au taux de 33 1/3 %, TVA et taxe professionnelle) dans les conditions de droit commun (définies par le BO 4 H-5-06), sous réserve de certaines particularités. Par exemple, ces associations sont en principe non concurrentielles si elles ont pour spécificité la production d'œuvres originales, expérimentales ou innovantes dans le cadre d'un projet culturel et artistique global clairement affiché.
    De même, ces associations peuvent se différencier des entreprises commerciales en proposant des œuvres (originales, expérimentales ou innovantes) créées par des artistes amateurs ou professionnels sans moyens financiers. Elles se distinguent également du secteur lucratif lorsqu'elles développent et organisent autour de la production artistique un projet éducatif et d'action culturelle clairement identifié en direction de populations spécifiques issues des quartiers défavorisés ou de zones rurales sous-équipées et mal pourvues en offre culturelle et artistique.

    Rescrit 2008-25-ASSOC du 4 novembre 2008

    Brèves2008-11-05

    Le critère de la gestion :
    Tout d'abord, l'association doit être gérée de façon désintéressée. Les dirigeants, de droit ou de fait, doivent exercer leurs fonctions à titre bénévole.
    Cependant, le recours à un directeur salarié, qui peut participer à titre consultatif au conseil d'administration, n'est pas de nature à remettre en cause le caractère désintéressé de la gestion de l'organisme dès lors que le conseil d'administration détient un pouvoir de nomination et de révocation du directeur et en fixe la rémunération.
    Néanmoins, en raison de la spécificité de l'activité artistique, il est admis que le directeur dispose d'une grande liberté pour la gestion de l'organisme, notamment en matière d'orientation artistique, sans que la gestion désintéressée soit remise en cause.
    Inversement, lorsque le directeur, membre ou non du conseil d'administration, se substitue à lui pour la définition des orientations majeures de l'activité de l'organisme, sans contrôle effectif de ce conseil, ou fixe lui même sa propre rémunération, il sera considéré comme dirigeant de fait entraînant par là même la gestion intéressée de l'organisme.

    Le critère de la concurrence :
    La spécificité des associations de création artistique est la production d'oeuvres originales, expérimentales ou innovantes dans le cadre d'un projet culturel et artistique global clairement affiché. Ces associations qui sont des compagnies, des troupes, des collectifs ou des groupements réunis autour d'artistes ont pour objet le développement de performances artistiques qui n'ont en général pas vocation à être exploitées commercialement. Elles sont donc en principe non concurrentielles.
    Néanmoins, si ces associations exerçaient leurs activités en concurrence avec des entreprises du secteur concurrentiel, l'administration fiscale serait amenée à étudier les critères dits des "4 P", rapportés ci-dessous.
    En effet, pour vérifier qu'une association réalise une activité non-lucrative bien qu'elle soit en concurrence avec des entreprises du secteur lucratif, il convient d'analyser : le produit offert ; le public visé ; le prix pratiqué ; et les méthodes commerciales mises en oeuvre, étant précisé que le fait que des participants soient rémunérés pour leurs prestations ne doit pas conduire à éluder l'étude des différents critères de non-lucrativité (gestion désintéressée). Ces critères qui constituent un faisceau d'indices sont classés en fonction de l'importance décroissante qu'il convient de leur accorder.

    Le critère du produit :
    Une association pourra notamment se distinguer d'une entreprise commerciale dès lors qu'elle :
    - propose des créations artistiques, c'est-à-dire des oeuvres dont la caractéristique artistique est d'être innovante ou expérimentale et de connaître une faible notoriété. Dans tous les cas, les oeuvres proposées ne s'inscrivent pas dans une exploitation de type commercial (réseaux de grande diffusion organisée et exploitation médiatique) ;
    - propose des créations d'artistes amateurs ou professionnels sans moyens financiers et dont la notoriété ou le projet artistique est à établir. Ces artistes trouvent souvent au sein de ces associations l'occasion unique de produire et de diffuser leurs oeuvres ;
    - développe et organise autour de la production artistique un projet éducatif et d'action culturelle clairement identifié en direction de populations spécifiques issues des quartiers défavorisés ou de zones rurales sous-équipées et mal pourvues en offre culturelle et artistique ;
    - fonctionne grâce à la participation active de bénévoles dans la production et la valorisation des créations artistiques.

    Le critère du public :
    Les créations artistiques proposées peuvent s'adresser à tout type de public de manière indifférenciée. Néanmoins, les actions que les associations peuvent mener auprès de publics défavorisés issus de quartiers ou de zones rurales sous-équipés et mal pourvus en offre culturelle et artistique, en leur permettant d'assister aux spectacles et aux animations proposées et/ou de participer à l'organisation même des activités permettent de considérer que ce critère est rempli.

    Le critère du prix :
    Lorsque la prestation artistique ou l'oeuvre est acquise par une collectivité (collectivités locales, entreprises) le critère relatif au prix ne peut être considéré comme un critère de différenciation.
    Lorsque le public participe au financement de la prestation artistique (notamment lors de spectacles), les prix proposés doivent être dans tous les cas inférieurs d'au moins un tiers au prix proposé par les organismes du secteur concurrentiel et peuvent être modulés en fonction de la situation des spectateurs.

    Le critère de la publicité :
    Les associations peuvent proposer des opérations d'informations (plaquettes de présentations, publipostages, affiches, site internet, etc...), notamment pour informer les personnes auxquelles s'adressent les créations qu'elles réalisent, sans que soit remise en cause leur non-lucrativité, à condition que les moyens mis en oeuvre ne puissent s'assimiler à de la publicité par l'importance et le coût de la campagne de communication.
    Compte tenu des contraintes fixées aux collectivités par l'application du code des marchés publics, ces activités font parfois l'objet d'un appel d'offres public donnant lieu à la conclusion d'un marché. Il est précisé que cet état de fait ne permet de conclure à l'existence d'une concurrence réelle que si des entreprises commerciales participent à ces appels d'offres de manière habituelle.

     

    Avouez que ça demande réflexion …..

     

    Vais-je ou ne vais-je pas créer une association artistique exonérée d’impots ?

     

     

    629685EmilieO.jpg
  • 09/11/08 Mon rapport quotidien à Edvige - le rêve suranné !

     

     

    samedi 8, dimanche 9 novembre 2008

    Samedi : on ne devrait pas quitter son petit chez soi …

    conclusion :

    on ne devrait jamais sortir, se frotter aux autres .... leur vision de notre monde est si étriquée, si repliée sur elle-même que c'en est morbide !

     

    Dimanche : J’ai passé l’après-midi avec mon petit fils.

    Conclusion :

    On devrait vivre chaque jour avec ses enfants au lieu d’aller au turbin pour gagner sa croûte !

    La retraite devrait être accordée dès le premier enfant !!!!!!

     

    Voilà !

    Noz vad !

     

     

    51810Numeriser0010.jpg