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La philosophie est sous l'évier - Page 12

  • Ce texte n'a reçu aucun prix et n'a pas été apprécié ...... j'y peux rien, merde !

     

    Yfig

     

    Le 13 février 2012

     

    • USA : perdre son logement dans un pays où le président s’appelle Barack

     

    Les personnages :

     

    Sean Goldmann  :  Banquier – attaché de clientèle de la banque Sachs et Goldmann.

     

    Jack Sachs : C’est l’agent immobilier de la banque Sachs et Goldmann chargé de vendre la maison des Baraque ….

     

    Marcel Baraque : Client endetté qui vient demander des délais de paiement et se fait piquer sa baraque.

     

    Priscilla Baraque : Sa femme

     

     

     

     

     

    Sean Goldmann  (à la porte de son bureau, accueille ses clients) : Entrez, je vous en prie.

     

    (Marcel et Priscilla entrent et s’asseyent dans les chaises que leur montre Sean qui lui-même se rassoit  derrière son bureau.)

     

    Sean Goldmann  (Derrière son bureau) : Que me vaut le plaisir ?

     

    (Marcel et Priscilla ouvrent de grands yeux, ils se regardent, visiblement ils ne comprennent pas le langage des banquiers.)

     

    Sean Goldmann  (Derrière son bureau) : Pouvez-vous me dire ce qui vous amène ?

     

    Marcel Baraque : On voudrait faire un emprunt.

     

    Sean Goldmann : Un emprunt pour quoi faire ? Consommation courante ? Achat de véhicule ? De bien immobilier ? Investissement spéculatif ?

     

    (Marcel et Priscilla restent cois et interrogatifs, ils échangent des regards interrogatifs, puis Marcel se lance)

     

    Marcel Baraque : Ce serait pour un emprunt pour payer une dette.

     

    Sean Goldmann : Une dette ?  Quelle sorte cette dette ?

     

    Marcel Baraque : Ce serait pour payer la maison.

     

    Sean Goldmann : Pour acheter une maison ?

     

    Marcel Baraque : Non, non, c’est pour rembourser un crédit qu’on n’a pas pu payer.

     

    Sean Goldmann : Mais qui est votre banquier ?

     

    Marcel Baraque : Ben …. C’est vous monsieur Goldmann.

     

    Sean Goldmann : Vous avez un compte chez nous?

     

    Marcel Baraque : Ben …. Oui !

     

    Sean Goldmann (semble soudain beaucoup moins aimable) : Votre nom, je vous prie ?

     

    Marcel Baraque : Baraque.

     

    Sean Goldmann : Comme notre président ?

     

    Marcel Baraque : Non, pas tout à fait, je descends d’une vieille famille française et mon nom ne s’écrit pas comme le prénom de notre président !

     

    Sean Goldmann (tapote sur le clavier de son ordinateur)  : Je ne trouve pas, vous pouvez épeler ?

     

    Marcel Baraque : B A R A Q U E

     

    Sean Goldmann : Votre prénom est Marceule (il prononce à l’américaine)

     

    Marcel Baraque : Ca se prononce ‘Marcel’

     

    Sean Goldmann : Vous êtes né ?

     

    Marcel Baraque : Ici, à Obama dans l’Oklahoma.

     

    Sean Goldmann : Et vous madame, votre prénom et lieu de naissance ?

     

    Priscilla Baraque : Priscilla, née ici à Obama dans l’Oklahoma.

     

    Sean Goldmann : Eh bien vous avez bien fait de venir, vous allez m’éviter de vous envoyer un courrier de 4$, à vos frais, pour vous convoquer. Vous n’avez pas payé vos trois dernières traites pour le remboursement du prêt de votre maison. Nous avons entamé une procédure de poursuites.

     

    Priscilla Baraque : Ben …  nous sommes là pour cette raison, pour demander votre aide.

     

    Sean Goldmann : Selon votre dossier, vous avez acheté votre maison il y a six mois et ça fait trois mois que vous ne payez déjà plus ! Vous n’avez pas honte ?

     

    Marcel Baraque : J’ai perdu mon boulot le jour où nous avons emménagé. J’étais convoyeur de fonds pour votre banque mais vous m’avez viré le jour où nous avons signé le prêt.

     

    Sean Goldmann : Moi je ne suis que chargé de clientèle, je n’y suis pour rien.

     

    Priscilla Baraque : Ben ….  Si …  vous pouvez nous faire un prêt pour qu’on vous rembourse notre retard.

     

    Sean Goldmann : Mai si je vous faisais un prêt, avec quoi le rembourseriez-vous ?

     

    Marcel Baraque : Je vais retrouver du boulot, on est en Amérique, quand même, tous les rêves sont possibles !

     

    Sean Goldmann : Oui à condition d’avoir de l’argent !

     

    (Un silence)

     

    Sean Goldmann : Bon, vous en avez de l’argent, parce que sinon on va vous prendre votre maison pour nous rembourser nous-mêmes.

     

    Marcel Baraque : Vous ne pouvez pas faire ça !

     

    Sean Goldmann : Ah bon ! Et pourquoi on ne pourrait pas faire  ça ?

     

    Marcel Baraque : Parce que dans ce cas là vous allez perdre de l’argent, puisqu’on ne vous paiera pas !

     

    Sean Goldmann : On vendra votre maison et on gardera l’argent !

     

    Priscilla Baraque : Si vous faites ça, je vous tue !

     

    Marcel Baraque : Euh ! Ma femme veut dire qu’on vous fera un procès.

     

    Sean Goldmann : Faudrait que vous ayez de l’argent pour payer l’avocat, ces gens là ne travaillent par pour rien !

     

    Priscilla Baraque : On empruntera, vous n’êtes pas la seule banque des Etats Unis !

     

    Sean Goldmann : Avec votre taux d’endettement, personne ne voudra vous faire crédit.

     

    Priscilla Baraque : On vendra la maison.

     

    Sean Goldmann : Elle nous appartient, elle est hypothéquée.

     

    Priscilla Baraque : Dans ce cas vous n’avez qu’à payer vous-même les mensualités.

     

    Sean Goldmann : Non ! Je vais tout reprendre depuis le début parce que vous semblez ne pas bien comprendre dans quelle situation vous vous êtes fourrés !

     

    Marcel Baraque : Dites plutôt que c’est vous qui nous y avez fourrés !

     

    Sean Goldmann : Vous n’aviez qu’à pas signer.

     

    Marcel Baraque : Vous êtes venu nous chercher.

     

    Sean Goldmann : Mais c’est n’importe quoi !

     

    Priscilla Baraque : Depuis combien de temps travaillez-vous pour la banque, monsieur ….. monsieur comment, déjà ?

     

    Sean Goldmann : Monsieur Sean Goldman, attaché de clientèle à la banque Sachs and Goldman depuis une semaine.

     

    Priscilla Baraque : Eh bien vous n’étiez donc pas là quand nous avons signé, vous ne savez rien de ce qui s’est passé !

     

    Sean Goldmann : Je travaillais pour la succursale de  Ralleigh, North Caroline(prendre l’accent américain), nous pratiquons partout de la même manière.

     

    Marcel Baraque : Alors vous savez bien que vous nous avez embarqués dans vos sales combines.

     

    Sean Goldmann : Dites donc, restez polis !

     

    (Un silence)

     

    Sean Goldmann  (pianotant sur le clavier de son ordinateur) : Bon ! Je contacte notre agent immobilier nous verrons ce que nous pouvons faire.

     

    Priscilla Baraque : Il va sûrement tout faire pour nous rendre notre argent.

     

    Sean Goldmann : Tout dépend de la valeur résiduelle de votre bien …. Mais je ne veux pas anticiper sur les conclusions de notre expert.

     

    Marcel Baraque : Alors après nous avoir vendu un crédit, vous nous avez foutu à la porte et maintenant vous voulez nous piquer la maison que vous refusez de nous aider à payer et c’est votre expert que vous avez envoyé … parce que nous l’avons bien vu roder autour de notre maison, votre expert …

     

    Sean Goldmann : Ecoutez monsieur Baraque, si vous ne voulez pas qu’on vous aide, je vous envoie les huissiers et vous vous débrouillez avec eux !

     

    Priscilla Baraque : Envoyez les … on les tue !

     

    Marcel Baraque : Ma femme veut dire qu’on ne leur ouvrira pas la porte.

     

    Sean Goldmann : Ouaip ! Vaut mieux pas avancer des menaces !

     

    Priscilla Baraque : La menace, c’est vous et ça craint !

     

    Jack Sachs (fait son entrée – très jovial, il tend la main aux époux Baraque) : Bonjour, bonjour,  non, non ne vous levez pas …  je suis Jack Sachs, conseiller immobilier de la banque Sachs et Goldman, comment allez-vous ?

     

    Priscilla Baraque : Merci, très mal !

     

    Marcel Baraque : On ne peut plus mal !

     

    Jack Sachs : Allons, allons, tout peut s’arranger dans la vie, il faut la prendre du bon côté !

     

    Marcel Baraque : Plus facile à dire qu’à faire !

     

    Sean Goldmann : Jack, vous connaissez, je crois, les époux Baraque ? Vous êtes allé voir leur maison pour en faire une évaluation, c’est bien ça ?

     

    Jack Sachs : Mais oui, bien sûr, très jolie maison, très bien située, un bel investissement ….

     

    Sean Goldmann : Les époux Baraque ne paie plus les traites de leur emprunt et nous nous voyons dans l’obligation de saisir la maison pour la revendre et nous payer de notre prêt.

     

    Jack Sachs : Ah ! Oui, non, je confonds, c’est Baraque votre nom ? Oui, ah ! je pensais à la maison des Barbaque, vous voyez, c’est presque pareil …  mais la maison, non, c’est pas pareil du tout, la votre est très mal située, complètement invendable, surtout que le terrain est humide et le voisinage, Oh ! la la ! le voisinage, pas fréquentable le voisinage  ….  Personne ne voudra d’une maison comme ça !

     

    Priscilla Baraque : Mais vous vous moquez de nous,  c’est pas possible, notre maison est toute neuve, dans un ensemble résidentiel avec commerces, hôpital, salle de sport, piscine et   …..

     

    Jack Sachs : Je suis désolé chère petite madame, mais les propriétaires de votre ensemble résidentiel sont en train de vider les lieux, la plupart ne peuvent plus payer leurs mensualités leurs maisons sont vendues au plus offrant et les nouveaux propriétaires sont très     comment dire …. très …

     

     Marcel Baraque : Cherchez pas, on a compris, vous êtes en train de vous payer notre tête, mais nous demanderons une contre expertise …..

     

    Sean Goldmann : Et vous le paierez comment l’expert ?

     

    (Un silence)

     

    Jack Sachs : En tout cas, j’ai fait une évaluation de votre bien et je pense que nous pouvons le mettre en vente à 150.000 $

     

    Priscilla Baraque (très animée, au bord de la crise de nerfs) : Quoi ! Mais nous avons emprunté 250.000 $

     

    Jack Sachs : Je vous ai donné les raisons de mon évaluation, voulez-vous que je vous les rappelle …

     

     Marcel Baraque : Si nous vendons notre maison pour seulement 150.000$, qui paiera les autres 100.000 ?

     

    Sean Goldmann : Il est évident que puisque vous aviez emprunté 250.000$ si nous reprenons votre maison pour 150.000$ vous devrez continuer de nous rembourser les 100.000$ de différence, nous vous faisons cadeau des frais d’expertise, mais il y aura des frais de dossier et de levée d’hypothèque et …..

     

    Marcel Baraque (hurle très en colère) : C’est du vol, de l’escroquerie,  de la filouterie, nous allons porter plainte, vous ne vous en tirerez pas comme ça !!!

     

    Priscilla Baraque (très animée, au bord de la crise de nerfs elle se lève menaçante …) : Je vais vous  tuer !

     

     Marcel Baraque : Et moi je vais la laisser faire …  je vais même l’aider ….  (il se lève et se lance dans la bagarre avec sa femme …)

     

    (s’en suit une grande confusion … tout le monde se débat …se tape dessus et crie)

     

    Sean Goldmann (crie) : Sécurité … sécurité … sécurité ….

     

     

     

    (Tout le monde s’arrête et ils partent sauf Priscilla qui reste devant le public)

     

     

     

     

     

     

     

    Priscilla Baraque : Toute cette farce est une pure fiction et n’est absolument pas inspirée de faits réels ayant existés, nous savons bien, vous et moi, que ce genre de situation n’est jamais arrivée et n’arrivera jamais. C’est pourquoi il vaut mieux en rire !

     

     

     

    Tout le monde rit

     

     

     

     

     

    FIN

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Lyon, la haine de l'autre et le mépris de la République par tous !

    Mais d'où donc peut bien venir toute cette haine ???


    Ne devrions-nous pas vivre en harmonie les uns avec les autres sans avoir à nous soucier de la religion des autres ?


    La religion, d'ailleurs, n'est-elle pas le meilleur vecteur de paix ?


    Aimez-vous les uns les autres .... etc  ...... ça devrait aider, au moins !


    Bon, c'est vrai que parfois les religions ne sont pas très .... œcuméniques et qu'elles traitent de sujets qui n'ont rien à voir avec le cultuel mais plus avec la politique et la morale ....


    Le problème avec la morale, c'est que c'est plutôt du domaine philosophique et donc polémique .... je voulais dire dialectique !


    Bon, on va en rester là, je crois que quand la haine occupe le terrain il n'y a pas grand chose à faire sauf à lotir le terrain ....  un coin de France pour les animistes, un coin de France pour les bouddhistes, un grand coin de France pour les juifs et encore un autre pour les musulmans et si il en reste, un p'tit coin pour ceux qui ne croient en rien et s'en tape le coquillard !

     

    Une fois les terrains attribués  .....  ben il n'y aura plus qu'à grignoter le terrain des autres pour s'en faire un grand terrain nouveau d'où seront exclus les plus faibles qui n'auront pas pu se défendre !

    C'est drôle, ça me rappelle quelque chose ......

     

  • J'aurais bien ajouté ma voix aux voix des électeurs mais pour dire quoi ? Que puis-je dire qui n'ait été déjà dit tant de fois ?

     

     

     

    Jusqu'où faudra-t-il que nous allions avant que le peuple ne se révolte contre ses maîtres incompétents ?

     

    Voici venu le tour des vautours socialistes de se jeter à bec rabattu sur la carcasse de notre pauvre France.

     

    Nous allons assister, cois, au désolant spectacle de la curée.

     

    Revoir Lang, volaille nécrophage et sa gai parade, sa fête de la musique et sa gueule de vérole se servir de l'État pour ses frasques marocaines et ses cadeaux à ses mignons puants …..  rien que d’y penser ça me donne envie de gerber !

     

    Revoir Drey, pie grièche écorcheur et ses toquantes tocardes et ses chèques d’adhérents qui échouent inexplicablement sur son compte en banque pendant qu’SOS racisme perçoit 500.000 euros de subventions ….  D’y penser mon cœur se serre et mes tripes ‘spasment’ !

     

    Revoir Fabius, corneille friande de proies tendres et clamsées par le sang contaminé responsable sans se rendre coupable mais capable de se faire coudre des poches surnuméraires pour y cacher du numéraire …. D’y penser mon âme révulse et mes tripes se vident !

     

    Valls, Moscovici, Aubry, Cambadélis, Bartolone, Sapin, Montebourg, Lienemann, Mélenchon ……  tout ces rapaces charognards qui se tapent des ailes et du jabot à qui aura les meilleures places pour lui-même sa famille et ses potes ….  Véhicules de fonction, défraiements généreux, indemnités et largesses, frais de bouche et de cul …. D’y penser mon corps se nécrose et mes jambes flageolent !

     

    Et pour finir, le vicelard de service et ses manières de faux cul faux savant faux dur faux honnête qui pique dans les poches des étudiants et brûle les cassettes compromettantes prétendant être couvert par son passeport diplomatique mes couilles de 5 à 7 ouk élabonne …….  D’y penser  …..  je meurs …. Pour 5 années ou moins ….. car les peuples ont parfois de soudain sursauts de clairvoyance …… on peut toujours rêver pendant que les socialos se gaveront comme des ursidés prévoyants un rude hiver !


    Pour les marmottes de l'UMP il est temps d'hiberner !

     

  • Prochainement .... une pièce en 3 actes de 3 scènes .... comédie dramatique ...

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    Apocalypse nucléaire

     

    comédie dramatique en 3 actes de 3 scènes chacun.

    6 personnages pour 3 comédiennes et 3 comédiens.
    Durée estimée : 1 heure 30.

    Malgré l'intensité dramatique que dégage cette pièce de théâtre aux effets spéciaux explosifs, l'humour est présent tout au long de l'intrigue dont la chute particulièrement originale laissera longtemps le spectateur sur l'expectative !   

     

    .

  • Les syndicats FO CGT CFDT et tutti quanti …. Un seul mot d’ordre : « plein les fouilles » !

     

    Les permanents des syndicats français sont payés par les valises de billets du MEDEF et par les subventions gouvernementales.

     

    Pourquoi voulez-vous qu'ils défendent les intérêts de la classe ouvrière ?

     

    Tous ceux qui travaillent le savent bien puisque lorsqu'on demande l'aide d'un syndicat, le PDG du syndicat vous explique pourquoi vous ne devez pas attaquer (ils ne parlent jamais de se défendre) votre employeur parce que dans ce cas, expliquent-ils, vous risquez de nuire à vos "camarades".

     

    Dans les autres pays en particulier en Allemagne, les syndicats sont financés par les cotisations ils ont donc intérêt à défendre les ouvriers etam et cadres s'ils ne veulent pas disparaître.

     

    Mais en France .... ils vivent comme des pachas à ne rien foutre !

     

    Mais le pire, peut-être, c’est que les permanents et les délégués syndicaux sont si sûrs de leur position de force tranquille de rentiers qu’ils adoptent volontiers des postures de kapos !

     

    Leur magnificence n’a d’égale que leur dédaigneuse arrogance de potentats affidés aux patrons et aux finances.

     

    Si, aujourd’hui, les syndicats français devaient se financer des cotisations de leurs adhérents, ils disparaîtraient en quelques mois.

     

  • La une du canard enchaîné : le permis d'éconduire et permis de promettre sont dans une pochette surprise !

    dessins de KIRO

    (pardon d'avoir omis cette mention importante !)

     

    kiro-canard-336d084.jpg

  • La campagne présidentielle pestilentielle m'incite à la léthargie !

     

    Vous avez remarqué que je n’ai rien écrit depuis longtemps.

     Quand il y a trop de matière, moi, ça me tétanise !

     

    Je me dis que je suis incapable de suivre tout ce tintamarre, de commenter toutes ces gesticulations incantatoires ou comminatoires, ces non-dits qui en disent long, ces longs discours profonds comme un cul de basse fosse, ces simagrées simiesques, ces foutages de tronches émétiques ….

     

    Bref ! La campagne me tue, la campagne m’a ‘tuer’ !

     

      Que vois-je ?

     

    A ma gauche, Poutou, Mélanchon, Arthaud, Hollande

     A ma droite, Sarkozy et Marine

     Derrière, Bayrou

    A terre, Eva Joly

     Et au dessus, dans les étoiles, Cheminade ……

     

     

    Que disent-ils ?

     Rien ou presque, quelques affirmations sans conviction, des grimaces extatique sur leur futur bonheur de prendre la tête d’un pays qui l’a perdue !

     Tout le monde est d’accord, nous allons droit dans les mûrs ….. et rien ni personne n’y peut changer quoique ce soit !

     

    A peine si l’ombre de Dupont Saignant sanglote qu’il faut tout changer …. Que sinon ….

     

    Le plus croquignolesque, à mes yeux, le plus abracadabrantesque, le plus guignolesque, le plus cornegidouillesque … c’est la Mélanche …. Il monte, à l’instar de la bébête …. Et annonce sa dévotion à Hollande ! Il sert à quoi  si lui-même est convaincu de sa propre inutilité ! ?

     

    Mais il n’est pas original puisque tous pensent la même chose …. Le président de la République ne sert à rien, il est le porte parole du néant et de l’impuissance réunis, le valet de chambre de la vacuité et des basses œuvres de la finance et de la mondialisation, le croquemort de la société, le chirurgien des caisses vides de l’Etat, l’échanson des chansons de corps de garde louant les vertus de la langue de morue trempée dans le foie de la foi morbide et les couacs des chanteurs de variétés avariées ….

     

     

     

    Notre société se délite …. Doucement mais sûrement !

     

    Il n’y a plus personne pour remuer la merde …  les syndicats ont depuis belle lurette renoncé à défendre autre chose que leur petite place chauffée. Ils confirment : « on ne peut rien contre la puissance de la finance » mais oublient de finir leur phrase … « qui nous finance ! ».

     

    Sarko amuse son monde en jouant au cosaque casqué pourfendant les prédicateurs vérolés et les imams décervelés.

     

    Il ne s’était pas rendu compte, l’ignoble, que les religions sont la mort de l’humanité humaine !

    Il en était resté au curé pédophile dernier représentant de la morale en dentelle !

     

    Le conclave des pleurnicheurs, rebondissant sur l’ignominie aveugle et débile d’un bringue zingue armé dégommant des enfants, hurle à l’antisémitisme avant même qu’on apprenne que les fous relèvent des asiles, pas des temples ou autres mosquées !  C’est chaque fois la même rengaine déplorable ….  Tous les religieux de tous les bords instables et branlants des religions puériles se précipitent chez le premier ministre puis le président poil aux dents pour prévenir que si on ne les érigent pas en morale crétine du peuple, ils vont lancer leurs dieux impotents accompagnés de leurs prélats déficients mentaux sur tout ce qui bouge et ne porte ni kippa ni calotte ni burqa ni robe ni djellabah ni rouflaquettes derrière les oreilles sous chapeaux ronds comme des Bretons …..  autant dire que ça va saigner …. Parole de cochon !

     

    Voilà à quoi se réduisent les débats sur l’élection de celle ou celui qui représentera de par le monde la culture française et défendra l’image du français moyen !

     

    Putain la gueule du français moyen !!!!

     

    Sommes nous donc tous tarés ?

     

    Le chanteur populiste et souverainiste sarkozyste chantait que non … il n’y a pas cinquante millions de cons en France ….. mais comment y croire quand on voit la tronche des Joly, Mélanchon, Hollande, Sarkozy, Le Pen … et tutti quanti ?????

     

    Sûr que le prochain président nous ridiculisera aux yeux des chinois et autres japoniais …  sans parler des ricains et des boukistanais !

     

    Même les chiliens nous conchieront !

     

    Mon seul réconfort, je le tiens de mon jardinet. Dans la mare les têtards pullulent. Les violettes sont déjà éteintes mais les rhododendrons sont rouges et roses tendant vers le mauve. Le cerisier japonais est rose tendre et les merisiers sont blancs comme le poirier. Quand aux pommiers … il n’y en n’a plus pour longtemps. Les forsythias explosent en jaune et les jonquilles baissent pudiquement la tête en voyant les bleus violets myosotis.

     

    Non, je ne suis pas inutile et vain comme nos politiciens …. Je cultive mon jardin, moi.

     

  • Putain d’ta race ... Ô conneries de bonne-mère de mes couilles ….. notre avenir est entre des pieds malhabiles et puants ….. notre avenir part à vau l’eau …. En couilles, quoi ! Putain d’ta race !!!!!

     

     

     

    François Hollande veut supprimer la notion de race de la constitution

     

     

     

    Adieu bichons, dobermann, holstein, bretonnes, berger allemand, caniche, bull dog, martiens, chihuahuas, arabes (chevaux) .......

     

    On se contentera de dire : cheval ou chien ou oiseau …. Mais même ça …. Je me demande si ce n’est pas plein de sous-entendus, insidieux, provocateur, indécent ?

     


    Vous n'avez pas l'impression qu'on se rétrécie, que nous nous replions sur nous-mêmes et nos culpabilités envers tous les peuples et les religions de la terre ?

     


    La révolution française n'aurait donc rien amené à notre Nation, nous ne serions que des fléaux, des ignares, des bruts et des connards .......

     


    Quand est-ce qu'il annonce l'abandon de l'hymne national au profit de quelque raï ou autre rap ?

     

    Surtout qu'il a près de lui des imbéciles qui souhaitent la fin des célébrations du 14 juillet ...... sa bonne copine (d'cheval) Eva (pas) Joly !

     

     

     

    Et puis n’oublions jamais que Fabius a intenté un procès contre un mec qui avait osé dire que machin n’avait pas l’air très chrétien ….. 

     

     

     

    J’vous jure, par le St Graal et l’épée de Mohammed dans l’cul de Jésus ….  Faudra prochainement abandonner définitivement notre langue pour quelque volapük ou autre esperanto …

     

     

     

    Si le mot « négationnisme » a jamais eu un sens …… c’est le moment de s’en servir !

     

     

     

     Vous savez quoi ?

    Les politiques ne s'adressent plus qu'aux débiles ....  les gens normaux, civilisés, éduqués, cultivés, intelligents .....  ne comptent plus ..... n'existent plus !!!!!

     

     

     

    Voici, pour vous donner une idée, ce qui va disparaître du dictionnaire (le Robert) :

     

     

     

    race[Yas]n. f.

     

    ÉTYM. V. 1500, sens I.; ital. razza « sorte, espèce », lat. ratio « ordre de choses, catégorie, espèce », en moy. lat. « descendance ».

     

    v

     


     

    I

     

    A (Personnes).

     

    1 a (1512). Famille, considérée dans la suite des générations et la continuité de ses caractères (ne se dit que de grandes familles, familles régnantes, etc.).è Ascendance, descendance (cit. 1).| L'individu n'est que le moment d'une race ( Cours, cit. 3).| Le premier d'une race. è Souche.| Des princes de même race. è Sang.| Une race pleine de vertu ( Honnêteté, cit. 9).| La splendeur de sa race. è Généalogie (cit. 1).| La force cachée dans une race ( Arbre, cit. 47).| Race appauvrie* (cit. 8) et déclinante.| Par le rang que me donne ma race (1. Passe, cit. 11).| La race des Atrides. | Vous ne démentez point une race funeste (cit. 8, Racine).| Le bon sens, qualité dominante (cit. 2) de la race des Capétiens.| Race qui s'éteint avec le dernier descendant.aLoc. Tenir qqch. de race, de famille. a Traître à sa race ( Draper, cit. 13).

     

    1 (…) je veux imiter mon père, et tous ceux de ma race, qui ne se sont jamais voulu marier.

     

    Molière, le Mariage forcé, 8.

     

    2 C'était une de ces femmes de vieille race, épuisée, élégante, distinguée, hautaine, et qui, du fond de leur pâleur et de leur maigreur, semblent dire : « Je suis vaincue du temps, comme ma race; je me meurs, mais je vous méprise ! »

     

    Barbey d'Aurevilly, les Diaboliques, « Bonheur dans le crime ».

     

    ¨a Une, la fin de race : les derniers représentants d'une famille noble. — aLoc. adj. Fin de race : décadent. | Un homme très distingué, un peu fin de race.

     

    2.1 Quant à la particule (…) Darteau, self made man, n'avait pour elle aucune considération. En affaires, elle lui paraissait plutôt une tare : ou elle était vraie, et il craignait toujours de se trouver en face d'une « fin de race » incapable, ou elle était fausse et constituait quelquefois le premier maillon d'une escroquerie.

     

    René Floriot, La vérité tient à un fil, p. 20.

     

    b Les ascendants.è Ancêtre, ascendance, extraction, lignage, origine, parage (vx).| Être de race noble ( Estampille, cit. 2).| Daphnis, berger (cit. 9) de noble race.| Un noble (cit. 17) de race, par oppos. à un anobli.

     

    3 Si je ne suis pas né noble, au moins suis-je d'une race où il n'y a point de reproche (…)

     

    Molière, George Dandin, ii, 2.

     

    c (V. 1660, Desportes). Les descendants. è Descendance, enfant(s), fils, lignée, postérité.| La race d'Abraham ( Alliance, cit. 2), de David ( Autant, cit. 41; éteindre, cit. 22).

     

    4 Race d'Abel, dors, bois et mange;
    Dieu te sourit complaisamment.
    Race de Caïn, dans la fange
    Rampe et meurs misérablement.

     

    Baudelaire, les Fleurs du mal, « Révolte », cxix.

     

    d (xvie, Ronsard).Vx. Génération. | La race, les races futures. è Postérité ( Paraître, cit. 31).| Pendant ces deux races ( Imposition, cit. 3).

     

    5 Que direz-vous, races futures,
    Si quelquefois un vrai discours
    Vous récite les aventures
    De nos abominables jours ?

     

    Malherbe, Poésies, I, v.

     

    6 Ce qui a donné l'idée d'un règlement général fait dans le temps de la conquête, c'est qu'on a vu en France un prodigieux nombre de servitudes vers le commencement de la troisième race (…) Dans le commencement de la première race, on voit un nombre infini d'hommes libres (…)

     

    Montesquieu, l'Esprit des lois, XXX, xi.

     

    2 Vieilli. Communauté plus vaste, considérée comme une famille, une lignée. | L'honneur (cit. 23) de notre race.| Les Amazones (cit. 1), race fabuleuse de femmes guerrières.| Une race de héros ( Entremise, cit. 5), de géants disparus ( Entassement, cit. 1).| Exterminer (cit. 3) une race.è Génocide (étymologie).

     

    ¨(xvie).| La race humaine : l'humanité. è Espèce ( Abrégé, cit. 3; contribuer, cit. 2; geler, cit. 9).

     

    3 (1564).Fig. Catégorie de personnes apparentées par des comportements communs, des situations analogues. è Espèce, sorte.| La race des maîtres (cit. 20).| La race des seigneurs (Nietzsche). — Bibl.| Race incrédule (cit. 1) et dépravée.| Race de vipères, nom donné aux Pharisiens. | La race des bonnes gens est-elle épuisée ? (cit. 30).| La race des meuniers était éteinte (cit. 67).| La race des hommes de loi (1. Loi, cit. 19).| La race parlementaire française ( Magistrat, cit. 5).| La race des illuminés (cit. 23).Quelle race, quelle sale race ! è Engeance.| Nous ne sommes pas de la même race. | J'étais d'une autre race qu'eux ( Arrêt, cit. 2).

     

    7 Il ne connaissait peut-être pas les hommes mais admirablement les grands hommes. Il connaissait les mœurs, les forces, les faiblesses de cette race internationale qui vit toujours, sinon au-dessus, du moins en marge des lois.

     

    Giraudoux, Bella, i.

     

    8 J'aurais horreur de redevenir civil, pensa-t-il. D'ailleurs, c'est une race qui s'éteint.

     

    Sartre, la Mort dans l'âme, p. 106.

     

    ¨Tous ces emplois ont vieilli, subissant en outre le discrédit attaché au concept de race au sens III.

     

    B (Rare). Catégorie de choses. | Une race d'œuvres calomniées ( Appartenir, cit. 34).

     

    9 (…) la vaste cour était pleine de véhicules de toute race, charrettes, cabriolets, chars à bancs, tilburys, carrioles innombrables (…)

     

    Maupassant, Miss Harriet, « La ficelle ».

     


     

    II (xviiie).a Sc., cour. Subdivision de l'espèce* zoologique (cit. 30 et 33), constituée par des individus réunissant des caractères communs héréditaires.| La race est divisée en sous-races ou variétés. | Le caniche, l'épagneul sont des races de chien. | Races canines, félines ( Guépard, cit. 2).| Races chevalines (è Cheval), asines, mulassières, bovines, ovines, porcines… ( Bétail, cit. 1; comice, cit. 2).èaussi Gent.| Plus une race est ancienne, plus la force de l'atavisme (cit. 0.1) est grande.| Croisement entre races. è Métissage.| Animal qui n'est pas de race pure (è Bâtard, croiser, [p. p. adj.], mâtiné, métissé), qui a perdu les qualités de sa race (è Abâtardi, dégénéré).| Animal de race pure. | Livres, listes décrivant les animaux selon leurs races. èaussi Herd-book, pedigree, stud-book.| Amélioration des races de chevaux.

     

    10 Ce cheval était (…) de cette petite race du Boulonnais qui a trop de tête, trop de ventre et pas assez d'encolure, mais qui a le poitrail ouvert, la croupe large, la jambe sèche et fine et le pied solide; race laide, mais robuste et saine.

     

    Hugo, les Misérables, I, vii, v.

     

    11 Dans le cadre de l'espèce la seule réalité objective c'est le génotype, c'est-à-dire l'ensemble des individus ayant même patrimoine héréditaire (…) En associant par croisement divers génotypes de manière à grouper à l'état homozygote une série de facteurs, nous réalisons une collectivité homogène formée par des individus de la même espèce, présentant un ensemble de caractères communs, transmissibles indéfiniment par hérédité (…) Cette collectivité est une race. L'ensemble des caractères considérés constitue le standard. La race sera pure, bien fixée ou homogène lorsque les caractères choisis sont tous à l'état homozygote. Elle est mal fixée, sans uniformité ou hétérogène, lorsque certains des facteurs sont à l'état hétérozygote et se disjoignent, réalisant des faits d'atavisme.

     

    L. Gallien, la Sélection animale, p. 77-78.

     

    ¨Absolt.|De race :de pure race. | Un chien de race ( Fox-hound, cit.; parier, cit. 1).| Les papiers d'un cheval de race.

     

    ¨Fig. (Personnes). Dont les qualités évoquent celles d'un animal de race. è Racé.| Les chevaux (cit. 7) de prix et les femmes de race.| Un écrivain de race ( Notation, cit. 2).(Choses). Rare.| Un style de race ( Lyrisme, cit. 2).

     

    ¨a(1836, in D. D. L.).Par ext. Avoir de la race : être racé, avoir de la distinction et de l'aisance.

     

    12 Il avait les yeux bleus étincelants des d'Esgrignon (…) la distinction de ces attaches du pied et du poignet, lignes heureuses et déliées qui indiquent la race chez les hommes comme chez les chevaux.

     

    Balzac, le Cabinet des antiques, Pl., t. IV, p. 355.

     

    ¨Loc. adv.Vx.| De race : du fait de sa race. — aLoc. prov. Bon chien* chasse de race.

     

    b Abusivt. Espèce.

     

    12.1 Je me dis que (…) la race bovine ne périclitera pas, que la race ovine se maintiendra, et qu'enfin la race porcine (…) gagnera encore, s'il est possible, en santé, en poids et en beauté !

     

    A. Robida, le Vingtième Siècle, p. 155.

     


     

    III (Groupes humains).

     

    1 (1684).Vieilli. Groupe ethnique qui se différencie des autres par un ensemble de caractères physiques héréditaires (couleur de la peau, forme de la tête, proportion des groupes sanguins, etc.) représentant des variations au sein de l'espèce. | L'anthropologie (cit. 2) classe les hommes en races d'après la pigmentation, la couleur de la peau, des cheveux et des yeux.| Race blanche, jaune, noire. è Blanc, jaune, nègre, noir; couleur, pigment (cit. 1).| La prétendue « race rouge » des Amérindiens est jaune. è Indien (cit. 5), peau (peau-rouge).| Classement des races par la taille, la forme de la tête, du crâne, l'indice céphalique (è Brachycéphale, dolichocéphale, mésocéphale), la forme des mâchoires (è Prognathe), de l'œil, du cheveu, la proportion des groupes sanguins.| Caractères d'une race. è Racial.

     

    ¨ Sous-race : type physique identifiable à l'intérieur d'une communauté. — Ex. : nordique, dinarique, alpine, méditerranéenne, etc. (dans la race blanche); sibérienne, nord- et sud-mongole, indonésienne, polynésienne, eskimo (inuit), amérindienne, etc. (race jaune); éthiopienne, mélano-africaine, mélano-indienne, etc. (race noire)… — Croisement entre races. è Métis, métissage ( Fusionner, cit. 1).| Pureté de la race, caractère des populations géographiquement isolées où l'on retrouve un type très constant. è Dysgénique, eugénique.| On a pu dire que les Pygmées, les Lapons étaient de race pure. | Essai sur l'inégalité des races humaines, œuvre de Gobineau. è Racial; racisme.

     

    13 L'origine des noirs a dans tous les temps fait une grande question : les anciens, qui ne connaissaient guère que ceux de Nubie, les regardaient comme faisant la dernière nuance des peuples basanés, et ils les confondaient avec les Éthiopiens (…) qui, quoique extrêmement bruns, tiennent plus de la race blanche que de la race noire.

     

    Buffon, Hist. nat. de l'homme, Variétés espèce humaine.

     

    14 Lorsqu'on eut pénétré au delà du Sénégal, on fut surpris de voir que les hommes étaient entièrement noirs au midi de ce fleuve (…) La race des nègres est une espèce d'hommes différente de la nôtre, comme la race des épagneuls l'est des lévriers.

     

    Voltaire, Essai sur les mœurs, cxli.

     

    15 Pour moi, je n'ai aucune peine à reconnaître mon frère humain, sous ces variétés de couleur (…) Les esprits tyrans, qui cherchent un miroir d'eux-mêmes, repoussent aussi bien l'Allemand que le noir; ils inventent des races, et vivent de mépriser. Je n'ai point cette maladie; j'aime les différences et les variétés.

     

    Alain, Propos, 19 sept. 1921, Races.

     

    16 La race est un fait de zoologie : elle représente la continuité d'un type physique. Une race se conserve d'autant mieux qu'elle est plus isolée (…) C'est pourquoi quelques-unes des races demeurées les plus pures sont aussi parmi les plus misérables. La race ne se confond ni avec la langue, ni avec la nationalité, ni avec la culture, ni avec la religion. Il n'existe pas de race latine, ni de race française, ni de race bretonne, ni de race aryenne, mais une culture latine, une nation française, un peuple breton, des langues aryennes ou indo-européennes.

     

    Pierre Gaxotte, Hist. des Français, I, i, « Il n'y a pas de race française ».

     

    17 Sur le plan psychologique on peut admettre qu'il existe des différences équivalentes (aux différences physiques) et qu'il y ait, entre la moyenne des individus appartenant à des races diverses, certains écarts permanents dans leurs aptitudes intellectuelles et dans leurs prédispositions psycho-physiologiques respectives. Mais ces tendances ou ces réflexes demeurent des formes vides (…) on ne peut comparer les aptitudes innées des races ou des nations que si elles sont placées dans les (…) mêmes conditions sociales que les autres sociétés auxquelles on les compare. Il faut donc appliquer la principale règle en matière de comparaison, celle des « toutes choses égales d'ailleurs ».

     

    Gaston Bouthoul, Traité de sociologie, p. 267-268.

     

    2 (xixe).Par ext. (Abusif ou vx en sc.). Groupe naturel d'hommes qui ont des caractères semblables (physiques, psychologiques, sociaux, linguistiques ou culturels) provenant d'un passé commun. è Ethnie, lignée, peuple; ethnique.La race germanique ( Flexible, cit. 7), celtique ( Nationalité, cit. 1), flamande ( Difformité, cit. 2), bretonne ( Erroné, cit. 2), grecque ( Aiguiser, cit. 12; inconséquence, cit. 6), juive (cit. 6; Âpreté, cit. 9), sémite. | La France, dans laquelle tant de races sont venues se fondre (cit. 32).| Le génie de notre race ( Esprit, cit. 172).| Walter Scott, chantre (cit. 3) des races opprimées.| Des races plus ou moins douées (cit. 3) en musique.| Frontières (cit. 1) entre les races.Vx.| La race aryenne (Gobineau) : la communauté linguistique indo-européenne. | « Il n'y a pas de race pure » (Renan; Ethnographique, cit. 2).| Amélioration de la race. è Eugénique (cit. 1).| D'une autre race que celle des habitants du même pays. è Allogène.| « Sans distinction de race, de religion, ni de croyance » (3. Droit, cit. 8).| Théorie de Taine, de la race, du milieu (cit. 29) et du moment (cit. 30).

     

    18 Pour les anthropologistes, la race a le même sens qu'en zoologie; elle indique une descendance réelle, une parenté par le sang. Or l'étude des langues et de l'histoire ne conduit pas aux mêmes divisions que la physiologie (…) Ce qu'on appelle philologiquement et historiquement la race germanique est sûrement une famille bien distincte dans l'espèce humaine. Mais est-ce là une famille au sens anthropologique ? Non, assurément.

     

    Renan, Discours et conférences, Qu'est-ce qu'une nation ? Œ. compl., t. I, p. 897.

     

    19 Au point de vue des sciences historiques (en note : Nous laissons à d'autres le soin de parler des caractères physiologiques, anthropologiques […]), cinq choses constituent l'apanage essentiel d'une race, et donnent droit de parler d'elle comme d'une individualité dans l'espèce humaine (…) une langue à part, une littérature empreinte d'une physionomie particulière, une religion, une histoire, une civilisation.

     

    Renan, Mélanges d'histoire et de voyages, Société berbère, i, Œ. compl., t. II, p. 553.

     

    20 (…) nous n'avons (dit Olivier) qu'à nous défendre et à les tenir (les Juifs) à leur rang, qui est, chez nous, le second. Non que je croie leur race inférieure à la nôtre : — (ces questions de suprématie de races sont niaises et dégoûtantes). — Mais il est inadmissible qu'une race étrangère, qui ne s'est pas encore fondue dans la nôtre, ait la prétention de connaître mieux ce qui nous convient, que nous-mêmes.

     

    R. Rolland, Jean-Christophe, Dans la maison, ii, p. 1007.

     

    21 Si chaque famille du groupe linguistique indo-européen (…) ne correspond à aucune race mais est parlée par un métissage de peuples, comment concevoir encore une unité ethnique du groupe ? Le plus curieux, c'est que les Allemands se croient le plus pur spécimen de cette « race » inexistante, alors que le germanique offre, seul dans l'indo-européen, des tendances aberrantes (…) qui ne peuvent être attribuées — Meillet l'a montré — qu'à un important substrat non indo-européen (…)

     

    A. Dauzat, l'Europe linguistique, p. 15.

     

    22 (…) je leur dis toujours : la race, qu'est-ce que c'est que ça, la race, est-ce que vous prendriez Ella pour une Juive, si vous la rencontriez dans la rue ? Mince comme une Parisienne, avec le teint chaud des filles du Midi et un petit visage raisonnable et passionné, un visage équilibré, reposant, sans tare, sans race, sans destin, un vrai visage français.

     

    Sartre, le Sursis, p. 77.

     

    23 En 1911, au Congrès universel des races, aucun des nombreux rapporteurs, tous anthropologistes ou ethnologues, ne soutint l'infériorité foncière d'un groupe humain quelconque, et on proclama « l'égalité substantielle des races dans leur capacité innée de progrès » (G. Spiller). Malgré cela, la doctrine raciste, instrument politique d'États totalitaires, n'en continua pas moins à se développer (…)

     

    P. Lester, in Encycl. Pl., Hist. de la science, Anthropologie, Paléontologie humaine, p. 1405.

     

    ¨En franç. d'Afrique. Ethnie, tribu.

     

    24 (…) j'avais abandonné les cultes que faisaient mes ancêtres; j'ai en quelque sorte abandonné ma tribu pour me faire d'une autre race.

     

    P. Teissereng, le Dieu des autres, p. 103, in I. F. A.

     

    REM. Une bonne part des aberrations scientifiques du racisme provient de la confusion entre la notion génétique de race (III., 1.), elle-même rapprochée sans précaution du sens zoologique (II.), et la notion extrêmement indécise de sous-race ou celle, littéraire ou socioculturelle, traitée ici (III., 2.), si ce n'est la valeur initiale de « lignée » (I.). Ainsi, la notion aberrante de race juive relève en réalité de l'usage vague et traditionnel (I.), auquel certains ont tenté de donner un contenu pseudo-biologique.

     

    v

     

    DÉR.Racé,raceur,racial,racisme,raciste.

     

    COMP.Sous-race.

     

     

     

  • Les chefs d'Etats Européens se coalisent pour refuser de recevoir le candidat socialiste français ...

     

    HEIL  HITLER

     

     

     

    dali-dos.jpg

  • La contre-attaque imparable des infidèles contre le tout hallal ou le tout casher !!!!

     

    Plusieurs familles étrangères ont décidé de rentrer en Afrique …….  Fissa !

     

    Pourquoi ?

     Les juifs et les musulmans ne peuvent pas consommer de halouf  (cochon).

     Cette pratique religieuse remonte à la nuit des temps quand des hommes attrapèrent une maladie mortelle transmise par la viande de porc.

     

    Voyez plutôt :

     

    La trichinellose est une parasitose tissulaire survenant chez l'homme et de nombreux mammifères. Elle est transmise par la consommation de viande de porc crue ou insuffisamment cuite, ou de gibier contaminé par les larves d'un ver rond (nématode) dont on connaît plusieurs variétés, généralement Trichinella spiralis, mais aussi Trichinella pseudospiralis et Trichinella britovi en France.

     

     

     Alors ?

     Me questionnerez-vous à juste raison ?

     

     Eh bien voilà  …..

     Les musulmans et les juifs se sont rendus compte que lors de transfusions sanguines du sang des infidèles  leur a été transfusé pour les sauver …. Las, ces infidèles, bouffeurs de haloufs les ont contaminés ….. peut-être pas au sens clinique du terme mais au sens religieux !

     

    Mais ce n’est pas tout ……

     

    Nous nous sommes aperçu que les laboratoires pharmaceutiques utilisaient sans la moindre restriction le cou de porc (200% de gras) dans la fabrication des gellules médicamenteuses.

     

    Ainsi, les juifs et musulmans se sont rendus compte que depuis qu’ils sont en France consomment du porc à l’insu de leur plein gré et se retrouvent impurs et donc inéligibles, quoiqu’ils fassent, au Paradis Eternel d’Allah ou de Jéhovah !

     

     

     

    Toutes celles et tous ceux qui resteront chez nous ferons donc le sacrifice de leur vie éternelle.

     

    El Hamdoullilah chalom !!!!!