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La mort n'est pas toujours drôle - Page 2

  • Nelson est mort …. Qu’a-t-il fait pour son pays …. Au juste ?

     

     

    Que de beaux discours, que d’éloges, que d’émois et de moi !!!

    Ils en rajoutent tous une couche ….  Un bonne couche, bien grasse, bien larmoyante ….

    Tous des tartuffes !

    Il est dans quel état le pays à la mort de Mandela ?

    Juste au bord du chaos !

    On en reparle ….

    En attendant, tous ces crétins qui pleurent Nelson feraient mieux de  rester chez eux en attendant la suite ….

  • Mort de Madiba ! Deux ans en Afrique du Sud, ça laisse des traces …. (Pretoria 1995 & 1996)

     

     

     

    J'ai mis un brassard noir à ma chemise madiba !

    Et pis c'est tout !

    Madiba, il a laissé sa femme s'occuper de mettre l'AFS en coupe taillée par les mafieux noirs qui avaient déjà la main mise sur tous les townships du pays.

    Certes, les blancs avaient bien investi les strates financières avec la tribu de Stael à la tête de la BCZA (Banque Centrale), et ses autres potes aux manettes des grands groupes et filiales américaines et européennes, mais la grande masse des petits blancs était totalement écartée des mangeoires bien garnies. Ils vivaient un cran au dessus des noirs, mais à peine. Pendant les deux ans que nous avons passés en ZA 'Zuid Africa', nous avons vu des milliers de sudaf quitter le pays pour émigrer vers l'Australie.

    Avec le positive discrimation act, une grande partie de la classe montante noire a investit les meilleures places, en doublons payés à rien foutre parce que chaque fois qu'ils prenaient une initiative ça tournait à la catastrophe !

    Madiba, il inaugurait les chrysanthèmes et il a demandé à ses copains d’organiser des procès bidons pour juger les méchants blancs qui avaient massacré les gentils noirs.

    Bien entendu il s’agissait non de punir, mais de vider l’abcès en demandant aux simples flics et autres gardes barrières de faire leur mea culpa (contrition). On aurait dit des mauvaises pièces de théâtre comme on en voyait dans les années cinquante en noir et blanc sur la seule chaîne de télé de l’époque en France.

    Y’avait des pleureuses, des énervés, des têtus, des boudeurs, des tartuffes …. Etc … impossible, je me souviens de suivre ces pantomimes plus d’une minute.

     Cette confrontation des familles face aux tortionnaires qui n’étaient en fait que de simples exécutants avait ce goût âcre des procès d’intention interminables qui ne règlent rien.

    Bien entendu, les grands responsables sont restés bien à l’abri dans leurs villas gardées comme des châteaux forts. Parce qu’en Afrique du Sud, on est très riche ou rien du tout !

    D’ailleurs, il y avait un immense contraste entre Johannesbourg et Prétoria.

    Le centre historique de Jobourg n’était qu’un immense champ de ruines calcinées envahi par des petites carrioles de vendeuses à la sauvette qui proposaient leurs légumes et autres bijoux en toc à des chalands indifférents et  désargentés. Mais il régnait une ambiance latente de violence menaçante et brutale. Un grand frisson vous prenait et vous n’aviez plus qu’une idée … sortir de là à tout prix avant qu’un tueur ne vous remarque à la blancheur de vote complexion et vous pique votre véhicule le canon d’une arme sur votre tempe (hi jacking) !

    Pretoria, était un patchwork de nombreux petits quartiers délimités par des axes routiers qui les séparaient entre eux. On distinguait très nettement le nord du sud et l’est de l’ouest car chacun avait son caractère propre lié à la période de construction (essentiellement) et au niveau de vie de ses habitants.

    Nous louions une villa de 10 pièces avec piscine dans le nord ouest de Prétoria. Dans ce petit quartier riche (notre villa était une des nombreuses villa propriétés du président de la Banque Centrale), les villas étaient entourées de pelouses et protégées par de simples murets.

    Les voleurs ne montraient pas le bout de leur nez car dans ce quartier régnait le « neighbour watch » (surveillance par les voisins). Toute personne qui pénétrait sur le territoire faisait l’objet d’une surveillance étroite si elle n’était déjà connue.

    C’est très important cette remarque parce que ailleurs, la plupart des maisons étaient protégées par de hauts murs avec barbelés électrifiés quant elles n’étaient pas carrément dans un ‘dominium’ avec ‘ons lapa’ (guérites) de gardes armés jusqu’aux dents qui n’empêchaient même pas les voleurs de s’introduire.

    Il ne se passait pas une nuit sans qu’un cambriolage à main armé ne défraie la presse locale. Et assez souvent il y avait mort d’homme.

    J’ai refusé de vivre armé, mais j’ai quand même suivi les cours donnés aux citoyens qui le souhaitaient. On enseignait de ne tuer dans la rue que si vote véhicule personnel était menacé de vol. Chez soi, il était interdit de tuer dehors, alors on vous mettait en garde : si vous descendez un cambrioleur dans votre jardin, ramenez-le dans la maison avant d’appeler la police.

    J’ai toujours eu l’esprit quelque peu retors, j’ai donc posé la question :

    « Mais les flics verront les traces de sang ! ? »

    « Aucune importance, du moment que le cadavre est dans la maison, les flics ne chercheront pas la petite bête ! »

    Malgré cette insécurité réelle, nous avons parcouru le pays en long, en large et en travers avec la grosse voiture que j’avais achetée à un membre de l’Ambassade de France. Une japonaise qui montait sans forcer à 220km/h.

    Il y avait de belles routes, de moins belles et mêmes des pistes interminables comme celle que l’on prenait pour aller à Sodwana Bay où se rassemblaient des centaines de gros 4X4.

    Pour accéder à Sodwana, il fallait traverser les terres Zoulou (les Zoulous sont autonomes et gouvernés par le roi des Zoulous), par une piste d’environ 6 mètres de large, pleine de trous immenses et ce sur cent kilomètres. De temps à autres, des zoulous sortaient du bush avec des objets sculptés en bois (nous en avons encore), on roulait à cinquante kilomètres heures au grand maximum et le plus souvent bien moins vite.  

    Les Boers sont rugueux, pour ne pas dire abrupts et toujours armés jusqu’aux dents (et c’est un euphémisme). Ils adorent se rassembler en plein bush pour vivre comme des sauvages mais avec le confort dernier cri. Tant que votre peau est blanche, ils ne vous tirent pas dessus sans sommation.

    Dans le zoo de Prétoria, j’ai croisé un jour un blanc immense (plus de 2m de haut) avec une carrure d’armoire bretonne qui se baladait avec son épouse (toute petite) qui poussait une poussette et … il avait à sa ceinture un gigantesque flingue (j’en n’ai jamais revu d’aussi gros). C’était anachronique, personne ne pouvait avoir l’idée de s’attaquer à ce géant !

    Nous, à Sodwana, en bons européens, nous louions des ‘lodges’. C’étaient des maisons entièrement en bois (sauf le frigo, l’évier et la plaque de gaz, les couverts et les draps) sur pilotis. Les singes rodaient et venaient piquer tout ce qu’on laissait sans surveillance.

     

    L’autre balade inévitable, c’était le Kruger Park. C’est de là que j’ai tiré mes émotions compilées dans mon mirliton : « Le soir tombe sur la savane sauvage ».

    Toujours des lodges et des steaks de 2 kilos cuits au « braï » (BBQ).

    Nous avons dû sacrifier une fois ou deux à Sun City. Mais c’était vraiment pour ne pas avoir à avouer qu’on ne connaissait pas !


    Voilà un peu de ce que la mort de Mandela évoque en moi.

     

    Note aventure en Afrique du Sud s'est mal terminée, comme presque toutes mes aventures africaines.

    J'ai été victime d'un noir hyper raciste qui ne voulait pas d'un étranger blanc dans l'entreprise qui m'a partout ailleurs accueilli à bras grands ouverts (oui, surtout mes compétences)  : Tunisie, Sénégal, USA, UK, Autriche, Singapour, Australie, France ...
    la société ORACLE


  • Ouf ... un peu de ciel bleu perce à travers les stratus, les cumulus et même les cumulonimbus ... les bleus vont prendre leur revanche !

    En effet, j'apprends que les bleus vont jouer, demain, contre l'équipe des cul-de-jatte du Boukistan. Cette équipe jouant dans des caisses à savon et se déplaçant à l'aide de fer à repasser en fer (comme leur nom l'indique), ils est possible que les bleus arrivent à les battre .... bien entendu, tant qu'ils n'ont pas marqué on est en droit de douter ... mais là, franchement ....

     

    Pépère François a décidé de rester en Israël. Avec sa compagne Valérie, ils vont investir leurs économies dans une petite villa en territoire palestinien occupé.

     

    Sarko s’apprête à rendosser son costume  de président (poils à la citrouille) mais il pourrait se voir priver de sa victoire par Chirac qui pense revenir sur le devant de la scène.

     

    La France perd la tête de tous les côtés mais tout le monde garde le moral parce que si ça va plus mal, en tout cas, ça pourrait être pire ... ce qui ne saurait tardé .... mais il convient de profiter de l'instant présent comme le disait si bien Epicure, médecin et philosophe qui enseignait que la santé n'a pas de meilleur alliée que la bonne humeur !

     

    Bref !

    Si vous vous suicidez, faites-le avec le sourire ! Un sourire, c'est gratuit et ça ne mange pas de pain.

  • Les poches des français, les mains du gouvernement.

     

    Un article intéressant sur les intentions vicieuses des hauts fonctionnaires du gouvernement Hollande, serviteur zélé de ces messieurs.

    Quand le nucléaire s'invite à la Bourse.

    Nos hauts fonctionnaires pètent les plombs sous la pression du gouvernement Hollande aux abois.
    La consigne : rafler le pognon pour faire survivre les fastes de la caste 'pouvoir'.

    N'ayant jamais mis les pieds dans une entreprise, ignorants volontairement les citoyens pouilleux de la caste des 'crottés', ils abusent d'imagination pour piller la France au plus grand profit de leurs patrons.

    Les impôts pleuvent drus.

    Lancés dans un galop effréné, comme un cheval emballé, nos actuaires se battent comme des chiffonniers à qui inventera l'impôt le plus tordu.

    Si on faisait un test en piochant dans les économies de ces 'crottés' .... puisqu'on ne peut pas toucher aux riches, nos amis puissants.

    Aussitôt dit, aussitôt voté !

    Las ! Tollé générale et rétropédalage .... mais qu'à cela ne tienne on trouvera bien autre chose d'incontournable ...
     
    L'échotaxe et ses portiques à 1 milliard financés par le privé. Retour au Moyen-Âge et à l'octroi.
    Prochaine étape ...  la gabelle !

    Et si DSK revient dans la danse on ouvre des maisons closes (heureux oxymore).

    Je crois bien qu'on essaie de nous faire prendre la bourse pour une lumière ! Ce casino pour initiés dans lequel les entreprises sont cotées par la coterie.

    Le FMI, soucieux de ne pas être en reste et passer pour passéiste, surenchérit et conseille aux européens de prélever sans vergogne ni préalable 10% de l'épargne des ménages qui représenterait 600 milliards pour toute l'Europe.

    Et si on pompait le reste en le versant dans le capital d'EDF ?

    Après tout, après nous le déluge !

    Restons optimistes, pour le moment, nous sommes encore en vie !

     

     


  • Quand je pense qu'il y a des énergumènes assez cons pour éditer leur biographie au premier degré !!!

     

    On en voit tous les ans de ces bios à la mords-moi l'noeud, de ces étalages de racontards, de souvenirs mal rapiécés, de bric, de broc, de stupidités idiotes, de mémoires défaillantes ou bien malveillantes ou bien encore d'hagiographies mal fagotées, irrésistiblement risibles ...

    Tiens, juste un exemple parmi des millions : BHL et ses souvenirs de correspondant de guerre en Libye ... putain ! mieux qu'un recueil de blagues de bar en zinc, une apologie de la conquête du visage pâle qui se laisse embringuer dans une galère dont il ne sortira jamais indemne !

     

    Moi, Ma Bio, elle ne sera pas éditée.

    Vous savez pourquoi ?

    Parce que ma vie privée ne regarde que moi !

    Bon ! de temps à autes une petite anecdote parfaitement anecdotique, pourquoi pas .... une chronique du temps qui passe à la vitesse de 35,8 parsecs à la nanoseconde .... et qui fait que dans quelques instants je rendrais mon âme au néant et que d'ici quelques heures la terre aura cessé d'exister et que toutes ces bios de chiottes seront à jamais écrabouillées !

    Il en est ainsi pour tous.


  • Toutes mes excuses aux membres respectables et honorables de notre gouvernement de chienlit !

    Ils l'ont dit aux infos, ce soir, il n'y a pas eu de caillassage des forces de l'ordre ni des pompiers, ni de quiconque ....   tout ceci n'est qu'une rumeur éhontée.

    C'est à peine si quelques flics ont reçu des cailloux qui passaient par là sans objectif précis.

     

    Voilà !

    Dormez en paix, braves gens, la raie pudique de leur cul veille à la paix et à la tranquillité des naïfs qui croient tout ce qu'on leur baratine !

  • De Spartacus le Thrace à Monsanto le lobbyiste amerlock, l’avenir de l’humanité est en marche et personne ne semble plus se souvenir où on a caché la marche arrière ….

     

     

    Tiens ! Merkel qui se décide soudainement et à contre péterie …. Euh ….  Non, à contre … non, non plus, je voulais dire : contre toute attente …  bon ! je recommence …

     

    Tiens ! Merkel qui se décide soudainement et contre toute attente à relancer la consommation par l’injonction de quelques milliards dans le social allemand.

    Paf ! aussitôt, les ‘journalistes’ et les ‘spécialistes’ ‘économistes’ y voient, y devinent, y décèlent, en déduisent … que Merkel veut relancer l’économie en Europe !

    Mais quelle bande de brèles !!!!!

    Elle veut seulement s’attirer les bonnes grâces de l’électorat, c’est tout ….  Et ils devraient pourtant le savoir que les promesses sont faites de vent !

    Spartacus l’anti-esclavagiste (anti, quel beau mot !) fit trembler les romains mais sans les renverser définitivement et se fit massacrer par Crassius (portait bien son nom, celui-là !).

    C’était l’bon temps !

    En ce temps, voyez-vous, on avait son ennemi en face, on pouvait le regarder les yeux dans les yeux, mais pas comme un vulgaire Cahuzac effrontément menteur, non, là, les yeux ne mentaient pas, ils disaient la rage qu’on avait de s’entretuer, d’en finir avec l’autre, de le voir se vider de ses tripes et de ricaner quand son œil virait vers la mort dans son orbite. On achevait l’ennemi blessé sans la moindre commisération.

    T’as voulu jouer les hommes libres ! ? Eh bien crève, charogne, ça t’apprendras à te prendre pour un homme au lieu de rester bien sagement à ta place d’esclave !

    Ah ! que je regrette ce temps de la vérité !

    D’un côté les romains, droits dans leurs bottes comme un vulgaire Juppé et de l’autre les esclaves, sous le joug baissant la tête et le regard, marchant nus pieds dans le fossé quand les légions foulaient la pierre des voies romaines.

    Tu savais qui tu étais.

    Riche et libre, tu te payais des bonga-bongas à tout péter, tu te faisais dégueuler le foie gras pour mieux avaler ton faisan farcis à la truite de mer et à la confiture de lait de chamelle.

    Esclave, tu bouffais la merde qu’on te jetait à travers les barreaux de ta cage en espérant que c’était pas des cannellonis à la viande de cheval !

     

    Seulement voilà !

    Le temps à coulé sous le pont de Tancarville, pendant que la Seine en faisait tout autant et les us et coutumes se sont notablement modifiées, insensiblement, inextinguiblement, sur la pointe des pieds comme un voleur la nuit dans la villa de Médicis … et les riches on revêtu la peau du lion de Némée et se sont retranché derrières l’égide qui les rend invisibles malgré les efforts d’Hollande pour apporter quelque transparence à notre monde fait de boue et d’opprobre.

    Monsanto, qui a très bien senti les vents malodorants de la triche et des embrouilles parvenir jusqu’à ses olfactifs naseaux s’est dépêché de créer un conglomérat de fripouilles multinationales chargées de spolier les cultivateurs et autres agriculteurs naïfs qui se sont laissé dépouiller de leurs savoirs et sont devenus les esclaves du maître des OGM.

    Aujourd’hui, nul n’a le droit de créer ses propres graines. Tout doit passer par Monsanto, c’est l’Europe qui l’a dit et tout contrevenant se fera emprisonné et devra acquitter une somme qui le ruinera afin qu’il ne recommence pas ses conneries.

    Où es-tu Spartacus ?

    Quel Spartacus osera se mettre au travers de l’hégémonie monsantienne ?

    Eh puis ….  Ce n’est pas fini …..

    Il en a fallu du temps avant que Monsanto gagne la partie …. Mais d’autres parties se jouent !

    En ce moment, la mode est à la ruine des pays industrialisés par les potentats financiers de ces mêmes pays qui refusent que le gâteau soit équitablement partagé par tous. Alors, ils décentralisent, ils emmènent leurs usines et leurs brevets vers des cieux plus accueillants, des pays où l’ouvrière et l’ouvrier est si faible socialement qu’il travaille volontiers pour un bol de riz agrémenté d’un filet de nuoc-mam.

    Du coup, l’ouvrier européen organisé en syndicats financés par l’Etat et le patronat, se voit mettre à la porte de son usine et se retrouve désemparé dans la rue avec femme et enfants.

    Bientôt, il sera mûr pour travailler pour une choucroute, une bouillabaisse ou un kouign aman !

    Mais ça ne suffit pas, l’homo contemporino a pris trop de mauvaises habitudes en réclamant des avantages auxquels sa fortune personnelle ne lui donne aucun droit.

    Quoi ! ? ces loquedus prétendent obtenir des allocations pour élever leurs enfants, des sous pour se tenir en bonne santé, des logements pas chers …  mais ils rêvent ces galeux ! Il n’est que temps de les remettre à leur place en les confrontant à tous les autres pouilleux de la terre qui se nourrissent dans les décharges et s’abritent sous des tôles rongées de rouilles.

    Monsanto, sentant venir les mauvais vents qui se préparent à l’occasion de la révolte des super riches et du réchauffement climatique qu’ils ont manigancé pour mieux enrober leurs plans diaboliques d’une nuée protectrice et dissimulatrice, Monsanto se prépare à breveter le génome humain.

    La première étape a été franchie allègrement, d’une foulée légère et aérienne : le mariage sans limite.

    Désormais, l’enfant n’est plus le fruit d’un couple, d’une copulation entre un homme et une femme. Désormais, l’enfant n’est déjà plus qu’un être biologique indéterminé, non identifié, indéfinissable, insaisissable, inqualifiable … il est le fruit de rien et de tout, de l’alpha et de l’oméga, du yin et du yang, de la pluie et du vent, de la cravate de notaire et de la branlouze chinoise, du caca et du boudin, de la bergère et de ron et ron petit patapon !  !

    Chez Monsanto, les bacs et les cuves sont prêtes, d’un côté les spermatozoïdes issus de la branlette de mâles volontaires ou pas et dans les bacs, les ovules de bonne femmes dont on retrouvera trace dans quelques cannellonis ou autre couscous en boîte.

    L’homme n’est plus qu’une marchandise comme les autres pour les riches qui se paieront bientôt des esclaves peu chers (peuchère !) et qui travailleront pour eux dès l’âge de six mois et jusqu’à leur mort vers dix ans.

    Fini les Spartacus, plus aucun risque que le tiers état se rebelle, se révolte !

    Voilà, braves gens ce qui attend nos descendants qui ne descendront plus mais seront brevetés Monsanto en bonne et due forme.

    Pain de coucou !

     

     

  • Qu'apprends-je !!!!!! ?????? Chabadabadabadadababa c'est fini !!!!!

     

    Mais jusqu'où iront-ils ?

    J'étais dans la voiture, tranquille, conduisant d'un doigt, d'une oreille et les yeux quasi fermés quand soudain j'ai fait une embardée de dingue évitant une fermière portant son petit pot de lait sur la tête .....  chabada, l'émission préférée de Naguy, c'est fini !

    Si ça continue à ce rythme là, nous serons obligés de nous replier sur le net et de faire nos spectacles nous mêmes, comme au temps de Molière !!!!!

     

    Bon ..........  je commence .................

     

    Connaissez-vous la saveur suave du soir qui tombe sur la savane sauvage africaine, éteignant une à une les lumières étincelantes des rayons du soleil pris dans les toiles d'araignées ....  avez-vous jamais senti le frisson de la peur qui s'installe à ce terrible instant où tout se tait et se tapit dans dans les hautes herbes pour échapper aux prédateurs de toutes sortes qui s'éveillent affâmés et prêts à s'entrebouffer ! ?

    Moi, oui.

     


  • Quand c'est la crise, les bons à rien se font blackbouler .... Montpellier face de pet !

    Le budget de l'opéra de Montpellier est passé de 9 millions à zéro !

    Que vont devenir les centaines de bons à rien qui se pavanaient dans ce merveilleux bâtiment et touchaient des salaires de ministres ?

    Rien, zoup ! à la trappe !  Vous savez ..... la trappe du choufleur !!!!!  

    Désormais, seuls les vrais chanteurs se produiront sur les marches de l'opéra ....  voici en avant première un des grands airs que vous pourrez applaudir de toutes vos mains  :

     


  • Moustacul (comme l'appelait Lang) est mort ! ... Adieu Moustaki !

    Le pâtre grec a abandonné ses moutonssssss en silence.

    Reste .......  ses chansons !

    En live, il chantait faux, mais bon .... tout le monde n'a pas mon oreille absolue ni ma voix de contre-rut !!!