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Bon ! j'ai mis 2 ou 3 posts sur ce blog des penseurs qui laissent pensif !
Mais je suis malin comme un singe et j’ai fait parler mon petit fils à ma place !
J'espère qu'ils vont me bouffer tout cru ..... mais je crains qu'ils m'ignorent ..... comme le requin ignore le menu fretin !!!!!
C'est amusant cette brochette de squales qui se regardent mutuellement les ailerons en se demandant lequel bouffera l'autre le premier !
Il y a même, parallèlement à cette concupiscence de la compassion lorsque l'un d'eux faiblit un peu !
Ca doit être ça une élite ?
Un ensemble cohérent de courtisans obséquieux qui attendent une caresse du seigneur tout puissant des lieux, un certain Pierrot qui ne badine pas avec la culture et les livres et ne s’adresse qu’à l’excellence de l’intelligentsia francophile qui n’a pas dû montrer le bout de son nez puisqu’on ne l’entend pas (ça va ? c’est compréhensible ?) !!!!
Evidemment, ce serait particulièrement hilare si les intervenants des forums d’ FR2 ou d’autres débarquaient en masse sur le blog du prince des lettres républicaines pour y déverser leurs charrettes de lisier intellectuel ! Ca ferait un de ces foins !!!
Allez, cessons de rêver ! La triste réalité veut que les matières incompatibles ne se mélangent pas …. C’est drôle comme le manque de culot peut empêcher les petites têtes de se manifester ! Leurs pensées seraient-elles moins intéressantes parce que moins épicées de mots savants ou rares ?
Le langage serait-il une barrière à la communication entre les couches sociales ?
Si oui, qui doit faire l’effort de comprendre l’autre ?
Mais non, par expérience, lorsqu’un connard se sent supérieur, il se croit obligé d’écraser l’étron au lieu de se pencher pour le ramasser dans un plastique idoine (faites ce que je dis !).
Je vais plutôt reprendre un peu mes pinceaux !
Commentaires
JC brialy est mort, mais il n'écrivait pas (à ma connaissance) sur le blog souverain !
Yfig mauvaise tête, Von Kron und Traube on Schweiz sur canapépetitfour t'a envoyé un missile en basic tudesque, il va te tenir la main et t'apprendre à peindre, cours, vole et reviens et tu trouveras l'inspiration !
Oups, j'ai ferré traube !
l'asticot semble s'être entortillé autour de mon humble hammeçon !
Bon ! ben, voilà une pêche qu'elle est bonne !!!
Ce soir, nous aurons de la friture d'aileron de requin dans nos assiettes !!!
slurp !
Que veux-tu dire, mon petit moineau ?
Von machin serait un peintre ?
Avec un nom pareil et si en plus il manie le missile ..... je le verrai plutôt armurier !
Bah ! moi, tant que j'apprends quelque chose, je suis toujours gâté !!!!!
Le contrôle des messages par la saisie de code et le temps de latence de l'impression rend la conversation quelque peu confuse !
soyons zen !
Un Suisse de Neuilly dans ton épuisette profite ! Mais ne te retourne surtout pas, l'aileron de requin est fourbe ...
Bah !
y tiennent pas la longueur tes requins de mes deux !!!!!
Dès que tu leur assènes des vérités premières, ils perdent pied et se noient comme de vulgaires têtards !!
Je commençais tout juste à m'amuser !!!!!
:)
A la fin Nicolas de Staël se suicide et le vieux chameau de Picasso continue à décortiquer le cul des gonzesses ... tu as raison l'abstrait tue et le concret ça fait bander les vieux !
Ah ! les cons ... comme on disait dans les maisons bien closes.
Nicolas ?
Serait-ce le fils caché de Mme de Staël et de Raspoutine ?
ça expliquerait la merde qu'il fit !
voici ce que j'ai écrit sur le blog à Pierrot :
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Monsieur Traube,
vous cosez bien ! Surtout pour parler sans savoir !
Comme ça doit être étriqué dans votre petite tête !!!!!
Pas de place pour moi.
Monsieur Guille,
je n'ai besoin d'aucune concession, merci !
Par contre, c'est très gentil vos astuces (que je ne retiendrai pas ... je suis a b s o l u m e n t hermétique aux participes.)
Bon, je note quand même.
Ce que le commun des blablateurs d’art ignore, c’est qu’un tableau ne se regarde pas par inadvertance, pour faire plaisir à sa concierge.
Un tableau, c’est une histoire et cette histoire se lit dans les quatre dimensions.
Et tout tableau, quel qu’il soit répond à cette règle.
Aussi, quand je dis que 3 coups de pinceaux sont vendus 90000 euros, c’est qu’il y a 3 coups de pinceaux.
La question est : combien d’expérience pour ces trois coups de pinceaux et que représentent-ils intrinsèquement (en dehors de la représentation figurative) ?
Et c’est là que les athéniens firent ce qu’ils avaient à faire.
3 coups de pinceaux de Picasso ne valent pas la même chose que 1000 coups de pinceau de tartempion.
Mais vous, comment le saurez-vous ?
Si je vous présente un tableau abstrait, quelque soit l’émotion qu’il vous intime, comment saurez-vous ce qu’il vaut ?
Si je vous en demande 1000000, que me répondrez-vous ? (facile, hein ?)
Cher ami, vous êtes dans l’impasse. Vous ne savez comment prendre l’offre, vous demandez un expert …. Un expert en quoi ? en filouterie, un joncheur sachant joncher ?
Oui, quelle est la valeur des choses et comment les reconnaître.
Votre bel abstrait … il est de qui ? incroyable …. C’est le nom du bricoleur qui fait la valeur de l’objet ! Ah ! un Duchamp ! merde !!! et on peut aussi chier dedans ? Ah non, ce serait dégrader l’œuvre et insulter l’artiste !!!
Oh la belle composition ! de qui, déjà ? Ah, un sombre inconnu ! Bon ! alors celle-là, je peux chier dessus, n’est-ce pas ? Mais faites donc cher ami !
Et d’après vous, cher ami, comment se forge un nom ?
A l’aulne du talent, du mérite, du travail et de l’expérience ?
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mais, hélas, je suis interdit de séjour par le grand maître de la loge !!!!!
amen !
iPidiblue, toi qui entretient commerce avec cette racaille, penses-tu que je représente un tel danger pour l'intellegentsia franchouillarde et cocardière ?
N'empêche, se faire bannir de la république, ça doit pas être monnaie courante !!!!!
Merde !
si ça s'trouve, je suis un dangereux agitateur d'idées sans le savoir !
Moi qui croyait benoîtement que la vérité ne sort que de la bouche des enfants, il semblerait que certains idiocrates soient également doué de raison (mais à leur insu) !!!!!
M'étonne plus que mes tapuscrits me soient retournés si rapidement !
Mais si j'inquiète à ce point, ne vaudrait-il pas mieux m'éradiquer une bonne fois pour toutes ?
Les camps de la mort, tout le monde devrait y avoir droit !
:)
Déjà à la porte ! Quel méchant garnement tu fais ...
Staël a commencé par le figuratif avant de s'adonner à l'abstrait.
Non je ne fréquente personne tu sais que je reste sur mon quant-à-soi qui vaut mieux qu'un grand chez les autres.
République des lâches !
C'est fou ! l'intelligence n'est donc plus admise ?
Quoi ! ce blog bouiboui, ce bastringue à deux sous où surnagent des drôles de m'as-tu vu dans mon dernier rôle de caudataire, ce cloaque de la littérature décomposite et de l'enthousiasme à l'art pochetron se passe de mes services sans même un mot d'excuse !!!!
Mais où sont nos mâles d'antan, nos hommes viriles et dignes qui tenaient franc le manche avant la coudée ?
Alors, ça y est, la déliquescence se propage jusque dans les pages des flasques du cerveau !!!!
Misère !
Qu'allons-nous devenir ?
Heureusement, il nous reste, ultime et dernière chance avant le dessert ou fromage .... ce bon Nicolas de Sarkozy (j'ai appris de source sûre qu'il allait se faire ennoblir - le cousin du fils de ma concierge .... un pointure !)
Allez, je lève mon verre d'eau (je suis à la diète) à la santé de l'esprit français, reconnu de par le mond entier comme le plus fin, le plus subtil et le plus libertaire !!!!
vive la France et vive république des cons !
Je suis un peu d'accord. Je ne vois pas tellement la notion de supériorité ou d'infériorité dans la création artistique ou littéraire. Dans tous les cas le seul patron c'est le bon Dieu. Et c'est précisément pour éviter les hiérarchies qu'on se dirige vers ces genres de sport. Le problème, c'est qu'inévitablement les gens laissent remonter en eux cette course à la relation d'ordre (au sens mathématique) de la vie réelle, par opposition à ce que j'appellerais vie onirique, vie du reve, des différentes praxis créatrices.
Sergio,
Il faut redescendre sur terre.
le néophyte crétin et bedonnant a besoin de guides !
Moi, si je devais croire en un dieu, je m’adresserais à lui, je m’engueulerais avec lui quand je ne serais pas content de son œuvre, sans rien demander pour moi-même, sans fourberie, sans concession non plus. Je lui demanderais d’être aussi exigeant envers lui-même que je le suis vis-à-vis de moi !
Mais la bonbonne qui s’échine comme un diablesse pour écrire trois mots sur le blog du curé de cucugnan, elle n’a pas d’exigence car elle n’a pas de conscience ni de puissance intellectuelle, elle attend, elle espère et n’a donc aucune sorte de revendication. Elle est soumise.
Ainsi en est-il de 99% de notre société vis-à-vis de l’art.
L’art, c’est le pré carré des dieux.
Des dieux de l’argent, surtout !
Et oui, tout ce qui est ésotérique est une porte ouverte à l’abus de pouvoir et voilà pourquoi j’ai été expulsé du blog de l’artichaut ….. je dérange l’ordre établi, j’explique l’inexplicable, je critique la pensée unique (et je me branle de Sarko – c’est lui qui me pique mes mots …. Comme tant d’autres qui me pillent allégrement …. Mais on ne vole que les riches !!!), je représente un danger potentiel pour le portefeuille de quelques nabab pansus et inquiets des fissures qui semblent s’ouvrir dans les murailles de leur château fort !
Tu parles, le président de la maison des artistes discute avec moi au téléphone ! ?
Incroyable, non ! ?
Qui suis-je pour mériter tant d’égards ?
Parle-t-on avec sa concierge de ses prochaines acquisitions d’actions ? Sauf, bien sûr, si elle s’y connaît … et qu’elle ne fait concierge que pour passer le temps !
Hasard ?
Attention, ça fait maintenant 13 années que je joue de la tête de bélier dans le chambranle à deux vantaux de la forteresse.
J’avance mes arguments, puis je les révise, je les précise …..
Remarque, c’est pas vraiment bien compliqué …. Tout est pipo ! tout est arrangements entre amis ….. et ceux qui en font le plus les frais sont les nouveaux riches qui ne demandent qu’à se faire plumer car c’est leur façon de rendre la monnaie qui leur donne bonne conscience.
Le problème, c’est qu’il ne faudrait pas que cette réserve d’argent vienne à passer en des mains étrangères et que soudain revienne avec force l’exigence du travail et de l’art conscient véritable et flamboyant !!! non, pas ça, pas revenir à des semaines pour faire un tableau ….. la demande est trop forte, il faut piquer le fric tout de suite, pas demain …..
Tiens ! d’ailleurs, c’est pour ça que je suis hyper étonné de la démarche du maire de Honfleur …. Mais je ne me fais pas de cinéma …. Je me doute qu’il y a un intérêt supérieur à cette machination ….. simplement, je serais mort de rire si cette entourloupe tournait à mon avantage …… laissons venir … il sera toujours temps d’en reparler !
Mais je veux bien ! Mais il reste qu'on fait, nous, rigoureusement ce qu'on veut, ce qui n'est pas le cas dans les métiers de production, dirai-je, c'est-à-dire intégrés de manière parfaitement typée à la chaine économique.
Et encore, il y a un énorme distingo entre la peinture d'une part, la littérature et la musique d'autre part. Pour les deux derniers, il faut effectivement un distributeur, sauf à faire soi-meme du porte-à-porte. Et, partant, un éditeur. Aux Etats-Unis le compte d'auteur est une pratique reconnue qui débouche normalement sur une distribution correcte. En Europe, non, ce qui est bien malheureux. Comme quoi il y a quand meme quelques bons cotés aux E-U, meme si je partage ton avis d'une manière générale sur ce petit peuple...
Mais alors pour la peinture, il faut reconnaitre qu'on expose à peu près n'importe où, par exemple restaurants, etc. : on n'est quand meme jamais à court.
Moi je pense qu'on peut parler peinture à peu près avec tout le monde : c'est dans l'intégration sociale que les gens sont un peu... désintégrés, justement, mais autrement il me semble qu'ils s'ouvrent assez facilement.
Oui, mon beau serge (ce sera mon hommage réservé ( dans le sens où je ne suis pas certain de ses mérites ) à JCB),
Tu as une belle opinion positiviste de notre monde alors que j'ai une tendance plus prononcée à la morosité et au pessimisme.
C’est que mon expérience personnelle n’est pas rose !
Quoiqu’on en dise, il y a sur l’art une chape de béton armé épaisse comme un jour sans fin.
Les discussions dont tu parles tournent court assez vite, dès que tu approfondis le sujet, les interlocuteurs se retranchent derrière les ‘on dit’, les ‘idées reçues’, les ‘idées toutes faites’.
Ce ne sont d’ailleurs pas toujours les mêmes poncifs qui ressurgissent, ça dépend de l’éducation reçue, l’un te dira :
- Vous ne peignez que dehors, sur le vif, n’est-ce pas ?
Tandis que l’autre crédule te diras :
- J’espère que vous peignez sans modèle, c’est à ça qu’on reconnaît un vrai peintre !
Il n’y a pas de règles, il y en avait, mais les impressionnistes et Courbet en particulier on changé la mode de l’atelier. Ce que je ne considère pas comme un mal en soi !
Depuis, il est de bon ton de peindre à la campagne sur le modèle. Mais les rites sont de bien mauvaises coutumes !
Cette peinture, au début, c’était l’équivalent de la photo, c’était l’esquisse destinée a être reprise et travaillée en atelier puis détruite.
Pourquoi en atelier ?
Mais parce qu’il est impossible de trimballer avec soi tout un atelier, les pots de pigments, les bouteilles de siccatif, d’huile, de térébenthine, d’alcool, les résines à fondre, les mélanges à chauffer …..
Alors, un petit chevalet de campagne 5 ou 6 tubes de peinture maximum, les couleurs primaires à mélanger pour faire les couleurs secondaires et les nuances, quelques pinceaux pas très fins, un chiffon, un peu de térébenthine sans oublier la toile …. Et voila, il suffit de s’installer sur le parapet d’Etretat, à une époque où les badauds sont rares et on peint les falaises de façon grossière, en mettant bien les ombres et les lumières, on retravaillera, à l’atelier, les perspectives et les personnages si furtivement esquissés …..
Mais ……. mais si cette ébauche venait à trouver acheteur ? Là sur le parapet, un riche étranger est emballé par la croûte, il la veut à tout prix ! Bof, on reviendra demain en faire une deuxième !
Ainsi se forment les modes et les habitudes.
En réfléchissant encore, un peu, on se dit qu’après tout, c’est encore trop, il faut bientôt une demi journée, voire un jour entier pour un tableau mal léché et qui demande, malgré tout, un minimum de connaissances, ne serait-ce que quelques brèves théories de la couleur …..
Alors ?
Eh bien, faisons une synthèse ! une ‘composition’, comme ils disent !
Le ciel, bleu, trois coups de blanc feront l’illusion des nuages, jaune la falaise avec du blanc et quelques pointes de rouge pour les poissons et verte la mer ! basta !
Paf ! quoi ? une demi heure à tout casser et le tableau abstrait est là ! un beau discours pour l’expliquer, quelques mots inventés au parfum ésotérique, et on obtient une falaise d’Etretat chromostatique plénitudinaire !!!!!
Allais ne s’y était pas trompé et la conservatrice en chef des musées de France a assuré 400 000 euros 4 petites toiles (du F6, je crois) , une rouge, une jaune, une verte et une bleue signées ‘Allais’ de la main de mon copain !!!!!
C’était même pas de l’huile, c’était peint à la glycérophtalique (y’en avait pas en 1867). (histoire véridique arrivée en 2003)
Le rouge, le titre, c’était un truc du genre : « assemblée d’archevêques apoplectiques à genou dans un champ de tomates. »
Et aujourd’hui, ces idées sur l’abstrait comme voie de découvertes, sont bien ancrées dans les esprits.
Certains, je ne le nie pas, sont sincères et procèdent à une véritable recherche artistique, à une abstraction intelligente et émouvante ….
Mais ça restera quand même, dans son fondement, une gigantesque filouterie !
Non, non, je n’ai pas l’impression de prêcher dans un désert, ni de perdre mon temps à convaincre des moulins …..
L’art a toujours été un levier de la culture et une arme révolutionnaire.
Il ne faut pas laisser cette arme au ratelier, ni exclusivement entre les mains des marchands.
Il faut bien avouer que ça a, le plus souvent, été un outil au service des puissants, pour flatter leur ego, mettre en exergue leurs bons moments … oui, c’est vrai, David a peint le sacre de Napoléon sur commande et en suivant un cahier des charges très précis …. Mais, comme tous les artistes, il n’a pas pu s’empêcher de mettre, ici et là, de petites touches rebelles, des personnages inattendus, montrant ainsi que son inféodation était avant tout due au besoin qu’il avait de payer ses ouvriers.
Si on observe attentivement ces tableaux anciens, on ne peut qu’être émerveillé et estomaqué du travail. Certes, ils étaient nombreux a travailler sur un détail, et le maître conservait le meilleur …. Mais je parle technique, ces couleurs qui se fondent dans une profondeur indicible, ces mélanges harmonieux silencieux et mystérieux …. On voit trois dimensions !
Quelle prouesse !
Ma plus violente révolte fut devant ma télévision, une émission avec de Carolis (oui, rien que le nom, j’aurais dû éviter !) au Louvre et les deux con-pères de Carolis et Soulage de converser devant le sacre de David ……et Soulage qui commence à expliquer que ce n’est pas de l’art mais de la peinture ….. j’ai cru mourir de rage et de haine !!!!!
Putain !! prétendre que trois coups de brosses de 50 gorgées de peinture noire sur une toile format ( ?) c’est de l’art et que David c’est de la peinture !!!!
Oh ! oui, vienne le jour où ce crétin sera en face de moi, je le pulvériserai comme un insecte nuisible.
Bah ! Il ne mérite même pas la bombe insecticide qui nous en débarrassera.
Mais je ne puis me résigner à constater que l’art est galvaudé par de tels ahuris dont le seul mérite est leur fortune personnelle !
Un autre sujet de mon mécontentement, directement lié à l’entretien et le développement de l’obscurantisme, l’abandon progressif des connaissances et des compétences.
Il ne faut pas croire que ce soit exclusivement le fait du modernisme et de la libération des tâches inutiles.
Les plats tout cuisinés, c’est comme les peintures toutes prêtes.
Sais-tu qu’aujourd’hui, les marchands proposent des peintures à l’huile que l’on peut diluer à l’eau ?
Ce n’est pas une avancée technique (c’est présenté comme tel), non, c’est le fruit d’une recherche marketing poussée auprès des millions de jobastres qui s’adonnent joyeusement à la peinture à l’huile qui, quoique plus difficile, est beaucoup plus belle !
Je dis ‘jobastres’, mais je préfère, et de loin, un jobastre qui se salit les mains à un jobastre qui regarde de loin avec ses idées préconçues et archaïques (je pense, en particulier, à certains tocards du blog à Pierrot l’insuline !).
Allez !
Je pourrais en parler des heures, mais c’est que j’ai d’autres sujets de révolte …. ; le clan des avocats a encore frappé ! je viens de me prendre un coup de compas dans l’œil et ça fait pas que du bien !!!!!
A benn awalc’h
Non Soulages-toi !
Je pensais pluôt à saoûl âge !
sinon, j'ai oublié de parler de Goya .... ce n'est que partie remise !!!
Bon Goya-ve à toi !