Vous avez toujours révé d'en savoir plus sur Honleur .......
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Vous avez toujours révé d'en savoir plus sur Honleur .......
... tout le monde me comprend !
LettreOuverte aux Béninoises et Béninois - par Edgard GUIDIBI
Béninoises, Béninois, Chers frères et sœurs du Bénin,
En ce jour anniversaire de l'accession de notre pays à la souveraineté nationale et internationale, je suis ému et heureux de vous adresser mes meilleurs vœux de bonne et très heureuse fête, où que vous soyez sur la planète. 50 ans, ce n'est pas peu et je m'en voudrais de laisser passer cette occasion de m'adresser à vous, pour partager avec vous mon assurance, mon espérance et ma conviction, qu'ensemble nous devons et pouvons relever le défi du prochain cinquantenaire. Tout en rendant un hommage particulier aux Dahoméens et Béninois qui ont construit de leurs rêves, de leurs sueurs et parfois de leurs vies, la nation dont nous sommes aujourd'hui les héritiers, et tout en témoignant une sincère gratitude à tous nos aînés qui ont tissé de leur mieux la corde qu'il nous faut maintenant continuer de tisser, je veux particulièrement m'adresser aux générations montantes et à tous ceux qui estiment avoir encore assez de volonté, de force et d'énergie pour répondre à l'appel de « l'aube nouvelle » qui nous rappelle que c'est « debout » que nous bâtirons le Bénin de nos rêves.
A vous toutes et tous, qui vous sentez parfois perdus et découragés, à vous tous qui craignez de rêver et de bâtir en vain, à vous tous qui craignez que la fatalité ne finisse jamais d'être vaincue, à vous tous qui vous demandez si la terre béninoise n'est pas maudite, je veux maintenant redire ma conviction que l'espoir est permis et nécessaire, que le Bénin a de beaux jours devant lui, que le plus dur est derrière nous et qu'en cette année de Jubilé, le meilleur est à venir et surtout à construire.
L'avenir n'étant pas un lieu où nous allons, mais bien le lieu que nous construirons de nos rêves et de notre labeur, je crois que le moment est venu, pour nous de faire un état factuel des lieux, de nous poser les bonnes questions, d'adopter la bonne démarche méthodologique et de réunir toutes les conditions d'un développement digne de nos légitimes ambitions. La folie pouvant être définie comme la tendance à continuer de faire la même chose, tout en espérant des résultats différents, l'heure n'est-elle pas venue de comprendre nos échecs pour mieux sécuriser nos prochaines victoires? L'heure n'est-elle pas venue de regarder certaines vérités en face, pour changer le cours de notre destinée nationale?
Si je peux me permettre une petite contribution pragmatique, je voudrais d'abord attirer notre attention sur la nécessité d'un certain nombre d'ingrédients, sans lesquels, nous ne ferons certainement pas mieux que nos aînés, dont l'expérience déjà capitalisée ne nous autorise cependant pas à échouer de nouveau. Au nombre de ces ingrédients, je citerai essentiellement :
un leadership renouvelé, capable de nous faire rêver et de nous mener enfin vers la terre promise;
une vision ambitieuse mais réaliste, qui tienne compte de nos atouts, forces et faiblesses;
un management rigoureux et une bonne planification, seuls gages des meilleurs résultats attendus;
la restauration au cœur de nos paradigmes, des valeurs justes et incontournables pour toute réussite;
des solutions intelligentes aux actuels défis majeurs de la nation béninoise;
Pour ce qui est du leadership
Toutes les grandes nations et organisations doivent leur réussite à de grands leaders, qui se démarquent et s'illustrent par leur capacité à prendre en charge le peuple pour le conduire, sans populisme, mais contre vents et marrées, avec intelligence, humilité, sagesse et courage vers la terre promise. A défaut de vrais leaders, et confronté à une prolifération de faux leaders, brillant par leur égoïsme, leur mauvaise foi et leur incapacité manifeste à nous faire rêver par des solutions novatrices, les peuples sont condamnés à un surplace qui transforme les rêves les plus ambitieux et les plus légitimes en cauchemars douloureux et collectifs. Lorsqu'un peuple confronté à des défis majeurs, désirant prendre en main sa destinée pour en faire un chef d'œuvre, se retrouve confronté à une absence désespérante de grands hommes, capables de le rassurer et de relever efficacement et réellement le défi, n'y a t-il pas de quoi s'inquiéter? Et s'il est vrai que tous les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent, et quelque part ceux qui lui ressemblent, comment nous assurer de devenir meilleur, pour faire émerger de notre sein, des leaders meilleurs? Continuerons-nous d'élire telle une loterie des hommes et des femmes, que nous n'avons pas pris le temps de connaître et d'éprouver? Continuerons-nous de laisser des clubs électoraux usurper le leadership national, lors des élections conçues pour légitimer leurs sordides ambitions au détriment de notre bien être collectif? Continuerons nous de choisir et d'essayer de nouveaux leaders, sans les connaître et sans nous être assurés que les mêmes causes ne produiront pas encore les mêmes effets? N'est-il pas temps de prendre le temps qu'il faudra pour choisir enfin de vrais et grands leaders? Je veux donc nous souhaiter de générer et de voir émerger en notre sein, ces braves hommes et femmes qui avec courage, intelligence, leadership, humilité et sagesse sauront enfin nous mener vers les terres promises. L'autorité que l'on a sur les autres étant toutefois proportionnelle à celle que l'on a sur soi-même, je souhaite à ces leaders que Dieu suscitera du milieu de nous, d'être des modèles dignes d'être suivis par chacun de nous. Quant à nous, que pouvons-nous d'autre que de prier pour leur avènement et pour que Dieu lui même les guide et les assiste tout au long de leur ministère national;
Pour ce qui est de la vision
Il n'y a pas de bon chemin pour celui qui ne sait pas où il va. On ne peut parler pendant 50 ans de développement sans jamais s'être entendu et avoir partagé ensemble une vision claire, précise, factuelle et réaliste du développement que nous rêvons de construire. On ne peut négliger d'intégrer nos rêves individuels dans le projet national tout en espérant mobiliser chacun de nous pour le construire. Je nous souhaite donc, pour le cinquantenaire à venir, de prendre le temps de clarifier nos rêves, nos visions et nos projets pour le Bénin.
Pour ce qui est du management efficace
S'il n'est vrai qu'il n'y a pas de pays sous-développé, sinon des pays sous managés, je souhaite que ce cinquantenaire nous offre l'occasion de restaurer le management rigoureux comme pilier nécessaire à toute réussite. Il ne suffit pas de vouloir pour pouvoir, et toute bonne intention ne devient une grande réalisation que si sa mise en œuvre est bien gérée. Le management est une cogitation d'hommes d'actions, c'est à dire de personnes qui agissent en réfléchissant et qui réfléchissent en agissant, sans rien considérer comme naturel et allant de soi. Pour gérer efficacement les affaires de notre cité, je nous souhaite donc de:
toujours prendre le temps de penser à ce que nous devons et voulons faire;
toujours nous donner tous les moyens de faire ce que nous avons décidé de faire;
toujours prendre le temps de repenser, dans une démarche d'amélioration continue, à ce que nous avons fait;
Pour ce qui est de nos valeurs et paradigmes
Nos vies et donc celle de notre pays sont le reflets de nos pensées et les produits de notre logiciel mental. Nos croyances, nos convictions, nos valeurs et les règles auxquels consciemment ou inconsciemment nous nous soumettons dessinent inévitablement notre destinée. S'il est vrai que tout système multiplie ce qu'il récompense et détruit ce qu'il punit, l'heure n'est-elle pas venue d'auditer nos systèmes organisationnels pour mieux en comprendre les ressorts? Que récompensons-nous aujourd'hui au Bénin? La vertu ou la malhonnêteté? Le courage ou la lâcheté? La vérité ou le mensonge et les flatteries? L'essentiel ou le folklore? Le patriotisme ou l'égoïsme? Ceux qui veulent réussir ou ceux qui sont jaloux de la réussite des autres et s'en prennent à eux?
Pour le cinquantenaire à venir, je nous souhaite donc un Bénin qui s'organisera pour récompenser les valeurs et attitudes propices au développement, tandis que celles qui nous enchaînent à la pauvreté devront être punies.
Pour ce qui est de nos défis contemporains
Pour ce qui est de nos défis, il appartient à nos leaders de les recenser, de les analyser et de nous aider à construire, pour chacun d'eux des solutions réalistes, pragmatiques, originales et consensuelles.
Sans avoir la prétention d'être exhaustive, et tout en faisant le choix délibéré de m'intéresser aux enjeux transversaux plus qu'aux questions sectorielles, je voudrais attirer nos attentions sur quelques-uns de ces défis qui me semblent majeurs pour la nation béninoise, en ce jour anniversaire de notre indépendance :
1- Nos mécanismes de sélection de nos leaders sont-ils les meilleurs? Nous assurent-ils d'avoir des leaders représentatifs, efficaces, visionnaires, vertueux, expérimentés et capables de relever les défis de la nation? Un Béninois capable d'apporter beaucoup à son pays mais qui n'a pas frauduleusement amassé de quoi financer officiellement et officieusement son élection, peut-il se retrouver en situation de nous offrir son savoir-faire? Sinon, que devons-nous faire pour bénéficier du savoir-faire des Béninois les plus valeureux et pas seulement des plus habiles dans la politique politicienne?
2- L'État et l'Administration de notre pays sont-ils conscients de tous les enjeux du développement? Réalisent-ils l'ampleur de ce qu'il y a à faire et des défis à relever pour y parvenir? Comment comptent-ils se mettre au service de la nation pour ne plus être perçus comme des acteurs inutilement budgétivores?
3- Notre système éducatif est-il aujourd'hui capable de fabriquer les Béninois dont nous avons besoin pour penser et construire le Bénin de nos rêves? Et si non, d'où espérons nous voir venir ceux et celles qui réussiront à édifier notre nation? Que faisons-nous pour que notre système éducatif (académique ou non) relève le défi de rendre disponible les ressources humaines, seuls piliers valables du développement?
4- Le patriotisme étant l'égoïsme des citoyens intelligents, sachant qu'il vaut mieux être pauvre dans un pays puissant, que riche dans un pays faible, comment relèverons-nous le défi du patriotisme? Comment démontrerons-nous à nos compatriotes qu'il n'y a rien de plus rentable que de s'investir pour assurer puissance et prospérité à son pays? Comment leur démontrerons-nous qu'il est plus facile de construire ensemble un pays prospère, que d'essayer de prospérer tout seul dans un pays pauvre?
5. La vie en société reposant sur des règles fixant les droits et devoirs des uns et des autres, avons-nous des chances de prospérer si, promptes à réclamer nos droits, nous oublions toujours nos devoirs? Comment nos droits pourraient-ils être garantis dans un pays si ceux qui doivent les assurer ne font pas leurs devoirs? Notre pays peut-il nous donner durablement, ce qu'aucun de nous ne s'empresse de lui donner?
6- A défaut de projets réellement fédérateurs, clairement exprimés et partagés de tous, où allons-nous ensemble? Sommes-nous sûrs d'atteindre ensemble la terre promise dont aucun de nous ne connaît le nom?
7. Comment vaincrons-nous la fatalité de l'union, sans laquelle nos forces émiettées sont vaines? Arriverons-nous un jour à travailler ensemble, main dans la main pour construire un avenir commun? Réaliserons-nous rapidement qu'ensemble nous gagnons beaucoup plus que tout seul? Comment y parvenir?
8- Rien ne se faisant naturellement en matière de développement, qu'en est-il de nos méthodes? Le règne de l'amateurisme, de la dévalorisation du professionnalisme, et du déni d'une rigoureuse méthode, peut-il perdurer? comment réhabiliter la méthode et la rigueur dans la conduite de nos affaires individuelles et collectives, dans un pays où tout s'improvise et se fait avec une négligence déconcertante?
9- Qu'en est-il de l'usage que nous faisons de nos ressources humaines et compétences? Continuerons-nous de laisser les cadres les plus expérimentés de notre administration au chômage technique ou au « garage » après leur avoir fait occuper de hautes fonctions politiques ou administratives? Que ferons-nous des milliers de cadres qui ont leur salaire sans être impliqué dans les activités de notre administration, alors qu'ils ont les compétences pour faire la différence? Il en est de même pour les impressionnantes ressources humaines de notre diaspora, du secteur privé et de la société civile que nous peinons à mettre en synergie pour le développement. Comment relèverons-nous ce défi de la mobilisation de nos compétences?
10- Continuerons-nous à vivre et à essayer de grandir sans égard pour notre passé, notre culture et notre histoire. L'amnésie collective et l'ignorance grave des générations actuelles sur l'histoire de notre pays sont-elles acceptables? Ne sont-elles pas de potentiels freins à l'édification d'un avenir crédible?
11- Qu'en sera t-il du déni de la vérité et de notre culture du mensonge ou de l'hypocrisie politiquement et socialement correct? Continuerons-nous de criminaliser le culot de dire la vérité, tout en applaudissant ceux qui ont « l'intelligence sociale » de mentir et de nous empêcher ainsi de poser les vrais diagnostics? A défaut de ces vrais diagnostics, avons-nous la moindre chance de saisir les vraies solutions? Ceux et celles, qui comme moi veulent oser de vrais diagnostics, pour contribuer à de vrais solutions, seront-ils comme toujours lynchés de tous bords, et accusés par les uns de soutenir les autres, alors qu'ils ont pour seul camp celui de la vérité et de la patrie? Bref, le culot de dire la vérité sera t-il toujours criminel au Bénin?
Le sujet étant trop vaste et le temps trop limité pour le vider, je voudrais m'en arrêter là pour vous renouveler mes meilleurs vœux tout en vous réitérant mon invitation et mon exhortation à une mobilisation générale, individuelle et collective, pour faire ensemble du cinquantenaire qui commence, celui de la réalisation de nos rêves les plus ambitieux. Que Dieu bénisse le Bénin et chacun de nous.
Edgard GUIDIBI
Consultant formateur et Expert Conseil
Management, Marketing et Développement Personnel
Prédicateur | 14H40 | 04/08/2010 |
"L'ex-garde des Sceaux fustige sur Rue89 la volonté de Sarkozy de déchoir de leur nationalité les délinquants d'origine étrangère."
Je me pose une question simple: quelle est l'intérêt de garder ces gens la dans notre pays ?
+++++++++++++++++++++++++++++
Ma réponse :
Eh bien c'est une excellente question !
Merci de me l'avoir posée !
Effectivement, on peut se demander quel bénéfice la France trouve à conserver sur son territoire des délinquants d’origine étrangère voir des étrangers sans origine ou des étrangers étranges d’origine indéterminée !
Moi-même, je me suis longtemps posé la question jusqu’à ce que je découvre que ces délinquants ont un rôle essentiel dans notre collectivité.
Ce sont eux, en effet, qui ont la lourde charge de développer l’économie souterraine, le commerce du shit, de la coke, de l’héroïne et de toutes ces substances qui, sans leur dévouement pour la France, ne trouveraient aucune filière.
Revenant de Marseille où j’étais allé à un congrès de médecins de famille de campagne agricole, je me suis fait doubler sur la droite par un véhicule blindé aux vitres teintées qui roulait à au moins deux cent cinquante kilomètres heures vu que moi-même personnellement je roulais aux alentours de deux cents kilomètres heures selon le compteur de mon Hummer.
Les motards n’ont pas bougé.
Que voulez-vous qu’ils fassent face à la puissance de ces engins ?
Les rattraper au péage …… au risque de se prendre une balle pas perdue ?
Non, les gendarmes ne sont pas fous, ils savent bien que de toutes façons, ces milliardaires seront libérés sur caution de quelques milliers d’euros avant même leur garde à vue et leur procès se terminera par un non lieu puisque leurs juges sont payés par le fruit de la juteuse vente des produits hallucinogènes …..
Voilà !
Vous voyez, il y a toujours un équilibre naturel qui s’établit entre les plus forts, que ce soit par la force publique ou par la force financière ….. l’union fait la force et la force fait le pognon ……………… CQFD !!!
Vive la France et le Homard de Clermont Ferrand !
Ses questions :
"La loi doit s'adapter à l'évolution du monde. Les immigrés veulent des règles claires et que la nationalité française soit un honneur dont ils puissent être fières."
L'évolution du monde passe donc par les immigrés !
C'est bizarre, moi, je ne le ressents pas comme ça ...... serais-je un mauvais français, une vilaine souche ?
"Cette France gauchiste sans fièreté est un fléau pour les immigrés car elle détruit l'image de la communauté française à laquelle ils désirent malgré tout s'identifier pour se trouver bien dans leur nouveau pays."
Leur nouveau pays n'est-il pas avant tout mon pays ?
Avant de façonner leur nouveau pays à leur image, ne devraient-ils pas se poser, me poser la question sur la façon dont MOI je vois les choses ?
Ne suis-je déjà plus chez moi dans mon propre pays ?
Franchement, il y a des mots que je n'accepte pas, des tournures de phrases qui me font froid dans le dos et des concepts que j'ai bien envie de voir retourner chez eux !!!!
"Les "humanistes" sont des gens qui doivent quitter la France pour comprendre les réalités"
Si c'est pour aller voir ailleurs si j'y suis et essayer de se mettre dans la peau d'un immigré qui est aussi un étranger hors de son pays et qui doit, par ce fait, se comprter comme un hôte et non comme un potentat ...... je suis d'accord !
Mais .....
"Les gens qui crachent sur leur pays construit par leurs ancêtres doivent perdre leur nationalité française mais ils sont trop lâches ils ont trop peur d'émigrer et de perdre leurs avantages sociaux."
Ceux dont le pays a été construit par leurs ancêtres et qui doivent perdre leur nationalité pour avoir cracher sur leur pays (et donc sur leurs ancêtres) ????? ne sont-ce pas précisemment les Français ?
Autrement dit, place aux immigrés et les Français à la porte !
Je suppose que ce n'était pas le sens recherché, mais c'est pourtant ce que ça dit !
Ce ci di belle abbesse, j'en connais pas tripette des Français qui crachent sur leur pays ...... en fait je n'en connais pas un !
Non, les français que je connais sont, au contraire, assez fiers de leur pays et respectueux de leurs ancêtres qui ont façonné ce pays.
et pour finir :
"Les immigrés ne veulent pas de la pitié des gauchistes, ils veulent des règles et des valeurs morales, une chance de construire leur vie dans la dignité pas dans les pleurnicheries gauchistes et avec l'aumône de l'état socialiste qui finit par semer la zizanie avec ses erreurs et ses hypocrisies."
Ouais ! C'est ça, cause toujours mon lapin, je ne connais pas un seul immigré qui crache sur les alloc ni sur le RSA ni sur la SMU, ni sur l'APL et toutes ces autres aides qu'ils viennent, bien au contraire, réclamer avec véhémence sitôt le pied posé sur notre sol !
Ma réponse :
Bonjour ami PDG.
Dis-moi, brave démocrate, tu n'as pas un peu honte de renier ainsi tes origines ?
Ton pays n'est-il pas le plus beau pays de la terre ?
Tes ancêtres ne sont-ils pas les plus extraordinaires de par leurs exploits légendaires et valeureux ?
Chez toi, les femmes ne sont-elles pas plus langoureuses et sensuelles que nulle part ailleurs ?
Les plats de ton pays ne sont-ils pas les plus agréables au palais (de Bongo) ?
N'essaye pas de m'embrouiller en me répondant que tu es Français ...... ou bien change de photo !
"Les immigrés veulent des règles claires."
Ah oui !!!!!!!
Claires comment ?
Claires pour qui ?
Claires pour quoi faire ?
Pourquoi ne pas commencer par faire des lois claires en Afriques ?
Ca limiterait l'évasion des cerveaux africains vers ll'Europe, non ?
Ami PDG, j'ai vécu à l'étranger ..... pas de bonne grâce, mais parce qu'il fallait bien trouver du boulot ...... et qu'on ne me proposait rien d'autre .
Je n'ai jamais rien volé ni rien obtenu en dehors d'une juste rémunération.
Mon rêve permanent, c'était la France, mon pays, ma région, ma famille mes amis .... ils étaient absents de ma vie et ça me rongeait !
Je n'ai jamais imaginé m'installer définitivement dans aucun des pays où j'ai vécu (et surtout pas aux States !).
Je n'aime pas les Maque Dos et les djellabas me foutent le bourdon (je ne te parle même pas de l'effet que produit sur moi la burqa ou le nikab) !
Revoir le mariage du granit et de la mer et m'éloigner de cette terre trop brûlée ... et palabrante du matin au soir et du soir au matin ... sentir encore les effluves de romarin qui se mêlent à celles de la lavande et du thym sauvage .....
Revoir mes frères, mes soeurs ......
Et aussi bouffer du jambon, du saucisson, du pâté de tête, des pieds de porc .......
Et à présent, faudrait me tuer pour que je retourne à l'étranger (sauf en touriste).
Mais toi, tu réclames des règles claires ....... tu comptes t'installer ?
Ne rendrais-tu pas un meilleur service à ton pays en y travaillant et en y faisant travailler ton peuple ?
Franchement, les lois sont claires.
Mais faudrait aussi faire un effort pour les comprendre et un autre pour les accepter et les appliquer.
Ma réponse :
La vraie qustion, c'est :
"Pourquoi vivre en France, dans ce pays de cons racistes et alcoolos ?"
Et je suis bien d'accord, sur ce point, avec nos amis étrangers !
Moi, à leur place, je me retirerai vite fait dans mon pays où c'est tellement si mieux que ce pays de merde de France !!!!!!!
D'ailleurs, cette question en induit une autre :
Dites ! ?
"Pensez-vous qu'il serait possible que nos amis étranges étrangers puissent bénéficier de la SMU, de l'APL, des ALLOC FAM et autres aides sanitaires gratuites tout en restant chez eux ?"
Pour nous, ça ne changerait pas grand chose (pas même pour la retraite) et pour eux, cela serait vraisembleblement d'un grand confort !
Bon ! Ne m'engueulez pas, je suis comme vous, je cherche des solutions qui conviennent au plus grand nombre.
A la question : "Qu'elle est la politque appliquée en Afrique au sujet de la déchéance de nationalité ?"
Nous étudions la question afin de répondre au mieux à votre attente.
Les premiers éléments d'information à notre disposition semblent indiquer qu'il n'y a pas de cas semblable dans les pays du Magrheb ni les autres pays musulmans.
En effet, il semblerait qu'un voleur ait la main coupée, un récidiviste la deuxième main et un assassin la tête (ce qui, reconnaissez-le - ou pas - est quand même plus efficace qu'un simple déchéance qui n'a jamais contraint aucun tueur à ne plus tuer.
Je ne suis pas pour la peine de mort mais faut avouer que ça n'a pas que des inconvénients, surtout quand nos prisons sont pleines ....
Bon ! quand nous serons tous en prison, je me demande bien qui paiera ?????
Toujours pour en revenir au sujet, les femmes ne sont pas mieux loties que les hommes sous la loi de la sharia.
En effet, la femme adultère est répudiée puis lapidée copieusement jusqu'à ce que mort s'en suive.
Voilà, ça c'est radicale (socialiste).
Je propose donc que la sharia soit respectée, en France pour ceux qui le réclament et quelle soit respectée jusqu'au bout !
oeil pour oeil, dent pour dent et sandwich pour sandwich !
Le plus hilare dans l'histoire sarkoziste, c'est que cela remet, sans qu'ils y soient pour quelque chose, les socialistes sur le devant de la scène politique.
Les Français ont véritablement la mémoire courte !!!!!
Si on en est là, les socialistes en portent une grande et lourde responsabilité !
Que proposent-ils ?
des promesses ..... comme sarko, ni plus ni moins et on va reprendre de l'élan pour mieux se fracasser la gueule contre le mur !!!!!!!!!!
vive la France et la saucisse de Carcassonne !
En Afrique du Sud, tout citoyen qui utilise son ou ses armes à feu délictuellement peut se voir retirer le droit de vote.
En RSA (République Sud Africaine), on ne peut détenir par famille qu'un macimum de douze armes à feu dont un maximum de 3 fusils.
Les armes à répétitions sont interdites.
Si vous butez un agresseur dans votre jardin, prenez-le par les pieds et traînez-le dans votre salon afin de plaider la légitime défense.
Aucune poursuite n'est encourue contre un citoyen qui tue le voleur de sa voiture pris en flagrant délit.
Les voleurs de voiture (hi jacking) ne manquent pas d'imagination pour approcher de votre véhicule.
Ils se cachent derrière un fourré à un feu rouge et surgissent promptement, un colt à la main, pour vous piquer votre bagnole.
Qu'à donc à voir tout ça avec la déchéance de la nationalité, me demanderz-vous ?
Ben ...... moi, je vous parle de la déchéance de la vie !
Quand un truand vous tue ...... trop tard pour vous plaindre.