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  • La retraite à la con n'est encore pas pour demain ..... Rita Haiworth à poil sous la lune !

     

    Tout ce qui est dit ci-dessous est strictement conforme à la réalité. Ne vous laissez pas abuser par le surréalisme apparant de la situation et préparez-vous au pire !

    Nous sommes le 30 août 2009.

    J’ai reçu, à 11h45, un coup de téléphone de la CRAM de Rouen (Madame X).

    Vous n’allez pas me croire, mais ;vous vous souvenez, cette formation en Mozelle, à Metz en 1986, financée par le Conseil Régional mais sans cotisation donc sans validation ni de trimestre ni de point de retraite ….. ; eh bien de ce fait, me dit la dame :

    « Votre dossier m’a été confié car nous ne sommes que deux personnes à traiter les dossiers des demandes de retraites de personnes ayant cotisé en Mozelle. C’est pour cette raison que votre demande de retraite a été refusée et que je dois à nouveau l’étudier »

    Moi :

    « Mais je n’ai pas travaillé, j’ai suivi une formation et M. B m’a bien fait la leçon selon laquelle cette formation ne m’ouvrait aucun droit ! »

    Elle :

    «Peut-être, mais je dois étudier … et puis, il y a quelque chose qui ne va pas car dans votre dossier, il est dit que vous êtes toujours au chômage, indemnisé par les ASSEDIC. »

    Moi :

    « Madame, il ne peut s’agir que d’une erreur ou d’une manœuvre dans l’intention de me nuire. J’ai envoyé ma demande de retraite le 8 juillet, j’ai reçu, signé et renvoyé la confirmation et la fiche de validation de ma pension le 24 juillet, et vous venez me dire, le 30 août que mon dossier doit passer par Strasbourg car il a été refusé pour une histoire de formation professionnelle en Mozelle en 1986 …. Dites, c’est une blague, n’est-ce pas ? »

    Elle :

    «Moi, monsieur, je fais mon travail et rien ne me prouve que vous ne soyez pas encore au chômage ? »

    Moi :

    «Madame, le 7 juillet, j’ai reçu une proposition d’ASS (qui a mis six jours à me parvenir) de la part du pôle emploi à 14 euros par jour, je me suis rendu à l’agence d’Honfleur pour vérifier qu’il n’y avait pas d’erreur, ni de ma part ni de la leur, j’ai reçu cette confirmation de la personne qui a consulté mon dossier sur son ordinateur …. Aussitôt, j’ai adressé un e-mail et un courrier à ka CRAM qui m’a fait signé le 24 juillet ma validation de demande ….. et aujourd’hui, le 30 août, vous me dites que mon dossier a été rejeté !

    Mais c’est une histoire de fou, ou alors, quelqu’un cherche à me nuire gravement ! »

    Elle :

    «Il faudrait que je joigne le pôle emploi pour qu’ils me confirment que vous n’êtes plus pris en charge, et puis, je n’ai jamais vu ça, quelqu’un qui refuse le chômage, il faut que je vérifie si vous avez bien le droit de refuser …. Je vous rappellerai dans la journée pour vous tenir informé. »

    14h15 le téléphone sonne, c’est madame X

    Elle :

    « Je vous rappelle comme promis, mais je n’ai pas de nouvelle du service juridique, je vous rappellerai demain …. Mais de toute façon, je suis sûre de moi, nous en refusons tous les jours des dossiers de retraite quand les demandes viennent de chômeurs qui n’ont pas tous leurs trimestres validés, c’est la loi, vous n’y pouvez rien et les règles de la CNAV s’appliquent pour tout le monde. »

    Moi :

    « Madame, si vous avez l’intention de faire de moi un SDF à 14 euros par jour, je peux vous dire que je ne vais pas me laisser faire. Les règlements de la CNAV sont consultables par tout le monde en ligne sur internet et je ne suis pas du tout d’accord avec ce que vous dites, j’ai 60 ans, j’ai accepté la minoration pour trimestres manquants, vous devez donc m’accorder ma retraite. »

    Elle :

    « Oui, je comprends que ça vous ennuie, mais ce n’est pas moi qui fait les lois. »

    Moi :

    « Ce que j’ai du mal à comprendre, c’est que ce matin, vous m’avez appelé pour un tout autre problème, parce que j’étais passé par la Mozelle et que c’était pour cette raison que vous aviez hérité du dossier, mais maintenant, vous remettez tout le dossier en cause ? »

    Elle :

    « C’est normal, monsieur, votre dossier a déjà été rejeté par notre service de vérification, mais il sera encore rejeté parce que vous devez rester au chômage jusqu’en 2010 ! »

    Moi :

    « Mais madame, puisque je vous dis que je ne suis plus au chômage, j’ai refusé l’aide sociale de 14 euros / jour. Ah ! si il m’était resté des jours ARE indemnisé correctement, ç’eut été de mon intérêt de rester au chômage pour gagner les trimestres manquants, mais là, ce n’est pas le cas. »

    Elle :

    « Excusez-moi, vous pouvez patienter un moment, je vais en discuter avec ma chef de service …….

    Ah ! …

    Ah bon ! Mais c’est nouveau, ça ! ….

    Ah ! Ah bon ! ………..

    Allo, monsieur, vous êtes toujours là ? »

    Moi :

    « Oui. »

    Elle :

    « Alors, euh, voilà, il y a une nouvelle loi, mais qui n’est pas vraiment nouvelle, enfin …d’après ma chef, vous avez accepté une minoration pour trimestres manquants, alors, vous avez le droit de prendre votre retraite.

    Je vais donc transmettre votre dossier à notre service de vérification avec un mot de ma chef et normalement tout devrait bien se passer … »

    Moi :

    « Et d’après vous, je serais payé quand ?

    Parce que, vous comprenez, ça me fait déjà deux mois sans ressources et mon découvert à la banque ne cesse de grossir …. Alors, j’aimerais donner des bonnes nouvelles à mon banquier … »

    Elle :

    «  Ben, nous sommes déjà le premier septembre demain, alors je pense qu’il faudra attendre le mois prochain sauf si la CRAM vous octroie un paiement intermédiaire …. »

    Dormez en paix, braves gens  .....  madame X veille sur votre retraite !

  • Je relance ma campagne électorale et j'encourage les gonzesses à me rejoindre avec leurs fanfreluches, leurs froufrous, leurs jarretelles et même leurs petites culottes en soie !

     

    Impôts, taxes, charges sociales, ISF, IRPP, IS, RDS, CSG,impôt sur l'impôt, TVA, assurances, CGT, FO, ma concierge .... pendant que que Martine et Ségolène font un striptease devant Sarkozy

    1 - La taxe carbone ?

    OK, très bien.

    Mais .... comment se situe-t-elle dans l'ensemble de la fiscalité Française ?

    Le gouvernement prend-il la peine de nous informer d'une quelconque justification fiscale de cette taxe par rapport à l'ensemble des impôts et taxes qui nous obèrent ?

    A quand une carte complète de tous les impôts qui grèvent nos budgets ? Car il ne faut pas s'imaginer que les taxes payées par les entreprises ne touchent pas au panier de la ménagère .... les entreprises incluent ses taxes dans leur prix de revient et appliquent, ensuite, la TVA sur ce prix déjà taxé ... à force de taxes sur les taxes, on finit par avoir un coût de la vie multiplié par 10 !

    Le gouvernement à fait cadeau de 5 milliards aux restaurateurs en baissant leur TVA de 20% à 5% ..... le consommateur en profite-t-il ? Des emplois ont-ils été créés ?

    Le gouvernement a prêté des milliers de milliards aux banques ...... les consommateurs, les entreprises en ont-elles profité ? Non, ce sont les traders et les banquiers qui se sucrent.

    Ce nouvel impôt est-il juste ?

    Vient-il en remplacement d'un autre ? des 9 milliards perdus de la taxe professionnelle ? si oui, alors nous sombrons dans la gadoue car la taxe professionnelle était payée par les entreprises et la taxe carbone s'appliquera aux particuliers de façon plus ou moins indirecte.

    Les contribuables subiront une double punition : ils paieront, à titre particulier, la taxe carbone et ils paieront en temps que consommateurs la taxe carbone répercutée par les entreprises dans leur prix de revient puis taxé par la TVA à 20% !

    Monsieur Sarkozy avait promis de défendre le pouvoir d’achat des Français, mais il a oublié de préciser lesquels ? lui ? les élus ? ses copains ? En tout cas, certainement pas le pouvoir d’achat du vulgum pecus (papier cul que nous sommes et sur lequel les élus se torchent) !!!!

    2 – que fera le gouvernement de ces nouvelles recettes fiscales ?

    Est-ce que cet impôt servira à financer le tout à l’égout de Cap Nègre ?

    Fi de cette hypocrisie, nous savons tous que cette recette fiscale ira grossir le portefeuille des nantis, des chefs d'entreprises, des banquiers et des traders …. Comme d’hab. !

    3 – Nous sommes soixante petit millions de Français, en quoi cet impôt impactera-t-il l’écologie de la planète qui compte six milliards d’habitants ?

    Les US sont 300 millions plus les Canadiens … auront-ils la même taxe à payer ?

    Les Chinois, 3 milliards de pollueurs forcenés …. Paieront-ils cet impôt ?

    Avec qui allons-nous partager ce fardeau que nous imposent quelques fadas qui cherchent à se faire mousser ?

    Non, ils ne sont pas verts, oui, ce sont des vers !

    4 – Pendant ce temps, la dette nationale ne cesse de gonfler et de ployer sous les intérêts qui s’accumulent heure après heure ….. mais qui nous tient informé de ce désastre bien pire que n’importe quel problème écologique car il en va de l’indépendance de la France qui se fait racheter, petit bout par petit bout par les émirs et les nouveaux riches Chinois !

    Peuple de France, comment peux-tu accepter d’être ainsi traité ?

    Ne vas-tu pas redresser la tête et jeter par-dessus bord les partis politiques incompétents et chaotiques qui pullulent d’ambitieux ignares mais sans scrupules pour qui la France ne représente plus qu’un morceau de fromage à grignoter ?

    Ni gauche ni droit, un seul candidat pour 2012 : Yfig

  • Retraite de Russie ? aux flambeaux ? non, retraite des vieux cons et Roselyne toute nue dans le tiroir de la commode !

     

     



    Merveilleuse histoire

    de retraite à la con

    L’aventure exotique commence en septembre 2006 quand je demande mon relevé de carrière à la CNAV en pévision d’une retraite paisible au premier juillet 2009.

    A cette époque, la caisse de retraite de base (sécurité sociale) m’envoie balader en me demandant de les rappeler dans les deux ans précédents mon départ en retraite.

    La caisse de retraite du régime complémentaire (à l’époque la CICAS du Calvados) m’envoie un dossier à compléter.

    Dossier truffé d’erreurs et d’omissions.

    A charge, pour moi de boucher les trous et prouver par des documents 'ad hoc'  mon  bon droit.

    Je m’exécute, mais non sans mal car j’ai pas mal bourlingué aux quatre coins du monde et sous différents statuts (ETAM, puis CADRE, puis expatrié en Afrique, puis profession libérale pour finir à nouveau et enfin comme salarié CADRE en France).

    Ce qui explique que malgré mes efforts, je laisse quelques cases vierges.

    Heureusement, nous avions conservé tous les dossiers. Seule anicroche, mes deux années en Libye pour lesquelles il s’avère impossible de remettre la main sur les bulletins de salaires.

    Le 25 octobre 2007, je rencontre une conseillère de la caisse de retraite REUNICA qui s’est emparée de mon dossier et avec qui je dois en discuter.

    J’apporte, à cette occasion, un énorme sac plein de tous mes documents, attestations, relevés …

    La charmante conseillère prend note de mes corrections et de mes compléments d’informations et me demande de lui confier mes originaux pour en faire des photocopies, tranquillement, une fois rentrée à son bureau de Caen.

    Quelques amis aînés m’avaient bien prévenu de ne jamais confier aucun document d’aucune sorte à qui que ce soit de l’autre côté de notre monde de travailleurs.

    « Je vais faire les photocopies moi-même et vous les envoyer » lui dis-je.

    « Vous n’avez pas confiance en moi ? » s’offusque la gentille dame …

    « Oh si, madame, toute confiance en vous, mais aucune dans le destin et il suffirait qu’en sortant de cette entretien il vous arrive, ce que je ne vous souhaite pas, un accident pour que mes originaux disparaissent à jamais dans la nature ; alors, vous comprendrez que je préfère prendre ce risque moi-même, ainsi je suis certain de ne jamais rien avoir à vous reprocher ! »

    Mon travail trouve sa première récompense, première étape vers la fin de tout, je reçois en février 2008 une première évaluation de retraite complémentaire (ETAM et CADRE ou, si vous préférez, ARRCO et AGIRC).

    Certes, le relevé est encore plein d’omissions et d’imprécisions, mais ça me laisse le temps d’y travailler.

    Ce qui m’inquiète, c’est plutôt mon relevé de carrière de la sécu qui, lui, est tout aussi incomplet mais pour lequel il semble que rien ne puisse être entrepris.

    Début 2009, toujours inquiet du temps qui passe, je demande à la CRAM un rendez-vous pour préparer mon départ vers le paradis tant espéré.

    « Rappelez-nous début avril car nous ne recevons les candidats à la retraite que trois mois avant l’échéance. »

    Le 5 mars 2009, je reçois mon relevé de carrière sécu que j’avais déjà eu l’occasion de consulter sur internet sur le site CNAV, relevé qui n’a pas bougé depuis 2007 et qui contient de très nombreux trous.

    Le 3 avril 2009, je suis enfin reçu par un conseiller de l’assurance retraite : M. Gégory B. dans les locaux de la CPAM à Honfleur.

    Je sors de cet entretien avec une indicible impression d’entourloupe, un pressentiment de mauvais présage, une certitude d’avoir eu à faire à un camelot me faisant le coup du bonneteau.

    « Tiens, tu vois ton trimestre ? Hop, je le mets à droite, je le passe à gauche, au milieu et zoup ! il a disparu !! »

    « Ah non, monsieur, on ne peut pas vous valoriser plus de quatre trimestres pour une année même si vous en avez cotisés six. »

    « Par contre, vous voyez, là, vous n’avez cotisé qu’un seul trimestre à votre caisse de profession libérale. »

    « Ah non, monsieur, on ne peut rien pour vous, faut voir avec votre caisse de retraite des professions libérales ! »

    « Là, vous voyez, je ne peux pas vous valider car vous dites que vous étiez en Afrique et vous n’en n’apportez pas la preuve. »

    Moi :

    « Mais regardez, sur mon relevé ARRCO – AGIRC, j’ai bien la valeur des points correspondants à ces deux années, alors comment se fait-il que vous n’ayez rien ? »

    Lui :

    « Ah monsieur, ce sont les caisses complémentaires, elles ont leurs informations, nous avons les nôtres. D’ailleurs, les contrats à l’étranger ne comptent pas pour la retraite de base, pour compenser cette carence, les employeurs vous font cotiser plus à l’ARRCO, ce qui compense votre manque à gagner à l’assurance vieillesse. Alors n’espérez pas trop de ce côté-là. »

    « Et puis pour le service militaire, faudra aussi en apporter la preuve, votre livret militaire, par exemple … »

    Moi :

    « Mais je l’ai perdu ! »

    Lui :

    « Alors il va falloir demander, à cette adresse, un relevé de situation militaire si vous voulez qu’on valide vos trimestres ….. le problème, c’est que ça va prendre du temps ! »

    Et là, je le regarde se délecter de ce contretemps qui va me foirer mon dossier en terme de dates.

    Bref, il reste sur ses positions, à moi d’apporter des preuves et encore des preuves …..

    Il doit s’apercevoir de ma déconfiture car il fait un effort pour me réconforter :

    « Ecoutez, si vous apportez les preuves de vos activités, vous passerez de 143 trimestres à 158, il ne vous en manquera que 3 pour une retraite à taux plein, si vous voulez, je peux écrire au pôle emploi pour qu’ils vous maintiennent au chômage jusqu’à juin 2010 pour que vous acquériez les trois trimestres qui vous manquent ? »

    Et je suis tombé presque tout entier dans le piège …. Mais son attitude ayant éveillé ma méfiance au plus haut point, je lui demande :

    « Mais si le pôle emploi refuse ? ou si le taux d’indemnisation est ridicule ? »

    Lui :

    « Vous pouvez demander votre retraite à tout moment. »

    Après cet entretien, les évènements vont se précipiter tout en prenant tout leur temps. C'est-à-dire que je vais m’activer comme un diable pendant que le conseiller B. va s’évertuer de temporiser au maximum.

    Sitôt rentré, j’écris à l’adresse donnée pour le relevé de situation militaire, puis je me jette sur mon ordinateur pour chercher via internet comment je peux retrouver des adresses des sociétés pour lesquelles j’ai travaillé et dont j’ai perdu les attestations ….

    Dès le 5 avril, j’envoi un message électronique à la caisse de retraite des Français à l’étranger et le 7 avril, je conclus un courrier électronique, adressé à M. B., par ces mots :

    «

    J'ai écrit à la CRE et à la CBTP pour obtenir des éclaircissements sur mes années d'expatriation 1975 et 1976

    Si j'avais des trimestres pour ces deux années, cela me ferait 160 T

    Sinon, je reste à 154.

    Que dois-je faire ?

    En effet, je dois remplir des demandes de retraites auprès de l'IRCANTEC de la CIPAV, de l’ARRCO et l'AGRIC mais si vous me maintenez au chômage auprès de l'ASSEDIC, je ne dois pas pouvoir faire ces demandes ?

    J'avoue que je suis un peu paumé !

    Merci de votre conseil.

    Cordialement 

    »

    Courrier qui restera définitivement sans réponse.

    Le 4 mai 2009, je reçois enfin une bonne nouvelle par mail :

    « Nous vous informons que selon le décret 82-268 du 21 juillet 1982,  le régime général de la Sécurité Sociale apprécie la durée d'assurance en tenant compte des période d'emploi effectuées à l'étranger avant le 1er avril 1983, même si elles n'ont pas donné lieu à un rachat de cotisations vieillesse ( périodes dites équivalences). »

    Je m’empresse de transmettre ce courrier à M. B. qui s’en fout comme de sa première serpillière.

    Mais je borde mon dossier en doublant ce courrier électronique d’un courrier postal.

    Je relance le sieur B. par mail et infructueusement aussi par téléphone car le numéro qu’il m’a donné est un numéro qui ne répond jamais, exactement comme la caisse de retraite des professions libérales..

    Je lui écris le 21 mai pour l’informer d’un questionnaire du pôle emploi ….. il sourit, silencieusement !

    Le 25 mai, je lui confirme l’envoi par courrier postal d’un certain nombre de documents qu’il m’avait réclamé.

    Un grand silence suit ces communications.

    Le 30 mai, je le relance sans succès.

    Début juin 2009.

    J’adresse le 4 juin, sans grande conviction, un dernier mail à M. B. :

    « Je viens de consulter ma position sur le site du pôle emploi :

    Il ne me reste que 30 jours de droits.

    D'autrte part, ils me demandent de remplir une reconstitution de carrière …. ?

    Je reste très inquiet pour le mois prochain. »

    Face à cet obsédant silence, je finis par prendre mon téléphone et appeler le numéro du serveur de la CRAM.

    La personne que j’ai au bout du fil me confirme que mes courriers et courriels sont bien parvenus à la CRAM et que si M. B. ne répond pas c’est qu’il n’y a pas urgence.

    Et pour cause !

    J’apprendrai, en effet, un peu plus tard (mais je vous le narrerai), que M. B. à adressé un avis au pôle emploi et à mes caisses de retraites complémentaires selon lequel je demande ma retraite en Janvier 2010.

    Même sans être au courant de cette forfaiture, je râle grave au téléphone et je demande à ce que mon dossier soit transmis à un ou une conseillère qui aie la décence et la politesse de répondre à mes courriers, courriels et ou appels téléphoniques.

    Devant ma colère, mon interlocuteur finit pas se décider à alerter la supérieure hiérarchique de M. B., Madame Ba..

    J’ai à peine raccroché que le téléphone sonne. C’est M. B. !

    Pour une surprise …..

    Oui, il a bien reçu mes documents, mais il est débordé ….

    Bon, tout va bien, il me confirme 159 trimestres validés et il attend mes instructions quant à ma décision de rester au chômage ou de faire valoir mes droits à la retraite au premier juillet !

    Toujours cette obsession de me faire traîner au chômage …. Je commence à me dire que mes suspicions d’entourloupe ne relèvent pas de la paranoïa.

    Mais, c’est vrai, je ne sais plus quoi faire.

    Je lambine, à mon tour, sur mon dossier en me demandant ce que je pourrais bien entreprendre pour faire avancer le curseur ?

    Je remplis les questionnaires du pôle emploi, j’y joins les pièces demandées ….. j’attends le retour ….

    Mon dossier est dans une impasse, plus rien ne bouge, je suis enlisé dans une espèce de gadoue virtuelle, prisonnier d’informations que je ne détiens pas, recroquevillé dans ma torpeur inconsciente d’inutilité terrestre ….

    Ca doit être ça qui fait d’un homme un retraité, un corps et un esprit mort, sans but, sans plus personne à qui demander et rendre des comptes, un dossier administratif en attente de prise en charge, un individu réformé en ectoplasme tributaire de l’assurance vieillesse, grande nébuleuse sans visage qui pose des questions, demande des preuves écrites mais ne répond jamais à vos interrogations.

    Enfin, le courrier du pôle emploi arrive, le 10 juillet 2009, un vendredi.

    Il a mis dix jours pour me parvenir.

    Ce courrier m’informe que j’ai droit à une ASS (Allocation de Solidarité Sociale) s’élevant à 14 euros par jour, soit environ 420 euros par mois.

    Oui, je sais, grand nombre de nos concitoyens vivent avec ce pourboire mensuel.

    Ils survivent, plutôt et ne se plaignent guère, ils font avec et entreprennent parallèlement de grands projets littéraires, ou picturaux, ou autres.

    Mais je n'ai pas travaillé toute ma vie pour finir mendiant de la société. Mes droits à la retraite, je les ai dûment acquis, je ne les ai pas volés et ce n’est pas parce qu’un conseiller jaloux et pervers veut m’en priver que je ne vais rien dire !

    J’attends le lundi et je me rends à l’agence du pôle emploi pour en avoir le cœur net et m’assurer qu’il n’y a pas erreur.

    La dame du pôle emploi :

    « Oui, monsieur, non, il n’y a pas de doutes, c’est bien une ASS à 14 euros par jour, faudra être économe. C’est dur pour tout le monde, vous savez ! »

    Enfin, le 15 juillet 2009, je poste en même temps toutes mes demandes de retraite.

    A la CRAM, à l’IRCANTEC, à la CIPAV, mais pas à la principale, la complémentaire REUNICA car elle me demande une pièce dont je ne comprends pas l’utilité. Aussi, avant de fermer l’enveloppe, je les appelle pour obtenir plus de précisions ….

    Et c’est là que je tombe sur le cul !

    La REUNICA n’a plus mon dossier. Il est désormais et depuis le 14 juillet 2009 entre les mains de la caisse de retraite VAUBAN HUMANIS.

    Je suis là, comme un con, devant mes dossiers, mes courriers, mes attestations, mes relevés, mes photocopies, mes doutes, mes craintes, mes espoirs, mes déceptions, et cette rage qui monte, sourdement, cette rage d’être traité comme un pauvre type par tous ces organismes qui se foutent de la gueule du monde, ces fonctionnaires attardés et vicelards dont la principale préoccupation est de mettre les autres, ceux, précisément dont ils ont la charge, dans la merde !

    Faut dire que nous sommes le 28 août quand j’écris ça et que ça ne s’est pas arrangé, depuis !

    Ravalant ma rage et rassemblant mon courage dans mes deux mains, tremblantes encore du coup d’adrénaline qui vient de me parcourir les neurones …. Je chope le téléphone et je compose le numéro de la caisse VAUBAN HUMANIS.

    La jeune femme est surprise, très surprise !

    Elle ne me connaît pas, elle va regarder … N° de sécurité sociale, nom, prénom, domicile … tralalala …

    « AH ! oui, effectivement, votre dossier nous a été transmis électroniquement, mais pas les documents. D’ailleurs, je ne comprends pas votre fébrilité …. Vous avez demandé votre retraite au premier janvier 2010 … y’a pas l’feu au lac …. »

    J’avale ma salive, je me touche le coude, je regarde en bas, en haut, à droite …. Je me décontracte le cou, je ravale ma salive ….. et puis je crache :

    « Mais d’où diable tenez-vous cette information ? »

    Elle :

    « Ben c’est dans le dossier qui nous a été transmis par la REUNICA qui doit la tenir (l’information) de votre caisse de retraite de la sécurité sociale ! » (j’ai eu confirmation de cette procédure depuis …)

    Moi :

    « Eh bien c’est une erreur, une désopilante et désolante erreur, j’ai justement le dossier de la REUNICA sur ma table de travail et j’étais en train de le remplir pour une demande de retraite au 1er juillet et c’est comme ça que j’ai appris que c’était avec vous que je devais désormais composer, mais je souhaite prendre ma retraite au 1er juillet 2009, pas en 2010 ! »

    Elle :

    « Bien, monsieur, j’en prends note et je vais me renseigner auprès de notre service juridique pour voir ce que nous pouvons faire …. »

    Moi :

    « Comment ça ce que vous pouvez faire ………… pour quoi ? »

    Elle :

    « Mais pour prendre en compte votre dossier et changer votre date de prise en charge. »

    Je marque un silence égaré ….. est-ce possible ? tout ceci est-il réel ? un rêve ? un cauchemar ?

    Je deviens liquide et livide.

    D’une voix tremblotante je parviens à demander :

    « Dans combien de temps pensez-vous me donner votre réponse ? »

    Elle, d’une voix claironnante :

    « Ah ça, monsieur, je n’en sais rien ! »

    Moi :

    « Madame, je ne voudrais pas abuser de votre gentillesse, mais nous sommes le 15 juillet 2009, j’apprends, aujourd’hui, que mon dossier de retraite complémentaire vient de changer de caisse alors que je demande une prise en charge au 1er juillet, ce qui signifie que j’aurais aucune source de revenu à la fin du mois et que les délais de traitement dans les caisses risquent de se poursuivre, en pleine période de vacances jusqu’à la fin août au mieux et au-delà plus vraisemblablement …. Alors, vous comprendrez que votre réponse ne me satisfait pas.

    Je ne vous demande pas un date précise, je vous demande une indication, une date à laquelle, sans réponse de votre part, je vous relancerai … »

    Elle :

    « Oui, je vous comprends bien, mais je peux pas vous répondre, je ne sais même pas si nous sommes vraiment en mesure de traiter votre dossier, seul notre service juridique peut répondre et ils n’ont pas que ça comme dossiers … »

    Moi :

    « Très bien, madame, je vous appellerai tous les jours, deux fois par jour, le matin et l’après-midi jusqu’à ce que j’ai ma réponse. »

    Elle, beaucoup moins claironnante :

    « Mais vous ne pouvez pas faire ça ! »

    Moi :

    «  »

    Elle :

    « Bon, écoutez, je vous rappelle demain matin sans faute pour vous donner des nouvelles. »

    Moi :

    « Très bien, madame ! À demain, donc. »

    Le lendemain, la dame a appelé, m’a confirmé que VAUBAN prenait bien en charge mon dossier à la date du 1er juillet et m’a demandé leur envoyer les documents que j’avais préparés à l’attention de REUNICA. Ce que j’ai fait prestement.

    Deux jours plus tard, je recevais une lettre de la CRAM me demandant de valider officiellement ma demande de départ à la retraite au 1er juillet 2009, accompagnée d’une proposition de valorisation de ma retraite à signer pour acceptation ‘définitive’.

    Voilà !

    Nous sommes le 28 août 2009 et je n’ai plus eu de nouvelles de personne depuis ce dernier entretien téléphonique et ce courrier péremptoire de la CRAM.

    J’ai adressé un ultime message électronique à M. B. le 27 août et puis je me suis mis à la rédaction de ce triste texte.

    Je vais attendre la fin du mois ….. et je vais certainement me mettre très en colère !

    A suivre ….. peut-être !

  • Dali n'est pas né à Ablon .... la preuve .... et en prime, la fermière à poil dans le tunnel !

     


    Dali en vrai !

     

     

     

  • L'humilité n'est-elle pas la plus grande des vertu ? et Bernadette Chirac à poil sous la douche (moi aussi j'en veux ... du nougat !)

     

    Quand notre ami iPidi sort ses grandes antennes ….. il comprend de grandes vérités ….. la preuve :

    « La BNF capitule et fait appel à Google pour numériser son fonds ; on connaît mon profond mépris pour ces fonctionnaires qui m'ont refusé il y a de cela une dizaine d'années une carte de lecteur. Non seulement ils se révèlent incapables de faire fonctionner correctement leurs installations propres mais encore l'informatique les dépasse et le moteur de recherche qu'ils ont installé pour Gallica est si médiocre qu'il est presque impossible d'y rechercher une information précise. Il vaut mieux dans ces conditions qu'ils recourent à Google pour accélérer la mise en ligne de leurs collections. En comparaison des institutions comme la BNF ou encore pire les Archives nationales (les ANF) qui se révèlent malgré leurs budgets considérables insuffisantes pour rendre le service qu'on attend d'elles, les archives départementales font des merveilles, du moins certaines d'entre elles quand elles sont stimulées par des hommes politiques intelligents.
    L'administration centrale française est une vaste sinécure où des gens qui se croient au-dessus de leurs fonctions cultivent leurs aigreurs en refusant systématiquement de rendre le moindre compte au public. »

  • Michou Tocard et les petites filles à poil (il n’y a pas de petites économies) …

     

     

    Michou Tocard a remis son rapport à Bordeleau.

    Voilà, c’est ici : Rapport Tocard

    Lisez bien attentivement ce baratin car il nous concerne tous au premier chef.

    Admirez les imprécisions, les ellipses tordues, les périphrases absconses, les conclusions hâtives et incertaines ……

    Mais le fond est là : Vous allez cracher votre fric bande se sales françouses que vous êtes.

    Vous vous rendez compte ! ?

    Nous petits Français, petit peuple de 60 millions d’habitants à tout casser, nous allons sauver la planète grâce à la CCE (Contribution Climat Energie) et nous allons filer notre fric au gouvernement pour avoir un air à respirer qui soit de meilleure qualité ……  les 6 milliards du reste de la planète sont morts de rire ….. mais comme tout le monde le sait, le ridicule ne tue point !

    Putain, Tocard, pourquoi ne pas dire les choses :

    « Sarko a besoin de 9 milliards pour réparer sa connerie de renoncement à la taxe professionnelle, on va vous faire payer, un point c’est tout ! »

  • Je donne ma langue à ma main ! Et la comtesse montre ses fesses !

     

     

    « La langue est le dernier domaine où la main de l'homme peut s'attarder à loisir pour lui donner tout le relief que l'on veut, pourquoi s'en priver et laisser ce dernier soin à quelques confectionneurs du prêt-à-penser, prêt-à-parler ? »

    On m’accuse parfois de faire des phrases alambiquées et incongrues, mais je suis battu, iPidi est mon maître et je n’envisage pas de lui intenter un quelconque procès en reconnaissance de paternité vu que mon ADN est et doit rester secrète !

    Cornegidouille et têtes de pain d’sucre, j’veux bien qu’on m’les coupe (les cheveux que j’ai déjà trop longs) si quelqu’un arrive à m’expliquer la métaphore de la main qui s’attarde sur la langue pour lui donner du relief !!!!!

    Beurk !

    Quiconque oserait toucher un seul poil de ma langue se verrait illico presto jeté au cachot !

    On ne me paluche pas la langue sans en payer les conséquences.

    Imaginez-vous qu’on puisse me pétrir la langue sans que je me rebiffe ?

    Je fais ce que je veux de ma langue, je l’introduis où bon me plaît et je ne laisserai personne y contrevenir.

    Ma langue est à moi et elle ne se bat en duel qu’avec celle de mon épouse qui l’a bien pendue quand il s’agit de profiter des loisirs !

    J’avoue, j’aime à cuisiner la langue de bœuf, mais je ne la pétris pas ….. je la pèle, tout au plus !

    Je me suis laissé dire que Sarko aurait une langue de bois …. Je me demande si Carla la passe au cirage comme on le fait à la biroute du carabin ?

    Bref !

    A chacun sa langue et les lèvres seront bien scellées.

    Et pour conclure, je cède la parole à notre ami François Villon

    Ballade (des langues ennuyeuses)

    En rïagar, en alcenic rochier,
    En orpiment, en salpestre et chaulx vive,
    En plomb boullant pour mieulx les esmorcher,
    En suye et poix destrempee de lessive
    Faicte d'estrons et de pissat de Juisve,
    En lavailles de jambes a meseaux,
    En raclure de piez et vieulx houzeaux,
    En sang d'aspic et drocques venimeuses,
    En fïel de loups, de regnars et blereaux,
    Soient frictes ces langues ennuyeuses !

    En servelle de chat qui hait peschier,
    Noir et si viel qu'il n'ait dent en gencyve,
    D'un viel matin, qui vault bien aussi chier,
    Tout enragié, en sa bave et sallive,
    En l'escume d'une mulle poussive,
    Detrenchée menue a bons cyseaulx,
    En eaue ou ratz plungent groins et museaux,
    Regnes, crappaulx et bestes dangereuses,
    Serpens, laissars et telz nobles oiseaux,
    Soient frictes ces langues ennuyeuses !

    En sublimé, dangereux a toucher
    Et ou nombril d'une couleuvre vive,
    En sang c'on voit es poillectes sechier
    Sur ces babriers, quant plaine lune arrive,
    Dont l'un est noir, l'autre plus vert que cyve,
    En chancre et fix et en ces ors cuveaulx
    Ou nourrisses essangent leurs drappeaux,
    En petits baings de fïlles amoureuses
    - Qui ne m'entant n'ay suivy les bordeaux -
    Soient frictes ces langues ennuyeuses !

    Prince, passez tous ces frians morceaux,
    S'estamine, sacz n'avez ne bluteaux,
    Parmy le fons d'unes brayes breneuses,
    Mais paravant en estronc de pourceaux
    Soient frictes ces langues ennuyeuses !

  • photos de vacances .... suite ... hôtel de la belle étoile

    En Haute-Savoie, les hôtels ne sont pas chers,

    mais il faut apporter son duvet !

     

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  • Non, je ne suis pas fou ! Et j’ai l’honneur, le plaisir et la joie de vous annoncer ma candidature à la Présidence de la République Française aux élections qui auront lieu en 2012.

     

     

     

     

    Je soussigné, Yfig de Ablon, né à califourchon sur mon cordon ombilical, rescapé d’un avortement prémédité et de plusieurs coliques néphrétiques, sain de corps et saint esprit, digne Français de par ma résidence principale et honnête Breton de par ma consanguinité ai l’honneur, le plaisir et la joie de vous annoncer ma candidature à la Présidence de la République Française aux élections qui auront lieu en 2012.

     

    Je compte bien mettre la pâtée aux autres candidat(e)s.

     

    C’est d’ailleurs dans cette intention que je m’y prends si tôt dans ma déclaration d’intention, afin de prendre la tête du peloton et de m’échapper avec célérité et agilité pendant que les autres réfléchissent au pourquoi du comment qu’ils pourraient bien s’y prendre.

     

    Mon programme électoral est simple et inattaquable !

    Je m’engagerai par écrit signé devant notaire (ou tout autre menteur, huissier ou officier ministériel assermenté) à redonner à notre belle et douce France et par conséquent à ses habitants qu’on a l’habitude d’appeler les Français, la qualité de vie qu’ils méritent, les emplois qu’ils réclament et le bonheur qu’ils convoitent.

     

    Bien entendu, je ne signerai que si les Français m’en donnent le quitus.

     

    Pour ce faire, j’annonce la création toute prochaine d’un site internet ayant pour objectif la collecte des justes doléances des Français et leurs demandes collectives et individuelles en ce qui concerne leurs desiderata (‘desideratum’ au singulier).

    Chaque Français qui le souhaite pourra s’y exprimer en toute liberté et anonymat.

    Les insultes et délations n’y seront pas acceptées.

    Les langues étrangères n’y seront pas traduites.

    Les faux Français seront poussés dehors.

    Toutes les demandes sans exception mais après vérification de leur contenu par un charlatan agréé de mon parti, seront étudiées avec la plus grande attention et seront compilées les unes sur les autres dans mon programme que je signerai quand il sera écrit. (cf ci-dessus).

     

    Ma légitimité tient en deux mots : je n’ai aucun ami.

    En conséquence, je ne serai pas tenté de faire profiter de ma présidence les petits copains et je mènerai une présidence tranquille et équilibrée, sans pot de vin, sans pression financière ou politique …. Bref, une présidence transparente, transparence que j’appliquerai à la publication régulière de mon bulletin de santé et de mes opérations chirurgicales.

     

    Je vous le dis, braves gens, il faut, à l’instar de la tortue de La Fontaine, partir à temps et ne pas s’essouffler à courir frénétiquement.

     

    Nous avons deux années devant nous pour peaufiner notre élection, ne gaspillons pas nos énergies à chercher à réconcilier Ségogo, Matitine et Nicolala …. Oublions tous ces suborneurs qui prétendent se présenter sans programme ni trompette, ne visant que l’assouvissement de leurs ambitions politicardes et vénales ….. soyons clairs, nets et précis, exigeons des élections dignes de ce nom ……

     


    …. votez Yfig ….. yes !

     

     

  • Photo de vacances (cherchez Rachida à poil)

     

    Ah ! les belles vacances !!!!!

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    Alors !
    Vous la trouvez Rachida toute nue ?