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Les syndicats ... ouais ... si on veut .... ils barrent en sucettes, les syndicats, ils sont devenus fonctionnaires moitié état moitié patronat.
C’est qui le chef ! ?
... J'aimerais bien savoir qui nous dirige vraiment quand Alstom est écartelé, démantibulé, démembré entre USA et Deuchtland ??
Bouygues fait tourner Montebourg en bourrique ... ça le change d'être bourricot !
Hollande se tortille comme une saucisse au BBQ, il grille tantôt à feu doux, tantôt sur les flammes ...
Après tout, que risque-t-il ?
Dés le lendemain de sa disparition de l’Élysée, il sera embauché par quelque Arnault ou Pinault (Tché) pour compter les cafards dans le placard noir.
En attendant, il continue de refiler de bonnes places à ses potes.
C'est pas parce qu'on est honnête qu'on doit se comporter en con ! On va tout de même pas laisser les sinécures à l'UMP ... ou au FN dans le pire des cas.
Les photos qu'on peut voir ici ou là laissent voir des centaines de FN pour quelques dizaines de PS CGT FO CFDT FRAC DRAC PLOUC .... défilant le parapluie au poing et le brin de muguet entre les dents.
On est con, vous trouvez pas ?
Nous, les français, avec nos défilés débiles et nos concepts d'un autre âge !!!
Si nous étions véritablement intelligents, nous ne courrions pas après le boulot, au contraire, on laisserais ça aux autres.
Té ! la recette elle est simple : on vend tout et on se dore la pilule sur la plage.
EDF SNCF VIVENDI LVMH la Redoute, le Printemps, les Galeries Lafayette, Félix Potin, le pont d'l'Alma, les champs E lysées, Carrefour, TOTAL, Ariane Espace, les autoroutes, le gaz de France, les vaches qui pètent, les usines qui puent et polluent, les péniches, les ports, les aéroports, les avions, Air France et tutti quanti .... on refourgue tout aux Emirats et on se la coule douce pour les quelques années qu'il me reste à vivre !!!
Allez ! joyeuses fêtes et pensez aux Européennes, elles nous pendent au bout du nez !!!!!
Bon ! il faut savoir faire contre mauvaise fortune bonne figure ! J’ai donc fait mon plus beau sourire au téléphone en appelant le psy qu’un ami m’a indiqué comme étant spécialiste des causes perdues de mon espèce. Il est par ailleurs « expert auprès des tribunaux » ce qui est une preuve irréfutable d’équilibre psychique et intellectuel. Moi : « Allô ! ?» Le Psy : « Allô ! ? » M : « Vous êtes bien le docteur Chabraque ? » LP : « Vous êtes bien au cabinet du docteur Chabraque, je suis sa secrétaire. Que puis-je pour vous ? » M : « Je souhaiterais parler au docteur Chabraque. » LP : « Mais certainement, je vous propose lundi à 14h, c’est à prendre ou à laisser ! » M : « Je prends » Et en mon for intérieur, je me dis en aparté : « Si je peux pas y aller on pourra pas dire que je n’ai pas essayé ! ».
J’ai donc pris un RTT et le lundi, je me pointe au cabinet du docteur Chabraque. C’est une belle villa de trois étages en pierres de tailles meulières (comme la truite éponyme). Elle est ornée de colombages (pans de bois) en chêne peints en vert SNCF et Les volets en frêne sont peints de rouge. Elle est plantée là, si haute avec sa toiture pentue de tuiles rouges en plein milieu d’un parc arboré et on y accède par longue une allée blanche de gravillons de Saint Omer. Puis on gravit sept marches pour accéder au perron couvert d’une verrière du XVIIIème siècle donnant sur une grande porte ferronnière à double vantaux vitrés. Sur le côté droit de la porte, une grande plaque en cuivre jaune sur laquelle est gravé :
Docteur Chabraque Psychiatre Ex interne des hôpitaux de Monaco Diplômé en acupuncture Diplômé en médecine générale Diplômé de la police scientifique de Los Angeles Diplômé des prisons de Memphis (Tennessee) Diplômé en scrabble et mots croisés Marc de café, tarot, osselets et viscères de vigognes
Franchement, ça vous fiche un de ces frissons toutes ces compétences réunies en un seul et même homme ! On se dit qu’on va sonner à la bonne porte … si on la trouve … la sonnette … Mais, comme par magie et sans qu’on ait rien à entreprendre, la porte s’ouvre. Une grande femme nue sous sa blouse blanche, les tétons en batterie, les lèvres rubicondes et les dents blanches comme de l’ivoire, blonde comme les épis de blé avant la moisson, les yeux bleus, les paupières bleues, les cils noirs et longs comme des poils de chameau, battant comme un métronome tous les dix centièmes de seconde … Forcément, vous restez là, les bras ballants, la tempe claquante, la respiration haletante, le regard perdu dans le bleu de ses yeux, les mains moites et les jambes flageolantes (sauf si vous êtes hermétique à l'esthétique !). Elle, professionnelle et habituée à faire cet effet là sur les hommes, s’efface et vous invite à entrer puis à la suivre jusqu’à la salle d’attente. Elle est pleine (la salle d’attente). C’est une pièce rectangulaire assez grande avec une table basse au milieu sur laquelle diverses revues s’étalent languissantes. Les murs sont ornés de sérigraphies usées représentant des squelettes et des cadavres. D’un rapide regard circulaire on peut comprendre que les gens qui sont là ne sont pas comme tout le monde. Une femme a tourné sa chaise pour s’asseoir le dos tourné à la salle. Certains ont la tête baissée, d’autres se cachent derrière un journal ou un éventail … il y a une dame âgée qui tient une cage sur ses genoux. La cage contient un perroquet gris et vert du Gabon, de ceux qui sont des plus loquaces. Un vieux monsieur chenu a sous sa chaise un lévrier couché en chien de fusil. Soudain, la porte de la salle d’attente s’entrouvre et l’infirmière secrétaire accoucheuse passe sa tête blonde bleue pour annoncer : « Le docteur est arrivé ». La porte se referme sur une espèce de murmure qui court comme une rumeur en faisant tout le tour de la salle d’attente. Puis le silence revient. On entendrait une mouche se faire violer ! La dame qui tourne le dos à la compagnie s’exprime comme dans un souffle : « C’est qui qui commence ? » La dame au perroquet annonce : « Il y a un nouveau. » Le perroquet répète : « Un nouveau » sur un ton nasillard. Il s’ébroue et un nuage de poussière envahit la cage avant de se répandre. Le lévrier lève sort la tête d’entre ses pattes puis la remet. J’éternue, sous l’effet de la poussière. « AAAAAATTTCCCHHHOOUUMMM !!! » Tous : « À vos souhaits ! » La porte s’entrouvre et l’infirmière multi cartes passe sa tête polychrome pour demander : « Madame Lamaison ». Une dame cachée derrière son éventail se lève sans montrer son visage et sort de la pièce. La dame qui tourne le dos : « Celle-là, elle est irrécupérable, elle croit qu’elle est espagnole alors qu’elle est née à Dunkerque d’un père allemand et d’une niçoise. » Le monsieur qui a le lévrier sous sa chaise : « C’est pas à vous de donner des leçons aux autres, quand on se prend pour une diva on se tait ! » La dame qui a un chapeau avec des oiseaux vivants attachés par les pattes : « Les divas c’est juste bon à se coucher sur un divan ! » Un monsieur qui se cache le visage derrière le Canard Enchaîné du 11 août 1975 (le journal est à l’envers mais on arrive quand même à en lire des bribes) : « Le divan du docteur est vieux et déchiré, il sent le tabac froid et le dégobillé, moi, je prends toujours une couverture avec moi pour m’y étendre ! » La dame qui a le dos tourné se lève puis se rassied : « Vous ne m’aurez pas avec vos stupides provocations, je ne chanterai pas, pas aujourd’hui ! » Le chien se lève, va à la chaise de la dame qui a le dos tourné et lève la patte sur un des pieds … La dame qui a le dos tourné lui crie : « Dégage de là sale cabot, va pisser sur ton maître ! » Un long silence s’installe pendant que le sale cabot retourne se coucher sous son maître. J’en profite pour jeter un coup d’œil circulaire plus circonspect. Nous sommes sept. Une chaise est vide, celle de madame Lamaison. En sus de moi-même, les six autres sont tous plus bizarres les uns que les autres. La dame qui nous tourne le dos voûté les cheveux gris sale, les épaules couvertes d’un vieux pull marron côtelé à mailles larges fait comme une tâche sur sa chaise. Elle se situe juste en face de moi ce qui fait que je ne peux même pas voir son profil. Elle me fait tant penser à tata Baluchon que je lui garde ce surnom.
En tournant dans le sens des aiguilles d’une montre, à ma droite un vieux monsieur à la barbe courte, aux gros sourcils broussailleux blancs sur des yeux caves aux minuscules orbites, des lèvres charnues et brunâtres, un front rabougri le tout sur un cou quasi inexistant. Je le surnomme illico « le vieux singe ». Sous sa chaise, un lévrier afghan qui pue comme une vieille négligée.
La dame qui est à sa droite est plus ou moins cachée à mes yeux, mais je peux la voir un peu en me penchant en avant en arrière. Elle n’a pas de visage, il est caché sous un foulard bleu pâle. Elle porte un gilet gris en laine et une robe ou une jupe, je ne sais trop, en tissus moiré qui lui descend le long de ses jambes croisées jusqu’aux chaussures plates noires. Elle, je lui attribue le pseudo de « Mamma ». Sur ses genoux le perroquet du Gabon dans sa cage.
À ma droite 90°, non loin de la porte, un petit monsieur sans âge qui lit son journal à l’envers : le Canard Enchaîné du 11 août 1975. Il ne bouge pas, seul le journal tremblote faisant un bruit incongru comme le vent dans les feuilles mortes d’un orme. Sous son pantalon crème on devine des jambes anémiées. Il les tient bien serrées et ses pieds chaussés de pantoufles ne touchent pas terre. « C’est peut-être un enfant ? » me dis-je en douce. Seuls ses petits doigts noirs boudinés serrant maladroitement le journal trahissent sa couleur. Je lui donne donc le surnom de « pygmée ».
À ma droite à 45° et à la droite de la dame qui nous tourne le dos, une dame qui a un chapeau avec des oiseaux vivants attachés par les pattes. De temps à autre, un oiseau cherche à s’envoler, mais il retombe inexorablement sur le chapeau en jurant comme un charretier mal embouché. L’un des trois oiseaux pend lamentablement sur le bord du bibi, tenu par une patte attachée. De temps à autre il est pris de soubresauts alors la dame lève la main pour le remettre sur le chapeau mais il ne tient jamais bien longtemps. Je lui accorde le doux nom de « pervenche » Le lévrier susurre sans même se donner la peine de lever le museau : « Si c’est pas malheureux ! ». Je sursaute un peu, histoire de marquer le coup, mais sans plus.
Personne ne semble avoir prêté attention à la remarque du lévrier. Je demande au singe : « Il s’appelle comment votre chien ? » C’est le chien qui me répond : « Ata-Truc ». Personne ne moufte ! Je continue et termine mon tour de salle en lorgnant vers la dame élégante qui est à ma gauche à 315° et à gauche de la dame qui a le dos tourné. Elle est roide sur sa chaise, engoncée dans un grand manteau sombre, le cou entouré d’une fourrure naturelle de bichon. Son visage anguleux est plâtré de fard, ses petits yeux chafouins disparaissent sous de lourdes paupières lestées de pâte épaisse qui coule jusqu’à ses cils courts noircis au khôl de Monoprix. Son nez évoque Pinocchio et son chapeau Don Quichotte. Je l’appelle « la fée Carabistouille » parce que ça rime avec citrouille. « Et toi, tu t’appelles comment ? » Me demande le chien. « Yfig » Le singe tance son chien : « Tais-toi Ata-Truc, ne dérange pas le monsieur ! ». Moi : « Mais il ne me dérange pas. » « Laisse tomber ! il ne parle pas aux étrangers ! » Me répond le klébar. Tata Baluchon, qui nous tourne le dos, m’interpelle : « Vous êtes là pourquoi, monsieur Yfig » … et elle dit ça avec une espèce de dégout perceptible dans sa voix, surtout sur le ‘monsieur’. A ce moment un oiseau tente de s’échapper et retombe sur le chapeau avec un grand : « MERDE ! ». Moi : « Je suis venu consulter le psy parce que j’entends les objets, les légumes, les animaux … parler. » Le pygmée me lance d’une voix de basson : « Et en quoi ça gêne ? » Moi : « Oh pour tout plein de choses ! » La fée Carabistouille parle d’une voix suraigüe sans bouger les lèvres, un peu comme une ventriloque : « Comme ? » « Eh bien, par rapport aux autres, je passe pour un dingue. » La pervenche s’en mêle : « Passer pour un dingue aux yeux des fous, ça n’a pas d’importance. » Le lévrier se grattant le cou : « Faut pas prêter attention aux humains ordinaires, ils n’ont rien dans le crâne, tout ce qui n’est pas comme eux, banal, les horripile et les rend racistes ! » Le perroquet ajoute, pendu tête en bas à un barreau : « L’homme est un animal qui s’ignore, il ne parle pas avec les autres animaux parce qu’il est imbu de sa soi-disant supériorité mais dans le fond c’est le plus con de nous tous ! » Après un silence éloquent, je tente un timide : « Il y a un autre inconvénient majeur … » Tout le monde se tait. Le journal tremblote plus fort. Le chien fait un pet malodorant mais en harmonie avec sa puanteur naturelle. Le perroquet s’épouille, tata Baluchon renifle bruyamment et Pervenche remet l’oiseau qui pend sur son chapeau. La fée Carabistouille se lève et prend une revue de mode sur la table basse et se rassied en silence. Moi : « Ça ne vous intéresse pas de savoir ? » La voix de la Mamma se fait entendre pour la première fois. C’est une voix d’outre tombe, une voix glacée comme un iceberg qui vous donne des frissons jusque dans les tibias : « On le sait déjà. » Vlan ! Je me renfrogne et garde pour moi mes extrapolations. Au bout d’un moment, tata Baluchon demande : « Lafleur, vous avez fait des progrès depuis la dernière fois ? » J’attends de voir qui est ’Lafleur’ ! Le vieux monsieur que j’ai surnommé ‘le singe’ ouvre enfin la bouche. Sa voix est solennel, sourde, lente, avec des pointes d’accents aigües qui me font penser à des baïonnettes : « Affirmatif ! Le docteur fait du bon boulot, bonne tactique, fine mouche et Scaramouche. » Le chien : « Ouah ouah … gaaaarde à vous ! » « Merci monsieur le ministre de la défense. » Les congratule tata Baluchon. Tata Baluchon : « Et vous monsieur Mamadou Pape Ben Jamal Al Arabia, mon cher ministre de l’économie, qu’en pensez-vous ? » La Pygmé lui répond de derrière son journal : « Un peu cher, monsieur le président, mais ça vaut le coup si on tient compte du retour sur investissements ! » Monsieur le président ! ? voilà la tata devenue un monsieur ! Le président : « Et vous madame la ministre de l’écologie ? » La Pervenche avec son chapeau aux oiseaux lui répond : « Certes, ça manque un peu de vert mais le respect de la nature est présent, nul ne peut le nier ! … surtout dans le jardin ! » Le président : « Madame Pouzzi, ma très chère ministre de la jeunesse et des sports, vous avez bien un avis ? » La Mamma se fend d’un généreux : « Euh …. » Et le perroquet du Gabon la soutient d’un : « On a connu mieux …. Mais c’était plus cher ! » Ça n’a pas l’air de faire plaisir au président qui se mouche très bruyamment ! Le président : « Il ne reste plus que vous, madame la ministre de la culture qui n’ayez pas donné votre point de vue ! » La fée Carabistouille se lève, solennelle et constipée : « Comme disait Jean-Patrick Valesoleil, ‘les prix du carburant suivent souvent la courbe des produits minéraliers qui dépendent de l’extraction en mer du Nord avec la dimension subséquente de l’anthropomorphisme périculaire circonvulatoire des instituts de conservation des arts séculaires.’ Et je suis du même avis ! » Le président : « Ouais ! Pas la peine de se demander pourquoi je vous ai mise à la culture ! Au prochain remaniement, je vous mets à l’agriculture ! » Le chien se lève, s’ébroue et dit : « Jean-Patrick Valesoleil est un con ! » La fée Carabistouille lui rétorque : « C’est celui qu’il l’dit qu’y est ! » Le président : « Je suis bien déçu, je ne vous entends pas parler de l’emploi ! ». Le pygmée : « C’est Lamaison la ministre du travail. » Le président : « L’emploi est l’affaire de tous, c’est la priorité des priorités je veux créer une commission chargée de trouver de nouvelles voix contre l’emploi pour le travail et le chômage. » Le pygmée : « Vous voulez dire contre le chômage et pour l’emploi ! » Le président : « Au lieu de faire le malin, débloquez-moi des crédits pour ma commission anti-chomedu ! » Le pygmée : « Où voulez-vous que je trouve l’argent, les caisses sont vides et l’écologie nous empêche d’exploiter nos mines de protoxyde d’azote ! » La Pervenche ministre de l’écologie avec son chapeau aux oiseaux lui répond : « Vous vous croyez drôle avec votre gaz hilarant (*) ? » Le président : « Vous n’avez qu’à prendre l’argent des militaires qui ne servent à rien en temps de paix ! » Le singe : « Prenez garde que la Russie ne nous fasse le coup de la Crimée, vous savez bien que les slaves ont le sang chaud et le vin mauvais. Dépouiller la défense c’est livrer la France aux convoitises des tyrannies. » Le pygmée revient à la charge : « De toute façon, vous savez bien, monsieur le président, que le patronat préfère que l’État paie le RSA aux inactifs plutôt que de leur donner du travail qui coûte plus cher à cause des cotisations sociales, des RTT et des congés payés. » Le président : « ce n’est pas faux, mais il faudrait que les patrons paient le RSA plutôt que le gouvernement. »
Vous vous imaginez bien que je suis dans mes petits souliers, je me demande de quoi il retourne, si c’est du lard ou des cochonnailles ? La porte s’ouvre le la blonde bleue appelle : « Monsieur Yfig » OUF ! Sauvé par le gong, par la blonde peroxydée aux yeux bleus cérulés.
(*) le protoxyde d’azote est aussi appelé gaz hilarant.
C'est jamais que 50 X (60/100) = 30% des inscrits.
Ne me dites pas que les élections
N'intéressent pas les cons !
Quand on n'a le choix qu'entre un pourri
Ou un dégueulasse
Que voulez-vous qu'ils fassent ?
100%
Ni Lénine, ni Staline, ni Poutine
N’ont réussi pareil score !
Et même en Afrique
On n'a jamais vu ça !
Bravo bravi
Merci les députés,
Les sénateurs,
Les politiques
100% c'est tellement clownesque
Abracadabrantesque
Qu'on se dit que la démocratie
C'est juste une pitrerie !
Alors ... je ne sais pas ce qui se passe chez les FN, mais je peux te dire qu’actuellement, les municipalités, les communes, les régions et le ministère de la culture font des choix très très TRES discriminatoires et que la ploutocratie et le népotisme sont rois !
Les athées sont rejetés systématiquement.
Faut être chrétin ou muslim ou jewish ou bouddiste ou je ne sais quoi mais tout ce qui n'est pas lèche bondieuseries est annihilé !
Par contre, les riches sont invités par leurs banquiers qui leurs offrent des salles et des galeries avec le fric des autres clients.
Les municipalités offrent des salles et la main d'oeuvre aux membres de leur famille et aux amis.
Les régions font de somptueuses expositions, galas, spectacles .... pour les potes et les proches .... etc ....
Et le ministère de la culture .... c'est le top du top .... il finance des merdes qui rapportent GROS aux ami(e)s !
Alors, le FN, ne fera rien qui ne soit déjà fait. La différence c'est que ce ne seront peut-être pas les mêmes qui profiteront de la corruption.
Bon !
Après tout … je m’en fous …. Chacun pour soi et la merde pour tous !
Je reçois encore des propositions de contrats …. Bien entendu je suis incapable d’y répondre … mais bof … pourquoi pas … je serais comme les ricains … un vieux qui bosse pour ne pas sombrer dans la misère !!! Snifff !!!
Je suppose que c’est comme ça qu’on fini par se laisser aller … comme l’homme qui tombe à la mer, se bat, lutte, espère, s’arque boute, s’accroche, combat jusqu’à la limite de ses forces, au-delà même …. Et puis … finit par se résigner, se dire que c’est foutu, que la route s’arrête là qu’il faut savoir accepter la défaite et la mort.
Parce que vous comprenez … les français se jettent dans les bras de Marine Le Pen, ils sont si désespérés qu’ils s’abandonnent à la facilité qu’ils sont comme la grenouille qui lit sa mort dans les yeux du serpent et se laisse happer …
Parce que les Le Pen, ils ne sont pas différents des autres, ils vont profiter des fastes, se dérouler dans les ors de la République, se gaver aux buffets festifs des palais, rouler dans les carrosses, habiter dans des logements luxueux gratuits … faut pas rêver !
La solution n’est pas de se jeter à corps perdu dans la gueule du loup !
La solution c’est de reprendre les choses en main, de virer tous ces pourris et de reconstruire une véritable société démocratique et républicaine.
Mais comme ça va prendre encore des décennies et qu’il ne m’en reste pas tant à vivre …. Je vais vous laisser à votre suicide et profiter tranquille pépère de ma télé, de mes bouquins, de mes pantoufles, de mon jardin et même …. de mon vélo !
On me reproche de me réjouir du licenciement ou des démissions des uns et des autres dans les proches de Ruquier.
Fin de l'émission pour tous (autant de gosniqueurs informés de leur fin de contrat par SMS), démission de Natacha Polony, départ attendu de Caron ..... ça dégage sec autour de monsieur "je tiens ma légitimité de mon audience" !
Je me réjouirai volontiers de voir à la télé des émissions qui me fassent bander (les neurones de préférences).
Personnellement, je ne me réjouis pas des départs des uns et des autres, je me réjouis d'en être débarrassé sans pour autant être rassuré sur la suite ...
Qui remplacera ces deux ... comment dire ... sans être insultant ?
Bref !
Ce que je regrette le plus, c'est qu'au fil du temps, monsieur sa suffisance Ruquier ait pris la 'grosse tête' et se soit fourvoyé dans des relations létales avec des personnages d'un autre temps.
Il est devenu si satisfait de lui-même et si sectaire !
Il n'invite que les personnes de sa famille.
C'est devenu un Drucker bis ... d'ailleurs, il le remplacera peut-être sous les applaudissements des benêts quand l'hypocondriaque aura rejoins ses pairs dans les limbes austères.
La télé est un énorme mensonge et l'audimat est un maître bien ingrat car bien volatile et versatile.
Les règles imposées sont binaires et simplistes. Plus il y a de monde (estimé) devant son poste, plus le prix de la pub est élevé et plus la chaîne gagne de blé.
Elle est passée où la qualité dans tout ça ?
Certes, c'est plus facile de vendre de l'espace publicitaire que de la culture de masse ... mais qu'est-ce qui empêche de faire les deux ?
Ah ! Oui, c'est d'avoir des idées, de faire fonctionner ses méninges, d'inventer des concepts qui ne soient pas de simples publicités dans la publicité ... comment ils appellent ça, déjà ? ... la "promotion" ! Cette fameuse promotion qui fait que pendant une ou deux semaines on voit les mêmes guignols en boucle sur tous les plateaux qui viennent nous causer de leur dernier CD, de leur dernière pièce de théâtre, de leur dernier bouquin, de leur dernier film ... de leur dernier caca !
On s'enlise ... heureusement que le coq chante quand même les pattes dans la merde !
Tiens, d'ailleurs, à propos de chanter, y'a aussi les 'crochets' coachés à raison de quelques minutes par des 'vedettes' invendables payés la peau des fesses ... crochets dans lesquels la qualité n'a rien à gagner car (dixit les vedettes) ce qui compte, ce n'est pas le talent et la voix, mais la "flexibilité" ! Tiens ! Mais on croirait entendre le MEDEF !!!
Vous chantez faux, vous chantez des chansons imbéciles .... qu'importe du moment que vous êtes "flexible" ... promotion canapé, peut-être ?
Des émissions à la con ... il y en a toujours eu à la télé depuis qu'elle existe.
Mais il y a aussi eu de superbes émissions ! qui se font de plus en plus rares aujourd'hui !
C'est dû au fait que la vie est de plus en plus difficile car les politiques, hélas, ne sont pas à la hauteur et le pays va à vau l'eau, éparpillé par les scandales affairistes à répétition.
On n'en voit pas la fin.
Fin de civilisation, toujours ingrate à vivre.
Le plus amusant c'est qu'il y a un immense réservoir de talents ... mais tant que des Ruquier les ignorerons pour vivre en autarcie avec ses copines (de ch'val) et ses potes (âgés) ...
Il passera, nous passerons ... qui se souvient encore de Vercingetorix (*) ?
Et pourtant, les Celtes étaient en avance sur les romains, mais les gros bouseux de romains ont éradiqué les délicats gaulois pour une nouvelle civilisation qui disparut à son tour avant de laisser place à une autre .... et ainsi de suite !
Nous ne sommes rien, n'en déplaise à sa seigneurie Ruquier qui croit que c'est en se montrant indifférent à celles et ceux qu'on n'apprécie pas qu'on les fait disparaître.
« Ces maternelles appliquent la ‘pédagogie du neutre’, encouragées par le gouvernement suédois pour ‘lutter contre les stéréotypes du genre’ »
« Nous veillons à ce que les filles aient les mêmes possibilités, droits et obligations …
« Nous ne travaillons pas sur le sexe biologique mais sur le sexe social. Nous ne cherchons pas à changer les filles en garçons ou les garçons en filles. Nous souhaitons que cette ligne saute. Que filles et garçons investissent tout l’espace à égalité.»
« Nous sommes à Stockolm avec les enfants des écoles Nicolaigarden et Egalia. Ils sont assis en rond, sous un drapeau arc-en-ciel. »
Je voudrais tout simplement dire à monsieur (?) Chalandon qu’il ferait bien de se renseigner et d’aller rendre visite à quelques crèches et autres maternelles françaises car l’indifférenciation du sexe dans l’appropriation des jeux et jouets y est appliquée depuis plus de dix ans. Les jouets sont dans des bacs ou sur des étagères et les enfants se les disputent qu’ils soient garçons ou filles sans que les pédagogues interviennent (tant qu’il n’y a pas de sang partout).
La nouveauté n’est pas dans l’indifférenciation du sexe ni dans l’investissement de l’espace à égalité … ça c’est acquis depuis longtemps en France, dans les établissements publics et laïcs … non, la différence, c’est le drapeau qui pendouille mollement au plafond.
C’est la grande mode du moment, la lubie des parlementaires (qui s’en foutent du chômedu), le crédo de l’éduc-nat, le prêchi prêcha du gouvernement, la rengaine des synagogues, le blabla des gogues, la scie des mosquées, le train-train des cathédrales …. On naît sans sexe, c’est la suite qui détermine notre genre, ce qui explique qu’il y a des gouines (filles mâles) et des pédés (gars filles).
Ainsi, nous ne serions pas soumis au déterminisme floral.
Non, les garçons ne naissent pas dans des choux et les filles dans des roses !
En fait, nous sortons du néant pour nous retrouver dans l’anonymat du genre.
Si on nous fait jouer avec des poupées, on « devient » fille.
Mais … si on nous donne pour jouer des voitures …. Eh bien oui ! on « devient » garçon.
C’est t’y pas merveilleux ?
Avoir attendu 2014 pour apprendre que ce qui nous détermine c’est la loi du genre …. Boudiou !!! que de temps perdu !!!
Bon ! Comme toute doctrine, il y a quelques exceptions qui confirment la règle générale.
Ainsi, si on donne à une enfant indéterminé des poupées ET des voitures, on obtient un être hermaphrodite, à la fois garçon et à la fois fifille.
D’ailleurs, cette exception est aussi valable si on donne à l’impubère des voitures ET des poupées !
Alors, voilà qui explique bien des choses !
Éon, par exemple, a d’abord reçu des poupées … puis, on lui a donné des voitures ; ce qui l’a considérablement déstabilisé et a déterminé qu’il est resté indéterminé. On appelle vulgairement ce genre sans genre des « travelos ». Le dictionnaire, qui a été écrit avant qu’on découvre la loi du genre, en est resté à cette vieille définition du travelo : « homosexuel qui se déguise en femme. » Mais il faudra que ‘la caca des mies’ revienne sur cette description pour qu’elle devienne : « être de sexe indéterminé ayant joué dans sa jeunesse avec des poupées et des petites voitures et qui se déguise tantôt en homme, tantôt en femme. »
OH ! Ne croyez surtout pas que tout ce cirque (ça me rappelle la rue éponyme) soit anodin ! Que nenni !!! Tout cela est à dessein. C’est un enjeu essentiel, primordial destiné à modifier durablement notre société. Quand la loi des genres sera devenue universelle, que cette doctrine se sera définitivement imposée aux humains, il importera peu d’avoir un enfant avec un pénis ou un méat … les parents (conditionnés par la loi des genres eux-mêmes) auront tout loisir de faire de leur rejeton ce qu’ils voudront en leur mettant dans les mains des voitures ou des poupées ou les deux !
Bon ! Évidemment, il y a des grincheux qui grincent des dents contre cette doctrine, il y en a même qui vont (les terroristes !) jusqu’à retirer leurs enfants de l’école (qui est le principal vecteur de la doxa du genre). Franchement !!! Priver son enfant de cours de géo, de maths, d’histoire, de gym, de philo, de bio, de dessin … c’est pas humain et c’est pas comme ça qu’ils en feront des hommes, des vrais !
En fait, la société rejette tout ce qui est identitaire au sens ‘individuel’ du terme.
Un individu seul, face à la société, n'est rien.
Les gouvernements successifs de droite et de gauche ont, en trente années, imposé la règle communautariste.
Le but c'est de donner de l'eau (surtout du fric) à ceux qui représentent un intérêt commun face aux intérêts particuliers.
Pourquoi ?
Parce qu'un individu est beaucoup plus dangereux qu'une meute.
Dans un groupe bien identifié, on a un ou des leaders qui manipulent plus ou moins le groupe. Si on contraint le leader, on contraint le groupe.
Un individu seul a plus de liberté qu'un ensemble de personnes liées par une espèce de contrat moral (statut d'asso, par exemple) alors qu'un individu déterminé peut passer outre l'autocensure ... s'engageant à titre personnel il n'entraîne que sa responsabilité et n'a de comptes à rendre à personne (dans l'instantanéité).
Cette théorie a été élaborée à partir des exemples de l'histoire.
Notre société a été largement influencée par des penseurs qui parlaient à titre personnel tout en représentant des courants et en en générant d'autres.
Descartes, Kant, Hegel, Nietzsche, Rousseau, Montesquieu, Diderot, Voltaire, Condorcet ... et plus tard ... Yfig … ont marqué la société de leurs emprunte.
Mais quelle est l’emprunte des LICRA, SOS RACISTES, CRIF, MRAP … etc … toutes ces organisations largement financées par l’État.
Rien, nada, mafich … il n’y a pas de pensée structurante, juste des actes de contention à l’égard de celles et ceux qui ont l’outrecuidance de penser par eux-mêmes et le sacrilège de refuser les fariboles et autres calembredaines avancées par ces jean-foutres partisans.
C’est ça, le mal de notre siècle, l’attitude collective liberticide à l’encontre du « cogito ergo sum ».
Non, il n’est pas sain de penser par soi-même parce que dans ce cas, il est impossible de vous bloquer dans une case !
Vanneste nous parle de la France, pas des français, ‘du’ français.
Moi, je veux bien qu’on me traite de tous les noms, mais que cela se fasse d’homme à homme, pas d’homme à meutes. Je veux pouvoir défendre mes points de vue et les développer largement quitte à en abandonner certains au vu des arguments de l’autre. Je ne veux pas qu’on me dicte ma vie et j’emmerde les règlements, je les contourne volontiers quand ils sont une entrave à ma liberté de penser et de vivre comme je l’entends.
Aujourd’hui, on a besoin de savoir si celle ou celui qui parle adhère au PS, à l’UMP, au FN, au MODEM ou à tout autre formation parce qu’ainsi, on a quelqu’un de formaté, de prédisposé, de préjugé … on sait comment lui parler quels arguments lui administrer pour le faire rougir de honte de participer à tel ou tel parti ou groupe d’intérêts dont il endosse ipso facto tous les avatars, les casseroles au cul, les détournements de fonds, les forfaitures ….
Mais un mec tout seul qui dit un jour blanc et le lendemain noir puis qui dans un autre contexte défendra l’idée du gris, des nuances, des différences …. Ce type là notre société n’en veut pas, il est incontrôlable, ingérable, il ne représente que lui-même et lui-même ça n’intéresse personne !
J’en veux, s’il était nécessaire, pour preuve les œuvres éditées, les films tournés, les séries télé boudées. Les libraires et les éditeurs se plaignent, les réalisateurs se plaignent, les producteurs et les scénaristes se plaignent … pas tous, ceux qui, intégrés dans de puissants cartels, touchent les grosses subventions vivent heureux et cachés …. Mais tous ceux qui se plaignent ne distribuent, n’éditent que des trucs rabâchés, vus, revus, rerevus … des idéologies éculées d’un autre temps autres mœurs, des machins pathogènes, des trucs aseptisés et conventionnels !
Où sont les livres outranciers, les idéologies guerrières, les œuvres qui secouent le Landerneau ?
Que dalle !
Ah ! ça ! Des biographies des vedettes reliftées, des histoires de stars illettrées, de guerres lasses, de rebelles avachis, de renégats retraités, des bouquins de copains, des CV de nanas réalités de mes deux … on en a en veux-tu en voilà !
Alors qu’ils cessent de geindre et prennent des risques, des vrais.
Dans un interview J. Lang avance dans le désert sans son keffieh (plutôt kippa pour lui) et nous balance sans sommation :
"L'arabe est indispensable à ceux qui veulent travailler dans les pays arabes ..." et d'autres conneries totalement niaiseuses ...
NON, monsieur Lang, pour travailler dans les pays arabes, il faut avoir une compétence.
L'arabe ne peut servir qu'aux touristes qui n'ont pas peur de se faire prendre en otage.
Encourager l'enseignement de l'arabe en France, c'est encourager les arabes à ne pas faire l'effort d'apprendre le français.
Plus grave encore ....
La langue arabe commune, c'est le Coran.
Les arabes ne partagent pas une seule langue.
Au Liban, "kahoua bel laben" signifie "un café avec du fromage blanc"
Au Soudan, ça veut dire "un café au lait".
Le mot lait est "halib" ... sauf au Soudan.
Pour se saluer, il y a des formules communes comme "salam Ô alikoum O Allah m'a tulla", extraite du Coran et qui veut dire (en gros) "bonjour que Allah soit avec toi".
Les salutations
Soudan : kéf allac
Egypte : ézayac
Libye : chnou allac
En langue arabe, le mot train est traduit par "tchou tchou" parce qu'il n'existe pas dans le Coran.
Tous les mots que le Coran n'avait pas prévus sont ainsi des onomatopées ou le mot en langue étrangère qui vient s'incruster dans la conversation.
Apprendre l'arabe, c'est apprendre une langue incomplète, obsolète, inutile pour la vie pratique et professionnelle ... sauf pour ce qui est de la culture personnelle et de l'amour de la sémantique et de la poésie car les poètes arabes sont de TRES grands poètes.
J'adore l'arabe, mais je ne le conseillerai jamais comme seconde ni même troisième langue. On ferait mieux d'enseigner le latin et le grec ...
le dictionnaire complet de la langue française contient trois cent mille mots ... le grec en contient près d'un million ! Le dico arabe .... quelques milliers !
Faut arrêter de débiliter les citoyens afin de les rendre assez cons pour s'écraser !
Quant à l'enseignement universitaire, c'est l'enseignement du Coran .... on va donc faire un enseignement RELIGIEUX !
Allez vous faire foutre monsieur Lang, vous êtes vraiment un pauvre type !
Et d'ailleurs, vous avez mené l'IMA à la faillite ... comme notre pays ... c'est tout ce que vous et vos amis savent faire !