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Yfig ex nihilo - Page 140

  • A mon ami Nicolas


    Mon bien cher ami,

     

    je vous saurais gré de bien vouloir intercéder auprès des impôts de mon bled afin qu'ils arrêtent de me faire chier.

     

    Si vous pouviez, également, pendant que vous y êtes, expliquer aux notables de mon bled qu'il faut pas qu'ils me fassent chier trop longtemps .....  !

     

    Bon ! mon épouse et moi comptons vous inviter, ici, chez nous pour passer 2 jours et demi.

    Nous vous ferons visiter le champ du gros con de voisin, nous vous emmenerons voire le petit ruisseau en bas de notre petit bois de chardons pour que vous puissiez constater par vous-même qu'il n'y a plus un seul écrevisse (et ceu depuis bientôt dix longues années!)

    Nous vous conduirons à Honfleur pour que vous puissioez constater de vos propres yeux qu'on est envahis par les parigos têtes de veaux et les parisiens têtes de chiens !!!!!

     

    vous pourrez m'assister dans le déserbage du potager et le débouchage de la fosse septique.....

     

    Vous ne vous ennuirez pas une seconde et vot'dame pourra cueillir des pissenlits pour qu'on en fasse une bonne salade bio et vos enfants pourront se tremper dans la mare aux tétârds.

     

    A bientôt très cher ami ! 

  • Dans la série : les citations qui ont du jus .....

     

     

    citation : "c'est beau un blog la nuit  "

     

    Oui ! à condition que le bar reste ouvert !!! 

     

    C'est Eddie Constantine  (Lemy Caution) qui m'en entretenait pas plus tard qu'hier au comptoir du "goëland qui pue qui pète", le bar littéraire de la 'croix sauzaye' (14600) non loin du 'gros chêne'.

    Tout le monde sait que depuis plusieurs semaines, tout ce que le monde littéraire compte de sommités  se retrouve dans ce lieu propice à toutes les formes de créations intellectuelles.

     

    Dimanche, au soir de l'élection du nain de jardin fouettard, les libres penseurs tireront un coup de kalachnikov dans le bosquet qui jouxte la terrasse du bouiboui et dans lequel se terrent les homosexuels exilés ou bannis de notre mère patrie.

    Ensuite, ils se rendront en procession jusqu'à la petite chapelle (maquillée en local EDF) près du calvaire de Saint Tralalaire le protecteur des chasseurs d'enculeurs de mouches qui fut émasculé après avoir violé Sainte Gonorrhée mortifaire et anthophage.

    C'est dans l'arrière cour de la petite chapelle que seront enterrés les corps de tous les déviants qui auront été sauvagement abattus dans une fureur qui n'aura eu d'égale que la liesse conjointe à la nomination du très vénéré Sarko le sauveur de la France, du saucisson d'Arles, de la brioche d'Yvetot et du jambon de clamecy.

     

    Vive la France, le port salut et les couilles de tritons ! 

     

  • Lolotte (3)

    Voilà, les mois ont passés, nous vivons dans une espèce d’harmonie contractuelle morale, nous n’avons jamais rédigé quelque ‘règle du jeu’ que ce soit, tout se passe au jour le jour, à l’improviste et à l’improvisation.

    Oh ! Il m’est bien arrivé d’avoir certains doutes, en particulier au début, lorsque Lolotte cassait assiette sur assiette, verre sur verre, je me demandais si elle ne faisait pas cela pour éviter d’avoir à faire la vaisselle, mais , les jours passant, et les incidents surprenants se succédant, j’ai fini par comprendre que sa maladresse n’était pas feinte. Quand elle ne se cognait pas dans un meuble, c’était pour glisser dans les marches, quand elle ne renversait pas son verre à vin, c’était pour renverser la poivrière dans un plat, ou se laisser tomber la casserole de lait bouillant aux pieds …

    Sans compter ses ‘bons mots’ qu’elle doit récolter dans l’Almanach Vermot et qu’elle transforme au gré de ses humeurs.

     

    Lolotte a des amies dont jamais elle ne me parlait,  jusqu’au jour où je suis resté à l’appartement, terrassé par une vilaine grippe. Lolotte était partie sans s’apercevoir que j’étais resté au lit. Je dormais, essayant de soigner cette foutue grippe qui me faisait délirer et rêver d’illuminations psychédéliques aux murs de la chambre.

    J’étais dans un semi coma, et c’est le bruit grinçant de la porte d’entrée quand on l’ouvre qui m’a alerté, puis les éclats de voix qui m’ont définitivement éveillé. Lolotte avait dû se cogner encore et pestiférer contre un meuble innocent.

    Je me suis levé péniblement, ai enfilé tant bien que mal mon kimono de soie noir avec le dragon polychrome dans le dos, et, après avoir chaussé mes pantoufles avec un petit ours sur le dessus, je me suis traîné jusqu’à la porte fermée du salon. J’allais ouvrir, mais je compris que Lolotte n’était pas seule, les commères s’en donnaient à cœur joie. Des voix que je ne connaissais pas papotaient à tout va dans une touchante allégresse.

     

    -         Ben on peut dire qu’t’es bien installée, Lolotte, te voilà dans tes meubles !

    -         Ouais, tout l’confort, eau chaude et gaz à tous les étages.

    -         Dis ! Ton Yfig, il l’aurait pas une petite place pour moi ? Je lui fais tout gratis si y m’invite.

    L’une d’elle, regardant certainement l’un de mes tableaux au mur :

    -         C’est lui qui peint ça ?

    Je reconnus la voix de Lolotte :

    -         Bon, les filles ! calmos ! d’abord le Yfig c’est un teigneux, vous vous entendriez pas avec lui, même moi qu’est plus grande que lui, m’est arrivé de prendre des gnons quand y renâcle !

    Les filles :

    -         Non !?

    Lolotte :

    -         Ben c’est comme j’ai l’honneur de vous l’dire ! l’est pas toujours dans ses bons jours.

    Derrière ma porte, je me dis qu’elle était folle, je ne l’ai jamais touchée, ou alors, je ne m’en souviens plus, ou alors, elle m’avait vraiment poussé à bout !

    -         T’es pas partageuse, Lolotte !

    -         On va pas l’bouffer ton Yfig !

    -         On veut juste le goûter un peu !

    Lolotte :

    -         Oui, ben avec toi, on sait ce que ça veut dire !

    Elles se marrèrent.

    -         Qu’est-ce que je vous sers, les filles ? C’est Yfig qui régale !

    -         Qu’est-ce qui propose ton Yfig ?

    -         La boisson maison, pastis, ou un calva, y a aussi du Martini, de la suze et du vin de première qualité.

    -         C’est quoi, première qualité ?

    -         Du bon, bien sûr !

    -         Il l’a pas du punch planteur ?

    -         Oui, j’y pensais plus.

    Et voilà la Lolotte qui régale ces dames sur mon compte. Je me permets alors un truc pas trop honnête, mais ma curiosité l’emportant sur ma prudence, je risque un œil par l’entrebâillement de la porte. Je vois que les filles se mettent à l’aise. Elles se débarrassent de leurs souliers télescopiques en les envoyant balader à travers le salon, l’une se sépare de sa moumoute, l’autre n’hésite pas à jeter son sous-tif, grand comme des paniers à champignons, sur la télé, une autre encore épluche ses bas qu’elle jette par dessus le sous-tif.

    Je les observe en vitesse, elles sont trois en sus de Lolotte, une grande noire très maquillée, et deux blondes patine, une petite assez ronde et la dernière, celle qui s’est débarrassée de son sous-tif, possède une paire de seins d’une énormité, d’une profusion, d’une démesure, d’une disproportion outrageusement  surabondante. Ses mamelles n’étant plus retenues par le soutien-nénés, débordent du corsage ouvert laissant apparaître deux gigantesque mamelons noirâtres.

    Vite, je me cache, n’en pouvant mais d’un tel spectacle, la sueur perlant abondamment de mon front et de mes joues, je m’essuie au revers de mon kimono.

    -          Lolotte, ma choute, j’t’assure, j’aimerais vraiment être à ta place.

    -         Peau d’zob, c’est moi qui me l’es trouvé, c’est moi qui me l’garde !

    -         Dis donc, un oiseau rare comme ça, ça dourt pas les rues !

    -         Ouais, des michetons on en voit tous les jours, mais c’est pas du délicat !

    -         Ah ! Les filles, j’vous ai pas raconté c’qui m’est arrivé c’t’aprem ?

    Les filles :

    -         Non !

    -         J’étais Boul’Mich’, mais pas en chasse, j’me rendais à mon cours de dessin …

    -         Tu fais du dessin, maintenant ?

    -         Mais non, je pose pour des artisses

    -         Ah bon !

    -         J’me dis comme ça que le p’tit à moitié chauve avec des yeux chafouins qui m’suis d’puis un moment, y doit avoir des idées de derrière sa fermeture éclair. Voir c’qui l’a dans l’imaginaire, j’me mets à onduler des fesses, méthode cul-ci, cul-çà. J’sens qui l’est à l’accroche, y quitte plus mon poster des zorbites…

    -         Comment tu fais pour t’apercevoir ?

    -         Ca, c’t’un secret !

    -         Allez ! sois pas bêcheuse, raconte.

    -         Ben, c’est tout bête, j’m’arrête devant une vitrine et j’le zyeute dans la glace. Bon ! savait pas comment m’aborder. J’lui donne sa chance, j’lui d’mande du feu. Y m’regarde tout bébête, y m’donne du feu, pis rien n’se passe.J’insiste, j’lui d’mande l’heure, y m’donne l’heure et pis c’est tout ! Alors comme j’vois qui s’décidera pas, j’l’entâme au cutter et j’lui dis : ‘Si jvous d’mande l’heure, c’est pour voir si j’serais pas en r’tard à mon rendez-vous’. ‘Ah !’ qu’y m’répond.

    Celle qui narrait sa petite histoire fait une pause. Elle boit un coup et s’allume une cigarette.

    Les autres :

    -         Alors ?!

    -         Il restait planté là d’vant moi qui savait pas quoi dire.

    -         Merde ! Qu’est-ce t’as fait ?

    -         J’lui dis à trac : ‘Vous avez d’la chance, j’sus en avance, alors si vous voulez qu’on boive un pot chez vous ?!’ - ‘Mais c’est que j’habite pas par ici’ -  ‘C’est pas grave, on peut aller à l’hôtel’ – ‘Mais j’en connais pas’ – ‘Moi, j’en connais plein’ . Il hésite, commence à reluquer ses pieds tout en se balançant de l’un à l’autre. ‘L’temps passe’, j’lui dis, ‘Si tu t’décides pas, va falloir que j’aille à mon rendez-vous !’ - ‘C’est qu’j’ai pas l’habitude, Mademoiselle’ - ‘Appelle-moi Irma, ça ira’ -  ‘Comme vous voulez, Mademoiselle Irma’. Allez hop ! Je fais ni une ni deux, j’le chope au bras et j’l’entraîne vers le plus proche, l’hôtel du ‘Cancre Las’.

    -         Tu lui parles pas du prix ?

    -         Attends !

    -         Ben non, justement, faut jamais attendre, c’est pas professionnel de pas annoncer la couleur !

    -         Ouais, mais j’avais oublié de vous dire qu’il était super bien sapé, le bougre, avec des grolles à au moins deux cents Euros.

    -         Ouais, ben c’est pas une preuve, ça !

    -         Bon ! Vous pouvez pas comprendre. J’continue. Donc, on marche en concert sur l’Boul’Mich’ et je commence à lui annoncer l’règlement ‘T’as les sous pour l’hôtel, au moins ?’ -  ‘Oh ! oui, Mademoiselle Irma, faut pas vous tracasser pour ça.’ -  ‘Pis y a pas qu’l’hôte, faut qu’tu réalises que moi, j’perds un rendez-vous qui m’rapporte de quoi m’nourrir’ -  ‘Oh ! Pour ça non plus, faut pas vous tracasser, Mademoiselle Irma.’ Du coup, comme y me d’mande rien sur mon tarif, j’me dis comme ça qu’y va morfler un max !

    -         Ouais, j’savais bien qu’t’es pas une godiche !

    -         Sauf que ces deux là, elles savent jamais attendre la suite avant d’critiquer.

    -         Bon !, dis, Alors ! T’en as fait quoi d’ton Roméo ?

    -         OK, j’vous passe les détails, l’assemblée s’impatiente. Donc, j’me désape, j’lui fais un p’tit coup de ‘strippetize’, t’aurais vu ses zorbites ! complètement ès-zorbitées ! Je me jette dans le lit en m’déroulant comme une chatte qu’a ses chaleurs …. Et l’v’là qui s’met à chialer comme un môme. ‘Je suis puceau’ qu’y confie entre deux sanglots. Merde, à c’t’âge là !!! ‘Bon ! Ecoute, c’est pas un drame, l’problème, c’est qu’pour un service comme ça, ça va t’coûter l’juste prix !’ Il redouble sa chialerie, et là, j’me dis qu’y va m’demander ça comme un service, comme une B.A., une faveur ou un bienfait, alors, avant qu’il ouvre la bouche, j’lui balance : ‘Ca s’ra cinq cents Euros’. Hop ! ça lui arrête les sanglots comme s’il aurait avalé une arête de poiscaille ! J’en rajoute une couche ‘Cinq cents, c’est pour le travail, le service n’est pas compris !’. Y m’regarde avec ses grands yeux rouges d’un air ‘inter-OK’. Je précise : ‘Le service, c’est au cas ou tu t’déciderais pas, ça servira à rembourser mon déplacement’. En même temps, j’lui mets mes nichons bien en évidence sous l’nez, histoire qu’il ait un avant-goût. Il tend la main, j’lui tape dessus ! ‘Eh là ! Pas touche ! faut d’abord qu’tu passes ta commande et qu’tu paies les arrhes.’

    C’est à ce moment que j’ai bougé mes pieds tout ankylosés par ma position statique, et mes chaussons ont émis un chuintement, en traînant par terre, que ces dames ont aussitôt perçu.

    -         T’as entendu ?

    Lolotte :

    -         Ouais, ça doit être les voisins du d’sus, on les entend comme si y z’étaient dans l’appart.

    -         On aurait bien cru qu’ça v’nait de derrière la porte !

    Un silence opaque s’en suivit pendant lequel je cessais de respirer.

    -         Non, y a rien. Allez, continue ton histoire, Irma, tu l’as débridé, finalement ?

    -         Ca a pas été aussi facile, parce qu’il n’avait pas suffisamment de fraîche sur lui, alors il a fallu descendre, donner des gages au gardien d’l’hôtel, aller à la pompe à fric, revenir, et le remettre en condition, et, surtout, lui faire casquer son fric avant d’passer aux choses sérieuses.

    Irma fit une nouvelle pause pour vider son verre et allumer un autre clop.

    Moi, je n’en pouvais plus, j’avais vraiment envie de retrouver mon plumard et me recoucher, mais je craignais que le moindre mouvement n’éveille la vindicte de ces dames, et du coup, je restais coi dans ma position qui devenait de plus en plus inconfortable, insupportable.

    Ouais, je sais que vous vous en foutez, que ce qui vous intéresse, c’est la fin de l’histoire, seulement voilà, j’en fais partie, moi, de l’histoire, et je ne vois pas de raison pour que je ne vous fasse pas part de mes petites misères, que je ne vous raconte pas dans quelles horribles conditions il m’a fallu tenir pour être en mesure, aujourd’hui, de vous narrer tout ça.

    -         Alors, Irma, on t’attend, on t’écoute, raconte !

    -         Vous y tenez vraiment ?

    -         Ouiiiiii ! Qu’est-ce tu lui as fait ? Comment tu l’as fini ?

    -         Vous z’allez être déçues !

    -         Merde ! Irma, te fais pas prier, raconte et pis c’est tout !

    -         OK, OK ! Bon, j’ai mis le fric en sûreté, et pis j’l’ai attaqué. J’y ai fais la vierge effarouchée qui brûle un cierge au p’tit Jésus, la chevrette qu’a pas peur du grand méchant loup, les trois p’tites cochonnes qui cherchent le p’tit Poucet partout, la sorcière qui croque les pommes, la baguette magique de la fée Carabosse qui transforme le radis en concombre, le grand-huit qui fait des nœuds, la machine à essorer les carottes, les chutes du Niagara en son et lumière, la p’tite marchande d’allumettes qui prend feu, et il a fini par rendre les armes, et ça n’a pas duré plus d’cinq minutes et en fin de compte, je m’es resapé vite-fait, j’l’ai laissé là tout putois et j’ai pas arrivé en retard à mon cours d’art plastique.

    Comme elles s’étaient mises à parler toutes ensembles, à commenter en long en large et en détail le super coup d’Irma et a en rire, j’en ai profité pour opérer une retraite stratégique vers ma chambre.

  • Pour qui voterez-vous .............. dans 5 ans ????

    Et voilà !

    Vous avez poussé Sarko/Ségo sur le ring et maintenant vous commencez à comprendre qu'on vous a baisé !!!!!

    fallait y penser au premier tour !!!!!

    Un mec comme chie-var-dit, par exemple, il a de très bonnes idées, il défend la chasse d'eau et la pêche melba !

    Et l'aiguillleuse-ravaudeuse de la LCR (Les Convaincus Rabougris) elle est pas mimi dans sa petite robe vichy ?

     

    Allez, pleurez, vous en avez pour cinq nouvelles années ..... et dans 5 ans, vous recommencerez !!!!!


    vive le peuple, vive la langue de boeuf et vive les ris d'veau !!!!!

  • Cherchez l'erreur dans l'Europe .........

     


     

    Retrouvez la légende d'Europe à cette adresse : 

     http://www.pheniciens.com/persos/europe.htm

     

    LULU a tout compris et nous fait une offre alléchante :

     

    Offre Promotionnelle valable dans les conditions suivantes:

    Prix en euros applicable dans l'Union Européenne. **
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    * Coût à bas prix pour un article. Offre valable du 27/04/07 au 27/07/07.

    **L'Union Européenne est constituée des pays suivants: Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, République Tchéque, Danemark, Estonie, Finlande, France, Allemagne, Gréce, Hongrie, Irlande Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Hollande, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Espagne, Suède.

     <>


     

      <>Cete offre spéciale permettra aux créateurs de vendre plus d'œuvres et aux acheteurs de profiter de plus de produits Lulu.   

     

     

     

     

    J'espère que vous en profiterez, c'est pas tous les jours la fête du travailà rien foutre !!!

    Heureusement, nicolas va nous faire bosser 50 heures et ce jusqu'à 75 ans .....; comme aux Etats-Unis d'Amérique !!!!! 

  • Un bilan après une année de blog

    Bon !

    Hautefort ne donne pas des masses de stats, juste les visites par jour et par mois.

    J'ai donc procédé à une savante addition que je vous présente :

     

    Mars    2006                  68

    Avril                            163

    Mai                             117

    Juin                             82

    Juillet                           81

    Aout                            122

    Sept                             92

    Oct                              101

    Nov                             182

    Dec                             162

    Janv     2007                 20

    Fev                             338

    Mars                           806

    Avr (27)                      791

     

    Total                         3325

     

     

    Je vous laisse en tirer les conclusions que vous voulez, mais je dois dire que c'est depuis mars que ça décolle pour la raison que j'ai plus de temps disponible.

    Vous pouvez faire des courbes, des camemberts, des calculs vertigineux pour obtenir la moyenne statistiques de l'âge maximum de mes visiteurs-lecteurs (putain ! j'espère qu'ils lisent!!).

    Janvier 2007, ça a été la disette totale !!! juste mes 20 plus fidèles et assidus fan ! quoique, pour les plus doués en maths, 20 visites sur 31 jours que compte le mois ......

    bref ! vos visites m'encouragent, alors venez plus souvent, plus nombreux (raccolez vos potes et vos ennemis - surtout vos ennemis) même si il n'y a rien à lire, juste pour le plaisir de faire péter les stats !!! 

     

    la bises aux fifilles et un bonne bourre bien virile aux mecs ..... et un clin d'oeil pour iPidi et ses amants ! 

  • La maison de qui ? la maison de quoi ? vous avez dit artistes ?

    Monsieur Rémy Aron va pas être content !!!!!!

     

    Attention !!!!

    une MDA peut en cacher une autre !

    Il y a la MDA chargée de collecter les cotisations de sécurité sociale

    et l'association MDA qui est une association qui tire profit de l'ambiguïté de noms pour se mettre en positon d'incontournable alors qu'il n'y a aucune obligation d'y adhérer !!!!!

    Article expliquant la différence entre l'association et l'organisme officiel chargé de collecter les cotisations sociales :
    http://www.caap.asso.fr/IMG/pdf/L_info_Noir_no_34.pdf


    http://www.secuartsgraphiquesetplastiques.org

    pour la sécu et

    http://www.lamaisondesartistes.fr

    Avouez qu'il y a de quoi se sentir mystifié !!!

     

     

     

    La seule vraie organisation chargée de collecter les cotisations de sécurité sociale pour les artistes est celle de la rue de Flandre,
    l'autre n'est absolument pas indispensable !!!!!

    La Maison des Artistes est située :
    90 avenue de Flandre
    75943 Paris cedex 19
    Accès métro : ligne 7 - station Crimée
    Accès bus : ligne 60
    Pour nous contacter
    Téléphone : 01 53 35 83 63 du lundi au vendredi
    Fax : 01 44 89 92 77
    le matin : de 9 heures à 12 heures
    l’après- midi : de 14 heures à 17 heures,
    sauf le vendredi : 16 heures

    Notre serveur vocal vous permet de commander une documentation sur le régime de sécurité sociale des artistes auteurs.

    Pour déposer des documents hors des horaires d’ouverture au public
    Avant 9 heures 30 et après 16 heures 30, (16 heures le vendredi)
    Vous disposez d’une boîte aux lettres dans le hall de l’immeuble.

    Nos services d’accueil et d’information
    Nos bureaux d’accueil sont ouverts du lundi au vendredi :
    le matin : de 9 heures 30 à 11 heures 30
    l’après-midi : de 14 heures à 16 heures 30,
    sauf le vendredi : 16 heures.

     

     

     

    La confusion est savamment entretenue par l'association MDA qui cherche à capter les artistes mal informés pour leur faire payer des cotisations.

    Pour être officiellement côté et donc officiellement artiste, il faut vendre aux enchères avec un commissaire priseur qui déclarera la vente auprès des services fiscaux .... ce qui rendra l’artiste imposable et le conduira à cotiser à la MDA, l'autre, celle qui se substitue à l'URSSAF .... mais l’artiste peux aussi se déclarer directement à l'URSSAF !!

    Tout ce binz est entretenu volontairement pour piéger les amateurs qui ne comprennent pas qu'être professionnel, c'est vivre de son art et non pas VIVRE POUR SON ART !!!!
    ca fait quand même une sérieuse différence, non ?

    Alors, en résumé, vous bilez pas ! Faites des expositions tranquillement sans arrières pensées .... et si un jour vous devenez un grand artiste international .... alors, il sera temps de vous déclarer !!!!

    Monsieur Rémy Aron va avoir du mal à se remettre de sa déconvenue !!!

     

    Mais non, Monsieur Aron est parfaitement préparé à tous ces tremblements d’artistes, il sait que son organisation traversera les âges sans le moindre anicroche !

     

  • LE CERVEAU

    Ce soir sur France 2, à 20 heures 50 et des brouettes …….

     

     

    LE             CERVEAU

     

     

     

    Les invités :

    Des tas de guignols qui n’en n’ont pas !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

     

    Domino me pose la question qui tue :

    -                    « et alors ! pourquoi ils t’ont pas invité ? »

     

    Moi :

     _     « Parce que j’en ai un !!! »

     

    M.D.R.

     

     

     

     

  • Le second tour approche .... et moi .... je stresse !!!

    J'avoue très humblement avoir un sérieux problème pour voter.

     

    J'ai eu ce problème au premier tour, ce qui m'a joué un vilain tour, et je crains fort de retomber dedans au second !!!

     

    Mon stress ne cesse de s'amplifier à l'approche de cette terrible échéance !

     

    Quand j'ai pris les bulletins de vote, ces petits bouts de PQ blancs, il n'y avait dessus que des noms propres (enfin ... propre .... on peux pas voir le fond de leurs culottes ... et encore moins le fond de leurs pensées .... encore qu'on devine, on devine ...) ...... mais ...... putain ..... rien d'autre ... !!

     

    J'ai retourné chacun des bulletins à plusieurs reprises car je n'en croyais pas mes mirettes !!!

     

    Rien, nada, le néant (comme celui du blablateur ... le Pennec .... néhantissime ) plus une seule promesse !!!!!!!!!!!!!!!

     

    Nous aut' à la campagne, on connaît ça par coeur : les paroles, ça laisse pas de traces, y'a que les écrits qui restent !

     

    Alors ! pourquoi qui mettent que leurs noms et pas la liste de leurs promesses .... comment je fais, moi, pour voter sérieusement, rigoureusement, avec discernement ??????????

     

    Qui c'est qui m'a promis que j'aurai du boulot ?

    Qui c'est qui m'a promis que je paierai plus d'impôts ?

    Qui c'est qui m'a assuré que j'aurai une retraite dorée avec des émissions dosées à la télé ?

     

    Merde ! qui ............. qui à dit quoi ????

     

    Oh! et puis font chier !!!

    J'les ai tous mis dans l'même panier ... c'est à dire l'enveloppe torche-cul de monoprix, une espèce de papier mâché de mauvaise qualité qui laisse pas auguré qu'on sera riche bientôt !

     

    Voilà !!!!  J'ai mis tous les noms ensemble et y z'ont qu'à se demmerder entre eux pour se souvenir lequel m'a fait le plus de belles promesses ..... j'ai même pas eu besoin de me cacher derrière ce ridicule rideau qui ne laisse voir que les jambes !

     

    Et la prochaine fois, j'envisage sérieusement, rigoureusement, consciencieusement et fidèlement de faire exactement de même.

     

    Vive la France et vive le pastis 51 !

     

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  • Vivre à la campagne ....

    Contrairement à  une idée reçue, vivre à la campagne n’est pas toujours de tout repos.

    La lettre qui va suivre vous convaincra, j’en suis sûr, qu’il faut parfois se remuer le cul pour s’assurer la juste quiétude méritée de cette belle et verdoyante campagne.

    Voici cette missive de ma faconde en espérant qu’elle vous inspire si vous aussi, êtes les innocentes victimes de nuisances.

     

    Yfig                                                    ABLON le  22 avril 2007

    taratata

    14 ABLON

                                                   A         Monsieur machin

                                                               Maire de la commune dAblon

                                                               Mesdames et messieurs les Adjoints et Conseillers

                                                               (Courrier remis en main propre à la mairie ce jour)

     

    Monsieur le Maire,

    Mesdames et Messieurs les adjoints et conseillers,

     

    J’ai porté à votre connaissance dans le courant du mois de juin ou juillet 2006 la situation alarmante de notre chemin de Grande Randonnée le long  duquel notre maison est construite (depuis 1984).

     

    Je vous alertais, alors, sur différents risques que faisaient encourir aux randonneurs et aux habitants de ce sentier (qui se sont également manifestés) la circulation d’engins motorisés de toutes sortes, depuis la moto tout terrain jusqu’aux engins hors gabarit de chantier.

    Risques d’autant plus élevés que le sentier est de pierrailles, interdisant, même aux véhicules équipés d’ABS, un freinage rapide en raison du risque de dérapage sur les gravillons.

    Ce sentier ne permettant, au mieux, que la circulation d’un seul véhicule et la densité sans cesse croissante de circulation à des vitesses de plus en plus importantes, les risques de collisions ne cessent de croître de mois en mois.

    Ce genre de collisions n’est rien en comparaison du risque de percussion avec des randonneurs si un conducteur venait à perdre le contrôle de son engin alors que le nombre de randonneurs est lui aussi en augmentation permanente.

     

    Tous ces mouvements motorisés sont cause, d’autre part, de fortes nuisances pour les 4 maisons que compte cette partie de sentier :  bruit et soulèvements de nuages importants de poussières qui nous interdisent de profiter du jardin.

     

    Nous sommes, évidemment très inquiets, bien que particulièrement vigilants, pour la sécurité de nos enfant et petits enfants lorsqu’ils s’engagent ad pédibus sur le sentier.

     

    Ma démarche auprès de votre conseil municipal est restée sans effet malgré les promesses de pose de panneaux interdisant la circulation aux véhicules motorisés sur ce chemin.

     

    Depuis mon intervention, aucune de vos promesses n’ont été tenues. J’en suis particulièrement étonné et révolté. Faudra-t-il donc attendre qu’un accident grave se produise pour que vous vous décidiez à intervenir ?

    Je ne comprends pas bien l’attitude qui consiste à promettre et ne pas tenir.

    Si vous ne pouvez rien faire, pourquoi, alors, nous avoir faussement proposé la pose de panneaux d’interdiction de circulation il y a de cela bientôt une année ?

     

    Je vous remercie de bien vouloir me répondre en me communiquant vos arguments afin que je puisse prendre les dispositions qui s’imposent afin de limiter les nuisances incessantes et persistantes dont nous sommes les innocentes victimes.

     

    Cordialement                                                                          Yfig