Certains comparent la gestion de l’État à celui d’une entreprise mais l'économie d'un pays n'est pas l'économie d'une société.
Ils font l'erreur et l'amalgame courant qui consiste à dire qu'il faut faire des bénéfices .... comme une SARL ou une SA.
C'est d'ailleurs ce qui est demandé aujourd'hui aux hôpitaux et à tout un tas d'autres services publics qui par nature coûtent sans rapporter.
Obliger les services publics à rapporter, c'est privatiser ces services publics et les rendre accessibles qu'aux riches.
Tiens, le ministère de la culture, par exemple, pourquoi on ne lui demande pas de rapporter ?
Ce ministère dépense à tire larigot sans rien apporter au public. Ses fonds vont à des trucs merdiques faits par des potes pour des potes. Les acteurs de cinéma, après avoir ruiné le filon se reportent sur le théâtre subventionné : même s'il n'y a aucun spectateur ils sont quand même payés. Ce qui les arrange bien parce qu'ils sont si mauvais que les cinémas sont vides et maintenant ils vident les théâtres. Le copinage, ça mène à ça : la désaffection totale du public qui n'est pas si con que certains le voudraient !
Tout le monde sait que le budget de la culture c’est le portefeuille de quelques initiés bien introduits (Comme Besson).
Mener un État, ce n'est pas gagner de l'argent c'est rendre l'argent des contribuables EFFICACE !
Payer très cher des ministres et leurs conseillers, des sénateurs, des députés, des hauts fonctionnaires et tout le toutim … ce n’est pas efficace, c’est de la dépense inutile car ils ne produisent rien si ce n’est des dépenses.
Un meilleur service de santé (avec une sévère correction des industries pharmaceutiques qui plombent la sécu. Un meilleur service de la défense avec des avions de combat efficaces et pas des avions qui remplissent la bourse des Dassault. Et des spectacles qui donnent au peuple de la joie, de l'intelligence et du plaisir.
Seulement voilà ! tout est fait pour que les potes s'en mettent plein les fouilles en faisant des prix défiant l'imagination et en pompant tout le fric via des sociétés de conseil qui n'y connaissent que pouic en dehors de faire marcher leurs pistons.