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l'économie expliquée aux SDF, RMISTES et autres in - Page 3

  • Le jour où la famille Le Pen et ses amis prirent la France en otage … Nathalie à poil

     

     

    Un certain jour du mois de mai 2017, les Le Pen prirent légalement le pouvoir en France. Aux élections présidentielles, Marine, la madone fut élue par 65% des français qui n’avaient pas vu venir le piège qui se referma sur eux. La preuve, aux élections législatives qui suivirent ce plébiscite, 72% des députés FN siégèrent à l’Assemblée.

     


     

    Oh ! Ne croyez pas que le FN fit un coup d’État ou une quelconque manœuvre pour déposséder le peuple de ses pouvoirs … que nenni, les nouveaux maîtres se contentèrent tout simplement d’appliquer la belle et joyeuse démocratie qu’avaient mise en place leurs prédécesseurs. Seulement voilà, ils poussèrent un peu plus loin le système totalitaire qui préexistait.

     


     

    Pourtant, de nombreux signes auraient dû alarmer les français.

     


     

    Il y a longtemps, les français s’étaient clairement prononcé conte l’Union Européenne dans la forme qui leur était imposée. Un certain Sarkozy passa outre le referendum et fit voter positivement les députés de droite comme de gauche contre l’avis du peuple.

     


     

    Après cette entorse à la démocratie, les choses s’accélérèrent progressivement.

     


     

    Les élus, pensant renforcer leurs pouvoirs se mirent en tête de décider seuls, sans consultation afin d’éviter les déboires d’un refus. Ils y prirent goût car cela leur permettait de prendre toutes les décisions qui favorisaient leur assise et donnaient des avantages et des privilèges exorbitants à leur  famille et amis.

     


     

    Untel décida de la construction d’un barrage, tel autre de la construction d’un aéroport ou de la vente aux chinois d’un aéroport … les décisions sensées asseoir définitivement leurs prérogatives et assurer leur avenir contre vents et marées se multiplièrent à l’infini.

     


     

    Dans un certain nombre de villes françaises on pu admirer l’élection de certains élus à 100%. Bien entendu ce n’était qu’un leurre lié au trucage du comptage des voix qui ne tenait aucun compte des abstentions ou des votes nuls. Mais ces belles unanimités d’apparat donnèrent des ailes aux dits  élus qui prirent toutes les décisions sans même en référer à leur conseil municipal …

     


     

    Les exactions des quelques élus FN qu’on pouvait alors compter sur les doigts d’une main, auraient du alerter les politiques de métier. Mais dans l’allégresse du moment qui flattait l’égotisme des élus de tous bords et de la majorité en particulier empêcha les uns et les autres de voir ce qui allait arriver.

     


     

    Une fois au pouvoir, les élus FN, sous la férule des Le Pen, reproduisirent les méthodes totalitaires de leurs prédécesseurs, taillant dans les droits des individus, passant des contrats de complaisance avec les grands groupes qui s’approprièrent les territoires, expulsèrent de leurs terres les agriculteurs et les propriétaires pour accaparer les ressources et les matières.

     


     

    Les bibliothèques furent fermées, les cinémas ne diffusaient plus que des documentaires propagandistes à la gloire du FN et de ses prises illégales de décisions, les codes furent réformés et très simplifiés puisque les parties devinrent les juges, les prisons se remplirent et les monuments historiques dépouillés de leurs biens meubles furent promptement transformés en prisons insalubres où mouraient chaque jour plusieurs centaines de prisonniers politiques ou allogènes.

     


     

    Les visas furent supprimés, les étrangers expulsés manu militari, les frontières se refermèrent après que la France ait quitté l’Union Européenne et changé l’euro par le bon vieux franc qui s’effondra sur les marchés internationaux. Seuls les membres officiels du FN purent encore rouler en voiture grâce à l’extraction du pétrole de schiste décidée sans la moindre concertation par Marine en personne …

     


     

    Le chaos s’établit pour longtemps en France, France qui désormais était scindé entre le nord et le sud. Le sud n’était plus qu’un huitième de la France. C’est là que le gouvernement avait pris place dans la bonne ville de Marseille, expurgée de tous ses étrangers.

     


     

    Le nord, dont les biens et les ressources étaient toutes détenues par la famille et les amis Le Pen, était devenu le centre de production des éléments essentiels à la vie bonasse des clans FN.

     


     

     

     


     

    Vous vous marrez ?

     


     

    Vous vous dites : « quel con ce Yfig, c’est pas possible son scénario, la constitution nous protège, la diversité des partis politiques implique la concertation, la consultation, la négociation … »

     


     

    Eh bien détrompez-vous, tout est tel que je viens de le décrire. Réfléchissez bien et vous verrez que j’ai raison, les gardes fous sont tombés les uns après les autres sous les coups des patrons et des financiers qui croyaient devenir à terme les seuls bénéficiaires de la disparition de la démocratie.

     


     

    Les grandes surfaces se multiplient et s’implantent sans le moindre problème dans des communes ne comptant pas suffisamment de clients pour en assurer la pérennité. C’est la concurrence à outrance, c’est à celui qui tuera l’autre sans que les élus qui accordent des permis de construire s’inquiètent des conséquences de leurs actes … et c’est ainsi dans tous les domaines, les magouilles se multiplient à l’approche de la mort de leurs privilèges. Qu’importe demain si aujourd’hui je peux en profiter ….

     


     

    Ce qu’ils n’ont pas anticipé c’est que les marges de  manœuvres qu’ils se sont forgées vont se retourner contre eux sans qu’ils puissent s’y opposer. La destruction systématique de la démocratie va certes nous tuer définitivement, mais ils n’y échapperont pas et seront les tous premiers atteints lors de l’heure de la revanche !

     


     

    Nos heures sont comptées, celles des élus actuels aussi. Au lieu de mettre en place les mesures institutionnelles et constitutionnelles qui pourraient nous préserver du totalitarisme, ils nous enfoncent dans l’anti démocratisme apocalyptique s’y complaisent et, même, s’en félicitent.

     


     

     

     


     

    J’espère me tromper et je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année …

     


     

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  • Rachadi dita à poil, Lavérie Wiertrieller à poil, lanhodle à poil, tata Baluchon …. On sait pas encore … elle fait sa soupe aux choux, vertuchou !!!

    Il faut apprendre à prendre son temps avant de débiter des conneries, c’est une vertu que je me suis auto enseignée et qui finira par porter ses fruits …. Un jour !

    Savez-vous ce qui manque le plus à notre humanité ?

    LA VERTU !

    vertu[vDYty]n. f.

    ÉTYM. 1080, «  courage, vaillance  », et aussi «  force physique; jugement, sagesse  »; les autres sens dès les xiie-xiiie; du lat. virtus, -tutis (accusatif virtutem) «  mérite de l'homme (vir); courage, énergie, vertu, perfection  ».

    Pensez-vous que notre microcosme politique connaisse ce mot, sa sémantique, ses concepts ?

    Que nenni !

    L’hommo politicucul contemporain est un être dénué de sens moral donc de vertu.

    Son dieu, l’argent, l’influence et le paraître aux yeux des proches et de la télé guide ses actes minute après minute et il se transforme en un millième de seconde en super héros comique ou en hyper casse-couilles sadique impudique !

    La semaine, il se repose dans sa maison luxueuse entièrement financée par l’argent public. Il vaque à ses occupations lucratives et tordues, préparant en catimini quelque coup tordu qui fera parler de lui dans le journal …

    C’est le dimanche, juste après la messe qu’il se réveille et se répand sur les ondes en paroles débiles et actions sordides.

    Cette plaie de notre société moderne tient sa science des anciens qui ont mis des générations de cons à établir leur supériorité ringarde et tient ses pouvoirs de l’oligarchie ploutocrate de la finance poisseuse.

    Certaines, plus douées que les autres, ont démontré qu’elles pouvaient s’abaisser vélocement au niveau des plus vieux et même les surpasser en ignominies crapoteuses.

    De  jeunes loups d’opérette n’hésitent pas à en faire autant.

    Bref ! Vous l’aurez compris, je ne porte pas les gens politiques près de mon cœur (mon portefeuille est toujours dans ma poche révolver car il faut pouvoir dégainer sa carte bleue aussi vite que Zeus le grand foudroie l’épine vinette de ses éclairs zigzagants).

     

    Une autre constante de la gente politique, c’est sa nature « tuyau de poêle ».

    Ils s’entre pénètrent à l’infini et peuvent former des kilomètres de creux zingués protéiformes donneurs de leçons aux citoyens atterrés de cette aberration  surnaturelle qui prétend résoudre les problèmes qu’elle n’a pas à subir.

    La promotion, la cooptation, le piston, la lèche-moule et le suce-bite sont leurs armes les plus perfides et les plus efficaces à la perpétuation de leur race mortifère.

    Quelques spécimens non hétéros on réussit à imposer leur culte du cul en  abaissant le principe du mariage au niveau du tout à l’égout.

    Soyons tolérants et acceptons que les tuyaux de poêles s’accouplent sans norme européenne ni trompette ni jugulaire au casque de scooter.

    Tel individu ordinaire qui donne de son temps à l’entretien du patrimoine commun passe aux yeux des canailles politicardes pour un benêt qui ne sait pas monnayer ses charmes.

    Les putes nous gouvernent et nous demandent de faire preuve de vertu cependant qu’elles bradent aux étrangers les ouvrages entretenus par les bredins bénévoles.

    Les meutes de klébars affamés nous tombent sur le râble (dur) pour s’emparer de nos biens publics afin d’en faire des bordels de luxe où ni vous ni moi ne seront invités. Enfin …. Vous, je sais pas ?

    Qui du chinois, du qatari, du saoudien, du ruskov ou du bougre de boukistanais obtiendra la faveur de se voir offrir tel château, tel hôtel particulier, tel immeuble ou terrain ou antiquité précieuse … au motif fallacieux que l’entretien d’icelui ne peut plus être assuré par l’Etat providence pour les touristes du social européen ?

    C’est qu’il en faut des sous pour entretenir nos onéreux touristes … encore que ce ne soit rien à côté de ce que nous coûte la pléthore de fonctionnaires surnuméraires qui se pavanent dans les assemblées nationales, régionales, communales et extraterritoriales … !

    Tout ces pique-assiettes aspirent sans vergogne les ressources essentielles que nous produisons dans le but de se reproduire exponentiellement.

    Le peuple des nigauds semble finir par comprendre péniblement qu’on se fout de lui …

    Il frétille dans son jus plébéien en attendant sa revanche … qui lui passera sous le nez car les députés institueront au dernier moment quelque artifice monstrueux capable de frustrer les millions d’imbéciles qui mettent dans les urnes des bulletins qui, censés les défendre par subrogation se transforment illico en blancs-seings qui les confinent au bastringue de la fausse république dont le but ultime échappe même à son orchestre disharmonique.

    Dansez braves gens, qu’importe que la musique ne soit que cacophonie et fausses notes, le spectacle doit continuer, show must go on, et quand vous serez morts, vos enfants prendront la relève et le monde deviendra ce qu’il deviendra sans que vous n’ayez  jamais eu votre mot à donner.

     

    C’est pour ça que moi, je donne mon mot :

    « pourritures ».

     

  • Mais qui veut la mort du « Programme du Conseil national de la Résistance » ? (souvent abrégé en Programme du CNR)

     

     

    Dans un article du Canard Enchaîné du 16 juillet 2014, sous la plume de Jean-Luc Porquet, un article intitulé : «  San Antonio se serre la ceinture  » se termine par la conclusion suivant :

    « Une fois liquidé le régime qui permet aux intermittents de bénéficier de la solidarité, il sera facile de passer aux autres ( ?). Comme le revendiquait franchement en 2007, un des idéologues du MEDEF, Denis Kessler, ‘Il s’agit de défaire méthodiquement le programme du Cnseil National de la Résistance », qui après guerre a instauré, entre autres, la retraite par répartition et la Sécu …’

    A remplacer, évidemment par les fonds de pensions et les mutuelles privées.

    Patience, ça viendra … »    

     

    Mais …. Que contient ce programme du CNR ?

    Sources :

    wikipedia

    Wikisource

    Comité Valmy

    Rien ne vous empêche d’en chercher d’autres …

     

    Voici les points qui me semblent essentiels à la cohésion et à la force de la Nation Républicaine et Laïque  et le statut actuel de ces points :

     

    ·        26 août et 30 septembre 1944 organisation de la presse, interdiction des concentrations39 ;

    À noter qu’en 44 il n’y avait pas la télé. Dassault, Hersant, Arnault, Bouygues … la presse et la télé sont entre les mains de groupes financiers qui manipulent l’opinion publique.

     

    ·        13 décembre 1944, institution des Houillères du Nord-Pas-de-Calais ;

    Arcilor, Snecma, Sagem, Altom, Alcatel, Rhone Poulenc… etc … Les grands groupes industriels se délitent les uns après les autres s’expatriant vers des pays à la main d’œuvre bon marché et aux conditions fiscales plus avantageuses. Rien n’é été fait par les gouvernements successifs pour les retenir. La nationalisation n’a pas été appliquée sous le motif de la crainte de voir les capitaux s’enfuir … il fallait les laisser fuir et garder les industries. C’est trop tard.

    Certains conseillés lobbyistes ont conseillé aux gouvernants de miser sur des technologies nouvelles et le tourisme et d’abandonner les laborieuses industries et leurs brevets à des pays moins évolués. Malheur ! il fallait les fondations pour construire de nouveaux édifices … la technologie nous échappe … nous sommes démunis et de plus en plus à la merci de Nations guerrières hégémoniques.

    Cet abandon de nos outils de production a entraîné le chômage de masse et la chute vertigineuse de nos exportations, nous rendant encore plus fragile et vulnérable.

    Le tourisme fait travailler de la main d’œuvre étrangère de bas niveau et ne remplacera jamais les emplois industriels.

    Les directives européennes du type Bolkestein ont permis à des entreprises de pays européens sous évolués sur le plan social de venir voler les chantiers au nez et à la barbe des entreprises françaises du bâtiment astreintes à des charges sociales bien plus lourdes.

    L’europe refusant systématiquement l’unification des règles sociales et fiscales mais imposant la libre circulation des biens, des personnes et des entreprises crée un déséquilibre qui entraîne tout le monde vers le bas.

    Pis encore, les traités en cours de signature vont détruire la juridiction française pour la remplacer par des sociétés privées de conciliation / négociation qui passeront au dessus des Nations pour le règlement des litiges de droit commercial et social. C’est l’établissement de la charia et de la torah avant l’heure. Tous les conflits feront l’objet, entre les sociétés, de règlement financiers qui débouteront systématiquement les salariés en les spoliant de leurs droits. L’avenir de l’être humain est engagé dans une ère d’esclavagisme, d’un retour au XVIIIème siècle.

     

    ·        18 décembre 1944, contrôle de l'État sur la ,marine marchande ;

    Il ne reste rien de ce contrôle excepté les coûts considérables engendrés par la surveillance des eaux territoriales et des navires marchands qui dégazent près de nos côtes ou naviguent sous pavillon de complaisance en se foutant des normes de sécurité et anti-pollution. Mais de moins en moins de contrôles sont effectués en amont.

    À noter que le CNR ne parle pas de la pêche que le parlement européen et la commission des lobbyistes ont rendue exsangue en multipliant les interdictions et les quotas qui pour certains sont positifs et pour d’autres anticoncurrentiels dans la mesure où il n’y a pas réciprocité.

     

    ·        30 décembre 1944, relèvement des cotisations de la sécurité sociale30 ;

    Ça … pour augmenter, ça augmente … mais les prestations, elles, ne cessent d’être rognées afin de financer les rémunérations exorbitantes des pontes de la médecine et l’industrie pharmaceutique particulièrement gourmande. À noter que l’indsutrie pharmaceutique a entamé sa conversion et sa délocalisation, elle aussi, vers des lieux plus propices à des marges supérieures pour des prestations inférieures et des contrôles moins tatillons sur la composition des médocs !

     

    ·        16 janvier 1945, nationalisation des Usines Renault avec confiscation des biens de Louis Renault ;

    Que reste-t-il de nos usines Renault Citroën et PSA ? Nous sommes en phase d’anglicisation. L’Angleterre a laissé mourir son industrie automobile alors que les États-Unis ont relancé avec succès les marques comme Ford et Chrysler … Nous, nous laissons nos industriels se délocaliser en Chine où le potentiel commercial est dix fois supérieur à celui de la France, les chinois exigeant que pour s’implanter chez eux, les industriels leur abandonnent leurs brevets. Nous perdons et nos industries (emplois et chiffres d’affaires) et nos savoirs faire.

    Mais ces industries n’auraient jamais existées sans le programme du Conseil de la Résistance, c’est-à-dire sans la France. Cette trahison illustre parfaitement la réalité désastreuse de la politique aveugle qui nous conduit vers la ruine : L’ensemble des citoyens paient et nos gouvernants revendent aux potentats le bien commun pour une bouchée de pain. Ainsi s’enrichissent les riches et sont appauvris les pauvres.  

     

    ·        22 février 1945, institution des comités d'entreprise ;

    Le parlement et la commission européenne sont à l’œuvre pour revenir sur cet autre acquis.

    Il faut dire que le MEDEF à commencer par noyauter et corrompre les syndicats par l’argent. Les permanents et les représentants syndicaux ne demandaient que ça : se faire arroser pour, en échange, temporiser et étouffer les mouvements sociaux.

    La CGT toute puissante a réussi à imposer le silence sur ses financements occultes et les détournements financiers de son appareil. Pour combien de temps ?

    En attendant, les syndicats sont à la merci du patronat et du gouvernement, ils ne fonctionnent que grâce aux subventions, les adhérents ayant fui le navire.

    À l’EDF, par exemple, qui n’a pas sa carte n’a pas droit aux avantages liés au CE. À la main mise des patrons s’est substitué le dictat du syndicat ! C’est la foire d’empoigne, le chantage et le racket !

    Et le MEDEF se marre !

     

    ·        29 mai 1945, transfert à l'État des actions de la société Gnome et Rhône ;

    ·        Ce qui allait devenir la SNECMA et qui allait être bradé aux américains pour devenir AIRCEL puis SAFRAN … Times are changing, nos sauveurs pensent d’abord à se sauver eux-mêmes !

     

    ·        26 juin 1945, transfert à l'État des actions des compagnies Air France et Air Bleu ;

    On sait tous qu’Air France est régulièrement renfloué par l’Etat et que toute privatisation entraînerait la faillite de la compagnie et sa renaissance sous forme de low cost.

     

     

    ·        4 octobre 1945, ordonnance de base de la Sécurité sociale ;

    Bon ! Ce serait trop long de tout dire mais il est certain que la Sécu sert surtout à enrichir les laboratoires pharmaceutiques. Les récents scandales (qui n’ont jamais cessés) en particulier concernant les laboratoires Servier dont le PDG fut un ami personnel de François Mitterrand démontre comment les laboratoires interviennent auprès des autorités médicales ou les noyautent pour obtenir tout un tas de dérogations et d’avantages leur permettant de vivre très grassement sur la bête !

    La Sécu nous coûte de plus en plus cher et rembourse de moins en moins. Par contre, elle est gratuite pour les étrangers qui ne manquent pas de venir se faire soigner gratos dans nos hôpitaux privés qui ferment les uns après les autres.

    Là encore, l’idée est plus que jamais la privatisation et l’isolement des malades face aux cliniques privées.

    Il faut pourtant rappeler qu’avant la Sécu, les médecins étaient en nombre très insuffisants, mal formés et pour certains très mal payés … c’est la Sécu et la solidarité qui a permis à la médecine de se développer. Si, demain, les médecins et les chirurgiens n’ont plus que les riches à soigner, ils déchanteront vite face à la pénurie de clientèle. On reviendra au début du XXème siècle !

     

    ·        17 octobre 1945, statut du fermage et du métayage.

    Tout cela a été depuis longtemps balayé par la commission européenne et la PAC (Politique Agricole Commune).

    Les statuts de fermage et de métayage existent toujours, mais ils ne représentent plus qu’une portion congrue de notre monde agricole et tendent à disparaître.

    J’ai eu l’occasion de développer un logiciel de gestion de métayage et de fermage pour le compte d’Olivetti en 1990, c’était très laborieux pour l’imposer aux gestionnaires habitués à leurs méthodes ancestrales !

     

    ·        21 février 1946, rétablissement de la loi des quarante heures ;

    Mêmes levées de boucliers et combat du MEDEF contre cette loi issue de l’occupation et qui grevait les bénéfices des actionnaires que le combat mené aujourd’hui par les mêmes contre les 35h.

    Conséquence directe de la crise savamment organisée par les lobbyistes, le MEDEF assène sa liturgie capitaliste et affirme avec péremption que  la France a besoin d’une réindustrialisassions passant par l’abandon des 35h et l’assouplissement des règles sociales et fiscales afin de s’aligner sur la concurrence internationale. Ces arguties ne visent qu’à une chose, enfoncer le pal encore plus profond, jusqu’à ce que la faillite soit irréversible. Le président du gouvernement social libéral donne donc quitus au MEDEF et lui accorde cinquante milliards qui feront le plus grand plaisir aux actionnaires.

     

     

    ·        28 mars 1946, vote de la loi sur la nationalisation de l'électricité et du gaz ;

    Ça, c’est un très gros gâteau qui a été en grande partie abandonné au privé comme plus tard les autoroutes don la construction fut payée par nos impôts et les bénéfices livrés aux sociétés privées.

     

    ·        24 avril 1946, nationalisation des grandes compagnies d'assurances ;

    Maintenant, on a des sociétés privées qui font la loi et se consultent pour pratiquer une farouche anti concurrence leur permettant d’imposer des tarifs exorbitants et injustifiés ! Rémunération du capital oblige, alors qu’à l’origine, tout a été payé par nos impôts !

     

    ·        25 avril, extension du nombre et des attributions des comités d'entreprises ;

    Voir ci-dessus.

     

    ·        26 avril 1946, généralisation de la Sécurité sociale incluant la Retraite des vieux.

    AH !!!!!! La retraite … je vous renvoie vers ma chronique du 1er février 2010 : « Histoire de retraite »

    Il est certain que les centaines de milliards que gèrent les caisses de retraite par répartition intéressent au plus haut point les fonds de pension américain qui travaillent inlassablement dans l’ombre aux moyens petits ou grands de mettre main basse sur ce pactole !

    Comme dit Jean-Luc Porquet :

     

     « Patience, ça viendra … »   

  • 3. Dialogues à la noix dans la salle d’attente !

     

    3. Dialogues à la noix dans la salle d’attente !

    Bon ! il faut savoir faire contre mauvaise fortune bonne figure !
    J’ai donc fait mon plus beau sourire au téléphone en appelant le psy qu’un ami m’a indiqué comme étant spécialiste des causes perdues de mon espèce. Il est par ailleurs « expert auprès des tribunaux » ce qui est une preuve irréfutable d’équilibre psychique et intellectuel.
    Moi : « Allô ! ?»
    Le Psy : « Allô ! ? »
    M : « Vous êtes bien le docteur Chabraque ? »
    LP : « Vous êtes bien au cabinet du docteur Chabraque, je suis sa secrétaire. Que puis-je pour vous ? »
    M : « Je souhaiterais parler au docteur Chabraque. »
    LP : « Mais certainement, je vous propose lundi à 14h, c’est à prendre ou à laisser ! »
    M : « Je prends »
    Et en mon for intérieur, je me dis en aparté : « Si je peux pas y aller on pourra pas dire que je n’ai pas essayé ! ».

    J’ai donc pris un RTT et le lundi, je me pointe au cabinet du docteur Chabraque.
    C’est une belle villa de trois étages en pierres de tailles meulières (comme la truite éponyme). Elle est ornée de colombages (pans de bois) en chêne peints en vert SNCF et Les volets en frêne sont peints de rouge.
    Elle est plantée là, si haute avec sa toiture pentue de tuiles rouges en plein milieu d’un parc arboré et on y accède par longue une allée blanche de gravillons de Saint Omer.
    Puis on gravit sept marches pour accéder au perron couvert d’une verrière du XVIIIème siècle donnant sur une grande porte ferronnière à double vantaux vitrés.
    Sur le côté droit de la porte, une grande plaque en cuivre jaune sur laquelle est gravé :

    Docteur Chabraque
    Psychiatre
    Ex interne des hôpitaux de Monaco
    Diplômé en acupuncture
    Diplômé en médecine générale
    Diplômé de la police scientifique de Los Angeles
    Diplômé des prisons de Memphis (Tennessee)
    Diplômé en scrabble et mots croisés
    Marc de café, tarot, osselets et viscères de vigognes


    Franchement, ça vous fiche un de ces frissons toutes ces compétences réunies en un seul et même homme !
    On se dit qu’on va sonner à la bonne porte … si on la trouve … la sonnette …
    Mais, comme par magie et sans qu’on ait rien à entreprendre, la porte s’ouvre.
    Une grande femme nue sous sa blouse blanche, les tétons en batterie, les lèvres rubicondes et les dents blanches comme de l’ivoire, blonde comme les épis de blé avant la moisson, les yeux bleus, les paupières bleues, les cils noirs et longs comme des poils de chameau, battant comme un métronome tous les dix centièmes de seconde …
    Forcément, vous restez là, les bras ballants, la tempe claquante, la respiration haletante, le regard perdu dans le bleu de ses yeux, les mains moites et les jambes flageolantes (sauf si vous êtes hermétique à l'esthétique !).
    Elle, professionnelle et habituée à faire cet effet là sur les hommes, s’efface et vous invite à entrer puis à la suivre jusqu’à la salle d’attente.
    Elle est pleine (la salle d’attente).
    C’est une pièce rectangulaire assez grande avec une table basse au milieu sur laquelle diverses revues s’étalent languissantes. Les murs sont ornés de sérigraphies usées représentant des squelettes et des cadavres.
    D’un rapide regard circulaire on peut comprendre que les gens qui sont là ne sont pas comme tout le monde.
    Une femme a tourné sa chaise pour s’asseoir le dos tourné à la salle. Certains ont la tête baissée, d’autres se cachent derrière un journal ou un éventail … il y a une dame âgée qui tient une cage sur ses genoux. La cage contient un perroquet gris et vert du Gabon, de ceux qui sont des plus loquaces.
    Un vieux monsieur chenu a sous sa chaise un lévrier couché en chien de fusil.
    Soudain, la porte de la salle d’attente s’entrouvre et l’infirmière secrétaire accoucheuse passe sa tête blonde bleue pour annoncer :
    « Le docteur est arrivé ».
    La porte se referme sur une espèce de murmure qui court comme une rumeur en faisant tout le tour de la salle d’attente.
    Puis le silence revient. On entendrait une mouche se faire violer !
    La dame qui tourne le dos à la compagnie s’exprime comme dans un souffle :
    « C’est qui qui commence ? »
    La dame au perroquet annonce :
    « Il y a un nouveau. »
    Le perroquet répète :
    « Un nouveau » sur un ton nasillard.
    Il s’ébroue et un nuage de poussière envahit la cage avant de se répandre.
    Le lévrier lève sort la tête d’entre ses pattes puis la remet.
    J’éternue, sous l’effet de la poussière.
    « AAAAAATTTCCCHHHOOUUMMM !!! »
    Tous :
    « À vos souhaits ! »
    La porte s’entrouvre et l’infirmière multi cartes passe sa tête polychrome pour demander :
    « Madame Lamaison ».
    Une dame cachée derrière son éventail se lève sans montrer son visage et sort de la pièce.
    La dame qui tourne le dos :
    « Celle-là, elle est irrécupérable, elle croit qu’elle est espagnole alors qu’elle est née à Dunkerque d’un père allemand et d’une niçoise. »
    Le monsieur qui a le lévrier sous sa chaise :
    « C’est pas à vous de donner des leçons aux autres, quand on se prend pour une diva on se tait ! »
    La dame qui a un chapeau avec des oiseaux vivants attachés par les pattes :
    « Les divas c’est juste bon à se coucher sur un divan ! »
    Un monsieur qui se cache le visage derrière le Canard Enchaîné du 11 août 1975 (le journal est à l’envers mais on arrive quand même à en lire des bribes) :
    « Le divan du docteur est vieux et déchiré, il sent le tabac froid et le dégobillé, moi, je prends toujours une couverture avec moi pour m’y étendre ! »
    La dame qui a le dos tourné se lève puis se rassied :
    « Vous ne m’aurez pas avec vos stupides provocations, je ne chanterai pas, pas aujourd’hui ! »
    Le chien se lève, va à la chaise de la dame qui a le dos tourné et lève la patte sur un des pieds … La dame qui a le dos tourné lui crie :
    « Dégage de là sale cabot, va pisser sur ton maître ! »
    Un long silence s’installe pendant que le sale cabot retourne se coucher sous son maître.
    J’en profite pour jeter un coup d’œil circulaire plus circonspect.
    Nous sommes sept. Une chaise est vide, celle de madame Lamaison.
    En sus de moi-même, les six autres sont tous plus bizarres les uns que les autres.
    La dame qui nous tourne le dos voûté les cheveux gris sale, les épaules couvertes d’un vieux pull marron côtelé à mailles larges fait comme une tâche sur sa chaise. Elle se situe juste en face de moi ce qui fait que je ne peux même pas voir son profil.
    Elle me fait tant penser à tata Baluchon que je lui garde ce surnom.

    En tournant dans le sens des aiguilles d’une montre, à ma droite un vieux monsieur à la barbe courte, aux gros sourcils broussailleux blancs sur des yeux caves aux minuscules orbites, des lèvres charnues et brunâtres, un front rabougri le tout sur un cou quasi inexistant.
    Je le surnomme illico « le vieux singe ».
    Sous sa chaise, un lévrier afghan qui pue comme une vieille négligée.

    La dame qui est à sa droite est plus ou moins cachée à mes yeux, mais je peux la voir un peu en me penchant en avant en arrière. Elle n’a pas de visage, il est caché sous un foulard bleu pâle. Elle porte un gilet gris en laine et une robe ou une jupe, je ne sais trop, en tissus moiré qui lui descend le long de ses jambes croisées jusqu’aux chaussures plates noires.
    Elle, je lui attribue le pseudo de « Mamma ».
    Sur ses genoux le perroquet du Gabon dans sa cage.

    À ma droite 90°, non loin de la porte, un petit monsieur sans âge qui lit son journal à l’envers : le Canard Enchaîné du 11 août 1975. Il ne bouge pas, seul le journal tremblote faisant un bruit incongru comme le vent dans les feuilles mortes d’un orme. Sous son pantalon crème on devine des jambes anémiées. Il les tient bien serrées et ses pieds chaussés de pantoufles ne touchent pas terre.
    « C’est peut-être un enfant ? » me dis-je en douce.
    Seuls ses petits doigts noirs boudinés serrant maladroitement le journal trahissent sa couleur.
    Je lui donne donc le surnom de « pygmée ».

    À ma droite à 45° et à la droite de la dame qui nous tourne le dos, une dame qui a un chapeau avec des oiseaux vivants attachés par les pattes. De temps à autre, un oiseau cherche à s’envoler, mais il retombe inexorablement sur le chapeau en jurant comme un charretier mal embouché. L’un des trois oiseaux pend lamentablement sur le bord du bibi, tenu par une patte attachée. De temps à autre il est pris de soubresauts alors la dame lève la main pour le remettre sur le chapeau mais il ne tient jamais bien longtemps.
    Je lui accorde le doux nom de « pervenche »
    Le lévrier susurre sans même se donner la peine de lever le museau :
    « Si c’est pas malheureux ! ».
    Je sursaute un peu, histoire de marquer le coup, mais sans plus.

    Personne ne semble avoir prêté attention à la remarque du lévrier.
    Je demande au singe :
    « Il s’appelle comment votre chien ? »
    C’est le chien qui me répond :
    « Ata-Truc ». Personne ne moufte !
    Je continue et termine mon tour de salle en lorgnant vers la dame élégante qui est à ma gauche à 315° et à gauche de la dame qui a le dos tourné.
    Elle est roide sur sa chaise, engoncée dans un grand manteau sombre, le cou entouré d’une fourrure naturelle de bichon. Son visage anguleux est plâtré de fard, ses petits yeux chafouins disparaissent sous de lourdes paupières lestées de pâte épaisse qui coule jusqu’à ses cils courts noircis au khôl de Monoprix. Son nez évoque Pinocchio et son chapeau Don Quichotte.
    Je l’appelle « la fée Carabistouille » parce que ça rime avec citrouille.
    « Et toi, tu t’appelles comment ? » Me demande le chien.
    « Yfig »
    Le singe tance son chien : « Tais-toi Ata-Truc, ne dérange pas le monsieur ! ».
    Moi : « Mais il ne me dérange pas. »
    « Laisse tomber ! il ne parle pas aux étrangers ! » Me répond le klébar.
    Tata Baluchon, qui nous tourne le dos, m’interpelle :
    « Vous êtes là pourquoi, monsieur Yfig » … et elle dit ça avec une espèce de dégout perceptible dans sa voix, surtout sur le ‘monsieur’.
    A ce moment un oiseau tente de s’échapper et retombe sur le chapeau avec un grand :
    « MERDE ! ».
    Moi : « Je suis venu consulter le psy parce que j’entends les objets, les légumes, les animaux … parler. »
    Le pygmée me lance d’une voix de basson :
    « Et en quoi ça gêne ? »
    Moi : « Oh pour tout plein de choses ! »
    La fée Carabistouille parle d’une voix suraigüe sans bouger les lèvres, un peu comme une ventriloque :
    « Comme ? »
    « Eh bien, par rapport aux autres, je passe pour un dingue. »
    La pervenche s’en mêle :
    « Passer pour un dingue aux yeux des fous, ça n’a pas d’importance. »
    Le lévrier se grattant le cou :
    « Faut pas prêter attention aux humains ordinaires, ils n’ont rien dans le crâne, tout ce qui n’est pas comme eux, banal, les horripile et les rend racistes ! »
    Le perroquet ajoute, pendu tête en bas à un barreau :
    « L’homme est un animal qui s’ignore, il ne parle pas avec les autres animaux parce qu’il est imbu de sa soi-disant supériorité mais dans le fond c’est le plus con de nous tous ! »
    Après un silence éloquent, je tente un timide :
    « Il y a un autre inconvénient majeur … »
    Tout le monde se tait. Le journal tremblote plus fort. Le chien fait un pet malodorant mais en harmonie avec sa puanteur naturelle. Le perroquet s’épouille, tata Baluchon renifle bruyamment et Pervenche remet l’oiseau qui pend sur son chapeau. La fée Carabistouille se lève et prend une revue de mode sur la table basse et se rassied en silence.
    Moi : « Ça ne vous intéresse pas de savoir ? »
    La voix de la Mamma se fait entendre pour la première fois. C’est une voix d’outre tombe, une voix glacée comme un iceberg qui vous donne des frissons jusque dans les tibias :
    « On le sait déjà. »
    Vlan !
    Je me renfrogne et garde pour moi mes extrapolations.
    Au bout d’un moment, tata Baluchon demande :
    « Lafleur, vous avez fait des progrès depuis la dernière fois ? »
    J’attends de voir qui est ’Lafleur’ !
    Le vieux monsieur que j’ai surnommé ‘le singe’ ouvre enfin la bouche. Sa voix est solennel, sourde, lente, avec des pointes d’accents aigües qui me font penser à des baïonnettes :
    « Affirmatif ! Le docteur fait du bon boulot, bonne tactique, fine mouche et Scaramouche. »
    Le chien : « Ouah ouah … gaaaarde à vous ! »
    « Merci monsieur le ministre de la défense. » Les congratule tata Baluchon.
    Tata Baluchon : « Et vous monsieur Mamadou Pape Ben Jamal Al Arabia, mon cher ministre de l’économie, qu’en pensez-vous ? »
    La Pygmé lui répond de derrière son journal :
    « Un peu cher, monsieur le président, mais ça vaut le coup si on tient compte du retour sur investissements ! »
    Monsieur le président ! ? voilà la tata devenue un monsieur !
    Le président : « Et vous madame la ministre de l’écologie ? »
    La Pervenche avec son chapeau aux oiseaux lui répond :
    « Certes, ça manque un peu de vert mais le respect de la nature est présent, nul ne peut le nier ! … surtout dans le jardin ! »
    Le président : « Madame Pouzzi, ma très chère ministre de la jeunesse et des sports, vous avez bien un avis ? »
    La Mamma se fend d’un généreux : « Euh …. »
    Et le perroquet du Gabon la soutient d’un : « On a connu mieux …. Mais c’était plus cher ! »
    Ça n’a pas l’air de faire plaisir au président qui se mouche très bruyamment !
    Le président : « Il ne reste plus que vous, madame la ministre de la culture qui n’ayez pas donné votre point de vue ! »
    La fée Carabistouille se lève, solennelle et constipée : « Comme disait Jean-Patrick Valesoleil, ‘les prix du carburant suivent souvent la courbe des produits minéraliers qui dépendent de l’extraction en mer du Nord avec la dimension subséquente de l’anthropomorphisme périculaire circonvulatoire des instituts de conservation des arts séculaires.’
    Et je suis du même avis ! »
    Le président : « Ouais ! Pas la peine de se demander pourquoi je vous ai mise à la culture ! Au prochain remaniement, je vous mets à l’agriculture ! »
    Le chien se lève, s’ébroue et dit : « Jean-Patrick Valesoleil est un con ! »
    La fée Carabistouille lui rétorque : « C’est celui qu’il l’dit qu’y est ! »
    Le président : « Je suis bien déçu, je ne vous entends pas parler de l’emploi ! ».
    Le pygmée : « C’est Lamaison la ministre du travail. »
    Le président : « L’emploi est l’affaire de tous, c’est la priorité des priorités je veux créer une commission chargée de trouver de nouvelles voix contre l’emploi pour le travail et le chômage. »
    Le pygmée : « Vous voulez dire contre le chômage et pour l’emploi ! »
    Le président : « Au lieu de faire le malin, débloquez-moi des crédits pour ma commission anti-chomedu ! »
    Le pygmée : « Où voulez-vous que je trouve l’argent, les caisses sont vides et l’écologie nous empêche d’exploiter nos mines de protoxyde d’azote ! »
    La Pervenche ministre de l’écologie avec son chapeau aux oiseaux lui répond : « Vous vous croyez drôle avec votre gaz hilarant (*) ? »
    Le président : « Vous n’avez qu’à prendre l’argent des militaires qui ne servent à rien en temps de paix ! »
    Le singe : « Prenez garde que la Russie ne nous fasse le coup de la Crimée, vous savez bien que les slaves ont le sang chaud et le vin mauvais. Dépouiller la défense c’est livrer la France aux convoitises des tyrannies. »
    Le pygmée revient à la charge : « De toute façon, vous savez bien, monsieur le président, que le patronat préfère que l’État paie le RSA aux inactifs plutôt que de leur donner du travail qui coûte plus cher à cause des cotisations sociales, des RTT et des congés payés. »
    Le président : « ce n’est pas faux, mais il faudrait que les patrons paient le RSA plutôt que le gouvernement. »

    Vous vous imaginez bien que je suis dans mes petits souliers, je me demande de quoi il retourne, si c’est du lard ou des cochonnailles ?
    La porte s’ouvre le la blonde bleue appelle : « Monsieur Yfig »
    OUF ! Sauvé par le gong, par la blonde peroxydée aux yeux bleus cérulés.



    (*) le protoxyde d’azote est aussi appelé gaz hilarant.

  • Moscovicci vs Le Pen … hier soir, à la télé, 3 février 2014, débat blabla. Aujourd’hui, j’interviewe les antagonistes qui reviennent sur leur prestation …

     

     

    Je reçois les deux protagonistes dans mon bureau-cabane-de-plage installé provisoirement dans la cour du café des chasseurs-pêcheurs-raniculteurs-quichieliculteurs.

    Pour toi, chère lectrice, cher lecteur, je vais cuisiner les déblablateurs.

     Il faut dire que le débat ne nous a pas déçu, la langue de bois a été particulièrement à l’honneur, les mensonges éhontés et les contre vérités évidentes firent florès … comme d’hab.

     

     

    Yfig : Monsieur Moscovicci, je vous remercie d’avoir accepté cet interview au débotté.

    Mosco : Mais je vous en prie, tout l’honneur m’en revient.

    Y : Alors, monsieur Moscovicci, vous en pensez quoi de votre débat avec Marine Le Pen ?

    M (très enthousiaste) : Vous avez vu comment je l’ai explosée La Pen ! ?

    Y : Vous voulez dire « la Le Pen » ?

    M (soudain renfrogné) : Je dis ce que je veux, quand je veux et c’est pas vous qui allez m’en empêcher !

    Y : …

    M (se reprend) : Et puis je vous demande de m’appeler, désormais, ‘Moscou veni vidi vici’. Après l’incontestable victoire que j’ai remportée sur La Pen, je suis en droit de réclamer cette reconnaissance.

    Y : Oui, comme vous voulez.

    M (très fier) : Je le veux !

    Y : Mais, monsieur ‘Moscou veni vidi vici’, n’avez-vous pas un peu forcé le trait lorsque vous avez affirmé que le chômage est résorbé, que l’économie est repartie et que les banques sont en pleine forme ?

    M (boudeur et fanfaron à la fois) : Et elle a répondu quoi La Pen ? Hein … rien … que dalle, je l’ai écrabouillée comme une punaise !

    Y : Elle a quand même mis en garde les clients du Crédit Agricole qui pourrait se déclarer en faillite prochainement …

    M (m’interrompt  rageur) : … C’est une inconsciente, une folle, on n’a pas le droit d’affoler les clients d’une grande banque, ils pourraient vider brutalement leurs comptes, ce qui ne ferait qu’accélérer le mouvement de panique !

    Y : Vous êtes en train de confirmer la rumeur !

    M (se lève et me toise) : Vous êtes un malandrin, vous votez pour La Pen, c’est ça ? Vous êtes antisémite, raciste et communiste !

    Y : Je vous en prie, rasseyez-vous monsieur le ministre des économies de bouts de chandelles et d’expédients, j’ai encore de nombreuses questions pour vous.

    M (se rassied, croise les jambes et prend son menton dans la main droite en reproduisant le geste auguste du penseur) : Je vous écoute ?

    Y : Vous défendez mordicus l’Europe contre les déclarations alarmantes de madame Le Pen ..

    M (dans sa main) : … Oui, et alors ?

    Y :  J’y viens … elle propose de revenir au franc en l’indexant sur l’Euro tout en le dévaluant de 30 % pour booster nos exportations et réduire les coûts de production  …

    M (se redresse soudain et … très docte) : … Elle dit n’importe quoi, je lui ai dit et elle n’a su que répondre … c’est normal, quand on affabule, on s’englue dans les mensonges !

    Y : Mais elle s’appuie sur des conseils sérieux, elle parle …

    M (finit ma phrase) : … de prix Nobel …. Ah ! Ah ! Ah ! Laissez-moi m’esclaffer, ce ne sont pas des prix Nobel, ce sont des charlatans antisémites racistes et communistes !

    Y : Vous avez quand même reconnu que les anglais n’étaient toujours pas passé à l’Euro !

    M (me regarde par en dessous ironique) : Vous êtes décidément de parti pris, monsieur je sais tout, les anglais, vous les avez vu les anglais ? ils sont en pleine merde, les anglais, ils sont en train de crever les anglais, c’est bien fait pour eux, ils n’avaient qu’à se mettre à l’euro !

    Y : Mais madame Le Pen donne les exemples de la Grèce, de l’Italie, de l’Espagne ….

    M (lève le bras pour m’intimer de me taire) : Oh là foutriquet,  vous êtes dans quel camp, vous aussi vous voulez que la France disparaisse de la planète en revenant au franc Mérovingien ? On ne peut pas arrêter le progrès quand il est en route, on ne reviendra pas sur les acquis de l’Europe et de tous les biens faits dont nous bénéficions chaque jour dans notre vie de tous les jours.

    Y : Excusez-moi de vous dire ça, monsieur ‘Moscou veni vidi vici’, mais je n’entends pas beaucoup d’arguments convaincants, vous vous contentez de nier, mais en quoi notre vie de tous les jours est-elle embellie par l’Europe ?

    M (condescendant) : Si vous n’êtes pas capable de vous en apercevoir …. Je ne vois pas pourquoi je continuerais à discuter avec un ignare !

    Il se lève …

    Y : Attendez, ne partez pas, j’ai apporté quelque chose pour vous !

    Je lui tends un paquet craft.

    Il l’ouvre et s’exclame :

    M : Oh ! Comme c’est gentil, des bouts de chandelles …. Quelle délicate attention !

    Du coup, il se rassied …

    Y : Madame Le Pen vous a aussi interpelé sur la LGBT et les nouvelles lois sur la famille et l’enseignement de la théorie des genres … vous avez esquivé … mais qu’en pensez-vous réellement ?

    M : Ah ! Tiens, vous avez mis un bout de bougie …. C’est pas bien, ça, je ne suis pas ministre des bouts de bougie !

    Y : Et pour la théorie des genres ?

    Il se lève et s’en va boire un canon au bar du café avec les pêcheurs, les raniculteurs et les chasseurs de mammouths.

     Marine Le Pen qui nous observait depuis une table de l’arrière salle où elle mangeait un pigeonneau flambé au calva de Macao se dépêche de terminer son encas et d’avaler sa Kanter … Je lui fais signe de venir …. Elle essuie ses lèvres pulpeuses à une serviette en papier qui absorbe  son rouge à lèvres … se lève et vient … je l’attends, debout et respectueux, elle me tend sa main droite que je baise goulument … enfin, elle s’assied en face de moi avec un immense sourire radieux.

    Y : Merci, madame Le Pen, d’avoir accepté cette interviewe post débats.

    M : Appelez-moi Marine, mon petit.

    Y : Euh … je suis plus âgé que vous, vous savez ?

    M : Et alors …. Vous êtes petit, non ? 

    Y : Bon ! Passons …

    M : Oui, c’est ça, venons en au sujet.

    Y : Qu’avez-vous pensé de votre adversaire monsieur ‘Moscou veni vidi vici’ ?

    M : Comment vous l’appelez ?

    Y : ‘Moscou veni vidi vici’, c’est lui qui m’a demandé de l’appeler comme ça !

    M : Si ça peut lui faire plaisir de se ridiculiser !

    Y : Mais vous, Marine, qu’en avez-vous pensé ?

    M : Bon ! Tout compte fait, appelez-moi ‘madame Le Pen’, j’aime pas trop cette familiarité.

    Y : Comme vous voudrez, madame Le Pen.

    M : …

    Y : Voulez-vous que je répète ma question ?

    M : Oui.

    Y : Qu’avez-vous pensé de la prestation de Mosco ?

    M : Ben vous avez vu … c’est un hâbleur, un menteur, un baratineur et j’en passe et des pires !

    Y : Pouvez-vous nous donner quelques exemples de ce vous dites pour nos lectrices et lecteurs ?

    M  (sûre d’elle) : Oui, bien sûr.

    Y : …

    M (avec un grand sourire) : Vous pouvez répéter la question ?

    Y : Passons …. Vous proposez de quitter l’Euro pour revenir au Franc, Mosco n’est pas d’accord … qui a raison ?

    M (sûre d’elle) : Mais moi, bien sûr !

    Y : Pourriez-vous développer votre argumentation pour nos lectrices et lecteurs ?

    M (sûre d’elle) : Oui, bien sûr.

    Y : …….. OK ! Bon, euh … si vous ne vous justifiez pas plus que ça, nos lectrices et lecteurs vont rester sur leur faim !

    M (ravie) : Oh ! Oui, merci, c’est très gentil, je veux bien un autre pigeonneau, ils sont délicieux !

    Je fais un signe au serveur qui nous apporte un pigeonneau sur son nid de petits pois.

    Je la regarde manger le pigeonneau … quand elle a fini, le serveur débarrasse la table.

    Y : Pouvons-nous reprendre l’entretien, madame Le Pen ?

    M (s’essuyant la bouche) : Mumm miak slurp … appelez-moi Marine, cher monsieur, ce pigeonneau était divin, c’est du sauvage, ça se sent !

    Le serveur passe près de notre table avec deux pigeonneaux … Marine est hypnotisée …

    Y : Marine …. Marine …

    M : Oui … pardon, j’ai vu passer des pigeonneaux …. Où en étions-nous ?

    Y : Je ne sais plus très bien moi-même, mais si vous nous parliez de votre programme pour l’Europe ?

    M (se penche en avant, les mains bien à plat sur la table) : Oh c’est simple, ou bien l’Europe accepte nos conditions, ou bien nous quittons l’Europe.

    Y : …

    M (me regarde les yeux dans les yeux) : …

    Y : Mais … quelles sont ces conditions ?

    M : Il y en a deux !

    Y : … ?

    M : Premièrement, nous dévaluons l’Euro de 30% ou bien nous revenons au Franc que nous dévaluons de 30%.

    Y : …

    M : La deuxième, nous dissolvons le Conseil Européen qui n’a pas de légitimité démocratique et troisièmement, nous signons une nouvelle charte européenne qui nous redonne notre indépendance nationale quant aux lois, aux finances, au droit du travail et au code de la route.

    Y : Ça fait trois si ….

    M : Et quatrièmement nous cessons immédiatement de payer la dette des autres pays, ils n’ont qu’à faire comme nous … se démerder !

    Y : Vous pensez donc que l’Europe n’apporte rien à la France ?

    M (très ironique) : Mais pas du tout …. Bien au contraire … l’Europe nous apporte des tas d’emmerdes !

    Y : Et vous, avez-vous une opinion sur la théorie des genres ?

    M (visiblement très énervée par la question) : La LGBT est une toute petite minorité qui veut imposer ses codes au reste des français au détriment de la famille que ce gouvernement de pé … euh … de … détraqués veut détruire pour mieux imposer ses dépravations, ses déviations sexuelles et ses pratiques douteuses … tiens ! Regardez Hollande, il vivrait avec un harem si on le laissait faire, vous ne croyez tout de même pas qu’il se serait arrêté à deux si on ne l’avait pas démasqué … ce n’est pas pour rien qu’il a été l’élève de DSK à HEC ! (Hautes Études de Cul)

    Y : Vous avez évoqué la situation difficile d’une grande banque française et on a senti un moment de flottement, Mosco vous accusant de paniquer les clients sans raison …

    M : Si vous êtes client du CA, c’est le moment de reprendre vos sous si vous ne voulez pas les perdre !

     

    A ce moment, le serveur passe avec un pigeonneau …. Elle lui fait un croche pied et rattrape le pigeonneau au vol …

     

    Je m’en vais ….. épuisé !

  • Pour trente milliards, aujourd’hui, t’as plus rien ! Julie et Valérie à poils de loutres !

     

    Notre président erectus poil à l’anus refuse de s’étendre sur ses maîtresses, cela relève de la vie privée, dit-il. Prenons note de cette dérobade et tournons la page comme dit Ségogo !

    30 (Trente) milliards au patronat français … excellent nouvelle … oui, mais … suppression des charges sociales pour les allocations familiales.

    Comment peut-il faire une telle annonce ?

    Supprimer une charge, en prétendant ne pas supprimer les prestations qu’elle finance sans expliquer comment le financement en sera assuré !

    C’est du sarkozisme dans le texte, dans la forme et dans le fond !

    C’est le principe d’annonce, suivi d’un long silence qui finira dans un enterrement ! Faut le voir le patron des patrons, Gattaz, jubiler comme un paon, faire la roue comme un faon (ou l’inverse) … il se la pète, le mec … mais qu’en sera-t-il dans quelques semaines ou mois quand on lui dira que c’était juste un peu d’humour hollandais (netherland’s humor) ?

    Attention, dans le pacte Hollande / actionnaires du CAC40, il est prévu la création d’un million d’emplois … Bah ! pour 5 millions de chômeurs … d’autant que diantre fichtre et cornegidouille … le million d’emplois en question, c’est juste un effet d’annonce du  patronat, une blague sauce MEDEF … c’est à qui mentira le plus !

    Et nous, on assiste à ça avec le droit de fermer notre gueule !

    Ce serait amusant si c’était un spectacle signé Dieudonné, mais là, il s’agit de la France, de notre avenir et de celui de nos enfants … un avenir hypothéqué par toute une bande d’incompétents notoires dont la seule compétence consiste à se faire élire pour profiter ensuite des ors du pouvoirs et des bienfaits de la corruption.

    La République est en danger, mais ce danger n’est pas celui annoncé par Valls, le danger est celui de l’impéritie gravissime de nos politiques qui ne se maintiennent que par le mensonge, la façade en trompe l’œil et la violence de l’arbitraire et de la censure d’Etat, dernier et ultime rempart avant l’effondrement de notre République dans le plus grand tumulte.

    Les mensonges d’Etat, les secrets d’alcôve pathétiques, les évitements, les concussions, le folklore et le cirque, tout cela ne peut mener qu’à la déliquescence et au chaos !

     


  • Lettre ouverte aux socialistes ... et à tous les autres !

    Camarades ... camarades ... et ... euh ... camarades,

    ça va les gars ?

    Vous comprenez, maintenant, pourquoi je vous ai quitté en 1984 ?

    Certes, ça fait 30 ans, il vous fallait bien ça pour comprendre ce que moi j'ai compris en 3 ans de militantisme.

    Il m'a suffi de 3 'dîners républicains' (1 à Paris, 1 à Mondeville et 1 à Houllegate) pour voir l'inéluctable.

    Quand on utilise un appareil pour ses intérêts personnels, il est évident que le couillon-cocu militant de base ne sert qu'à justifier les ambitions des meneurs qui en font un business rémunérateur. L'intérêt commun est un concept ignoré entre 2 campagnes. Parce que pendant la campagne, bien entendu, l'hypocrisie tient lieu de programme.

    Mais désormais, vous l'avez compris, vous le savez.

     

    EH ! OH vous autres, à l'UMP, au FN, à EELV, à B&B (Borloo Bayrou) et autres officines ... ne vous marrez pas trop, vous êtes dans le même bateau ; quoique vous en disiez, quoique vous en pensiez, nous sommes tous cocus et pis c'est tout !

  • Pourquoi ne suis je pas sycophante ....... ?

    Bah ! pourquoi aurais-je dû ou pu ?

    J'espère que mes voisins ne s'amuseront pas à écrire au fisc pour me dénoncer !

    J'espère que le fisc ne cherchera pas à m'inventer des histoires histoire de m'en faire !

    Moi, j'aime la tranquillité et les soirées au coin du feu à regarder les flemmes danser comme des gitanes enflammées !!!

     

     


  • Où va-t-on ? en quel état errons-nous ? qu'allons-nous devenir ? faut-il craindre l'avenir ? et madame Baluchon, elle en pense quoi ?

     

    iPidi porte à notre attention (vous et moi) un long article déboussolé d’Ivan Rioufol chantre de la droite décomplexée mais cul serré !

    Un article dans lequel il nous fait la pleureuse qui voudrait bien se faire prendre par Marine mais à condition que ce soit à l'insu de son plein gré parce qu'il a sa pudeur et son idéologie (touche pas à mes couilles en or !)

    FN: Ne me poussez pas!

    …à accompagner Marine Le Pen dans une danse du scalp

     

    "J’aurais pu voter Lopez parce que je me sens solidaire des Français désespérés de ne plus être entendus des puissants. "

     

    Ah bon !

    Ils auraient donc été entendus .... peut-il préciser quand ?

     

    Ils sont marrants ces neo indignés, eux qui hier défendaient bec et ongles les violeurs de peuple se retrouvent aujourd'hui dans le camp des violés .... exactement comme je l'avais prédit !

     

    Ils se retrouvent acculés (et prochainement enculés)  et accusés devant la justice par ceux qu'hier ils prétendaient pouvoir contrôler par la compassion et le laxisme chrétin.

     

    Moi, je me marre !

    Ils sont perdus tous ces bobos, ils ne savent plus où ils sont ni vers qui se tourner …. Ça leur file le tournis !!!

    Moi, je ris !

    Je ris parce que je connais la suite de l’histoire, j’ai toujours une bonne décennie d’avance sur les autres et je vous réaffirme que la seule issue sera la révolution car ceux qui sont aux pouvoirs ne lâcheront jamais leurs privilèges de leur plein gré il va bien falloir leur arracher par la force.

     

    Demain, les politiques n’auront plus le choix, ils ne pourront être que transparents et honnêtes ... ou morts.



     

  • Le gouvernement des handicapés du bulbe réinventent l'octroi ! NKM à poil !

    Pour vous, c'est quoi l'ECOTAXE ?

    Souvenez-vous, au Moyen-Âge, quand un commerçant voulait entrer dans le coeur de la ville, là où les riches bourgeois se protégeaient des rufians et autres cailleras, au pont levis les attendait l'OCTROI.

    Quelques hommes en armes filtraient les charrettes et prélevaient une taxe (qui plus tard deviendra la taxe à l'essieu) .... Et que le commerçant vende ou pas, il payait avant d'entrer. Tant mieux si il vendait, ça lui remboursait sa taxe.

    ECOTAXE, quel nom de chiotte et combien je préfère OCTROI, ce mot qui véhicule tant de mémoire ... c'est autre chose que la shoah, c'est la mémoire de la France.

    Il aura fallu un taré pour faire revivre ce très profond souvenir des injustices qui menèrent à la révolution.

    La prochaine, je vous parie mon slip contre une paire de bretelles que ça sera la GABELLE .... on en reparle ?