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économies de bouts d'chandelles - Page 19

  • Mes conseils de père et grand-père à une jeune fille de 25 ans qui ne trouve pas de boulot (Rue huit neuf)

    C'est trop drôle !!!!!!!!!!!!!!!!!

    M'est arrivé quasiment la même chose ..... en 1971 quand je suis revenu de l'armée ... 

    Et moi, c'est rien, mais mes gosses ...

    Ma fille, doctorat en anglais, elle bosse à mi-temps pour une association d'aide à l'embauche des jeunes .....  on se mord la queue !

    Mes deux fils découragés .....

    La vie continue ....

    Putain, vais-je me mettre à pleurer sur mon propre sort et celui de ma progéniture ???????

    Quand on voit les z'abrutis qui se font des couilles en or en chantant faux et qui militent pour hadopi .....

    Allons enfants de la patrie .....


    Les jeunes se croient toujours victimes ciblées et minorité !!!

    C'est juste l'air du temps et c'est pas nouveau ....

    Ca fait des générations que ça dure .....................   les pauvres, sans relations, sans pistoons, sans carnet d'adresse doivent se remuer le cul puissance dix pour obtenir le minimum avec bac + n ........ et ce jusqu'à la fin de tes jours car tu n'obtiendras aucune rédemption ....

    Tu te bats, ou tu baisses les bras, tu acceptes le système et tu crèves ou te rebelles et on t'assassine .... entre les deux, le passage est trop étroit pour que toi-même et ton ego aient une chance de passer ensemble ......

    Demande à Nicolas de te pistonner pour l'EPAD !!!!!!
    Le fiston est en 2 ou 3eme année de droit ...... autant dire un petit branleur qui pisse le lait par le nez !!!!!   Pourquoi pas toi ! ?????

    Eh puis .....  les vieux !!!!  55 -  57 .... grand maxi .. après, tu es bon pour la déchetterie ....... alors, pour faire bonne mesure, Sarko et ses potes posent la barre un peu plus haut, histoire de consolider les statistiques "suicides des vieux cons qui ne servent à rien et se gavent sur la bonne société ..."
    Remarque, avec un peu de chances, après avoir été refoulée du boulot jeune, tu finiras rejetée du boulot vers les 50 balais ... faut bien laisser la place aux étrangers sans papiers qui ne se syndiquent pas et ne réclament jamais rien tant que des assocs de sans papiers aux obscures visées les prennent en charge pour les exciter et les inciter à réclamer la nationalité et la sécu sociale ....

    BOF !
    C'est la nouvelle France n'importe n'awak ..... autant s'y faire et chercher à se vendre par tous les moyens, quitte à faire les beaux jours des futures maisons closes, car le pape et l'armée associées au patronnat considèrent qu'il n'y a pas de sot métier, juste de la viande à consommer ....  fraîche de préférence !!!!!!

    Pense quand même à te protéger ... si on te laisse le choix !!!

  • On parle de délation …….. sans savoir que, dans certains cas, c’est une OBLIGATION qui peut coûter cher à celui qui s’y soustrait !

     

    Au Moyen-Âge, les individus avaient obligation de délatter auprès des autorités tout acte contraire à l'intérêt public.

    Par exemple, un boucher qui vendait du rat à la place de lapin, ou de la chair humaine en pâté .....
    Si le boucher se faisait prendre et que ses voisins, à l'évidence au courant des malversations du boucher, s'étaient tus, ils étaient condamnés au même titre que le coupable.

    Vois-tu, cette délation était la meilleure façon, pour l'époque, de préserver les intérêts de la population.

    Un autre ?
    Eh bien, de nos jours, c'est la même chose, une personne qui se tait peut être condamnée pour recel d'infos (sauf les journalistes qui échappent à la vindicte).

    En fait, tout cela est une question de culture, d'éducation, de religion et de déontologie personnelle.

    L'un, dépressif et jaloux, n'hésitera pas à dénoncer son voisin, quitte à inventer pourvu que le voisin soit bien emmerdé.

    L'autre, bien dans sa peau et indifférent aux cancans et autres rumeurs infondées, passera son chemin et utilisera son précieux temps à des activités intéressantes.

    Il y a des téléspectateurs pour la télé réalité (voyeurisme maladif) et des téléspectateurs que ces branlades n'intéressent pas.

    Perso, je me fous pas mal des ragots ..... mais je reste à l'écart parce qu'il y a tant et tant de sujets passionnants, bien plus intéressants que les chamailleries stériles et puériles.

    Par contre, je ne donne pas de leçon !
    Que celles et ceux qui se complaisent dans leurs vomis y restent, ce n'est certainement pas moi qui viendrais me joindre à eux !

     

    Si vous ne me croyez pas que de nos jours la délation est une obligation pour certains, allez voir sur NetIris :

     

    Finance

     

    Rappel de l'administration fiscale concernant l'obligation de déclaration de soupçon :

     

     

     

     

     

    Dans le cadre de la lutte contre l'utilisation du système financiers aux fins de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme, l'ordonnance (n°2009-104) du 30 janvier 2009, soumet les personnes assujetties aux obligations de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, à l'obligation de déclarer au service TRACFIN, les sommes inscrites dans leurs livres ou les opérations portant sur des sommes dont elles savent, soupçonnent ou ont de bonnes raisons de soupçonner qu'elles proviennent d'une infraction passible d'une peine privative de liberté supérieure à un an ou participent au financement du terrorisme.

    Dans une instruction fiscale du 26 juillet 2010 (BOI n°13 L-7-10), il est rappelé que le champ de la déclaration de soupçon couvre donc désormais la fraude fiscale, passible d'une peine d'emprisonnement maximale de 5 ans.

     

    Aux termes de l'article L561-15 du Code monétaire et financier, il est prévu que les personnes soumises à cette déclaration de soupçon déclarent au service TRACFIN les sommes ou opérations dont elles savent, soupçonnent ou ont de bonnes raisons de soupçonner qu'elles proviennent d'une fraude fiscale lorsqu'il y a présence d'au moins un des critères prévus par l'article D561-32-1 du Code monétaire et financier.

    Il est précisé que le critère mentionné au 1° du II de l'article D561-32-1 vise notamment" l'utilisation de sociétés écran ayant leur siège social dans un Etat ou un territoire qui n'a pas conclu avec la France une convention fiscale permettant l'accès aux informations bancaires, identifié à partir d'une liste publiée par l'administration fiscale".

    De même, le critère mentionné au 10° du même article vise "certaines opérations financières internationales en provenance ou à destination de l'étranger notamment lorsqu'elles sont réalisées avec ces mêmes Etats ou territoires".

     

    L'instruction contient la liste des Etats ou les territoires qui ont conclu avec la France une convention fiscale permettant l'accès aux informations bancaires au 1er janvier 2010. Elle sera mise à jour chaque année à la date du 1er janvier.

     

    Il s'agit de l'Afrique du Sud, Gabon, Niger, Albanie, Ghana, Nigeria, Algérie, Guinée, Norvège, Allemagne, Grèce, Nouvelle-Calédonie, Argentine, Hongrie, Nouvelle-Zélande, Arménie, Ile Maurice, Ouzbékistan, Australie, Inde, Pakistan, Pays-Bas, Azerbaïdjan, Indonésie, Bangladesh, Iran, Pologne, Bénin, Irlande, Portugal, Qatar, Botswana, Islande, Brésil, Israël, Québec, Bulgarie, Italie, Roumanie, Royaume-Uni, Burkina-Faso, Jamaïque, Cameroun, Japon, Russie, Canada, Jordanie, Saint-Pierre-et-Miquelon, Centrafricaine, Kazakhstan, Sénégal, Chili, Koweït, Slovaquie, Chine, Lettonie, Slovénie, Chypre, Liban, Sri-Lanka, Congo, Libye Suède, Corée, Lituanie, République Tchèque, Côte-d'Ivoire, Macédoine, Thaïlande, Croatie, Malawi, Togo, Danemark, Mali, Trinité et Tobago, Egypte, Malte, Tunisie, Emirats arabes unis, Maroc, Turquie, Equateur, Mauritanie, Ukraine, Mayotte, Espagne, Venezuela, Estonie, Mexique, Vietnam, Etats-Unis, Monaco, Zambie, Ethiopie, Mongolie, Zimbabwe, Finlande et Namibie.

     

    Les Etats et territoires visés aux 1° et 10° du II de l'article D561-32-1 sont donc les Etats et territoires qui ne figurent pas sur cette liste.

     

    Rédigé par la Rédaction de Net-iris et publié le vendredi 6 août 2010.

  • La loi des contraires et sa cohorte d’antinomies - la politique Tsarkoziste peut-elle encore durer ?

     

     

     

    Notre très affable bon président Nicolaï Tsarkovitch 1er justifiait, dans un récent colloque télévisuel, qu’il faut des riches. (nous appellerons cette affirmation ‘P1’ pour Postulat 1)

     

    Les riches, disait-il en substance, sont nécessaires à la Nation car ils garantissent nos investissements et notre développement en plaçant leur fric dans des affaires juteuses qui donnent du travail aux travailleurs et des dividendes aux actionnaires boursicoteurs.

     

    Bien ! Actons de ce postulat qui affirme que les riches représentent la force vive de la Nation, son sang bleu, la noblesse de l’Etat et notre meilleure garantie contre les aléas financiers imprévisibles et cabots.

     

    Cependant, par cette gracieuse justification, il postule obligatoirement son corollaire :

    « Les pauvres sont indispensables à la Nation. » (Nous donnerons à ce second postulat le doux nom de ‘P2’)

     

    Sans entrer dans le détail, le bon sens populaire élémentaire vous le dira :

    S’il n’y a que des riches il n’y a plus de pauvres et s’il n’y a que des pauvres il n’y a plus de riches. Monsieur de Lapalisse, en son temps, n’eut pas mieux dit !

     

    Les pauvres, donc, permettent aux riches d’exister quand les riches réclament toujours plus de pauvres afin de rester ou, mieux, développer leur statut de riches.

     

    Je l’écrirai, personnellement sous la forme algorythmique suivante :

    If P1 > P2

    Then P2 = P1

    Else P1 = P2

    End if;

     

     

    La question sur laquelle notre très aimable dictateur ne s’attarde  pas est : « faut il plus de pauvres pour plus de riches ou pour que les riches soient plus riches ? »

    Et pour cause !

    Cette question, en effet, est très épineuse !

     

    If P1<P1’

    Then P2’ >  P2

    Else P2 = P2’

    Else if P2 > P2’

    Then P1 > = P1’

    And P2 = P2’

    End if;

     

    Tentons, si vous le voulez bien, d’apporter quelques éclaircissements à ce dilemme.

    Pour ce faire, dressons le portrait d’un pauvre puis celui d’un riche.

     

    Le pauvre :

    Le pauvre n’a jamais d’argent sur lui ni sur son compte en banque.

    Il vit à crédit et ses revenus sont principalement constitués de subsides qu’il perçoit de l’Etat sous forme d’allocations familiales et/ou de chômage et/ou de fin de droits, de revenus minimum ou de retraite précaire.

     

    Certains pauvres travaillent.

    Ils occupent des emplois que les riches ne sauraient tenir.

    On peut les voir sur des chantiers ou sur des navires ou dans des commerces minables tels les bureaux de tabac loto tiercé bar brasserie du commerce, les boulangeries, les pharmacies, les boucheries … etc ….. (veuillez compléter la liste par vous-même).

    En tout état de cause, la rémunération du pauvre est diaphane.

    Il ne sait pas se vendre et accepte volontiers des salaires de misère sous le fallacieux prétexte qu’il est heureux d’avoir du travail.

    Bien entendu, le pauvre raisonne comme un pot de chambre et s’auto dévalorise  car il ne comprend rien aux délicats mécanismes de l’économie.

     

    Le pauvre vit dans des lieux infâmes, dignes, la plupart du temps, de porcheries. Il n’a aucun confort et se voile la face en regardant la télévision dans laquelle il peut voir les riches et les envier sans pouvoir les toucher.

     

    Le pauvre, s’il joue aux courses de chevaux, n’a pas les moyens de posséder son propre haras avec des chevaux racés et lustrés.

     

    Sa voiture, quand il en a une, est une automobile gourmande en énergie et entretiens, assurée à prix d’or, qu’il doit faire contrôler régulièrement parce qu’on ne peut avoir confiance dans les pauvres  et dangereuse à conduire.

    Les pauvres s’agglutinent sur les autoroutes une fois par an et s’y entretuent gaillardement car ils n’ont pas les moyens de voyager dans leur propre avion.

     

    Le pauvre est un être abjecte et repoussant.

    Il travaille avec ses mains qu’il a toujours sales et les efforts qu’il fait dans son métier le couvrent de sueur qui se colle à ses vêtements, les mouille d’exsudat et ces sécrétions imprègnent le pauvre d’une puanteur abominablement écoeurante.

    Le pauvre ne fait aucun effort pour s’arranger ni pour améliorer son quotidien.

    Le pauvre est alcoolique et joueur, il dépense son maigre pécule dans des jeux idiots qui le ruinent.

    Notez, au passage, que même si on donnait plus d’argent à un pauvre il n’en serait pas plus riche puisqu’il dépenserait tout en jeux imbéciles.

    Les pauvres font des mariages de pauvres mais qui les endettent pour dix ans.

    Ensuite, certains, plus kamikazes que les autres, s’endettent pour vingt cinq ou trente ans pour l’achat de leur porcherie qu’ils finiront par perdre soit aux jeux soit parce qu’ils ne seront plus bons ni pour le travail ni pour le chômage et qu’ils n’atteindront pas l’âge fatidique de la retraite qui se débine sous leurs yeux un peu plus chaque année, repoussée par le gouvernement aux calendes grecques.

     

    Le pauvre n’a qu’un seul mérite : celui de mettre en valeur les riches.

     

     

    Le Riche :

    Le mot s’écrit avec une majuscule car le Riche est le descendant direct du Noble.

    Il en a les vertus et l’argent qu’il n’a pas besoin d’aller chercher car l’argent vient à lui sans qu’il ait à se déplacer.

    Le Riche sent bon les parfums onéreux, il a une dentition parfaite et des cheveux soyeux et bien entretenus.

    Le Riche peut aller partout (sauf dans les porcheries des pauvres) sans avoir à demander une quelconque autorisation à qui que ce soit.

    Il se déplace dans des yachts ou dans des jets privés.

     

    Le Riche est d’un naturel élégant, il est très  bien vêtu de beaux habits riches en textile, en couleurs et en poches.

    Il parle avec beaucoup de componction en utilisant des mots choisis qui n’irritent pas les oreilles et n’ont ni l’arrogance ni la véhémence des mots des pauvres qui parlent sans vergogne de révolution, d’anarchie, de grève (OUHHHHH ! le vilain mot !), de congés (et puis quoi encore … ?), de télévision et de foot …. Etc ….

     

    Le Riche, lui, est instruit. En tout cas, il est bardé de diplômes très rares qu’il est obligé d’aller acheter dans des pays lointains qui ont des universités renommées et dispendieuses (mais le Riche s’en fout car il a les moyens !).

     

    Le Riche n’a pas besoin, comme le pauvre, d’apprendre quoi que ce soit car l’argent remplace avantageusement l’érudition.

     

    De toutes façons, le Riche possède des bibliothèques bien documentées de livres inutiles et d’incunables  de grande valeur financière.

     

     

    Le Riche est généreux, il donne aux petites sœurs des pauvres qui ont la lourde responsabilité de redistribuer aux pauvres méritants (qui sont rares – c’est pour ça qu’elles ne peuvent donner plus).

     

    Le Riche dort dans la soie. Il y pète aussi car le Riche a, malheureusement, une constitution physique proche du pauvre mais sans les désagréments liés aux travaux de force et autres inconvénients inhérents aux insuffisances  médicales.

    Lorsque le Riche se trouve acculé aux troubles des intestins, il a à sa disposition un lieu d’aisance particulier entrenu par une pauvre spécialement dédiée à cette tâche ingrate mais valorisante de nettoyage des toilettes.

     

    Le Riche n’a qu’un seul point faible : il a besoin du pauvre pour être riche.

     

     

    Nous pouvons, à présent, répondre à notre fameuse question : « Faut il plus de pauvres pour plus de riches ou pour que les riches soient plus riches ? »

     

    Grâce aux définitions que nous avons données, il est aisé de conclure que :

     

    Plus il y a de pauvres, plus les Riches sont Riches et si il y a encore plus de pauvres, on peut très bien imaginer qu’il y ait, alors, assez de pauvres pour qu’existe plus de Riches.

     

    Ainsi, ces explications donnent raison au gouvernement Tsarkoziste :

    « Il faut générer le plus de pauvres possible si nous voulons qu’il y ait plus de Riches plus riches. »

     

    If P1’ > P1

    Then P2’ > P2

    End if

     

    Ainsi, aussi, nous comprenons mieux la politique Tsarkoziste qui consiste à hypothéquer les vieux en les privant de retraites car ils feront d’excellents pauvres qui ne trouveront pas de travail à partir de 50 ou 55 ans et s’enfonceront dans la misère faute d’un revenu en attendant la retraite qu’il n’atteindront pas car ils se suicideront avant et de facto, leur argent viendra grossir le portefeuille des Riches qui se paieront des dettes des pauvres en leur confiscant leurs porcheries qu’ils revendront au prix fort au nouveaux pauvres cherchant du travail et de quoi se loger.

     

    Cette stratégie du perdant / gagnant est d’une grande perversité, certes, mais elle est aussi d’une redoutable efficacité car le dynamisme qu’elle engendre permet aux vieux de mourir jeunes et aux jeunes de remplacer les vieux qui nous quittent !

    Ce brassage présente en outre l’avantage de garantir aux Riches de rester Riches et aux pauvres de rester indispensables.

    Bien entendu, cette stratégie explique et justifie aussi le besoin d’immigrés qu’a la France car, comme nous venons de le démontrer, les vieux mourants de plus en plus jeunes, nous serons rapidement en déficit de pauvres !

    OR, l’immigration est une ressource inépuisable de pauvres tant que les Riches étrangers resteront solidaires des Riches Français et de ce point de vue, nous n’avons guère de doute.

     

    Vive la France et le Boukistan, vive les futurs pauvres étrangers français et les français Riches de souche !!!!!!!!!!!!!!!!

     

     

  • Dans la série "les Français" me posent leurs questions restées sans réponse :

     

    De cocolarouspete

    Prédicateur | 14H40 | 04/08/2010 | Permalien

    "L'ex-garde des Sceaux fustige sur Rue89 la volonté de Sarkozy de déchoir de leur nationalité les délinquants d'origine étrangère."

    Je me pose une question simple: quelle est l'intérêt de garder ces gens la dans notre pays ?

    +++++++++++++++++++++++++++++

    Ma réponse :

    Eh bien c'est une excellente question !

    Merci de me l'avoir posée !

    Effectivement, on peut se demander quel bénéfice la France trouve à conserver sur son territoire des délinquants d’origine étrangère voir des étrangers sans origine ou des étrangers étranges d’origine indéterminée !

    Moi-même, je me suis longtemps posé la question jusqu’à ce que je découvre que ces délinquants ont un rôle essentiel dans notre collectivité.

    Ce sont eux, en effet, qui ont la lourde charge de développer l’économie souterraine, le commerce du shit, de la coke, de l’héroïne et de toutes ces substances qui, sans leur dévouement pour la France, ne trouveraient aucune filière.

    Revenant de Marseille où j’étais allé à un congrès de médecins de famille de campagne agricole, je me suis fait doubler sur la droite par un véhicule blindé aux vitres teintées qui roulait à au moins deux cent cinquante kilomètres heures vu que moi-même personnellement je roulais aux alentours de deux cents kilomètres heures selon le compteur de mon Hummer.

    Les motards n’ont pas bougé.

    Que voulez-vous qu’ils fassent face à la puissance de ces engins ?

    Les rattraper au péage ……  au risque de se prendre une balle pas perdue ?

    Non, les gendarmes ne sont pas fous, ils savent bien que de toutes façons, ces milliardaires seront libérés sur caution de quelques milliers d’euros avant même leur garde à vue et leur procès se terminera par un non lieu puisque leurs juges sont payés par le fruit de la juteuse vente des produits hallucinogènes …..

    Voilà !

    Vous voyez, il y a toujours un équilibre naturel qui s’établit entre les plus forts, que ce soit par la force publique ou par la force financière …..  l’union fait la force et la force fait le pognon ………………   CQFD !!!

     

    Vive la France et le Homard de Clermont Ferrand !

  • L'équipe de France de foot ball nous ouvre le chemin .... soyons leur reconnaissant de tant de beau spectacle !

     

    Mémoires anthumes

    pour une oraison posthume.


    (Sketch pas drôle mais surprenant - j'espère - à l'attention de Melissa .... ou de qui veut !)

     

     


    Là, telle que vous me voyez, je reviens d’un enterrement.  Silence ….

     


    Non, non, je ne suis pas triste, je ne connaissais pas le mort. Silence ….

    Du moins, c’est ce que je croyais ….

     

     

    Figurez-vous que je passais, par hasard, rue de la Pompe - petit silence / si personne ne le dit dans la salle, ajouter – « funèbre » …. Oui, je ne pouvais pas la louper, celle-là !

     

     

    Donc, j’étais rue de la pompe lorsque je vois passer un corbillard ….

     

     

    Oh ! ce n’était pas une de ces voitures modernes avec vitres teintées, petites tentures et fleurs blanches sur le capot dont Brassens prétendait qu’ils peuvent faire des petits ! …

     

     

    Non, c’était un corbillard à l’ancienne, un genre de carrosse en bois et roues ferrées, avec un baldaquin sous lequel on pouvait apercevoir un cercueil reposant sur une espèce de gros coussin gris qui semblait apporter un confort bien tardif au ‘de cujus’ … petit silence … un ‘de cujus’, c’est un autre mot pour dire ‘mort’.

     

     

    Et ce carrosse, figurez-vous, était tiré par quatre gros chevaux noirs avec un plumeau noir sur la tête qui leur donnait un air très solennel.  petit silence ….

    Ils avaient fière allure !

     

     

    Mais ce n’est pas tout... petit silence ….

     

     

    Figurez-vous que ce carrosse était suivi par une longue file de femmes toutes en robes longues noires, en pleurs, le visage couvert d’une voilette de crêpe noir …  et de messieurs en frac avec chapeau haut de forme qui avaient la tête posée sur leur poitrine en signe de tristesse.  petit silence ….  Petit sniff du nez ….

     

     

    Alors, forcément, je n’ai pas pu me retenir de les suivre ….  commencer à marcher les mains dans le dos, l'air prostré .... et triste ...

     

     

    Après une demi-heure, je me suis rendue compte que des tas de personnes de toutes qualités, de tous sexes et de tous âges avaient fait de même et suivaient le cortège, en silence ….. Ils rejoignaient le cortège au fil de ses pérégrinations et de son parcours hiératique et anarchique …

     

     

    Nous avons marché jusqu’au père Lachaise. petit silence ….

     

     

    Oui, ça fait un sacré bout de chemin, mais quand on aime …..  petit silence…

     

     

    Arrivé au carrefour avec le boulevard Voltaire, un orchestre style New-Orleans - vous savez avec trompettes, banjos, castagnettes et hélicons et aussi des chanteuses et chanteurs qui dansent en zigzaguant de droite à gauche de la rue et en psalmodiant du blues ... très triste et très beau  – s’est mis en tête du cortège ….. petit silence  ….

     

     

    C’était surréaliste.

     

     

    La file, derrière moi, s’étendait à perte de vue et nous tenions tout le boulevard Saint Martin, y compris les trottoirs.

     

     

    Le plus surprenant, c’est quand nous sommes passés devant le père Lachaise sans nous arrêter ! petit silence …

    Je me suis dit qu’il y avait comme un hic !

     

     

    Nous avons continué jusqu’au Quai de Bercy et la fanfare s’est soudain arrêté de jouer ….. là, juste sous les fenêtres du ministère des pertes et dépenses inutiles …..

     

     

    Pas un mot, rien, le silence total, comme si Paris venait de mourir.

     

     

    Je me suis mise à pleurer silencieusement … et puis j’ai tout compris !

     

     

     

     

    J’étais à l’enterrement de

    la  défunte  retraite

    et tous ces gens étaient venus,

    eux aussi,

    pour un dernier adieu !

  • Elle est pas belle la France ?

    Rue 89, sous le titre :

    Etats-Unis : Glenn Spencer, la sentinelle anti-sans-papiers

    http://www.rue89.com/california-dreamin/2010/06/07/etats-unis-glenn-spencer-la-sentinelle-anti-sans-papiers-153747?page=0#comment-1544529

     

    Ma participation :

     

    A quelle adresse peut-on envoyer nos dons ?


    Envoyez moi vos dons, je me charge des les faire parvenir à ce brave homme qui fait tout pour conserver un pays propre et pimpant !

    Je crée illico l'OGN "pour un peuple américain pur et sans tâche" et dès que j'ai reçu vos dons, j'affrête un jumbo jet pour aller leur apporter notre soutien et notre stock de vieux pneus pour qu'ils enfûment l'ennemi !!!!!

     

    En France, on a pas d'immigrés, mais on a des idées !

     

    Tiens ! je viens d'avoir une autre idée très altruiste :
    Pour aider nos alliés américains, nous pourrions recevoir leurs immigrés chez nous. Ca les débarrasserait et nous, ça nous ferait un peu de main d'oeuvre bon marché, ce qui soulagerait nos patrons et ferait des cotisations retraite sans prestations !

     

    elle est pas belle la France ?

  • Mais qu’est-ce vraiment que la retraite ?

     

     

     

    Mon équipe de reporters s’est jetée sur la question à corps perdu et voici les fruits de leur enquête.

     

    Nous avons rencontré un vieux monsieur tout plié en quatre dans une maison de retraite il nous a déclaré :

    « Moi, du moment qu’on me laisse tranquille avec mon sirop d’orgeat et mes nougats, je n’en demande pas plus. »

     

    Le reporter :

    « Et que faisiez-vous dans la vie avant d’être à la retraite ? »

     

    Le vieux :

    « Je vendais des lunettes pour chiens d’aveugles. »

     

    Le reporter :

    « Et ça payait ? »

     

    Le vieux :

    « Tu veux reprendre le boulot ? »

     

    Il lâche un pet monstrueux et une infirmière aux aguets derrière les rideaux du salon accourt lui foutre une grand claque dans la gueule. Le vieux tombe de son fauteuil et s’écrase le museau sur le carrelage qui se couvre de rouge sang.

     

    Notre reporter aide le vieux à remonter sur son siège tout en agonissant l’infirmière aux gros bras. Celle-ci, n’appréciant guère de se faire agonir devant le petit personnel et les vieux débiles fout une mandale à notre reporter et lui casse les incisives.

    Les pompiers arrivent dans leur voiture rouge tintinnabulante immédiatement suivie du car de police sirénant.

     

    Tout le monde se retrouve en garde à vue et le vieux claque d’un arrêt cardiaque du cœur.

     

    Nous avons mis plus de trois jours pour récupérer notre reporter qui a démissionné.

    Aux dernières nouvelles, il vendrait des cravates pour chiens d’aveugle (les aveugles n’y ont vu qu’du feu !)

     

    Notre second reporter s’est rendu dans la maison cossue d’une veuve cacochyme et nympho.

    Il a été accueilli à bras ouverts et nichons en avant.

    Pas de bol pour la vieille, notre reporter est homo et gay.

     

    Du coup, la rentière m’a appelé pour que je reprenne mon inutile reporter que j’ai foutu à la porte pour manque d’investissement personnel dans son job.

    J’ai gagné aux prud’hommes et je suis allé interviewer moi-même personnellement la vieille bique.

     

    Après de longues effusions baroques et interminables, elle a remis ses nichons dans le truc qui lui sert de soutif, remis ses poils dans sa petite culotte d’un goût plus que douteux (dessins de Volinski imprimés en relief sur la culotte qui pourrait contnir cinquante kilos de patates !)

    Nous nous sommes attablés devant une théière vide (la vieille prétend qu’elle n’a pas les moyens de se payer du Darjeeling des Indes du sud), et la discussion a pu commencer.

     

    Moi :

    « Dites-moi, chère petite madame, que pensez-vous de la retraite ? »

     

    Elle :

    « Tu peux m’appeler Ramona, et ce que je pense de la retraite n’est pas très avouable. »

     

    Moi :

    « Mais encore, Ramona ? »

     

    Ramona :

    « Je pense que l’âge de la retraite devrait être plus tôt car vois-tu, mon beau ramoneur, avec la bouffe qu’on nous fait bouffer, il est vraisemblable que la durée de l’espérance de vie va considérablement diminuer dans les décennies qui vont venir. »

     

    Moi :

    «  vous voulez dire, chère Ramona, qu’on nous empoisonne volontairement pour que nous n’ayons pas l’heur de jouir convenablement de nos retraites ? »

     

    Ramona :

    « Tu causes bien mon gentil bouc, dis, tu veux bien me caresser le nombril pendant que je te réponds ? » Je m’exécute, me sacrifiant pour te ramener, fidèle lecteur, le meilleur des reportages sur les retraites ….. «  Hummmm …. Oui, encore, c’est bon ….. je disais donc qu’effectivement, j’ai la conviction que Monsanto est financé par les riches terriens pour faire descendre drastiquement la démographie populaire et permettre aux nantis de se retrouver avec un nombre d’esclaves restreint et facilement manipulables. Tu sais, mon adorable chatouilleur que les capitalistes chinois ont beaucoup de mal avec leurs milliards de petits bons hommes qui courent partout et qui sont trop nombreux pour qu’on les foute tous en prison. »

     

    Je suis resté perplexe devant les arguments de mon hôtesse qui avait fini par retirer son excentrique petite culotte et avait conduit ma main jusqu’entre ses énormes jambons ….. je n’avais pas fini de réfléchir quand un jeune homme est entré dans la pièce sans frapper l’huis ni crier ‘gare’ !

     

    Ramona :

    « Mon bon saucisson, je te présente mon fils unique et chéri : Pédro d’el Carillon é Estafilade.

    Non, non, tu peux laisser ta main il ne se choque pas de ce genres de mondanités intimes et chaleureuses.»

     

    Pédro :

    « Bonjour monsieur saucisson, vous êtes venu prodiguer des soins intensifs à ma douce maman ? »

     

    Moi :

    « En fait, je suis reporter au journal ‘Ons lapa du gros chêne’ et je suis en train d’interviewer votre pétulante maman et mon nom n’est pas Saucisson mais Yfig. »

     

    Pédro :

    « Eh bien je vous souhaite bien du courage et je vous laisse à votre condition. »

     

    Moi :

    « Attendez beau tourtereau, n’auriez-vous pas un mot ou deux à me dire sur ce que vous-même vous pensez de la retraite et de votre occupation professionnelle ? »

     

    Pédro :

    « Je suis traider à la BAAR ‘Banque d’Athènes et d’Ankara Réunis’ et je pense avec mes coreligionnaires de bureau que

    la retraite  est un pari sur la mort !»

     

    Moi :

    « Pourriez-vous être plus précis ? »

     

    Pédro :

    « Eh bien si tu vis plus longtemps, tu touches plus de retraites et si tu meurs jeune, tu touches des clopinettes.

    Tout le but des pourvoyeurs de retraite consiste à allonger la durée de cotisations pour qu’elle rejoigne ou presque la durée de l’espérance de vie des travailleuses – travailleurs.

    Ainsi, tu cotises sans jamais toucher ta retraite et les banques se font du gras avec tes sous. »

     

    Moi :

    « Mais ce ne sont pas les banques qui gèrent l’argent des retraites ! ? »

     

    Pédro :

    « Et c’est qui, alors ? »

     

    Je n’ai pas eu le temps de répondre !

    Ramona qui n’en pouvait mais de notre conversation érudite s’est jetée sur moi et son gros sein droit est venu mal à propos se ficher dans ma bouche tout en obstruant mon nez. J’ai fini à l’hosto mais j’ai accompli mon devoir de reporter et j’espère, cher lecteur, que tu sauras apprécier mon œuvre.

     

     

  • panem et circenses - Væ victis - Mantua væ miserae nimium vicina Cremonae - Sed omnia tempus habent - et ma concierge n'est pas dupe, même en petite culotte dans les communs aux poubelles !

     

     

     

    Essayons de réfléchir tranquillement, par nous-mêmes, loin des propagandes des divers JT qui répètent en boucle les discours officiels du service comm du parlement Européen et loin des experts télé qui sont experts en finances comme en choucroute du Sénégal.

     

     

    Que nous disent les ‘oracle’ internautiques ?

     

     

    http://www.imf.org/external/np/exr/facts/fre/imfwbf.htm

    Le FMI et la Banque mondiale sont des institutions du système des Nations Unies. Elles poursuivent un même but qui est de relever le niveau de vie des populations des pays membres. Leurs approches à cet égard sont complémentaires : l’action du FMI est centrée sur les questions macroéconomiques tandis que la Banque mondiale se consacre au développement économique à long terme et à la lutte contre la pauvreté

     

     

     

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_centrale

    La banque centrale d'un (ou de plusieurs) pays est une institution chargée par l'État (ou un ensemble d'États dans le cas d’une zone monétaire comme la zone euro) de décider d'appliquer la politique monétaire. Elle joue tout ou partie des trois rôles suivants :

    assurer l'émission de la monnaie fiduciaire et contribuer à fixer ainsi les taux d'intérêt ;

    superviser le fonctionnement des marchés financiers, assurer le respect des réglementations du risque (ratio de solvabilité) des institutions financières (en particulier des banques de dépôts) ;

    jouer le rôle de banquier de dernier ressort en cas de crise systémique.

     

     

     

    Mais …. Mais …… mais alors …….. nous avons déjà tout ce qu’il faut !!!!

    Alors pourquoi créer un fonds spécifique de défense de l’euro ?

    Est-ce que, par hasard, les institutions existantes ne jouent plus leur rôle ?

    Est-ce que leur crédibilité est mise en cause ?

    Est-ce quelles refusent de prendre en charge l’euro ???

     

     

    QUID ?

     

     

    Que se passe-t-il réellement ????

     

     

    Non, braves amis, ne m’en demandez pas plus, je ne suis pas, hélas ou tant mieux, dans le secret des grands de ce monde ……. Grands qui sont tous tombés bien bas nous entraînant dans leur chute pitoyable et utilisant tous les artifices en leur pouvoir pour magouiller, maquiller les comptes, envoyer des leurres propagandistes pour résister, tenir, tenir encore et encore ….. jusqu’à ce que plus rien ne puisse tenir !

     

    Bon, on peut y réfléchir ensemble.

     

    Est-ce que les plus touchés ne sont pas ceux qu’on croit ?

     

    Est-ce que, par le plus grand des hasards hasardeux, les capitalistes sont en train de perdre la main et se retrouvent les poches vides et que, pour ne pas laisser tous ces grands patrons tomber dans la misère les amis politiques de tous bords se coalisent afin d’utiliser le peu de crédit qui reste à l’Europe pour boucher les trous ?

    Sommes-nous à la veille d’une fin ?

    La fin d’un système dit « libéral » et qui n’est libéral que pour les spéculateurs et les riches ?

     

     

    Pouvons-nous réellement et naïvement accorder notre confiance aux politiques de Bruxelles qui se réunissent en catimini pour défendre, dans les faits, leurs propres intérêts, quittent à obérer encore un peu plus les Nations qu’ils ont bien largement vampirisées ?

     

     

    La chute n’est-elle pas tout simplement inéluctable, liée à la virtualité cradingue de nos systèmes financiers prenant leur source dans les bourses mondiales qui ne sont que des marchands de peaux de saucisson, de bananes et de chagrin ! ?

     

     

    Il ne faut jamais perdre de vue la réalité économique, la vraie, celle qui est faite de nous autres, les petites gens qui travaillons, économisons, consommons au quotidien avec nos maigres ressources, achetant quelques poireaux au marché, quelques bas morceaux chez le boucher, une étagère chez le menuisier, une demi-douzaine d’œufs chez la fermière voisine …. Etc ….

     

    La vraie économie, ce n’est pas le vent de la bourse ! Ce ne sont pas des bruits de couloir, des colportages, des séries télé nulles, des chanteurs de supermarché, des stars de pacotilles de vedettes belges …. Non, ça, c’est le superflu, le panem et circenses des romains, le bullshit des soap opera …..

     

    Seulement voilà, les enfoirés de Bruxelles aimeraient bien nous vendre leurs vessies au prix des lampions de 14 juillet …… 14 juillet qui ne va plus tarder si j’en crois mon calendrier.