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  • Les magasins le Printemps sont rachetés par les émirs du Qatar ! Djellaba et tchador à tous les étages ...

    ...  saucisson sec, à l’ail et paupiettes de veau ou chipolatas hallal au snack, lait de chamelle et thé à la cardamone au bar et shit à volonté au rayon santé.

     

     

    Ambiance, une douce musique égyptienne, une chanson d’Ohm khalsoum, des parfums d’amande et de bois bandé, des hôtesses invisibles derrière leur burqa vous offrent des roses de Damas et des pois chiche de Marrakech pendant qu’un charmeur de serpents morts joue de l’harmonica berbère aux yeux bleus.

    Un mouton bêle au loin.

    Une prière s’élève vers le toit de la verrière porté par un haut parleur de chez Dior.

    Le mouton qu’on égorge gueule comme une truie qu’on assassine.

    Le muezzin fait une  brève apparition, il vient vendre son dernier roman « si j’t’attrape j’t’y nique » qui a remporté le prix du meilleur somnifère hallal de Barbès.

    Un dromadaire passe entre les rayons de porcelaines et renverse tout sur son passage pendant qu’un bédouin essaie de lui attraper les couilles à l’aide d’un lasso tressé dans des feuilles de palmier dattier.

     Le président de la République entre à reculons dans le souk Printemps et se voit refiler un tapis de prières qui pue des pieds. Il s’agenouille et récite 3 paters, 2 avé et un je vous salue Marie salope. Le grand rabbin sort son livre intitulé « pas vu pas pris » et en assène un grand coup sur la tête de l’uléma qui passait là par le plus grand des hasards vu qu’il venait seulement pour acheter une paire de babouche avec boucles en argent et semelle en peau de hareng.

    Au rayon bricolage une vente au rabais bat son plein et on peut acheter des clous de girofles en solde et des pieds de biche en forme de cornes de gazelles pour une décoration à prix très modéré.

    Une danseuse du ventre attire les chalands au stand des « shawarmas pour sharmoutas ». le ministre de la vie facile introduit quelques billets dans le slip de la bayadère qui lui file un petit coup de mont de Vénus entre les yeux pour le remercier.

     

    Ah ! Le printemps arabe, exotisme, orientalisme, ésotérisme et délices loukoum …. Allez’y vite avant qu’ils ne le transforment en mosquée !!!!!

  • On n’est pas couché, on est allongé, effaré et pétrifié ! Quand Polony écrase le pif de Bedos père (qui ressemble à son fils), et qu’elle crêpe le chignon de Caron, on a peur pour elle !!!

     

    Pas pu voir le top ten, ma voisine dont la télé est en panne suite à une fuite urinaire dans sa salle de bain a squatté mon poste pour regarder the voice pendant que je faisais des frites au chocolat.

    J’arrive donc directement dans le débat (des bas) avec Valls, l’homme qui a appris la langue de bois en une semaine. Superbe polyglotte, ce ministre ! Vous lui posez une question …. Il a la réponse.

    Ça donne quelque chose comme ça :

    PoloCaron ( ?) : L’affaire Cahuzac, vous croyez vraiment qu’une déclaration de patrimoine rassurera les français ?

    Valls : Je sais que les français attendent de notre gouvernement l’exemplarité morale que les français ont bien mérité vu qu’ils ont élu François Hollande comme président et que ça peut toujours servir de savoir à qui on a à faire.

    PoloCaron ( ?) : L’insécurité n’a jamais été aussi grande dans nos banlieues, les français vivent dans la peur et l’incertitude, certains n’osent plus sortir de chez eux … ;  que comptez-vous faire ?

    Valls : Je sais que les français attendent, à juste titre, que le gouvernement leur apporte la sécurité qu’ils ont bien mérité puisqu’ils ont voté pour F. Hollande très massivement et en ma qualité de membre du gouvernement, je suis fier de l’action présidentielle.

    PoloCaron ( ?) : L’économie de la France est dans le dernier sous-sol, les français pointent massivement à pôle emploi et se demandent quand seront enfin réalisées les promesses de campagne de F. Hollande qui ne se préoccupe que d’une seule : le mariage joyeux … euh ! non, gai ?

    Valls : Je sais que les français attendent du gouvernement que leur vie soit plus rose et le temps meilleur c’est pour cela que j’ai convoqué le président de météo France pour qu’il change le temps et apporte aux français le soleil qu’ils ont bien mérité vu qu’ils ont voté pour pépère ….  Euh ! Oups ! pardon, je veux dire F. Hollande afin que le soleil brille ! hello ! Et je voudrais affirmer véhémentement ici, devant vous et les milliards de téléspectateurs endormis devant leur télé que les homosexuels sont des hommes comme les autres et qu’à ce titre, ils ont parfaitement le droit de passer devant monsieur le maire pour se jurer fidélité jusqu’au divorce.

    PoloCaron ( ?) : Les français ont le sentiment que les femmes et hommes politiques sont de connivence, qu’ils soient de droite ou de gauche ils se mélangent allégrement et la femme de l’un est l’avocate de l’autre quand le PDG de l’autre est le ministre des sous perdus qu’on n’a jamais retrouvé vu qu’ils sont dans la poche de sa belle-sœur qui est la belle-mère du beau-frère du ministre des étranges affaires qui, lui-même est le mari …. Ouais …. Vous m’avez compris, on a vraiment l’impression qu’ils vivent en bande !

    Valls : (se met dans une colère folle, il menace Polony de l’index et Caron de l’anus-laire) Je vais vous briser, vous devez rester respectueux envers notre famille qui gouverne alternativement la France avec une dévotion irréprochable …  sauf quelques affaires déplorables et d’ailleurs, nous avons exclu les coupables.

    Laurent : Oui, ce que vous reprochez surtout à Cahuzac c’est d’avoir avoué parce qu’en fait vous étiez tous au courant de son compte en Suisse !

    Valls : monsieur Ruquier, je vais vous casser et je vous le dis comme je le pense, les yeux dans les yeux, nose to nose, la main dans la culotte d’un zouave, le pied à l’étrier et les fesses au chaud dans ce fauteuil de mauvais goût ….  Nous ne savions rien !

    Bedos : c’est encore pire !

    Valls : Oh vous, le comique troupier, mêlez-vous de vos blagues racistes et laissez-nous gouverner en paix !

    Tout le monde rigole et Laurent passe aux dessins humoristiques avec son art consumé voir cramé de la transition à propos !

    Moi, je vais me coucher  ….  Je passe aux toilettes puis dans la salle de bain en mémoire de Ponce Pilate …. Merde ! j’ai oublié de fermer la télé ! Ah ! Mais j’ai drôlement bien fait, y’a Polony qui se paie Devos …. Euh, non, pardon, Bedos (celui qui ressemble à son fils) !

    J’en suis resté le cul entre deux chaises …. Elle te l’a morigéné en toute beauté, lui assénant ses vérités avec un aplomb que nous ne lui connaissions point, le traitant de ringard, d’has been, de vieux croûton réac et raciste, de débris du PAF, de rabat-joie (il l’a mal pris), de brise menu, de bachibouzouk ….  Bref ! tout y est passé et l’autre a fini par s’enfoncer dans son fauteuil jusqu’à disparaître ….  J’ai fermé mon poste devant ce spectacle d’une désolation insupportable, ce naufrage plus morbide que celui de l’amococatrix !

    La télé est une arme ai-je pensé en moi-même dans ma tête avant de rendre mon âme à Morphée (encore un gai !)

  • hautefort refuse les commentaires en anglais ...... de quoi perdre son latin !

    J'avais écrit :

    Thatcher is not really my cup of tea !
    If she had call me to assist her burying, I would have find a very good reason not to go ....  for example that I am allergic to religion and can enter a church only to lead tourists.
    U See ?"

     





  • Il y a urgence, une grande urgence, une TRES GRANDE URGENCE ... à faire voter le mariage gai !

     

     

    Bah ! forcément, quand tout part en couilles, quand le parti s'effrite, quand les mesures de transparence ne dévoilent rien des petits et des grands arrangements, quand l’autorité de pépère est gravement altérée, quand le peuple s’énerve et que les sondages touchent le fond …..  il y a urgence parce que ce gouvernement roule et tangue comme un pédalo ivre ….  Alors, vite, vite, fissa, y’a t’la il faut faire plaisir à Berger et ses copines (de ch’val dans les lasagnes), il faut marier les gais.

    Quelles conneries, tout ça pour finir dans un divorce ! (entre les français et la politique).

  • Le Sénat vote le mariage pour tous ! ma concierge s'en bat les couilles ! et moi itou !

     

    LE     TRACTOSAURE

     

    J’le connais depuis qu’on habite ici, donc, ça doit bien faire vingt cinq ans.

    Le père Cauchois, dit le grincheux, est une figure dans notre microcosme.

    Y ‘en a même qui le connaissent au delà des frontières du village et on m’a rapporté qu’on en parle jusqu’à Cormeilles.

    Paysan de son état, il baguenaude sur son tracteur orange dont la marque a été lessivée par les intempéries et le temps, orange, qui a dû être rouge par le passé.

    L’hiver il porte une espèce de blouson d’aviateur de la RAF qu’il a récupéré on ne sait d’où, avec un col fourrure et des lambeaux de cuir de ci de là sur le poitrail et dans le dos qu’on ne peut entrapercevoir que lorsqu’il descend de son engin, ce qui est rarissime. Ouais, on dirait qu’il a le cul collé au siège de son tracteur, à moins qu’il ne soit le fruit d’un croisement improbable entre une paysanne et un tracteur, un peu comme un centaure qu’on appellerait alors un « tractosaure ».

    Il a toujours un bout de clop à son bec édenté, où quelques chicots noirâtres ne laissent aucun doute sur son indifférence à l’hygiène dentaire. D’ailleurs, quand on s’en approche trop, les fragrances de mouise, à moins qu’il ne s’agisse de bouse, vous font reculer illico de trois pas au moins et même en plein vent.

    Il a une grosse bouille rouge mal rasée. Il doit utiliser un rasoir à main centenaire pour être toujours aussi mal rasé sans pour autant être barbu.

    Il roule ses cigarettes et n’utilise que du tabac gris, m’a-t-il confié un jour où il avait réussi à me coincer au bout du chemin, et on eut dit qu’il me faisait là, la confidence du siècle !

    Dés les premiers beaux jours, le Grincheux revêt son éternel marcel. Je n’ai pas pu lui arracher les vers du nez (l’image est forte quand on voit dans les trous de son nez !), a-t-il un unique marcel, en a-t-il plusieurs ? Et sa femme lave-t-elle ses marcels ? Bah ! avec lui, ce n’est pas vraiment une question métaphysique, non, juste une toute petite curiosité logistique.

    Sa femme, c’est la fermière, une petite femme noueuse et claudicante.

    Elle était vieille quand nous sommes venus nous installer ici, et aujourd’hui, elle n’a pas vieilli. C’est à elle qu’on s’adresse pour acheter des œufs ou du lait. Elle entretient quelques vaches dont elle vend le lait et les veaux. Enfin, je n’ai pas tout compris, je n’aurais pas pu être fermier.

    Le Grincheux, lui, s’occupe des cultures et des pommiers. Son cidre entièrement fait à la main est recherché dans toute la Normandie. Il le vend cher, mais il y met tant de cœur et d’ouvrage. Le cidre, c’est à la fin de l’automne, juste avant l’hiver et c’est tout un rituel car on ne presse pas n’importe quel jour. Il faut la conjonction de la lune et du vent. Ne m’en demandez pas plus, c’est tout ce que j’en ai retenu.

    Il y a de ça une dizaine d’années, le Grincheux  m’a fait demander par l’entremise de sa fermière de femme si je voulais voir comment il fait le cidre. Bien entendu j’ai répondu par l’affirmative avec une certaine excitation.

    Le jour venu, calculé selon des critères quasi mystiques et impliquant la lune et le vent, je fus convié à la fabrication de la précieuse boisson.

    J’arrivai à la ferme et le Grincheux m’attendait. Il me conduisit jusqu’au grand pressoir de la cour, celui dont on aperçoit le toit de chaume depuis notre jardin.

    Une grande charrette pleine de brassées reposait devant la porte du pressoir.

     Le Grincheux y prit deux brassées et encouragé par l’exemple, j’en fis de même. Après tout, être ainsi convié à l’élaboration d’un produit magique du terroir valait bien que je m’investisse un peu.

    L’intérieur du pressoir était dans une obscure pénombre et il me fallut quelques secondes avant que mes yeux ne s’habituent à cette obscurité. Mais déjà le Grincheux me bousculait au passage en m’enjoignant de déposer les deux brassées au pied du pressoir en granit, à côté des siennes et de le suivre aller en chercher d’autres à la charrette.

    Un trop rapide coup d’oeil au pressoir ne me permit pas d’en concevoir tous les détails, mais je vis comme dans un conte de fées qu’un petit cheval était attelé au bras du gros rouleau de granit.

    Nous déchargeâmes la charrette et j’étais en nage en ramenant les dernières brassées. Le Grincheux m’avait laissé finir seul dès la moitié déchargée et avait commencé à vider les pommes dans la rigole du pressoir, tout autour.

    Je ne sentais plus mes mains ni mes reins et j’avais maintenant presque froid dans la nuit à peine éclairée du soleil passant par la porte.

    Je fis un rapide écart au passage du cheval dont le bât aurait pu m’heurter. Il était aveuglé par des oeillères et ne pouvait me voir. C’était un petit cheval brun, mais on sentait sa puissance et il tournait sans effort autour du pressoir.

    J’avais enfin le temps d’admirer l’ensemble.

    C’était vraiment magnifique, le mariage du chêne et du granit est somptueux, majestueux.

    Un long bras de chêne entraîne un engrenage en chêne qui fait tourner la grande roue de granit dans la rigole du socle, de granit aussi, emplie de pommes.

    Une goulotte taillée dans le granit de la rigole et munie d’un grillage laisse couler le jus de pomme dans une grande bassine de chêne que le Grincheux me demanda de l’aider à verser dans un fût de chêne le long du mur en montant sur une espèce d’estrade mobile qui permet d’arriver juste à hauteur du haut du fût..

    Au fur et à mesure du brassage, le Grincheux à l’aide d’une pelle de forme spéciale et aux dimensions exactes de la rigole, retira les résidus de pulpe de pommes et les mit dans une grande cuve de chêne.

    Il me regarda et me lança : « ça, c’est pour faire la piquette. » Et son explication me laissa encore plus interrogatif.

    L’odeur sure de pomme écrasée, celle de ma propre sueur et celle du bonhomme et de son cheval emplissait à présent le pressoir et en regardant vers la petite porte ensoleillée, j’aperçus un nuage de vapeurs embaumées en sortir. J’eus l’impression d’être remonté dans le temps et de revivre comme un paysan du moyen-âge.

    Je n’ai pas vu les heures passées, et si ce n’était mes mains cloquées, mes épaules écartelées et mes reins laminés, je ne me serais pas soudain rendu compte que la nuit était tombée.

    Le Grincheux me lança :

    « Bon laisse,, je vais finir tout seul, ça ira pour aujourd’hui. Si tu veux, tu reviens demain, j’ai encore une charrette. »

    J’ai serré la grosse main qu’il me tendait sans lui montrer qu’il me faisait un mal de chien.

    Je suis rentré à la maison, j’ai pris une douche et me suis précipité sous les draps.

    Je me suis levé pendant la nuit pour aller manger un morceau, puis me suis rendormi très fort.

    Non, je ne pouvais pas y retourner le lendemain, j’étais brisé et hors d’usage.

    J’ai mis une semaine à m’en remettre.

    Ma femme est allée acheter quelques œufs et elle est revenue avec un drôle d’air ironique. Elle n’avait pas que des œufs, elle avait aussi un panier que je ne lui connaissais pas.

    « Mon pauvre Yfig, il t’a bien roulé le Grincheux. »

    « Roulé, pourquoi ? »

    « C’est sa femme qui m’a tout raconté parce qu’elle a un peu honte. »

    « Mais honte de quoi ? »

    « Le Grincheux, tu lui as fait économiser deux journées de journaliers qu’il aurait été obligé de payer si tu ne  l’avais pas aidé. Tiens, sa femme m’a donné cinq bouteilles de cidre pour se faire pardonner.»

     

    C’est super, j’ai eu une merveilleuse journée et en plus on me récompense. Et je n’ai pu m’empêcher de penser à Maupassant et à toutes ces histoires de paysannerie et de roublardises.

     

    A quelques temps de là, je croisai au bout du chemin de Crémanville le Sieur Grincheux chevauchant son inséparable et vaillant tracteur.

    Sans prendre la peine de couper le moteur ce qui nous obligea à élever de la voix, le Grincheux entreprit de me convaincre de ses propres convictions politiques qu’il a fort à droite toute !

    J’évitai tant que faire se peut, mais sans pour autant me compromettre, d’entrer dans une inutile polémique qui nous eut conduit à un inévitable conflit de voisinage. Je le laissai donc me débiter ses tonnes de lisier sans vraiment tout entendre à cause du moteur. Mais pour ne pas trop le laisser se douter de mon ennui, je tentais régulièrement des :

    « Bon ! c’est pas tout ça, mais … »

    Mais … il reprenait de plus belle son monologue et on eut dit qu’il prenait un malin plaisir à me tenir là, debout près de lui à me faire chier. A la fin, il eut raison de moi et je ne protestais même plus, je restais coi, la tête basse à subir mon injuste châtiment.

     

    Sans que rien ne le laisse présager, il stoppa soudainement le flot de ses mots. Sans me regarder, il dit :

    « Faut que je fasse le plein.»

    Je me demandai bien ce que le bonhomme s’apprêtait à faire, et je le vis sortir d’une espèce de coffre qu’il avait sur le côté de son tracteur une bouteille en plastique transparent  d’eau minérale à l’étiquette illisible tant elle était usée.

    Et je vis le bonhomme verser le contenu de la dite bouteille dans le réservoir de son tracteur. Le roué fit semblant de ne pas se rendre compte de ma stupéfaction et remonta dare-dare sur son noble destrier. Il avait déjà enclenché la première et appuyé sur le champignon …. Non, je ne pouvais pas le laisser partir comme ça  …. Sans savoir …. Il m’aurait fallu des siècles de remords pour m’auto absoudre d’une pareille bévue !

    Je lui chopais le bas de son pantalon et le secouais avec véhémence.

    « Qu’est-ce qu’y’a ? »

    Et je hurlai :

    « Vous avez mis de l’eau dans votre réservoir ! ? » moitié interrogatif, moitié admiratif.

    « Non, c’est du calva »

    et il partit  en trombe.

     

    J’étais sur le bord du chemin comme une andouille sur le bord de l’apoplexie.

    Ma perplexité n’avait d’égale que mon immobilité ; je sentais les racines pousser à mes souliers et la ramure sur mon crâne.

     

     

  • Le grand rabbin de France démissionne ! ma concierge aussi mais pas pour les mêmes raisons !

     

    Pauvre France, comme si un rabbin pouvait équivaloir un Cahuzac !!!!

    Allez, prions mes sœurs et frères ….. prions pour que les religions aillent voir ailleurs s’il fait meilleur temps et si les rabbins, les muezzins et autres ulémas  peuvent y couler des jours tranquilles sans avoir à se soucier de la véracité de leur CV comme de simples chômeurs à la recherche d’emploi.

    Bon !

    C’est pas tout ça, mais j’ai des crêpes sur le feu et les korrigans ont faim !

  • Précognition ! Dès 2010 je pressentais le terrible chambardement du gouvernement

     

    Une poule sur un mur

    (chanson enfantine)


     

     

    Ah joyeuse fiesta

    La  basse-cour en folie

    Bruyant  chambardement

    En tenues de gala

    Les cocotes jolies

    Caquètent follement

     

    Vive le festival

    De tous les animals

    Des dindons des pigeons

    Des jaguars des chapons

    Des chevals des dragons

    Des ovins des cochons

     

    Tout le monde veut sa part

    De marrons de pognons

    De délicieux achards

    De maïs de jambons

    Et c’est un agneau blanc

    Qui leur ouvre le ban

     

    Une vache un peu rosse

    Amoureuse de la bosse

    D’un chameau ordinaire

    Qui n’a pas fait la guerre

    Se rince le dentier

    Dans un grand bénitier

     

    Ah ! Joyeuse nouba

    Donne-moi du nougat

    La  basse-cour en délire

    C’est la fête et les rires

    On danse la salsa

    On chante la la la la

     

    Tapage  cacophonie

    Fracs de cérémonie

    Les cocotes jolies

    Picotent des piments

    Et des fleurs d’ancolie

    Caquetant follement

     

    Un canard fait le paon

    Sourit de toutes ses dents

    Pour convaincre sa belle

    De lui ouvrir ses ailes

    Pour se faire féconder    

    Pour lui faire des bébés

     

    Un énorme frelon

    Le vilain fanfaron

    Fait vibrer ses bacchantes

    Une oie très arrogante

    Porte une camisole

    Tissée au Capitole

     

    Une poule sur un mur

    Ecoute les murmures

    Les yeux écarquillés       

    D’un coq fort excité

    Qui lui parle d’amour

    Avec des mots glamours

     

    Ah ! Joyeux tintamarre

    Le requin dans la mare

    La  basse-cour ne désire

    Que la fête et des rires

    On mange du nougat

    On chante la la la la

     

     

                                                       Yfig  (17.11.2010)

     

  • La grande lessive ! (ça pourrait faire un bon titre de film !)

    Cahuzac est un traître.

    Si j'étais président, je rétablirais la peine de mort et je ferais asseoir Cahuzac sur un fourneau histoire de lui réchauffer le cul dans lequel je lui planterais des fourchettes tout en lui arrachant la langue et en lui crevant les yeux. Ensuite, je lui couperais les jambes et les bras avant de lui couper la tête !

    Gnia !

    Mais atttention, il faut aussi prendre des mesures pour attraper tous les Cahuzac qui se baladent sans être inquiétés.

    Pour cela, je préconise que tout un chacun soit obligé de déclarer tout ce qu'il cache.

    Déclarer ses mauvaises pensées, ses fantasmes illégitimes, ses caprices et autres idées infâmes.

    Reprenons la bible et les 7 péchés et appliquons la charia (oeil pour oeil).

    Que celui qui a tué soit exécuté, que celui qui a violé le soit à son tour, que celui qui a bouffé toute la confiture soit confituré et tutti quanti !

     

     

    A peine les mesures avancées par Hollande publiées qu'il va devoir les retirer ....  il en va de la survie de la République .... on ne peut tout de même pas virer les mafieux des prisons pour y faire entrer les politiques !!!!!

     


     

  • Et maintenant ……. Que vont-ils faire ….. de cet argent qui repose en Suisse au Liechtenstein ou au Boukistan ????? L’avenir s’assombrit ….. les sycophantes sortent du bois et les révélations vont aller bon train ….. jusqu’où ?

     

     

     

    Rendez-vous aux prochaines élections ….

    Si le referendum alsacien sert de référence, on devine ce qui attend les candidats ….

    La question est : iront-ils jusqu’à déclarer élus des candidats ayant reçu 5 voix ? (femme, enfants et amant)


    Parce que la chasse ( dans les intentions ) aux tricheurs, menteurs, prévaricateurs et autres corrompus ne mettra pas fin à la dictature des ploutocrates  qui tiennent les élus par l’écu.

    Il me vient des étourdissements proches de la syncope à essayer d’imaginer la tâche que représente le grand lessivage du monde politique. Parce que le mal est profond, abyssal ! Tous les niveaux de l’État sont atteints et les métastases ont fini par pourrir l’ensemble du corps social et même l’encéphale et ses productions idéologiques.  Le citoyen semblait hypnotisé par l’argent et les riches qui paradaient devant les caméras en déclarant leur dégout des impôts et du budget de l’État ! Du coup (de Cahuzac derrière les étiquettes), même Gégé deux par deux passe pour une ordure !

    Tout ce petit monde de magouilleurs est arrosé par les tripes explosées, éparpillées de Cahuzac.

    Et chaque fois qu’une ou un de ces oligarques ouvre la bouche pour défendre l’institution, les électeurs citoyen(ne)s se bouchent les narines pour se prémunir des relents fétides qui s’échappent des becs de ces mandarins pollués.

    Quant à mettre en œuvre les vieux pneus qu’Hollande annonce à grands coups de médias, il y a un canyon de la coupe à la lèvre car toute notre société est organisée sur les bases de la pourriture sous-terraine et il y a belles mirettes que ces margouillis ont pris leurs précautions pour échapper à toute action pouvant les contrarier. Tomberont quelques lampistes naïves et naïfs croyant que leur ingénuité les prémuni de la foudre.

     

    Franchement, Cahuzac vient de nous rendre un très grand service et avec Sarkozy il entre au Panthéon de ma reconnaissance envers les salauds qui font du bien à la France à l’insu de leur plein gré.

    Les français sont tellement angéliques qu’il leur faut recevoir des coups à la hauteur de leur aveuglement pour qu’ils se réveillent un peu. Merde, eux qui aiment tant « fare niente » !!!

     

    Allez, tout se termine toujours par des poèmes ou des déclarations symboliques …. Alors ….




  • Le grand chambardement est pour bientôt, dès la mise en place des mesures annoncées ce jour par notre pépère président !

    Dès les lois votées au Parlement (ou cause m'en), les 5 / 6 èmes des élus seront mis en garde à vue avant que de se retrouver en taule.

    Dans mon seul département, je n'en vois pas un seul pour échapper à la rigueur implacable et intraitable du capitaine de pets dans l'eau ! D'ailleurs, Hollande lui-même pourrait se voir poursuivi pour perte de chameau sans motif valable.

    Chouette, ça va faire de la place pour de nouvelles vocations politiques honnêtes, loyales et sincères (pour la compétence, ce sera pas pire .... ou si peu !!!).