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  • L’une après l’autre, lentement mais inéluctablement se mettent en place les conditions d’une troisième guerre mondiale. A poil dans leur piscine, Berlu et Sconni gouttent aux plaisirs infinis du « fare niente » !

     

     

     

    Si l’on dresse un tableau figuratif de la face du monde à aujourd’hui, on est bien obligé de constater qu’une guerre mondiale est inévitable !

     

     

     

    De deux choses l’une, ou bien les chinois s’installent partout en occident et en orient après avoir mis en faillite toutes les autres Nations, ou bien les peuples se révoltent avant de devenir esclaves et c’est la guerre.

     

     

     

    Sarkozy qui prétend sauver le monde n’a pas même su sauver la France.

     

     

     

    Mais son ami de toujours Barack Ô Bamama ne s’en tire guère mieux ! Les US sombrent tranquillement dans la récession et l’infinie pauvreté.

     

    L’Italie rattrape la Grèce qui précède l’Espagne qui est talonnée par le Portugal qui regarde amorphe l’Irelande.

     

     

     

    Qui est responsable ?

     

     

     

    On accuse les Etats qui n’ont pas su contrôler leurs déficits budgétaires.

     

    Oui, d’ailleurs, j’écrivais ici même les risques qu’il y avait à laisser flotter la dette publique ….. mais je n’avais pas l’oreille que peut avoir l’ancien ministre du Budget, Alain Lambert qui n’a pas mieux réussi que les autres à cadrer Sarkozy après son élection de 2007.

     

    A relire aussi sur le blog d’A. Lambert en 2008 : Avoir le courage d’un budget en équilibre !

     

    Et aujourd’hui : La dernière carte de François Fillon

     

     

     

     

     

    Et pourtant, l’Etat est loin d’être le seul responsable !

     

     

     

    Si, au lieu d’investir dans des bulles économiques sans lendemain et de chercher par tous moyens à se faire de l’argent facile les banques et les établissements de crédits avaient financé les économies, nous n’en serions pas là.

     

    Même avec 2000 milliards de dettes, si le PIB avait suivi, la croissance permettrait de rembourser facilement les dettes.

     

     

     

    Las !

     

    La mauvaise gestion des financiers qui hantent les marchés financiers à l’affût du coup juteux pour un effort minimum a fini, à force de conneries par renverser la courbe et nous voici partis dans une spirale infernale et récessive.

     

     

     

    Les marchés, les marchés, les marchés …..  mais c’est quoi ces marchés ?

     

    Ce sont de petits malins qui s’affairent derrière des écrans d’ordinateurs à vendre et acheter.

     

    Acheter pas cher pour revendre au prix fort.

     

    Valeur ajoutée des marchés : ZERO !

     

     

     

    Et ce sont eux qui, de plus, exigent que les Nations rapportent des fifrelins et paient les dettes qu’eux-mêmes ont creusées !

     

     

     

    On se mord la queue !

     

     

     

    Il faut une bonne faillite pour que tous les compteurs reviennent à zéro et permettent aux Etats de repartir …..  même en mode ralenti.

     

    Bien entendu, il va falloir revenir aux règles des marchés. Revenir aux contrôles et aux sanctions et surtout à l’observation anticipatrice des marchés et des échanges entr’ogres financiers.

     

     

     

    Regardez, cela crève les yeux, le système financier actuel à fait la preuve de sa non viabilité.

     

    Le principe de libéralisation absolue des marchés, la dérégulation à outrance nous a amenés au bord de ce précipice dans lequel nous nous apprêtons à sombrer.

     

     

     

    Il est trop tard pour tergiverser et hésiter. Il faut casser le système et en reconstruire un capable de nous éviter l’ultime catastrophe.

     

     

     

    Aïe ! Si nous procédons à ce remaniement, il y a quelques acteurs qui ne vont pas du tout apprécier !!!!

     

     

     

    Les chinois, par exemple, à qui nous avons imposé pendant des siècles l’impérialisme de l’argent et qui s’y sont adaptés jusqu’à en devenir les seuls bénéficiaires n’accepteront pas qu’on casse ces règles qui les avantagent …..

     

     

     

    Si, demain, nous décidons unilatéralement l’effacement de nos dettes publiques et nous déclarons insolvables, les asiatiques qui détiennent la plus grande partie de nos bons du Trésor vont péter les plombs de voir leurs économies disparaitre en fumées …… pour eux, le camouflet sera trop violent pour qu’ils laissent faire sans réagir …..  deux milliards contre cinq cents millions (en comptant les USA) …..  je crois que ça va faire mal !!!!!!!

     

     

     

    L’Histoire avec un grand ‘h’ nous enseigne que la guerre est l’ultime recours des peuples en colère ….. soyons prêts à mourir dignement.

     

     

     

     

     

  • Yves Montant dévoilé par Rotman


    Enfin une biographie très claire et chronologique ...................................


    Yves Montant à 78 ans  l'exode

    Yves Montant à 8 ans et toutes ses dents

    Yves Montant à 7 ans dans la rue

    Yves Montant à 76 ans à l'école

    Yves Montant à 17 ans au bar à putes

    Yves Montant à 8 ans  avec Marylin

    Yves Montant à 74 ans avec les russes

    Yves Montant à 70 ans  enchanté

    Yves Montant à 12 ans collémonté

     

     


     

    Bordel !  quel merdier !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  • Un direct en différé pour deux différents loustics qui se ressemblent sans se ressembler !

     



    Ils sont assis l’un à côté de l’autre et semblent de même taille alors qu’on sait que l’un vaut le double de l’autre.

     

    Les fauteuils sont cossus mais sans autre ostentation.

     

    L’un, le petit, regarde la moquette posée quelques heures avant. Il a disposé ses mains sur ses cuisses …. écartées.

     

    L’autre, le grand mais apparemment pas plus grand que le petit, semble s’être volontairement engoncé dans son fauteuil afin d’éviter de trop dépasser le petit. A moins que ce ne soit le caméramane  qui lui ai imposé cette posture inconvenante pour que sa tête ne soit pas coupée. Il a les cuisses ………  écartées.

     

    Les deux journalistes, Lolo et Dada, viennent de prendre une douche, ça se sent, ils sont propres et brillants comme des sous neufs et leur sourire en dit long sur le plaisir qu’ils ont à passer dans le poste.

     

     

     

    Le spectacle peut commencer. Non, on vient de l’apprendre, ce n’est pas, comme annoncé toute la journée, du direct. Mais qu’importe …… il faut savoir ne pas bouder ses plaisirs ……

     

    Par contre, ils ont pris un grand risque ….. ceux qui écoutent la radio n’ont pas besoin de les regarder pour savoir ce qu’ils vont dire car leurs propos ont été commentés en long en large et en travers toute l’après-midi. Pour le scoop, vous repasserez.

     

    Surprise !

     

    Lolo cause anglais comme si on y était !

     

    C’est bien, madame Lolo de posséder plusieurs langues …..  tant qu’il ne s’agit ni de langue de bois ni de langue de pute (et soumise).

     

    Est-ce vraiment une question ? La question peut se poser … car la question est posée comme une affirmation. En tout cas, on sent que Lolo attend une réponse positive.

     

    Un truc du genre :

     

    « Alors Baba t’as pris ton pied au sommet, hein, dis, hein ? »

     

    Elle n’est pas déçue.

     

    Baraque (comme l’appellera un peu plus tard Nicolas) développe une réponse très positive. Visiblement, il est très heureux que Nicolas soit content ça le rend radieux …..

     

    Mais ……  que vois-je ….. le front de Nicolas est barré d’une grosse ride anxieuse …. Le traducteur ne va pas assez vite et Nicolas voudrait bien savoir ce que le Baraque est en train de baraquouiner ?

     

    Mais le ton du ricain le rassure, il sent les ondes positives venir lui caresser les moustaches (virtuelles) et un sourire d’enfant malin s’esquisse aux commissures de sa bouille de président éjectable.

     

    Dès que Baraque en a fini avec ses témoignages de grande autosatisfaction, le petit saute et trépigne …  Dada lui lance à peu près la même question ….  D’abord en anglais …. Puis, constatant la mine consternée du président, il se reprend et en vient au français :

     

    « Alors vieux schnock, tu t’es bien fendu la gueule pendant ce « j’ai faim » de merde ? »

     

    Ah ! pardon, je viens de vous donner la version anglaise traduite par mes soins attentifs …

     

    Non, en français, cela donne :

     

    « Monsieur le président de la France, de tous les français qu’ils soient ici ou ailleurs, d’ici ou d’ailleurs, qu’avez-vous pensé de ce magnifique G20 ? »

     

    Tout comme son homologue d’outre Atlantique, Nicolas se félicite et se congratule de ce G20 extraordinaire  et somptueux qui a permis d’élucider la plupart des énigmes passées, présentes, futures et à venir dans une ambiance harmonieuse et chaleureuse sans pour autant sombrer dans l’autosatisfaction puérile des cours de récréation d’école primaire.

     

     

    Lolo, encore elle, interpelle Baraque avec un culot invraisemblable :

     

    « Comment comptez-vous réconcilier les peuples avec la politique alors que tout semble indiquer que la populace n’apprécie pas vraiment que des décisions aussi importantes soient prises par quelques uns au détriment de tous les autres ? »

     

    Baraque, qui n’est pas né du ventre de Carla riposte en expliquant les règles du base ball (qui sont parfaitement imbitables !).

     

     

     

    Bon, je vous fais grâce de tous les moindres détails de l’entretien pour vous en résumer la substantifique moelle.

     

     

     

    La Lybie, c’était très bien, mais alors, vraiment très très trrrès trrrrrès bien !

     

    Nicolas, une émotion ardente dans la voix nous dit, les yeux dans la caméra :

     

    « La preuve que c’était plus que bien, tous nos soldats sont revenus vivants ! »

     

    Pour l’Afghanistan ………  on verra plus tard !

     

    La shariah ?

     

    Quelle shariah ?

     

    La tunisie ?

     

    …….   Nous sommes là pour parler du G20  …..  parlons du G20 !

     

    …….

     

     

     

    Encore une fois, la France, par la voix et l’esprit de son président Nicolas premier a sauvé le MONDE.

     

    Ces connards de grecs ont bien tentés de saboter le bouzin, mais Nicolas a pris L’ampapandréouteur entre quatre murs clos et lui a passé une rouste qui restera dans les annales du G20, G21, G22, G23 …..

     

    Du coup, le pape en déroutes a renoncé à son projet de referendum dont la question était :

     

    « voulez-vous rester dans l’europe ou bien refusez-vous de sortir de l’europe ? répondez par oui. »

     

     

     

    Lolo (pas brigida) ose un timide :

     

    « Certains vous reproche d’avoir humilié la Grèce »

     

    Sarko montre ses quenottes dans un rictus à faire pisser ma concierge dans son panty  et lui balance :

     

    « Les grecs, c’est rien à côté de la matraque que j’ai appliquée sur la tronche à Berlu ! »

     

     

     

    Bien !

     

    Les choses secondaires ayant été dites, on sent qu’il est temps de passer à l’essentiel.

     

    Comme dans toute bonne représentation télévisuelle qui se respecte, les deux vedettes du show passent à la phase ultime, celle des congratulations hagiologiques liturgiques réciproques et univoques à double sens.

     

    Baraque se lance dans une élogieuse louange dithyrambique qui semble ne jamais pouvoir finir tant la liste des qualités du petit est longue et parsemée de divers et variés atours mirifiques et encaustiqués !

     

    Français, vous en avez de la chance de posséder un tel président !

     

    Courageux mais jamais téméraire, humble mais pas trop, travailleur infatigable même au lit, brutal quand il le faut mais doux aussi à ses moments, rigoureux et flexible, créatif et conservateur il peut vous accommoder n’importe quel plat politique à n’importe quelle sauce économique sans que vous ayez le temps de compter les millisecondes que ça prend à son cerveau de génie modeste.

     

    Pendant la péroraison du black, le visage de Sarko se tord en tous sens, il ne peut cacher le terrible mal qu’il se donne pour ne pas lui sauter au cou et l’embrasser sur la bouche. Des rictus effrayants, aux dires de ma bignolle, mais que personnellement je trouve ridicules viennent tirer, étirer ses lèvres vers ses grandes oreilles dont l’une est bouchée par une oreillette plus grosse qu’une andouillette ….  On sent qu’intérieurement, il boit du petit lait sucré de chez Nesse-les (il en pique à sa fille m’a-t-on dit !).

     

    Voilà ! ite missa est !

     

    Ah non, pardon, je vais un peu vite en besogne … il reste à Nicolas de faire à son tour l’apologie de Baraque ….  Ce qu’il fait en trois temps deux mouvements rapides mais   …….  Euh …… rapides.


    Le spectacle est terminé, le rideau va tomber sur la scène et les spectateurs vont se lever avec regrets que la gaudriole prenne déjà fin. Il y avait tant d'inventions dans ce show, tant de non dits qu'on ne dira jamais, tant de dits qui ne disent rien et de rien qui disent tout .......  seuls de grands, de très grands comédiens savent ainsi se donner en spectacle sans la moindre gène, sans craindre un seul instant le ridicule qu'ils véhiculent comme le chat de ma concierge traîne la saucisse qu'il a piqué dans la cuisine du troisième étage !

     

     

     

    On peut enfin regarder autre chose, les yeux embués des larmes abondantes que les deux acteurs ont fort bien réussi à nous communiquer autant par leur jeu d’acteurs que par leur sincérité émouvante et constipative …..  non, pardon, communicative !


    Quelle pathétique pantomime !

     

  • Le G20 comme si vous y étiez !

     

    Cannes s'est parée de ses plus beaux atours.
    La promenade des retraités est vide.
    La place du maréchal des gaules est vide.
    Le parvis de l'église Saint Pétain est vide.
    Le parking de la place du marché aux bestiaux est vide.
    La plage est vide.
    Des fanions, des étendards, des drapeaux des vingt pays faseyent aux vents légers bigarrant la ville vide de chatoyantes couleurs.

     

    Une longue limousine noire aux vitres fumées interdisant de voir qui se trouve à l’intérieur, s’avance lentement et ses petits drapeaux sur l’avant flottent gaiement.

     

    Impossible de reconnaître le pays, les drapeaux ont été peints de blancs pour éviter qu’on les identifie.

     


    Aux abords de la ville, un triple cordon de CRS tient écartés les badauds, les curieux les habitants et les citoyens.
    Rien ne doit venir distraire de leur nouba les représentants des  nations réunies en ce jour de raout aux frais du contribuable ..... 

     

    Ah ! une source bien informée me confie que les frais sont pris en charge par les banquiers et les industriels du cac40 (voleurs).

    Le peuple doit rester éloigné de ces agapes luxueuses qui ne lui sont pas destinées. Un roi ne mange pas à la table d'un gueux et réciproquement.

    Voilà .... il ne nous reste qu'à attendre d'ouïr leurs décisions en ce qui concerne notre futur et même notre avenir ....  mais restons sereins, ces braves gens ne pensent qu'à notre bonheur .... du moment que nous fermons nos grandes gueules et obéissons au doigt et à l'oeil de nos maîtres.




    Post Scriptum :

    Le titre en une du canard enchaîné de ce mercredi :


    "Après l'annonce surprise du referendum grec ...

    Le choeur des 26 européens : "On s'est fait Papandréouter !"


    AH BAH si les journalistes du canard viennent me piquer mes idées sur mon blog ...........



  • Le referendum, le referendum, le referendum ........

     

    Mais qu'est-ce qu'ils ont avec leur referendum ! ?

     

    Ils veulent quoi, ces grecs, nous ampapandréouter ou quoi ?

     

     

     

    De partout s’élèvent des voix puissantes et rageuses qui dénoncent avec véhémence la faiblesse de ce président grec qui tremble pour sa vie et redoute une fin à la Khaddafi pour lui et sa famille !

     

    Pour sauver sa peau et celle de ses fesses, il invite le peuple à donner son avis ! Comme si le peuple pouvait avoir un avis …..  quel ridicule !!!!!

     

    Le peuple n'a rien à dire, la Grèce appartient aux banquiers et aux chinois, un point c'est tout !

     

     

     

    Non mais je rêve, quand je pense à tout le mal que s'est donné notre aimable président d'un français sur cent pour expliquer dans le poste de la télévision narcotique comment il a sauvé le monde .....  et ces ostrogoths qui viennent lui saboter son plan comm. avec leurs atermoiements de  gonzesses ....

     

     

     

    Ah ! c’est malin !

     

    Il a l’air de quoi, à présent, le petit Sarko à sa Merkel ????

     

    Il croyait sauver le monde et les grecs lui bottent le cul ….. mordent la main qui voulait les nourrir de quelques milliards ….  Comme si les biffetons pouvaient se cuisiner à la grecque comme des champignons ….  Il est con ce bouffon, à moins qu’il ne cuisine pas lui-même !

     

     

     

    Rejoue-moi la musique de Zorba que je danse encore un peu à la mode des Hellènes …. Sers-moi encore un peu d’ouzo que je boive à la santé de la démocratie ….  Agite encore ces feuilles de palmier au dessus de ma couche que je puisse rêver encore au sursaut des peuples …….

     

     

     

    La vie est belle.

     

    Demain, il sera temps de déchanter quand les américains nous retirerons leurs aides et nous traiterons de tous les noms d’oiseaux pour avoir osé relever la tête et tirer la langue …..

     

    Le peuple se fera toujours ampapandréouter, d’une façon ou d’une autre …..  mais moi, je veux profiter à donf de ces petits instants de pure liberté, de liesse, d’allégresse puérile à voir la tronche de ces macaques qui se font prendre par surprise aux jeux de la démocratie truquée !

     

     

     

    Ce qui est vraiment incroyable …………………..  c’est qu’ils n’y aient pas cru un seul instant !!!!!