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zemmour

  • Tout le monde n'apprécie pas mon humour .......

     

     

    Mon billet sur l’émission du samedi 25 04 2009

    C'était ..........................  comment dire ............................................

    surréaliste !

    Vous savez, quand vous regardez un truc et que vous vous demandez si c'est un rêve, du lard ou de la couenne ?

    Il y a eu ceux qui ne sont pas venus ....  bof !  
    Des plagiats forts décevants. Faudrait voir à apporter un peu plus de soin aux paroles et à affiner les jeux de mots. Les parodies crétines, ça commence à sérieusement lasser, surtout qu'on a déjà Beniléchouille l'après midi à la radio avec Brave-eau .... ça fait B B !

    Bon ! passons ...
    Bigard pose son gros cul dans le fauteuil.
    Narre son film pendant qu'on bâille d'ennui.
    Arrive un mec pas net, petit, chafouin, le regard par en dessous ... je me dis : "ça, ça doit être un cureton" ... et vlan, j'avais raison.
    Pendant tout le temps que Bigard et le curé face à face racontent des trucs qui ne concernent qu'eux, j'inspecte les Eric's qui ne mouftent pas. Ou si peu ! Avec si peu de conviction et de foi (du charbonnier).
    Disons que ça ne marque pas les esprits.

    Arrive le moment tant attendu : F. Lalanne pose son prose sur le coussin tout chaud du cul de Bigard ('à toi).

    Vlan, ça frite illico entre Zemmour et Francis sur des questions de droit constitutionnel de première année de FAC que même les pinguoins de l'antarctique s'en branlent !
    L'aurait dû faire prof le Francis .... nous aurions, aujourd'hui, une France de plaideurs (oui, je sais on n'en manque pas ... mais on peut faire mieux !)

    Et puis, voilà que l'ami Naulleau (je dis l'ami, mais je ne sais pas de qui ?) a l'idée aussi sotte que grenue de sortir de sous son bureau (qu'y faisait-il ?) le petit bouquin rikiki de Francis : "j'ordonne au Président de me repriser les chaussettes de l'archiduchesse sont-elles sêches s'il ne veut pas que je lui foute un pain dans la gueule !).
    Naulleau, en bon critique hautain, maladroit, vicieux, inique et de mauvaise foi qu'il est, rentre direct dans le chou de Francis en lui récitant la moitié d'un ver et en déduisant de cet octosyllabe tronqué que Francis fait des vers de mirliton !

    Ah ! mes aïeux !
    Que n'avait-il dit là !

    Moi, qui ait la prétention de faire des vers de mirliton, si Eric N. m'avait fait ce compliment, je l'eusse pris avec délectation, je me serais jeté à ses pieds pour le remercier de tant de bontés et d'affabilités car faire des vers de mirliton, de nos jours, c'est comme écrire en 'viex François', c'est se montrer rebelle à la mode de la poésie idiote et anémiée, c'est faire preuve d'insolence et de morgue vis à vis de l'intelligentzia bobo qui prétend faire la pluie et le beau temps dans le landerneau de la poésie ....
    Bref, je me serais levé avec fierté pour aller serrer la main de ce critique adorable.

    Eh bien pas du tout !
    Francis, lui, l'a pris très très mal !

    Ca n'a pas eu que des conséquences négatives .... que nenni ..... Francis a réussi à dire son fait à l'ignoble Eric qui se croit autorisé à promouvoir ses avis comme des phares dans la nuit de notre inculture.
    Francis a bien expliqué à Naulleau ce qui était juste et ce qui ne l'était pas, ce qu'Eric pouvait dire et ce qu'il ne pouvait ....

    Ah la binette à Naulleau .... j'en ai encore les larmes aux yeux .... de rire !

    Et Francis, une fois qu'il est parti, pour le calmer, c'est pas du beurre de cacahuètes !
    Il était à deux doigts de foutre sa main sur la gueule à Eric .....  dommage, Laurent est venu circoncire Francis de ses petits bras musclés .... avec (dans le dos) un gorille  de deux cents kilos prêt à intervenir en cas de grabuge ....

    OUPS ! circonscrire, pas circoncire .... oh la la, la langue Française n'est pas facile, j'vous jure !

    Et pour la câlinothérapie de secours, Jonathan est venu débiter ses salades au menton de Francis dont l'esprit, ça se voyait bien, était ailleurs, dans quelque remâchage de revanche saignante sur le râble de Naulleau.

    Bon ! après ça, Stéphane Audran est venue nous bercer de ses histoires à dormir debout ....  de sa vie indolente, de ses frasques de bourge ......  c'est pourquoi je suis vite allé me coucher pour ne pas m'endormir dans le fauteuil !

    Si vous me demandez mon avis ......  hein ? Comment ? Eh bien tant pis, je vous le donne quand même ...

    ça devient n'importe nawak cette émission .... comme si on ne savait pas à l'avance que Francis allait s'emporter face à Naulleau .... franchement, ce n'est plus une ficelle, c'est un orin !

  • Un pachyderme à poil se jette dans la mare aux crocos !

     

     

     

    Ce qu’il y a de bien à la télé, c’est qu’il y en a pour tous les goûts, pour toutes les cultures, pour tous les niveaux !

     

    ONPC (On n’est pas couché) fait partie de ces émissions intellectuelles incontournables du PAF.

    En fait, sa qualité d’intellectuelle repose sur la présence de deux comparses très intelligents dont les interventions me sont à l’esprit ce que les cacahuètes me sont à l’œsophage.

     

    Mais !

    Je suis déçu !

    Il n'y aura pas Ch. Bravo à la prochaine émission planifiée pour le samedi 11 avril enregistrée le mardi 7.

     

    Ch. Bravo est une jolie femme savante. (une grosse conne, si vous préférez !)

     

    Elle écrit et critique des livres ... j'aimerais bien qu'elle fasse face à Eric et Eric ... elle leur rentrerait dans le lard avec la délicatesse d'un pachyderme se jetant dans la mare aux crocos ..... les crocos se cassent, trop peur de se faire écraser !

     

     

    J'imagine les dialogues :

     

    E.N. : bonsoir Chrisine, quelle idée vous a pris d'écrire ce PQ et pire de nous l'envoyer à lire ...

     

    C.B. : je ...

     

    E.N. : Non, laissez-moi parler, je vous laisserai la parole ensuite, mais je tiens avant toute chose à remettre les pendules à l'heure car mon père était horloger et je n'aime pas arriver en retard.

     

    E.Z. (en aparté au public) : il est bon, hein ! ? c'est mon copain !

     

    E.N. (reprends comme si de rien n'était - pendant que C.B. se trémousse sur la mousse de son siège) : Donc, je disais que votre gribouillis infâme m'a été une grande souffrance, une blessure à ma cervelle si délicate que je nourris de belles lettres et de littérature littéraire afin de mieux apprécier les écrivains-vaines et de devenir moi-même personnellement le meilleur de tous en critique de la littérature littéraire ...

     

    C.B. : à moi, vous avez assez déconné ...

     

    E.N. (hausse le ton et prend le dessus de la voix) : NON, c'est moi qui cause et quand je cause on ne m'interrompt pas !

     

    E.Z. (en aparté au public se tirlipote les doigts) : il est bon, hein ! ? c'est mon copain !

     

    C.B. (s'adresse à Laurent) : dis quelque chose, toi, au lieu de te marrer comme un con, tu vois bien que Naulleau n'a rien à dire et qu'il occupe le micro pour me faire chier ...

     

    E.N. (hausse encore plus le ton) : Ce que vous appelez un livre, madame Bravo, ne mérite même pas le titre de torche cul ! C'est si mal écrit que j'ai faillit faire une embolie cérébrale en essaynt de comprendre de quoi il retrournait ... et d'ailleurs, ça m'a tout retrourné et j'en suis resté bouche bée (il reste bouche bée)

     

    C.B. : bon ça y'est Naulleau, t'as fini ton cirque, on peut causer littérature maintenant ...

     

    E.Z. : STOP ! à moi ...

     

    C.B. (en reste bouche bée - tout comme E.N. - gros plan sur C.B., puis contre chant sur E.N. puis la caméra fait un gros plan sur E.Z. qui se tirbouchonne les doigts et sourit comme un niais)

     

    E.Z. : Ma petite Christine, tu sais que je t'aime bien et que je regarde tous tes films et que je ne rate pas une seule de tes émissions de froufrou ...

     

    L.R. : mais, Zemmour, cette émission n'est plus diffusée depuis plusieurs années (il se marre)

     

    E.Z. : Oui, bon peut-être, mais quand elle était diffusée, je la suivais tous les jours, ça, personne ne peut me contredire ...

     

    L.R. : Mais Zemmour tu déconnes, ça passait le samedi soir seulement ...

     

    E.Z. : Eh bien dans ce cas, j'étais devant mon écran tous les samedis soir, personne ne pourra dire le contraire !

    Et donc, je voulais dire à Christine que, malgré toute l’admiration que j’ai pour elle, elle ferait mieux de s’abstenir d’écrire ou alors de prévenir le lecteur éventuel de se munir d’un grand verre d’eau avec deux ou trois efferalgans pour faire passer la douleur cérébral consécutive à la lecture dudit ouvrage qu’on ne sait pas trop comment qualifier vu que c’est ni fait ni à faire.

     

    C.B. : Vous êtes vraiment deux crevards ! Vous ne savez pas comment vous faire mousser alors vous tapez dans les écrivains dont vous n’avez pas peur mais vous n’osez rien dire quand vous avez un costaud devant vous qui pourrait bien vous assommer avec une bonne beigne !

     

    E.N. : Désolé, mais ce que tu dis, ce ne sont pas des arguments littéraires !

     

    C.B. Mais arrêtez de nous faire chier avec votre « littéraire », vous êtes là à vous gargariser avec un mot dont vous ignorez le sens exact et ça me gonfle !

     

    L.R. : Ma chère Christine et si tu nous lisais quelques lignes de ton livre ?

     

    C.B. : mais bien volontiers mon cher Laurent …

    « Elle était assise à genou sur son lit en regardant passer par la fenêtre les nuages qui allaient vers l’horizon lointain d’une destination inconnue.

    Elle caressait sa jambe droite qui était gantée dans un bas de nylon filé. Sa fille venait de passer son baccalauréat et elle se disait qu’un thé bien chaud lui ferait le plus grand bien.

    C’est à ce moment que le carillon de la porte d’entrée tintinnabula avec vacarme.

    « Mais qui ça peut-il bien être » se demanda-t-elle perplexe ?

    « A cette heure là, c’est pas possible que c’est le facteur, d’ailleurs, il est déjà passé ce matin et il ne reviendra que demain …. » Elle était perdue dans ses expectations quand le carillon de la porte d’entrée tintinnabula pour la seconde fois !

    « Mais qui ça peut-il bien être » se demanda-t-elle perplexe ?

    Elle finit par se lever pour aller jusqu’à la porte d’entrée.

    « Qui c’est ? » demanda-t-elle à la porte.

    « C’est l’plombier » lui répondit le plombier …. »

     

    E.N. : mais c’est vraiment du grand n’importe quoi ! Franchement, c’est à gerber !

     

    C.B. : jaloux !

     

    Elle se marre comme une baleine et L.R aussi, il n’y a que E.Z et E.N. qui font la gueule ….. et le public aussi.