Comme tous les grands marchés, celui de l'art est particulièrement encadré !
Ses intervenants sont nombreux et l'artiste n'est que la cheville plus ou moins ouvrière qui sustente tout un tas de parasites plus ou moins inspirés !
le premier suceur : l'URSSAF
http://www.secuartsgraphiquesetplastiques.org
le 2ème : l'association loi 1901 'la maison des artistes' connue sous le sigle MDA et qui s'évertue à conserver ses avantages iniques au profit du train de vie de ses dirigeants.
Mais pour être sucé, il faut vendre.
Donc .... galerie.
Mais de nombreux autres parasites se chargent de vampiriser l'artiste exsangue .... des petites associations locales qui demandent une cotisation puis une participation aux frais d'exposition et enfin prennent un pourcentage sur la vente (éventuelle) !
Il y a les marchands de couleurs qui vendent à une prix d'or des pigments qui ne valent rien au poids.
Les fabricants de supports (toiles) faites en Chine pur un bol de riz et vendu au prix fort !
Bon, ça, c'est pour le tout venant, l'artiste des rues et des champs qui se chauffe au rayons du soleil et se trempe les pieds danbs l'eau quand le temps est trop chaud.
On passe la vitesse supérieure avec les commissaires priseurs qui savent si bien donner de la valeur à un tableau chiné dans un vide grenier pour 3 euros revendu en leur salle des fêtes 3000 ! 30 000 ! 3 000 000 ! au bout de trois années de reventes successives de salle en salle.
Et puis les deux gros requins : pinault et arnault ... qui possèdent leurs propres salles de ventes et qui font des culbutes à vous rendre hémiplégique rien qu'à essayer de lire les zéros sur le chèque !
Alors .... le critique d'art .... c'est vraiment la dernière roue à plat de étrange équipage. Son influence ne s'exerce que sur sa femme, sa belle-famille et son chien !
(J'ai dû dire quelque chose qui ne lui a pas plu !)