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Les mirlitons d'Ablon - Page 4

  • Petite cantate intimiste à l'attention de Marine : Qui s’accroche au fouet fourchu du diable ne peut prétendre branler la queue de dieu !

     

    Marine le Pen voudrait attirer tout à la fois les bonnes âmes chrétiennes et les fous de la libre pensée … ou, pour le moins les athées blasés !


    Mais elle s’y prend comme une jouvencelle …..  tirer sur la quéquette du diable tout en prenant  une devise de Bernanos comme slogan de campagne …. C’est faire le grand écart entre le vit et le foutre …. Espérons, au moins, qu’elle porte une petite culotte !!!!  (ce qui ne changera rien à l'affaire mais y consacrera une note pucelle !)

      



  • La fin du monde : Apocalypse Nucléaire

    Ambiance .......

    Funeste ..... cauchemardesque ... grotesque .... clownesque ... dantesque ... abracadabrantesque ....et même  .... gagesque

     

     

  • Métempsycose du bigorneau

    Evitez les ecchymoses, évitez les rochers !!!!

     

  • Chanson à la con !

    Tu trouv’ras tout ça à Ablon

     

    Tu te les gèles dans ta cité
    Tes voisins te prennent la tête
    Des pigeons chient à ta fenêtre
    T’en as ras l’bol de te faire chier

    Envie de gibier faisandé
    De lièvres ou bien de sanglier
    Envie de pâté d’alouettes
    Envie de week-end sous la couette

    Cherch’ pas midi à quatorze heures
    Viens chez nous oublie tes malheurs
    Tu n’es qu’à deux heures du bonheur
    Viens voir les insectes butineurs

    Tu trouv’ras tout ça à Ablon
    Et même plus si affinités
    Tu trouveras la liberté
    Et on t’offrira un bourbon

    Surtout va pas à la mairie
    Tu n’y trouverais qu’des soucis
    Viens plutôt nous voir au gros chêne
    Ensemble on boira du chouchen

    Dans la forêt des champignons
    Dans la mare de joyeux tritons
    Et si tu veux bien t’amuser
    Y’a des taupes à exterminer

    Si tu préfères te réchauffer
    On a plein de bois à couper
    Tu pourras aussi t’rafraîchir
    Dans la mare en maillot cachemire

    Tu trouv’ras tout ça à Ablon
    On t’offre l’hospitalité
    Tu trouveras la liberté
    Alors te fais pas de mouron

    Tu trouv’ras tout ça à Ablon
    Et même plus si affinités
    Tu trouveras la liberté
    Et on t’offrira un bourbon

     


    Yfig 3 décembre 2010

  • Avec l’ami Driout, c’est concours de déconne à tous les étages !

     

     

     

     

    Té ! je vous le cite (piqué sur son site) :

     

    J'ai le triomphe de plus en plus modeste. A quoi bon répéter mes mérites ?

     

    Et puis :


    Métaphoriquement vôtre. Je suis sur un petit nuage quand la pensée se fait plus légère que le vent.

     

    Ou encore :

     

    Si la poésie est le langage de la passion alors j'ai peur qu'on ne doive bientôt écrire un livre parlant sur le déclin de la poésie.

    La poésie ou l'histoire d'un désenchantement occidental.

     

    Ou bien :


    Que je sois un excentrique nul n'en peut douter mais enfin un excentrique à froid c'est toute la différence !

     

    Heureusement, il finit par se résoudre à nous livrer l’une de ses profondes pensées dont il a le secret et qui font qu’on lui pardonne ses incartades :

     

    Le mécano de la vie est éblouissant parce qu'il est tout le contraire d'un mouroir orthographique. On pourrait croire qu'avec un alphabet aussi simple que celui de l'ADN initial on n'arriverait qu'à des formules extrêmement répétitives, il n'en est rien, les cellules se forgent une mémoire créative si l'on peut dire. Elles se métamorphosent selon les besoins du lieu et du moment.
    Les cellules souches pluripotentes sont un bon exemple dans la polyvalence du vivant. La mémoire cellulaire est plastique et n'est jamais une limite absolue, juste un frein sur lequel on appuie quand on en a besoin. Tout est possible, mais pas n'importe quoi ... sauf peut-être avec les cellules cancéreuses qui s'emballent toutes seules et où la mémoire devient tristement répétitive.

     

    On dirait de la poésie en prose mais toujours prosopopée !

     

    Je vais vous dire, moi, ce que je pense de la poésie !

    J’ai courtisé (je suis un grand courtisan, tous les amis et mes proches vous le confirmeront) les associations, les amateurs, les concours, les éditeurs de poésie ……. Tout ce que j’ai lu ou entendu (à de rares exceptions près) c’est de la guimauve pour vieilles érotomanes en manque de sirop de sperme pour mettre dans leur thé (just a cloud, please !)

     

    C’est toujours des histoires niaiseuses (quand il y a histoire …) !

     

    Extrait :

     

    A Camille, à travers le miroir...

     

    Plantée là sur ton derrière .... de quoi as-tu peur ?

    Le doigt sur l'interrupteur ....... de quoi as-tu l'air ?

    Ses ardeurs te désertent, tu restes le coeur en rade

    Une ride sur ton front, vous n'avez rien à dire

    Erosion du temps passé, tu rodes et lui dort.

    Trop de soupçons, trop de soucis, tous (sic) ces serments .....

     

    Etc ......  il y en a toute une tartine à l'avenant .........  J'ai ramassé ce torche-cul dans les greniers à sel de Honfleur .... où des spectateurs éberlués et indigents ont écouté ces conneries sans broncher !

     

    Plantée là sur ton derrière ....

    Le doigt sur l'interrupteur ......

     

    Moi, je dis que ça me remplit de stupeur !!!!!

     

     

    Et si vous avez suffisamment de curiosité pour vous balader sur les sites des pouett pouett, vous en lirez des tombereaux de ce genre !

     

    Dans l’imagerie populaire, le poète est une espèce de dégénéré assisté qui vit la tête dans les nuages et le cul dans le réfrigérateur (sans parler du doigt sur l’interrupteur !)

    Tout ce qui ne dégouline pas de bons sentiments et de phrases guimauve ne saurait être retenu comme poésie.

     

    Villon ! ?

    Ah ! mais c’est pas pareille !!!

    Villon, tout le monde connaît son nom et reconnaît ses mérites de poètes, mais personne ne l’a lu ! Quand à ceux qui l’ont lu, ils n’y ont rien compris !

     

    Ruteboeuf n’arrive pas à la semelle de Villon, bien qu’il soit excellent ! D’ailleurs, personne ne sait qu’il a existé !

     

    Non, le poète par excellence, c’est Rimbaud, Baudelaire, Carla Bruni, doc gynéco, Adamo, Lucien Mécano …. Bref ! tout ces loquedus qui transpirent la sueur du mot minable à prix d’or !

     

    Rimbaud, y’a quelques trucs qui ne sont pas mal du tout ….. mais Baudelaire, quelle tâche !!! auto édité et promu par l’aïeul de Séguéla le faiseur d’anges médiatiques dans sa petite maison dans la prairie de Neuilly !

     

    Allez, je m’éteins là, j’ai trop de mal à penser à ce marigot de business men de la poésie Mac Do !

     

     

    Moi aussi je sais parler d'amour :

     

     

     

    L’amant de paille

     

    J’ai mis les mots qui siéent

    Lèvres, sucées, soupirs,

    Fripon de tes désirs

    J’ai loué ta beauté

     

    Toi sur ton escabeau

    Tu jouis de l’altitude

    Le paysage est beau

    Comme ton attitude

     

    Mais voilà que j’étouffe

    A trop lécher ta touffe

    J’ai perdu l’équilibre

    Je pars en chute libre

     

    Je désirais te prendre

    Et de mon pieu te fendre

    Mais le sol est bien dur

    Et mon kiki trop mûr

     

    Il devient confiture

    Tu tombes sur mon dos

    Du haut de l’escabeau

    J’ai l’air idiot c’est sûr

     

    La face contre terre

    Je lèche la moquette

    Au dégoût de biquette

    Le tout bien terre à terre

     

    Morale de cette affaire

    J’ai foutu l’escabeau

    Au fond d’un trou de terre

    comme une pomme de terre

  • Notre bon président installe ses fils et bru aux manettes.

    Ca vaut bien un p’tit mirliton !

     

     

     

    Nicolas not’ bon président

    Elu au suffrage universel

    Pour une durée de cinq ans

    Ouvre et ce n’est pas virtuel

    Toutes les portes de la Nation

    Incontinent à ses rejetons

    Sans demander l’avis du peuple

    Mais à quoi bon le peuple

    Election piège à cons !

  • Carla Bruni à poil

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    Le grand château vide

     

    Elle est partie la rombière
    Abandonnant sa chaumière
    Poussiéreuse et visqueuse
    Comme une vieille macreuse

    Dedans son boudoir rient les rats
    Les chats lacérant les sofas
    Et copulant sans retenue
    Comme le font les ‘matuvus’

    Disparue la marquise
    Explorer la banquise
    Ses ours blancs ses Inuits
    Pour au moins mille nuits

    elle n'a laissé qu'une vapeur
    parfumée à la fleur d'anus
    délétère et vile odeur
    que redoutent même les canuts

    et puis sur la commode
    un mot très à la mode
    que l'on écrit narquois
    aimez-moi ou quittez-moi


    Yfig et les chaussettes de l'archiduchesse sont-elle sèches archi-sèches ?