Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La philosophie est sous l'évier - Page 20

  • restez au frais monsieur Onfray

    Michel Onfray Pope de la philolozozophie bonneteau. Par temps de canicule, seul les personnes au-frais peuvent espérer échapper à leur destin ! Les philosophes du siècle des lumières n’éclairaient que la nuit du néant de la pensée du dit siècle ! Seul un vrai philosophe comme Aufrais mérite d’illuminer notre pauvre société de tarés ! Hier soir (24 juillet 2006) sur France culture, un cours de philo par M. Aufrais. Voici un rapide résumé de ce que l’on pouvait entendre sur les ondes de cette station radio révolutionnaire sortant de la bouche du gigantissime philolozozophe : Rousseau, Jean-Jacques, 28 juin 1712, Genève - 2 juillet 1778, Ermenonville pour Aufrais, Rousseau est le pire partisan de l’anti social, vouant un culte absolu à la monarchie (défense de la souveraineté une et indivisible, et au catholicisme et prônant la vertu du travail pour les non actifs (qui n’ont pas de biens personnels) par opposition aux actifs (les riches, en somme, selon Rousseau ) Rousseau ne reconnaît qu’aux actifs le droit de philosopher et les passifs doivent travailler et fermer leurs grandes gueules . Rousseau affirme que le bien commun passe avant le bien individuel et qu’il convient que les passifs se sacrifient au bien commun des actifs. Ce concept d’actif et passif aurait été la raison de la mauvaise lecture qui a été faite de Rousseau qui ne défendait que les nantis et se foutait du tiers comme du quart d’état ! Heureusement, Aufrais a eu la bonne idée de se creuser les méninges et a finit par découvrir le pot aux roses. Quel homme !!!! Diderot, Denis , Langres 1713 - Paris 1784 l’ami de Catherine II de Russie ! Et pour Aufrais, ça veut tout dire ! Diderot, une espèce de dandy efféminé qui passe son temps auprès des coquettes et qui défend l’esclavagisme, l’aristocratie et le clergé. Autant dire un Jean-foutre ! Avec son grand copain l’abbé Raynal, il osent critiquer mollement le colonialisme …. La preuve, ils proposent de décoloniser mais en appliquant un moratoire de 80 années (ça laisse du temps au temps …) Kant, Emmanuel, Königsberg, 1724 - id, 1804 ( raciste (il a écrit : le négre pue !) - royaliste et papiste il défend la peine de mort et l’église et l’ordre établit et ne permet de parler philosophie qu’entre philosophes …) Les théories de Kant sur la philosophie auraient pu servir les pires régimes autoritaires. Chacun doit rester à sa place, le gynécologue doit gynécologué et le philosophe philosopher, mais pas question que les uns s’occupent des autres, ça foutrait la merde dans l’ordre établi de notre belle société …. Personne n’a lu ‘la critique de la raison pure’, c’est trop hermétique (je suppose qu’il parle en son nom). Puis, Aufrais nous rapporte mot pour mot l’histoire suivante : « Kant avait lui-même établi son emploi du temps avec une précision d'horloger: «Si j'étais dans le besoin, le dernier objet que je vendrais serait ma montre!» Un de ses familiers, le conseiller von Hippel, en avait même tiré une comédie, l'Homme à la montre (1760). Eté comme hiver, invariablement réveillé par son serviteur Lampe à 4 h 55, il buvait deux tasses de thé, fumait sa seule pipe de la journée et s'asseyait à son bureau (qu'il appelait son enclume). A 7 h 45, les jours où il allait à la faculté, il commençait à tourner en rond; à 7 h 50, il mettait son chapeau sur sa tête; cinq minutes plus tard, il prenait sa canne et, au premier coup de 8 heures, il ouvrait la porte de sa voiture, si bien que, comme l'a noté son secrétaire et biographe Jachmann, «il servait véritablement d'horloge à tous les habitants du quartier». L'après-midi, le philosophe faisait sa célèbre promenade, toujours la même, qui durait une heure. On ne le vit, dit-on, que deux fois en quarante ans dépasser la limite où il s'arrêtait d'ordinaire: une fois pour avoir plus tôt un ouvrage de Jean-Jacques Rousseau, l'autre fois pour avoir des nouvelles de la Révolution française. » Il en déduit que Kant avait l’esprit rigide et étroit !!!! Les vrais philosophes ne se font pas de cadeaux !!! Pythagore (défendait déjà la peine de mort comme rempart de la bonne société face aux mauvais sujets) Dormac ? Aufrais nous parle d’un certain Dormac (orthographe incertaine) dont personne n’a jamais entendu parler ! Sartre (l’être et le néant : la femme, cet objet visqueux et mou) et S. de Beauvoir (d’après lui la référence faite femme de la littérature et de la cause des femmes) Voltaire 21 novembre 1694, Paris - 30 mai 1778, Paris (un papiste et un chrétien convaincu, il défend la peine de mort et l’église.) Le malentendu vient du fait que l’on étudie de Voltaire que son Zadig et son Micromegas. Mais si, comme Onfray on se tape les 12 volumes encyclopédiques de Voltaire, la lumière fuse et on constate que ce n’était qu’un moins que rien, défenseur du catholicisme et du roi et radoteur antisémite de bazar ou de quincaillerie et un farouche partisan de la peine de mort. Voltaire - correspondance choisie - livre de poche - code prix : LP20 (mais je l’ai acheté chez Driout) Je vous recommande très vivement : Voltaire Romans et contes (Frédéric Deloffre et Jacques Van Den Beuvel) Bibliothèque de la Pleïade Gallimard 47 euros 26 Claude Adrien Helvétius, Paris, 1715 - Versailles, 1771 - tous les philosophes se retrouvaient à sa table dans son château. Helvétius est aux yeux d’Onfray le seul véritable philosophe du siècle des lumières, le seul à avoir vu juste. Pourtant, tout comme ses potes, il prônait une philosophie intimiste (de salon) qui pouvait aborder tous sujets dans cette intimité mais devait se tenir sur les rails de l’autocensure dès qu’elle s’exposait en public ! Mon opinion personnelle : Décidemment, ce Aufrais me scie les couilles ! J’ai acheté comme tous les gogos crétins et ovinsabrutis par les messages publicitaires audiovisuels à répétition son bouquin : L’antimanuel de philosophie - chez Bréal (2001) - 104 francs 50 centimes Et, à le lire, je me suis dit, : « ce gus nous prend pour des cons par tous les côtés à la fois ! » Son bouquin est une merde lamentable de confusionnisme décérébral décadent et vomitif et il nous fait payer sa bouse au prix d’un CD de Johnny Halliday. De nature plutôt conciliante tant qu’on vient pas me faire chier, j’ai oublié Aufrais et acheté deux CD de Renaud pour compenser la frustration (j’ai horreur de Renaud, mais comme je l’écoute pas, ça me venge de l’autre taré que j’ai eu la bêtise de lire ! le pôv CD reste sur l’étagère avec son air pleurnichard !!! et moi je rigole !!!). Les années ont passées. Et voilà que ce trouduc de ma queue (d’cheval) vient débiter son baratin de vendeur à la criée de pneus rechapés à la bouillie de chewing-gum sur cette radio d’habitude fort élégante et racée. (Ouais, faut pas être trop regardant non plus …. Par exemple, ils nous passent jamais François Béranger sur cette station pourrie) Il nous balance ses conneries exactement comme si nous étions amis depuis toujours et qu’il pouvait libérer sa panse de tous les excréments qui l’encombrent sans que cela me fâche ! Je dis, moi, que ce type est une ordure abomineuse, une raclure de chiure de mouche salissant notre mental comme s’il pouvait s’en servir comme d’un paillasson pour ses tongs dégueus ! Mais quel horrible clown pervers ! Ce pitre vient nous donner des leçons de caca avec le petit doigt en l’air et l’air de ne pas y toucher !!! Ce type est une vermine ! Oh ! Pas parce que ce qu’il raconte est terriblement diminué et pourri, mais parce qu’il est prof ! Oui, ce gougnafier enseigne ses pitreries à l’université et les enfants de cet âge n’ont pas encore eu le temps de se former le blindage intellectuel indispensable pour résister à la démesure de l’imposture d’un tel guignol. Comment l’éduc nat peut-elle laisser sévir un tel chancre de la pensée en toute impunité ? Un mec qui, en une heure débite le nombre astronomique des six cent milliards huit million vingt et un mille conneries et autres contre vérités ! Il sélectionne ses auteurs avec des pincettes de sage femme, il extirpe les morceaux de textes qui le servent avec la pince à barbecue, il explique les dits texte en les épiçant de cornichons et de vieille moutarde séchée, il argumente avec la déontologie de ma crémière quand il s’agit de me refourguer ses frometons qui puent, id est en cherchant à attire mon attention vers autre chose que l’entêtement miasmatique de ses fourmes et autres calendos invendus et grouillant d’asticots …. Ne vous demandez plus, après ça, pourquoi nos étudiants ont ces gueules de débiles avancés ! Attendez … il y a pire : il est payé, pour ça !!!!!! Si ça, ça vous troue pas le cul, c’est que vous en avez plus !!!!! (pour les couilles, on savait déjà !) Je voudrais dire à Monsieur Onfray que je l'emmerde, que j'ai lu plus que lui et qu'il n'est qu'un con vendeur de foutre et de merdouille qu'il racle au fond de la poubelle qu'est sa cervelle et qu'il ne suffit pas de savoir lire pour comprendre la vie et intéragir sur elle. Qu'il aille au diable et cesse de vociférer dans la radio, ça m'indispose.