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  • Mailloches à fourrer et minahouêts sont sur un bateau …. Épissoirs encore ! ?

     

    Nous’aut’ les gars d’la marine, on est couillus, bourrus et ventrus !

     

    Mais surtout, on fourre.

     

    La mailloche, ça sert à ça, à fourrer les câbles en acier qui tiennent les haubans et tout l’restant !

     

    On commence par arranger le fil de ligne à thon sur la mailloche et avant de commencer le fourrage, on épisse (à l’aide du gros épissoir) la ligne à thon dans le câble en acier et on le graisse avec une bonne dose de suif qu’on limande avant de l’opérer.

     

    Si vous comprenez pas tout, dites-le moi.

     

    Donc, on a not’ câble en acier, on le tartine de suif puis on limande le tout avec des bout de draps usés  limandés (c'est-à-dire  découpés en longues lamelles qu’on dispose par-dessus le suif avant de fourrer à l’aide de la mailloche.

     

    Pour terminer le boulot, on courbe la partie fourrée du câble en acier et on retient les deux parties par un fil de fer en acier qu’on enroule autour des deux parties et qu’on serre grâce au minahouêt  (manche à fourrer).

     

    Faut toujours débuter par un amarre portugais parce que si vous faites un amarre classique les deux bouts vont tourner avec le minahouêt.

     

    Pour cacher le lien en acier, on le recouvre d’un bonnet turc (espèce de nœud de matelotage décoratif) fait dans une chute de ligne à thon.

     

    Si vous voulez une démo, faudra venir sur le chantier de restauration de la chaloupe Sainte-Bernadette à Honfleur (classée monument historique).

     

    Le maître d’œuvre, c’est Yves Capard, un gars bourru mais très sympa, pédagogue et expérimenté  qui fait un véritable travail de restauration en traitant le gréement comme dans le bon vieux temps, le temps où la chaloupe était utilisée dans l’estuaire de la Seine pour la pêche (1926).

     

    L’association « La chaloupe » de Honfleur s’occupe de l’entretien et de la restauration de la Sainte-Bernadette (cliquez).

     

     

     

    Voir aussi des tableaux de la chaloupe peinte par Olivier Fisher (cliquez).

     

  • Rachadi et Mafieu se bouffent le tarbouif pour le plus grand bénéfice de la diversité cultuelle et culturelle multiculturelle. La schtroumpfette à poil !

    Extrême instant d’ataraxie extatique samedi soir dans l’émission somnifère de Laurent Rouxpieds quand Rachadi Dita donne la réplique au représentant du peuple autoproclamé : Mafieu Kassetoivitch !

    Dès que Rachadi a pris place dans le fauteuil qui en a vu d’autres (des culs callipyges), Mafieu a commencé à se tortiller les doigts dans sa moustache rasée et à se foutre le pouce dans le tarin en signe de contestation outragée.

    Pendant que Rachadi débite (et non « des bites ») ses bobards gros comme des rochers de Monaco (ou de Gibraltar … c’est selon votre religion) … le Mafieu n’en peut mais et ne résiste pas à interpeller l’ancienne ministre de l’injustice avec dans la voix une haine dicible :

    « Vous savez quoi, vous m’écoeurez, vous ne connaissez rien à la rue, au peuple, à ses souffrances pendant que vous vous crêpez le chignon avec Fion, Jouïet et Tzarko pour savoir à qui qui mentira plus que …. Euh … plus, nous, le peuple des rues et des boulevards, nous pouvons crever, ça ne vous fait ni chaux ni froid de veau ! » *

    Et vlan, v’la la Rachadi qui lui flanque son poing dans la gueule en retour d’uppercut avec une répulsion si agressive que l’autre a failli choir de son tabouret de bar à putes :

    « Et vous, vous vous êtes regardé ? Vous critiquez tout et tout le monde alors que vous ne valez pas un pet de tortue et que votre talent ne pèse pas plus qu’une plume de gazelle ! Vous feriez mieux de la fermer espèce de bachibouzouk, vous vous prenez pour une star vous n’êtes même pas digne de jouer dans Pokémon  ! » *

    * ( chère lectrice, cher lecteur, pardonnez si je n’ai pas le verbatim de la discussion … vous savez bien que cette émission a pour but de nous endormir, ce qu’elle réussit à merveille et en conséquence, je n’ai pas eu la force de prendre des notes circonstanciées.)

     

    C’est à ce genre d’instant magique qu’on apprécie tout ce que le multiculturalisme apporte à la France et à ses occupants : les français.

    Quand je pense que sans la bénéfique immigration nous en serions encore à nous rendre des politesses plates et sans saveur !

    Là, au moins, on discerne nettement à quel point la haine interraciale est source de vitalité, de  régénérescence, de partage … de gnons (ce qui nous change du fisc qui prend notre pognon).

    L’Afrique de l’ouest qui tape sur l’Afrique de l’est tout en conservant une nationalité française de façade, c’est ça qu’il nous faut pour bien nous cultiver, entretenir nos synapses et nous faire oublier les tracas quotidiens ordinaires qui ne nous élèvent pas comme le fait le multiculturalisme du XVIème … euh … non, du VIIème ! (ou les deux).

    Après ça, on dort comme un ange !