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  • Rachadi dita à poil, Lavérie Wiertrieller à poil, lanhodle à poil, tata Baluchon …. On sait pas encore … elle fait sa soupe aux choux, vertuchou !!!

    Il faut apprendre à prendre son temps avant de débiter des conneries, c’est une vertu que je me suis auto enseignée et qui finira par porter ses fruits …. Un jour !

    Savez-vous ce qui manque le plus à notre humanité ?

    LA VERTU !

    vertu[vDYty]n. f.

    ÉTYM. 1080, «  courage, vaillance  », et aussi «  force physique; jugement, sagesse  »; les autres sens dès les xiie-xiiie; du lat. virtus, -tutis (accusatif virtutem) «  mérite de l'homme (vir); courage, énergie, vertu, perfection  ».

    Pensez-vous que notre microcosme politique connaisse ce mot, sa sémantique, ses concepts ?

    Que nenni !

    L’hommo politicucul contemporain est un être dénué de sens moral donc de vertu.

    Son dieu, l’argent, l’influence et le paraître aux yeux des proches et de la télé guide ses actes minute après minute et il se transforme en un millième de seconde en super héros comique ou en hyper casse-couilles sadique impudique !

    La semaine, il se repose dans sa maison luxueuse entièrement financée par l’argent public. Il vaque à ses occupations lucratives et tordues, préparant en catimini quelque coup tordu qui fera parler de lui dans le journal …

    C’est le dimanche, juste après la messe qu’il se réveille et se répand sur les ondes en paroles débiles et actions sordides.

    Cette plaie de notre société moderne tient sa science des anciens qui ont mis des générations de cons à établir leur supériorité ringarde et tient ses pouvoirs de l’oligarchie ploutocrate de la finance poisseuse.

    Certaines, plus douées que les autres, ont démontré qu’elles pouvaient s’abaisser vélocement au niveau des plus vieux et même les surpasser en ignominies crapoteuses.

    De  jeunes loups d’opérette n’hésitent pas à en faire autant.

    Bref ! Vous l’aurez compris, je ne porte pas les gens politiques près de mon cœur (mon portefeuille est toujours dans ma poche révolver car il faut pouvoir dégainer sa carte bleue aussi vite que Zeus le grand foudroie l’épine vinette de ses éclairs zigzagants).

     

    Une autre constante de la gente politique, c’est sa nature « tuyau de poêle ».

    Ils s’entre pénètrent à l’infini et peuvent former des kilomètres de creux zingués protéiformes donneurs de leçons aux citoyens atterrés de cette aberration  surnaturelle qui prétend résoudre les problèmes qu’elle n’a pas à subir.

    La promotion, la cooptation, le piston, la lèche-moule et le suce-bite sont leurs armes les plus perfides et les plus efficaces à la perpétuation de leur race mortifère.

    Quelques spécimens non hétéros on réussit à imposer leur culte du cul en  abaissant le principe du mariage au niveau du tout à l’égout.

    Soyons tolérants et acceptons que les tuyaux de poêles s’accouplent sans norme européenne ni trompette ni jugulaire au casque de scooter.

    Tel individu ordinaire qui donne de son temps à l’entretien du patrimoine commun passe aux yeux des canailles politicardes pour un benêt qui ne sait pas monnayer ses charmes.

    Les putes nous gouvernent et nous demandent de faire preuve de vertu cependant qu’elles bradent aux étrangers les ouvrages entretenus par les bredins bénévoles.

    Les meutes de klébars affamés nous tombent sur le râble (dur) pour s’emparer de nos biens publics afin d’en faire des bordels de luxe où ni vous ni moi ne seront invités. Enfin …. Vous, je sais pas ?

    Qui du chinois, du qatari, du saoudien, du ruskov ou du bougre de boukistanais obtiendra la faveur de se voir offrir tel château, tel hôtel particulier, tel immeuble ou terrain ou antiquité précieuse … au motif fallacieux que l’entretien d’icelui ne peut plus être assuré par l’Etat providence pour les touristes du social européen ?

    C’est qu’il en faut des sous pour entretenir nos onéreux touristes … encore que ce ne soit rien à côté de ce que nous coûte la pléthore de fonctionnaires surnuméraires qui se pavanent dans les assemblées nationales, régionales, communales et extraterritoriales … !

    Tout ces pique-assiettes aspirent sans vergogne les ressources essentielles que nous produisons dans le but de se reproduire exponentiellement.

    Le peuple des nigauds semble finir par comprendre péniblement qu’on se fout de lui …

    Il frétille dans son jus plébéien en attendant sa revanche … qui lui passera sous le nez car les députés institueront au dernier moment quelque artifice monstrueux capable de frustrer les millions d’imbéciles qui mettent dans les urnes des bulletins qui, censés les défendre par subrogation se transforment illico en blancs-seings qui les confinent au bastringue de la fausse république dont le but ultime échappe même à son orchestre disharmonique.

    Dansez braves gens, qu’importe que la musique ne soit que cacophonie et fausses notes, le spectacle doit continuer, show must go on, et quand vous serez morts, vos enfants prendront la relève et le monde deviendra ce qu’il deviendra sans que vous n’ayez  jamais eu votre mot à donner.

     

    C’est pour ça que moi, je donne mon mot :

    « pourritures ».