Les préliminaires du PS ne valent pas les préliminaires de Rocco Siffredi

Ils ont été regardés par des millions de français tous plus éberlués les uns que les autres.

Ils étaient six, debout derrière un prie dieu, sans même un petit chouchen pour leur remonter le moral.

Ce qu'ils ont dit restera dans les annales du fondement de ma concierge.

Ah ça, on peut dire qu'eux, au moins, savent parler pour ne rien dire !!!!

J'en ai discuté avec un vrai socialiste (il m'a montré sa carte et son badge avec photo pour l'accès au Sofitel de New York)  et selon lui, ils se sont bien tenus et ont adopté la ligne stratégique la meilleure pour le parti et ses partisans.

Cette ligne n'a rien d'une droite, c'est une sinusoïde convergente qui diverge sensiblement entre chacun des candidates et candidats mais qui joint les deux bouts grâce à un 380 degré du plus bel effet.

D'ailleurs, une certaine tension fut perceptible lorsque Martine a fait craquer son dentier. Ségo à  lâcher une perle et baylet à brait comme un pourceau qu'on enfile (de perles).

Heureusement, Valse à bien tenu la piste et enlaçant son ami Monte au Bourg par les doigts de pieds il lui a sussuré à ce qu'il croyait être son orteille de gentils mots doux comme du saint.

 

Je dois reconnaître que cette soirée de préliminaire nous a beaucoup appris sur l'art des langues mortes accomodées à la sauce des non dits et du bien l'bonjour chez vous si y'a personne .....  comme dit l'autre : on en parle sans en parler !

 

Voilà !

Grâce à ces personnes d'un autre âge, d'une autre planète, d'une autre condition sociale, les pauvres gens savent désormais qu'ils n'ont rien à attendre si ce n'est que d'eux mêmes de ces vertueux trous du cul et que sans une bonne révolution bien saignante et bien crade, la France restera à tremper dans son jus comme le dentier de Martine dans le verre de Venise que lui a offert Hollande pour la remercier de ne pas rejeter le nucléaire.