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les ministres

  • Quand tata Tartine sort de ses gonds !

     

    Je reçois une lettre particulièrement courroucée de madame Madoff. En voici la traduction de l’anglais vers le français (j’ai laissé les fautes pour que ça fasse plus vrai !).

     

     

    Cher monsieur Yfig, je lis très souvent votre blog, je l’ai lu le mois dernier, c’est vous dire …. avec tout ce que j’ai affaire .....    l’importance que j’accorde à votre compétence et à votre jugement.

    Je sais que vous êtes féru d’économie, d’arts martiaux, d’arts picturaux, de bicyclettes, de saucissons, d’histoires cochonnes, de mirlitons, de Tino Rossi, de votre concierge …. et j’en passe et pas des meilleures ….

     

    Je sais, aussi, car j’ai des antennes, que vous avez pris le parti de mon mari et que vous avez confirmé que tout ce binzzz avait été le fruit des malhonnêtetés des banques Lehmann et Brother, Lévinski Korsakhov, Michel Polnareff, Eddy Barclay’s, Gacque quarante et Niqué …. etc …. et que mon époux s’est fait entourloupé à l’insu de son plain grès.

     

    Cher monsieur Yfig, je vous serait gréée d’intercéder au près de vos amis politiques du parti socialiste, du parti communiste, du parti sans laisser d’adresse, du parti judéo-chrétiniste, de Zinédine Zidane, de Maria Pacôme, des bouddhistes et UMP, des centristes, de Bayrou, de Bal à dur, de Johnny, du docteur Caribou ……. etc ….. la liste est longue …..

    pour que cesse enfin cette déplorable, ridicule, atterrante et regrettable rumeur selon laquelle mon mari ressemblerait à votre aimable président (le dénommé Sarkozy) et vice versa. D’habitude, votre Nicolas apporte aux concitoyens américains joie et bonne humeur de par ses saillies incongrues et dignes de l’almanach Vermot …… mais là, franchement !

     

    Merci du fond du chœur.

     

    J’ai donc tout naturellement répondu à madame Madoff.

     

    Chère Nicole-Adeline-Grignotte,

     

    J’ai bien reçu ta supplique que j’ai eu le courage de lire jusqu’au bout malgré tout le mal être que j’en ai ressenti à la pensée des maux inhumains que des êtres sans scrupule ni honneur vous font subir à toi, ton bien cher mari et tes doux enfants.

     

    Crois bien, très chère Nicole-Adeline-Grignotte que, sitôt que vous m’aurez remboursé les cinq cents mille euros que j’avais placés en toute confiance dans votre buziness, je m’empresserai d’aller moi-même personnellement au siège du parti rue Sol-fa-ré-do engueuler tante Tartine et ses acolytes véreux.

     

    Ton bien dévoué Yfig.

     

    Ne reste plus qu’à attendre le mandat chèque recommandé accusé réception de mes sous ……