Cette année est à marquer d'une pierre tombale !
Pas une taupinière pour l'instant dans le potager ni dans le jardinet ....
Que se passe-t-il ?
Ont-elles été toutes éradiquées par le réchauffement climatique ?
Je n'y crois pas, les taupes possèdent une fourure qui les met à l'abri des intempéries.
Alors ! ?
Alors, je sais pas, mais il se pourrait que Fukushima ne soit pas étranger à cette surprenante surprise !
C'est peut-être de cela dont parle notre président quand il annonce aux français une surprise pour les fêtes ?
Toujours est-il que je suppute que les taupes dont les moustaches sont ultra sensibles aux variations écologiques de toutes natures aient ressenti les effets des retombées de plutonium, uranium, palladium, minium, maximum, opidium, radium, chewing-gum et vieilles dentelles !!!!
Aussi, elles se terrent, bien à l'abri de tous ces rayons mortels dont nous, pauvres mortels que nous sommes, recevons sans broncher mais quand on se regarde dans la glace, on se trouve un teint terreux et des cheveux hirsutes !
Heureusement qu'il y a la crise pour nous faire penser à autre chose, sinon, nous serions bien malheureux !!!!
Commentaires
Tu remarqueras que j'ai fait une nouvelle note sur la peinture qui sent bon !
Il y a quelque chose que les néophytes devraient savoir mais qu'ils n'accepteront jamais au sujet des arts :
"Tout est truqué !"
En fait, tout est matière de com (on disait publicité dans le temps).
Tout est fabriqué, organisé, mis en coupes ....
Au fil du temps, on apprend, petit à petit ..... que machin était pistonné par truc qui lui-même était le mari de machine qui était la maîtresse de bidule ..... et tatati et tatata .....
Alors, on parle pendant des jours , des mois, des années de untel plus grand musicien de tous les temps, de unetelle, plus grande danseuse de tous les temps, de schtroumpffblurp, plus grand écrivain de tous les temps ..... etc .... etc ..... de tous les temps ..... et d'obscurs anonymes, comme toi, Pierre, restent dans la nuit et le brouillard par manque de parrain, de pistonneur patenté !
La renommée est une putain et la gloire une salope.
Moi, je ne guigne pas grand chose ..... une simple place de suppléant me remplirait de joie et de fierté !!!!!
En fait, je pensais à Nijinski dont la réputation n'était que bullshit et qui tapinait Cocteau qui lui même fourrait Jean Marais .....
Un peu comme Berger, le faiseur d'anges .... grâce au pognon !!!
A la Gaîté-Lyrique.
Toutes les familles veulent applaudir la Fille du tambour-major, et les enfants accueillent avec une joie délirante le splendide
défilé de « l'Entrée des Français à Milan », qui constitue l'apothéose de ce merveilleux spectacle.
au lycée, on chantait ça :
En revenant de la revue
by Paulus
Je suis l’chef d’une joyeuse famille,
Depuis longtemps j’avais fait l’projet
D’emmener ma femme, ma sœur, ma fille
Voir la revue du quatorze juillet.
Après avoir cassé la croûte,
En chœur nous nous sommes mis en route
Les femmes avaient pris le devant,
Moi j’donnais le bras à belle-maman.
Chacun devait emporter
De quoi pouvoir boulotter,
D’abord moi je portais les pruneaux,
Ma femme portait deux jambonneaux,
Ma belle-mère comme fricot,
Avait une tête de veau,
Ma fille son chocolat,
Et ma sœur deux œufs sur le plat.
Gais et contents, nous marchions triomphants,
En allant à Longchamp, le cœur à l’aise,
Sans hésiter, car nous allions fêter,
Voir et complimenter l’armée française
Bientôt de Lonchamp on foule la pelouse,
Nous commençons par nous installer,
Puis, je débouche les douze litres à douze,
Et l’on se met à saucissonner.
Tout à coup on crie vive la France,
Crédié, c’est la revue qui commence
Je grimpe sur un marronnier en fleur,
Et ma femme sur le dos d’un facteur
Ma sœur qu’aime les pompiers
Acclame ces fiers troupiers,
Ma tendre épouse bat des mains
Quand défilent les saint-cyriens,
Ma belle-mère pousse des cris,
En reluquant les spahis,
Moi, je faisais qu’admirer
Notre brave général Boulanger.
Gais et contents, nous étions triomphants,
De nous voir à Longchamp, le cœur à l’aise,
Sans hésiter, nous voulions tous fêter,
Voir et complimenter l’armée française.
En route j’invite quelques militaires
A venir se rafraîchir un brin,
Mais, à force de licher des verres,
Ma famille avait son petit grain.
Je quitte le bras de ma belle-mère,
Je prends celui d’une cantinière,
Et le soir, lorsque nous rentrons,
Nous sommes tous complètement ronds.
Ma sœur qu’était en train
Ramenait un fantassin,
Ma fille qu’avait son plumet
Sur un cuirassier s’appuyait,
Ma femme, sans façon,
Embrassait un dragon,
Ma belle-mère au petit trot,
Galopait au bras d’un turco.
Gais et contents, nous allions triomphants
En revenant de Longchamp, le cœur à l’aise,
Sans hésiter, nous venions d’acclamer,
De voir et de complimenter l’armée française.
Pourquoi est-ce que tu ne calligraphies pas des textes dans tes tableaux ? Pas à la mode chinoise mais à ta propre mode ...
Au lieu de faire une simple vue du port de Honfleur comme des centaines d'autres peintres, tu inscris à l'intérieur du tableau un texte de ta fantaisie qui serait comme ta marque de fabrique.
Ouille !
Pierre, je te remercie de tes précieux conseils .........
Il faut que j'y réfléchisse ....... mes textes ne risquent-ils pas de ruiner mes tableaux ?
Mes tableaux sont-ils à la hauteur de mes textes ????? et vice & versa !!!!!
Mais tout compte fait ...... il y a une très bonne idée derrière tout ça !!!!!
Je te rappelle quand même que je ne suis pas turc ! ni arménien ..... ni rien d’objectivement admirable .... et encore moins respectable !
Une bonne nuit de sommeil .... et hop ..... demain est un autre jour !!!!! :)