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.... LA chanson de la Saint Valentin

 

 

 

Aux ailes bleues du vent.

Musique et interprétation : Robert Duval

Paroles :  Yfig

 

 

 

Commentaires

  • Franchement moi je ne fête pas la Saint-Valentin tant que je me caille autant les miches !


    Même sous une burqua il doit encore faire sacrément frisquet et je ne vois pas comment on peut se réchauffer en faisant l'amour sinon en se faisant exploser la tronche ...

  • Ma chanson est sans arrêt en erreur .
    Quels cons ces yutoube !!!

    pour te réchauffer, essaie de casser du bois pour la cheminée .... et n'oublie pas tes moufles !

  • Ah non sous Solaris ça marche très bien. Mais j'ai lu que sous Windows il y avait pas mal de problèmes partout, ça va etre supprimé, d'ailleurs...

  • C'est mou du genou ici depuis qu'Yfig baigne dans l'amour ...

  • Mon genou dans tes roubignolles, tu vas voir si c'est mou !

    Sergio prend tes rêves pour ses réalités !

  • Je suis décontenancé !!!!!

    Sur le blog à Driout, pas un mot sur BHL !!!!!

    Par contre, on a droit à Colette en femme de lettre Saint Nitouche !

    Ce garçon ne connaît rien aux femmes, ça se voit comme le pot de confiture au milieu de l'étagère !!!!!

  • Oui mais toi tu n'as pas connu Colette cela fait une moyenne ...

  • OUPS ! mauvaise pioche !!! ma petite soeur s'appelle Colette ....
    ce n'est pas ton jour de chance, ne joue pas au loto !!!!

  • Comment cela tu as mis ta main dans la petite culotte de ta soeur ?

  • Bonne St Valentin, les garçons.. je vous attends avec vos bouquets fleuris, et vos mots chocolatés...bisous voluptueux !

  • Eh ! oh ! doucement espèce d'Eve, tu vas faire clamser Yfig avec toutes les bouffées de chaleur et les montées d'adrénaline que tu vas lui déclencher !

  • Censure d'Apollinaire: Ankara condamné
    AFP
    16/02/2010 | Mise à jour : 12:23 Réactions (2)
    La destruction d'exemplaires en langue turque d'une oeuvre érotique de Guillaume Apollinaire et la condamnation de l'éditeur en Turquie ont été condamnées par les juges européens des droits de l'homme de Strasbourg. Editeur dans la maison d'édition "Hades", le plaignant, Rahmi Akdas, avait publié en juin 1999 "Les onze mille verges", roman érotique du célèbre poète français, traduit en turc sous le titre "On Bir Bin Kirbaç".

    Il avait été condamné en 1999 à Istanbul à une forte amende "pour publication obscène ou immorale, de nature à exciter et à exploiter le désir sexuel de la population". Les ouvrages avaient été saisis et détruits. Dans son arrêt, la Cour européenne des droits de l'homme "considère que la reconnaissance accordée aux singularités culturelles, historiques et religieuses des pays ne saurait aller jusqu'à empêcher l'accès du public d'une langue donnée, en l'occurrence le turc, à une oeuvre figurant dans le patrimoine littéraire européen".

    L'éditeur avait vainement fait valoir devant la justice turque qu'il s'agissait d'une oeuvre littéraire, une fiction utilisant des techniques d'écriture telles que l'exagération, le grotesque, la métaphore. Selon lui, l'ouvrage n'avait aucune connotation violente et le ton humoristique adopté par l'auteur, allié à un parti pris d'exagération, était plutôt de nature à éteindre le désir sexuel qu'à l'exacerber.

    La Cour européenne des droits de l'homme rappelle dans son arrêt que cet ouvrage avait fait scandale lors de sa parution en France en 1907 mais qu'il a depuis été publié dans de nombreux pays en plusieurs langues

  • Oh la la !

    Des bouquins immoraux, c'est pas ce qui manque, à commencé par la déclaration des droits de l'homme, le traité de Maastricht, celui de Lisbonne, la constitution, le code civil, le code militaire, le code de commerce, le code pénal, le code davinci .... bref .... y'a du boulot .... pour les turcs !!!!!

  • Les cent mille verges, avec les chansons de Bilitis, ce sont les deux bouquins que j'ai acheté 4 fois et qu'on ne m'a jamais rendus ..... je suis maudit !

  • Gros goumand !

  • Méfie-toi du côté obscur des vierges !

  • Allah est grand et Mahomet est son prophète et je sais ... de source sûre ..... mais discrète ..... que mes vierges m'attendent au paradis ..... et c'est normal, je l'ai bien mérité !

  • Cela te fait bégayer ...

  • L'ambiguité du bouquin d'Appolinaire, c'est que les verges sont des fouets et pas des chibres !
    des verges qui doivent punir la donzelle un peu trop nympho qui se tape tout le régiment puis va se faire mettre par l'ennemi parce qu'une seule armée, ça ne lui suffit pas !

    Voilà, je vous ai raconté le bouquin, ça vous fera faire des économies !

    bégayer ou pagayer il faut de tout pour faire le monde !

  • Et si cela se trouve Apollinaire c'est même pas son nom !

    Non mais quel salaud ce Guillaume, encore un boche ... courage, on les aura !

  • Wilhelm Albert Włodzimierz Apolinary de Wąż-Kostrowicki !

    Tiens, rien que pour cela on aurait dû le fusiller ...

    Si on laisse faire un jour on élira des Nagy-Bocsa !

  • Du coup, j'ai sauté Vanille ..... OUPS .... je veux dire que j'ai sauté son post, je ne lui ai pas répondu et ne suis même pas allé sur son site ..... j'y saute .... OUPS ! merdre, je veux dire : je m'y précipite !

  • Pu.............rée je suis pas été déçu du voyage ..... du bling bling et de la guimauve en veux-tu en voilà ..... on pourrait la présenter à nout'bon président, c'est son type de femme !

    J'ai même ramené un joli cadeau, un pouème !

    "
    Poème du soir d'un admirateur

    Je t'envoie les gerbes de l'arc-en-ciel de l'amitié
    les feuillages de sourires de la sincérité
    les écorces de la force en ivresse
    en enveloppant le tout des sèves de la tendresse.

    (Atchoum)

    Moi je dis ................................... à tes souhaits !

  • Tu sais on peut faire fortune en vendant du guano ... de la merde, quoi ! Alors ....

  • Les nids d'hirondelle sont très appréciés des chinois ...

  • Tiens ! tu me donnes une idée poétique .... je me jette ....

    Adieu mon caca
    ---------------------

    Adieu mon joli caca
    Tu faisais partie de moi
    Mais voilà que tu t'en vas
    Tu pars et ne reviens pas

    Dans l'orifice des tartisses
    infailliblement tu glisses
    M'abandonnant sans espoir
    D'aucun retour merdatoire

  • Je te nomme "Lord des Tinettes" ! Tu vas pouvoir être fier de montrer ta décoration à toute ta famille ... et honni soit qui mal y pense !

  • Oui, j'ai pensé à une rime avec tinette ..... mais je me suis dit que je devais brider mon imagination pour éviter la diarrhée poétique !

  • Adieu mon joli caca
    ---------------------

    Adieu mon joli caca
    Tu faisais partie de moi
    Mais voilà que tu t'en vas
    Tu pars et ne reviens pas

    Dans l'orifice des tartisses
    infailliblement tu glisses
    M'abandonnant sans espoir
    D'aucun retour merdatoire

    Et ça me rend triste émoi
    De perdre un ami comme toi
    Qui meublait mes intestins
    de comètes et de boudins

  • Sois pas triste ... on t'en refera un, un encore plus beau qui voguera à travers les mers comme un beau transatlantique !

  • Ca donne envie ...

  • Quand je pense qu'il y en a qui se retiennent ...

  • La recherche de la fécalité



    Là ou ça sent la merde
    ça sent l’être.
    L’homme aurait très bien pu ne pas chier,
    ne pas ouvrir la poche anale,
    mais il a choisi de chier
    comme il aurait choisi de vivre
    au lieu de consentir à vivre mort.

    C’est que pour ne pas faire caca,
    il lui aurait fallu consentir
    à ne pas être,
    mais il n’a pas pu se résoudre à perdre
    l’être,
    c’est-à-dire à mourir vivant.

    Il y a dans l’être
    quelque chose de particulièrement tentant pour l’homme
    et ce quelque chose est justement
    LE CACA.
    (Ici rugissements.)

    Pour exister il suffit de se laisser aller à être,
    mais pour vivre,
    il faut être quelqu’un,
    pour être quelqu’un,
    il faut avoir un os,
    ne pas avoir peur de montrer l’os,
    et de perdre la viande en passant.

    L’homme a toujours mieux aimé la viande
    que la terre des os.
    C’est qu’il n’y avait que de la terre et du bois d’os,
    et il lui a fallu gagner sa viande,
    il n’y avait que du fer et du feu
    et pas de merde,
    et l’homme a eu peur de perdre la merde
    ou plutôt il a désiré la merde
    et, pour cela, sacrifié le sang.

    Pour avoir de la merde,
    c’est-à-dire de la viande,
    là où il n’y avait que du sang
    et de la ferraille d’ossements
    et où il n’y avait pas à gagner d’être
    mais où il n’y avait qu’à perdre la vie.

    o reche modo
    to edire
    di za
    tau dari
    do padera coco

    Là, l’homme s’est retiré et il a fui.

    Alors les bêtes l’ont mangé.

    Ce ne fut pas un viol,
    il s’est prêté à l’obscène repas.

    Il y a trouvé du goût,
    il a appris lui-même
    à faire la bête
    et à manger le rat
    délicatement.

    Et d’où vient cette abjection de saleté ?

    De ce que le monde n’est pas encore constitué,
    ou de ce que l’homme n’a qu’une petite idée du monde
    et qu’il veut éternellement la garder ?

    Cela vient de ce que l’homme,
    un beau jour,
    a arrêté
    l’idée du monde.

    Deux routes s’offraient à lui :
    celle de l’infini dehors,
    celle de l’infini dedans.

    Et il a choisi l’infime dedans.
    Là où il n’y a qu’à presser
    le rat,
    la langue,
    l’anus
    ou le gland.

    Et dieu, dieu lui-même a pressé le mouvement.

    Dieu est-il un être ?
    S’il en est un c’est de la merde.
    S’il n’en est pas un
    il n’est pas.
    Or il n’est pas,
    mais comme le vide qui avance avec toutes ses formes
    dont la représentation la plus parfaite
    est la marche incalculable d’un groupe de morpions.

    “Vous êtes fou, monsieur Artaud, et la messe ?”

    Je renie le baptême et la messe.
    Il n’y a pas d’acte humain
    qui, sur le plan érotique interne,
    soit plus pernicieux que la descente du soi-disant Jésus-Christ
    sur les autels.

    On ne me croira pas
    et je vois d’ici les haussements d’épaules du public
    mais le nommé christ n’est autre que celui
    qui en face du morpion dieu
    a consenti à vivre sans corps,
    lors qu’une armée d’hommes
    descendue d’une croix,
    où dieu croyait l’avoir depuis longtemps clouée,
    s’est révoltée,
    et, bardée de fer,
    de sang,
    de feu, et d’ossements,
    avance, invectivant l’Invisible
    afin d’y finir le JUGEMENT DE DIEU.

    Antonin Artaud
    Pour en finir avec le jugement de dieu / 1948

  • En tous cas ça rend loquace ...

  • Robert Duval est mort, lui aussi, le 13 février à la suite d'une pas très longue maladie .... comme ils disent ! La dernière fois qu'on s'est parlé, il avait une pêche d'enfer et parlait de faire plein d'autres chansons, des tas de chansons ......
    Ce con m'a laissé tombé !
    Et je ne peux même pas lui en vouloir, il en a pas fait exprès !

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