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Si ! Carlita ne veut pas servir la soupe à son mari, l'homme aux cinq à six cerveaux - elle ne sait pas compter jusqu'à six !
iPidi,
tu en as trop dit et pas assez .....................
Aurais-tu des informations, sur Carlita, que je n'ai pas ?
Et il faudrait te décider, c'est 5 ou c'est 6 ????
Ce doute est insupportable pour le citoyen sans cervelle que je suis !!!!!
3 arrêts bonheur : la femme rouge, crapahutage, le livre et la plage pour les vagues bleues des vêtement...
3 arrêts d'angoisse : la variation à trois temps de la clé des champs...
une énigme : l'adresse mail d'Yfig ! impraticable, pour moi !
La femme rouge : donnée à ma maman pour son anniversaire
crapahutage : vendu à un ami
le livre et la plage : détruit par l'humidité
La clef des champs : les 3 ne sont qu'un, il s'agit de ce qu'on appelle un 'pas à pas' (succession de photos par étapes de peinture)
Mon adresse ? (ne pas tenir compte des espaces) yyfig @ yahoo.fr
La maman doit être aimée...
L'ami est un chanceux...
Le livre et la plage... Avez-vous pris une photo de ce désastre ? Ce devrait être intéressant...
Le "pas à pas"...je vous en souhaite un qui vous réserve meilleure rencontre ! Pauvres escargots ! (admirablement peint par ailleurs )
Merci, pour l'adresse
Pas pris de photo ..... trop horrible !
Mais rien en comparaison d'une lapidation en Arabie Saoudite ou en Iran .... !!!!!!!!
Bien sûr... Je repense à Audubon et à sa douleur quand tous ses dessins brûlèrent...
Je crois que vous avez dû avoir du chagrin. Quelque chose était mort qui jamais ne reviendrait.
(Mais une femme lapidée !!!! c'est la femme en moi qui hurle jusqu'à anéantir le germe de cette abjection.)
Ma première réaction, c'est en pensant à Kieffer et à ce travail de corrosion qu'il mène sur ses oeuvres (acides, eau, terre, moisissures, feu...)
Je pense aussi aux livres que le sable avale dans le désert...
Tout ici bas est périssable. Et pourtant, il y a une joie intacte au coeur même de la vie...comme sur le portrait de votre petit-fils et bien d'autres éclats de vos créations.
L'enfant lisant sur la plage avait quelque chose de plus ....
C'était un exercice important de déformation cohérente.
C'est à dire que les dimensions en hauteurs étaient toutes augmentées de cinq centimètres quand celles en largeur étaient respectées (en proportion)
Cela donait un effet de profondeur intéressant .....
Rien n'est jamais perdu définitivement .....
me restent :
cette idée intéressante de disproportion harmonique
et
la possibilité de le refaire .... un jour !
C'est doux ce que vous écrivez là, de votre approche, de ce lent travail où l'imaginaire pousse délicatement le voile de la réalité.
C'est toujours comme cela quand on approche les toiles d'un vrai peintre. On pénètre lentement l'épaisseur de son regard et le monde est enchanté. Quand on ouvre les yeux après notre regard porte encore ces semences et nous avançons en terre étrangère. Ainsi, c'est cela la réalité ! Quelques centimètres et "la terre est bleue comme une orange"...
Commentaires
Si ! Carlita ne veut pas servir la soupe à son mari, l'homme aux cinq à six cerveaux - elle ne sait pas compter jusqu'à six !
iPidi,
tu en as trop dit et pas assez .....................
Aurais-tu des informations, sur Carlita, que je n'ai pas ?
Et il faudrait te décider, c'est 5 ou c'est 6 ????
Ce doute est insupportable pour le citoyen sans cervelle que je suis !!!!!
3 arrêts bonheur : la femme rouge, crapahutage, le livre et la plage pour les vagues bleues des vêtement...
3 arrêts d'angoisse : la variation à trois temps de la clé des champs...
une énigme : l'adresse mail d'Yfig ! impraticable, pour moi !
La femme rouge : donnée à ma maman pour son anniversaire
crapahutage : vendu à un ami
le livre et la plage : détruit par l'humidité
La clef des champs : les 3 ne sont qu'un, il s'agit de ce qu'on appelle un 'pas à pas' (succession de photos par étapes de peinture)
Mon adresse ? (ne pas tenir compte des espaces) yyfig @ yahoo.fr
La maman doit être aimée...
L'ami est un chanceux...
Le livre et la plage... Avez-vous pris une photo de ce désastre ? Ce devrait être intéressant...
Le "pas à pas"...je vous en souhaite un qui vous réserve meilleure rencontre ! Pauvres escargots ! (admirablement peint par ailleurs )
Merci, pour l'adresse
Pas pris de photo ..... trop horrible !
Mais rien en comparaison d'une lapidation en Arabie Saoudite ou en Iran .... !!!!!!!!
Bien sûr... Je repense à Audubon et à sa douleur quand tous ses dessins brûlèrent...
Je crois que vous avez dû avoir du chagrin. Quelque chose était mort qui jamais ne reviendrait.
(Mais une femme lapidée !!!! c'est la femme en moi qui hurle jusqu'à anéantir le germe de cette abjection.)
Ma première réaction, c'est en pensant à Kieffer et à ce travail de corrosion qu'il mène sur ses oeuvres (acides, eau, terre, moisissures, feu...)
Je pense aussi aux livres que le sable avale dans le désert...
Tout ici bas est périssable. Et pourtant, il y a une joie intacte au coeur même de la vie...comme sur le portrait de votre petit-fils et bien d'autres éclats de vos créations.
L'enfant lisant sur la plage avait quelque chose de plus ....
C'était un exercice important de déformation cohérente.
C'est à dire que les dimensions en hauteurs étaient toutes augmentées de cinq centimètres quand celles en largeur étaient respectées (en proportion)
Cela donait un effet de profondeur intéressant .....
Rien n'est jamais perdu définitivement .....
me restent :
cette idée intéressante de disproportion harmonique
et
la possibilité de le refaire .... un jour !
C'est doux ce que vous écrivez là, de votre approche, de ce lent travail où l'imaginaire pousse délicatement le voile de la réalité.
C'est toujours comme cela quand on approche les toiles d'un vrai peintre. On pénètre lentement l'épaisseur de son regard et le monde est enchanté. Quand on ouvre les yeux après notre regard porte encore ces semences et nous avançons en terre étrangère. Ainsi, c'est cela la réalité ! Quelques centimètres et "la terre est bleue comme une orange"...