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Les contes du nouvel an

 

Il était une fois trois amis inséparables.

 

Partout, en ville, à la mer, à la montagne .... dans les bars, les cinémas, les théâtres, le hammam, le bowling, le macdo, le travail, la salle de sport, les grottes de Rocamadour, aux champs de courses .... partout ils étaient toujours ensemble comme les trois doigts de la main d'un lézard de Darwin.

 

Le premier portait, sur le torse, une croix.

Le second un croissant.

Et le dernier une étoile.

 

Ils vivaient dans la même grande maison partageaient la machine à laver le linge et le lave-vaisselle et mangeaient ensemble ... ils faisaient tout ensemble ... ou presque

 

Ils se marièrent le même jour (pour faire des économies), mais pas avec la même femme ... faut pas exagérer !

Le premier  à l'église le second à la mosquée le troisième à la synagogue.

 

Ils eurent chacun une fille, puis un fils ... ont eu dit que leur destin était scellé !

 

Un jour, ils partent tous ensemble pour un beau voyage en Asie, au pays du grand Yéti : le Boukistan !

 

S'approchant d'un temple dédié à Tintin et Milou, ils aperçoivent une vieille boukistanaise qui vient à eux et leur demande :

Qui est le vrai dieu ?

 

Et c'est comme ça qu'ils s'entretuèrent ! 

 

Moralité : croire c'est bien, mais le taire c'est mieux !

Commentaires

  • Les Gibis..

    Exact contrepoint des Shadoks, les Gibis étaient délicieux.. Êtres à chapeau melon, très intelligents, et extrêmement gentils, ils réussissaient tout ce qu'ils entreprenaient.. La civilisation Gibi était basée sur la propreté, le perfectionnement, la musique et la danse. Ils se servaient de leur couvre-chef pour se saluer, mais aussi pour se communiquer leurs pensées. Quand un Gibi avait une musique dans la tête, les autres l'entendaient aussitôt par téléchapie, et ne manquaient pas de le remercier en improvisant quelques pas de danse guillerets.. Ils aimaient beaucoup la campagne, et en profitaient pour changer de costume.. en mangeant des fleurs pour avoir un trois-pièces à fleurs, des petits pois pour un ensemble à pois, ou encore des carottes un jour sur deux pour un très joli costume rayé..! Ils vivaient donc dans la plus parfaite félicité, mais sur une planète plate et instable, ce qui les obligeait à se répartir harmonieusement, sinon la planète penchait et les Gibis qui étaient du mauvais côté glissaient et tombaient dans le vide.. Il décidèrent donc, eux aussi, de quitter leur inconfortable planète et d'aller sur la Terre... Ils n'eurent aucun problème pour construire une super fusée, et produire un carburant très performant, le Cosmogol 999, tant convoité ensuite par les Shadoks... Lorsque les Shadoks tentèrent de subtiliser leur fusée, les Gibis camouflèrent leur planète avec des feux d'artifice sombres, de telle sorte que si le jour on n'y voyait plus rien, il faisait encore plus nuit la nuit.. Ils s'amusaient beaucoup des échecs répétés de la fusée shadok, et ils n'eurent bien entendu aucune difficulté à gagner la Terre, où ils devinrent très amis avec son propriétaire Gégène.. Leurs chapeaux contenaient des moulins à graines de toutes natures, et il leur fût donc très facile d'embellir l'environnement en y plantant des graines de ville, d'architecture, d'oeuvres d'art, et aussi des graines de monuments historiques... Les moulins fonctionnaient tout seuls, et pendant ce temps, les Gibis pouvaient tranquillement danser le menuet.. Mais comme ils n'avaient que des solutions et jamais de problème, ils finirent pas s'ennuyer, et connurent la dépression, la maladie, et même la terrible collimbécillose au contact des Shadoks, qu'ils durent fuir après avoir vainement tenté de les aider.. La perfection et la joie n'étaient pas de taille pour lutter contre les Shadoks...

  • Tu retombes en enfance ?
    C'est l'effet chat docte ?
    Depuis qu'on leur a fabriqué des ordinateurs, les chats se sont lancé dans la conquête de la planète ..... attention à la vengeance des raquettes en boyaux d'chats !

  • Je reviens du Mans, j'ai fait coucou dans mon TGV en direction de Honfleur, j'ai senti que l'inspiration du poète-peintre me prenait ...

  • J'attends que le TGV pousse une branche jusqu'à Ablon ... et je me munis de mes pinceaux !

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